mardi 8 novembre 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 202

15 OCTOBRE 2016...

Cette page concerne l'année 202 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

UN DES PÈRES PRÉCURSEUR DE L’ÉGLISE OCCIDENTALE


SAINT IRÉNÉE
Vers la fin du IIIe siècle, alors que les sectes gnostiques cherchent à saper par sa base la religion chrétienne, Dieu suscite Saint Irénée pour leur faire en face. « Il lui accorde la grâce de détruire les hérésies par la vérité de la doctrine ».
Succédant à Saint Pothin sur le siège de Lyon en 177, Saint Irénée « prêche à temps et à contre-temps », comme le veut Saint Paul, et se fait le défenseur du Christ.
L’Église, déclare-t-il, disséminée à travers le monde, jusqu’aux extrémités de la terre, professe la Foi qu’elle a reçue des Apôtres qui l’ont reçue eux-mêmes du Fils de Dieu.

Et cette Église a son centre à Rome « avec qui toute l’Église doit s’accorder à cause de sa principauté supérieure, car, par la succession des Pontifes Romains la tradition apostolique de l’Église est parvenue jusqu’à nous ».
Ardent apologiste, Saint Irénée est aussi un profond théologien. On l’a appelé le père de la théologie catholique et l’anneau d’or qui relie l’esprit de l’Évangile à la doctrine des Pères.
L’oreille encore remplie des derniers échos de l’enseignement apostolique, et le premier à faire la synthèse raisonnée de notre Foi.
Son traité : La fausse science démasquée et réfutée aussi appelé Contre les hérésies, porte un coup mortel à l’hérésie gnostique.
Saint Jérôme lui donne le titre glorieux de Martyr. Il meurt, croit-on, pendant la persécution de Septime-Sévère en 202. Benoît XV étend sa fête à l’Église universelle.

Irénée de Lyon (en latin Irenaeus Lugdunensis, en grec ancien Εἰρηναῖος Σμυρναῖος : Eirênaĩos « pacifique » Smyrnaĩos « de Smyrne ») est le deuxième évêque de Lyon au IIe siècle entre 177 et 202. et aussi un des Pères de l'Église, premier occidental à réaliser une œuvre de théologien systématique. Défenseur de la véritable gnose, il s'est illustré par sa dénonciation de l'idéologie dualiste et des sectes pseudo-gnostiques qui la professent.
Vénéré comme saint, on le fête le 28 juin dans l'Église catholique et le 23 août dans l'Église orthodoxe.
Pour l'essentiel, les informations dont on dispose sur la vie d'Irénée proviennent de ses propres œuvres.

De culture et de langue grecque, Irénée né à Smyrne en Asie Mineure (120/130) de parents Grecs et chrétiens, témoigne avoir connu Saint Polycarpe, qui lui-même a reçu l'imposition des mains de l'apôtre Jean... Saint Jérôme dit qu'Irénée est aussi le disciple de Saint Papias.
Arrivé en Gaule vers 175, il exerce d'abord la fonction de simple prêtre, et s'associe aux travaux de Pothin, premier évêque de Lyon.
Quand Pothin périt victime d’une persécution de Marc Aurèle, en 177, Irénée est choisi pour le remplacer. Sa vie épiscopale se consacre alors à l'instruction des peuples et à la défense de la vérité par la lutte contre les hérésies des gnostiques et des valentiniens.

Irénée est chargé de porter la Lettre sur les martyrs de Lyon, rapportée par Eusèbe de Césarée dans son Histoire ecclésiastique. Le billet de recommandation, qui accrédite le porteur de la lettre auprès de l'évêque de Rome Éleuthère, présente Irénée comme « presbytre » (c'est-à-dire « ancien ») de l'Église. Ce terme peut être interprété comme la preuve de son accession à l'épiscopat Lyonnais.
Son épiscopat marque une recrudescence du missionnariat. Un grand nombre de diocèses sont fondés par les envoyés d'Irénée : c'est le cas de Besançon et Valence, qui doivent à l'évêque de Lyon leurs premiers pasteurs...

