20
OCTOBRE 2016...
Cette
page concerne l'année 197 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
CHUTE
D'ALBINUS A LA BATAILLE DE LUGDUNUM
LUGDUNUM |
En
193, trois empereurs Romains sont
assassinés en quelques mois.
Commode
(celui du film Gladiator),
Pertinax
Didius
Julianus.
Ce
dernier est exécuté par Septime Sévère, un général qui a marché
sur Rome après s’être fait élire empereur par ses troupes.
En
196, son ancien allié Clodius Albinus se fait lui aussi élire
empereur par ses troupes, et installe son quartier général à
Lugdunum (Lyon).
Après
la mort de l'empereur Pertinax en 193, une lutte s'engage pour sa
succession. L'empereur de Rome, Didius Julianus, doit faire face à
un prétendant, le commandant des légions Pannoniennes Septime
Sévère.
Avant
d'aller à Rome, Sévère fait alliance avec le puissant commandant
des légions de Bretagne, Clodius Albinus. Après avoir éliminé
Didius en 193, Pescennius Niger en 194, Sévère accorde à Albinus
le titre de César en avril 194, puis le prend comme collègue pour
le consulat en cette même année.
Mais
après une campagne en Orient en 195, Septime Sévère attribue à
son fils le titre de César. Cette nomination entraîne la rupture de
son alliance avec Albinus qui est déclaré ennemi public par le
Sénat.
En
196, après avoir été acclamé empereur par ses troupes, Clodius
Albinus marche sur la Gaule. D'après l'historien Dion Cassius,
jusqu'à 150 000 hommes prennent part à l’affrontement dans
chaque camp. Ce nombre est très probablement exagéré car cela
signifierait que près des trois-quarts des troupes de l'empire
Romain de l'époque y aurait participé. Il est néanmoins
vraisemblable qu'Albinus emmène alors tous ses effectifs de
Bretagne, soit 3 légions et des troupes auxiliaires.
Il
envoie se Gaule des messagers demander des subsistances et de
l’argent, et installe son quartier général à Lugdunum,
incorporant la XIIIe cohorte urbaine qui sert de garnison dans cette
capitale provinciale.
Rejoint
par Lucius Novius Rufus, le gouverneur de Tarraconaise et par la VIIe
légion Gemina.
Durant
l’année 196 les escarmouches se succèdent dans différents
secteurs. Albinus attaque les forces de la province de Germanie
dirigées par Virius Lupus il les bat mais cette victoire ne suffira
pas pour convaincre ces troupes de leur intérêt à changer de camp.
Albinus
envisage alors d'envahir l'Italie, mais Septime Sévère qui a prévu
cette éventualité a renforcé les garnisons protégeant les cols
Alpins.
Durant
l'hiver 196-197, Sévère rassemble ses forces le long du Danube et
marche vers la Gaule, où, à sa grande surprise Albinus dispose de
troupes équivalentes aux siennes.
Les
2 armées s'affrontent d'abord à Tinurtium (Tournus), où Sévère
bien que vainqueur ne peut obtenir une victoire décisive.
L'armée
d'Albinus fait retraite vers Lugdunum et celle de Sévère la suit.
La bataille frontale et décisive commence le 11e jour avant les
calendes de mars (19 février 197).
Selon
Dion Cassius l’aile gauche d’Albinus finit par plier et se retire
dans son camp. Elle est alors immédiatement attaquée par les
soldats de Sévère. De l'autre côté, l’aile droite feint une
attaque pour lancer ses traits, suivie d’un repli et attire les
sévériens dans un secteur piégé de tranchées dissimulées où
ils tombent en désordre et commencent à se faire massacrer.
Sévère
intervient avec ses prétoriens, mais tombe de cheval, frappé par
une balle de fronde en plomb selon l’Histoire Auguste.
Se
relevant il déchire son manteau impérial, tire son épée et se
jetant parmi les fuyards parvient à les arrêter et à les ramener
au combat...
Hérodien
donne une version moins glorieuse :
L’armée
d’Albinus est en train de l'emporter dans le secteur commandé par
Septime Sévère, qui en se repliant tombe de cheval et doit
abandonner son manteau impérial pour n’être pas reconnu.
Le
cours de la bataille est bouleversé par l’intervention décisive
de la cavalerie de Laetus qui contre-attaque de flanc les troupes
d’Albinus. Celles-ci se croyant victorieuses ne sont plus en ordre
de bataille et se débandent après une brève résistance.
Les
troupes de Sévère les poursuivent jusqu’à Lugdunum (Lyon) et les
massacrent dans le cul-de-sac que constitue le confluent de la Saône
et du Rhône.
Hérodien
et Dion Cassius insinuent tous deux que Laetus a attendu pour
intervenir que l’affaire tourne mal pour Sévère, dans l’espoir
de se faire proclamer empereur à sa place.
Le
bilan de la bataille est inconnu, les auteurs évoquent de lourdes
pertes de part et d’autre, mais aussi des prisonniers et des
fuyards. Dion Cassius décrit le classique tableau des champs de
bataille : Plaine couverte de cadavres d'hommes et de chevaux,
ruisseaux de sang qui coulent dans les fleuves.
Tertullien,
écrivain Africain contemporain des faits, se fait l’écho du
massacre, en datant un de ses écrits du temps où « le Rhône
n’avait pas eu le temps de laver ses rives ensanglantées ».
Le
sort exact d'Albinus n'est pas connu, car les auteurs divergent.
Aurelius
Victor, auteur tardif, mentionne laconiquement qu’il est tué près
de Lyon.
Dion
dit qu’il se réfugie vers Lugdunum où il se suicide.
Sévère
le fait décapiter et fait disperser le reste de son corps.
Selon
Hérodien, les soldats de Sévère le capturent dans Lyon et le
décapitent.
L’Histoire
Auguste rapporte diverses issues :
CARACALLA |
Le
suicide, tué par ses soldats, ou frappé par un de ses esclaves puis
traîné mourant devant Sévère.
Toujours
selon l’Histoire Auguste, Sévère a fait piétiner son corps par
son cheval, l’a laissé exposé plusieurs jours, puis l’a fait
déchiqueter par des chiens et jeter les restes dans le Rhône...
L’historien Dion Cassius mentionne, sans doute de manière
exagérée, les 300 000 combattants ! L’issue des combats est
longtemps incertaine, mais les troupes de Clodius Albinus sont
finalement massacrées le 20 février dans le cul-de-sac formé par
le confluent du Rhône (Rhodanus) et de la Saône (Arar). Clodius
Albinus se suicide. Septime Sévère récupère la dépouille, la
fait déshabiller et piétiner par son cheval, avant d’envoyer sa
tête tranchée à Rome et de faire jeter le reste du corps dans le
Rhône.
En
punition de son soutien à Clodius Albinus, Lugdunum est livrée aux
pillages puis incendiée. Elle avait pourtant bénéficié jusque là
des faveurs impériales et était devenue l’une des plus grandes et
belles villes de l’Empire, avec une population estimée entre 50
000 et 80 000 habitants.
En
revanche, tous les auteurs s’accordent pour indiquer que la tête
d’Albinus est envoyée à Rome afin d’y être exposée en guise
d'avertissement.
La
ville de Lugdunum est quant à elle livrée au pillage des soldats
vainqueurs et incendiée.
L'archéologie
situe la bataille vers la place Sathonay, à Lyon, quartier au pied
de la colline de la Croix-Rousse et proche de la Saône.
À
la suite de ce conflit, le pouvoir de Septime Sévère est
définitivement établi.
La
répression frappe en Gaule et en Espagne ceux qui ont aidé Albinus,
à Rome les sénateurs qui l'ont soutenu, trahis par les lettres
saisies dans les archives d’Albinus.
La
XIIIe cohorte urbaine basée à Lugdunum et dispersée dans la
bataille n'est pas reconstituée. Sévère remplace cette garnison
par des détachements prélevées sur les 4 légions du Rhin,
récompensant leur fidélité par des affectations de tout repos.
