vendredi 29 janvier 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 481

17 JANVIER 2016...

Cette page concerne l'année 481 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LE ROMAN DE BASINE ET CHILPÉRIC.



L'histoire de France, une vieille histoire qui débute il y a fort longtemps. Des Mérovingiens aux Capétiens les épouses ont aussi joué un rôle important dans l’histoire, au fur et à mesure on voit ces dames à l’œuvre, dans un monde très misogyne, elles savent, s'imposer dans divers domaines.

Basine (en latin Basina), est une princesse de la ligue des Thuringes, 1ère reine des Francs Saliens connue, par son mariage avec Childéric Ier.
Le premier historien à mentionner la reine Basine est l'évêque Grégoire de Tours qui raconte :
« Childéric, roi des Francs, s’abandonne à une honteuse luxure, déshonorant les femmes de ses sujets. Ceux-ci, s’indignant de cet outrage, le détrônent (457). Ayant découvert qu’on en veut aussi à sa vie, il se réfugie en Thuringe, laissant dans son pays un homme qui lui est attaché pour qu’il apaise, par de douces paroles, les esprits furieux... ils conviennent d'un code pour que le roi lorsque les esprits seront apaisés puisse rentrer en son pays :
Ils divisent en deux une pièce d’or, dont Childéric emporte la moitié, l'autre est gardée par son ami qui lui dit :
« Quand je vous enverrai cette moitié, et que les deux parties réunies formeront la pièce entière, vous pourrez revenir en toute sûreté dans votre patrie. Étant donc passé par la Thuringe, Childéric se réfugie chez le roi Basin et sa femme Basine... Les Francs, après l’avoir détrôné, élisent pour roi, d’une voix unanime, Ægidius envoyé par la république romaine comme maître de la milice. Celui-ci est déjà dans la huitième année de son règne lorsque le fidèle ami de Childéric, ayant secrètement apaisé les Francs, envoie à son prince des messagers pour lui remettre la moitié de la pièce qu’il a gardée. Celui-ci, voyant par cet indice certain que les Francs désirent son retour, et qu’ils le prient eux-mêmes de revenir, quitte la Thuringe, et se fait rétablir sur son trône...
L’histoire poétique se poursuit en mentionnant qu’à peine revenu à Tournai, sa capitale, Childéric y voit arriver Basine qui a abandonné son mari.

Comme le roi lui demande avec empressement pour quel motif elle vient d’un pays si éloigné, elle répond : J’ai reconnu ton mérite et ton grand courage, je suis venue pour rester avec toi. Sache que si j’avais connu, dans des régions au-delà des mers, un homme plus méritant que toi, j’aurais désiré d’habiter avec lui. Celui-ci, enchanté, il l’épouse... Il en a un fils : Clovis.

C'est un grand prince et un redoutable guerrier  ».
De ce chapitre, Godefroid Kurth estime que tout ce que l'on peut en retenir est que Childéric a épousé une Thuringienne du nom de Basine, et que tout le reste relève du récit populaire.
Il est difficile de dire si Basine a réellement épousé le roi Basin de Thuringe et, si tel est le cas, quelle a été sa postérité ?
Basin a bien un successeur homonyme mais même si ce successeur est fils du premier Basin, rien ne permet de dire si Basine en est la mère.
De son mariage avec Childéric, Basine a donné naissance à :
Clovis Ier (v.466 † 511), roi des Francs,
Alboflède ou Albofledis, baptisée en même temps que son frère, devient religieuse mais meurt peu après.
Lantilde ou Landechildis, mentionnée brièvement par Grégoire de Tours quand elle reçoit le baptême en même temps que son frère.
Audoflède ou Audofledis, mariée en 492 à Théodoric le Grand, roi des Ostrogoths d'Italie

Aucun document contemporain ne permet d'établir formellement l'origine de Basine. Si la thèse du mariage entre Basin et Basine relève de l'invention par la tradition populaire, alors l'onomastique suggère une parenté, voire une fraternité entre les deux.
En 1909, Joseph Depoin a proposé de voir en Basine une princesse Franque Rhénane, s'appuyant sur le récit de Grégoire de Tours dans lequel Clovis qualifie Sigebert le Boiteux de parent.
Il en déduit que Basine est une sœur de Sigebert le Boiteux, tous deux fils de Clodwig, roi de Cologne et de Basine de Saxe Mais la signification de parents n'est pas aussi restrictive que le sens que lui donne Depoin, qui donne également une filiation erronée pour Sigebert le Boiteux... De plus, la parenté entre Clovis et Sigebert peut s'expliquer autrement.
En 1991, Eugen Ewig, sur la base de l'allusion aux « régions au-delà des mers » que Grégoire de Tours met dans la bouche de Basine, suggère une origine dans des établissements Thuringiens situés dans la sud de la Bretagne, ou parmi quelques tribus Thuringiennes encore situés en Scandinavie.
Le conditionnel semble indispensable, car ce que nous connaissons de la vie de Basine tient plus de la légende que des certitudes historiques. Il y a bien eu un roi de Thuringes portant le nom de Basin, et il est également certain que la mère de Clovis s'appelle Basine. Mais ont-ils réellement vécu ce que racontent les récits des chroniqueurs, qui semblent basés sur des croyances populaires un peu naïves ? ...

Lors de leur nuit de noces, Basine demande à Childéric de regarder par la fenêtre et de dire ce qu'il voit.
Childéric dit : « Je vois un lion avec une licorne et des animaux sujets qui sont très heureux et qui respectent le lion. »

Basine lui répondit : « Retourne à la fenêtre, que vois-tu ? »

Childéric dit : « Je vois un ours et un léopard et des chacals qui leur mordent les pattes et des sujets qui baissent la tête et ne font plus la fête. »

Basine lui demande : « Que vois-tu maintenant ? »

Childéric dit : « Je vois des chacals des chiens et des vautours qui se battent et des sujets malheureux ! »...

Au matin de la nuit de noces, Basine lui révèle la signification des visions qu'il a eu : « Tu auras un fils, il s’appellera Clovis. Il sera puissant, il fera un grand royaume où il sera respecté, où les gens se respecteront et seront heureux. Puis viendront ses descendants qui essayeront de maintenir les règles mais de mauvaises gens chercheront à leur voler le pouvoir, puis des chiens, des chacals et des vautours cupides se battront pour avoir le pouvoir et les sujets seront malheureux. »
Basine (en latin Basina), fille de Medelphus de Thuringe et de Basine de Saxe, naît vers 445. Elle est l'épouse du roi Basin de Thuringe puis la concubine et l'épouse de Childéric Ier, roi des Francs Saliens.

Basine est le prototype de ces femmes amoureuses qui, dans les chansons de Geste, vont se jeter sans façon dans les bras des héros étrangers qu’elles aiment, en leur offrant leur amour avec plus de franchise que de dignité... Il faut noter de plus, dans le récit de Grégoire, existe une contradiction bien significative.
Childéric a été pendant 8 ans l’hôte de Basine, or, en la voyant reparaître, il lui adresse la parole comme s’il ne se doute pas de ce qui l’amène, presque comme s’il ne la connaît pas. Et elle-même lui répond comme si elle le voit pour la première fois, et que jusqu’alors elle ne l’a connu que par la renommée.
Bien plus, il se réjouit du compliment qu’elle lui fait, et il la prend pour femme, sans qu’il soit seulement question entre eux de Basin ni de leurs relations antérieures...
Est-ce-bien ainsi que doit se passer la scène où se revoient deux personnages qui, dans tous les cas, sont l’un pour l’autre de vieilles connaissances, et qui s’apprêtent à trahir, elle son époux, lui, son ami ?
Évidemment non, et l’on peut dire sans exagération que le dialogue de Childéric et de Basine contredit le récit de Grégoire. Cette contradiction arrive à son comble dans les récits de Roricon et d’Aimoin (965-1010), qui, d’une part, amplifient sur Grégoire et Frédégaire en parlant des relations adultères que Childéric a eues avec Basine à la cour de Thuringe, et qui, de l’autre, montrent Childéric fort étonné de la visite de cette reine, et celle-ci parlant comme si elle ne l’avait jamais vu.

Cependant il existe bien un roi des Thuringiens portant le nom de Basin. Par ailleurs, il est difficile de contester le nom de Basine donné par la tradition à la mère de Clovis. A l’époque où cette tradition reçoit sa forme actuelle, c’est-à-dire du vivant de Clovis ou peu après sa mort, ce nom n’est pas oublié, et il n’est pas admissible qu’on en ait imaginé un autre que celui que fournit la réalité. Ajoutons que le vocable de Basine reparaît encore dans la famille Mérovingienne : Nous le trouvons porté par une fille du roi Chilpéric, religieuse à Poitiers, et il y a là tout au moins une présomption en faveur de son emploi antérieur parmi les ascendants de cette princesse.

L’épouse de Childéric et mère de Clovis s’est réellement appelée Basine, tout comme le roi des Thuringiens a porté réellement le nom de Basin.
Mais, s’il est certain que les populations Franques du VIe siècle ont connu en même temps le roi Basin et la reine Basine, l’origine de la légende des amours de Childéric ne présente plus aucune difficulté.
Fidèle à son procédé instinctif, l’imagination populaire a rapproché les deux personnages qui portent le même nom, le lien étymologique entre les noms étant pour elle la marque du lien qui relie les personnes.
Basine n’est et ne peut être, de par la loi de l’imagination épique, que la femme de Basin... Cette supposition naïve, qui se présente d’elle-même à l’esprit populaire, il l’a accueillie sans défiance et sans arrière-pensée, et il a subi la tyrannie des noms sans même se rendre compte de son illusion...

Comment Basine devient la femme de Childéric ? Ayant entendu parler de la valeur de Childéric, elle part de chez elle comme une nouvelle reine de Saba, et vient spontanément offrir son cœur et sa main au héros Franc. Childéric, étonné d’un pareil honneur, lui en a demandé le motif, et, avec une ingénuité toute barbare, elle lui a fait la déclaration rapportée ci-dessus. Et lui, tout joyeux, la prend pour femme.
Voilà l’histoire dans sa simplicité primitive, telle qu’elle apparaît dans le discours de Basine, et antérieurement à toute autre transformation. Il est manifeste que cette version première ne connaît pas le séjour de Childéric en Thuringe, ni les relations antérieures entre lui et la reine Basine : Tout consiste dans l’escapade spontanée de celle-ci. Le discours qu’elle tient au héros a quelque chose de si vif et de si pittoresque dans son archaïsme barbare, qu’il est devenu en quelque sorte le centre du récit, et la formule immuable qui donne son prix à l’historiette.
Bien souvent, dans les traditions épiques reproduites par des chroniqueurs, ce sont les paroles du héros principal qui sont le mieux conservées sous leur forme primitive, parce qu’elles sont la moelle de l’histoire, et que toute la signification de celle-ci peut se résumer en elles. Voilà pourquoi les paroles mises dans la bouche de Basine se sont conservées sans altération, et qu’on ne s’est pas avisé d’y toucher, même alors que les développements nouveaux de la légende ont mis, entre ces paroles et le contexte, une contradiction dont la naïveté populaire ne s’est d’ailleurs jamais aperçue.

Mais dans son état primitif la légende appelle nécessairement une nouvelle évolution : On imagine de bonne heure une explication plus dramatique de la fugue de Basine. Si elle se laisse entraîner à un pareil oubli de son devoir, c’est évidemment parce qu’elle a pour Childéric une passion ancienne, qui peut atténuer le caractère répugnant de sa démarche.
Et cette passion suppose forcément un séjour prolongé des deux amants dans le même endroit... C’est ainsi que l’histoire de la résidence de Childéric à la cour de Thuringe est venue se souder à celle de l’escapade de Basine, sans que les auteurs de cette contamination aient songé à remanier le discours de celle-ci pour le mettre en accord avec la nouvelle invention.
Est-ce l’obligation de faire résider Childéric à la cour de Thuringe assez longtemps pour expliquer ses relations avec Basine, qui a donné naissance à la fable de l’exil forcé de ce roi et du soulèvement de son peuple contre lui ?
Ou bien le fait de sa déposition temporaire est-il constant, et l’esprit épique s’est-il borné à le rapprocher de l’histoire de Basine pour fondre les deux récits en un seul ?
L’incertitude demeure, et les rapports militaires semblant avoir existé entre le général Romain et le chef Barbare peuvent expliquer une partie de la légende.
En effet, si Grégoire de Tours nous montre un Childéric livrant des combats victorieux au centre de la Gaule Romaine, à Orléans et à Angers notamment.
Si le Vita Genovefae le désigne comme maître incontesté de Paris, Childéric ne paraît pas être resté en possession d’un pouvoir si étendu.
Il meurt à Tournai, refoulé jusqu’aux extrémités septentrionales du domaine conquis par Clodion, et, son fils Clovis est obligé de reprendre à Syagrius toutes les provinces où son père a commandé.
Cela semble attester que les dernières années de Childéric sont assombries par des revers, et que les Romains ont, pendant un certain temps, sous Aegidius ou sous Syagrius, repris quelque avantage sur les Francs.

Ne souhaitant pas présenter ces faits humiliants sous leur vrai jour, la légende a ainsi expliqué la fuite de Childéric par la colère des Francs, et les succès d’Aegidius par le libre choix des Francs eux-mêmes.
Cette légende, en se fondant avec celle de Basine, trouve d’ailleurs dans celle-ci la justification de l’expulsion temporaire de Childéric : Le prince devient un séducteur de femmes ! L’esprit populaire tient enfin, ici, un tout poétique vraiment fait pour servir de sujet à une chanson, et la chanson, sans aucun doute, n’aura pas tardé à naître...

Une autre légende Childéricienne se rattache à la précédente d’une manière trop intime pour pouvoir en être séparée, et pourrait être intitulée : La vision de la nuit nuptiale.
C’est sans doute aux traditions des Germains que Frédégaire emprunte cette croyance selon laquelle ce que de nouveaux mariés voient la nuit de leurs noces est la vérité. On peut en outre aisément décrypter la vision de Basine. Elle prédit d’abord un lion, qui est, dit-elle, le fils de son mariage avec Childéric : Il s’agit donc de Clovis.
Le léopard et le rhinocéros représentent les fils de Clovis.
Les ours et les loups représentent la génération issue de ces princes : Ce sont donc, tout particulièrement, outre Théodebert Ier fils de Théodoric Ier, les 4 fils de Clotaire Ier, à savoir Charibert, Chilpéric, Sigebert et Gontran.
Enfin, les chiens représentent les fils de ces derniers, et notamment Childebert II, fils de Sigebert, et Clotaire II, fils de Chilpéric, les seuls qui aient régné...

La prophétie ne va pas au-delà, si ce n’est pour acter l’anarchie et le désordre qui succèdent à ces colonnes du royaume. Cette dernière expression peut faire croire qu’aux yeux de l’auteur de la prophétie, la sécurité du royaume dépend d’eux, et cela est très exact en ce qui concerne l’Austrasie et la Bourgogne.
En effet, après la mort de Childebert II (595), ces deux pays ne connaissent que des jours sombres sous la régence despotique et mal respectée de Brunehaut... Cette interprétation écarte l’opinion assez répandue qui veut voir, dans notre légende, une espèce de satire contre la dynastie Mérovingienne. Il n’en est rien.

Sans doute, la vision établit une gradation entre les diverses générations de princes issus de Clovis, mais cette gradation correspond à la réalité des faits, et n’a aucune portée satirique.
Au contraire, les derniers Mérovingiens sont présentés comme les colonnes du royaume, et leur disparition a pour conséquence l’anarchie. Il suit de là que la sinistre fiction doit être née, soit en Bourgogne, soit en Austrasie, dans les dernières années du VIe siècle ou dans les premières du VIIe.

Cette légende est sans doute d’origine littéraire et non populaire, et appartient à cette littérature sibylline qui nous a donné également la prophétie relative à Brunehaut.
Si Frédégaire l’a puisée à même la source orale, il nous en a donné la suite jusqu’à son temps ou du moins jusqu’à sa génération. Quant à supposer qu’elle a pu exister d’abord sous une forme plus brève, et ne viser que les premières générations des rois Francs, si bien que Grégoire de Tours l’a peut-être connue, c’est une hypothèse semblant dénuée de vraisemblance.
Toute l’histoire, en effet, converge vers le tableau final, c’est-à-dire l’état lamentable du pays sous la minorité des petits-fils de Brunehaut : C’est ce tableau qui a engendré le reste, et la vision prophétique de Basine n’est imaginée que pour l’encadrer...

C’est cette vision qui donne à la narration son caractère et son originalité. Si on en fait honneur à la reine Basine, de préférence à toute autre, c’est parce qu’il a fallu faire remonter la prophétie le plus haut possible pour augmenter sa portée, et que Basine est la plus ancienne reine dont les Francs aient gardé le souvenir... Rappelons que, chez les Germains, le don de prédire l’avenir est un attribut spécial du sexe féminin.
Ces récits merveilleux sont tout ce que les chroniques racontent, elles ne nous apprennent pas si Basine a porté seule le titre de reine, et si Alboflède, Antoflède(ou Audoflède) morte en 534, et Lantéchilde, sœurs de Clovis, sont les filles de cette reine ou de quelque autre femme de Childéric.

Regardé comme le quatrième roi de la première dynastie des monarques « Français », il succède à Mérovée son père, en 457. Les affaiblissements successifs qu’a éprouvé l’empire, par l’irruption des Barbares, ont permis à ce prince d’étendre son royaume et de faire reconnaître formellement son indépendance par les empereurs.

Ceci est difficile à croire, quand on connaît les mœurs des Francs, qui ne manquent pas de chefs, et chez lesquels chaque chef se regarde comme l’égal du roi, mais l’histoire de Childéric ressemble beaucoup à un roman, inventé pour remplir le vide que laisse dans la chronologie l’obstination des historiens à faire remonter jusqu’à Pharamond l’établissement du royaume de « France ».

La mort de Childéric est placée en l’année 481, ce qui lui donne un règne de 23 ans, mais il faut se rappeler que la véritable histoire de « France » ne commence qu’à Clovis, et que, pour les temps qui l’ont précédée, il est aussi difficile de garantir l’exactitude des dates que l’authenticité des faits. Il est enterré près de Tournai, où il sa résidence. Son tombeau y est découvert en 1653, et l’empereur Léopold fait présent à Louis XIV du cachet et d’une partie des armes et des médailles qui s’y trouvent. Le tombeau de Childéric est le monument le plus ancien de la « monarchie Française ».




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