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AOÛT 2015...
Cette
page concerne l'année 635 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
L’ANNIHILATION CULTURELLE DES PEUPLES NON MUSULMANS EST RELANCÉE.
- Mars : Début du siège de Damas.
- 4 septembre : Prise de Damas par les musulmans.
- Novembre : Prise d'Émèse par les musulmans.
Tabaqat
Fahil autrefois appelée Pella et Bérénice appelée aussi Tell
al-Hosn des cité de la Décapole. Pella est dans la province
Jordanienne d'Irbid à 25 km au ouest-sud-ouest de la capitale
provinciale Irbid et à 5 km à l'est du Jourdain. Le vaste site
de Pella se niche au pied des collines dans la vallée du Jourdain
près du village actuel de Tabarqat Fahil.
Il
comprend une terrasse de 400 m de long, les pentes du Tell
al-Hosn au Sud et entre les deux l'oued Jirm, rivière au débit
permanent.
L'été
peut y être très chaud mais le reste de l'année la température y
est agréable.
Pella
a été habitée sans interruption pendant sans doute 6 000 ans. On
trouve aux alentours des traces d’occupation humaine datant de
l’âge de pierre. À bien des points de vue, Pella réunit les
différents facteurs permettant une occupation humaine : Le
climat, les communications, la présence de terres arables de l’eau
en permanence, des forêts proches qui peuvent fournir du gibier.
Des
fouilles récentes ont révélé des poteries datant de l’âge du
bronze au sommet du Tell al-Hosn. Ces découvertes suggèrent qu’à
l’âge du bronze ancien la ville comprend déjà un habitat
permanent avec peut-être une fonction défensive ou d’enceinte
fermée.
Au
bronze moyen et au bronze tardif (2 000 à 1 200 av. J.-C.),
Pella est une ville entourée de murs qui est restée ainsi pendant
près de 1 500 ans. Datant de la même époque, on retrouve des
sépultures creusées dans le rocher.
La
coupe profonde de la terrasse principale a révélé la présence de
murailles de pierres et de briques de terre séchée ayant jusqu’à
5 mètres d’épaisseur. Les murs de briques, du « bronze
moyen » sont encore visibles dans la partie accessible de la
terrasse.
Vers
78 av. J.-C., Pella est détruite par le roi Hasmonéen
Alexandre Jannée parce que les habitants refusent d'adopter les
coutumes nationales des Juifs.
Après
la conquête de la Syrie par Pompée la région devient une province
Romaine.
Pella
et les autres villes de la Décapole sont restaurées.
En
635, les forces musulmanes battent l'armée Byzantine à la bataille
de Fihl près de Pella
Deux
tremblements de terre en 717 et 749 provoquent des dommages
importants, mais une certaine occupation subsiste au cours des
périodes abbasside et mamelouk. En haut de la terrasse, un ensemble
de maisons byzantino-omeyyades à deux niveaux a été découvert
lors de fouilles. Leurs murs sont en briques crues sur fondations de
pierre. L'étage supérieur est réservé à l'habitation, et le
rez-de-chaussée aux animaux.
Des
squelettes d'hommes et d'animaux piégés lors du séisme de 749 ont
été découverts sur place. Un second ensemble de maisons de la même
origine a été fouillé comprenant une église... L'université de
Sydney (Australie) mène depuis 1978 une série de campagnes de
fouilles archéologiques en se concentrant sur la période du bronze
tardif et de l'âge de fer.
FOUILLES EN 2005 |
Homs
appelée Émèse dans l'Antiquité, est une ville et un centre
industriel et économique Syrien de haute importance, en raison de sa
situation géographique au centre du pays, alors que les frontières
de son district touchent le Liban et l'Irak. La ville compte
actuellement entre 900 000 et 1 000 000 d'habitants.
La ville est également un des épicentres de la Révolte Syrienne de
2011-2012. À partir de la conquête arabe, Homs (appelée alors
Hîms) est devenue l'une des capitales des provinces Syriennes
(al-Cham). Elle joue un rôle religieux considérable chez les
musulmans car l'un des célèbres commandants de la conquête
musulmane y est enterré (Khalid ibn al-Walid). La ville conserve son
importance tout au long de l'époque omeyyade et jusqu'à l'époque
abbasside...
L'islam
dans un contexte de relatif déclin des empires voisins (byzantin et
Empire perse se propage en Afrique du Nord (peuplée de longue date
par les Berbères) dans la péninsule Ibérique (dirigée alors par
les Wisigoths) elle s'implante également en Asie occidentale, elle
conquiert la Perse (Sassanides) et grignote peu à peu, puis fait
disparaître, l'Empire Byzantin. (quelle
gourmandise !)
La
culture arabo-musulmane, aux fondements religieux et urbains, l'usage
de l’arabe et du dinar dans les transactions commerciales, ainsi
que la référence à un code de valeurs commun, facilite les
échanges, comme le font les pèlerinages à La Mecque. (favorise
également la mise au pas des pays traversés qui y perdent leur
coutumes et leur identité sous la tyrannie des califes imams et
autres)
L'islam
conquérant est tout d'abord le fait d'un rassemblement de nombreuses
tribus arabes dans la péninsule arabique et le lien entre elles,
l'unité de la communauté, est au moins aussi fort que le lien
nouveau de l'islam. (Ce n'est pas tout a fait
exact car les divisions, les convoitises et les querelles sont
nombreuses Ils n'ont pas cherché à convertir les populations
conquises. ( a bon !) « Vous
êtes la communauté la meilleure qui ait surgi parmi les hommes,
vous commandez le bien, vous interdisez le mal, vous croyez en Dieu »
(Coran, III, 110)... (peut-être devrions
nous regarder avec plus d'attention le coran et ses versets
contradictoires !)Toutefois, leur mode d'administration
(par exemple : Mesures restrictives prises à l’égard des
dhimmî, réforme fiscale en faveur des mawâli) fait que nombreux
seront les nouveaux convertis à cette religion.
(le plus souvent par la force) Les non-Arabes convertis
qualifiés de mawâli doivent s'affilier à une tribu arabe par un
lien de dépendance morale (al wala). (intégrés
mais quand même sous surveillance)
Durant
le califat d'Abu Bakr, le premier calife, l'islam commence
immédiatement ses conquêtes territoriales hors de la péninsule
arabique (après avoir assuré l'ordre et l'union des tribus :
bataille d'Akraba) par des razzias en Mésopotamie au cœur de
l'empire Sassanide et en Syrie-Palestine (sauf Jerusalem et Césarée)
alors sous le règne de Byzance, en 633 et 634. « Déjà à
cette époque, les richesses affluent et un empire se
dessine ».(facile de se procurer des
richesses en les volant aux peuples terrorisés), Umar (ou
Omar) ibn al-Khattâb, Umar Ier, qui lui succède, est resté, dans
la tradition musulmane, un homme ardent, saint et sage qui s'entoure
de généraux compétents. (dans la rapine, le
vol, le viol et l'assassinat... Des braves gens en somme !)
La tradition en fait le premier à organiser une administration
rudimentaire des contrées conquises et à prendre des mesures
concernant la monnaie et les impôts. (À
prendre sur le dos des peuples « conquis ) Les
musulmans qui le suivent sont des bédouins, des marchands, des
artisans, des hommes d'affaires, des mystiques et des guerriers.
En
635, la ville de Damas est prise et les Perses sont défaits près de
l'Euphrate.
En
636, l'armée du Grec Héraclius composée d'Arméniens (qui se
révolteront) et de tribus arabes (qui refuseront de combattre)
(traîtres à leur chef) est battue à
Yarmouk le 20 août assurant la prise définitive de Damas.
En
637, les armées arabo-musulmanes sont en Mésopotamie et nomment
cette contrée Irak. Ils prennent Ctésiphon (capitale de l'empire
sassanide) et en Syrie Baalbek, Homs et Hama.
En
638, Jérusalem est prise, (les juifs doivent partir, pas les
chrétiens) (pour le moment).
Entre
639 et 642 le nord du Sinaï est pris. Les plaines du Khuzistan (Iran
actuel) sont annexées. C'est ensuite le tour de l'Égypte (Péluse,
Bilbays, Héliopolis, Babylone d'Égypte, le sud et Alexandrie.)
Ainsi que Césarée en Palestine (sud de Haïfa, après 7 mois de
siège), (et aujourd'hui ils viennent la bouche
en cœur vous raconter que cette terre est leur depuis toujours) le
sud Nubien, la Libye.
En
Irak, l'avance des armées continuent vers l'Arménie et le Caucase.
Mossoul et la capitale de l'Arménie, Dvin, sont prises en 642.
En
638, sur une décision du calife, Koufa (Irak) a été construite et
devient la capitale de l'empire.
Le
gouverneur arabe d'Égypte, Amr ibn al-As, organise des cantonnements
pour chaque contingent de tribu.
Des
mosquées et des résidences sont construites. Autour des
établissements militaires, la population, marchands et artisans se
rassemblent et découvrent la langue et la religion des féroces
conquérants.
MAISON D'ANANIE ÉGLISE SOUTERRAINE |
On
constate à la fois une grande liberté dans l'utilisation des
apports non musulmans sous toutes ses formes (sans affaiblir
l'enseignement coranique) et l'organisation concrète de la vie
sociale et politique. (juste le temps
d'endormir les malheureux conquis), Pendant un demi-siècle,
l'empire arabe est administré par des fonctionnaires ayant gardé
leur langue, écriture (grec, pahlavi ou « moyen perse »)
et leur religion.(il faut bien retenir pendant
un demi-siècle : 50 ans !)
L'empereur
Byzantin Héraclius tombe malade et est incapable de diriger ses
armées pour résister à la poussée arabe en Syrie et en Palestine
en 634. Dans une bataille disputée près d'Adjnadayn (en Syrie) au
cours de l'été 634 l'armée du califat rashidun remporte une
victoire décisive. Après leur victoire à Fahl, les forces
musulmanes prennent Damas la même année sous le commandement de
Khalid ibn al-Walid... La réaction Byzantine se manifeste par le
recrutement et l'envoi du maximum de soldats disponibles sous la
direction de commandements compétents, à l'instar de Théodore
Trithyrius et du général Arménien Vahan, pour expulser les
musulmans des territoires nouvellement occupés. Mais à la bataille
de Yarmouk, les musulmans, bien informés des détails du terrain,
s'appuient sur les profonds ravins et falaises pour former un piège
mortel, engageant alors les Byzantins dans une série de coûteux
assauts. L'exclamation d'adieu d'Héraclius (rapporté par
l'historien du IXe siècle Al-Baladhuri) lors de son départ
d'Antioche pour Constantinople, est représentative de sa déception :
« Paix à toi, Ô Syrie, et quel excellent pays es-tu pour
l'ennemi ! » .
Les
conséquences de la perte de la Syrie par les Byzantins sont
illustrées par les mots de Jean Zonaras : « […]
depuis lors [après la chute de la Syrie] la race des Ismaëlites ne
cesse d'envahir et de piller l'ensemble du territoire des Romains ».
SITE DE PELLA |
Les
petites troupes de pillards qui se sont avancées au début du
VIIe siècle en Basse Mésopotamie ont été aisément
repoussées mais ces succès ont aveuglé les Sassanides qui, engagés
dans la guerre contre Byzance ou dans les luttes pour le pouvoir qui
divisent la Cour de Ctésiphon, n'évaluent à aucun moment
l'importance des événements que connaît l'Arabie au moment où
Mohammed et ses fidèles s'emploient à réaliser son unité autour
d'une foi nouvelle...
« Une
horreur de plus. L'État islamique a décapité l'ancien directeur du
site archéologique de Palmyre, cet homme de 82 ans qui a rendu de
tels services à ce site et à l'Histoire, a été décapité…», a
déclaré le responsable, avant d'ajouter: « La présence
continue de ces criminels dans cette ville est une malédiction qui
pèse sur chaque colonne et chaque pièce archéologique de la
ville ». Khaled Assaad a été exécuté ce mardi, en public.
Un
compte d'activiste anti-Bachar el-Assad, rallié à l'état islamique
après la chute de Palmyre, a également publié sur les réseaux
sociaux une photo du corps attaché à un lampadaire. « Ce sont
vraiment des salopards absolus, réagit auprès du Figaro Jack Lang,
président de l'Institut du monde arabe et ancien ministre de la
Culture : « Nous sommes face à la lie de l'humanité, si
tant est que l'on puisse encore parler d'humanité ! »,
lance-t-il
Khaled
Assaad était détenu depuis un mois par les troupes djihadistes qui,
en mai dernier, se sont emparées de cette oasis au cœur du désert
Syrien, classée depuis 1980 au patrimoine mondial de l'Unesco.
Maamoun Abdoulkarim a indiqué à l'AFP que le supplicié a été
interrogé avec son fils Walid, actuel directeur des Antiquités de
la ville, car les bourreaux cherchent à connaître la prétendue
cachette d'une réserve d'or... »
« L'universitaire
a, au cours de sa carrière a collaboré avec de nombreux chercheurs,
notamment Français, Américains et Suisses. Michel al-Maqdissi,
ancien directeur des Fouilles et Recherches archéologiques en Syrie,
est l'un des derniers scientifiques à l'avoir côtoyé. Interrogé
par Le Figaro, il salue la mémoire d'une grande personnalité,
d'« un sage » : « C'était un ami très proche,
j'ai travaillé avec lui pendant plus de trente ans. La nouvelle m'a
complètement bouleversé. J'ai commencé à regrouper mes souvenirs,
je voudrais écrire quelque chose mais je n'en ai pas encore le
courage. »
Lorsque
Palmyre est tombée aux mains du groupe « état islamique »,
en mai dernier, Khaled Assaad, issu d'une importante tribu de la
région, avait refusé de quitter la ville : « Pour lui
c'était impossible, il aurait eu l'impression de trahir ses
ancêtres. Il était viscéralement attaché à Palmyre. Lorsque son
métier l'obligeait à voyager, il comptait chaque heure qui le
séparait du retour », relate Michel al-Maqdissi.
Pour
lui, l'exécution du vieil homme est une manière odieuse pour les
troupes de l'EI de ramener l'actualité sur elles : « Assaad
n'était pas du tout politisé, même si en tant que fonctionnaire il
a dû côtoyer le régime. Seulement, après les vidéos de pillage
diffusées il y a plusieurs semaines, l'EI avait besoin d'un nouveau
coup médiatique », déplore l'archéologue. « Cet homme
a très certainement été exécuté parce qu'il était un ancien
notable du régime, explique Romain Caillet, spécialiste des groupes
radicaux. Je m'étonne qu'ils ne l'aient pas fait plus tôt,
relève-t-il. Il est possible qu'ils aient d'abord tenté de négocier
un échange de prisonniers. » (il est
inutile d'essayer de leur trouver une quelconque excuse ce ne sont
que des incultes barbares assassins qu'il est urgent d'éliminer
comme tout nuisibles)
Quelques
heures avant l'arrivée des troupes de l'état islamique aux portes
de Palmyre en mai, le régime avait pu organiser l'évacuation, vers
Damas, des principaux chefs-d'œuvre conservés dans le musée de la
ville. Les islamistes n'ont pas hésité à démolir les statues qui
n'ont pu être déplacées, généralement des reproductions
contemporaines, mais considérées par les fanatiques comme des
figures d'idolâtrie. Le 27 juin, les combattants s'attaquaient à la
monumentale statue du Lion Al-Lat, l'un des symboles de la ville. Au
moins deux mausolées ont été dynamités. (Qu’attend-t-on
pour les dynamiter à leur tour)
LES FUMÉES AU-DESSUS DE PALMYRE |
« On
ne connaît pas la situation exacte, déplore Michel al-Maqdissi. De
nombreux bustes ont été volés. Ils servent de butin de guerre aux
combattants qui les revendent aux trafiquants d'antiquités. »
Certaines de ces pièces, facilement identifiables, sont arrivées en
Turquie et en Europe. (les mercantis qui se
livrent à un tel trafic doivent être arrêtés et ruinés)
L'ancien
responsable déplore également la passivité des États et de
l'Unesco: « Ils réagissent toujours trop tard. Rien n'est fait
en amont, ils ne peuvent que condamner les destructions. C'était le
même scénario en Afghanistan, en Irak et au Mali. Quant au régime
de Bachar el-Assad, il se moque complètement du patrimoine. Palmyre
a été livrée à Daech pour mieux défendre la « Syrie
utile », c'est-à-dire Homs, Damas et la zone côtière. »
Il
y a un mois, Palmyre et ses célèbres ruines antiques passaient aux
mains de Daesh. L’organisation terroriste s’était emparée
entièrement de la ville syrienne vieille de 2 000 ans. Chacun savait
que la destruction de la ville allait suivre. Ces sales individus
incultes et grossiers que sont les terroristes de Daesh poursuivent
donc, en toute impunité, la destruction de la culture. Il n’y a
que la leur qui vaut quelque chose, celle du viol, de la mort, et de
la rapine. La destruction de Palmyre a donc commencé…
La
destruction tant redoutée de Palmyre semble être en cours. Les
djihadistes de Daesh, qui ont pris le contrôle de cette ville
antique Syrienne il y a un mois, postent des photos le démontrant.
Les terroristes ont fait exploser le week-end dernier 2 mausolées
islamiques dont un vieux de 500 ans, après avoir ravagé de
nombreuses tombes de la ville. (les États dont
vous parlez ne sont pas capables de protéger les populations qu'ils
laissent se faire massacrer par les mêmes « sales individus »,
vous pensez bien que dans le concert du politiquement correct, de la
guéguerre contre la Russie et contre le pouvoir de la Syrie (même
si ce n'est pas le paradis) ils ne vont pas bouger !!!)
Civilisation
islamique — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Civilisation_islamique
Carte
des pays dont la communauté musulmane représente plus de 50 % de la
... En une centaine d'années, elle se diffuse à une importante
partie du bassin ... En 635, la ville de Damas est prise et les
Perses sont défaits près de l'Euphrate. En 636 ... En Irak,
l'avance des armées continuent vers l'Arménie et le Caucase
Guerres
arabo-byzantines — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerres_arabo-byzantines
Mouvements
des troupes arabes et byzantines avant la bataille de Yarmouk. ... Au
cours de l'été de la même année, les musulmans s'emparent de
Gaza, et, ...
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22/08/15
Philippe
Conrad, La conquête musulmane de l'Orient - Clio ...
https://www.clio.fr/.../la_conquete_musulmane_de_l_orient.asp
Il
suffit de quelques dizaines d'années pour que se constitue, après
la mort du ... est prise par Khalid en septembre 635 mais doit être
évacuée six mois plus tard. .... l'avance musulmane en direction de
l'Asie moyenne mais la conquête de la ...
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