samedi 20 juin 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 698

19 JUIN 2015...

Cette page concerne l'année 698 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

CARTHAGE DISPARAÎT

Tibère III Apsimar (grec : Τιβέριος Γ' Ἀψίμαρος), mort le 15 février 706, est empereur Byzantin de 698 à 705. Comme son vrai nom, Apsimar, l'indique, c'est un officier d'origine étrangère (Gothique, Iranienne ou Arménienne). En 697, il est drongaire de la flotte des Cibyrrhéotes et, sur l'ordre de l'empereur Léonce, il accompagne Jean le Patrice dans l'expédition navale de reconquête de Carthage et de la province d'Afrique... Après l'échec de l'expédition, la flotte s'étant repliée sur la Crète, un groupe d'officiers, appréhendant de subir les conséquences de cette défaite, se mutine contre Jean le Patrice et proclame Apsimar empereur (printemps 698). Les mutins se dirigent ensuite vers Constantinople et s'emparent du faubourg de Sykai, sur l'autre rive de la Corne d'Or. La capitale est alors en proie à la peste et aucun soutien pour la rébellion ne s'y manifeste. Après plusieurs semaines de siège, une porte des remparts est ouverte, selon certaines sources par des soldats d'origine étrangère. Les rebelles s'engouffrent dans la cité et s'y livrent au pillage. L'empereur Léonce, capturé, subit le même supplice qu'il a infligé à son prédécesseur Justinien II, à savoir l'ablation du nez (rhinokopia), cette amputation écartant du trône. Léonce est ensuite relégué dans le monastère urbain de Psamathion.

Apsimar règne sous le nom de Tibère III, reprenant peut-être le nom du dernier empereur dont le règne s'est déroulé sans calamités. Il fait de son frère Héraclius le commandant unique (monostratêgos) en Asie Mineure, et comme l'attention du calife Abd al-Malik est occupée par une révolte qui vient d'éclater en Perse, il l'envoie dès l'automne 698 mener une campagne militaire en Syrie. Héraclius bat facilement une armée arabe partie d'Antioche et s'avance jusqu'à Samosate.

Au printemps 699, il revient chargé de butin et de prisonniers. Cette victoire facile et sans lendemain n'a pour effet que d'attirer une riposte massive de la part des Arabes : en 700, ils envahissent l'Arménie Byzantine, prennent Théodosiopolis et poussent leurs incursions beaucoup plus à l'ouest, en 701, tout le territoire Byzantin à l'est de l'Euphrate passe sous domination arabe, le commandant Arménien Baanès ayant capitulé et la population « accepté » (pouvaient-ils faire autrement) un gouverneur musulman. L'empereur et son frère ne font aucune tentative de résistance.
En 704, les habitants de Cherson, où l'ex-empereur Justinien II a été banni avec ses proches, dénoncent à Tibère III une opération préparée par celui-ci pour revenir au pouvoir. Confronté à cette menace, Apsimar rappelle précipitamment son frère Héraclius de la frontière orientale. Ce dernier part en campagne en juillet 705 contre les Bulgares et il arrive sur leur frontière, mais Justinien II et Tervel le contournent et marchent directement sur Constantinople. Tandis qu'il prend le contrôle de la capitale, Apsimar s'enfuit vers le nord jusqu'à Sozopolis, où il prend contact avec son frère Héraclius. Mais leur armée les abandonne graduellement, et ils sont capturés quelques mois plus tard... En février 706, Justinien met soigneusement en scène l'exécution conjointe de Léonce et d'Apsimar, promenés dans les rues sous les quolibets de la foule, exhibés à l'Hippodrome la tête sous les pieds de l'empereur, et finalement décapités...

Début du règne de Tibère III Apsimar, empereur byzantin (fin en 705).
  • La guerre sur mer contre les Arabes provoque la révolte de la flotte. En Crète, les troupes revenant d'Afrique proclament l’amiral Apsimar empereur sous le nom de Tibère III.
  • Avec le concours de la faction verte, Apsimar pille Constantinople. Léonce II a le nez coupé.

Léonce II (695 à 698) s’empare alors du pouvoir, mais n'est pas un meilleur souverain que son prédécesseur.
En 698, les musulmans lancent une nouvelle attaque contre l’exarchat de Carthage, et parviennent à s’en emparer. C’est alors que la flotte d’Afrique se révolte, portant l’amiral Tibère III au pouvoir. Ce dernier dépose alors Léonce II, lui fait couper le nez et jeter en prison.

Tibère III ou Apsimar (698 à 705) – Après avoir éliminé Léonce II, monte sur le trône. Lui non plus ne parvient pas à juguler l’expansion musulmane en Afrique, bien qu’il parvient à remporter quelques victoires en Syrie et à s’emparer d’une partie de l’Arménie (700.). Cependant, Justinien II, exilé en Crimée, s’est enfui en 698, profitant de l’usurpation de Tibère III. Il rejoint les Khazars, un peuple semi-nomade originaire d’Asie centrale, installé au Caucase dont ils ont chassé les Bulgares. Ces derniers sont des alliés fidèles de l’Empire Byzantin. Lui non plus ne parvient pas à juguler l’expansion musulmane en Afrique, bien qu’il parvient à remporter quelques victoires en Syrie et à s’emparer d’une partie de l’Arménie (700.).
Carthage (en latin Carthago) est un des nombreux comptoirs fondés par les Phéniciens venus de Tyr en longeant les côtes d'Afrique... La ville fondée vers 820 avant J.-C. selon la tradition, par la Phénicienne Élissa, ou Didon, sous le nom de Qart Hadasht (« Ville neuve »). Modeste bourgade à ses débuts, Carthage doit, en signe d'allégeance, verser une dîme à Tyr et, pendant un siècle et demi, payer un tribut aux Libyens. Mais, au cours de la seconde moitié du VIIe siècle avant J.C., la ville, profitant du déclin de Tyr, incapable de contenir la progression des Grecs en Méditerranée Occidentale, va progressivement mettre fin à cette dépendance.

En 654, la fondation d'Ibiza (Baléares) marque une étape importante dans l'ascension de Carthage. Elle traduit sa volonté de s'implanter sur les routes commerciales établies par les Phéniciens, et tout particulièrement celles des matières premières – plomb, cuivre, fer, étain – et métaux précieux – or, argent surtout –, dont regorge l'Espagne. Progressivement, Carthage impose donc sa domination aux comptoirs Phéniciens de Méditerranée Occidentale et fonde un empire maritime sous la conduite de la famille des Magonides, en installant ses comptoirs sur les côtes d'Espagne, aux Baléares, en Sardaigne et dans l'ouest de la Sicile. Pendant près de 8 siècles, Carthage va en effet disputer la Méditerranée aux Grecs puis aux Romains, attirés eux aussi par les mines d'Espagne, les greniers de Sardaigne, la Sicile et les relais maritimes indispensables à l'hégémonie commerciale.
Les Grecs, tributaires d'un territoire exigu et pauvre, se lancent à la conquête de la Méditerranée – tels « des grenouilles autour d'une mare », selon Aristophane. Ils fondent des colonies en Italie méridionale (Tarente, Crotone, Naples), en Sicile (Agrigente, Syracuse), à Nice, Marseille, Agde et en Corse. Ils ambitionnent aussi de s'installer en Sardaigne et d'accéder au commerce Ibérique.

En -580, Carthage défend les Phéniciens de Motyé et de Palerme contre les Grecs, dont elle défait les armées à Sélinonte, sur la côte sud-ouest de la Sicile.

Un demi-siècle plus tard, elle s'allie aux Étrusques d'Italie occidentale et expulse de Corse les Phocéens de Marseille.

En -510, elle empêche, aux côtés des Libyens, les Spartiates de fonder une colonie en Tripolitaine.

La proximité des riches terroirs de l'Africa (Ifriqiya) actuelle Tunisie et les perspectives de butin qu'offrent ses nombreuses et opulentes cités ne peuvent que susciter les convoitises des vainqueurs d'Égypte même si les premiers califes demeurent réticents à l'idée de pousser aussi loin les conquêtes arabes.

Les sources relatives à l'irruption des musulmans en Afrique du nord-ouest sont rares et postérieures d'un ou deux siècles aux événements qu'elles relatent. Il convient donc de tenir compte du caractère légendaire de certains épisodes et de la volonté de donner à divers personnages une dimension héroïque sans doute bien éloignée de la réalité historique. Alors que le calife Omar est résolument hostile à toute nouvelle poussée vers l'ouest, son successeur Othman autorise le gouverneur d'Égypte, Abdallah ibn Sa'd, à tenter l'aventure.
En 647, Ibn Sa'd écrase près de Sufetula (Sbeitla) l'armée Byzantine du patrice Grégoire qui est tué au cours de l'affrontement.
Le pillage de Sufetula et les razzias opérées dans le sud de la Byzacène (l'actuelle Tunisie centrale) permettent alors d'accumuler un énorme butin et, quand les Byzantins proposent de verser une grosse indemnité de guerre pour acheter le repli des envahisseurs, ceux-ci qui ne disposent pas des moyens nécessaires pour assiéger les villes du nord de l'Ifriqiya acceptent de bonne grâce de regagner l'Égypte...

Berbères et Byzantins face aux Arabes
La défaite Byzantine et les possibilités de razzia qu'offre la province doivent naturellement entraîner de nouveaux raids, mais les difficultés liées à la succession du calife Othman et la rupture entre les partisans de l'Ommeyade Mo'awiya et ceux d'Ali, gendre du Prophète, offrent un sursis inespéré à l'Afrique Byzantine et Berbère. En 665, une armée califale bat les forces Byzantines débarquées à Hadrumète et se replie sur l'Égypte avec un important butin mais il faut attendre Oqba ben Nafi, qui a déjà réalisé un raid fructueux dans le Fezzan, pour que les musulmans s'établissent de manière permanente dans la région.

C'est en 670 qu'il fonde, au cœur de la Byzacène, une place d'armes, Qairawan, appelée à devenir la grande cité de Kairouan, place chargée de tenir en respect
les Byzantins toujours présents dans les villes côtières mais aussi les Berbères, capables de menacer, à partir de leur bastion dans les Aurès les voies de communication avec la Cyrénaïque et l'Égypte.

Mal récompensé pour les services rendus, Oqba est remplacé par Abou el Mohajir qui, plus politique que son prédécesseur, cherche l'alliance de certaines tribus Berbères. Rentré en grâce quelques années plus tard, Oqba reçoit en 681 le commandement suprême des forces musulmanes du Maghreb et lance vers l'ouest son fameux raid dont les historiens arabes nous disent qu'il l'a conduit jusqu'aux rives de l'Atlantique... L'étude critique des textes montre que cette expédition n'a pas dû dépasser la vallée du Chélif et que la mer devant laquelle son chef prend Dieu à témoin de ne pouvoir avancer au delà n'est que la Méditerranée. Au retour de ce raid vers l'ouest, Oqba est surpris en 683 par une coalition formée de Byzantins et de Berbères placés sous les ordres du prince awraba Kosaila et trouve la mort lors du combat livré à Tahouda, au sud des Aurès. L'échec est de taille pour les Arabes qui abandonnent toutes leurs conquêtes à l'ouest de la Cyrénaïque alors que Kosaila entre en vainqueur à Kairouan.

Le pays n'en reste pas moins vigoureusement disputé. Une armée arabe l'emporte en 686 sur Kosaila qui est tué mais elle ne laisse qu'une simple garnison à Kairouan et, surprise par un corps Byzantin débarqué à Barca, elle est massacrée sur le chemin du retour. Le calife Abd el-Malik ne s'avoue pourtant pas vaincu et envoie en Afrique une nouvelle armée qui réussit à s'emparer de Carthage en 695, mais une flotte Byzantine reprend la ville à la faveur des difficultés que rencontrent les Arabes face aux Berbères.

Le calife Abd el Malik réapparaît en Byzacène et reprend Carthage en 698 pour la remplacer, au fond du golfe, par la ville nouvelle de Tunis qui apparaît davantage à l'abri d'une attaque venant de la mer... Précaution superflue dans la mesure où les flottes musulmanes commencent à cette époque à surclasser les flottes Byzantines en Méditerranée. Bientôt la fameuse formule d'Ibn Khaldoun selon laquelle « à cette époque, les chrétiens ne peuvent faire flotter une planche sur la mer… » devient une réalité et détermine de manière décisive les succès musulmans.

L'Empire Byzantin a dès lors perdu l'Afrique et ne maintient plus sa présence que pendant quelques années à Septem (Ceuta) et dans l'archipel des Baléares.
Les Arabes n'en ont pas fini pour autant avec les Berbères mais la division de ceux-ci leur facilite la tâche. Soutenue par les nomades, la Kahina s'est mise à dos les sédentaires et les citadins attachés à un retour rapide de la paix, fût-ce au prix de la domination arabe.

Fondée sur cette distinction entre les différents genres de vie berbères, la thèse développée par Émile Félix Gautier, le grand historien des Siècles obscurs du Maghreb, a été discutée et son caractère trop systématique a été mis en cause mais il n'en reste pas moins certain qu'elle contribue à éclairer les conditions dans lesquelles la conquête arabe a pu se réaliser au tournant des VIIe et VIIIe siècles.

Dès 740, la pression fiscale exercée par les représentants des califes Ommeyades déclenche la révolte et deux armées califales envoyées d'Orient sont successivement écrasées par les rebelles qui ne sont arrêtés qu'en mai 742 devant Kairouan. La fin de la dynastie Ommeyades et le déplacement vers Bagdad de la capitale califale permettent à l'Afrique de jouir d'une quasi indépendance... Les conquérants arabes ont ainsi perdu pour une bonne part le contrôle du Maghreb, mais l'Islam y est désormais solidement implanté.

Pour en revenir à Carthage la cité, en proie à la peste est finalement anéantie par les Arabes en 698. Le conquérant arabe Hassan ibn Numan préfère s'installer à l'emplacement de l'actuelle Tunis qui sera bâtie à partir des pierres de la cité vaincue.
Les Amis de Flaubert – Année 1983 – Bulletin n° 62 – Page 17

Fidélité à un rêve Carthaginois

« « C’est au cours d’une escale en Afrique du Nord qu’il m'est donné de réaliser un rêve longtemps caressé : Découvrir ce qu’il peut rester de Carthage après les guerres puniques, l’exploit d’Annibal, fils d’Hamilcar-Barca, qui franchit les Alpes avec ses éléphants de combat, bat les Romains en de fulgurantes victoires, mais ne recevant pas de renfort, revient défendre désespérément sa patrie, puis se suicide en absorbant le poison qu’il portait toujours sur lui...

D’autres images : Le défilé de la Hache, la révolte des mercenaires.
Enfin Carthage tombée aux mains des Arabes en 698.
Dans mon excursion sans but précis, je n’ai pratiquement fait que deviner dans la presqu’île l’emplacement de la célèbre forteresse de Byrsa, et, entre le golfe de Tunis et le petit port de la Goulette, qu’entrevoir des ruines éparses où gîtent (m’a-t-on dit) dans le plus complet dénuement des sortes d’ilotes dégénérés, aux cheveux d’albinos et aux yeux clignotants de nyctalopes... J’ai pourtant appris des personnes qualifiées que des fouilles récemment entreprises sous l’égide de l’Unesco, tant en Sicile qu’en Sardaigne, en Espagne et en d’autres endroits d’obédience Carthaginoise, commencent à révéler ce qu’est le vrai visage de « La reine des mers », l’une des thalassocraties la plus riche de l’antiquité et son rôle considérable dans la Méditerranée occidentale.
Alors, comme une antienne me revienant en mémoire les premiers mots de Salammbô, chef-d’œuvre de Gustave Flaubert, ce Viking des Lettres Normandes... » »

« C’était à Mégara, faubourg de Carthage, au cours d’un festin que donnait Hamilcar, le Suffète, pour célébrer la bataille d’Éryx.
Mâtho se penchait vers Salammbô, elle lui versa dans une coupe précieuse un long jet de vin : « Bois ! » fit-elle, or lorsqu’une femme fait boire un soldat, elle lui ouvre sa couche… »

[...Salammbô, Gustave Flaubert.
La chaînette d’or
Phébé l’astre des nuits de ses rayons lunaires
Auréolait Carthage et la guerre a pris fin.
Mâtho, rude guerrier, le chef des mercenaires
— Loup venu de Libye — a pu calmer sa faim.
Il se tenait très droit par arrogante allure
Craint pour sa force autant que pour sa cruauté.
Portait pourpoint de cuir sous l’acier de l’armure ;
Un glaive court pendait au baudrier clouté.
Faubourg de Mégara montaient des cris de haine,
Les hommes de Mâtho réclamaient le paiement
De la solde en retard : véhémence soudaine
Des instincts primitifs en leur déferlement.
Le pétrole brûlait dans des vasques de marbre.
« Le feu ! » — clamèrent-ils — « incendions le palais ! »
Ils n’achevèrent point, s’appuyant contre un arbre,
Salammbô, la voix rauque, immobile, parlait.
« Que faisiez-vous, vaillants défenseurs de Carthage ? »
Elle aperçut Mâtho l’attendant sur le seuil,
Et lui la fascinait, pris du désir sauvage
D’avilir cette chair promise à son orgueil.
Les seins petits et durs saillant sous la simarre,
Les cheveux relevés aux reflets violets
Provoquaient l’attirance envoûtante et barbare ;
Des diamants brillaient à ses lourds bracelets.
C’est au camp du désert qu’elle offrit son corps vierge
En échange du Zaïmph que Mâtho déroba.
Refoulant sa pudeur comme un flot qui submerge,
La fille du Suffète Hamilcar succomba.
Dans la tente où des peaux, des armes s’éparpillent,
Mâtho s’est brusquement rapproché de trois pas,
Rompt la chaînette d’or entravant les chevilles ;
Salammbô, les yeux clos, ne le repousse pas...]

Louis Bergen-Le Play
Premier prix de poésie classique aux Jeux Floraux de Cherbourg
et au concours d’Art et Poésie de la ville de Nice.




L'art de vérifier les dates des faits historiques, des ...
https://books.google.fr/books?id=b7EKGAMFdRoC
Maur Dantine, ‎Clément - 1783
... qui reprit Carthage sur les Musulmans l'an 6 97; mais ceux-ci, l'année suivante , y ... ABSlMARE, fait Empereur, l'an 698 , par la EXARQUES DE RAVENNE. ... ce second Duché , il livre bataille , sur les bords de urpatcut, qui périt dans la mélée. ... quæil avoit pour defcendre au tombeau l'année même de son'usurpation.
Introduction. La conquête arabe - OpenEdition Books
books.openedition.org/efr/1431?lang=fr
L'année d'après, le même général se risquait à un second raid vers l'ouest, encore ... 7 La plupart des textes arabes signalent la mort de Grégoire dans la bataille, .... la conquête, puisque l'année suivante, en 698, Hassân reprit Carthage19.

Carthage - SiteMAI
lesitemai.free.fr/?url=Carthage
SiteMAI : L'histoire de Carthage entre -814 et 698 : des Phéniciens aux Arabes en passant par les guerres puniques. ... La bataille de Zama est remportée par Scipion. ... Les années 193 à 439 sont une période de dépression économique.

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