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JUIN 2015 …
Cette
page concerne l'année 708 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
DIFFICILE
OBSERVANCE DES TRAITES
JUSTINIEN II ET SON MASQUE D'OR |
En
708 la bataille d'Anhialo est le premier affrontement sérieux entre
Byzance et la Bulgarie, après l'instauration de l'état Bulgare en
681.
En
705 l'empereur Byzantin déchu Justinien II Rhinotmète
sollicite le concours militaire du khan Bulgare Tervel afin de
reprendre son trône. Le khan Tervel refuse...
La
période du Premier royaume Bulgare
va de 681 a 1 018. Elle connaît deux étapes dans son développement
: La période du khanat (dit encore khaganat, le règne des Khans) de
681 à 856, et la période chrétienne de 856 à 1 018 où les
souverains Bulgares porteront le titre de roi et la Bulgarie
atteindra le rang d'empire.
Le
fondateur du premier état Bulgare en 681 et le khan Doulo. Après
l'éclatement de la Grande Bulgarie il se dirige avec une fraction de
la population vers le sud-ouest, dans la zone du delta du Danube. Sur
place les Bulgares rencontrent les Slaves qui sont les derniers à
s'être établis dans l'ancienne province Romaine de Mésie. Les
Slaves ont des accords avec Byzance pour la surveillance et la
protection des territoires du nord-est de la péninsule des Balkans.
Initialement
Byzance a toléré la présence des Bulgares mais les rapports qu'ils
établissent avec les Slaves commencent à l'inquiéter et une
expédition militaire est organisée par Constantinople dans le but
de les déloger du delta du Danube. La bataille se produit en 680
près d'Ongala (auj. Niculiţel, Roumanie) et l'armée Byzantine est
battue.
Byzance
ne peut plus qu'accepter ses nouveaux voisins même si elle refuse de
reconnaître le titre de roi à leur souverain. Ainsi, en 681 la
Bulgarie est née et le nom s'impose et Byzance doit payer un tribut
au nouveau royaume... La Bulgarie et Byzance auront des relations
compliquées durant le Moyen Age. Tour à tour alliés et redoutables
adversaires, la Bulgarie creuse le territoire Byzantin.
Premièrement
la capitale est établie à Ongala mais ensuite elle est transférée
à Pliska où est construit le palais. Au khan Asparouh succède le
khan Tervel. Il établit des relations diplomatiques avec Byzance,
notamment avec Justinien II Rhinotmète (le nez coupé),
l'empereur déchu, qu'il va aider à regagner son trône.
En
récompense la Bulgarie obtient la région dite Zagorié qui
correspond à la région de Stara Zagora et à l'est jusqu'au
littoral, sans comprendre les villes maritimes. Justinien II promet
aussi sa fille, alors enfant, comme future épouse au khan et lui
donne le titre honorifique Khessar (second après l'empereur).
Cependant, en 708 Justinien II lève une armée pour attaquer Tervel
et subit une défaite à la bataille d'Anhialo. Pas rancunier, le
khan Tervel lui fournit 3 000 soldats Bulgares et Slaves en 711 pour
qu'ils l'escortent dans sa fuite vers Vithynia.
En
716-717, sous le règne des empereurs Byzantins Théodose III et Lion
III, la Bulgarie avec le khan Tervel arrive au secours
de Constantinople assiégé par les Arabes et leur inflige une
lourde défaite. Durant cette période des nouveaux traités
concernant la frontière d'état, de tributs payé de Byzance à la
Bulgarie, ont été établis. La frontière passe du rivage nord de
la baie de Bourgas en direction ouest-sud-ouest, sous les hauteurs
Bakadjik et jusqu'à Maritza. Les Bulgares construisent le val dit
Erkessia le long de cette frontière. Après Tervel plusieurs khans
se succèdent à la tête de l'état, une période d'instabilité
s'ensuit marquée également par une dizaines de campagnes militaires
de Byzance contre la Bulgarie. Après l'arrivée au pouvoir des khans
Télérig (768-777) et Kardam (777-802) la situation se stabilise, la
succession par le khan Kroum en 802 va poser le début d'avancées
puissantes pour la Bulgarie...
Tervel
de Bulgarie, également appelé Tarvel, TERVAL ou Terbelis dans
certaines sources Byzantines, est un khan Bulgare au début du VIIIe
siècle. en 705, il a reçu le titre de César, quelque chose
d'inédit dans l'histoire de l'Empire Romain. C'est probablement un
chrétien comme son grand-père, le khan de la Grande Bulgarie.
Ensuite l'armée Bulgare en renfort des Byzantins détruit les
forces arabes durant le siège de Constantinople, Tervel a été
appelé par ses contemporains « sauveur de l'Europe. »
Tervel
appartient au clan Dulo et régne pendant 21 ans. Selon une
chronologie créée par Moskov, Tervel régne entre 695 et 715.
D'autres chronologies, cependant, marquent son règne comme ayant
lieu entre 701 et 718 ou entre 700 et 721, Certaines traditions
ultérieures nous permettent d'identifier Tervel comme le fils et
héritier de son prédécesseur, Asparuch, qui est probablement mort
dans la bataille contre les Khazars.
Pendant
l'été 695, une armée arabe met au pillage l'Arménie Byzantine,
s'avançant loin vers l'ouest et emmenant de nombreux captifs. Cette
fois, la faiblesse de l'Empire en face du califat apparaît crûment,
et la réputation d'empereur victorieux qu'a pu se faire brièvement
Justinien II, sombre complètement, et probablement dans le but de
désamorcer l'hostilité les nombreux amis du stratège Léonce, qui
n'ont jamais admis son arrestation et son incarcération pendant 3
ans, Justinien le fait libérer et le nomme stratège du nouveau
thème de l'Hellas. Léonce doit quitter la capitale le jour même de
sa sortie de prison... Mais aussitôt, avant même qu'il ne parte,
une conspiration prend forme autour de lui, avec le soutien de
membres de l'aristocratie sénatoriale et du haut clergé, y compris
le patriarche Callinique Ier... Visiblement, les haines se sont
accumulées autour de l'empereur. La nuit suivante, une opération
est lancée contre le Prétoire, siège de l'éparque, qui est
capturé et ligoté. Les prisons dans lesquelles croupissent des
opposants sont ouvertes et des armes distribuées. Accompagné de
deux moines qui l'assistent dans le complot (dont l'higoumène
Georges de Cappadoce, du monastère de Florus près du Bosphore),
Léonce se rend chez le patriarche, qui prête son concours.
Des
émissaires sont envoyés dans les quartiers de la ville pour ameuter
la foule pour le lendemain matin à Sainte-Sophie. La faction des
Bleus (Les factions ou dèmes dans l'empire Byzantin étaient
essentiellement des organisateurs de courses de chars dans les
hippodromes de l'Empire et notamment dans le plus grand de tous,
l'Hippodrome de Constantinople. pendant la période proto-byzantine,
elles avaient un rôle éminemment politique et sont à l'origine de
plusieurs émeutes dont la sédition Nika. Il y avait deux factions
principales et deux mineures : Les Bleus (veneta) associés aux
Blancs et les Verts (prasina) associés aux Rouges. Ces factions sont
à l’origine des groupes de supporters (fautores) des différents
équipages qui s’affrontent dans les courses de chars. D'une
séparation territoriale au début, la différence entre les factions
change assez vite pour transformer en oppositions politiques et
religieuses).
La
Faction des bleus a soutenu le coup d'État. A Sainte-Sophie, le
patriarche Callinique prend la parole et soutient sans ambiguïté
l'entreprise.
La
foule se déplace alors à l'Hippodrome. Justinien II est arrêté
dans le Palais, sans qu'apparemment personne ne tire l'épée pour le
défendre, et traîné dans l'Hippodrome où Léonce trône déjà
revêtu de la pourpre impériale.
THEODORA |
La
foule réclame à grands cris l'exécution immédiate du souverain
déchu... Léonce lui fait grâce, mais lui fait couper le nez et
peut-être la langue pour l'empêcher à jamais de revendiquer à
nouveau le trône.
Quant
aux ministres détestés, Étienne le Perse et Théodote, ils sont
extraits du Palais, attachés par les pieds et traînés dans les
rues, et enfin brûlés vifs sur le Forum du Bœuf.
Justinien
est embarqué avec quelques-uns de ses proches et partisans et exilé
dans la cité de Cherson, sur la côte nord de la Mer Noire. À cette
date, il a 27 ans, et marié une fois, leur fille est fiancée en
705 à Tervel, le khan des Bulgares, auquel il est donné le titre de
césar...
En
704, Justinien II ronge son frein à Cherson, n'ayant pas renoncé,
malgré sa mutilation, à recouvrer son trône. Les notables de la
cité, apprenant qu'il a échafaudé un plan pour réaliser cette
ambition, décident de l'arrêter et de l'envoyer sous bonne escorte
à Constantinople pour que l'usurpateur Apsimar dispose de lui.
Mais
Justinien II parvient à s'enfuir avec ses proches, et se réfugie
auprès du khagan des Khazars, le peuple qui domine l'arrière-pays.
Il est tellement bien accueilli par le khagan qui lui donne sa fille
en mariage, elle est baptisée sous le nom de Théodora, nouvelle
marque de la fascination de Justinien II pour son homonyme Justinien
Ier...
Mais
Apsimar, ayant été informé des événements, envoie une ambassade
auprès du khagan, qui paraît disposé à livrer son gendre.
Justinien II parvient de nouveau à s'enfuir, laissant son épouse
khazare enceinte, et se rend par mer auprès de Tervel, khan des
Bulgares, où il arrive à la fin de 704. Il s'entend parfaitement
avec Tervel, qui accepte de mettre à sa disposition une armée de 15
000 hommes pour récupérer son trône. Apsimar, averti de ce qui se
trame, rappelle précipitamment son frère le monostratêgos
Héraclius de la frontière Orientale.
Héraclius
s'avance avec son armée vers la Bulgarie, mais Justinien II et
Tervel, qui l'accompagne, le contournent et se hâtent vers
Constantinople (juillet 705).
Après
avoir attendu 3 jours sous les murailles de la capitale, Justinien II
lui-même, accompagné de quelques hommes, se glisse dans la
canalisation de l'aqueduc de Valens, qui est désaffectée depuis le
siège de la ville par les Avars en 626, et parvient à faire ouvrir
une porte. Pendant que son armée prend le contrôle de la capitale,
Apsimar s'enfuit à Sozopolis. Lui et son frère Héraclius,
abandonnés peu à peu par leurs troupes, seront capturés quelques
mois plus tard.
Justinien
II fait procéder à des exécutions d'officiers et de fonctionnaires
qui ont servi les usurpateurs. Il dépose le patriarche Callinique
Ier, le fait aveugler et l'exile à Rome, contrairement à l'usage
qui veut que le patriarche soit choisi dans le clergé séculier de
la capitale, il le remplace par un moine d'Amastris de sa
connaissance, Cyrus.
Son
triomphe a lieu en février 706, quand il organise une fête pour les
exécutions conjointes de Léonce, tiré du monastère où il est
reclus, et Apsimar, qui a été capturé : Ils sont tous deux
promenés dans les rues sous les horions de la foule, figurent dans
un spectacle à l'Hippodrome la tête sous les 2 pieds de l'empereur,
et sont finalement décapités dans le Cynêgion...
Justinien
II récompense d'autre part l'aide que lui a apportée Tervel en le
couvrant de cadeaux (or, argent, soie...) et d'honneurs, lui donnant
sa fille et le le nommant césar, mais aussi en lui abandonnant des
territoires. Il envoie également une ambassade auprès du khagan des
Khazars pour faire venir son épouse Théodora et leur fils né en
704 qu'il appelle Tibère et qu'il associe au trône en 705. Par
ailleurs, il se fait paraît-il fabriquer un nez en or pour couvrir
sa mutilation...
Le
calife Abd al-Malik meurt peu après la restauration de Justinien II
son fils Walid Ier lui succède.
Muhammad,
frère d'Abd al-Malik, finit de soumettre l'Arménie révoltée en
massacrant la noblesse du pays.
En
706, Maslama, demi-frère du nouveau calife, envahit la Cappadoce et
fait le siège de la ville de Tyane pendant l'hiver 706-707.
Justinien II envoie deux stratèges à la tête d'une armée grossie
de paysans irréguliers, mais ils sont battus à plates coutures...
Tyane est mise à sac et ses habitants déportés.(
Encore et toujours le même scénario)
En
708, Justinien II mène une campagne contre les Bulgares pour tenter
de récupérer les territoires qu'il leur a abandonnés en 705, son
armée est attaquée et mise en pièces par Tervel près de la
forteresse côtière d'Anchialos l'empereur, parmi les rares
survivants, regagne Constantinople par la mer.
Pendant
ce temps, Maslama mène une nouvelle campagne jusqu'au cœur de
l'Asie Mineure et défait une armée Byzantine près d'Amorium.
L'année suivante, il dévaste encore l'Isaurie.
Cependant,
lorsque Justinien II est consolidée a sein du gouvernement, il viole
l'accord et commence ses opérations militaires pour récupérer la
zone affectée, mais le khan Tervel anéanti les Byzantins à la
bataille de Anquíalo en 708.
3
ans plus tard, face à une révolte sérieuse en Asie Mineure,
Justinien II demande à nouveau de l'aide à Tervel, mais il ne
reçoit qu'un modeste renfort sous la forme d'une armée de 3 000
soldats. Trompé par l'empereur rebelle Filípico, Justinien II est
capturé et exécuté.
Les
Bulgares sont autorisés à rentrer chez eux sains et saufs. Tervel
profite de la confusion dans l'Empire Byzantin pour attaquer
laThrace en 712, pillant toute la région et se dirige vers la
capitale impériale...
Selon
les informations d'Amen (historien), Tervel est mort en 715.
Cependant, le chroniqueur Byzantin Théophane le Confesseur, attribue
à Tervel un rôle clé dans la tentative de restauration de
l'Empereur Anastase II déposé en 718 ou 719.
Si
Tervel est encore en vie, il est le khan Bulgare qui a signé le
nouveau traité avec l'empereur Théodose III en 716.
Cependant,
ailleurs dans le récit, Théophane rapporte que le nom du roi
Bulgare qui a négocié ce traité était Cormésio, c'est à dire le
successeur de Tervel.
Il
est probable que le chroniqueur a attribué les événements 718-719
à Tervel simplement parce que c'est un nom familier... Selon une
autre théorie, Cormésio est l'envoyé deTervel.
La
plupart des chercheurs conviennent que c'est de l'époque de Tervel
que la célèbre sculpture du « Chevalier de Madara », a
été créé en hommage aux victoires sur les Byzantins, honorant son
père, Asparuch, et comme une expression de gloire de l’État
Bulgare nouvellement créée.
On
désigne communément sous le nom de Thrace la partie de l'Europe
Sud-Orientale comprise entre la mer Égée, la mer Noire et la mer de
Marmara. Les savants ont donné diverses étymologies de ce nom. La
plus vraisemblable paraît être celle que le colonel Anglais Mure
propose au siècle dernier : Il fait venir Θράκη de τραχεία
(rude), par le déplacement assez fréquent de l'aspiration d'une
syllabe à l'autre. La Thrace tirerait donc son nom soit du caractère
tourmenté de son sol, soit de l'âpreté de son climat.
Au
début, elle n'a pas de limites déterminées. Les Grecs appellent
Thrace tout le pays situé au nord de celui qu'ils occupent, y
compris la Macédoine, la presqu'île Chaîcidique et la Scythie.
Quand
leurs connaissances géographiques se précisent, les frontières
attribuées à la Thrace sont les suivantes :
Au
Nord, l'Ister (Danube).
A
l'Est, le Pont Euxin (mer Noire) et le Bosphore.
Au
Sud, la Propontide (Marmara), l'Hellespont (Dardanelles), la mer Égée
et le nord de la Macédoine.
A
l'Ouest, le Strymon (Strouma) et, à partir de Philippe et
d'Alexandre le Grand, le Nestos (Mesta).
Plus
au Nord, l'Illyrie. Ces limites subsistent même après la conquête
Romaine. Sous Auguste, le pays est divisé en deux provinces séparées
par la chaîne des Balkans. Entre ces montagnes et la mer Égée, on
a la Thrace proprement dite, et au Nord, jusqu'au Danube, la Mésie.
Il
y a une nouvelle division sous Dioclétien, puis plusieurs sous les
Byzantins. Avant 1878, la Thrace Turque comprend aussi toute la
Roumélie Orientale.
Le
traité de San Stéfano la réduit de plus d'un tiers.
La
guerre balkanique de 1912-1913 la diminue encore en attribuant à la
Bulgarie toute la partie Occidentale.
Le
traité de Neuilly (novembre 19 19) la lui a enlevée presque tout
entière pour la donner finalement à la Grèce, qui s'est vu
attribuer aussi le vilayet d'Andrinople par le traité Turc (août
1920).
La
Thrace Turque d'avant 1878 correspond à peu près à la province
établie par Auguste. C'est toute cette région qui mérite vraiment
le nom de Thrace, car c'est la conception qui convient le mieux au
cadre géographique. La Thrace n'englobe pas seulement les
territoires enlevés récemment à la Bulgarie et ce qui reste en
Europe de l'empire Ottoman après la guerre Balkanique, elle comprend
en réalité tout le bassin de la Maritza et de ses affluents,
c'est-à-dire 70 000 kilomètres carrés environ.
La
Thrace n'a jamais connu de vie propre. Issue du tronc Indo-Européen,
elle ne bénéficie pas de l'unité, politique, sinon à des
intervalles éloignés et pour des périodes généralement courtes.
Les
Thraces, divisés en tribus puissantes, mais souvent en guerre les
unes contre les autres, se montrent, en effet, constamment
réfractaires à toute idée d'unité nationale.
C'est
pourquoi ils n'ont pas pu se défendre contre l'occupation ou la
domination étrangère.
Puis
les Athéniens et les Spartiates,
Philippe
de Macédoine et Alexandre le Grand
Les
rois Syriens
Philippe
V de Macédoine et son fils Persée ont à compter avec les Romains
L'annexion
n'a lieu que sous Claude, en 46.
708
— Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/708
Cette
page concerne l'année 708 du calendrier julien. ... Tervel, khan des
Bulgares, envahit la Thrace et écrase les Byzantins à la bataille
d'Anchialos. Le Japon ...
Royaumes
bulgares - Bulgarie
la-bulgarie.fr/royaumes-bulgares/premier-royaume-bulgare
La
Bulgarie existe en tant qu'état indépendant depuis 681, année de
... Cependant, en 708 Justinien II lève une armée pour attaquer
Tervel et subit une ... Pas rancunier, le khan Tervel lui fournira 3
000 soldats bulgares et slaves en 711 pour ...
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