Divers
objets militaires trouvés sur le site sont présentés dans le Musée
Gallo-Romain de Fourvière : Armes blanches, balles de fronde en
plomb, cotte de mailles...
Cette
année sera marquée par de nombreuses escarmouches entre les deux
armées : En Germanie, dans les cols Alpins, et en Gaule.
La
bataille décisive se déroule à Lugdunum, le 19 février 197. Cette
bataille est également appelée la bataille de Lyon. Le combat est
délicat et la bataille – fait rare pour cette époque – va durer
deux jours entiers.
Cette
bataille est l’une des plus importantes de l’ère chrétienne de
l’Antiquité (de l’an 1 à l’an 476, déposition du dernier
empereur Romain d’Occident) : plusieurs dizaines de milliers de
soldats et de civils ont péri. Suite à cette victoire, Septime
Sévère règne pendant encore 14 ans.
Trois
auteurs contemporains de Septime Sévère et de ses successeurs ont
rapporté des informations sur la bataille de Lugdunum :
Le
sénateur et historien Marius Maximus a participé à la bataille du
côté de Sévère mais ses ouvrages rédigés en latin sont
totalement perdus.
Dion
Cassius, également sénateur, donne de nombreux détails dans son
Histoire Romaine...
L'ODEON DE FOURVIERE |
Les
livres qui rapportent le règne de Sévère et la bataille de
Lugdunum nous sont parvenus dans une version abrégée, copiée par
un moine Byzantin du XIe siècle, Xiphilin.
Un
3e historien, Hérodien, fonctionnaire impérial de langue grecque, a
également couvert cette même période dans une histoire, mais en
seconde main à partir, dit-il, d’historiens qui ne cherchent pas à
plaire, mais à dire la vérité. Enfin, une compilation plus tardive
du IVe siècle ou du Ve siècle, l’Histoire Auguste
déclare puiser ses sources auprès de Marius Maximus et de Hérodien.
Ce dernier ouvrage montre un goût prononcé pour l’anecdote et le
sordide, et est souvent suspecté par André Chastagnol d’en
inventer.
L'Histoire
d'Auguste constitue une source riche de détails, mais incertaine
Les
Lyonnais en garderont un souvenir cuisant, qui se transforme au fil
des siècles :
Au
VIe siècle, Grégoire de Tours, apparenté aux évêques de
Lugdunum, rapporte sous la forme d’une persécution le souvenir
déformé des massacres qu’il situe entre la mort de Pothin de Lyon
et celle de Irénée de Lyon, c’est-à-dire lors de la guerre de
Septime Sévère contre Albinus et du sac de Lyon : « Une
persécution s'étant élevée, le démon suscité, par la main du
tyran, de telles guerres dans ce pays, un si grand nombre de fidèles
ont été égorgés parce qu'ils confessent le nom du Seigneur, que
des fleuves de sang chrétien coulent sur les places publiques, et
que nous ne pouvons dire le nombre ni les noms des martyrs ».
L'absence
de toute confirmation par les auteurs chrétiens antérieurs, dont
Tertullien et Eusèbe de Césarée, justifie de considérer cette
« persécution » comme légendaire, lointain écho du
pillage de 197.
À
la suite de cette révolte, les forces Romaines en Bretagne sont
affaiblies, ce qui entraîne des incursions, des soulèvements et un
retrait des romains du Mur d'Antonin vers le Mur d'Hadrien plus au
sud.
Une
scène du nouveau documentaire de David Geoffroy, Courtjus
Production, déjà connu et primé pour son documentaire sur
« Gergovie, archéologie d’une bataille ». Cette
fois-ci, il s’intéresse à une riche villa fouillée récemment
dans les environs de Lyon, à Saint Laurent d’Agny.
Et
comme celle-ci a souffert de destructions durant la fin du second
siècle, au moment du sac de Lugdunum, une séquence sur le sujet
s’impose… Avec la complicité des légionnaires de l’association
Pax Augusta, qui ont changé d’époque pour l’occasion !
La
scène se situe dans une des rues en marge du grand théâtre de
Lyon… Deux survivants de l’armée d’Albinus se replient,
pressés par quelques hommes de Septime Sévère. Des civiles
affolées s’enfuient…
Les
premières traces écrites de l’existence d’un castrum Romain sur
l’emplacement actuel de Tournus datent du second siècle après
Jésus-Christ. Afin de coloniser la Gaule, les Romains vont établir
le long des cours d’eau principaux et sur des lieux stratégiques
des petites fortifications, appelées castrum.
Dans
la biographie de l’empereur Septime Sévère, un certain Spartien
fait plusieurs fois référence à Tinurtium. Il serait question
d’une confrontation sanglante entre 2 armées, qui a précédé la
bataille de Lugdunum (Lyon).
Un
titre pour 2 hommes !
Le
modeste castrum romain de Tinurtium se retrouve être le point de
jonction et de départ de conflit sanglant. Les armées d’Albinus
installent leur avant-garde à Tinurtium. Le lieu est idéal pour
attendre Sévère. Mais ce dernier repousse Albinus dans ses derniers
retranchements. Le 19 février 197, après une longue bataille,
Albinus est pris au piège dans la confluence des deux rivières
Lyonnaises.
Revenons
quelques années en arrière... en mai 2008, dans le premier numéro
de La ficelle.
On
évoque la découverte d’ossements humains murés dans l’une des
galeries souterraines des Arêtes de poisson. Eric Fuster et Walid
Nazim, deux cataphiles passionnés ont retrouvé la trace de ces
ossements dans les archives municipales. « Nous avons trouvé une
quantité importante (4 à 5 m3) d’ossements humains paraissant
très anciens (crânes, tibias, côtes, etc. etc.).
La
ville décide alors de murer ces ossements. Mais lors des fouilles
archéologiques préventives liées au percement du second tube du
tunnel de la Croix-Rousse, commencée fin 2008, ces ossements n’ont
pas été retrouvés.
Disparus
entre 1959 et 2008...
Or
la découverte de ces ossements par les services techniques s’est
faite un an après le début des fouilles qui ont permis de déterrer
l’amphithéâtre des « Trois Gaules ». On s'étonne,
que des recherches sur l’origine de ces ossements et du réseau
souterrain n’aient pas été lancées à l’époque. D’autant
que
la dépouille d’un soldat Romain a été retrouvée au niveau du
n°10 de la rue des Fantasques en 1950, 6,5 mètres en dessous du
sol, juste au niveau des Arêtes de poisson. « Il s’agirait sans
doute d’un soldat Romain mort lors des combats de 197 qui ont
opposé Septime Sévère et Albinus ».
Les
Arêtes de poisson ne datent pas du XVIe siècle comme le supposaient
le service archéologique de la ville de Lyon, mais de l’époque
Romaine d’après une datation au carbone 14.
SITE ARCHÉOLOGIQUE |
L’hypothèse
d’un lien entre les ossements trouvés dans les souterrains et la
dépouille du soldat Romain paraît donc envisageable... Revenons à
présent à la bataille de Lugdunum, qui a opposé Septime Sévère
et Clodius Albinus en 197.
Pour
Amable Audin, ils étaient 60 000. Clodius Albinus et Septime Sévère
participent personnellement à cette bataille qui devra déterminer
lequel d’entre eux sera à la tête de l’empire Romain. « L’aile
gauche d’Albin est
vaincue
et s’enfuit vers son camp, les soldats de Sévère les
poursuivent,
les assaillent, commencent à les tuer et à piller leurs tentes...
Pendant ce temps, sur l’aile droite, les soldats d’Albin, qui ont
disposé devant eux des fossés et des trous dissimulés
superficiellement par de la terre, s’avancent jusqu’à eux et
lancent des javelots de loin, ils ne s’avancent pas au-delà, mais,
comme par crainte font demi-tour pour obliger leurs adversaires à
les poursuivre. »
Les
soldats de Sévère tombent dans le piège et s’entassent dans les
trous creusés par leurs adversaires. Un terrible désastre pour
l’armée de l’empereur. Ceux qui ne périssent pas dans la chute,
battent en retraite sur le champ. Dans cette confusion, Septime
Sévère tombe de cheval, perd son manteau et prend
la
fuite en courant.
Les
historiens se querellent à propos de cette fuite. S’agit-il d’une
fuite face à l’adversité ou d’une course pour récupérer ses
troupes ?
Pour
certains, Sévère se place en première ligne, l’épée à la
main. Pour d’autres on le croit mort. C’est à cet instant que
Laetus, un général de l’armée de Sévère intervient dans la
bataille avec ses troupes et remporte la victoire.
Est-ce
que Laetus est intervenu parce qu’il croit Sévère mort et espère
récupérer le trône ou a-t-il agit par loyauté ?
Quant
à Albinus, il part se réfugier dans une maison aux bords de la
Saône, et se
donne
la mort.
Selon
certaines sources, il n’est pas complètement mort quand son corps
est présenté devant Sévère... Ce dernier le fait piétiner par
son cheval, avant de le déshabiller, de lui trancher la tête et de
jeter sa dépouille dans le Rhône après l’avoir exposé devant sa
tente.
Sa
tête, plantée au bout d’une pique, est envoyée à Rome. « Ainsi
vainc Sévère ! La puissance Romaine éprouve un très grave
échec, puisque des deux côtés tombent d’innombrables
combattants. Nombreux même parmi les vainqueurs sont ceux qui
pleurent l’événement : On voit la plaine entière couverte de
cadavres d’hommes et de chevaux, et, parmi eux, les uns sont
étendus criblés
de
blessures et comme déchiquetés, les autres, bien que sans
blessures, sont ensevelis sous les corps, les armes sont abandonnées
çà et là, et le sang est répandu en telle abondance qu’il coule
jusque dans les rivières ».
Quant
au cadavre du soldat trouvé dans le sous sol de la rue des
Fantasques en 1950, il semble être mort lors de cette terrible
bataille... On ne sait pas s’il s’agit d’un ennemi de Sévère
ou non. « La première idée est d’y voir un Albinien de la VIe
légion, venue de Bretagne. Traqué par les Sévériens, il est
massacré dans ce faubourg éloigné.
BALLES DE FRONDE |
Son
corps, demeuré sur place, a été jeté dans un trou, à l’angle
de deux murs, par les gens du quartier, terrorisés par la
soldatesque ennemie. Ils n’ont même pas osé le dépouiller de ses
armes ni de son pécule ». Les ossements humains retrouvés dans les
arêtes de
poisson
en 1959 n’ont ils pas échoué sous le sol Croix-Roussien pour la
même raison ?... Ne peut-on pas penser qu’il s’agit aussi de
soldats tués lors d’un
affrontement
que la population a décidé d’enterrer pour éviter la colère des
soldats alliés ? Les ossements ayant disparus des souterrains, leur
histoire ne pourra désormais être envisagée que par
suppositions...
Bataille
de Lugdunum — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Lugdunum
Compétition
pour l'Empire entre Clodius Albinus et Septime Sévère. Données
clés ... L'année 196 se passe en escarmouches dans différents
secteurs. ... Durant l'hiver 196-197, Sévère rassemble ses forces
le long du Danube et marche vers ..
La
bataille de Lugdunum - Le blog de LUTECE
www.e-stoire.net/article-la-bataille-de-lugdunum-115518312.html
20
févr. 2013 - 20 février 197, bataille de Lugdunum (Lyon) Après la
mort de ... en avril 194, puis le prend comme collègue pour le
consulat de l'année 194.
F]n°
54 - Octobre 2013 - La Ficelle
laficelle.com/wp-content/uploads/2014/04/54.pdf
Septime
Sévère et Clodius Albinus en 197 après ... Des milliers de soldats
ont péri à Lugdunum dans la bataille opposant Septime Sévère à
Clodius. Albinus en .
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