20
JUIN 2015...
Cette
page concerne l'année 697 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
VENISE
NAIT DES HABITANTS DE LA VÉNÉTIE CHASSES PAR LES LOMBARDS.
Paolo
Lucio Anafesto ou Paoluccio Anafesto (en latin : Anafestus
Paulucius) est, selon la tradition, le premier doge de Venise, élu
en 697.
Avec
l'affaiblissement du pouvoir Byzantin, entre le VIIe siècle et
le VIIIe siècle, l'autorité principale de la région passe à
un magistrat local, nommé « doge » (ce mot est une
variation dialectale issue du latin dux : en français,
« chef »).
Paolo
Lucio Anafesto a été le premier doge de la Vénétie maritime
pendant la période de 697-717, lorsque cette province, précédemment
dirigée par des tribuns, est érigée en duché, avec pour capitale
Eraclea, dans le cadre de la réorganisation de l'exarchat de Ravenne
à laquelle elle appartient. Cette modification de statut a eu deux
buts : D'une part, mettre fin aux conflits incessants qui
divisent les chefs des différents quartiers, et d'autre part,
coordonner la défense commune contre les Lombards et les Slaves, qui
menacent alors la contrée. Nommé par l'exarque de Ravenne alors
qu'il est probablement natif de la province (peut-être d'Oderzo) le
nouveau duc exerce le pouvoir au nom des empereurs suivants :
- Léonce II
- Tibère III
- Justinien II
- Philippicos
- Anastase II
- Théodose III
- Léon III (incertain)
L'exacte
identité du personnage n'est pas entièrement confirmée :
Selon l'hypothèse de l'historien John Julius Norwich, on le confond
avec Paul, exarque de Ravenne de 726 à 728 pendant la guerre
iconoclaste de 727. Le nom de Paoluccio (Paulicius) pourrait donc
provenir d'une erreur de transcription de Paulus Patricius, titre
attribué à l'exarque. De plus, le magister militum de Paul, par
coïncidence, est appelé « Marcello », c'est-à-dire
porte le même nom que le successeur de Paoluccio comme doge :
Marcello Tegalliano.
On
dit qu'aidé du magister militum Marcello, Paoluccio a négocié avec
Liutprand, roi des Lombards, les frontières de la ville insulaire
d'Eraclea, où se trouve la résidence ducale. Il a été victime
d'une conjuration des nobles de Malamocco et de Jesolo, qui ont
organisé une révolte contre Eraclea.
La
légende lui attribue la réalisation des premiers travaux de
fortification de Venise contre les incursions des pirates, ainsi que
la construction de l'arsenal militaire.
En
réalité, à l'époque, la ville de Venise n'existe pas encore.
Selon une autre tradition (difficilement vérifiable) il a été à
l'origine de la famille Falier.
La
date exacte de sa mort en 717, n'est pas non plus de source
absolument sûre.
Oderzo
a dédié une rue à ce concitoyen légendaire.
Un
tableau représentant son intronisation à Eraclea a été réalisé
dans les années 1930 par le peintre Giulio Ettore Erler, pour la
salle du conseil municipal de la ville...
Venise
(Venezsia en vénitien, Venezia en italien) est une ville du Nord-Est
de l'Italie et capitale de la région de la Vénétie, dans la plaine
du Pô. Siège pendant 11 siècles (697-1797) d'un des plus
prestigieux États Européens, la République de Venise, elle est
célèbre pour ses canaux, sa place Saint-Marc, son palais des Doges,
son carnaval...
Venise
et sa lagune sont inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO.
La
région à l'extrémité Nord-Ouest de la mer Adriatique, où se
jettent plusieurs fleuves issus des Alpes, est habitée dès
l'Antiquité par des pêcheurs, mariniers et sauniers. Cette zone
fait partie de la région X créée par Auguste, Aquilée (sur la
terre ferme) centre religieux et portuaire important.
Les
invasions des Goths d'Alaric I et des Huns d'Attila poussent les
populations locales à se réfugier dans les îles des marais situés
le long de la mer Adriatique, près du delta du Pô.
En
452, un premier établissement est fondé par des réfugiés de
Padoue et d'Aquilée.
La
région est intégrée, par la suite, au royaume des Ostrogoths puis
reconquise avec le reste de l'Italie par l'Empire Romain d'Orient
sous Justinien I.
La
ville de Venise a été fondée par des habitants des régions
voisines venus se réfugier en nombre dans les îles de la lagune
formée par l'estuaire du Pô après l'invasion de l'Italie du nord
par les Lombards en 568. En effet, cette zone marécageuse est restée
sous la juridiction de l'exarchat de Ravenne, donc en dépendance
théorique de l'Empire Romain d'Orient.
Elle
est donc un avant-poste de la civilisation Byzantine, mais au fur et
à mesure de son développement, la volonté d'autonomie s’accroît
jusqu'à aboutir à l'indépendance.
La
faiblesse de l'exarchat de Ravenne face aux Lombards favorise
l'émergence d'un pouvoir local incarné par le premier duc ou «
doge », Paolucio Anafesto (697-717), personnage aux confins de la
légende et de l'histoire.
La
ville de Venise ne devient réellement indépendante qu'après le
départ des Byzantins d'Italie du nord. La cité-État s'appuie sur
la mer pour étendre son pouvoir.
Le
dynamisme commercial entraîne une forte croissance de la ville. Il
faut conquérir des terres sur l'eau pour étendre la surface
urbaine. Au Moyen-Âge Venise est le plus important port de
Méditerranée et sûrement du monde. Après environ 1 100 ans
d'indépendance, Venise est conquise par Napoléon Bonaparte le 12
mai 1797, durant la première coalition. L'invasion des Français met
ainsi un terme au siècle où Venise connaît l'apogée de son
rayonnement, en devenant la ville Européenne la plus élégante et
raffinée, avec une forte influence sur l'art, l'architecture et la
littérature.
En
revanche, Napoléon est perçu comme une sorte de libérateur par la
population juive de Venise. Il supprime les barrières du Ghetto
ainsi que les restrictions de circulation imposées aux Juifs.
À
la fin de l'époque Napoléonienne, Venise devient partie intégrante
du royaume d'Italie, sous l'autorité Autrichienne, par la
ratification du Traité de Campo-Formio en octobre de cette même
année 1797. L'Autriche remet la Vénétie à l'Italie le 3 octobre
1866 pour la remercier de son soutien dans la guerre qui l'oppose à
la Russie. Venise depuis n'est plus qu'un chef-lieu de province au
sein de l'Italie...
Venise
occupe une situation géographique exceptionnelle, dans une lagune de
la mer Adriatique. Les principales autres îles de la lagune sont :
le Lido, Murano, Burano, Torcello.
Sans
oublier : San Michele (l'île cimetière de la ville), San Erasmo,
Mazzorbo, Le Vignole, Certosa, San Francesco del Deserto, San Giacomo
in Paludo, San Servolo, San Lazzaro degli Armeni, Giudecca.
La
ville est parcourue par plus de 160 canaux et s'étend sur 118 îles
situées entre l'embouchure de l'Adige (au sud) et du Piave (au
nord). Le centre historique est entièrement piétonnier, les canaux
faisant fonction de route, et les divers bateaux sont l'unique moyen
de transport avec la marche à pied.
Venise
est une ville contre nature, constatait déjà Chateaubriand.
Un
pont ferroviaire relie Venise au continent et une gare y est
construite.
Une
liaison routière est également établie, menant à un grand parking
en périphérie nord.
Malgré
ces aménagements, Venise demeure la seule ville de taille importante
à être libre d'automobiles et de camions... Le transport individuel
traditionnel est la gondole Vénitienne, bien qu'elle ne soit
quasiment plus utilisée que par les touristes ou pour des occasions
particulières (cérémonies, mariages et enterrements). Son coût
est en effet prohibitif.
Les
Vénitiens utilisent surtout des bateaux-autobus, appelés
« vaporetto », qui desservent les différentes îles en
sillonnant les principaux canaux. Il existe également nombre
d'embarcations privées. Les seules gondoles non motorisées encore
fréquemment utilisées sont les traghetti, des bacs pour piétons
qui traversent le Grand Canal à quelques endroits dépourvus de
pont. Venise est desservie par l'aéroport international Marco Polo,
en l'honneur de cet ancien et célèbre citoyen Vénitien. L'aéroport
est situé sur le continent et a été reconstruit à l'intérieur
des terres, de sorte que les visiteurs doivent prendre le bus puis un
bateau-taxi ou un bateau-bus pour se rendre dans la ville.
Les
nombreuses Îles de la lagune
L'Île
de Burano, mosaïque bigarrée par ses maisons pastel
- L'Île de Murano, avec son phare blanc et sa fonderie de verre
- L'Île de Torcello, avec sa basilique médiévale
- L'Île de San Giorgio Maggiore (Basilique Saint Georges le Majeur)
- Les îles de Mazzorbo, San Erasmo, Poveglia, Giudecca, San Michele
- L'Île de Murano, avec son phare blanc et sa fonderie de verre
- L'Île de Torcello, avec sa basilique médiévale
- L'Île de San Giorgio Maggiore (Basilique Saint Georges le Majeur)
- Les îles de Mazzorbo, San Erasmo, Poveglia, Giudecca, San Michele
Depuis
1171 la cité des doges comporte 6 quartiers appelés sestiere :
Cannaregio, Castello, Dorsoduro, San Marco, San Polo et Santa Croce,
auxquels s'ajoutent l'île de la Giudecca, Murano, Pellestrina et le
Lido. Les autres îles importantes (Burano, Torcello, San Erasmo)
comme les localités de la terre ferme (Mestre, Marghera, Favaro
Veneto, Zelarino et Chirignago) font partie du territoire de la
Commune de Venise... Qui tire son nom de la Vénétie, province
Romaine du Ier siècle.
La
ville ne possède cependant pas de terres cultivables. Pour
pallier ce défaut, les Vénitiens se dotent d’une flotte
extrêmement puissante, et exercent leur domination sur toute la
Méditerranée. Ses richesses s’accroissent encore grâce à la 4e
croisade (1201-1204).
À
l’époque, le système lagunaire est très différent et beaucoup
plus étendu que l’actuel, constitué par un complexe ininterrompu
entre les deltas du Pô au sud, et de l'Isonzo au nord. Système
lagunaire, duquel survivent aujourd’hui les lagunes de Comacchio,
Venise, Caorle, Marano, et Grado, servent de voies de navigation
internes très sures, parallèles aux antiques routes romaines de la
terre ferme, et de protection pour les cités côtières bâties sur
les îles et lidos.
Le
système lagunaire est chamboulé à la fin du VIe siècle par de
grandes alluvions (le 7 octobre 589), citée comme la rupture de la
Cucca ou alluvions de Paul Diacre, dont l’intensité provoque la
modification du cours des fleuves et la progressive séparation des
diverses lagunes, avec le développement des marais et des maladies
attenantes (malaria, etc...).
En
589, suite à la Rupture de la Cucca, les inondations bouleversent le
territoire entier, modifiant le cours des principaux fleuves (Adige,
Mincio, Brenta, Sile et Piave) et envahissant également les cités
au bord de la lagune : Parmi celles-ci la principale, Melidissa,
qui se trouve raccordée à la terre ferme.
En
590, une alliance Franco-Byzantine contre le roi Lombard Authari
semble devoir provoquer la défaite des Lombards, mais juste au
moment où ceux-ci sont sur le point de capituler, les Francs
retournent dans leur patrie.
En
591, Agilulf, successeur de Authari, traite une paix séparée avec
Childebert, roi des Francs, et les Byzantins doivent abandonner leur
plan de reconquête. En Vénétie, seul Altinum réintègre
l’exarchat. Dès cet instant, les Lombards avec le soutien des
Avars et des Slaves, commencent une série de raids en Istrie puis le
long des confins Vénètes.
En
610, Agilulf conquiert enfin Padoue et Monselice, causant une seconde
vague migratoire des Romans vers les cités de Brondolo, Clodia,
Popilia, Metamauco et Spinalonga, en Vénétie toujours plus isolée
du reste du territoire byzantin, la population augmente fortement
dans les zones lagunaires, constituant une nouvelle réalité urbaine
et un renforcement de celles déjà existantes.
Quand
le royaume Lombard est hérité par Rothari, les attaques contre les
territoires Byzantins s’intensifient et, dans le Vénète, elles
s’étendront jusqu’au moindre lambeau de territoire, ne laissant
que les zones lagunaires...
La
pénétration des Lombards accentue la fracture à l'intérieur des
Églises Aquiléennes, créant de croissantes tensions qui explosent
en 606, quand les Églises sous le contrôle militaire de l'Empire
Byzantin nomment au titre de métropolite le patriarche Candidianus,
tandis que les Églises des territoires Lombards leur opposent Jean
Ier d'Aquilée, qui pour sa part condamne le métropolite de Grado et
se réinstalle à Aquilée, sous la protection de Gisulf II du
Frioul : Cet épisode provoque la scission du patriarcat en deux
sièges opposés Aquilée et Grado, chacun revendiquant l’exclusive
légitimité.
L’Istrie
et les lagunes, fidèles à Rome et à l’Empire, finissent par se
séparer du reste de la Vénétie et du Frioul, dont l’entre terre
a définitivement abandonné l’autorité Byzantine.
Vers
l’année 616, durant le pontificat du pape Adéodat Ier, la cité
de Concordia tombe également dans les mains Lombardes, l’évêque,
« terrorisé par la peur des Lombards » et la population,
se réfugie à Caorle, où il installe son nouveau siège. La seule
cité de la terre ferme à résister aux Lombards, outre Altinum, est
alors Opitergium.
Probablement
entre 619 et 625, le patricien Byzantin Gregorio massacre par
traîtrise les ducs du Frioul, Caco et Tasone, fils de Gisulf II :
L'épisode reste dans la mémoire de l’autre fils de Gisulf qui
échappe à l’embuscade, Grimoald, qui, devenu roi, se venge en
rasant la cité en 667.
Un
rôle de première importance est assumé depuis longtemps par la
proche cité lagunaire de Melidissa, rebaptisée Heraclia (ou
Eraclea) vers 628, en l’honneur de l’empereur Héraclius,
victorieux en Orient sur les Perses de Khosro II et libérateur de la
Vraie Croix : Avec la chute d'Oderzo la cité d'Heraclia devient
donc le nouveau siège des fonctionnaires provinciaux. La perte
définitive de l’entre terre pousse à une réorganisation de la
vie civile à la lumière de la nouvelle géographie lagunaire,
provoquée aussi par l’avancée rapide des Lombards, conduits par
Rothari, lequel accède au trône en 636, abandonnant la politique de
pacification avec l’Empire, adoptée par ses prédécesseurs.
En
639, Rothari conquiert Oderzo et Altino, obligeant la population à
fuir dans la lagune. Ainsi à Heraclia, la nouvelle cathédrale
accueille Magno, évêque de Oderzo, alors qu’en 639, par ordre de
l’exarchat Isacco, est fondée la nouvelle Cathédrale Santa Maria
Assunta de Torcello, pour accueillir le siège épiscopal de l’évêque
d’Altino :
Sur
tout le reste de la lagune, les établissements augmenteront de
manière exponentielle, comme sur les îles de Costanziaco, Ammiana,
Burano e Maiurbum, ainsi que Olivolo et Rivoalto, qui s’étendront
comme une ceinture de grands centres commerciaux de Torcello.
Pourtant
entre-temps, l’unité politique de la Vénétie est secouée par
divers facteurs économiques et politiques, Les transformations en
cours dans l’économie de la lagune se vérifient aussi sur le
système administratif et social : Les Vénitiens continuent à
maintenir leurs propres droits en utilisant les terres agricoles
volées par les Lombards. Les fortes tensions entre Heraclia et sa
voisine Equilio débouchent en 690 sur un conflit ouvert, résolu en
faveur d’Heraclia.
La condition générale dans l’Exarchat n’est pas meilleure et, en 692, éclate une terrible révolte contre l’autorité de l’empereur Justinien II, coupable d’avoir tenté d’arrêter le pape Serge Ier. Ce même souverain a été coupable, après sa seconde intronisation, d’un nouveau bouleversement pour l’Exarchat en voulant se venger contre ceux qui ont osé se rebeller et en massacrant un grand nombre de notables à Ravenne. Les habitants réagissent par une nouvelle et dure révolte qui secoue l’Exarchat. Guidée par Giorgio Ioanniccio, suite à l’application des normes du concilio in Trullo condamne la pratique latine du célibat sacerdotal, la rébellion attire l’attention du nouvel exarchat qui réussit à l’étouffer.
Entre
la fin du VIIe siècle et le début du VIIIe siècle, une nouvelle
réforme politique investit la Venetia : Comme les autres
provinces Byzantines d'Italie, elle est transformée en duché.
En 742, les nouveaux heurts entre Heraclia et Equilio provoqués par le magister militum d’Heraclia Giovanni Fabriciaco, portent enfin à la disposition de celui-ci et au transfert de la capitale à Metamauco, où avec la concession impériale les Vénètes se verront conférer l’accès à l’autonomie nommée du Dux : Le pouvoir es donc confié au fils du dernier duc, Teodato Orso.
En 742, les nouveaux heurts entre Heraclia et Equilio provoqués par le magister militum d’Heraclia Giovanni Fabriciaco, portent enfin à la disposition de celui-ci et au transfert de la capitale à Metamauco, où avec la concession impériale les Vénètes se verront conférer l’accès à l’autonomie nommée du Dux : Le pouvoir es donc confié au fils du dernier duc, Teodato Orso.
Les
données sur la situation économique de la Venetia maritima ont été
recueillies grâce à une série d’études effectuées sur les
fouilles archéologiques de Torcello vers la moitié des années
1950. Originellement le territoire de la lagune, de l’ère Romaine
jusqu’au début de Moyen-Âge, était pratiquement et uniquement
affecté à la production du sel où, pour une part mineure, liée à
la pèche et au dragage des côtes. La navigation apparaît déjà
importante à l’époque du règne de Vitigès, roi Goths), dont le
ministre Cassiodore se tourne vers les Vénètes.
Paolo
Lucio Anafesto — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Paolo_Lucio_Anafesto
Paolo
Lucio Anafesto ou Paoluccio Anafesto (en latin : Anafestus Paulucius)
serait, selon la tradition, le premier doge de Venise, élu en 697.
... intronisation à Eraclea a été réalisé dans les années 1930
par le peintre Giulio Ettore Erler, pour la ...
Pourquoi
a-t-on construit Venise sur l'eau ? | Yahoo Questions ...
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...
d'Orient en 584, les Vénitiens se donnèrent un conseil de tribuns
qui, en 697, élirent le premier doge, Paulo Lucio Anafesto. ...
chaxay · Il y a 8 années.
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