13
MARS 2015...
Cette
page concerne l'année 797 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
DE
L'INFLUENCE CHINOISE SUR LA COUR JAPONAISE AU VIIIe SIÈCLE
Sakanoue
no Tamuramaro (坂上田村麻呂,
758 – 811) est un général et un shogun du début de l'époque
Heian au Japon. C'est le fils de Sakanoue no Karitamaro. Il est
également un descendant direct du prince Achi no Omi et des
empereurs Han de Chine.
Sakanoue
no Tamuramaro, le premier shogun qui a reçu ce titre en honneur de
ses victoires contre les Emishi.
Au
service de l'empereur Kammu, il commence sa carrière militaire en
tant que lieutenant d'Ōtomo no Otomaro.
En
794, l'empereur Kammu envoie des troupes dans la région d'Ezo, une
région au nord de Honshû (région barbare). La tâche que
l'empereur confie à Sakanoue no Tamuramaro est de pacifier et de
civiliser les peuples du nord-est du Honshu n'obéissant pas à la
Cour impériale.
Au
service de l'empereur Kammu, il commence sa carrière militaire en
tant que lieutenant d'Ōtomo no Otomaro, puis reçoit en 791 la
mission de conquérir les Emishi, un peuple aborigène du nord de
Honshū. En récompense de ses victoires, il reçoit en 797 le titre
de sei-i-taishōgun.
Des
découvertes récentes montrent qu'une migration des Emishi a eu lieu
du nord du Honshū vers Hokkaidō entre le VIIe et le VIIIe siècle,
et est peut-être le résultat direct de cette politique de conquête.
Cependant,
de nombreux Emishi restent dans la région de Tōhoku en tant que
sujets de l'empire, et établissent plus tard des domaines Fushu
indépendants.
Après
la mort de Kammu, Tamuramaro continue de servir sous les empereurs
Heizei et Saga en tant que daiganon et hyōbukyō (ministre de la
guerre).
Il
fait bâtir en 798 le Kiyomizu-dera, l'un des principaux temples de
Kyōto. En 803, Sakanoue no Tamuramaro, qui a fait construire le Fort
de Shiwa (Shiwa-jô, il ne s'agit pas encore d'un vrai château).
Après sa mort en 811, Tamuramaro est enterré dans le Shōgun-zuka,
juste à l'est de Kyōto.
Les
célèbres festivals et parades Tanabata de la préfecture d'Aomori
(également célébrés à Sendai dans la préfecture de Miyagi, qui
attirent chaque année 3 millions de personnes dans la préfecture,
sont tenus en mémoire de la conquête des territoires des natifs par
Sakanoue no Tamuramaro.
Ces
festivals sont appelés « festival Nebuta » dans la ville
d'Aomori et « festival Neputa » (ねぷた祭り,
Neputa matsuri) dans celle de Hirosaki. Jusqu'au milieu des années
1990, le prix gagné pour la meilleure flotte des parades s'appelle
le prix Tamuramaro. Cependant, il n'existe aucune preuve historique
qu'il soit allé plus loin au nord que la préfecture d'Iwate...
En
794 est achevée Heian, construite près de Heijo (Nara) et calquée
(comme cette cité, presque un siècle plus tôt) sur le modèle de
la Chang'an des monarques Chinois Tang... Heian (Kyoto) va rester la
capitale impériale jusqu'en 1868...
Sakanoue no Tamuramaro (758-811) est envoyé par la cour impériale pacifier le nord-est du Honshu (Shotoku) et repousser les populations aborigènes (Ainu). L'empereur Kammu crée alors pour lui, en 797, le titre appelé à un grand avenir de « général en chef contre les barbares » (sei i tai shogun, abrégé en shogun). Ses conquêtes sont parachevées par Bun'ya no Watamaro (763-821).
Au début du IXe siècle sont fondées deux nouvelles sectes, qui trouvent leur inspiration dans des écoles Chinoises ésotériques du Bouddhisme. Contrairement aux monastères de Nara, dont l'influence envahissante a conduit à un changement de capitale, celles-ci offrent des perspectives d'illumination spirituelle et de salut, accessibles à un plus grand nombre :
La
secte Tendai (d'après la secte Chinoise du Tiantai), créée par le
moine Saicho (767-822), fondateur du temple Enryaku-ji sur le mont
Hiei, au nord-est de Kyoto
La
secte Shingon (de la « Vraie Parole »), créée par le
moine Kukai (774-835), fondateur du temple Kongobu-ji, sur le mont
Koya, au Sud-Est de la capitale. Toutes deux vont dominer la vie
religieuse au Japon pour les 3 siècles à venir et sont à l'origine
de nombreux établissements religieux.
Les
moines créateurs des deux sectes ont pu partir étudier en Chine, en
faisant partie d'une des ambassades visitant les empereurs Tang. Mais
après 838, l'envoi de ces dernières est interrompu, et l'archipel
Nippon connaît une phase de repli sur lui-même.
Dans le courant du IXe siècle, la famille des Fujiwara s'approprie de plus en plus les rênes de l'État, au détriment de la dynastie régnante, bien que les Fujiwara descendent paradoxalement des Nakatomi, prêtres shintoïstes de la cour, qui ont contribué en 645 à renforcer la puissance impériale en éliminant le clan Soga probouddhiste...Toutefois, selon un schéma politique typiquement Japonais, qui doit se reproduire souvent dans l'histoire du pays, le clan alors dominant des Fujiwara préfère gouverner en coulisses... Sans porter atteinte au prestige moral et religieux attaché à la personne de l'empereur et, à plus forte raison, sans tenter de le supplanter. Même si, dans les faits, ce dernier n'occupe plus qu'un rôle purement honorifique.
Le moyen trouvé par les Fujiwara pour s'emparer du pouvoir consiste pour le chef du clan à marier ses filles à de jeunes empereurs, incités à abdiquer après avoir eu un héritier. Le grand-père Fujiwara devient alors « régent de minorité » (sessho) durant le jeune âge du nouvel empereur, puis « régent de majorité » (kampaku) du souverain devenu adulte.
Dans le courant du IXe siècle, la famille des Fujiwara s'approprie de plus en plus les rênes de l'État, au détriment de la dynastie régnante, bien que les Fujiwara descendent paradoxalement des Nakatomi, prêtres shintoïstes de la cour, qui ont contribué en 645 à renforcer la puissance impériale en éliminant le clan Soga probouddhiste...Toutefois, selon un schéma politique typiquement Japonais, qui doit se reproduire souvent dans l'histoire du pays, le clan alors dominant des Fujiwara préfère gouverner en coulisses... Sans porter atteinte au prestige moral et religieux attaché à la personne de l'empereur et, à plus forte raison, sans tenter de le supplanter. Même si, dans les faits, ce dernier n'occupe plus qu'un rôle purement honorifique.
Le moyen trouvé par les Fujiwara pour s'emparer du pouvoir consiste pour le chef du clan à marier ses filles à de jeunes empereurs, incités à abdiquer après avoir eu un héritier. Le grand-père Fujiwara devient alors « régent de minorité » (sessho) durant le jeune âge du nouvel empereur, puis « régent de majorité » (kampaku) du souverain devenu adulte.
En outre, les membres de la famille Fujiwara, qui croît de façon pléthorique avec le temps, accaparent les plus hautes charges de l'État. De plus, en se faisant attribuer de grands domaines fonciers défiscalisés dans tout l'archipel, ils deviennent plus riches que la lignée impériale elle-même.
Les Fujiwara atteignent le sommet de leur gloire avec Fujiwara no Michinaga (966-1028), beau-père de plusieurs empereurs et détenteur du pouvoir réel, qui donne le ton et lance les modes à la cour impériale de son temps. Celui-ci a inspiré à la dame Murasaki Shikibu le prince protagoniste de son célèbre roman, Le Dit du Genji.
Car, si des troubles et des famines agitent les provinces, voire la capitale, la cour y vit en vase clos. Plutôt qu'imiter strictement la Chine, elle commence à développer les caractéristiques d'une culture brillante typiquement Nippone. Au point que, pour les Japonais d'aujourd'hui, le période de Heian représente le temps fort de leur histoire nationale, souvent idéalisé par la suite.
