dimanche 23 août 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 640





14 AOÛT 2015...

Cette page concerne l'année 640 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LA CONNAISSANCE DES MAYAS S'AFFINE !

La civilisation Maya est une ancienne civilisation de Mésoamérique principalement connue pour ses avancées dans les domaines de l'écriture, de l'art, de l'architecture, de l'agriculture, des mathématiques et de l'astronomie. C'est une des civilisations précolombiennes les plus étudiées avec celles des Aztèques et des Incas.

Elle occupe à l'époque précolombienne les territoires correspondant actuellement à une partie du sud du Mexique, du Belize, du Guatemala, du Honduras et du Salvador. C'est une des plus anciennes civilisations d'Amérique : Ses origines remontent à la préhistoire. La sédentarisation de populations est attestée, dans l'aire Maya, à l'époque archaïque, entre le VIIe et le IIIe millénaire av. J.-C.
D'importantes cités-États Mayas des Basses-Terres du sud, telles que Copán, Tikal ou Palenque, connaissent leur niveau de développement le plus élevé à la période classique, entre le VIe et le IXe siècle de notre ère, avant d’être rapidement abandonnées entre la fin du VIIIe et du IXe siècle.
D'autres cités subsistent ou se développent alors dans les Basses-Terres du nord ainsi que dans les Hautes-Terres du sud, avant d'entrer en décadence puis d'être quasiment toutes abandonnées ou refondées par les Espagnols peu après la conquête de l'Amérique au XVIe siècle.
Les spécificités culturelles Mayas ont alors été profondément modifiées par la colonisation Espagnole, aboutissant à la culture Maya moderne caractérisée par un fort syncrétisme (religieux, notamment).

Les premiers explorateurs à approcher les vestiges de la civilisation maya au XIXe siècle ont contribué à lui forger une image romantique mais bien différente de la réalité : « Qui n’a pas entendu parler, par exemple, d’un ancien Empire maya, véritable âge d’or durant lequel un peuple laborieux et éminemment pacifique s'est adonné, dans le calme de ses cités protégées par la forêt dense, à la seule contemplation des astres ? ». De nos jours l’évolution des connaissances a permis de renverser cette vision simpliste et sans nuance. Car si les anciens Mayas sont bâtisseurs, artistes et savants, ils n’en sont pas moins résolument guerriers. Du fait de leur organisation politique en cités rivales, la comparaison des Mayas classiques avec les cités Grecques de l’époque classique ou avec les cités Italiennes de la Renaissance peut être fondée.

L’aire culturelle Maya antique doit être distinguée de la zone de peuplement Maya actuelle. Elle se définit comme étant le territoire couvert par les anciennes cités Mayas, soit une surface globale d’environ 340 000 km² (approximativement la superficie de l’Allemagne).
Elle comprend :
  • le sud-est du Mexique (États du Tabasco, Chiapas, Campêche, Yucatan et Quintana Roo)
  • le Belize
  • le Guatemala
  • l’extrémité ouest du Honduras
  • l’extrémité ouest du Salvador
On la divise traditionnellement en 3 grandes régions, selon des critères climatiques et géologiques :
  • la côte Pacifique
  • les Hautes-Terres
  • les Basses-Terres (du nord et du sud)

Ces zones écologiques correspondent grosso modo à des zones culturelles. Jusqu'il y a peu on considérait que le centre de gravité de la culture Maya a suivi un déplacement géographique, du littoral Pacifique et Hautes-Terres du sud (Époque préclassique) vers les Basses-Terres du sud (Époque classique) puis les Basses-Terres du nord (Époque postclassique).
Il est néanmoins hâtif de céder à la tentation du déterminisme géographique car chacune de ces zones a participé à sa manière au développement de la civilisation Maya. Au sein même de ces régions le rythme d’évolution a pu être très différent d’une cité à l’autre. Les recherches archéologiques récentes ont révélé que les Basses-Terres méridionales ont connu un développement plus précoce qu'on ne le croyait il y a quelques dizaines d'années : Des centres vastes et importants s'y sont développés dès le Préclassique. Le littoral Pacifique est une longue bande d’une soixantaine de kilomètres de large qui s’étend de l’isthme de Tehuantepec à l’Ouest jusqu’au Salvador à l’Est. Coincée entre l’océan Pacifique et les montagnes de la Sierra Madre occidentale, cette plaine humide dispose des conditions idéales à l’établissement humain. Outre des facilités de communication, axe de passage et de migration, elle offre de nombreuses ressources naturelles telles qu’une terre fertile, un climat chaud et des pluies abondantes, du poisson, du sel et la possibilité de récolter le cacao (ressource qui jouera un rôle particulier dans toute la Mésoamérique).

La période classique qui s'étend de 200 à 900 est une période que nous connaissons de mieux en mieux grâce au déchiffrement de l'écriture maya, est marquée par de perpétuelles rivalités entre de nombreuses cités-États. Les Basses-Terres Mayas n'ont jamais été unifiées politiquement, et il n'y a jamais eu d'« empire maya », comme on l'imagine au milieu du XXe siècle. Chaque entité politique a à sa tête un souverain appelé k'uhul ajaw (« divin seigneur »), qui tire sa légitimité de ses ancêtres et occupe une fonction non seulement politique mais aussi religieuse. Il constitue une « interface » entre la communauté qu'il dirige et le monde surnaturel. Chaque entité politique est dotée d'un glyphe-emblème.

Vers le milieu du VIe siècle, Tikal est vaincue par Calakmul. On note alors un ralentissement des activités, qui se traduit par l’interruption de l’érection de monuments datés dans cette cité. Cet arrêt marque la fin du classique ancien.
La fin du VIIe siècle voit un retournement de situation : Calakmul, vaincue par Tikal, amorce un déclin. Un renouveau s’opère, organisé autour de cités-États qui rivalisent de prestige. La culture Maya des Basses-Terres du sud atteint son apogée : Il durera jusqu'au IXe siècle.

Des centres secondaires se livrent à d'incessants conflits. Une rivalité oppose par exemple Piedras Negras à Yaxchilan, tandis qu'un peu à l'écart des autres centres, Quirigua entre en conflit avec Copán
Dans les Basses-Terres du nord, au Yucatán, d'autres centres prennent le relais : Les cités Puuc d'Uxmal, Labná, Kabah, Sayil, etc... Leur épanouissement est bref : Elles sont également désertées au Xe siècle.

Tellement d'hypothèses ont été émises sur l'effondrement maya qu'en 1973 deux ouvrages ont été publiés, par Richard E. Adams (The Collapse of Maya Civilization : a Review of Previous Theories) et Jeremy A. Sabloff (Major themes in the past hypotheses of the Maya collapse), pour les répertorier et les classifier. À l'époque, presque toutes les hypothèses n'envisagent qu'une cause unique, de type interne ou externe. Les études récentes privilégient désormais des explications plus complexes basées sur l'interaction de plusieurs facteurs négatifs parmi ceux évoqués dans les études antérieures. À la suite des fouilles Franco-Guatémaltèques menées à Naachtun depuis 2009, il est envisagé qu'une modification durable de l'écosystème et les guerres à répétition aient provoqué la fin de l'ère classique.

Les études récentes privilégient dans leur grande majorité une accumulation de facteurs défavorables, qui ont entraîné des conflits sociaux internes et externes, jusqu'à la faillite et l'abandon du système socio-politique des cités-États. Ces modèles explicatifs complexes se fondent sur un des éléments déclencheurs, interne ou externe, évoqué dans les sections précédentes.

La société maya est divisée en classes : Nobles, religieux, militaires, artisans, commerçants, paysans (la majorité) et l’équivalent des serfs. Elle est dirigée par des chefs héréditaires, de filiation patrilinéaire, qui délèguent leur autorité sur les communautés villageoises à des chefs locaux. La terre, propriété de chaque village, est distribuée en parcelles aux différentes familles.
La structure sociale est complexe, elle est fondée sur une organisation familiale patrilinéaire, une division sexuelle du travail et une répartition par secteurs d'activité.
Les agriculteurs, c'est-à-dire la majeure partie de la population, se divisent en paysans, serviteurs et esclaves.
L'élite, de son côté, se repartit en guerriers, prêtres, administrateurs et dirigeants.
L'élite et le peuple ne forment pas des catégories antagonistes, car des liens de parenté ou d'alliance unissent dirigeants et serviteurs, chefs et paysans. Ainsi, les nouvelles découvertes montrent l'existence d'une classe fort importante de commerçants-guerriers, notamment à partir du Ve siècle...
Le clergé constitue également une classe nombreuse. Les prêtres (ah kin) se succèdent de père en fils et leur savoir ne se transmet qu'à l'intérieur de la famille. Cela est compréhensible puisque le savoir Maya est fort étendu : De l'écriture à la chronologie, des almanachs sacrés à la médecine, des cérémonies à la formation des jeunes prêtres. Parmi les prêtres se distingue le chilam, spécialement chargé de recevoir les messages des dieux et d'énoncer les prophéties.
Leur influence et la grande religiosité des Mayas expliquent les nombreux jeûnes très sévères pratiqués par le roi et la noblesse ainsi que les mortifications et automutilations puisque la religion Maya donne au sang une très grande valeur magique.
En bas de l'échelle se trouve le peuple. C'est à lui qu'incombe la tâche de fournir les aliments et les vêtements, la main d'œuvre pour les travaux publics. Ces ouvriers Mayas ne disposent que d'outils en pierre ou en bois, ils ne connaissent ni le métal, ni la traction animale, ni la roue. Le seul moyen de transport connu s'effectue à dos d'homme. Enfin, les esclaves constituent une classe à part. Les délinquants de droit commun sont condamnés à l'esclavage. Les prisonniers deviennent souvent des victimes sacrificielles.

Pour des raisons diverses, les archéologues ont longtemps négligé l'étude des modes de production et de distribution chez les anciens Mayas :
Les ressources sont variables selon l'environnement local, sensiblement différent dans les Hautes-terres, les Basses-terres du sud et du nord... Pour assurer leur subsistance, les Mayas pratiquent la chasse et la pêche, l'élevage et l'agriculture. L'élevage était limité à quelques espèces, dindon et chien. Pour pallier cette carence en protéines, les Mayas chassent une variété d'animaux, tels que le cerf, le pécari, le tapir, l'agouti, le paca ou encore deux espèces de singes, sans compter diverses espèces d'oiseaux.

Les Mayas tirent à l'origine le plus gros de leur subsistance d'une agriculture sur brûlis : On brûle les broussailles - la cendre constitue un excellent engrais - avant d'ensemencer au moyen d'un bâton pointu. La découverte de Cerén, un petit village Maya enseveli par une éruption volcanique au VIe siècle, a permis aux archéologues d'observer in situ comment les Mayas de l'Époque classique cultivent sur une même parcelle maïs, haricots et courges. Les grands arbres sont laissés en place et contribuent à la régénération de la parcelle. Après une ou plusieurs années, les éléments nutritifs contenus dans la cendre étant épuisés, il faut laisser la parcelle en jachère pendant une période qui varie selon la qualité du sol.

La forme la plus emblématique de l'architecture locale est la pyramide à degrés. Le peuple Maya a adopté l'architecture verticale pour se rapprocher de ses dieux.

les Mayas suivaient avec précision les évolutions d'objets célestes, plus particulièrement de la Lune et de Vénus. Beaucoup de temples sont orientés par rapport à ces astres.
Les temples ronds dédiés à la divinité Kukulkan sont souvent décrits comme les observatoires des Mayas, bien qu’il n’y ait pas d'indice qu’ils aient été utilisés à ce seul effet.

L’art Maya de la période classique (200-900) est considéré par beaucoup comme l'un des plus beaux et des plus fins de l'Amérique précolombienne. On a d'ailleurs souvent qualifié les Mayas de Grecs du Nouveau Monde, tant était grande leur maîtrise dans le domaine esthétique. Dans l'art de la fresque, les Mayas sont passés maîtres dès le IIIe siècle. Les bas-reliefs de Palenque et la statuaire de Copán sont particulièrement gracieux et dénotent un sens de l’observation du corps humain très précis. Malheureusement, le climat a dégradé ces représentations. En revanche, les peintures qui ornent les objets funéraires sont assez bien conservées. Ennemis les plus dangereux des archéologues : Les pilleurs de tombes. Certains trafiquants disposent de moyens considérables pour organiser des razzias systématiques.
Les Mayas utilisaient 800 signes individuels ou glyphes, disposés deux par deux en colonnes se lisant de gauche à droite et de haut en bas. Les glyphes mayas représentaient des mots ou des syllabes se combinant pour désigner n'importe quel concept. Les inscriptions hiéroglyphiques étaient soit gravées dans la pierre ou le bois sur des monuments et des œuvres architecturales, soit peints sur du papier, des murs de plâtre ou des objets en céramique. Le système n'était pas alphabétique
L’écriture maya est actuellement décodée à environ 80 %.

Si la religion Maya reste encore obscure, on sait néanmoins qu'elle considère le cosmos comme composé de 3 entités différentes : Le monde inférieur, la terre et le ciel.
Le panthéon Maya renferme un nombre incalculable de divinités. Cette prolifération s’explique en partie par le fait que chacune des divinités se présente sous des aspects multiples. Certaines ont plus d’un sexe, d’autres peuvent être à la fois jeunes et âgées. Chaque dieu représentant un corps céleste possède dans le monde souterrain un visage différent qui se révèle chaque soir à sa « mort ».
Les Mayas voyaient la Terre comme une forme plate et carrée. Chacun de ses quatre angles était situé à un point cardinal et était représenté par une couleur : le rouge à l’est, le blanc au nord, le noir à l’ouest et le jaune au sud. Le centre était vert. Pour les Mayas, la forme aplatie de la Terre représente le dos d’un crocodile géant reposant dans un bassin rempli de nénuphars. Dans le ciel, le pendant du crocodile est un serpent bicéphale, une notion sans doute attribuable au fait que le vocable Maya désignant le ciel ressemble au mot serpent.
Le linteau 24 de Yaxchilan montre un exemple de pratique rituelle de l’auto-sacrifice dans la civilisation Maya : Dame Xoc y est représentée en train de faire passer à travers sa langue une corde hérissée de lames d'obsidienne afin d'imbiber de son sang du papier dont l'incinération lui servira ensuite à invoquer le Serpent-vision. Pour les Mayas, le sacrifice sanglant est nécessaire à la survie tant des dieux que des humains, transportant l’énergie humaine vers le monde surnaturel des esprits et des dieux pour recevoir en retour un pouvoir surnaturel ou une faveur. Le sacrifice le plus couramment attesté est l'auto-sacrifice par saignée, notamment par auto-mutilation. Certains documents montrent des souverains utilisant un couteau d’obsidienne ou un aiguillon pour s’entailler le pénis, dont il laisse couler le sang sur du papier contenu dans un bol. D'autres montrent que les épouses des rois prennent aussi part à ce rite. On fait brûler le papier taché de sang, et la fumée qui s’en élève établit une communication directe avec le Monde des dieux.

Une des pratiques les plus anciennes est d'ériger des stèles pour commémorer ou marquer des événements historiques, auparavant on érige des stèles de façon irrégulière, puis on les érige selon une certaine périodicité, généralement à la fin de chaque katun, période cyclique de 20 ans. Ces dates ont pu être lues grâce à la clé que nous a donnée Diego de Landa. Les Mayas construisent leur calendrier à partir de la date légendaire de 3113 av. J.-C., et ils utilisent des unités de temps plus importantes telles que le baktun, période cyclique comprenant 20 katuns, (c'est-à-dire 400 années mayas, correspondant à 394 de nos années).
Mathématique
1839 un écrivain et voyageur américain John Lloyd Stephens, après avoir lu ces premiers récits d'expéditions vers des cités en ruine dans la jungle, visite Copán, Palenque, et d'autres sites en compagnie de l’architecte Anglais Frederick Catherwood. Les ouvrages à succès de Stephens, accompagnés des dessins de Catherwood, suscitent un vif intérêt de par le monde et déclenchent la redécouverte de cette civilisation précolombienne majeure. Avec des moyens archaïques, comparables à ceux qu'utilisent les Maya pour les édifier, les archéologues ouvrent des chantiers pour dégager les monuments de leur gangue végétale et reconstituer ceux qui sont trop dégradés.
De nos jours, une large part de la population rurale du Guatemala, du Yucatan et du Belize descend des Mayas et parle une des 28 langues mayas.

Ix Sak K'uk'' (« Dame Quetzal blanc »), aussi connue sous le nom de Zac Kuk, est un personnage-clé de la Cité-État Maya de B'aakal (Palenque), au cours d'une période obscure de son histoire au début du VIIe siècle.

On pense jadis qu'elle a régné en tant qu'ajaw entre 612 et 615 sous le nom de Muwaan Mat. En 1990, Linda Schele et David Freidel émettent l'hypothèse suivante :
Dans les inscriptions de K'inich Janaab' Pakal I, l'obscur souverain dont le règne précède le sien porte le même nom - à l'époque on l'avaient affublé du sobriquet de « Lady Beastie », connue actuellement sous le nom de Muwaan Mat - que celui d'une des divinités les plus importantes du panthéon de Palenque : La « génitrice » de la célèbre Triade de Palenque (les dieux GI, GII et GIII). Dans la mythologie, cette divinité assume le titre de k'uhul ajaw de Palenque en 2234 av. J.-C.. Les deux auteurs pensent que le règne historique de « Lady Beastie » alias Muwaan Mat, de 612 à 615, correspond à celui de Sak K'uk', la mère de Pakal. Celui-ci a imaginé cette correspondance pour légitimer son règne. Comme la royauté se transmettant de manière patrilinéaire et que Pakal ne tient une légitimité dynastique fragile que de sa mère, donner à Sak K'uk' le nom de règne de Muwaan Mat aurait donc été une manœuvre permettant à Pakal d'établir un parallèle prestigieux : Il tient le trône d'elle de la même manière que la Triade mythologique l'a tenu de leur mère.
Cette hypothèse, qui reçoit un large écho, est aujourd'hui largement abandonnée par les spécialistes : Il est apparu que la « génitrice » mythologique est une divinité masculine.
On ne sait que peu de choses de Sak K'uk'. Elle est l'épouse d'un certain K'an Mo' Hix, qui ne semble pas avoir occupé le trône.
Leur fils, K'inich Janaab' Pakal I, qui devient le plus grand roi de Palenque, monte sur le trône le 29 juillet 615 dans des circonstances inconnues. Sak K'uk' semble avoir continué à exercer une influence considérable à Palenque durant la première partie du règne de son fils. Elle meurt le 12 septembre 640. Elle est représentée sur la Tablette ovale du Palais, en compagnie de son fils, ainsi que sur le sarcophage de ce dernier dans le Temple des inscriptions
Cet article est au sujet de l'emplacement antique de Maya.

Palenque est près du Fleuve D'Usumacinta. C'est un emplacement moyen, beaucoup plus petit que des emplacements énormes tels que Tikal ou Copán, mais il contient une partie de l'architecture la plus fine, produite par les Mayas.

Civilisation maya — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_maya
Après des années de recherches le déchiffrement s'accélère et actuellement .... a jamais eu d'«empire maya», comme on l'imaginait au milieu du XXe siècle.

Zac-Kuk | Résultats sur Internet | cyclopaedia.net
www.cyclopaedia.fr/wiki/Zac-Kuk
Ix Sak K'uk'' (« Dame Quetzal blanc »), aussi connue sous le nom de Zac Kuk, est un personnage-clé de la .... www.kronobase.org/chronologie-annee-640.html.

Sak K'uk' - InfoRapid Portail de Connaissance
fr.inforapid.org/index.php?search=Sak%20K'uk'
Sak K'uk' · Bataille de Toul · Prédictions pour décembre 2012 · Niš ... alias Muwaan Mat, de 612 à 615, correspondait à celui de Sak K'uk', la mère de Pakal.

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