Cette
page concerne l'année 640 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LA
CONNAISSANCE DES MAYAS S'AFFINE !
La
civilisation Maya est une ancienne civilisation de Mésoamérique
principalement connue pour ses avancées dans les domaines de
l'écriture, de l'art, de l'architecture, de l'agriculture, des
mathématiques et de l'astronomie. C'est une des civilisations
précolombiennes les plus étudiées avec celles des Aztèques et des
Incas.
Elle
occupe à l'époque précolombienne les territoires correspondant
actuellement à une partie du sud du Mexique, du Belize, du
Guatemala, du Honduras et du Salvador. C'est une des plus anciennes
civilisations d'Amérique : Ses origines remontent à la
préhistoire. La sédentarisation de populations est attestée, dans
l'aire Maya, à l'époque archaïque, entre le VIIe et le
IIIe millénaire av. J.-C.
D'importantes
cités-États Mayas des Basses-Terres du sud, telles que Copán,
Tikal ou Palenque, connaissent leur niveau de développement le plus
élevé à la période classique, entre le VIe et le IXe siècle
de notre ère, avant d’être rapidement abandonnées entre la fin
du VIIIe et du IXe siècle.
D'autres
cités subsistent ou se développent alors dans les Basses-Terres du
nord ainsi que dans les Hautes-Terres du sud, avant d'entrer en
décadence puis d'être quasiment toutes abandonnées ou refondées
par les Espagnols peu après la conquête de l'Amérique au
XVIe siècle.
Les
spécificités culturelles Mayas ont alors été profondément
modifiées par la colonisation Espagnole, aboutissant à la culture
Maya moderne caractérisée par un fort syncrétisme (religieux,
notamment).
Les
premiers explorateurs à approcher les vestiges de la civilisation
maya au XIXe siècle ont contribué à lui forger une image
romantique mais bien différente de la réalité : « Qui
n’a pas entendu parler, par exemple, d’un ancien Empire maya,
véritable âge d’or durant lequel un peuple laborieux et
éminemment pacifique s'est adonné, dans le calme de ses cités
protégées par la forêt dense, à la seule contemplation des astres
? ». De nos jours l’évolution des connaissances a permis de
renverser cette vision simpliste et sans nuance. Car si les anciens
Mayas sont bâtisseurs, artistes et savants, ils n’en sont pas
moins résolument guerriers. Du fait de leur organisation politique
en cités rivales, la comparaison des Mayas classiques avec les cités
Grecques de l’époque classique ou avec les cités Italiennes de la
Renaissance peut être fondée.
L’aire
culturelle Maya antique doit être distinguée de la zone de
peuplement Maya actuelle. Elle se définit comme étant le territoire
couvert par les anciennes cités Mayas, soit une surface globale
d’environ 340 000 km² (approximativement la superficie de
l’Allemagne).
Elle
comprend :
- le sud-est du Mexique (États du Tabasco, Chiapas, Campêche, Yucatan et Quintana Roo)
- le Belize
- le Guatemala
- l’extrémité ouest du Honduras
- l’extrémité ouest du Salvador
On
la divise traditionnellement en 3 grandes régions, selon des
critères climatiques et géologiques :
- la côte Pacifique
- les Hautes-Terres
- les Basses-Terres (du nord et du sud)
Ces
zones écologiques correspondent grosso modo à des zones
culturelles. Jusqu'il y a peu on considérait que le centre de
gravité de la culture Maya a suivi un déplacement géographique, du
littoral Pacifique et Hautes-Terres du sud (Époque préclassique)
vers les Basses-Terres du sud (Époque classique) puis les
Basses-Terres du nord (Époque postclassique).