Les
courtisans, caparaçonnés de nombreuses couches de riches vêtements,
y sont soumis à l'observance d'une stricte étiquette.
Les
hommes, lettrés, délaissent les armes pour s'adonner à la
calligraphie ou composer des vers en chinois.
Les
femmes rédigent journaux et romans, contribuant à la constitution
d'une littérature en langue japonaise, facilitée par l'invention
des deux syllabaires hiragana et katakana (caractères chinois
simplifiés).
Jusqu'à 1068, les Fujiwara restent maîtres du Japon. Mais leur suprématie commence à décliner avec l’avènement de Go Sanjo.
Cet
empereur présente la caractéristique, alors exceptionnelle, de
n'entretenir aucun lien familial avec ces derniers.
Go Sanjo s'applique à restaurer une autorité impériale indépendante de l'influence des Fujiwara. Il abdique bientôt volontairement (1072) et fait mine de se retirer dans un monastère. En fait, il se libère ainsi des tâches accaparantes liées à la fonction d'empereur et des intrigues de la cour, pour mieux exercer le pouvoir par l'entremise de son héritier monté sur le trône à sa place. Mais, Go Sanjo meurt trop rapidement (1073) pour réaliser toutes les réformes qu'il a en tête.
Néanmoins, son œuvre politique est reprise par son fils Shirakawa (règne : 1073-1086) et ses successeurs, qui institutionnalisent ce mode de gouvernement des empereurs retirés (insei).
Go Sanjo s'applique à restaurer une autorité impériale indépendante de l'influence des Fujiwara. Il abdique bientôt volontairement (1072) et fait mine de se retirer dans un monastère. En fait, il se libère ainsi des tâches accaparantes liées à la fonction d'empereur et des intrigues de la cour, pour mieux exercer le pouvoir par l'entremise de son héritier monté sur le trône à sa place. Mais, Go Sanjo meurt trop rapidement (1073) pour réaliser toutes les réformes qu'il a en tête.
Néanmoins, son œuvre politique est reprise par son fils Shirakawa (règne : 1073-1086) et ses successeurs, qui institutionnalisent ce mode de gouvernement des empereurs retirés (insei).
L'empereur
retiré, depuis son monastère (in), devient donc le régent de
parenté de l'empereur en titre par ligne masculine, et non par les
femmes comme dans le système instauré précédemment par les
Fujiwara. Outre le fait qu'il conserve la réalité du pouvoir, le
premier constitue, en parallèle, sa propre cour, une clientèle, et
cherche à restaurer les finances de la famille impériale dans le
but de contrecarrer les Fujiwara.
Significativement, l'une des mesures parmi les plus importantes prises par Go Sanjo a consisté à créer un bureau de contrôle des titres domaniaux, souvent illégaux.
Significativement, l'une des mesures parmi les plus importantes prises par Go Sanjo a consisté à créer un bureau de contrôle des titres domaniaux, souvent illégaux.
Afin
d'enrayer la réduction constante des domaines impériaux au profit
des grands manoirs (shoen) des familles aristocratiques, dont les
Fujiwara, et des monastères bouddhistes et shintoïstes.
La maison impériale n'en demeure pas moins divisée. Notamment quand, par le biais d'abdications successives, plusieurs empereurs retirés sont amenés à coexister en même temps. Des rivalités similaires existent au sein des Fujiwara, très nombreux, et les opposent aussi à d'autres grandes familles aristocratiques de la cour.
La maison impériale n'en demeure pas moins divisée. Notamment quand, par le biais d'abdications successives, plusieurs empereurs retirés sont amenés à coexister en même temps. Des rivalités similaires existent au sein des Fujiwara, très nombreux, et les opposent aussi à d'autres grandes familles aristocratiques de la cour.
Ce
qui explique que la capitale, Kyoto, où se concentrent tous ces
pouvoirs rivaux, connaisse de nombreux troubles. D'autant que, peu
sûre, elle est parfois menacée par les brigands.
En outre, les monastères, pour protéger leurs intérêts et s'imposer, contre d'autres monastères, voire contre l'empereur, se mêlent au jeu politique.
En outre, les monastères, pour protéger leurs intérêts et s'imposer, contre d'autres monastères, voire contre l'empereur, se mêlent au jeu politique.
Ils
entretiennent des troupes de moines-soldats, qui n'ont de bonze que
le nom, et recourent à toutes les armes à leur disposition, y
compris des palanquins porteurs de reliques sacrées, objets de la
dévotion populaire.
Ainsi,
les adeptes du temple Enryaku-ji du mont Hiei ou des monastères de
Nara viennent-ils faire des démonstrations de force dans la
capitale.
Face
à de telles situations, empereurs et familles aristocratiques de
courtisans raffinés, qui ne disposent pas de réelles forces armées
à leur service, ont de plus en plus recours, même s'ils les
méprisent, à des clans de guerriers venus de leurs domaines
provinciaux...
Ces guerriers (), appelés plus tard samouraï (au sens premier : serviteurs armés de la noblesse), constituent alors une nouvelle classe. Elle est issue, à l'origine, de cadets des grandes familles aristocratiques partis chercher fortune et se mêler aux notables locaux dans les provinces, parfois reculées, y menant une vie de pionnier.
Ces guerriers (), appelés plus tard samouraï (au sens premier : serviteurs armés de la noblesse), constituent alors une nouvelle classe. Elle est issue, à l'origine, de cadets des grandes familles aristocratiques partis chercher fortune et se mêler aux notables locaux dans les provinces, parfois reculées, y menant une vie de pionnier.
Même
s'ils conservent un souvenir idéalisé de la cour, ces guerriers
vont conquérir progressivement leur liberté d'action par rapport à
celle-ci en adoptant un mode de vie plus rustique centré sur le
métier des armes : équitation, tir à l'arc et escrime.
Dans
les régions excentrées par rapport à la capitale où ils sont
installés, ils instaurent une nouvelle société. Celle-ci tend à
s'approprier les terres et à les gouverner selon le régime de la
féodalité, avec la création de liens de vassaux à suzerain
organisés au sein de ligues de guerriers (bushidan), consolidées
par des mariages.
Ces
organisations sont destinées à combattre un seigneur concurrent,
des bandits, des pirates ou les incursions dans les marches d'Honshu.
Théoriquement dépendants des grandes familles aristocratiques comme
les Fujiwara, des clans guerriers comme les Taira (ou Heike) et les
Minamoto (ou Genji), qui descendent de branches cadettes de la lignée
impériale, sont de plus en plus autonomes de fait. Ils ne demandent
qu'à revenir à Kyoto se mêler des rivalités de la cour, voire à
appuyer l'un ou l'autre des empereurs retirés.
L'ascension
des guerriers (1156-1192).
Au gré d'allégeances fluctuantes, les Taira et les Minamoto servent donc les empereurs retirés ou les Fujiwara, combattant les moines-soldats ou les pirates de la Mer Intérieure. Mais des querelles de succession entre empereurs retirés au sein de la maison impériale et des oppositions au sein de la famille des Fujiwara vont aboutir à deux affrontements successifs dits troubles de « l'ère Hogen » (1156) et de « l'ère Heiji » (1160), auxquels participent ces clans guerriers.
Au gré d'allégeances fluctuantes, les Taira et les Minamoto servent donc les empereurs retirés ou les Fujiwara, combattant les moines-soldats ou les pirates de la Mer Intérieure. Mais des querelles de succession entre empereurs retirés au sein de la maison impériale et des oppositions au sein de la famille des Fujiwara vont aboutir à deux affrontements successifs dits troubles de « l'ère Hogen » (1156) et de « l'ère Heiji » (1160), auxquels participent ces clans guerriers.
Au terme de ces combats, les Taira, évinçant les Minamoto, se hissent brutalement à une position dominante dans la capitale, qu'ils vont occuper de 1160 à 1180. Leur chef Taira no Kiyomori (1118-1181), déjà le plus important des seigneurs des provinces, se fait attribuer les postes les plus honorifiques de la cour, et reprend à son compte la tactique matrimoniale des Fujiwara. Il devient ainsi le grand-père de l'enfant-empereur Antoku.
Préoccupé de fortifier son pouvoir neuf à Kyoto, en s'insinuant dans les rouages de l'État, Kiyomori tente aussi de développer le commerce avec la Chine des Song sur les côtes de la Mer Intérieure, qu'il contrôle. Mais il parvient moins bien à affermir son autorité sur les bouillants lignages de guerriers des provinces.
D'autant qu'après 1160, il commet l'erreur d'épargner un fils du chef défait des Minamoto, Minamoto no Yoritomo (1147-1199), confié à un vassal des Taira, Hojo Tokimasa. Parmi ses autres frères survivants, son demi-frère Minamoto no Yoshitsune (1159-1189), est élevé dans un temple près de Kyoto, contraint à devenir moine.
Parvenu en âge de combattre, Yoritomo saisit le prétexte d'un différend entre la maison impériale et les Taira pour se rebeller et se venger. Après avoir retourné ses gardiens, les Hojo de la péninsule d'Izu, il s'installe à Kamakura, dans le Kanto (maintenant région de Tokyo), fief où ont été confinés après 1160 les partisans des Minamoto. Pour la première fois, cette province de l'est du Honshu commence à jouer un rôle central dans l'archipel...
De 1180 à 1185, une guerre oppose les Taira et les Minamoto, durant laquelle Yoritomo se montre un fin politique agissant en retrait.
Depuis
Kamakura, il rallie à sa personne une coalition d'opposants aux
Taira et, au fur et à mesure des armées, gagne le soutien des
seigneurs à la tête des ligues locales de guerriers.
Il
s'emploie également à assurer la richesse de son clan en favorisant
le commerce du port de Kamakura avec la Chine.
En 1181-1182, la sécheresse provoque une famine qui touche plus durement les régions de l'Ouest, et donc davantage les soldats des Taira qui y cantonnent. L'année suivante, ceux-ci évacuent Kyoto prise par un parent et rival de Yoritomo, Kiso Yoshinaka (1154-1184). Mais ce dernier est battu par Yoshitsune qui se montre, sur le terrain, un brillant général et tacticien œuvrant pour son demi-frère resté à Kamakura. Yoshitsune défait aussi à Ichi no Tani (1184).
En 1181-1182, la sécheresse provoque une famine qui touche plus durement les régions de l'Ouest, et donc davantage les soldats des Taira qui y cantonnent. L'année suivante, ceux-ci évacuent Kyoto prise par un parent et rival de Yoritomo, Kiso Yoshinaka (1154-1184). Mais ce dernier est battu par Yoshitsune qui se montre, sur le terrain, un brillant général et tacticien œuvrant pour son demi-frère resté à Kamakura. Yoshitsune défait aussi à Ichi no Tani (1184).
Pendant
les siècles suivant, les chansons de geste, la littérature
(notamment le Dit des Heike) et le théâtre Japonais, vont
s'inspirer des combats épiques entre les Taïra et les Minamoto. Une
place particulière y sera faite au preux Yoshitsune, archétype du
paladin du Japon médiéval, sorte d'équivalent du Roland de
Roncevaux occidental...
Sakanoue
no Tamuramaro — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Sakanoue_no_Tamuramaro
Sakanoue
no Tamuramaro (坂上田村麻呂,
758 – 811) était un général et un shogun ... En récompense de
ses victoires, il reçoit en 797 le titre de sei-i-taishōgun. ...
qui attirent chaque année trois millions de personnes dans la
préfecture, sont ...
Sakanoue
no Tamuramaro - taigong788 - Skyrock.com
taigong788.skyrock.com/3034372877-Sakanoue-no-Tamuramaro.html
29
sept. 2011 - Sakanoue no Tamuramaro (758–811) était un général
et un shogun du début de l'époque Heian. ... En 797, l'empereur
Kammu y envoie des samouraïs. ... attirent chaque année trois
millions de personnes dans la préfecture ...
La
période de Heian
www.takedaryu-carcassonne.chez-alice.fr/heian.htm
SAKANOUE
no Tamuramaro (758-811) est SAKANOUE no Tamuramaro ... L'empereur
KAMMU crée alors pour lui, en 797, le titre appelé à un grand
avenir de .... L'année suivante, ceux-ci évacuent Kyoto prise par
un parent et rival de ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire