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JUIN 2015...
Cette
page concerne l'année 716 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
ÉQUILIBRE LITIGIEUX DE L’IMPÔT ENTRE LE SOUVERAIN ET LE CLERGÉ
Pour
en finir avec l'hégémonie des Pépinides, Chilpéric et Raganfred
s'allient avec les Frisons du duc Radbod. Mais, en 716, celui-ci est
vaincu à Amblève par l'armée de Charles, fils bâtard de Pépin de
Herstal. Ce coup d'éclat permet à Charles d'écarter Plectrude du
pouvoir, et de s'affirmer comme seul chef des Francs d'Austrasie.
Confirmation
des privilèges d'immunité accordés à l'abbaye de Saint-Denis, 716
(Archives nationales, K3/17).
Durant
son règne, Chilpéric établit un diplôme daté du 29 décembre
716, où il confirme les privilèges d'immunité accordés par ses
ancêtres à l'abbaye de Saint-Denis... Entre 719 et 720, lors de son
séjour à la cour du duc d’Aquitaine à Toulouse, Chilpéric
fait proclamer par sa chancellerie un Edictum, qui est inséré
à la suite de la loi salique. L’article 3 de cet édit modifie le
droit de succession franc en accordant aux femmes la possibilité
d’hériter de terres patrimoniales.
Les
archives de Saint-Denis conservent, à côté des diplômes relatifs
à la grande foire d'octobre, d'autres actes concernant la vie
économique de l'abbaye à l'époque Mérovingienne : Ce sont des
privilèges douaniers, des tractoriae. Les uns ont un caractère
général et perpétuel, les autres s'appliquent à des cas
particuliers.
Les
premiers sont seuls des privilèges commerciaux à proprement parler,
les seconds sont des exonérations d'impôts ajoutées, pour les
parfaire, à des concessions de revenus à prélever sur les recettes
du fisc, la plus ancienne des tractoriae de l'époque Mérovingienne
que l'abbaye de Saint-Denis ait reçue est un diplôme de Thierry
III. L'acte conservé est un original sur parchemin. Il est adressé
aux « viris inlustrebus omnebus agentebus, tam présentées quam et
futures », car il a un caractère général et perpétuel...
Général,
il vise, en effet, les 3 parties du royaume franc, Neustrie,
Austrasie et Bourgogne, qui se trouvent réunies sous l'autorité de
Thierry III, et il s'étend sans distinction à tous les transports
faits pour le compte de l'abbaye.
Quant
au caractère de perpétuité, il est affirmé à deux reprises dans
le texte : La première fois par la formule initiale du dispositif,
et, en second lieu, par la formule d'attribution.
Contrairement
à ce que l'on constate d'ordinaire pour cette sorte de documents,
notre Tractoriae comporte un préambule qui lui confère une
solennité peut-être voulue en raison de l'importance exceptionnelle
de la concession, mais, comme toutes les autres tractoriae, elle n'a
point de clauses finales et ne porte que la souscription de
chancellerie. Enfin, elle est dépourvue de date.
Les
derniers éditeurs, MM. Lauer et Samaran, ont enclos l'acte entre les
années 679 et 690 : il est possible de restreindre ces limites
chronologiques. Le diplôme est postérieur au mois d'avril ou de mai
680, par le fait même qu'il est adressé à tous les fonctionnaires
des trois royaumes de Neustrie, d'Austrasie et de Bourgogne, ce
qu'ont admis les éditeurs modernes qui, depuis Teulet, lui imposent
une date « vers 681 ». Il est, d'autre part, antérieur au 30
octobre 688, parce que l'abbé Gharderic, qu'il mentionne comme
l'actuel titulaire de l'abbatiat à Saint-Denis, est, à cette
dernière date, remplacé par l'abbé Chainon : Raison qui explique
la date « vers 688 » adoptée par les anciens éditeurs du document
à l'exemple de Dom Mabillon.
Par
cet acte, Thierry III exempte à perpétuité, dans ses 3 royaumes,
les chariots et navires de Saint-Denis, qu'ils partent de l'abbaye ou
d'un de ses domaines, tant à l'aller qu'au retour, des tonlieux,
pontaticus, portaticus, pulviraticus, rodacus, salutaticus,
cispetaticus, et de toute autre redibicio, que les agents du pouvoir
public et les receveurs de ces taxes ont coutume de lever dans la
traversée des villes et des bourgs, dans les ports et au passage des
ponts, et en tous autres endroits. Le roi attribue les profits que le
monastère tire de cette exemption à l'entretien du luminaire de la
basilique.
C'est
le premier acte de ce genre que reçoit la basilique de Saint-Denis,
et c'est le seul que le chartrier de l'abbaye a conservé de l'époque
mérovingienne. Mais les moines n'ont pas manqué de faire confirmer
par les rois un si précieux privilège :
En
effet, l'abbé Fulrad a présenté à Carloman au mois de mars 769 et
à Charlemagne le 14 mars 775 les diplômes des rois antérieurs et
celui de Pépin le Bref, pour en obtenir des confirmations nouvelles.
Il
y avait donc eu toute une série de diplômes Mérovingiens avant
celui de Pépin le Bref, et qui, comme celui-ci, sont perdus. Ce ne
sont peut-être pas de simples confirmations de la tractoria
primitive que les moines ont obtenues des rois Mérovingiens et de
Pépin, car celles de Carloman et de Charlemagne sont, sinon plus
étendues, du moins plus précises que ne l'est le diplôme de
Thierry III.
Elles
n'exemptent plus seulement des taxes à la circulation les navires
qui remontent ou qui descendent toutes les rivières navigables du
royaume, et les chariots qui suivent les chemins, mais encore les
bêtes de somme, les hommes de l'abbaye portant sur leur dos les
produits qu'ils vont vendre ou qu'ils ont achetés, les marchands qui
opèrent pour le compte des moines, enfin tous les gens qui viennent
du dehors faire le négoce dans les domaines de l'abbaye, et aux
lieux spécialement désignés, civitates, castella, via, portus,
pontes publici, où les taxes ne doivent plus être levées sur les
transports du monastère, s'ajoutent les marchés, tous les marchés,
reliqui marcadi : C'est là peut-être la chose la plus importante,
parce qu'elle crée à l'avantage des négociants de l'abbaye une
situation privilégiée qui leur permet de lutter victorieusement sur
les marchés contre la concurrence de leurs rivaux. L'énumération
des tonlieux aussi s'est allongée : désormais le barganaticus et le
mutaticus prennent place dans les tractoriae, comme en témoigne
celle que Charles le Chauve délivre aux Dionysiens en 845 et qui
confirme des diplômes antérieurs de Charlemagne et de Louis le
Pieux aujourd'hui perdus. « dam régis, qualiter a longo
tempore omnes telloneus de villas memorate ecclesie seu de homines,
qui supra terras eorum commanere videntur, vel negotiantes eorum. qui
per ipsa casa Dei sperare noscuntur, ad ipsa casa Dei concessissent.
» Édition Mûhlbacher, Mon. Germ. hist., Diplomata Karolina, t. I,
p. 65, n° 46. — Cf. Diplôme original de Charlemagne,
Quierzy-sur-Oise, 14 mars 775. Ibidem, p. 134, n° 93.
L'exemption
des tonlieux constitue un privilège commercial fort important. Si
les frais de transport restent à la charge de l'abbaye, du moins les
transports se font en franchise, et, sur les marchés, le
bénéficiaire peut de ce fait réaliser des profits plus
considérables que ceux de ses concurrents moins favorisés, soit
qu'il vende au cours du marché, soit qu'il vende à un cours
inférieur : Dans le premier cas, il prélève sur l'acquéreur le
bénéfice normal pris par les autres marchands, accru de la valeur
des taxes que ceux-ci ont payées et qui sont entrées en compte pour
l'établissement des cours pratiqués sur le marché, dans le second
cas, la modicité des prix de vente attire la clientèle.
L'exonération
L’Europe
n’est pas encore uniformisée au début du VIIIe s. Alors un vaste
champ d’évangélisation aux moins missionnaires. Ces derniers sont
originaires du monde Anglo-Saxon. Raisons étudiées plus loin. Les
missions reçoivent l’appui du pouvoir politique. Si l’Alémanie
est évangélisée, Pirmin se place sous la protection de Charles
Martel. La mission de Pirmin est attachée au monastère de Reichenau
sur le lac de Constance, qu’il a fondé.
Si
on en croit ses récits, Boniface explique que l’Église Franque ne
fait plus de traité conciliaire. Plus de synode depuis 70 ans. Les
évêques se sentent de plus en plus indépendants. Véritables
principautés ecclésiastiques. Conquête des diocèses proches.
Charles Martel s’est emparé là de toutes les terres
ecclésiastiques en affirmant que ce sont des terres publiques,
issues du Prince. Le chroniqueur de Fontinelle évoque son voisin,
dit aussi ignorant que ses prédécesseurs. Gouziolenus est qualifié
d’inculte. Pratiques superstitieuses et païennes qui sont dans un
inventaire : ‘Induculus Supertitionum’. Le sommet est
atteint par le cas de Adalbert. Ce dernier est prêtre dans la 2e
moitié du VIIIe siècle Il dénonce la hiérarchie ecclésiastique,
les sacrements (baptême), il prêche que le salut lui vient des
anges. Il distribue ses ongles et cheveux en reliques. Il faut un
synode qui réunit 743 évêques pour en venir à bout.
Il
condamne officiellement l’hérésie d’Adalbert au motif que le
peuple peut tomber dans la main de charlatans, et la reprise du
paganisme...
Dès
l’accession de Pépin le Bref et surtout de Carloman, les
réformateurs prennent des mesures. Pépin décrète lors du concile
de Ver, que les synodes se tiendront deux fois par an, dont une fois
sur convocation et en présence du roi. Rencontre des prêtres et des
évêques. Soumission à leur autorité. La hiérarchie est remise en
ordre. Les clercs doivent avoir un mode de vie distinct. Ils ne
doivent pas porter les armes, pratique de l’abstinence sexuelle.
Port de la chasuble. Les pratiques païennes sont proscrites et pour
dédommager les clercs de la reprise en main des terres
ecclésiastiques, Pépin et Carloman instituent la dîme, « decesima
pars’ », la dixième partie. Fait le ménage dans la
hiérarchie ecclésiastique en déposant les évêques jugés
indignes. L’évêque de Rouen est déposé, mais pas d’illusions.
De nombreux évêques y échappent...
Beaucoup
d’évêques appartiennent à de grandes familles de l’aristocratie.
Pas question de déposer le petit frère pour son comportement. Le
grand frère, comte peut se révolter par la suite.
Les
rapports entre le roi et les évêques. Entre l’époque Romaine
tardive et le haut moyen age, l’aristocratie sénatoriale s’est
reconvertie (socialement) dans l’Église. Depuis Charles Martel, le
roi a un rôle à jouer dans la dévolution des fonctions
ecclésiastiques. 3 empereurs Carolingiens peuvent nommer aux
fonctions ecclésiastiques. Le roi peut investir les titulatures pour
les abbayes et évêchés. Les évêques écrivent « évêques
par la grâce de dieu et la volonté du roi ».
Il
y a les activités spécifiques : Confirmation et ordination. Il
y a aussi la gestion du diocèse, organisation de la vie religieuse,
prédication. Réaffirmer les dogmes et la morale. L’évêque est
le « pater civitatis ». Il occupe la première place dans
la ville à côté du comte et souvent devant le comte. Moins de
renseignements sur la sculpture. En revanche, on ne peut plus écrire
que c’est de l’art inconnu des Carolingiens. On sait qu’il
existe dans l’Église abbatiale de Saint-Riquier (Somme). Nativité,
Passion, Résurrection, Ascension.
Rôle
dans le déroulement de la liturgie. Les textes nous apprennent qu’il
y avait des images en 3 dimensions du crucifix et des saints. Mais,
il n’y a pas encore de tympans sculptés, ni de sculptures sur les
chapiteaux.
Les cathédrales ne sont pas que de style gothique. Entre le VIIIe et le IXe, beaucoup de cathédrales sont construites. Raoul Glaber, les constructions Carolingiennes sont en bon état 2 siècles après. « reconstruction des Églises, bien qu’en bon état. Le peuple chrétien rivalise pour la possession des Églises (...) se couvrait d’un blanc manteaux d’Églises ». Cathédrale de Reims, commencée par Ebbon et terminée sous Hincmar. Cologne, Beauvais, etc... 27 cathédrales construites entre 768 et 855.
Rares
sont les édifices qui ont survécu. Destruction au Moyen Âge soit
parce qu’ils ne conviennent plus au goût architectural de
l’époque, soit parce qu’ils ne répondent plus au besoin de la
liturgie.
Les
chapelles sont bâties au sein des palais. On parle de chapelles
palatines. Chapelle d’Aix et copie à Compiègne (détruite).
L’autre versant est constitué par les constructions monastiques. L’importance de l’aristocratie dans le développement du mouvement monastique. 768-845. Constructions de 417 monastères. Rappel de quelques lieux « célèbres » : Saint-Denis reconstruite entre 768 et 775. Charlemagne agit sur les dernières volontés de son père.
Saint
Riquier (Somme).
Saint
Gall est célèbre pour son plan, établi en 820.
Demande
de l’abbé Gozbert. Manière de découvrir la technique de
construction. Plans pour la vie quotidienne d’une communauté qui
vit sous la règle de Saint Benoît. Galerie à toit ouvert. Rôle
central dans l’histoire, les clercs donnent la structure à
l’administration. Ils occupent les plus hautes fonctions.
Abbé
Louis, chancelier de Charles le Chauve.
Abbé
de Saint Denis et de Saint Germain des Prés. Alcuin et Charlemagne.
Les
hommes d’Église le font parce qu’ils pensent que le souverain
est le plus apte à remplir son ministère avec leur « aide ».
Ne
pas oublier le rôle des clercs dans l’expansion culturelle. Sans
cette armée de copistes, pas d’accès à Cicéron, César,
Virgile, etc... L’Église occupe une place essentielle dans la vie
sociale du monde de l'époque. Acteur majeur de l’économie. Série
de chapitres sur l’économie, mais ce qui contribue encore
davantage à jeter le désordre dans le régime financier de la Gaule
Franque, c'est l’usage des immunités. L’histoire ne peut pas
dire dans quelle proportion cette faveur est accordée à des
laïques, guerriers ou courtisans des rois, les diplômes de cette
catégorie ne se sont pas aisément conservés, mais, en ce qui
concerne les terres d’église, une multitude de chartes qui nous
sont parvenues attestent de toute l’étendue du mal... On appelle
charte d’immunité une lettre royale qui est concédée à un
évêque ou à l’abbé d’un monastère, et qui contient toujours,
comme trait essentiel, une phrase conçue ainsi :
« Nous
voulons qu’aucun de nos fonctionnaires, ni duc, ni comte, ni aucun
agent inférieur, ni aucun homme revêtu d’une fonction publique
quelconque, n’entre sur les terres de celui à qui nous donnons
cette immunité, ne mette les pieds sur les domaines de cet évêque
ou de cet abbé, en quelque province qu’ils soient situés, soit
pour y rendre la justice, soit pour y percevoir les amendes, soit
pour exiger aucune contribution des habitants libres ou serfs qui y
vivent. »...
C’est
renoncer à la fois à la juridiction, à l’administration et à
l’impôt. Or cette concession s’applique à toutes les terres
qu’un évêché ou un monastère peut posséder, et nous savons
qu’il y a des monastères, comme ceux de Saint-Denis, de
Saint-Martin et de Saint-Germain, qui ont de très nombreux domaines
dans toutes les parties de la Gaule. La concession s’étend même
« à tout ce que l’église ou l’abbaye peut posséder à
l’avenir, à tout ce que la générosité des fidèles peut lui
donner dans la suite des temps. »
Le
renoncement royal ne comporte ni réserve ni limite... Si l’on
observe de près ces immunités, on voit bien qu’elles ne
suppriment pas précisément l’ancien impôt public, les hommes
libres qui habitent les domaines ecclésiastiques continuent à y
être soumis, mais l’impôt est payé à l’église ou « au
saint, » au lieu de l’être au roi. Du côté du
contribuable, l’impôt subsiste, du côté du roi ou de l’état,
l’impôt disparaît. En d’autres termes, la contribution publique
se transforme en redevance privée. Ce changement est une des causes
les plus efficaces du développement de la féodalité. Pour ce qui
concerne spécialement l’histoire des impôts, on devine aisément
quelles en sont les conséquences. Il arrive insensiblement que
toutes les propriétés ecclésiastiques et plus d’une terre laïque
soient exemptées, non-seulement l’impôt foncier est diminué
d’autant, mais la perception en devient plus difficile sur les
terres qui continuent à le supporter, il faut distinguer pour chaque
champ à quelle sorte de propriétaire il appartient, les anciens
registres de répartition deviennent inutiles, aucun cadastre n'est
possible. Les petits propriétaires trouvent intérêt, pour
s’affranchir de l’impôt public, à livrer leurs terres au
propriétaire immunisés, qui leur en rendent la puissance sous la
condition d’une redevance privée. Ce qu’il y a enfin de plus
funeste, c’est que l’impôt, là où il subsiste, apparaît aux
hommes comme une charge inique. Toute notion juste à l’égard des
contributions publiques disparaît des esprits.
Il
en a été des impôts comme des institutions politiques et
administratives. Ils ne se sont modifiés que lentement, ils se sont
insensiblement affaiblis avant de disparaître tout à fait. Le
système des contributions Romaines a traversé toute la période
Mérovingienne et est arrivé, presque intact, jusqu’aux
Carolingiens.
Chilpéric
II (roi des Francs) — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Chilpéric_II_(roi_des_Francs)
Confirmation
des privilèges d'immunité accordés à l'abbaye de Saint-Denis, 716
(Archives ... 716, où il confirme les privilèges d'immunité
accordés par ses ancêtres à ... Charles Martel, l'année suivante,
envoyant des légats auprès d'Eudes, …
Persée
: Études sur l'abbaye de Saint-Denis à l'époque ...
www.persee.fr/web/revues/.../bec_0373-6237_1930_num_91_1_44890...
de
L Levillain - 1930 - Cité 9 fois - Autres articles
Les
archives de Saint-Denis conservaient, à côté des diplômes
relatifs à la grande foire ... Lauer et Samaran, ont enclos l'acte
entre les années 679 et 690 : il était .... de Charlemagne en
faveur de Saint-Denis, l'un de 778 confirmant l'immunité pour le
..... Dans le diplôme de Ghilpéric II du 29 avril 716, confirmant
les actes ...
Le
christianisme carolingien - Ulysses Saloff-Coste | web ...
ulysse.saloff.free.fr/?Le-christianisme-carolingien
8
mars 2006 - Frise, 716, première mission d'évangélisation qui se
solde par un échec. Puis, il part pour Rome .... L'évêque tient
une seigneurie épiscopale ; immunité. C'est l'interdiction ... A
partir des années 930-940, les raids vikings aiment les monastères.
... Monastères de Saint Germain des Prés ou de Saint Denis.
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