mercredi 2 novembre 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 206

 11 OCTOBRE 2016...

Cette page concerne l'année 206 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

UNE RÉGION FONDATRICE : LA RÉGION DE TCHERNIAKOV.

La civilisation dite de Tcherniakov est l'une des plus importantes de la Russie des premiers siècles de notre ère.
On a catalogué et exploré plus de 1 000 sites appartenant à cette civilisation, massés dans l'ensemble le long du haut Dniestr, du Dniepr, du haut Sejm, mais l'aire d'influence de cette culture s'étend du bas Danube (où elle prend le nom de « Sîntana de Mures. ») au Pripet et au Don.
Grâce aux monnaies romaines trouvées dans certains sites tcherniakoviens, on date les débuts de cette culture au IIe siècle, bien qu'il faille tenir compte de la durée d'utilisation de ces monnaies, aussi, c'est plutôt après 200, avec la disparition des monuments sarmates, qu'il faut situer les premières manifestations de ce complexe culturel.
Les villages tchernakoviens sont souvent ouverts et s'étalent le long des terrasses dominant les rivières, parfois sur plusieurs kilomètres.
Les maisons sont rectangulaires, faites en torchis et claies, avec des sols en argile parfois recouverts de planches.
Elles possèdent généralement deux pièces, une pour les animaux, l'autre, pourvue d'un foyer, pour la famille, l'ensemble mesure 12 m ou plus de longueur.
La poterie commune, faite au tour sauf dans les régions Danubiennes où on la trouve modelée à la main, est uniforme, grise, à panse globulaire et à col court.
Parallèlement, on trouve une poterie aux formes plus variées : Cruches, coupes, gobelets, bols sans anse ou à trois anses, jaunes, orange ou rouges.
Les tombes ont aussi livré des fibules, des perles en pierres semi-précieuses, de l'ambre, du verre, des boucles d'oreilles, des épingles.
Des objets romains d'importation, vaisselle en bronze, coupe en verre, fibule d'argent en arc, plat tourné, vases en pâte de verre, ont été recueillis dans une tombe à puits avec un couteau d'argent et deux éperons également en argent.
L'inhumation est pratiquée parallèlement à la crémation, cependant, cette dernière domine dans les premiers temps alors que l'inhumation est pratiquée de préférence par la suite.
E. A. Symonovitch a déterminé deux stades dans l'évolution des rites funéraires de crémation : Dans un premier temps on détruit les corps à des fins magiques, ensuite on se contente de les incinérer.
Selon Symonovitch, des fragments de coquillages et des amulettes pyramidales gravées de signes solaires seraient des témoignages d'un culte solaire ou du feu... L'appartenance ethnique de cette civilisation est discutée.
Symonovitch et toute une école de savants soviétiques ont voulu y voir l'une des premières manifestations de la présence des Slaves Orientaux, d'autres auteurs l'ont attribuée aux Scythes, ce qu'a judicieusement réfuté Symonovitch.
M. Gimbutas repousse cette hypothèse et pense que cette civilisation est un phénomène Perse, résultat de larges relations culturelles, d'un commerce florissant, de la fusion d'éléments culturels venus de divers horizons, fertilisés par des éléments venus de l'Empire Romain.
Cette hypothèse rend cependant difficilement compte de la rupture avec les cultures précédentes, Sarmate ou de Zarubinets, et surtout de l'unité de cette civilisation sur un territoire aussi étendu.
Selon M. Gimbutas, les Huns détruisent les sites tchernakoviens à la fin du IVe siècle, provoquant la disparition brutale de cette civilisation.
C'est après ces ravages que les Slaves apparaissent dans cette région, au début du Ve siècle. Cependant, D. Berezovets rappelle qu'on hésite entre le Ve et le VIIe siècle. pour dater la fin de la civilisation de Tcherniakov. Il admet qu'à partir du milieu du Ve siècle. elle s'affaiblit, et que s'y substituent les tribus Slaves nouvellement arrivées.
En réalité, il semble que cet affaiblissement soit la conséquence de l'invasion des Huns, sans pour autant que ces derniers aient mis une fin brutale à cette culture qui va se modifier lentement, puis s'effacer devant les infiltrations Slaves.