Soucieux de l'unité de l'Église, il met en valeur son nom d'homme de paix (Εἰρηναῖος signifie « Paix »). C'est ainsi qu'il intervient auprès de l'évêque de Rome lors de la querelle autour de la date de Pâques. Dans une partie de l'Asie, on célèbre Pâques le 14 Nisan, comme les juifs. Ailleurs, Pâques est fêté le dimanche suivant. Après plusieurs tentatives de résolution au cours du IIe siècle, l'évêque de Rome Victor Ier veut mettre un terme à cette dispute. Vers 190, il se décide à excommunier les évêques d'Asie. Par son intervention, Irénée, qui fête lui-même Pâques le dimanche, lui enjoint de laisser chaque Église libre dans les matières qui ne portent pas sur la Foi. Le conflit ouvert est ainsi évité. Les Églises Orientales prendront progressivement et pacifiquement l'usage majoritaire.
Il dresse la liste de succession des évêques de Rome.

D'après les témoignages tardifs de Saint Jérôme au Ve siècle et de Grégoire de Tours au VIe siècle, il meurt martyr à Lyon en 202, victime d'un édit de persécution de Septime Sévère. Ses reliques sont conservées depuis le Ve siècle dans l'église Saint-Irénée, auprès d'autres martyrs de Lyon, malgré le sac de l'église par les protestants du baron des Adrets en 1562...

Auteur d'un important ouvrage, Réfutation de la prétendue gnose au nom menteur, connu généralement sous le nom de Contre les hérésies (Adversus Hæreses). Il s'agit d'un traité contre Valentin d'Égypte et les gnostiques. Dans son traité, il mentionne entre autres l'existence d'un évangile de Judas. Jusqu'à la découverte des manuscrits de Nag Hammadi, Irénée était notre principale source de connaissances sur ce courant de la gnose. Il reste aujourd'hui encore une source indispensable.
Il n'existe de cet ouvrage qu'une traduction latine, une traduction arménienne des livres IV et V, des fragments en syriaque et en grec.
Irénée est également l'auteur de la Démonstration de la prédication apostolique, que l'on n'a connu longtemps que par Eusèbe de Césarée.
En 1904, une version arménienne est retrouvée et publiée en 1907. Cet ouvrage est un résumé de la foi chrétienne.
Les écrits d'Eusèbe retranscrivent également des fragment de 2 lettres : A Florinus et au pape Victor.

Son œuvre théologique n'est pas née d'une volonté de synthèse, mais d'une réaction à la doctrine gnostique. « Comme entraîné par les gnostiques, et en particulier les valentiniens, Irénée aborde à peu près tous les domaines de la révélation ».
Chez lui, l’autorité des Écritures est absolue : La Bible suffit pour connaître Dieu et son œuvre, toute spéculation supplémentaire est vaine. Il affirme l’unité de la foi de celle de l'Église, et soutient que l’Écriture révèle un plan de Dieu pour le salut des hommes.
Irénée est le premier à parler de la « Tradition » : Contre les hérétiques, il défend la tradition de l'Église, qui revendique sa transmission par les apôtres (traditio ab apostolis : « tradition des Apôtres ») et se veut fondée sur la « règle de vérité » qui est la foi en Dieu et en son Fils Jésus-Christ.
Face aux hérétiques, qui s'appuient sur une Tradition « secrète » qui leur sont propres et sélectionnent les Écritures, Saint Irénée insiste sur l'Écriture dans sa globalité et la Tradition de l'Église telle que transmise au grand jour : l'Église est une Tradition (traditio : « transmission »). Il réfute les gnostiques en décrivant avec précision leurs doctrines, en s'appuyant sur les Écritures, en dégageant des critères d'interprétation pour une lecture ecclésiale de la Bible. L'Église est pour lui la gardienne de la vérité et de la foi des apôtres reçue dans l'Écriture. Les sources d'Irénée de Lyon sont avant tout la « tradition catéchétique » et les Écritures.

Les gnostiques prétendent aussi se rattacher aux Apôtres, mais leur tradition est sans autorité, parce qu'elle ne repose pas sur l'institution et la transmission légitime de celle-ci, au contraire des évêques qui sont héritiers de l'autorité des Apôtres, ont la même autorité pour transmettre que les Apôtres pour enseigner. Ce qui apparaît ici chez Irénée, c’est une théologie de l'institution ecclésiale.

