samedi 28 mars 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 783

27 MARS 2015...

Cette page concerne l'année 783 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

783,ANNÉE DE DEUILS POUR CHARLEMAGNE.

Hidegarde ou Hildegarde de Souabe ou de Vintzgau naît à Aachen en Rhénanie-Westphalie en 757 ou 758, fille de Gérold Ier de Vintzgau et d'Emma d'Alémanie, décédée le 30 avril 783 à Thionville, est une noble Germanique issue d'une famille comtale Bavaroise, épouse de Charlemagne à partir de 771, mère de son successeur, l'empereur Louis le Pieux.

En 771, Didier de Lombardie marche vers Rome et pénètre dans la ville. Étienne III implore alors Charlemagne. Désirée de Lombardie est répudiée en 771 sous la pression du pape. Charlemagne fait ainsi comprendre à Didier de Lombardie qu'il le condamne.

La même année Charlemagne épouse à Aix-la-Chapelle Hildegarde de Souabe.
Avec l'Empereur, elle a neuf enfants dont Louis le Pieux, le futur empereur d'Occident.
Gisèle (morte en 814),
Charles le Jeune (772-811), Roi d'Aquitaine,
Adélaïde (773-774),
Rotrude de France (775-810),
Carloman ou Pépin Ier d'Italie (773 ou 777-8 juillet 810), Roi d'Italie, qui épousera :
    • Ingeltrude d'Autun,
    • Berthe de Toulouse,
Lothaire (16 avril 778-779),
Louis Ier le Pieux ou le Débonnaire (16 avril 778-22 juin 840), Empereur de Francie, qui épousera :
    • en 793 Theudelinde de Sens,
    • en 794 Ermengarde de Hesbaye,
    • en 819 Judith de Bavière,
Berthe (779-826).
Hildegarde ( 783 morte à la naissance).

LA REINE HILDEGARDE  AU LUXEMBOURG
Le frère de la reine Gérold, après s´être illustré à la guerre, devient praefectus de Bavière.
À l´âge de 13 ans, en 771, elle devient la seconde épouse de Charlemagne après la répudiation de Desiderada, la fille du dernier roi des Lombards. Elle accompagne son époux lors de ses campagnes. Pendant l´expédition en Italie (773-774), elle est présente lors du siège de Pavie où elle donne naissance à Adélaïde qui meurt sur le chemin du retour dans le sud de la France.

À Rome, elle offre au pape Adrien Ier une couverture pour l´autel de l´église Saint-Pierre. De même, lors de la campagne en direction de l´Espagne en 778, elle donne naissance à des jumeaux Louis et Lothaire à Chasseneuil près de Poitiers.
Hildegarde entretient de bonnes relations avec la future Sainte Lioba, qui vient souvent la rencontrer à la cour. Elle fait de nombreuses donations aux églises, en particulier aux abbayes de Reichenau et de Kempten.

À cette dernière, elle offre en 774 les corps des Saints Gordianus et Epimachus.

Elle meurt à 26 ans après avoir mis son dernier enfant au monde et est inhumée en l'église abbatiale Saint-Arnould de Metz qui devient la nécropole de la famille de Charlemagne. Celui-ci se remarie 5 mois après sa mort avec Fastrade de Franconie.
Charlemagne n’avait pas longtemps tardé à remplacer Désidérade, fille de Didier, roi des Lombards, il épouse donc Hildegarde, fille de Gérold Ier de Vintzgau et d’Emma d’Alémanie, d’origine Allemande.
La beauté de la nouvelle reine est déparée par une grosse voix, qu’Eginhard et le moine de Saint-Gall signalent tous deux comme un défaut elle n’en est pas moins la plus aimée des épouses de Charlemagne, et celle dont le nom est resté le plus en honneur.

Peu de temps au paravent Didier de Lombardie devient l’ennemi de Charlemagne, lorsque ce roi accroît la difficulté de sa position en offensant le pape. Ce n’est plus Étienne III qui règne, ce pontife est mort en 772, Adrien Ier, de naissance illustre, a été élu, Didier a contribué à son élection, mais il saisit quelques-unes des terres de l’exarchat, puis, étant entré sur le territoire de Rome avec les fils de Carloman, il veut obliger le pape à couronner ces enfants rois d’Austrasie... Le pape demande la restitution des villes, Didier veut le couronnement des enfants... Dans cette perplexité, Adrien Ier s’adresse à Charles Ier, qui saisit promptement l’occasion de pénétrer en Italie, pour arrêter les prétentions de ses neveux, et conquérir la Lombardie.
Il assemble une armée à Genève, passe les Alpes au Mont-Cenis, tandis que Bernard, son oncle paternel, les traverse au Mont-Joux.

Les troupes de Didier, au lieu de garder les passages, sont saisies d’une terreur panique, abandonnent leur roi, et laissent la plaine ouverte aux Francs (774). Didier est obligé de s’enfermer dans Pavie, tandis qu’il envoie à Vérone son fils Adalgise, avec la veuve et les enfants de Carloman.

Les habitants de Spolette et de Rivelto ont déjà abandonné Didier pour se donner au pape, à l’aspect de la mauvaise fortune du roi Lombard, la défection devient générale... Toute la marche d’Ancône se soumet à Charlemagne, qui traverse la Lombardie comme un conquérant auquel rien ne résiste. Deux villes, seules, se sont mises en état de défense, Pavie et Vérone.

On entre en hiver. Charles Ier établit son camp devant Pavie, et, pour montrer qu’il ne veut quitter l’Italie que quand il l'aura soumise, il fait venir sa nouvelle épouse Hildegarde.
Ainsi, dans Pavie, l’épouse répudiée et son père assiégé, et devant Pavie, la nouvelle reine qu’un revers militaire de son époux aurait perdue...

Mais il est des heures d’agonie pour les peuples : Charlemagne accomplit sa destinée, il fait tomber la nation Lombarde, affranchit la Rome chrétienne, et trace de sa puissante épée la limite territoriale qui assure le centre de l’unité catholique.
Didier, cependant, n’est pas sans courage, quoiqu’il se voit presque abandonné des siens, il ranime les espérances des habitants de Pavie, et prolonge la défense du siège.
Charles Ier a compté sur la famine pour forcer la ville à se rendre. Après les fêtes de Noël, il juge convenable de quitter Pavie et d’aller attaquer Vérone, qu’Adalgise renonce à défendre, ce jeune prince fuit jusqu’à Constantinople, où il trouve refuge...

Les habitants de Vérone se rendent, et livrent au vainqueur la veuve et les fils de son frère. Un manuscrit de Saint-Pons de Nice porte que Siagrius (connu sous le nom de saint Siacre), le plus jeune des enfants de Carloman, est élevé à l’abbaye de Saint-Pons, s’y fait religieux, et plus tard le pape Adrien Ier lui confère l’évêché de Nice. C’est ce Siagrius qui transfère le siège épiscopal de Cimiers à Nice. Voilà le seul indice que nous ayons sur la famille de Carloman.

Charlemagne revient de Vérone à son camp de Pavie, et de là va passer les fêtes de Pâques à Rome, il faut lire dans Eginhard la réception que lui fait le pape Adrien Ier, et la magnificence de son entrée :
Charles Ier, dans tout l’éclat de la jeunesse et de la gloire, tous ses traits portant l’empreinte de la douceur et de la majesté, se voit saluer aux acclamations de 30 000 personnes, accourues à sa rencontre pour lui faire une escorte : A mille pas de la ville, les jeunes garçons, instruits dans les arts ou les métiers, chaque école ayant sa bannière, tous portant des branches d’olivier, et chantant les louanges du roi, le reçoivent pour l’accompagner au Vatican.

Charles Ier, à leur approche, met pied à terre : Monte les degrés du Vatican, en baisant chaque marche avec respect.
Adrien Ier est venu l’y recevoir entouré d’un nombreux cortège d’évêques le pape et le roi s’embrassent. Charles visite ensuite le tombeau des apôtres, et le pontife et le roi jurent mutuellement, sur le corps de Saint Pierre, de ne rien entreprendre sur les droits de l’un ou de l’autre : Noble amitié que celle qui les unit ! Il subsiste une médaille, restée comme un monument de cette alliance entre deux grands hommes, et représentant le pontife et le roi, la main sur l’Évangile, avec cette exergue :
Avec toi comme avec Pierre. Avec toi comme avec la Gaule.
Le lendemain, jour de Pâques, après le service, le pape donne au roi un magnifique festin.
Le troisième jour, il lui fait rendre grâce, par une harangue, de tous les dons que ses prédécesseurs ont reçus de Pépin le Bref.
Le quatrième jour, il célèbre l’office devant le roi, à Saint-Paul.
Le cinquième, il le prie de confirmer la donation de Pépin le Bref au Saint-Siège.

Charles Ier se fait lire les lettres à plusieurs reprises, les confirme, y appose son sceau, puis les fait signer de tous les évêques, de tous les comtes, de tous les abbés, et de tous les seigneurs présents, en fait faire des copies, dépose l’une sur l’autel de Saint Pierre, prend l’autre avec lui, puis, les fêtes passées, il revient à Pavie.
On cherche vainement dans le récit de cette réception le nom de la reine Hildegarde, Eginhard ne nous dit pas si cette princesse accompagne son époux dans ce voyage, ou si elle reste au camp devant Pavie...

A Pavie, on souffre tous les maux qui peuvent accabler une ville assiégée, le peuple éclate en murmures, à la fin, les femmes, réduites au désespoir, massacrent Hunald, investi du commandement. L’infortuné roi renonce à l’espoir de soutenir le blocus plus longtemps il sort de la ville, et se livre à Charlemagne avec sa femme et ses enfants. Charles lui témoigne de la compassion, et l’envoie à l’abbaye de Corbie. ils trouvent alors un asile dans le silence des monastères il arrive que des âmes brisées se retrempent dans la paix et le repos, et qu’à la fin elles trouvent le calme si elles n’ont pas le bonheur...

Le nom de Désidérade n’est pas prononcé à la prise de Pavie, on ne sait pas quelle est la fin de cette princesse, qui n’a été unie à Charlemagne que pour éprouver une humiliation plus profonde, et pour voir ruiner son père et son pays, par l’homme qui a été son époux... Un second voyage de Charlemagne à Rome, après la prise de Pavie, resserre les liens de son amitié avec le pape Adrien Ier, amitié qui dure autant que la vie, que rien n’altère, et dont il reste des témoignages dans la correspondance de Charles Ier et d’Adrien Ier. Charles veut être couronné roi des Lombards.

A quelques lieues de Milan, à la chapelle de Monza, existe dans un riche reliquaire la couronne de fer, œuvre de Théodelinde. C’est un cercle de fer revêtu d’une lame d’or, dont Théodelinde a couronnée son époux Agisulphe. On dit qu’elle l’a fait faire avec un des clous ayant percé les mains et les pieds du Christ, et que lui a donné le pape Grégoire.

Charlemagne la met sur sa tête, l’archevêque oint son front de l’huile sacrée, en répand sur les épaules qui portent le faix de l’état, sur la poitrine, centre des affections, aux jointures des bras qui soutiennent les armes, puis il ceint le roi d’une épée, lui met les bracelets aux bras, l’anneau au doigt, et Charles Ier, couronné roi d’Italie, repasse les monts, comblé de gloire...

C’est à cette époque que, quittant les fermes royales, Charlemagne établit sa résidence à Aix-la-Chapelle, et y tient sa cour.
L’été, les soins de la guerre l’appellent au loin. 53 expéditions militaires témoignent de sa prodigieuse activité.
L’hiver le ramène dans l’enceinte paisible de son palais : Il y reçoit les comtes, les ducs, les barons, chérit particulièrement l’entretien des prélats et des savants, admet plusieurs d’entre eux en son intimité, et se montre facile, tout en maintenant l’ordre et en prescrivant l’amour du devoir. La reine préside avec lui ce cercle, et il l’emmène souvent dans ses expéditions...

En 780, elle l’accompagne avec leurs enfants dans un voyage à Rome, entrepris, dit Éginhard, « pour y prier et accomplir des vœux ».
Tout cet hiver, Charles Ier le passe avec la reine en Italie, il célèbre la fête de Noël à Pavie, et celle de Pâques à Rome, où le pontife Adrien Ier donne l’onction royale aux enfants du roi, à Pépin le Bossu, comme roi de Lombardie, et à Louis, comme roi d’Aquitaine. La famille royale vient ensuite à Milan, où l’évêque Thomas tient sur les fonts sacrés Gisèle, née depuis peu affirme Éginhard dans les années 780-781.

Quand la rigueur de la saison ou la santé de la reine ne permet pas à cette princesse d’accompagner le roi, elle vit dans la retraite, occupée d’exercices pieux. Elle partage avec Charlemagne l’administration des domaines et des fermes, dont elle surveille les redevances, elle connaît le nombre des œufs de ses basses-cours et la production de légumes de ses jardins.
Charlemagne juge que la sage économie d’un roi ne doit pas craindre de s’abaisser à ces détails, et que la reine, étant la mère de ses sujets, leur doit l’exemple, les Capitulaires portent qu’on rend compte également, au roi et à la reine.
Le soin que Charlemagne sait mettre à l’administration de ses revenus, l’empêche d’exiger autant du peuple, et lui permet de faire des aumônes considérables.

Hildegarde l’imite lorsque Charlemagne envoie des ambassadeurs au calife Aroun-al-Raschid, dont il a reçu de magnifiques présents, la reine leur donne, pour le soulagement des chrétiens d’Orient, ce qu’elle a de plus précieux dans ses trésors, car, en ce temps où les échanges de commerce et d’argent sont si peu communs, la richesse des rois consiste, comme on le voit plus tard dans les palais de l’Orient, en une quantité de trésors, de bijoux et d’étoffes précieuses.

Hildegarde fonde l’abbaye de Hempten Elle meurt en mettant son dernier enfant au monde, inhumée en l'église abbatiale Saint Arnould à Metz.
Épuisée par ses grossesses surtout par celle des jumeaux Louis et Lothaire suite à laquelle elle a  failli mourir durant l'accouchement, la reine ne se remet pas de son dernier accouchement et décède prématurément à Thionville le 26 avril 783 à l’âge de 26 ans. Charlemagne pleurera sincèrement cette épouse ainsi que le peuple car Hildegarde passe pour être une bonne reine.

L'énigme de la Reine Gilette :
Une statue médiévale est dans ce mur depuis si longtemps que les Messins lui ont façonné une légende.
Charles Lorrain, en effet, parle d’« une tombe d'abbesse de 1516, vulgairement connue sous le nom de la Reine Gilette ».
La sculpture représente une femme debout, vêtue d'une robe par dessus laquelle est drapé un manteau, elle a le bras droit replié sur le ventre et tient de la main gauche un livre fermé, les pieds manquent, et la tête a éclaté...

Une pierre tombale ? elle serait couchée comme un gisant.
Au XVIIIe siècle, alors que la statue est encore entière, Dom Calmet rapporte d’ailleurs qu’elle a « un coussin sous la tête avec 4 houppes aux 4 coins ». Un petit toit à deux pans est sculpté au dessus de la dame, il est lui-même surmonté de la date de 1516...

Cette date est en contradiction avec ce que l'on sait des faits. Le mur, en effet, est construit en 1514 avec des pierres que Jehan Bernhard a récupérées, et cette date doit être tenue pour assurée puisque le contrat existe toujours.
La statue est sans doute placée là plus tard, à un moment où, pour une raison qui nous échappe, elle devient elle-même une pierre que l'on peut récupérer.

Dom Cajot rapporte la légende attachée à cette effigie en 1760, ce qui met hors de cause les troubles de la Révolution.

Robert, sans tenir compte de cette date de 1516, termine ainsi son article : « Parmi les débris de monuments vendus à Jehan Bernhard pour la reconstruction de son écluse, se trouve une assise venant de quelque église du moyen âge et représentant une femme (…) voisine, dans le mur de l'écluse, du cippe antique où figure un char. »

Ce rapprochement a donné lieu à la légende d’une Reine Gillette dont le char se serait renversé dans la Moselle sur le pont ou sur la chaussée de Charpaigne. D’autant plus que, selon Dom Calmet, il y a encore en son temps, aux pieds de la statue, une inscription en caractères gothiques qui dit : « Muselle has reçu, d'outre Seille a rendu ».
La dame se serait noyée dans la Moselle et le courant aurait charrié son corps jusqu'à Metz, où on l'aurait retrouvé dans la Seille.

Cette Reine Gilette est inconnue par ailleurs. De façon quelque peu confuse, Dom Calmet en arrive à l'identifier à la reine Hildegarde, seconde épouse de Charlemagne, qui est inhumée à Metz dans l'abbaye Saint-Arnould. Bien que la nécropole des Carolingiens, cette abbaye a été démolie avec les faubourgs méridionaux lors du siège de 1552 par Charles-Quint afin d'interdire tout point d'appui à ses armées.
La date de 1516 s'accorde bien avec le style de la statue, qui appartient à la fin du Moyen Âge ou au début de la Renaissance. Ce ne serait donc pas l'effigie d'une princesse Carolingienne... Si bien que la Reine Gilette garde tout son mystère, et sans doute pour longtemps encore !

C’est en effet cette année-là que Berthe (née en 779) et Gisèle (née en 781) sont mortes, Elles ont été élevé dans l’étude des lettres, ce qui n’empêche pas qu’elles ne soient accoutumées de bonne heure à monter à cheval, pour suivre les chasses royales auxquelles elles prennent part, et pour voyager dans leurs nobles métairies elles sont également habiles aux ouvrages de femme, car Charlemagne veut que la toile de ses vêtements soit filée par ses filles. On peut dire que l’affection qu’il a pour elles va même trop loin, puisqu’elle ne lui permet pas de s’en séparer, et l’empêche de leur chercher des alliances convenables, en sorte que son indulgence encourage la légèreté de leur conduite, lorsqu’en demeurant à la cour, elles se voient entourées de toutes les séductions.

Et encore pendant cette année :

La reine douairière Berthe au Grand Pied disparaît. A la mort de Pépin le Bref
Charles et Carloman deviennent tous deux rois des Francs, le royaume étant partagé entre eux, conformément à la coutume Franque.
Bertrade ou Berthe s'efforce de garder une certaine influence sur eux. Elle arrange notamment le mariage en 770 de Charles avec Désirée de Lombardie, mais il la répudie dès 771. Elle tente également de maintenir l'entente entre les deux frères.
LA COURONNE DE FER DES ROIS LOMBARD
À la mort de son frère en 771, Charles s'empare de ses possessions au détriment de ses neveux. Il écarte alors sa mère qui quitte la cour pour se retirer à Choisy-au-Bac qui est une résidence royale Mérovingienne (dans l'église Saint-Étienne) près de Compiègne où elle meurt en 783. Elle est inhumée à l'abbaye de Saint-Denis, auprès de Pépin le Bref.


Hildegarde de Vintzgau — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Hildegarde_de_Vintzgau
Hildegarde de Vintzgau (758 - † 30 avril 783 à Thionville), est une noble germanique issue d'une famille comtale bavaroise, épouse de Charlemagne à partir de ...
Termes manquants : année
Reines, Impératrices - La France pittoresque
www.france-pittoresque.com/spip.php?rubrique706
9 janv. 2013 - Hildegarde (née vers 757, morte en avril 783) ... il venait d'épouser Hildegarde, fille de Gérold Ier de Vintzgau et d'Emma d'Alémanie, d'origine (. .... fin de l'année 996, Robert II épousa Suzanne-Rozala de Provence en 988, ...
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Epiais-Rhus histoire - école d'Epiais-Rhus
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770 est une année difficile pour Charlemagne qui doit affronter la révolte des Aquitains sans ... En 772, Charlemagne épouse Hildegarde de Vintzgau, qui au contraire lui ... en octobre 783 à Worms, suite au décès d'Hildegarde de Vintzgau.



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