Cette culture apparaît au IIe siècle. Née d'apports ethniques variés, elle présente rapidement des traits homogènes à travers toute son étendue, à savoir les territoires des actuelles Ukraine, Moldavie, Roumanie et Pologne méridionale. Les chercheurs débattent toujours sur la réalité d’une « union inextricable » des différents peuples qui s'y trouvent mêlés.

Dans la première moitié du XXe siècle, les chercheurs se sont consacrés principalement à l'identification de cette culture archéologique avec celle de l'un des peuples connus par l'histoire. Les archéologues soviétiques, comme Boris Rybakov, y voient des vestiges archéologiques des Protoslaves, tandis que les historiens d'Europe Occidentale, et tout particulièrement les Allemands, attribuent cette culture aux Goths. L’« hypothèse culturelle-historique » formulée par l'archéologue Allemand Gustaf Kossinna se fonde sur l'idée que « les aires de cultures archéologiques définies précisément correspondent sans discussion possible avec la nation de peuples ou de tribus particulières. » Toutefois, le lien entre les vestiges archéologiques et la culture matérielle d'une ethnie ne paraît aujourd'hui plus aussi clair. Les chercheurs sont plutôt enclins à voir dans les cultures matérielles des systèmes économico-culturels incorporant plusieurs peuples différents.

« Ce qui crée des frontières entre ces espaces culturels, ce ne sont pas les frontières politiques de peuples en particulier, mais les limites géographiques à l’intérieur desquelles les populations peuvent commercer avec une régularité suffisante pour qu’elles partagent une partie ou la totalité de leur culture matérielle (la poterie, l'orfèvrerie, l'habitat, les rites funéraires etc.) »
 Peter Heather, The Fall of the Roman Empire: A New History of Rome and the Barbarians, 2006

Fondamentalement, les chercheurs hésitent à assigner une origine ethnique aux vestiges archéologiques, bien qu'ils admettent que certains objets aient pu être retravaillés pour suggérer une forme d’identité collective, surtout lors des conflits entre groupes ethniques.
Aujourd'hui, on admet que les sites de Tcherniakhov témoignent d’une interaction culturelle forte entre divers peuples, mais essentiellement des peuples qui pré-existaient dans la région avant l'expansion des Slaves, que ce soient les Sarmates, ou les Daces.
L’historien britannique Peter Heather, s'il reconnaît la mixité de la culture de Tcherniakhov, estime qu'elle résulte finalement de l'expansion des Goths au nord du Bosphore Cimmérien. Il s'appuie sur les sources littéraires qui attestent que ce sont les Goths qui, politiquement, retiennent l’attention des autorités Romaines contemporaines. En particulier, le développement de cette culture coïncide assez précisément avec le récit que fait Jordanès de la migration des Goths depuis le pays nordique de Gothiscandza vers la mystérieuse Oium sous la conduite de leur chef Filimer.
D'ailleurs, il souligne que les pressions qui ont catalysé la genèse de la culture de Tcherniakhov trouvent leur origine dans la culture de Wielbark. Celle-ci, née en Poméranie au milieu du Ier siècle, se répand le long de la Vistule au cours des IIe siècle et IIIe siècles. Plusieurs traits de la culture de Wielbark se retrouvent partout dans l'espace de Tcherniakhov : Les céramiques typiquement germaniques, les fibules en or et les tuniques des femmes, et, surtout, les inhumations à rite double (inhumation/crémation) sans armes.

Enfin, bien que les cultures puissent s'étendre sans que cela implique de grands mouvements de population, Heather relève que le nombre de villages dans l'espace d'origine de la culture de Wielbark (la Poméranie) diminue corrélativement au développement de la culture de Tcherniakhov, et y voit la preuve d'une migration en masse. Mettant ces données en parallèle avec les récits de Jordanès, Heather conclut qu'une invasion des Goths (et d'autres Germains Orientaux comme les Hérules et les Gépides) « ont joué un rôle de premier plan dans la naissance de la culture de Tcherniakhov. » Il précise que cette expansion n'a pas été une migration unique, menée par un prince, mais qu'elle est le fait de petites tribus, parfois ennemies entre elles.
Cependant Guy Halsall conteste plusieurs des conclusions de Heather. Il ne voit pas de continuité chronologique dans le développement de la Culture de Wielbark à celle de Tcherniakhov, étant donné que la phase finale de la culture de Wielbark est contemporaine de Tcherniakhov, et qu'en outre les deux régions n'ont qu'un lien territorial fort ténu : « Bien qu'on affirme souvent que le travail des métaux de Tcherniakhov dérive des types de Wielbark, un examen minutieux révèle qu'il n'y a qu'un petit nombre d'objets présentant des similitudes générales avec des artefacts de Wielbark. » L'historien Américain Michael Kulikowski conteste lui aussi la filiation de la culture de Wielbark : Il souligne que le principal argument en faveur de cette thèse est une « caractéristique négative » (l’absence d'armes dans les sépultures), argumentation toujours plus faible qu'une preuve positive.
Il avance que la culture de Tcherniakhov a pu naître aussi bien de l'évolution de cultures indigènes (Pontiques, Carpes ou autres Daces), ou d'une fertilisation mutuelle de la culture de Przeworsk et des peuples des steppes.
En outre, il réfute la présence de Goths dans cet espace avant le IIIe siècle. Kulikowsky démontre qu'aucune tribu Gothe, pas même un noyau (kernall) de guerriers, n'a émigré de Scandinavie ou de la Baltique : Il estime que les « Goths » se sont constitués in situ. Comme les Alamans ou les Francs, les Goths n'ont été selon lui qu'une réponse à « l’institution du Limes Romain. »
D'autres traits, comme l'existence d'une minorité de tombes contenant des armes, renvoient aux culture de Przeworsk et de Tsaroubinets. Cette dernière est généralement associée aux Protoslaves.

Du point de vue linguistique, la période et l'étendue de cette culture coïncident avec celles où le proto-slave et l’iranien se sont enrichis d'emprunts lexicaux mutuels, et où le proto-slave a emprunté un grand nombre de termes aux Langues germaniques (mais le gotique comporte lui-même quelques emprunts au proto-slave).

Les maisons sont alignées en rues parallèles, et l'on y retrouve deux types dominants : Majoritairement, ce sont des huttes semi-enterrées, appelées Grubenhäuser par les savants germanophones. Leur taille est généralement modeste, de 5 à 16 m2, l'autre type prédominant, étant des fermes de plain-pied où les étables sont dans le prolongement de la pièce d'habitation (appelées Wohnstallhaus par les germanophones). Elles sont de taille variable, mais la pièce d'habitation y est généralement plus grande que dans une hutte. Quelques villages présentent les 2 types de maison, bien que les sites Roumains ne comportent que les huttes. Si l'existence de ces 2 types de maison peut être attribuée à des différences ethniques coexistant sur un même espace, elles reflètent aussi des facteurs socio-économiques : Les fermes de type Wohnstallhaus sont typiques des villages Germains d'Europe Centrale, et elles sont absentes des cultures anciennes de l'Europe Balkanique.
Au contraire, on a retrouvé des huttes semi-enterrées (bordeï) aussi bien chez les anciens Daces des Carpates que chez les fermiers de la steppe boisée en Ukraine, et elles persistent jusqu'à une époque beaucoup plus tardive (elles se répandront dans toute l'Europe Orientale). Quelle que soit l'origine de ces habitats, ils se généralisèrent dans tout l'espace de la culture de Tcherniakhov...

On y pratique aussi bien l'inhumation que la crémation. Les morts sont enterrés avec des objets (poteries, ustensiles en fer, peignes en os, bijoux), bien que dans la phase finale de cette civilisation le nombre d'objets diminuent. En ce qui concerne les inhumations, les morts sont généralement allongés avec la tête vers le nord, bien qu'une minorité de sépulture reflète une orientation Est-Ouest. Les offrandes funéraires consistent souvent en fibules, agrafes de ceinture, peignes en os, coupes à boire et autres bijoux. Les sépultures féminines présentent des similitudes profondes avec celles de la culture germanique de Wielbark : La défunte porte une paire de fibules, une à chaque épaule. Comme dans la culture de Wielbark, les sépultures du Tcherniakhov bannissent la présence d'armes, sauf pour quelques rites de crémation qui rappellent la culture de Przeworsk. Bien qu'on associe traditionnellement les crémations aux peuplades Germaniques et Slaves, et l'inhumation aux peuples nomades, une analyse plus poussée révèle que la coexistence des 2 rites (inhumation et crémation) caractérise une première période, tandis que vers la fin de cette culture l'inhumation sans offrande tente à se généraliser. Cela peut aussi bien refléter une influence chrétienne qu'une évolution des croyances sur l'au-delà en monde païen.

La poterie, exécutée au tour de potier aussi bien qu'à la main, est essentiellement d'origine locale. La poterie au tour prédomine, faite d'une argile de meilleure qualité, elle rappelle des types sarmates plus anciens, mais avec des raffinements d'influence romaine ou celtique. Les céramiques manuelles présentent une plus grande variété dans la forme, quelquefois incisée de motifs en traits. On a aussi mis au jour des amphores romaines, ce qui suggère des échanges commerciaux avec l'Empire Romain. On relève aussi la présence, modeste mais uniforme, de poteries manuelles typiques des Germains de l'Elbe.

La culture de Tcherniakhov est principalement celle de peuples sédentaires, voués à la culture des céréales (surtout le blé, l'orge et le millet). On a mis au jour un peu partout des araires, des faucilles et des faux. L'élevage du bétail paraît avoir fourni le principal mode de traction animale, l'élevage de chevaux étant confiné à la steppe. Le travail des métaux est pratiqué dans tout l'espace de Tcherniakhov, et la plupart des objets en métal sont de fabrication locale, bien qu'il y ait quelques indices d'une spécialisation régionale.

La fin de la Culture de Tcherniakhov, au Ve siècle, est attribuée à l’invasion des Huns. On ne cherche plus à l'expliquer par une migration en masse de la population, quoique les Goths aient effectivement migré en partie vers l'ouest : Les théories actuelles y voient plutôt le résultat d'une déliquescence des structures politiques qui faisaient sa cohésion. John Mathews estime que, par delà son homogénéité culturelle, il s'y est maintenu des distinctions ethniques. Avec la chute de l'élite Gothe, certains éléments autochtones ont persisté, et se sont même éparpillés territorialement : Phénomène associé avec l’avènement et à l’expansion des Protoslaves.

Après les populations préhistoriques que les Grecs désignent comme « Pélasges », les principaux groupements venus peupler ce qui est aujourd’hui l’Ukraine, durant le IIe millénaire av. J.-C., sont des Indo-Européens de langue iranienne septentrionale : Les Cimmériens, les Scythes et les Sarmates, qui sont rejoints et influencés par les Grecs en Crimée.
Un royaume Scythe hellénisé, la Bosphoranie, se forme au IIIe siècle avant notre ère, autour du « lac Méotide », sa brillante capitale est Panticapée (Kertch). Au Ier siècle de notre ère, celui-ci devient un état-client des Romains, devenus par la suite les « Byzantins »...

À partir du IIIe siècle de notre ère les Goths et d’autres peuples nomades se succèdent la culture matérielle de ces peuples (artisanat, rites funéraires, etc.) se retrouve dans les sites archéologiques de la culture de Tcherniakov. Parmi ces peuples, les Antes sont d’un intérêt particulier pour les Ukrainiens, car on pense que les Antes sont une civilisation proto-slave.
Beaucoup d’objets trypiliens (civilisation datant d'environ 3 000 ans avant notre ère), datent de cette époque. Du IIe siècle au XIIIe siècle, des peuples turcophones ou finno-ougriens se succèdent d’est en ouest le long de la mer Noire : Huns, Avars, Bulgares, Khazars, Magyars, Pétchénègues, Polovtses, Tatars et Mongols.
Pendant ce temps, des tribus Slaves occupent pacifiquement l’Ukraine Occidentale, Centrale et Septentrionale à partir du VIe siècle : Elles ont joué un rôle important dans la fondation de Kiev par les Scandinaves.
Au VIIIe siècle le commerce Varègue (des Vikings Orientaux) de la Baltique à la mer Noire fédère les tribus Slaves, et au IXe siècle, Kiev est prise aux Khazars par le Varègue Oleg le Sage, fondateur d’un « État des rameurs » ou Rodslagen, en proto-slave Rous’ : C’est l’âge d’or de sa capitale, Kiev. Le territoire de la Rous’ couvre le Nord de l’actuelle Ukraine ainsi que la Biélorussie et l’Ouest de la Russie.
De Rous’ viennent la dénomination des « Russes », mais aussi celle des « Ruthènes » ou « Russins » désignant les Ukrainiens Occidentaux. Le nom d’« Ukraine », qui signifie « pays frontalier » en russe, est venu avec l’expansion de la Moscovie, bien plus tard.

Au XIe siècle, la Rus' de Kiev est géographiquement le plus vaste État d’Europe.
En 988, sous le règne de Volodymyr le Grand, un missionnaire Grec, Cyrille, convertit l’aristocratie Kiévienne (surtout Varègue) et la majorité de la population au christianisme. Sous le règne de Iaroslav le Sage, le prestige de l’État Kiévien atteint son apogée : Il s’étend de la Baltique à la mer Noire et du confluent de l’Oka avec la Volga jusqu’aux Carpates Sseptentrionales. Yaroslav est un grand bâtisseur, c’est lui qui fait construire la célèbre cathédrale Sainte-Sophie à Kiev, et un grand législateur. Le droit, l’éducation, l’architecture et l’art Kiévien connaissent un apogée sous son règne.

Kiev est pillée par les Coumans, puis par les Tatars et Mongols en 1240. Par conséquent, les principautés Russes et Ruthènes subissent la souveraineté des Mongols. L’autorité mongole et tatare est très cruelle, notamment en matière pénale, et, durant ces siècles de soumission, le peuple a souvent fui vers d’autres pays comme la Pologne, la Hongrie, la Moldavie ou la Crimée Gréco-Arménienne.

L'organisation du pays sera la dictature royale, tout problème se résout sous la voie du chef de pays

Il existe plusieurs lieu de rencontre entre les villageois pour créer un environnement stable, chaque villageois sera obligatoirement soldat en temps de guerre, mais pourra exercer l'un des métiers suivants en temps de paix :
-Chasseur
-Boucher
-Boulanger
-Forgeron
-Architecte

-Marchand
-Bucheron

-Mineur
-Agriculteur

-Garde










Culture de Tcherniakhov — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_de_Tcherniakhov
... est représentée en orange, la culture de Wielbark du III e siècle en rouge. L'île de Gotland est marquée en rose et l'extension traditionnelle du Götaland en vert, l'Empire romain en violet. La culture de Tcherniakhov est une culture pré-slave du II au V siècle qui s'est développée de ...
Tcherniakov - Civilisations et peuples de l'archéologie
www.histoire-archeologie.com/Civilisations/tcherniakov.html
Grâce aux monnaies romaines trouvées dans certains sites tcherniako-viens, on date les débuts de cette culture du IIe siècle, bien qu'il faille tenir compte de la ...

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