La Nouvelle Alliance reprend le contenu de l’Ancienne. Irénée cherche par là à éviter le rejet de l’Ancien Testament, Corpus qu'il défend contre les simplifications anti-juives.
Irénée est un millénariste, comme le montre le livre V de Contre les hérésies.
Outre son traité contre les hérésies, Irénée est aussi l'auteur d'un Exposé de la prédication des Apôtres, dont la visée est à la fois apologétique, au sens où Irénée veut défendre la foi chrétienne menacée par les sectes gnostiques, et catéchétiques.
Enfin, il est possible qu'il soit l'auteur de la Lettre aux Églises d'Asie et de Phrygie, par les survivants de la persécution de Lyon (177). Nous connaissons ce document par Eusèbe de Césarée qui le transmet in extenso dans son Histoire ecclésiastique.

Les hommes doivent être sauvés, non selon la prolixité de la Loi, mais selon la concision de la foi et de l'amour. Isaïe le dit en ces termes : Il achève et abrège sa parole dans la justice, car Dieu produit une parole concise dans le monde entier. Et c'est pourquoi l'Apôtre Paul dit : La plénitude de la Loi, c'est l'amour, car celui qui aime Dieu a accompli la Loi.

Irénée est, en 170, une figure importante de la défense des 4 évangiles. Et seuls 4 évangiles, seront ultérieurement inscrits dans le canon du Nouveau Testament : Les évangiles selon Matthieu, selon Marc et selon Luc, et l'évangile selon Jean.

Irénée est le premier écrivain chrétien connu à avoir fait la liste des 4 évangiles canoniques. Par là, il s'oppose à Marcion qui affirme que l'évangile selon Luc est le seul et véritable évangile.
Irénée est aussi le premier auteur connu à affirmer que l'évangile selon Jean a été écrit par Jean l'apôtre, et que l'évangile selon Luc a été écrit par Luc, le compagnon de Paul.
Irénée, dans Contre les hérésies III, rapporte ainsi la rédaction des Évangiles :

« Matthieu entreprend donc aussi d'écrire son Évangile chez les Hébreux et en leur propre langue, pendant que Pierre et Paul annoncent l'évangile à Rome et y fondent l'Église. D'un autre côté, après leur départ, Marc, le disciple et l'interprète de Pierre, nous transmet lui aussi par écrit ce que son maître prêchait, et Luc, le compagnon de Paul, met dans un livre, l'évangile que celui-ci annonce.
Ensuite Jean, le disciple du Seigneur, qui a reposé sur sa poitrine, publie lui aussi l'Évangile, tandis qu'il habite à Éphèse en Asie. »

Irénée écrit : « Je n'étais encore qu'un enfant, mais je me souviens des choses d'alors, mieux que de ce qui est arrivé depuis. Je pourrais dire l'endroit où le bienheureux Polycarpe s'asseyait pour parler, sa démarche, sa façon de vivre, sa physionomie. Je pourrais répéter les discours qu'il adressait au peuple, comment il racontait sa familiarité avec Saint Jean et avec les autres qui ont vu le Seigneur, comment il évoque leurs paroles, les détails sur le Seigneur, sur ses miracles, sur sa doctrine, qu'il a appris de ceux qui ont vu le Verbe de vie, comme ils le rappelle, tout cela s'accorde avec les Écritures !

Irénée conçoit une telle vénération pour son saint maître, que, non content de se pénétrer de sa doctrine et de son esprit, il modèle sur lui ses actions et jusqu'à son pas et sa démarche. Il écoute ses discours avec une ardeur incroyable, et il les grave si profondément en son cœur, que jamais il ne les oublie, pas même dans sa vieillesse.
Il est bientôt fort instruit dans les Saintes Écritures et dans les traditions apostoliques, et déjà on peut prévoir en lui l'auteur futur de tant de saints ouvrages et surtout de ce travail si remarquable Contre les Hérésies, où devront puiser, comme à une source riche et sûre, tous les savants de l'avenir.

Irénée l'enfant chéri de Polycarpe, est aussi l'espoir et la joie de toute la chrétienté. Jamais diacre ne s'est acquitté de toutes ses fonctions avec tant de zèle. L'ardeur du jeune apôtre s'enflamme de plus en plus à la vue des missionnaires que Polycarpe envoit dans les Gaules, aussi bientôt il reçoit de son maître l'ordre impatiemment désiré d'aller au secours du vieil évêque de Lyon, Saint Pothin.

Polycarpe fait, au jour de la séparation, un grand sacrifice, mais il fait aussi une œuvre féconde. Le bonheur du vénérable évêque des Gaules dépasse toutes ses espérances, quand il reconnaît tout le mérite de son jeune auxiliaire. Avec Irénée, l'avenir de l'Église occidentale est sauvé.

Une terrible persécution fait disparaître Saint Pothin avec grand nombre de fidèles. Les païens ont cru noyer l'Église Lyonnaise dans le sang de ses enfants, mais Irénée reste encore, et, par l'ordre du Pape Éleuthère (175-189), il monte bientôt sur le siège épiscopal de Lyon (178). Ses prières, ses prédications, ses exhortations, ses réprimandes, ont bientôt reconstitué cette Église dévastée. La paix toutefois n'est que précaire, et la persécution fait couler de nouveau le sang des martyrs. Le temps d'Irénée n'est pas encore venu, son œuvre ne fait que commencer, et Dieu veut lui donner le temps de l'accomplir.

Quand, en 202, après la publication d'un édit de persécution par Septime Sévère, les horreurs de la persécution éclatent, l'Église de Lyon, toujours en vue, est prête à subir le choc. Irénée, plus que jamais, ranime la foi de ses enfants et leur montre le Ciel. Il est au nombre des premières victimes, juste récompense due à ses longs travaux.

Parmi tous les éloges que lui ont donnés les Saints, citons les titres glorieux de Zélateur du Nouveau Testament, Flambeau de la foi, homme versé dans toutes les sciences. Ses reliques sont conservées dans l'église Saint-Irénée auprès d'autres martyrs de Lyon depuis le Ve siècle.
ÉGLISE SAINTE IRÉNÉE DE LYON

Tout pèlerinage en la ville de Lyon, haut-lieu de la Gaule, puis de la France chrétienne, passe par la colline de Fourvière. Mais il est un second site Lyonnais, dominant discrètement la colline de Fourvière, situé dans le quartier Saint-Irénée - Saint-Just, en périphérie nord-ouest du périmètre classé patrimoine mondial de l’UNESCO, que tout pèlerin à Lyon se doit d’honorer d’une pieuse visite. Ce site conduit en effet sur les pas de Saint Irénée, grand théologien, deuxième évêque de Lyon, martyr en compagnie de 40 à 50 chrétiens, dont Sainte Blandine, Saint Pothin, premier évêque de Lyon, Epipode et Alexandre.
C’est en ce lieu qu'est construite, au Ve siècle, la première église, au-dessus d’une crypte destinée à abriter les corps de Saint Epipode et Saint Alexandre, puis de Saint Irénée. Grégoire de Tours mentionne en effet que les corps de ces saints reposent tous 3 dans la crypte de cette première église. Ce sanctuaire, dédié depuis le VIIIe siècle à Saint Irénée, connaît ensuite bien des destructions.

Reconstruite au IXe siècle, érigée en église collégiale au Xe siècle, l’église subit les destructions des huguenots puis des fanatiques révolutionnaires, avant d’être réaffectée au culte en 1802.
Toutefois son état de délabrement conduit à la reconstruire, au XIXe siècle, dans un style néo-classique, et à restaurer la crypte, dans un style carolingien. L’église et la crypte ont été classées monuments historiques en 1862.
La crypte contient, au centre de la nef, protégé par une balustrade, le « puits des Martyrs », qui aurait contenu leurs restes. Au centre du chœur, se trouve un bloc de marbre blanc considéré comme étant l’ancien tombeau de Saint-Irénée, entouré des autels de Saint-Alexandre et Saint-Epipode. Sur le côté nord, la chapelle Saint-Polycarpe donne accès à l’ossuaire de la crypte, qui contient une partie des ossements des martyrs, profanés par les huguenots en 1562.

Ce sanctuaire, le plus ancien de Lyon encore affecté au culte, peut se visiter lors de pèlerinages, individuels ou en groupe. Des membres de l’association culturelle des sanctuaires de Saint-Irénée et Saint-Just, fondée en 1995, se proposent de vous y recevoir et de vous y accueillir.
Le site recèle une autre richesse patrimoniale inestimable : Le dernier calvaire monumental urbain en France et son jardin, datant du XVIIe siècle.
Un lieu de pèlerinages depuis le XVIIe siècle, où venir absolument lors d’un pèlerinage à Lyon. L’accès au calvaire est réglementé. On peut le visiter chaque samedi après-midi ou sur rendez-vous.

Deuxième évêque de Lugdunum (177-202), Irénée aurait été enterré dans une nécropole, sur le site de l’église portant son nom et dont le clocher, carré comme un père la vertu, pointe au-dessus des immeubles à l’aplomb du tunnel sous-Fourvière. Peu nombreux sont ceux qui connaissent aujourd’hui son histoire. Beaucoup (y compris des journalistes) pensent encore qu’Irénée était une femme, en raison du « e » final de son prénom de quoi faire bondir le moindre inquisiteur de la prétendue « théorie du genre » ! – Et l’on ne mentionne pas l’état de conservation plus que moyen des bâtiments (crypte, église) et du calvaire, tous propriété de la Ville de Lyon... (Bientôt les mots Lycée, Élysée, prytanée, etc, qui sont d'origine grec ne seront plus correctement orthographiés, par manque de compétences des nouveaux professeurs de Français, qui s'en moquent comme d'une guigne)
Certes, les reliques d’Irénée ont disparu, peut-être profanées par la soldatesque protestante du baron des Adrets au XVIe siècle – la chronique historique raconte que certains jouaient aux boules avec les crânes prélevés dans la crypte… – Mais qu’importe, au fond, que le saint homme soit inhumé là ou non : Il a bel et bien œuvré à Lugdunum et ses écrits ont fait de lui un « Père de l’Église ».
FRAGMENT DE PAPYRUS DE SAINT IRÉNÉE
« Le jour où un projet intelligent sera proposé pour le site, nous serons ravis de le soutenir », promet Etienne Piquet-Gauthier, directeur de la Fondation Saint-Irénée. Il juge important de « redonner toute sa place à l’Histoire des premiers chrétiens (en Gaule) ». Y compris en valorisant l’amphithéâtre des Trois-Gaules (Lyon 1er ), lieu du martyre de Blandine et propriété de la Ville. L’ouverture, fin 2014 à l’Antiquaille, de l’Espace culturel du christianisme (Eccly), est à marquer d’une pierre blanche : Cette histoire est à présent mieux diffusée au grand public. François Lagnau, président de l’association culturelle des sanctuaires de Saint-Irénée/Saint-Just, vient de remettre une note à l’archevêque de Lyon. Il lui propose l’idée d’une commission générale avec le diocèse, la mairie du 5e et la mairie centrale, pour tenter de définir un projet cohérent avant les Municipales de 2020. Irénée deviendra-t-il enfin prophète en son pays ? Alea jacta est… »


Saint Irénée de Lyon, Évêque et Martyr (120-202) - Christ Roi
christroi.over-blog.com/article-33178910.html
28 juin 2016 - Saint Irénée de Lyon, Evêque, et ses compagnons, Martyrs Irénée écrivait ... Sources : (1), (2), (3) Vie des Saints pour tous les jours de l'année ...

Sur les pas de Saint Irénée à Lyon - Pèlerinages de France
pelerinagesdefrance.fr/Sur-les-pas-de-saint-Irenee-a-Lyon
21 juin 2016 - Pèlerinages sur les pas de Saint Irénée Grand évêque et théologien Eglise ... Deuxième évêque de Lugdunum (177-202), Irénée aurait été ...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire