dimanche 9 avril 2017

EN REMONTANT LE TEMPS... 65

24 FÉVRIER 2017...

Cette page concerne l'année 65 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

A LA RECHERCHE DES SOURCES DU NIL...

Depuis la Haute Antiquité, elle alimente croyances, rêves et passions. Les habitants de l’Égypte ancienne, émerveillés devant le miracle de ce fleuve nourricier, assimilent ses crues à la divinité Apis, figure androgyne à la mamelle pendante, parfois représentée avec, dans les mains, deux aiguières d'où s'écoule l'eau bienfaitrice.
Le Nil est à leurs yeux une résurgence de l'océan primordial, jaillissant par 2 sources : L'une, pour la Basse-Égypte, à Héliopolis, non loin de l'actuelle ville du Caire L'autre, pour la Haute-Égypte, au débouché de la première cataracte, près de l'île Éléphantine, siège du dieu Khnoum à tête de bélier, symbole de fécondité pour ces populations de pasteurs établis sur les bords du fleuve.

Les Romains, devenus maîtres du pays à la veille de notre ère, poussent plus avant. Sous le règne de l'empereur Tibère, ils remontent le fleuve jusqu'à la cité Nubienne de Napata, au pied de la 4e cataracte, qu'ils mettent à sac.

En 65/66 L’empereur Néron envoie son tribun Claudius Emilianus en Égypte afin de découvrir les sources du Nil et le royaume de Méroé. Il se prend alors à rêver à la gloire de conquérant : Une expédition aux sources du Nil (L'exploration de l'Afrique) ou un passage des défilés du Caucase, il forme une légion de soldats de 6 pieds de haut...
Sa fantaisie change : Le voilà parti pour la Grèce où il a fait retarder de 2 ans les jeux Olympiques, afin d'y prendre part.
Il y chante, conduit des chars, on lui décerne 1 800 couronnes, on abat les statues des anciens vainqueurs, à Corinthe, il proclame aux Jeux Isthmiques la liberté de l'Achaïe, parodiant Flamininus, mais il fait étrangler un acteur concurrent...
Puis il entreprend le percement de l'isthme de Corinthe, y renonce, fait tuer Corbulon, qu'il a mandé par une lettre affectueuse, dévalise Delphes de 500 statues, enlève à Thespies l’Éros de Praxitèle...

Le convoi d'exploration forme un fascinant creuset où se côtoient Nubiens, Grecs, Romains, Égyptiens, mais aussi des esclaves, des mercenaires et des commerçants. Une prêtresse Nubienne, Senseneb, leur sert de guide et n’hésite pas à utiliser son pouvoir de séduction sur les tribuns, ce qui sème le désordre dans les rangs… Néron, à son tour, envoie 2 centurions en éclaireurs qui, passé Khartoum, suivent probablement le Nil blanc, avant d'être stoppés par « d'immenses marécages impénétrables aux piétons et aux barques ».
En proie aux maladies, à une chaleur suffocante et aux attaques tribales, les légions Romaines parviendront-elles aux sources du Nil ?
L’expédition de Marcus Livius, officiellement composée de déserteurs Romains et officieusement placée sous les ordres du centurion Caïus Bracca, touche enfin au but après une éprouvante marche au cœur de l’Afrique. Une marche lors de laquelle les hommes ont affronté nombre de dangers incroyables, ont été les témoins de douleurs atroces et ont perdu quelques compagnons. Les légionnaires Romains vont enfin découvrir cette civilisation riche et puissante, peut-être plus encore que ce qu’ils peuvent imaginer !
Ce 2e de tome de l’Expédition inscrit la série dans une période jamais explorée : l’Afrique et ses grands Empires.

C'est un filet d'eau qui sourd de terre, à 2 428 mètres d'altitude, sur les hauts plateaux Rwandais. Un écoulement de 3 fois rien. A peine un ruisselet fangeux. Mais il suffit à relancer une quête plurimillénaire où le mythe se mêle à l'histoire : Celle, jamais tarie, de la source du Nil...

