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MARS 2015...
Cette
page concerne l'année 783 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
783,ANNÉE
DE DEUILS POUR CHARLEMAGNE.
Hidegarde
ou Hildegarde de Souabe ou de Vintzgau naît à Aachen en
Rhénanie-Westphalie en 757 ou 758, fille de Gérold Ier de Vintzgau
et d'Emma d'Alémanie, décédée le 30 avril 783 à Thionville, est
une noble Germanique issue d'une famille comtale Bavaroise, épouse
de Charlemagne à partir de 771, mère de son successeur, l'empereur
Louis le Pieux.
En
771, Didier de Lombardie marche vers Rome et pénètre dans la ville.
Étienne III implore alors Charlemagne. Désirée de Lombardie est
répudiée en 771 sous la pression du pape. Charlemagne fait ainsi
comprendre à Didier de Lombardie qu'il le condamne.
La
même année Charlemagne épouse à Aix-la-Chapelle Hildegarde de
Souabe.
Avec
l'Empereur, elle a neuf enfants dont Louis le Pieux, le futur
empereur d'Occident.
Gisèle
(morte en 814),
Charles
le Jeune (772-811), Roi d'Aquitaine,
Adélaïde
(773-774),
Rotrude
de France (775-810),
Carloman
ou Pépin Ier d'Italie (773 ou 777-8 juillet 810), Roi d'Italie, qui
épousera :
- Ingeltrude d'Autun,
- Berthe de Toulouse,
Lothaire
(16 avril 778-779),
Louis
Ier le Pieux ou le Débonnaire (16 avril 778-22 juin 840), Empereur
de Francie, qui épousera :
- en 793 Theudelinde de Sens,
- en 794 Ermengarde de Hesbaye,
- en 819 Judith de Bavière,
Berthe
(779-826).
Hildegarde
( 783 morte à la naissance).
LA REINE HILDEGARDE AU LUXEMBOURG |
À
l´âge de 13 ans, en 771, elle devient la seconde épouse de
Charlemagne après la répudiation de Desiderada, la fille du dernier
roi des Lombards. Elle accompagne son époux lors de ses campagnes.
Pendant l´expédition en Italie (773-774), elle est présente lors
du siège de Pavie où elle donne naissance à Adélaïde qui meurt
sur le chemin du retour dans le sud de la France.
À
Rome, elle offre au pape Adrien Ier une couverture pour l´autel de
l´église Saint-Pierre. De même, lors de la campagne en direction
de l´Espagne en 778, elle donne naissance à des jumeaux Louis et
Lothaire à Chasseneuil près de Poitiers.
Hildegarde
entretient de bonnes relations avec la future Sainte Lioba, qui vient
souvent la rencontrer à la cour. Elle fait de nombreuses donations
aux églises, en particulier aux abbayes de Reichenau et de Kempten.
À
cette dernière, elle offre en 774 les corps des Saints Gordianus et
Epimachus.
Elle
meurt à 26 ans après avoir mis son dernier enfant au monde et est
inhumée en l'église abbatiale Saint-Arnould de Metz qui devient la
nécropole de la famille de Charlemagne. Celui-ci se remarie 5 mois
après sa mort avec Fastrade de Franconie.
Charlemagne
n’avait pas longtemps tardé à remplacer Désidérade, fille de
Didier, roi des Lombards, il épouse donc Hildegarde, fille de Gérold
Ier de Vintzgau et d’Emma d’Alémanie, d’origine Allemande.
La
beauté de la nouvelle reine est déparée par une grosse voix,
qu’Eginhard et le moine de Saint-Gall signalent tous deux comme un
défaut elle n’en est pas moins la plus aimée des épouses de
Charlemagne, et celle dont le nom est resté le plus en honneur.
Peu
de temps au paravent Didier de Lombardie devient l’ennemi de
Charlemagne, lorsque ce roi accroît la difficulté de sa position en
offensant le pape. Ce n’est plus Étienne III qui règne, ce
pontife est mort en 772, Adrien Ier, de naissance illustre, a été
élu, Didier a contribué à son élection, mais il saisit
quelques-unes des terres de l’exarchat, puis, étant entré sur le
territoire de Rome avec les fils de Carloman, il veut obliger le pape
à couronner ces enfants rois d’Austrasie... Le pape demande la
restitution des villes, Didier veut le couronnement des enfants...
Dans cette perplexité, Adrien Ier s’adresse à Charles Ier, qui
saisit promptement l’occasion de pénétrer en Italie, pour arrêter
les prétentions de ses neveux, et conquérir la Lombardie.
Il
assemble une armée à Genève, passe les Alpes au Mont-Cenis, tandis
que Bernard, son oncle paternel, les traverse au Mont-Joux.
Les
troupes de Didier, au lieu de garder les passages, sont saisies d’une
terreur panique, abandonnent leur roi, et laissent la plaine ouverte
aux Francs (774). Didier est obligé de s’enfermer dans Pavie,
tandis qu’il envoie à Vérone son fils Adalgise, avec la veuve et
les enfants de Carloman.
Les
habitants de Spolette et de Rivelto ont déjà abandonné Didier pour
se donner au pape, à l’aspect de la mauvaise fortune du roi
Lombard, la défection devient générale... Toute la marche d’Ancône
se soumet à Charlemagne, qui traverse la Lombardie comme un
conquérant auquel rien ne résiste. Deux villes, seules, se sont
mises en état de défense, Pavie et Vérone.
On
entre en hiver. Charles Ier établit son camp devant Pavie, et, pour
montrer qu’il ne veut quitter l’Italie que quand il l'aura
soumise, il fait venir sa nouvelle épouse Hildegarde.
Ainsi,
dans Pavie, l’épouse répudiée et son père assiégé, et devant
Pavie, la nouvelle reine qu’un revers militaire de son époux
aurait perdue...
Mais
il est des heures d’agonie pour les peuples : Charlemagne
accomplit sa destinée, il fait tomber la nation Lombarde, affranchit
la Rome chrétienne, et trace de sa puissante épée la limite
territoriale qui assure le centre de l’unité catholique.
Didier,
cependant, n’est pas sans courage, quoiqu’il se voit presque
abandonné des siens, il ranime les espérances des habitants de
Pavie, et prolonge la défense du siège.
Charles
Ier a compté sur la famine pour forcer la ville à se rendre. Après
les fêtes de Noël, il juge convenable de quitter Pavie et d’aller
attaquer Vérone, qu’Adalgise renonce à défendre, ce jeune prince
fuit jusqu’à Constantinople, où il trouve refuge...
Les
habitants de Vérone se rendent, et livrent au vainqueur la veuve et
les fils de son frère. Un manuscrit de Saint-Pons de Nice porte que
Siagrius (connu sous le nom de saint Siacre), le plus jeune des
enfants de Carloman, est élevé à l’abbaye de Saint-Pons, s’y
fait religieux, et plus tard le pape Adrien Ier lui confère l’évêché
de Nice. C’est ce Siagrius qui transfère le siège épiscopal de
Cimiers à Nice. Voilà le seul indice que nous ayons sur la famille
de Carloman.
Charlemagne
revient de Vérone à son camp de Pavie, et de là va passer les
fêtes de Pâques à Rome, il faut lire dans Eginhard la réception
que lui fait le pape Adrien Ier, et la magnificence de son entrée :
Charles
Ier, dans tout l’éclat de la jeunesse et de la gloire, tous ses
traits portant l’empreinte de la douceur et de la majesté, se voit
saluer aux acclamations de 30 000 personnes, accourues à sa
rencontre pour lui faire une escorte : A mille pas de la ville,
les jeunes garçons, instruits dans les arts ou les métiers, chaque
école ayant sa bannière, tous portant des branches d’olivier, et
chantant les louanges du roi, le reçoivent pour l’accompagner au
Vatican.
Charles
Ier, à leur approche, met pied à terre : Monte les degrés du
Vatican, en baisant chaque marche avec respect.
Adrien
Ier est venu l’y recevoir entouré d’un nombreux cortège
d’évêques le pape et le roi s’embrassent. Charles visite
ensuite le tombeau des apôtres, et le pontife et le roi jurent
mutuellement, sur le corps de Saint Pierre, de ne rien entreprendre
sur les droits de l’un ou de l’autre : Noble amitié que
celle qui les unit ! Il subsiste une médaille, restée comme un
monument de cette alliance entre deux grands hommes, et représentant
le pontife et le roi, la main sur l’Évangile, avec cette exergue :
Avec
toi comme avec Pierre. Avec toi comme avec la Gaule.
Le
lendemain, jour de Pâques, après le service, le pape donne au roi
un magnifique festin.
Le
troisième jour, il lui fait rendre grâce, par une harangue, de tous
les dons que ses prédécesseurs ont reçus de Pépin le Bref.
Le
quatrième jour, il célèbre l’office devant le roi, à
Saint-Paul.
Le
cinquième, il le prie de confirmer la donation de Pépin le Bref au
Saint-Siège.
Charles
Ier se fait lire les lettres à plusieurs reprises, les confirme, y
appose son sceau, puis les fait signer de tous les évêques, de tous
les comtes, de tous les abbés, et de tous les seigneurs présents,
en fait faire des copies, dépose l’une sur l’autel de Saint
Pierre, prend l’autre avec lui, puis, les fêtes passées, il
revient à Pavie.
On
cherche vainement dans le récit de cette réception le nom de la
reine Hildegarde, Eginhard ne nous dit pas si cette princesse
accompagne son époux dans ce voyage, ou si elle reste au camp devant
Pavie...
A
Pavie, on souffre tous les maux qui peuvent accabler une ville
assiégée, le peuple éclate en murmures, à la fin, les femmes,
réduites au désespoir, massacrent Hunald, investi du commandement.
L’infortuné roi renonce à l’espoir de soutenir le blocus plus
longtemps il sort de la ville, et se livre à Charlemagne avec sa
femme et ses enfants. Charles lui témoigne de la compassion, et
l’envoie à l’abbaye de Corbie. ils trouvent alors un asile dans
le silence des monastères il arrive que des âmes brisées se
retrempent dans la paix et le repos, et qu’à la fin elles trouvent
le calme si elles n’ont pas le bonheur...
Le
nom de Désidérade n’est pas prononcé à la prise de Pavie, on ne
sait pas quelle est la fin de cette princesse, qui n’a été unie à
Charlemagne que pour éprouver une humiliation plus profonde, et pour
voir ruiner son père et son pays, par l’homme qui a été son
époux... Un second voyage de Charlemagne à Rome, après la prise de
Pavie, resserre les liens de son amitié avec le pape Adrien Ier,
amitié qui dure autant que la vie, que rien n’altère, et dont il
reste des témoignages dans la correspondance de Charles Ier et
d’Adrien Ier. Charles veut être couronné roi des Lombards.
A
quelques lieues de Milan, à la chapelle de Monza, existe dans un
riche reliquaire la couronne de fer, œuvre de Théodelinde. C’est
un cercle de fer revêtu d’une lame d’or, dont Théodelinde a
couronnée son époux Agisulphe. On dit qu’elle l’a fait faire
avec un des clous ayant percé les mains et les pieds du Christ, et
que lui a donné le pape Grégoire.
Charlemagne
la met sur sa tête, l’archevêque oint son front de l’huile
sacrée, en répand sur les épaules qui portent le faix de l’état,
sur la poitrine, centre des affections, aux jointures des bras qui
soutiennent les armes, puis il ceint le roi d’une épée, lui met
les bracelets aux bras, l’anneau au doigt, et Charles Ier, couronné
roi d’Italie, repasse les monts, comblé de gloire...
C’est
à cette époque que, quittant les fermes royales, Charlemagne
établit sa résidence à Aix-la-Chapelle, et y tient sa cour.
L’été,
les soins de la guerre l’appellent au loin. 53 expéditions
militaires témoignent de sa prodigieuse activité.
L’hiver
le ramène dans l’enceinte paisible de son palais : Il y
reçoit les comtes, les ducs, les barons, chérit particulièrement
l’entretien des prélats et des savants, admet plusieurs d’entre
eux en son intimité, et se montre facile, tout en maintenant l’ordre
et en prescrivant l’amour du devoir. La reine préside avec lui ce
cercle, et il l’emmène souvent dans ses expéditions...
En
780, elle l’accompagne avec leurs enfants dans un voyage à Rome,
entrepris, dit Éginhard, « pour y prier et accomplir des
vœux ».
Tout
cet hiver, Charles Ier le passe avec la reine en Italie, il célèbre
la fête de Noël à Pavie, et celle de Pâques à Rome, où le
pontife Adrien Ier donne l’onction royale aux enfants du roi, à
Pépin le Bossu, comme roi de Lombardie, et à Louis, comme roi
d’Aquitaine. La famille royale vient ensuite à Milan, où l’évêque
Thomas tient sur les fonts sacrés Gisèle, née depuis peu affirme
Éginhard dans les années 780-781.
Quand
la rigueur de la saison ou la santé de la reine ne permet pas à
cette princesse d’accompagner le roi, elle vit dans la retraite,
occupée d’exercices pieux. Elle partage avec Charlemagne
l’administration des domaines et des fermes, dont elle surveille
les redevances, elle connaît le nombre des œufs de ses basses-cours
et la production de légumes de ses jardins.
Charlemagne
juge que la sage économie d’un roi ne doit pas craindre de
s’abaisser à ces détails, et que la reine, étant la mère de ses
sujets, leur doit l’exemple, les Capitulaires portent qu’on rend
compte également, au roi et à la reine.
Le
soin que Charlemagne sait mettre à l’administration de ses
revenus, l’empêche d’exiger autant du peuple, et lui permet de
faire des aumônes considérables.
Hildegarde
l’imite lorsque Charlemagne envoie des ambassadeurs au calife
Aroun-al-Raschid, dont il a reçu de magnifiques présents, la reine
leur donne, pour le soulagement des chrétiens d’Orient, ce qu’elle
a de plus précieux dans ses trésors, car, en ce temps où les
échanges de commerce et d’argent sont si peu communs, la richesse
des rois consiste, comme on le voit plus tard dans les palais de
l’Orient, en une quantité de trésors, de bijoux et d’étoffes
précieuses.
Hildegarde
fonde l’abbaye de Hempten Elle meurt en mettant son dernier enfant
au monde, inhumée en l'église abbatiale Saint Arnould à Metz.
Épuisée
par ses grossesses surtout par celle des jumeaux Louis et Lothaire
suite à laquelle elle a failli mourir durant l'accouchement,
la reine ne se remet pas de son dernier accouchement et décède
prématurément à Thionville le 26 avril 783 à l’âge de 26 ans.
Charlemagne pleurera sincèrement cette épouse ainsi que le peuple
car Hildegarde passe pour être une bonne reine.
L'énigme
de la Reine Gilette :
Une
statue médiévale est dans ce mur depuis si longtemps que les
Messins lui ont façonné une légende.
Charles
Lorrain, en effet, parle d’« une tombe d'abbesse de 1516,
vulgairement connue sous le nom de la Reine Gilette ».
La
sculpture représente une femme debout, vêtue d'une robe par dessus
laquelle est drapé un manteau, elle a le bras droit replié sur le
ventre et tient de la main gauche un livre fermé, les pieds
manquent, et la tête a éclaté...
Une
pierre tombale ? elle serait couchée comme un gisant.
Au
XVIIIe siècle, alors que la statue est encore entière, Dom Calmet
rapporte d’ailleurs qu’elle a « un coussin sous la tête
avec 4 houppes aux 4 coins ». Un petit toit à deux pans est sculpté
au dessus de la dame, il est lui-même surmonté de la date de
1516...
Cette
date est en contradiction avec ce que l'on sait des faits. Le mur, en
effet, est construit en 1514 avec des pierres que Jehan Bernhard a
récupérées, et cette date doit être tenue pour assurée puisque
le contrat existe toujours.
La
statue est sans doute placée là plus tard, à un moment où, pour
une raison qui nous échappe, elle devient elle-même une pierre que
l'on peut récupérer.
Dom
Cajot rapporte la légende attachée à cette effigie en 1760, ce qui
met hors de cause les troubles de la Révolution.
Robert, sans tenir compte de cette date de 1516, termine ainsi son article : « Parmi les débris de monuments vendus à Jehan Bernhard pour la reconstruction de son écluse, se trouve une assise venant de quelque église du moyen âge et représentant une femme (…) voisine, dans le mur de l'écluse, du cippe antique où figure un char. »
Ce
rapprochement a donné lieu à la légende d’une Reine Gillette
dont le char se serait renversé dans la Moselle sur le pont ou sur
la chaussée de Charpaigne. D’autant plus que, selon Dom Calmet, il
y a encore en son temps, aux pieds de la statue, une inscription en
caractères gothiques qui dit : « Muselle has reçu,
d'outre Seille a rendu ».
La
dame se serait noyée dans la Moselle et le courant aurait charrié
son corps jusqu'à Metz, où on l'aurait retrouvé dans la Seille.
Cette
Reine Gilette est inconnue par ailleurs. De façon quelque peu
confuse, Dom Calmet en arrive à l'identifier à la reine Hildegarde,
seconde épouse de Charlemagne, qui est inhumée à Metz dans
l'abbaye Saint-Arnould. Bien que la nécropole des Carolingiens,
cette abbaye a été démolie avec les faubourgs méridionaux lors du
siège de 1552 par Charles-Quint afin d'interdire tout point d'appui
à ses armées.
La
date de 1516 s'accorde bien avec le style de la statue, qui
appartient à la fin du Moyen Âge ou au début de la Renaissance. Ce
ne serait donc pas l'effigie d'une princesse Carolingienne... Si bien
que la Reine Gilette garde tout son mystère, et sans doute pour
longtemps encore !
C’est
en effet cette année-là que Berthe (née en 779) et Gisèle (née
en 781) sont mortes, Elles ont été élevé dans l’étude des
lettres, ce qui n’empêche pas qu’elles ne soient accoutumées de
bonne heure à monter à cheval, pour suivre les chasses royales
auxquelles elles prennent part, et pour voyager dans leurs nobles
métairies elles sont également habiles aux ouvrages de femme, car
Charlemagne veut que la toile de ses vêtements soit filée par ses
filles. On peut dire que l’affection qu’il a pour elles va même
trop loin, puisqu’elle ne lui permet pas de s’en séparer, et
l’empêche de leur chercher des alliances convenables, en sorte que
son indulgence encourage la légèreté de leur conduite, lorsqu’en
demeurant à la cour, elles se voient entourées de toutes les
séductions.
Et
encore pendant cette année :
La
reine douairière Berthe au Grand Pied disparaît. A la mort de Pépin
le Bref
Charles
et Carloman deviennent tous deux rois des Francs, le royaume étant
partagé entre eux, conformément à la coutume Franque.
Bertrade
ou Berthe s'efforce de garder une certaine influence sur eux. Elle
arrange notamment le mariage en 770 de Charles avec Désirée de
Lombardie, mais il la répudie dès 771. Elle tente également de
maintenir l'entente entre les deux frères.
LA COURONNE DE FER DES ROIS LOMBARD |
Hildegarde
de Vintzgau — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Hildegarde_de_Vintzgau
Hildegarde
de Vintzgau (758 - † 30 avril 783 à Thionville), est une noble
germanique issue d'une famille comtale bavaroise, épouse de
Charlemagne à partir de ...
Termes
manquants : année
Reines,
Impératrices - La France pittoresque
www.france-pittoresque.com/spip.php?rubrique706
9
janv. 2013 - Hildegarde (née vers 757, morte en avril 783) ... il
venait d'épouser Hildegarde, fille de Gérold Ier de Vintzgau et
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épousa Suzanne-Rozala de Provence en 988, ...
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Epiais-Rhus
histoire - école d'Epiais-Rhus
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770
est une année difficile pour Charlemagne qui doit affronter la
révolte des Aquitains sans ... En 772, Charlemagne épouse
Hildegarde de Vintzgau, qui au contraire lui ... en octobre 783 à
Worms, suite au décès d'Hildegarde de Vintzgau.
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