Il
est néanmoins hâtif de céder à la tentation du déterminisme
géographique car chacune de ces zones a participé à sa manière au
développement de la civilisation Maya. Au sein même de ces régions
le rythme d’évolution a pu être très différent d’une cité à
l’autre. Les recherches archéologiques récentes ont révélé que
les Basses-Terres méridionales ont connu un développement plus
précoce qu'on ne le croyait il y a quelques dizaines d'années :
Des centres vastes et importants s'y sont développés dès le
Préclassique. Le littoral Pacifique est une longue bande d’une
soixantaine de kilomètres de large qui s’étend de l’isthme de
Tehuantepec à l’Ouest jusqu’au Salvador à l’Est. Coincée
entre l’océan Pacifique et les montagnes de la Sierra Madre
occidentale, cette plaine humide dispose des conditions idéales à
l’établissement humain. Outre des facilités de communication, axe
de passage et de migration, elle offre de nombreuses ressources
naturelles telles qu’une terre fertile, un climat chaud et des
pluies abondantes, du poisson, du sel et la possibilité de récolter
le cacao (ressource qui jouera un rôle particulier dans toute la
Mésoamérique).
La
période classique qui s'étend de 200 à 900 est une période que
nous connaissons de mieux en mieux grâce au déchiffrement de
l'écriture maya, est marquée par de perpétuelles rivalités entre
de nombreuses cités-États. Les Basses-Terres Mayas n'ont jamais été
unifiées politiquement, et il n'y a jamais eu d'« empire
maya », comme on l'imagine au milieu du XXe siècle. Chaque
entité politique a à sa tête un souverain appelé k'uhul ajaw
(« divin seigneur »), qui tire sa légitimité de ses
ancêtres et occupe une fonction non seulement politique mais aussi
religieuse. Il constitue une « interface » entre la
communauté qu'il dirige et le monde surnaturel. Chaque entité
politique est dotée d'un glyphe-emblème.
Vers
le milieu du VIe siècle, Tikal est vaincue par Calakmul. On
note alors un ralentissement des activités, qui se traduit par
l’interruption de l’érection de monuments datés dans cette
cité. Cet arrêt marque la fin du classique ancien.
La
fin du VIIe siècle voit un retournement de situation :
Calakmul, vaincue par Tikal, amorce un déclin. Un renouveau s’opère,
organisé autour de cités-États qui rivalisent de prestige. La
culture Maya des Basses-Terres du sud atteint son apogée : Il
durera jusqu'au IXe siècle.
Des
centres secondaires se livrent à d'incessants conflits. Une rivalité
oppose par exemple Piedras Negras à Yaxchilan, tandis qu'un peu à
l'écart des autres centres, Quirigua entre en conflit avec Copán
Dans
les Basses-Terres du nord, au Yucatán, d'autres centres prennent le
relais : Les cités Puuc d'Uxmal, Labná, Kabah, Sayil, etc...
Leur épanouissement est bref : Elles sont également désertées
au Xe siècle.
Tellement
d'hypothèses ont été émises sur l'effondrement maya qu'en 1973
deux ouvrages ont été publiés, par Richard E. Adams (The Collapse
of Maya Civilization : a Review of Previous Theories) et Jeremy
A. Sabloff (Major themes in the past hypotheses of the Maya
collapse), pour les répertorier et les classifier. À l'époque,
presque toutes les hypothèses n'envisagent qu'une cause unique, de
type interne ou externe. Les études récentes privilégient
désormais des explications plus complexes basées sur l'interaction
de plusieurs facteurs négatifs parmi ceux évoqués dans les études
antérieures. À la suite des fouilles Franco-Guatémaltèques menées
à Naachtun depuis 2009, il est envisagé qu'une modification durable
de l'écosystème et les guerres à répétition aient provoqué la
fin de l'ère classique.
Les
études récentes privilégient dans leur grande majorité une
accumulation de facteurs défavorables, qui ont entraîné des
conflits sociaux internes et externes, jusqu'à la faillite et
l'abandon du système socio-politique des cités-États. Ces modèles
explicatifs complexes se fondent sur un des éléments déclencheurs,
interne ou externe, évoqué dans les sections précédentes.
La
société maya est divisée en classes : Nobles, religieux,
militaires, artisans, commerçants, paysans (la majorité) et
l’équivalent des serfs. Elle est dirigée par des chefs
héréditaires, de filiation patrilinéaire, qui délèguent leur
autorité sur les communautés villageoises à des chefs locaux. La
terre, propriété de chaque village, est distribuée en parcelles
aux différentes familles.
La
structure sociale est complexe, elle est fondée sur une organisation
familiale patrilinéaire, une division sexuelle du travail et une
répartition par secteurs d'activité.
Les
agriculteurs, c'est-à-dire la majeure partie de la population, se
divisent en paysans, serviteurs et esclaves.
L'élite,
de son côté, se repartit en guerriers, prêtres, administrateurs et
dirigeants.
L'élite
et le peuple ne forment pas des catégories antagonistes, car des
liens de parenté ou d'alliance unissent dirigeants et serviteurs,
chefs et paysans. Ainsi, les nouvelles découvertes montrent
l'existence d'une classe fort importante de commerçants-guerriers,
notamment à partir du Ve siècle...
Le
clergé constitue également une classe nombreuse. Les prêtres (ah
kin) se succèdent de père en fils et leur savoir ne se transmet
qu'à l'intérieur de la famille. Cela est compréhensible puisque le
savoir Maya est fort étendu : De l'écriture à la chronologie,
des almanachs sacrés à la médecine, des cérémonies à la
formation des jeunes prêtres. Parmi les prêtres se distingue le
chilam, spécialement chargé de recevoir les messages des dieux et
d'énoncer les prophéties.
Leur
influence et la grande religiosité des Mayas expliquent les nombreux
jeûnes très sévères pratiqués par le roi et la noblesse ainsi
que les mortifications et automutilations puisque la religion Maya
donne au sang une très grande valeur magique.
En
bas de l'échelle se trouve le peuple. C'est à lui qu'incombe la
tâche de fournir les aliments et les vêtements, la main d'œuvre
pour les travaux publics. Ces ouvriers Mayas ne disposent que
d'outils en pierre ou en bois, ils ne connaissent ni le métal, ni la
traction animale, ni la roue. Le seul moyen de transport connu
s'effectue à dos d'homme. Enfin, les esclaves constituent une classe
à part. Les délinquants de droit commun sont condamnés à
l'esclavage. Les prisonniers deviennent souvent des victimes
sacrificielles.
Pour
des raisons diverses, les archéologues ont longtemps négligé
l'étude des modes de production et de distribution chez les anciens
Mayas :
Les
ressources sont variables selon l'environnement local, sensiblement
différent dans les Hautes-terres, les Basses-terres du sud et du
nord... Pour assurer leur subsistance, les Mayas pratiquent la chasse
et la pêche, l'élevage et l'agriculture. L'élevage était limité
à quelques espèces, dindon et chien. Pour pallier cette carence en
protéines, les Mayas chassent une variété d'animaux, tels que le
cerf, le pécari, le tapir, l'agouti, le paca ou encore deux espèces
de singes, sans compter diverses espèces d'oiseaux.
Les
Mayas tirent à l'origine le plus gros de leur subsistance d'une
agriculture sur brûlis : On brûle les broussailles - la cendre
constitue un excellent engrais - avant d'ensemencer au moyen d'un
bâton pointu. La découverte de Cerén, un petit village Maya
enseveli par une éruption volcanique au VIe siècle, a permis aux
archéologues d'observer in situ comment les Mayas de l'Époque
classique cultivent sur une même parcelle maïs, haricots et
courges. Les grands arbres sont laissés en place et contribuent à
la régénération de la parcelle. Après une ou plusieurs années,
les éléments nutritifs contenus dans la cendre étant épuisés, il
faut laisser la parcelle en jachère pendant une période qui varie
selon la qualité du sol.
La
forme la plus emblématique de l'architecture locale est la pyramide
à degrés. Le peuple Maya a adopté l'architecture verticale pour se
rapprocher de ses dieux.
les
Mayas suivaient avec précision les évolutions d'objets célestes,
plus particulièrement de la Lune et de Vénus. Beaucoup de temples
sont orientés par rapport à ces astres.
Les
temples ronds dédiés à la divinité Kukulkan sont souvent décrits
comme les observatoires des Mayas, bien qu’il n’y ait pas
d'indice qu’ils aient été utilisés à ce seul effet.
L’art
Maya de la période classique (200-900) est considéré par beaucoup
comme l'un des plus beaux et des plus fins de l'Amérique
précolombienne. On a d'ailleurs souvent qualifié les Mayas de Grecs
du Nouveau Monde, tant était grande leur maîtrise dans le domaine
esthétique. Dans l'art de la fresque, les Mayas sont passés maîtres
dès le IIIe siècle. Les bas-reliefs de Palenque et la
statuaire de Copán sont particulièrement gracieux et dénotent un
sens de l’observation du corps humain très précis.
Malheureusement, le climat a dégradé ces représentations. En
revanche, les peintures qui ornent les objets funéraires sont assez
bien conservées. Ennemis les plus dangereux des archéologues :
Les pilleurs de tombes. Certains trafiquants disposent de moyens
considérables pour organiser des razzias systématiques.
Les
Mayas utilisaient 800 signes individuels ou glyphes, disposés deux
par deux en colonnes se lisant de gauche à droite et de haut en bas.
Les glyphes mayas représentaient des mots ou des syllabes se
combinant pour désigner n'importe quel concept. Les inscriptions
hiéroglyphiques étaient soit gravées dans la pierre ou le bois sur
des monuments et des œuvres architecturales, soit peints sur du
papier, des murs de plâtre ou des objets en céramique. Le système
n'était pas alphabétique
Si
la religion Maya reste encore obscure, on sait néanmoins qu'elle
considère le cosmos comme composé de 3 entités différentes :
Le monde inférieur, la terre et le ciel.
Le
panthéon Maya renferme un nombre incalculable de divinités. Cette
prolifération s’explique en partie par le fait que chacune des
divinités se présente sous des aspects multiples. Certaines ont
plus d’un sexe, d’autres peuvent être à la fois jeunes et
âgées. Chaque dieu représentant un corps céleste possède dans le
monde souterrain un visage différent qui se révèle chaque soir à
sa « mort ».
Les
Mayas voyaient la Terre comme une forme plate et carrée. Chacun de
ses quatre angles était situé à un point cardinal et était
représenté par une couleur : le rouge à l’est, le blanc au
nord, le noir à l’ouest et le jaune au sud. Le centre était vert.
Pour les Mayas, la forme aplatie de la Terre représente le dos d’un
crocodile géant reposant dans un bassin rempli de nénuphars. Dans
le ciel, le pendant du crocodile est un serpent bicéphale, une
notion sans doute attribuable au fait que le vocable Maya désignant
le ciel ressemble au mot serpent.
Le
linteau 24 de Yaxchilan montre un exemple de pratique rituelle de
l’auto-sacrifice dans la civilisation Maya : Dame Xoc y est
représentée en train de faire passer à travers sa langue une corde
hérissée de lames d'obsidienne afin d'imbiber de son sang du papier
dont l'incinération lui servira ensuite à invoquer le
Serpent-vision. Pour les Mayas, le sacrifice sanglant est nécessaire
à la survie tant des dieux que des humains, transportant l’énergie
humaine vers le monde surnaturel des esprits et des dieux pour
recevoir en retour un pouvoir surnaturel ou une faveur. Le sacrifice
le plus couramment attesté est l'auto-sacrifice par saignée,
notamment par auto-mutilation. Certains documents montrent des
souverains utilisant un couteau d’obsidienne ou un aiguillon pour
s’entailler le pénis, dont il laisse couler le sang sur du papier
contenu dans un bol. D'autres montrent que les épouses des rois
prennent aussi part à ce rite. On fait brûler le papier taché de
sang, et la fumée qui s’en élève établit une communication
directe avec le Monde des dieux.
Une
des pratiques les plus anciennes est d'ériger des stèles pour
commémorer ou marquer des événements historiques, auparavant on
érige des stèles de façon irrégulière, puis on les érige selon
une certaine périodicité, généralement à la fin de chaque katun,
période cyclique de 20 ans. Ces dates ont pu être lues grâce à la
clé que nous a donnée Diego de Landa. Les Mayas construisent leur
calendrier à partir de la date légendaire de 3113 av. J.-C., et ils
utilisent des unités de temps plus importantes telles que le baktun,
période cyclique comprenant 20 katuns, (c'est-à-dire 400 années
mayas, correspondant à 394 de nos années).
1839
un écrivain et voyageur américain John Lloyd Stephens, après avoir
lu ces premiers récits d'expéditions vers des cités en ruine dans
la jungle, visite Copán, Palenque, et d'autres sites en compagnie de
l’architecte Anglais Frederick Catherwood. Les ouvrages à succès
de Stephens, accompagnés des dessins de Catherwood, suscitent un vif
intérêt de par le monde et déclenchent la redécouverte de cette
civilisation précolombienne majeure. Avec des moyens archaïques,
comparables à ceux qu'utilisent les Maya pour les édifier, les
archéologues ouvrent des chantiers pour dégager les monuments de
leur gangue végétale et reconstituer ceux qui sont trop dégradés.
De
nos jours, une large part de la population rurale du Guatemala, du
Yucatan et du Belize descend des Mayas et parle une des 28 langues
mayas.
Ix
Sak K'uk'' (« Dame Quetzal blanc »), aussi connue sous le
nom de Zac Kuk, est un personnage-clé de la Cité-État Maya de
B'aakal (Palenque), au cours d'une période obscure de son histoire
au début du VIIe siècle.
On
pense jadis qu'elle a régné en tant qu'ajaw entre 612 et 615 sous
le nom de Muwaan Mat. En 1990, Linda Schele et David Freidel émettent
l'hypothèse suivante :
Dans
les inscriptions de K'inich Janaab' Pakal I, l'obscur souverain dont
le règne précède le sien porte le même nom - à l'époque on
l'avaient affublé du sobriquet de « Lady Beastie »,
connue actuellement sous le nom de Muwaan Mat - que celui d'une des
divinités les plus importantes du panthéon de Palenque : La
« génitrice » de la célèbre Triade de Palenque (les
dieux GI, GII et GIII). Dans la mythologie, cette divinité assume le
titre de k'uhul ajaw de Palenque en 2234 av. J.-C.. Les deux auteurs
pensent que le règne historique de « Lady Beastie »
alias Muwaan Mat, de 612 à 615, correspond à celui de Sak K'uk', la
mère de Pakal. Celui-ci a imaginé cette correspondance pour
légitimer son règne. Comme la royauté se transmettant de manière
patrilinéaire et que Pakal ne tient une légitimité dynastique
fragile que de sa mère, donner à Sak K'uk' le nom de règne de
Muwaan Mat aurait donc été une manœuvre permettant à Pakal
d'établir un parallèle prestigieux : Il tient le trône d'elle
de la même manière que la Triade mythologique l'a tenu de leur
mère.
Cette
hypothèse, qui reçoit un large écho, est aujourd'hui largement
abandonnée par les spécialistes : Il est apparu que la
« génitrice » mythologique est une divinité masculine.
On
ne sait que peu de choses de Sak K'uk'. Elle est l'épouse d'un
certain K'an Mo' Hix, qui ne semble pas avoir occupé le trône.
Leur
fils, K'inich Janaab' Pakal I, qui devient le plus grand roi de
Palenque, monte sur le trône le 29 juillet 615 dans des
circonstances inconnues. Sak K'uk' semble avoir continué à exercer
une influence considérable à Palenque durant la première partie du
règne de son fils. Elle meurt le 12 septembre 640. Elle est
représentée sur la Tablette ovale du Palais, en compagnie de son
fils, ainsi que sur le sarcophage de ce dernier dans le Temple des
inscriptions
Cet
article est au sujet de l'emplacement antique de Maya.
Palenque
est près du Fleuve D'Usumacinta. C'est un emplacement moyen,
beaucoup plus petit que des emplacements énormes tels que Tikal ou
Copán, mais il contient une partie de l'architecture la plus fine,
produite par les Mayas.
Civilisation
maya — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_maya
Après
des années de recherches le déchiffrement s'accélère et
actuellement .... a jamais eu d'«empire maya», comme on l'imaginait
au milieu du XXe siècle.
Zac-Kuk
| Résultats sur Internet | cyclopaedia.net
www.cyclopaedia.fr/wiki/Zac-Kuk
Ix
Sak K'uk'' (« Dame Quetzal blanc »), aussi connue sous le nom de
Zac Kuk, est un personnage-clé de la ....
www.kronobase.org/chronologie-annee-640.html.
Sak
K'uk' - InfoRapid Portail de Connaissance
fr.inforapid.org/index.php?search=Sak%20K'uk'
Sak
K'uk' · Bataille de Toul · Prédictions pour décembre 2012 · Niš
... alias Muwaan Mat, de 612 à 615, correspondait à celui de Sak
K'uk', la mère de Pakal.
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