Néron rentre en Italie célébrer ses triomphes aux Jeux sacrés, à Naples, il rentre sur un char attelé de chevaux blancs par une brèche faite dans la muraille, à Rome, sur le char de triomphe d'Auguste, vêtu de pourpre, d'une chlamyde semée d'étoiles d'or, la couronne olympique sur la tête, sur son passage, on poudre les rues de safran. Il peuple le palais de ses statues (67). L'affranchi Helius, auquel il a remis le gouvernement de Rome en son absence et qui l'a pressé de revenir, sent venir l'orage. Les folies de Néron, ses exactions financières ont lassé l'empire. 

Dans la région du Nil, même si les Romains ne vont jamais élucider le mystère de ses sources, l’intérêt pour leur localisation a pour conséquence la découverte de nouvelles montagnes Africaines. Au début du Ier siècle, la localisation des sources est totalement inconnue. Sans prendre parti, Strabon rapporte une opinion selon laquelle les sources du Nil se trouvent « sur les sommets de Maurousie » (XVII, 3, 4), c’est-à-dire dans un Atlas mal déterminé, suivi par Vitruve. Celui-ci précise qu’à la source, le Nil porte le nom de Niger, puis qu’il disparaît dans des lacs pour ressurgir ensuite sous son vrai nom. Vitruve (VIII, 2, 6) et Pline cite lui aussi un lac (Eptabolus) traversé par le Nil dans son haut cours puis de « montagnes désertiques » (montes desertos) .

Selon Méla (I, 50), le Nil a sa source dans les déserts d’Afrique.
Pline ne progresse guère, présentant un Atlas aux caractéristiques légendaires, mais il nous apprend que la région des sources du Nil n’a été explorée à son époque que par des civils (V, 51-52).
La source de ses informations serait un dénommé Dalion (VI, 183), qui serait remonté en amont de Méroé, mais Pline conserve un flou sur la localisation des sources du Nil en donnant pour seule, et fausse, information  (V, 52) : « (Le Nil) a sa source dans une montagne de la Maurétanie Inférieure, pas loin de l’Océan, et il forme tout de suite un lac stagnant appelé Nilidès. »...

Puis 2 expéditions Romaines ont eu lieu vers ce que Ptolémée (I, 7-10) appelle l’Éthiopie intérieure, nettement plus à l’est que précédemment : Néron organise une expédition vers le Haut Nil pour en découvrir les sources, inconnues jusqu’alors.

Entre 76 et 110, une expédition est menée par Septimius Flaccus, propréteur de Numidie (pendant 3 mois, sous Vespasien, pour mettre fin à des agitations des peuples de l’intérieur) (I, 8, 4), une autre par un dénommé Julius Maternus, (pendant quatre mois et 14 jours) (I, 11, 4).
JOHN SPEKE
Cependant, Dion Cassius (LXXV, 13) parle encore de l’Atlas pour les sources du Nil, cependant ce n’est plus un Atlas légendaire, mais la chaîne qui barre le Maroc actuel.
Par contre, Ptolémée cite de nouvelles montagnes, grâce sans doute à ces avancées Romaines de plus en plus loin vers le sud aux Ier et 2e siècles : Il s’agit de « nombreuses » et « hautes » montagnes situées à la limite de la « terre inconnue ».

Ptolémée se fonde notamment sur des documents utilisés par Marin de Tyr, rédigés sous les Flaviens, par un marin dénommé Diogène, qui est allé vers le sud jusqu’au cap Rhapta (vers Dar es Salaam, selon J.Desanges) et a recueilli des informations sur les sources du Nil et d’autres grandes montagnes neigeuses « voisines de l’Équateur ».
Ptolémée précise qu’elles sont si peu connues que la plupart ne portent pas de nom (IV, 9, 6 ) : « Cette région a d’autres nombreuses et grandes montagnes jusqu'à la terre inconnue : Elles ne portent pas de nom pour la plupart, mais voici celles qui sont connues (...) ». Il cite donc ensuite les 5 noms qu’il connaît : Dauchis, Ion, Zipha, Ineschi/Mesche, Barditon, qui enrichissent indubitablement la connaissance de la partie sud de l’Afrique Romaine et font reculer les limites de la terre inconnue. Ptolémée apporte aussi une précision inédite encore plus précieuse pour les Anciens sur des montagnes d’Afrique situées au-delà des itinéraires, au sud des lacs du Nil , en leur donnant un nom :  « les Monts de la Lune »  (IV, 9, 6) . Ils se trouvent selon lui à l’extrémité sud-est de la partie connue de l’Afrique et leurs neiges, en fondant, alimentent les lacs situés plus au nord, d’où sortent deux cours d’eau dont la réunion forme le Nil, auquel s’ajoute un affluent issu du lac Coloe, en Abyssinie  (IV, 8, 3) : « La montagne de la Lune, dont les lacs du Nil reçoivent l’eau des neiges, et les extrémités de la montagne de la Lune a les coordonnées suivantes (...) ». Il ajoute ensuite les coordonnées de ces montagnes...

Des pèlerins Franciscains au Moyen-Âge, puis des Jésuites, emprunteront la piste du Nil bleu, jusqu'en Abyssinie.

Sur les cartes réalisées à la Renaissance d’après les indications de Ptolémée , aux confins de la terre connue, on constate la présence nette de ces nouvelles montagnes Africaines qui ne sont pas citées par les autres auteurs ou seulement évoquées de façon floue, sans localisation et sans qu’il apparaisse un nom qui leur soit propre.
Ainsi, Strabon se contente de faire, certes à juste titre, une relation de cause à effet entre les crues du Nil et les pluies estivales sur les « Monts d’Ethiopie » (XVII, 1), qui correspondent sans doute à la source du Nil Bleu.
Certes, les coordonnées fournies par Ptolémée pour ces montagnes sources du Nil sont fausses car il les place trop au sud ;  mais établir l’existence de ces Monts de la Lune, dont on ignore s’ils correspondent à un ensemble formé par les monts de l’Ousagara (2 400 m), de l’Ounyamouési ou du volcan Virounga
(4 507 m), c’est approfondir la connaissance de ce continent en ayant tenté de résoudre un problème essentiel, celui des sources du Nil, posé depuis longtemps sans être résolu.
Même si l’existence de ces montagnes est hypothétique à cause des problèmes de localisation et de reconnaissance exactes par rapport au texte Grec, le géographe cherche ici une explication rationnelle au mystère du cours du Nil, qui intriguait beaucoup les Anciens, et la présence de lacs aux sources du Nil est réelle.
Le Nil Bleu descend du lac Tana, le Nil Blanc des lacs Victoria et Kyoga, non loin du Mont Elgon et du Mont Kenya. 
Sur la Table de Peutinger, le Nil naît dans le sud de la Cyrénaïque, d’un grand lac aux formes régulières d’un bassin, au sein d’un cadre montagneux très marqué, à la limite sud du monde représenté :
LES DANGERS RENCONTR2S PAR LES ROMAINS
Mais ces montagnes ne portent pas de nom. Par contre, le lac, nommé Lacus Tritonum sur le segment précédent de la Table, serait un souvenir de celui dont Diogène aurait entendu parler sur les côtes d’Azanie vers la fin du Ier siècle, c’est-à-dire un des grands lacs d’Afrique Orientale d’où sort le Nil Blanc, probablement l’immense lac Victoria. Quand on considère l’environnement réel de ce lac, on constate en effet qu’il y a de très hautes montagnes sur son côté Oriental : Le Mont Elgon (4 321 m), le Mont Kenya (5 199 m), le Méru (4 565 m), le Kilimandjaro (5 895 m) et sur son côté Occidental  le Ruwenzori (5 109 m).
Après Ptolémée, les connaissances ne progressent plus guère en Afrique : Denys le Périégète, repris par Aviénus au IVe siècle, ne cite pas de nouvelles montagnes et Orose dans son chapitre géographique, très peu, qui sont en plus difficiles à localiser. Cette situation va subsister jusqu’au XVe siècle et même XIXe siècle pour certaines parties intérieures de l’Afrique ! Les « Mont de la Lune » apparaissent sur certaines cartes jusqu’au début du XIXe siècle...

Il faut attendre le XIXe siècle, avec l'expansion des empires coloniaux, pour que l'explorateur Anglais John Hanning Speke, parte de Zanzibar, parvienne, en 1858, jusqu'à l'ample formation lacustre que les indigènes appellent Nyanza (« étendue liquide ») et qu'il rebaptise du nom de sa souveraine, la reine Victoria...
Quelques années plus tard, ses compatriotes Samuel et Florence Baker découvrent le lac Luta Nzigé, qu'ils renomment Albert, époux de Victoria. Pour la couronne Britannique, désireuse d'établir son emprise « du Cap au Caire », le lac Victoria prend valeur de symbole et reste la seule et unique source du Nil...

Les Allemands, eux aussi, étendent leurs colonies en Afrique Orientale : En 1892 et 1898, Oscar Bauman et Richard Kandt poussent les repérages plus en amont et identifient les sources Burundaise et Rwandaise du fleuve.
A défaut de trancher la question, la récente expédition anglo-néo-zélandaise « porte le coup de grâce à l'axiome très british et très impérialiste faisant du lac Victoria l'origine du Nil », observe Bernard Nantet.
Cette querelle des sources se nourrit aujourd'hui d'un autre enjeu : Celui du partage des eaux d'un fleuve qui, arrosant une dizaine de pays, abreuve 100 millions d'individus.

Deux Néo-Zélandais, Cam McLeay et Garth MacIntyre, âgés de 43 ans, et un Britannique, Neil McGrigor, âgé de 44 ans, pensent l'avoir localisée au sud du Rwanda, dans le parc national de Nyungwe, qui abrite l'une des plus grandes forêts primaires d'Afrique de l'Est. Les 3 explorateurs, partis de l'embouchure du fleuve, près d'Alexandrie (Égypte), le 20 septembre 2005, ont remonté le cours du fleuve à bord de canots pneumatiques, guidés par des images satellitaires et un GPS.
Commencée comme une partie de plaisir durant la traversée de l’Égypte, l'équipée, racontent-ils, s'est faite plus mouvementée au Soudan, où il leur a fallu affronter les rapides, puis braver les marécages infestés de crocodiles, les cobras et les essaims de moustiques.
L'expédition a viré au drame quand, ayant atteint le sud de l'Ouganda, début novembre, elle a été attaquée par des rebelles de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA).
Au cours de l'accrochage, un Britannique, Steve Willis, 38 ans, qui avait rejoint les trois hommes, a été tué, ses compagnons blessés.
Le temps de surmonter l'épreuve, et ceux-ci ont repris leur progression, en mars 2006. Pour parvenir finalement au cœur d'une épaisse forêt jusqu'ici connue pour la richesse de sa flore (200 essences forestières et plus de 100 orchidées différentes) et la diversité de sa faune (13 espèces de primates), au bord d'un modeste trou d'eau.

C'est là, sont-ils convaincus, que prend naissance le 2e plus grand fleuve de la planète après l'Amazone.
Long, selon leurs calculs, de 6 718 kilomètres, soit 47 de plus que les 6 671 kilomètres annoncés par toutes les encyclopédies. Cela fait sourire Robert Collins, historien Américain spécialiste du Nil, pour qui quelques kilomètres en plus ou en moins ne changent pas la face du monde. « Ces types ont fait ça pour l'aventure, et je trouve ça très bien », commente-t-il.

Un sentiment partagé par le journaliste-archéologue Français Bernard Nantet, auteur d'une Histoire du Nil (Editions du Félin, 2005) : « C'est une belle aventure, un formidable exploit, même, que d'avoir remonté le fleuve. Pour le reste, j'attends de savoir ce qu'en diront les géographes et les géomètres. »
Toute la question, ajoute-t-il, est de savoir ce que l'on entend par « source ». Car le Nil n'a pas une seule, mais plusieurs sources, qui doivent autant à la géopolitique qu'à la stricte topologie.
La plus lointaine se trouve au sud du Burundi, sur le mont Kizizi, à 2 050 mètres d'altitude. Appelé successivement Luvironza, puis Ruvubu (« la rivière aux hippopotames »), ce torrent rencontre la Nyabarongo, née au Rwanda dans les monts Mifumbiro, à plus de 3 000 mètres d'altitude, beaucoup plus abondante. Ce qui permet au Burundi et au Rwanda de revendiquer chacun « sa » source, avec l'avantage de la distance pour le premier, du débit pour le second.

Réunis, les deux cours d'eau prennent alors le nom de Kagera (« la profonde »), la plus grosse des rivières qui alimentent le lac Victoria... Ce réservoir lacustre, le plus vaste d'Afrique, s'épanche, par les chutes de Rippon et d'Owen, jusqu'au lac Albert, en swahili Luta Nzigé, « la clarté qui tue les sauterelles ». Cette vasque, où se déversent les eaux du lac Édouard, lui-même exutoire du lac Georges, fait aussi partie des candidats au titre de source du Nil.

Dévalant ensuite en flots impétueux jusq'aux plaines du Soudan, sous le nom arabe de Bahr el-Djebel (« le fleuve des montagnes »), le Nil se gonfle du Bahr el-Ghazal (« la rivière des gazelles »), avant de ressortir du lac No, épuré et filtré, sous l'appellation de Bahr el-Abiad, « le Nil blanc ». Celui-ci rejoint enfin, à Khartoum, le puissant Bahr el-Azrak, « le Nil bleu », sauvage torrent né dans les montagnes d’Éthiopie, près du lac Tana, à 2 700 mètres d'altitude. C'est à lui que l’Égypte doit l'essentiel des eaux fertilisant ses rives et cette source Éthiopienne s'ajoute donc à la liste des prétendantes.

Encore faut-il mentionner, complète Bernard Nantet, une source oubliée : Le lac Turkana, entre le mont Kenya et le massif Éthiopien. Les perches et les crocodiles qui le peuplent toujours, ainsi que les papyrus qui couvrent ses berges, semblent attester que cette longue étendue d'eau communiquait autrefois avec le Nil, avant que des mouvements tectoniques ne l'isolent et ne la transforment en mer morte. La recherche de l'ombilic du grand fleuve ne s'arrêtera sûrement pas là.



L'éternelle quête des sources du Nil - Le Monde
www.lemonde.fr/.../des-explorateurs-affirment-avoir-localise-les-sources-du-nil_762044...
15 avr. 2006 - Car le Nil n'a pas une seule, mais plusieurs sources, qui doivent autant à la ... La recherche de l'ombilic du grand fleuve ne s'arrêtera sûrement pas là. ... Néron, à son tour, envoie deux centurions en éclaireurs qui, passé ...
Termes manquants : l4année ‎65

Découvertes géographiques - Terra Antiqua
terra.antiqua.free.fr/decouvertes.html
L'Europe du nord-ouest : les progrès grâce à la découverte des sources des ..... que précédemment : Néron organise une expédition vers le haut Nil pour en ...

Amazon.fr - Rome à la conquète du Nil : L'expédition de Néron au ...
https://www.amazon.fr/Rome-conquète-Nil-Lexpédition-lAfrique/dp/2290012327
L'empereur Néron envoie son tribun Claudius Emilianus en Egypte afin de découvrir les sources du Nil et le royaume de Méroé. Le convoi forme un fascinant ...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire