vendredi 22 janvier 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 492

6 JANVIER 2016...

Cette page concerne l'année 492 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

RAISONS ET DÉCISIONS DIFFICILES DE FÉLIX III.

FELIX III
Félix III est un aristocrate romain de la famille Anicia, la plus puissante, la plus riche et la plus noble de Rome, fils du prêtre Félix, son père a été marié avant que d'être prêtre. Mais, en s'engageant dans les liens du sacerdoce, il a, selon les règles canoniques, renoncé à ceux du mariage. Félix lui-même a été marié avant d'entrer dans les Ordres et de devenir Pape, il a 2 enfants. Bisaïeul du futur Saint Grégoire le Grand. Veuf et père de famille, il est élu pape, Félix succède à Simplicius et est élu le 8 mars de l'année 483, par le sénat, le clergé et le peuple assemblés dans la basilique de Saint-Pierre. Durant l'interrègne de 6 jours, selon les uns, de 26 jours, suivant les autres, Odoacre, en sa qualité de roi d'Italie, intrigue pour diriger les affaires de l'assemblée et s'arroger le droit de confirmer l'élection. Le mémoire qui contient ces prétentions est condamné 20 ans plus tard comme impie et sacrilège par un concile de Rome, toute l'antiquité ecclésiastique ratifie cette condamnation quant aux manœuvres d'Odoacre, elles échouent complètement.
Il arrive sur le trône de Pierre avec l'appui évident du roi des Hérules, Odoacre, mais la forte personnalité du pape parvient rapidement à faire oublier ce soutien embarrassant.

En 488 Félix III est confronté à l'invasion de l'Italie par Théodoric le Grand et à la chute de son ancien protecteur.
En Afrique les Vandales, ariens, déclenchent une violente persécution contre les catholiques.
Mais c'est la rupture avec Constantinople qui occupe surtout son pontificat. En effet l'empereur Zénon, sous l'influence du patriarche de Constantinople Acace, a tenté d'apaiser le conflit monophysite en publiant un texte, l'Henotikon (ou « acte d'union »), supposé trouver un compromis entre monophysisme et orthodoxie. Mais Félix III y décèle une trop forte influence du monophysisme et lance l'anathème (484) contre Acace (contre l'empereur cela comportait sans doute plus de risque). Le patriarche réagit en rayant le nom de l'évêque de Rome des diptyques liturgiques, ce qui revient à l'excommunier...

Cette rupture va durer jusqu'au règne de Justin Ier en 519, soit 35 ans de schisme. Félix III parvient cependant, avec l'aide de Zénon qui signe une trêve avec les Vandales, à mettre un terme aux persécutions contre les catholiques Africains. Il se trouve alors confronté au problème des catholiques devenus ariens sous les persécutions de Genséric et de son fils Hunéric et qui souhaitent redevenir catholiques.
Ceux qui sont restés fermes dans leur croyance sous la persécution refusent ce retour et Félix III doit envoyer une lettre aux évêques d'Afrique exposant sous quelles conditions ils peuvent recevoir dans l'Église ces « brebis égarées ».

Félix III meurt à Rome le 25 février 492. Il est considéré comme saint par l'Église catholique romaine, qui le fête le 1er mars. Ses reliques se trouvent dans la Basilique Saint-Paul-hors-les-Murs à Rome.

Saint Grégoire le Grand, qui est de la même famille patricienne des Anicii, rappelle ce fait en ces termes dans une homélie prononcée devant le peuple Romain à la basilique de Saint-Clément :
« Mon père avait 3 sœurs, Tharsilla, Gordiana et Amiliana, qui, éprises d'une même ardeur de perfection, se sont consacrées le même jour au Seigneur, ont pris le voile des vierges et ont vécu ensemble dans leur maison, observant les règles monastiques.
Une nuit, dans une vision, mon quatrisaïeul le pontife Félix, qui m'a précédé sur ce siège de Rome apparaît, et découvrant à ses regards les magnifiques splendeurs du royaume des cieux, et dit : « Ma fille, l'heure est venue où je dois t'introduire dans ce séjour de la gloire éternelle ».
Quelque temps après, Tharsilla est prise d'une maladie soudaine, et bientôt on comprend qu'elle va mourir. Selon la coutume dans les familles nobles, une foule considérable remplit la demeure pour assister la malade et consoler ses proches... Ma mère se trouvant au chevet de la mourante, la voit tout à coup lever les yeux au ciel, comme dans une extase, puis, en se tournant vers les assistants, elle dit :
« Retirez-vous, retirez-vous, Jésus vient à moi ! »
A ces mots, cette âme sainte se dégage des liens du corps, un parfum céleste se répand dans l'appartement, comme si l'auteur de toute suavité qui vient d'apparaître à son humble servante a voulu laisser à tous cette marque de sa présence. »...

Le début du pontificat de Saint Félix coïncide avec la nouvelle apportée à Rome du rétablissement de l'hérétique Pierre Monge sur le siège épiscopal d'Alexandrie, par l'influence d'Acace, archevêque de Constantinople.
Le vénérable Félix cite Acace à son tribunal et dépose Pierre Monge. Il fait partir pour Constantinople les deux évêques Misenus et Vital, les chargeant de notifier la sentence.
Mais ces légats sont circonvenus par les intrigues des 2 prélats schismatiques. Ils se laissent corrompre, moyennant une somme d'argent, et n'exécutent pas les ordres du Saint-Siège.
A leur retour en Italie, Félix réunit un synode où ils sont convaincus de simonie et excommuniés. Après la déposition des légats, les Pères du concile prononcent de nouveau la déposition solennelle de Pierre Monge.
Le Pape ne veut pas sévir contre Acace dont les derniers événements lui ont fait connaître la mauvaise foi. Cependant, comme il ne daigne pas même répondre aux lettres paternelles du souverain Pontife et qu'il continue à demeurer en communion avec Pierre Monge, Félix III est obligé de le ranger parmi les hérétiques et de le séparer de la communion catholique.

Pour porter ce décret à Constantinople, le Pape fait choix du prêtre Tutus. Il lui remet de plus 2 lettres, l'une pour l'empereur Zénon, l'autre pour le clergé et le peuple de Constantinople cette dernière est destinée à réparer le scandale donné publiquement par ses précédents légats.
Acace refuse obstinément de recevoir le décret du Pape pour pouvoir prétexter de son ignorance d'une sentence qui l'excommunie... Un moine du couvent où le légat a trouvé refuge est assez hardi pour attacher le décret à son manteau pontifical, un dimanche qu'il entre dans la basilique pour y célébrer.
Cet acte de courage attire la vengeance d'Acace sur tous les moines de Constantinople, certains d'entre eux sont égorgés par ses affidés.
C'est ainsi qu'Acace a le triste honneur de commencer la séparation entre Rome et Constantinople.
Ce premier schisme a duré 35 ans (484-519)... Qui peut dire toutes les violences, toutes les persécutions, toutes les cruautés des Eutychiens triomphants contre les catholiques ? 3 intrus, 3 apostats occupent les 3 grands sièges d'Orient :
Pierre le Foulon à Antioche
Pierre Monge à Alexandrie
Acace à Constantinople tout puissants à la cour de Zénon et unis dans leur révolte contre le Saint-Siège, ils pensent avoir triomphé et regarder l'eutychianisme implanté pour jamais en Orient.
GELASE Ier

Mais Dieu va confondre leurs orgueilleuses pensées :
Pierre le Foulon meurt le premier en 488, Acace le suit au tombeau quelques mois après il expire chargé de la malédiction de Dieu et des hommes. Quant à Zénon, qui n'a pas eu le courage de se montrer ce qu'il est au fond, un prince vraiment catholique, il est enterré tout vif par sa propre femme et meurt dans son tombeau de faim et de rage.

Félix ne se contente pas de donner des soins tendres et bienveillants aux intérêts de l’Église d'Orient il se tourne avec compassion vers cette malheureuse Église d'Afrique foulée aux pieds par les Vandales.
Il écrit à l'empereur pour qu'il intervienne auprès de Hunéric, leur roi, pour l'engager à cesser ses cruautés envers les catholiques. Ce roi persécuteur vit de courtes années, et Gondamond, son successeur, rend la paix à l’Église... Ceux qui sont tombés dans l'hérésie pendant la persécution demandent à rentrer en grâce, Félix III règle les conditions de leur pénitence et rétablit les anciens Canons.

Dans le domaine politique, le pontificat de Saint Félix III est marqué par l'invasion de Théodoric, roi des Ostrogoths, en Italie, et l'expulsion d'Odoacre, roi des Hérules. Les habitants des provinces et des villes, horriblement pressurés par les barbares, n'ont d'autres ressources que la charité des évêques. L’Église ne faillit pas à sa mission. Saint Félix meurt pendant cette lutte qui amène une domination arienne en Italie (492).

D'un caractère énergique, prudent et modéré, il sait, au milieu des difficultés de l'Orient agité par l'hérésie, et de l'Occident déchiré par des guerres sanglantes, maintenir l'autorité du Siège apostolique, et la faire respecter malgré les intrigues, et les défections. Le talent, la capacité, la vertu qu'il déploie sur le trône, lui valent les honneurs de la canonisation. Il est inhumé dans la basilique du bienheureux Paul, apôtre.

Il établit que les églises doivent être consacrées par les évêques seulement.
Il défend de rebaptisé ceux qui l'ont été une première fois.
Il construit la basilique Saint-Agapet, près de celle de Saint-Laurent.
Le premier, il donne aux empereurs le nom de Fils.
Le premier encore, il emploie comme date l'indiction, c'est-à-dire une manière de compter par périodes de 15 années, à partir de l'an 312 de Jésus-Christ, époque de la conversion de Constantin.

Sous son pontificat Saint Barnabé apôtre, apparaît à Anthème, évêque de Salamine, en Chypre, tenant en main l’Évangile de Saint Matthieu, cette révélation se renouvelle 3 fois et le corps de Saint Barnabé est trouvé avec un exemplaire de cet Évangile.

C'est encore sous son pontificat que les habitants du Norique, fuyant leur pays, apportent en Italie les reliques du grand Saint Séverin.

Pourquoi les prêtres ne peuvent-ils pas être mariés ?
L'histoire :
« Étant venu dans la maison de Pierre, Jésus voit sa belle-mère alitée, avec la fièvre. » (Mt 8,14). A l'époque du Christ, les apôtres sont mariés, c'est d'ailleurs une règle en ce temps là sous peine d'être soupçonné de mener une vie de débauche. Jusqu'au Ve siècle, il en est ainsi pour tous les membres du clergé. Le pape Saint Félix III (483-492) est fils d'un prêtre et a lui-même deux fils.
C'est à cette époque que naissent les ordres monastiques: contrairement au clergé « séculier » (diocésain), les moines (clergé « régulier ») font vœu de chasteté mettant en pratique les paroles du Christ lui-même : « Il y en a qui ont choisi de ne pas se marier à cause du Royaume des cieux » (Mt 19,12)
Et celles de Saint Paul : « L'homme qui n'est pas marié, a souci des affaires du Seigneur. » (1 Co, 7,32).
Les prêtres diocésains continuèrent à être mariés jusqu'au XIIe siècle. Mais l'influence monastique (Citeaux et Cluny en particulier) se faisant de plus en plus grande, en 1139, le concile Latran II introduit une règle disciplinaire (qui n'est pas une loi dogmatique) interdisant le mariage des clercs dans l’Église latine (ce qui toutefois n'empêche pas certains ecclésiastiques de jouer sur les mots entre célibat et chasteté et de pratiquer un concubinage notoire définitivement condamné par le Concile de Trente en 1563 !).

Les églises orientales orthodoxes ou catholiques continuent comme par le passé, les clercs d'ordres mineurs (lecteur, sous-diacre, diacre) peuvent être mariés et les hommes mariés peuvent être ordonnés prêtres.
Par contre, les moines font vœu de célibat.
Un prêtre marié ne peut être nommé évêque, dans l’Église orthodoxe, les évêques sont choisis parmi les moines et appartiennent toujours à un monastère.

Les pasteurs protestants, les prêtres anglicans peuvent être mariés, quand ils se convertissent au catholicisme, ils peuvent demander, par dérogation, à être ordonnés prêtres tout en étant mariés, Jean-Paul II a accordé 220 dérogations.
Ces prêtres sont, en général, intégrés dans l'organisation de l’Église sous une forme canonique particulière appelée « ordinariat personnel ». Au total, il y aurait environ 5 000 prêtres mariés dans l'église catholique d'aujourd'hui.

« Le célibat n'est pas essentiel au sacerdoce, il n'est pas promulgué comme une loi par Jésus Christ ». Déclaration du Pape Jean-Paul II, juillet 1993.

Concilier vie de famille et ministère sacerdotal n'est pas simple, l'épouse, les enfants, les soucis d'un foyer s'ajoutent au service des autres, aux célébrations, à la catéchèse sans parler du secret de la confession qui peut être mal compris par une épouse à qui son mari « cache quelque chose ».
Les prêtres orthodoxes et catholiques mariés le savent bien. La vie de famille d'un prêtre marié a la même qualité que celle d'un médecin ou d'un policier dont la profession « mange » la famille.
Seuls les faibles revenus d'un prêtre (voisins du SMIC !) Peuvent l'empêcher de faire vivre une famille. Enfin, il va sans dire que le couple doit être mûr, stable et vivre dans la confiance et le soutien mutuels.

L’Église orthodoxe ordonne des hommes mariés, mais elle n'autorise pas le mariage des prêtres déjà ordonnés et célibataires, ni le remariage des prêtres veufs.
Mgr Michel Hrynchyshyn, évêque de l’Église catholique Ukrainienne en France, et dont 75 % des prêtres sont mariés, est quant à lui formel : « Cela ne réglera rien de la crise de vocations sacerdotales. » (source : La Vie).
La règle en vigueur dans les Églises d'Orient n'empêche pas les prêtres d'abandonner leur ministère pour se marier, puisqu'ils doivent être mariés avant d'être ordonnés.

En fait, la question est de savoir si un prêtre marié et sa famille accepteraient de « s'exiler » à Bénévent-l'Abbaye (23) dont l'abbatiale, malgré son prestige, peine, comme la collégiale du bourg voisin, à accueillir une messe par mois devant une assemblée démotivée et clairsemée.
L'épouse du prêtre retrouvera-t-elle un travail ? Les enfants disposeront-ils d'une école ou d'une université à proximité ? Hélas, comme le souligne Mgr Eric de Moulins-Beaufort « Le mariage n'est pas un remède à la perversion des personnalités. ». (Interview sur Figaro/Orange du 2 avril 2010).

Il n'est peut-être pas de meilleure introduction au problème des origines du célibat sacerdotal que d'évoquer les nombreux hommes mariés devenus clercs dont les noms illustrent l'histoire des premiers siècles de l’Église.
Plusieurs ont un fils qui monte sur le trône de saint Pierre. Ainsi l'évêque Antonius, d'un diocèse suburbicaire de Rome, père du pape Damase (366-384), Le prêtre Jocundus, père de Boniface I (416-419)
Le prêtre Félix, père de Félix III (483-492)
Le prêtre Pierre, père d'Anastase II (496-498),
Le prêtre Gordianus, père d'Agapet I (535-536)
Le sous-diacre Étienne, père d'Adéodat I (615-618)
L’évêque Theodorus, originaire de Jérusalem, père de Théodore I (642-649). Nous voyons même le pape Horsmidas, au VIe siècle, avoir pour successeur son propre fils Silvère (536-538)
Ces exemples célèbres sont loin d'être des exceptions. Pour la période des 7 premiers siècles, nous disposons actuellement d'une liste bien établie qui compte plus de 120 évêques, tous mariés et pour la plupart pères de famille. Quelques noms seulement :
Demetrius, patriarche d'Alexandrie (l'évêque d'Origène)
Grégoire l'Illuminateur, premier catholicos Arménien, et ses successeurs de la dynastie Grégoride :
Les catholicos Verthanès, Nersès le Grand et Sahaq le Grand.
Grégoire de Nysse
Grégoire de Nazianze, dit l'Ancien
Synésius de Cyrène
Hilaire de Poitiers
Pacien de Barcelone
Sévère de Ravenne
Victor de Numidie
Eucher de Lyon
Julien d’Eclane
Sidoine Apollinaire évêque de Clermont et bien d'autres.
Outre ces personnages bien identifiés, les sources contemporaines nous apprennent qu'il était alors fréquent d'admettre au sacerdoce des hommes engagés dans les liens du mariage. Cela ressort très nettement de l'examen des documents de l'époque.

Un deuxième fait qui s'impose à l'attention est l'existence d'une législation écrite qui, à partir du IVe siècle, se rapporte au célibat des clercs. On y distingue deux types de documents :
Les textes interdisant le mariage après l'ordination aux degrés supérieurs de la cléricature. L'un des tout premiers règlements qui nous aient été conservés est le canon 1 d'un concile tenu à Néocésarée, en Cappadoce, entre 314 et 315 :
« Si un prêtre se marie, Il sera exclu des rangs du clergé : S'il commet une fornication ou un adultère, il sera de plus excommunié et soumis à la pénitence.
2- Les textes interdisant l'usage du mariage aux membres du clergé supérieur déjà mariés avant l'ordination. Le premier en date est le canon 33 du concile d'Elvire, vers 305 :
« Il a paru bon d’interdire absolument aux évêques, aux prêtres et aux diacres, soit (encore) à tous les clercs employés au ministère, d'avoir des relations (sexuelles) avec leurs épouses et d'engendrer des enfants, si quelqu'un le fait, qu'il soit exclu de l'honneur de la cléricature ».

Un troisième fait à souligner, enfin, est l'existence de plusieurs documents publics qui, dès le IVe siècle, font remonter aux temps apostoliques la discipline exigeant du clergé supérieur l'abstention du commerce conjugal. Ce sont, dans l'ordre chronologique :
1- La décrétale Directa, du 10 février 385, envoyée par le pape Sirice à l'évêque espagnol Himère, métropolitain de la Tarraconaise.
2- La décrétale Cum in unum, envoyée par Sirice aux épiscopats de diverses provinces pour leur communiquer les décisions prises en janvier 386 à Rome par un concile de 80 évêques.
3- La décrétale Dominus inter, en réponse à des questions posées par des évêques des Gaules.
4- Le canon 2 du concile tenu à Carthage en juin 390.


25 février. Saint Félix III, pape. 483-492. : Vie des Saints ...
hodiemecum.hautetfort.com/.../25-fevrier-saint-felix-iii-pape-483-4921....
25 févr. 2011 - Saint Félix III, pape. 483-492.Papes : Saint Simplice (prédecesseur, ... Félix succéda à Simplicius et fut élu le 8 mars de l'année 483, par le ...

Compilhistoire - Félix III (II)
compilhistoire.pagesperso-orange.fr/FelixIII.htm
Pontificat du 13-3-483 au 1-3-492. Félix III ou II 1 montre plus d'énergie que de prudence dans la poursuite des hérésies et des schismes et ... 13 mars, élection du pape (appuyé par le roi des Hérules, Odoacre). ... en soutenant à Clermont un siège de plusieurs années contre le wisigoth Euric avant de capituler (475)].


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire