samedi 1 avril 2017

EN REMONTANT LE TEMPS... 80

10 FÉVRIER 2017...

Cette page concerne l'année 80 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LES MYTHES NÉS DE LA MORT MYSTÉRIEUSE DE NÉRON

LIVRE SUR LES FAUX NERON
En 79 dans la province Romaine de Syrie, 11 ans après la mort de Néron, sous le règne de l'empereur Titus, le gouverneur Céion, nouvellement nommé en poste à Antioche se heurte à Varron, un ex-sénateur banni de Rome par les successeurs de Néron.
Dévoré d'une grande ambition personnelle, Varron propulse sur le devant de la scène politique un homme de paille, le potier Terence - sosie de Néron - pour faire croire au retour de l'empereur défunt et tirer profit du ressentiment des royaumes d'Orient sous domination Romaine.

Tacite manque aussi de parole... Il a promis de nous documenter, dans le courant des Histoires, sur les différents faux Néron qui tentent de s'approprier l'empire après la mort du vrai (Hist. II, 8). Mais, « par la suite il ne s'en souvient pas. » M. Walter ignore-t-il donc que nous n'avons plus qu'un fragment des Histoires, et que ce fragment arrête le récit des événements en l'an 70, alors que les entreprises des faux Néron, subséquentes à celle racontée à l'endroit cité, datent, selon sa propre estimation, des années 80 ?

L'époque de Néron est une des plus intéressantes de l'histoire ancienne, elle marque le début de la crise de l'Empire Romain et voit les premières épreuves d'une religion nouvelle qui va conquérir le monde entier.
L'empereur Tiberius Claudius Nero, dernier de la dynastie julio-claudienne, est un personnage fort controversé. Dès l'Antiquité, il est considéré comme un des plus odieux empereurs Romains, prototype du tyran criminel et vicieux.
Cette opinion domine toute l'historiographie classique et moderne, notamment parce que les historiens chrétiens adoptent la vision négative de Néron exprimée par Tacite et Suétone.

Contrastant avec cette opinion officielle, on remarque la grande popularité de Néron auprès du peuple de son temps, et spécialement auprès des peuples de l'Orient. Ce phénomène prend de multiples formes, dont le mythe du « retour de Néron », croyance qui surgit immédiatement après sa mort et qui survit jusqu'au Moyen Age.
On a cherché ces derniers temps à réhabiliter Néron, ce qui a abouti en partie à une remise en cause de l'œuvre de Tacite, créateur de l'image déjà connue de Néron, mais les auteurs qui ont écrit sur Néron n'ont pas accordé beaucoup d'attention au mythe mentionné.
Ce mythe constitue non seulement une réaction de la population qui a profité à l'époque de la politique de l'empereur, mais aussi l'expression d'un état d'esprit caractéristique de la période : L'esprit messianique.

Il suffît de mentionner l'empereur Frédéric « Barberousse » d'Allemagne et la Pucelle d'Orléans en France. Beaucoup d'imposteurs prennent le nom, de Louis XVI, du duc de Reichstadt, etc., et, jouant sur la popularité de ces personnages, morts dans des circonstances peu claires, ou dramatiques cherchent à exploiter la croyance populaire...

La confusion qui entoure la mort de Néron contribue aussi à la naissance du mythe de son retour, que suit en peu de temps l'apparition de « faux Néron ». L'originalité de ce mythe réside dans le fait qu'il connaît plusieurs versions différentes.
Dans le monde hellénistique, Néron est attendu comme un héros victorieux, dont on espère qu'il rétablira la suprématie de l'Orient sur l'Occident.
Par contre, pour les chrétiens il est une figure odieuse, l'agent de l'Antéchrist, ou celui-ci même.
Dans la légende juive, il joue un rôle tantôt négatif, tantôt presque sympathique.

Surgi au commencement de l'ère chrétienne, ce mythe rappelle, dans beaucoup de ses détails, la mythologie messianique, il devient même une partie de cette mythologie.
LES ATTRIBUTS DE MITHRA
Les données sur la version originelle du mythe de Néron ne sont pas très détaillées. Ce qu'on peut dire avec certitude, c'est que les éléments mystiques en sont absents. Le noyau original est fondé sur la croyance populaire que Néron n'est pas mort, mais que, caché quelque part (chez les Parthes), il ne doit pas tarder à réapparaître à la tête d'une armée pour vaincre les conspirateurs et rentrer victorieusement à Rome.
Cette croyance, stimulée par la nouvelle de l'apparition d'un « faux Néron », trouve vite une large audience.

La personnalité de Néron inégale, certaines tares psychiques, le font plus cruel que les autres. L'imagination aidant, il devient un des prototypes du « mauvais empereur », tout comme un Titus ou Trajan sont de « bons empereurs ».
Pour expliquer donc l'apparition du mythe du « retour de Néron », il faut aller plus en profondeur.
C'est un trait caractéristique de la personnalité de Néron que son inclination marquée pour l'Orient hellénistique, son désir de réaliser les principes de l'hellénisme dans tout l'Empire... Cela provoque naturellement en retour la sympathie des peuples de l'Orient pour Néron.
Le titre de « Jupiter Liberator » qu'il reçoit en Grèce n'est pas une simple formule, pas plus que les prédictions des astrologues selon lesquelles un nouvel empire doit survenir pour Néron en Orient.
Néron se fait aimer aussi par la plèbe de Rome qui le considère comme son patron, son protecteur contre les riches, mais aussi contre les voleurs et les criminels. (cette fascination pour les tribuns beaux parleurs aux promesses mensongères n'est pas prête de se terminer. Voir au XXe siècle ces harangueurs de foules qui nous ont menés au désastre, et encore aujourd'hui dans cette campagne présidentielle dévoyée seuls tirent leur épingle ceux qui savent parler d'une voix forte assénant des vérités et contres-vérités dans la même phrase, mais avec tant d'aplomb et de persuasion que le bon peuple en est tout ébaubi !) Après sa mort, ses soldats acceptent Othon comme empereur, seulement parce que celui-ci fait valoir sa « parenté » avec Néron et entreprend de restaurer ses statues.

Pourtant Néron n'a pas à Rome le succès qu'il rencontre en Orient., Sa politique d'hellénisation n'est pas comprise. E. Cizek est d'avis que le néronisme devance son temps : Ni la conjoncture, ni les forces sociales ne sont favorables aux intentions de Néron.
Par contre, ses liens avec le monde Oriental sont très forts. Ses relations avec les Parthes sont tellement bonnes, qu'au moment de sa chute il envisage de s'enfuir chez eux.

Deux « faux Néron » y trouvent, en fait, asile :
C'est dans ce contexte qu'il faut analyser la cérémonie du couronnement du roi Tiridate d'Arménie. Ce roi appartient à une dynastie achéménide. Au cours de la cérémonie, il adresse à Néron l'épithète ď« émanation de Mithra ». Or, la signification de cette scène peut être plus profonde qu'on ne le pense...
P. Prigent la considère comme la cause de la popularité de Néron en Orient.
J.-J. Collins pense que cette assimilation au dieu du Soleil peut créditer Néron d'un certain degré de pouvoir surnaturel.
P. Cumont souligne que la scène est analogue aux bas-reliefs mithriques dans lesquels le dieu remplace sur la tête de Hélios la tiare par la couronne de rayons.

Il est significatif que sur les monnaies que Néron fait battre en 64. son effigie apparaît avec une coiffure changée et avec la couronne de rayons.

Néron ne fait que continuer la politique de Rome en Orient, en essayant de faire mieux. Il réussit à conclure une paix plus ferme avec les Parthes, ce qui lui permet de stabiliser la situation dans la région. C'est dans le même sens qu'il pense à une expédition dans le but de fermer les « Portes du Caucase » à la pénétration des peuples nomades du Nord. Puisque les Parthes sont eux-mêmes intéressés à une telle action, il est logique de penser qu'elle doit être commune.
En cherchant des solutions à la crise politique qui se profile dans l'Empire, Néron tente d'utiliser la religion comme l'a fait Auguste. Il est conduit en ce sens par son maître Sénèque qui, loin d'être l'idéologue du « despotisme éclairé » des Antonins, envisage une structure politique bien moins libérale pour l'Empire. Le philosophe Romain préconise l'attribution de pouvoirs surnaturels à l'empereur et annonce en même temps le retour de « l'âge
d'Or ». Sous cette influence Néron cherche à se forger une image nouvelle, imbue d'éléments mythologiques, spécifiques pour cette région et, en premier lieu, des traits du dieu-Soleil.

Sans liaison apparente avec ces considérations de politique intervient un autre élément qui contribue à la formation du mythe du retour de Néron. C'est la tradition très antique du conflit entre Occident et Orient, qui dans son évolution a connu des formes diverses. On considère souvent que les sources de cette tradition remontent au conflit entre les Grecs et les Perses.

Le même mythe apparaît dans la prédiction attribuée à Hystaspe et dans celle qui fixe la Judée comme lieu de naissance du futur conquérant du monde.
Dans la version originelle.
Le personnage terrestre est remplacé par une figure fantastique, qui joue un rôle symbolique dans une atmosphère apocalyptique, la place du héros est prise par un monstre, représentant du Mal. D'où provient cette transformation ?
Néron dans l'Apocalypse de Saint Jean

La version chrétienne du mythe du retour de Néron provient — sur ce point les chercheurs sont d'accord de l'Apocalypse de Saint Jean. Mais la date d'apparition de cette œuvre n'est pas sûre. Il y a 2 opinions : D'après la première, l'Apocalypse attribuée à Jean de Patmos est écrite dans la période critique qui suit la mort de Néron, en 68 ou 69 de l'ère chrétienne, la deuxième opinion situe la date de la naissance de cette œuvre autour de l'année 95.

D'autre part, la date 69 de l'ère chrétienne est, elle aussi, soutenue par une évidence externe : Le titre de la version Syriaque du livre. Rien ne justifie le rejet pur et simple de cette date. Elle coïncide avec le moment de la crise de l'Empire, survenue après une période de stabilité. Elle s'accorde aussi avec l'identification de la Bête avec Néron...

La nouvelle de la mort de Néron arrive, très probablement, en même temps que celle de l'apparition du « faux Néron ». Cela explique très simplement comment le mythe du retour de Néron pénètre dans l'Apocalypse. L'imagination enflammée de l'auteur fait le reste.
Du mythe « historique » sort une histoire fantastique. Ainsi prend naissance la version juive du mythe. Dans cette version, Néron devient un personnage entièrement négatif, le symbole du Mal, l'envoyé de Satan.




Ainsi s'explique le caractère si fortement négatif que prend le mythe du
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« retour de Néron » dans la littérature Juive. Dans la vision des cercles extrémistes, Néron n'est qu'un nouvel avatar du persécuteur éternel, coupable d'avoir tenté de monter sur le trône de Dieu. La même vision caractérise le motif du retour de Néron dans les Oracles sibyllins mais ici, il est intégré dans la tradition, celle du conflit entre Orient et Occident.

La présence de Néron dans cette tradition n'est point fortuite. Ce conflit a pris plus d'envergure après l'apparition de Rome en Asie. L'attraction que l'Orient exerce sur les Romains est prouvée par les rumeurs circulant sur l'intention de Jules César de transférer la capitale à Troie ou à Alexandrie, et aussi par la tentative d'Antoine de bâtir un nouvel Empire en Égypte...

En réalité la communauté de Rome souffre peu et devient très rapidement un des centres du christianisme.
Dans ces conditions, le mythe du « retour de Néron » joue dans la tradition chrétienne un tout autre rôle que dans la tradition juive. Le motif de la destruction du Temple s'estompe, la place centrale est prise par la figure de Néron l'Antéchrist, agent de Satan. Les auteurs chrétiens des siècles suivants font de lui l'annonciateur de la venue du Jugement Dernier, le mythe de son retour servant à souligner le caractère catastrophique de cet événement. Tout cela n'a plus de liaison avec l'incendie de Rome et la persécution qui s'ensuit.

Une tout autre évolution du mythe néronien a lieu dans la tradition juive. Tout en continuant d'être le coupable principal de la destruction du Temple et de l’État juif, Néron devient un personnage plus réel, doté d'une histoire significative pour la vision juive sur les événements du passé. Selon la légende, Néron vient en Judée après le commencement de la guerre mais, apprenant que Dieu veut le détruire, il s'enfuit et devient prosélyte juif. Rabbi Meir aurait été son descendant.

Le mythe du « retour de Néron» est un phénomène très caractéristique, tant pour l'atmosphère générale du monde antique au Ier siècle de notre ère, que pour la façon dont la spiritualité aussi bien juive que chrétienne trouve sa place dans cette atmosphère. Il se produit un processus de fusion entre religion et politique, la première devenant un moyen d'expression et de réalisation des idées, des attitudes et des actions politiques. C'est de ce processus que naît le messianisme, non comme une inspiration soudaine d'un personnage quelconque, mais comme le résultat d'une évolution longue et complexe.
Le messianisme est la réponse aux besoins réels de changement et de catharsis, nés de l'état d'oppression et de conflit qui caractérise la société.
La place centrale dans la croyance messianique est occupée par l'attente du retour du Sauveur et de la restauration d'un état passé de bonheur et de justice.

Dans cette atmosphère, le mythe du « retour de Néron » est un des symptômes de la crise qui s'annonce. Dans sa version initiale, il exprime l'espérance d'une grande partie de la population de l'Orient dans la chute de l'Empire de Rome. Néron personnifie cette espérance, parce qu'il réunit dans sa figure la prédilection pour l'Orient, la politique religieuse qu'il mène et sa fin tragique et mystérieuse.
Dans toutes les versions, le mythe du « retour de Néron » constitue une expression de l'atmosphère eschatologique et messianique qui règne en Orient au Ier siècle de notre ère.
Le retour de Néron devient ainsi une sorte de moquerie, une imitation satanique de l'apparition du Sauveur.

Cette popularité, dont il n’y a pas trop lieu d’être surpris, a, en effet, une singulière conséquence.
Le bruit se répand que l’objet de tant de regrets n’est pas réellement mort. Déjà du vivant de Néron, on a vu poindre, dans l’entourage même de l’empereur, l’idée qu’il est détrôné à Rome, mais qu’alors commence pour lui un nouveau règne, un règne oriental et presque messianique. Le peuple a toujours de la peine à croire que les hommes qui ont occupé longtemps l’attention du monde soient définitivement disparus.
La mort de Néron à la villa de Phaon, en présence d’un petit nombre de témoins, n’avait pas eu un caractère bien public. Tout ce qui concerne sa sépulture se passe entre 3 femmes qui lui sont dévouées, Icélus presque seul a vu le cadavre, il ne reste rien de sa personne qui soit reconnaissable. On peut croire à une substitution, les uns affirment qu’on n’a pas trouvé le corps, d’autres disent que la plaie qu’il s’est faite au cou a été bandée et guérie.
Presque tous soutiennent que, à l’instigation de l’ambassadeur Parthe à Rome, il s’est réfugié chez les Arsacides, ses alliés, ennemis éternels des Romains, ou auprès de ce roi d’Arménie, Tiridate, dont le voyage à Rome en 66 a été accompagné de fêtes magnifiques.

Là, il trame la ruine de l’empire... On va bientôt le voir revenir à la tête des cavaliers de l’Orient, pour torturer ceux qui l’ont trahi.
Ses partisans vivent dans cette espérance, déjà ils relèvent ses statues, et font même courir des édits avec sa signature.
Les chrétiens, au contraire, qui le considèrent comme un monstre, en entendant de pareils bruits, auxquels ils croient en tant que gens du peuple, sont frappés de terreur. Les imaginations dont il s’agit durent fort longtemps, et, conformément à ce qui arrive presque toujours en de semblables circonstances, il y a plusieurs faux Néron. On verra bientôt le contre-coup de cette opinion dans l’Église chrétienne et la place qu’elle tient dans la littérature prophétique du temps.
L’étrangeté du spectacle auquel on assiste laisse peu d’âmes tranquilles.
On a poussé la nature humaine aux limites du possible, il reste le vide au cerveau qui suit les accès de fièvre partout des spectres, des visions de sang. On raconte qu’au moment où Néron sort de la porte Colline pour se réfugier à la villa de Phaon, un éclair lui donne dans les yeux, qu’en même temps la terre tremble, comme si elle s'était entr’ouverte et que les âmes de tous ceux qu’il a tués soient venues se précipiter sur lui. Il y a dans l’air comme une soif de vengeance.

Après le suicide de Néron en juin de l'an 68, plusieurs faux Néron sont apparus entre l'automne 69 et le règne de l'empereur Domitien.
La plupart des chercheurs postulent qu'ils ont été au nombre de 2 ou 3. Il sont le résultat du mythe du Nero Redivivus.
La croyance a pu être entretenue par les circonstances inhabituelles de la mort de l'Empereur, qui, contrairement aux autres empereurs Julios-Claudiens, n'a pas été inhumé dans le mausolée d'Auguste...

Le premier faux Néron est apparu à l'automne 68 ou au début de l'hiver 69 dans la province Romaine de Achaïe (aujourd'hui la Grèce). La visite par Néron de cette contrée en 66–67 dans le cadre des Jeux panhelléniques a peut-être eu une influence sur l'appui qu'il a obtenu.
Tacite attribue le phénomène à la nature crédule et rétive des Grecs.

Toujours selon Tacite, l'imposteur est soit un esclave de Pontus, soit un homme libre d'Italie.
L'historien ne donne pas beaucoup de détails sur les débuts de l'imposteur. Il raconte que le faux Néron a réuni un groupe de déserteurs et qu'il a pris la mer.
Le groupe a rencontré une tempête et s'est échoué sur Kythnos, une petite île des Cyclades. À cet endroit, il a commis des actes de piraterie, attaquant des marchands, volant leur marchandises et armant leur esclaves.
Le faux Néron a également fait courir le bruit qu'il désire recruter des soldats Romains pour se rendre en Italie.

Le successeur de Néron, Galba a probablement donné pour tâche à Calpurnius Asprenas de le débarrasser de l'imposteur alors qu'il part pour gouverner les provinces de Galatie et Pamphylie. L'imposteur tué, Asprenas fait faire à sa tête le tour de l'Asie, avant de la rapatrier à Rome...

Le 2e faux Néron est apparu lors du règne de Titus. Asiatique du nom de Terentius Maximus, il obtient plusieurs supporteurs de l'Euphrate à Parthie, où il s'enfuit et tente d'obtenir du soutien.
Le roi Artaban III, en froid avec Titus, reçoit l'imposteur et prépare son voyage vers Rome. Il sera exécuté lorsque sa vraie identité sera dévoilée...
OU DU DIABLE (RIEN A VOIR AVEC PEACE AND LOVE)

Le 3e faux Néron est apparu 20 ans après la mort de Néron, lors du règne de Domitien. Soutenu par les Partiens, ceux-ci ont défendu ce dernier au point de presque entrer en guerre.


Le mythe de Néron. De l'Apocalypse de saint Jean au Talmud de ...
www.persee.fr/doc/rhr_0035-1423_1989_num_206_1_1854
de M Bodinger - ‎1989 - ‎Cité 11 fois - ‎Autres articles
Cette croyance, stimulée par la nouvelle de l'apparition d'un « faux Néron » .... Il réussit à conclure une paix plus ferme avec les Parthes, ce qui lui permit de ..... Les sources principales sont : Tacite, Hist., II, 8-9 ; Suétone, Nero, 57 ; Dion ...

Faux Néron — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Faux_Néron
Après le suicide de Néron en juin de l'an 68, plusieurs faux Néron sont apparus entre l'automne 69 et le règne de l'empereur Domitien. La plupart des ...
Termes manquants : parthes

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