samedi 1 avril 2017

EN REMONTANT LE TEMPS... 79

11 FÉVRIER 2017...


Cette page concerne l'année 79 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

DÉROULEMENT DE LA COLÈRE D'UN VOLCAN : LE VÉSUVE
 
Dans la nuit du 24 au 25 août de l'an 79, le Vésuve entre en éruption.
En 10 heures, les villes d'Herculanum et de Pompéi seront entièrement dévastées par ce qui reste une des plus marquantes catastrophes naturelles documentées par l'homme civilisé. Cet événement, parce qu'il a donné naissance à une source d'informations très complètes sur la vie Romaine, mais également parce qu'il est le premier phénomène naturel décrit par un scientifique, Pline l'ancien, occupe une place particulière dans l'Histoire...
Les sciences et bien sûr la volcanologie.

La majeure partie de l'activité du Vésuve, au sein donc de l'arc de subduction, consiste en de petits épanchements de laves, sous forme de coulées, avec parfois des éruptions dites explosives, au cours desquelles la lave se met en place non pas sous forme de coulées, mais sous forme de fragments de magma, ou éjecta, appelés ponces lorsqu'ils sont gros et cendres lorsqu'ils sont petits...
L'ensemble de ces éruptions a formé un strato-volcan ancien, appelé Somma, l'ancêtre du Vésuve.
Des datations radioactives potassium-argon ont donné un âge de 300 000 ans pour la base du volcan.
Il y a 17 000 ans, une grosse éruption a formé un dépôt étendu de ponces, connu sous le nom de « ponces basales ». Ce dépôt marque la fin de l'activité du Somma et le début de l'activité du Vésuve.

Depuis, le Vésuve a connu 7 éruptions majeures, avec des périodes de repos du volcan variant entre 400 et 4 000 ans entre deux éruptions. Chacune de ces éruptions marque le début d'un cycle éruptif que l'on peut repérer à chaque fois par un paléosol souvent calciné et recouvert par les éjecta.
Le cycle qui inclut l'éruption de 79 est le cinquième, et a commencé avec l'éruption d'Alvellino, dont les dépôts recouvrent un paléosol daté au carbone 14 à -1 760 ± 70.
Cette éruption est assez semblable par sa composition, son étendue et son intensité à celle de 79.

POMPÉI AVANT L’ÉRUPTION
De nombreux historiens sous Auguste (-31 à 14), notamment Strabon, ont noté le caractère volcanique du Vésuve, et le décrivent comme un cône volcanique tronqué, une peinture d'une maison à Pompéi le montre d'ailleurs ainsi...

Aujourd'hui, le cône est en partie détruit, il est égueulé, et s'ouvre sur une sorte de chaudron, ou caldeira, formée par l'effondrement du volcan à la fin de l'éruption de 79.
Une éruption volcanique explosive s'accompagne de l'éjection dans l'atmosphère à partir du conduit éruptif, d'un mélange de gaz volcanique et de fragments, ponces et cendres.
Cette mixture forme un jet de gaz plus ou moins dense, violent et turbulent, que l'on appelle un panache volcanique. En prenant l'exemple simpliste d'une bouteille de champagne que l'on a fortement secoué, le jet qui se produit à l'ouverture forme le même type d'écoulement, les gouttelettes de champagne en suspension étant l'équivalent des fragments de magma.
Les ponces et les cendres transportées par le panache retombent ensuite sur le sol et forment des dépôts volcaniques que l'on peut observer sur le terrain après l'éruption.

Lorsqu'une éruption volcanique est imminente, un signe précurseur habituel est l'enregistrement de séismes produits par la remontée de la lave qui se fraie un chemin vers la surface. Un second signe est également souvent l'activité accrue des fumeroles... Ces deux signes semblent avoir été observés pour le Vésuve.
En effet, 17 ans avant l'éruption, un fort tremblement de Terre (de magnitude estimée à 5 d'après les dégâts) cause des dommages importants à Pompéi et à Herculanum. Sénèque rapporte également qu'après ce tremblement de Terre, de nombreux moutons ont péri aux alentours du Vésuve suite à des émanations de gaz toxiques.
Enfin, il semble également que le gonflement du volcan ait été enregistré par une baisse relative du niveau de la mer dans la région.

Toutefois, 17 ans est un délai très long entre une éruption et ses précurseurs : Le Vésuve a certainement indiqué que de la lave s'est mise en place mais celle-ci n'était pas encore prête à l'éruption...
Quelques 17 ans plus tard, le 20 août 79, de nouveaux séismes secouent la région avec une fréquence et une intensité croissante jusqu'au 24 août, indiquant la remontée finale de la lave.
On note également le tarissement de nombreuses sources autour du volcan, par fermeture de fissures associée à la dilatation du volcan... Ces signes seraient aujourd'hui immédiatement suivis de l'évacuation de la population, mais à l'époque aucun lien n'est fait entre une éruption du Vésuve et l'activité tellurique.
La première phase de l'éruption correspond au premier lit de fragments et de cendres déposés sur le paléosol. Ce dépôt est limité aux flancs du volcan et à l'est du Vésuve. Ce dépôt est mal trié (les cendres et les ponces de toute taille sont mélangées) et les fragments qui le forment sont plutôt fins, que l'on soit proches du centre éruptif ou que l'on s'en éloigne.
De plus, on peut trouver des fragments en forme de gouttelettes, ou lapilli, au sein de ce dépôt.
Ces observations sont typiques d'un épisode phréatomagmatique, où la lave explose au contact de l'eau d'infiltration.
On peut imaginer qu'il correspond donc à la dernière phase de l'ascension de la lave qui rencontre l'eau stockée dans le sous-sol. L'explosion résultante « débouche » le conduit, et ouvre la voie aux phases suivantes.

Comme ce dépôt est assez fin et assez peu étendu, il correspond à une petite explosion du volcan. Il est donc probable qu'il fut à peine noté par les habitants de Pompéi et d'Herculanum.
Ceux-ci n'ont vu qu'un nuage noir et n'ont entendu que le son d'une explosion qu'ils ont interprété comme de l'orage au-dessus du volcan. Par contre, les villas sur les flancs du volcan ont reçu des cendres, et c'est une des propriétaires de ces villas, Rectina, qui appelle Pline l'ancien à la rescousse le 24 août.

De plus, à une de ces villas, Rustica, le dépôt devant la porte ne montre pas de traces de pas des habitants, ce qui laisse penser que ce dépôt a eu lieu très peu de temps avant la phase principale de l'éruption qui va tout recouvrir le matin du 24 août avant même que les habitants ne soient sortis. On peut donc postuler que le début de l'activité du Vésuve a eu lieu dans la nuit du 23 au 24 août, n'alarmant que les habitants au sommeil léger.
Le second dépôt que l'on peut identifier est bien plus épais que le précédent et montre des caractéristiques assez différentes.
Il est trié, c'est-à-dire que les gros fragments sont majoritaires à la base des lits alors que les cendres le sont au sommet (parfois on observe aussi une stratification inverse). De plus, la taille moyenne des particules dans le dépôt diminue en fonction de l'éloignement à la bouche volcanique (l'épaisseur maximale est cependant atteinte 10 km avant le conduit lui-même). On note également que le dépôt n'est pas symétrique autour du volcan, mais montre un allongement très net dans la direction sud-est, ce qui traduit l'effet des vents dominants dans l'atmosphère (de même que les bancs de sable suivent les courants dans les estuaires).
Ce dépôt a, notamment à Pompéi, entraîné l'effondrement du toit de certaines maisons, mais sans les déplacer, ce qui indique une mise en place verticale, en pluie, et non pas horizontal, en coulée.
Ces caractéristiques sont typiques de dépôts sédimentaires, et ici d'une sédimentation aérienne, fall-out en anglais. Ce dépôt correspond à une pluie de cendres et de ponces depuis le panache volcanique.

On note également une évolution progressive de la couleur des ponces qui passe de blanc au milieu du dépôt à gris au sommet. Cette évolution correspond à des laves de chimie, différente remontées progressivement du fond de la chambre magmatique (les ponces blanches sont relativement plus riches en silicium, elles sont plus différenciées, alors que les ponces grises sont moins riches en silicium, plus primitives ou basiques, c'est-à-dire plus proches du matériel issu de la fusion).
Les ponces grises sont plus riches en fer et magnésium, elles sont donc plus denses, ce qui explique pourquoi elles doivent être au fond de la chambre magmatique et donc ont été échantillonnées plus tard dans l'éruption.
On remarque également que l'allongement des dépôts change légèrement entre les ponces grises et blanches, ce qui correspond à un changement de la direction des vents dominants.
Ce sont Pline l'ancien (le scientifique) et son neveu Pline le jeune (le lettré) qui fournissent le témoignage principal sur cette phase de l'éruption...

Stabiae est alors sous une pluie légère de cendres qui ne provoque pas de panique dans la population. Pendant la nuit, la pluie de cendres et surtout de ponces continue, et de nombreux séismes se produisent, qui poussent les habitants à passer la nuit dehors en se protégeant tant bien que mal des chutes de ponces qui commencent à atteindre une épaisseur suffisante pour obstruer les portes.
Le matin du 25 août, aux environs de 6 heures, les habitants de Stabiae sont témoins d'une manifestation du Vésuve assez forte pour les faire fuir en panique, en dépit des vents contraires qui gênent la fuite par les eaux.
Après avoir supporté 18 heures de pluie de cendres, leur réaction indique que cette nouvelle activité doit être plutôt terrifiante... Le pic d'intensité des tremblements de Terre est d'ailleurs atteint le matin du 25, avec même la formation de tsunami décrits par Pline l'ancien. Que peut-on dire alors sur ce changement d'activité d'après les dépôts ?
Pline l'ancien n'a pas témoigné sur les nuées ardentes car elles l'ont tué, ainsi que les habitants qui n'ont pas fui sous la pluie de ponces.
Par contre, Pline le jeune a laissé des lettres décrivant les manifestations du volcan, observées à distance raisonnable.
À Stabiae, les habitants sont envahis par des odeurs de souffre et une pluie de feu (des bombes volcaniques explosant en touchant le sol) alors que l'avalanche promet d'atteindre la ville, provoquant la fuite éperdue des habitants.
À Misenum, protégée par la direction des vents, la ville a été épargnée par les chutes de ponces de la phase Plinienne précédente.
Par contre, les séismes dus à l'éruption sont ressentis avec une intensité de plus en plus forte au cours des 24 et 25 août. Les objets sont complètement renversés et les chars, même bloqués par des pierres, sont déplacés lors des tremblements de terre...

Le 25, peu de temps après les plus violents séismes, Misenum est témoin de la première nuée ardente, formant un noir nuage traversé d'éclairs d'électricité statique et descendant vers la mer.
Les nuées ardentes vont alors se succéder, emportant d'abord Pompéi puis Herculanum. On pense que seulement un 10e de la population est tué par les nuées car de nombreux habitants ont fui pendant la phase plinienne.
Nous avons vu qu'à la fois les témoignages historiques et les caractéristiques des dépôts montrent la présence de 2 phases majeures dans l'éruption. La première phase dite plinienne correspond à une pluie de cendres et de ponces depuis le champignon Plinien. La seconde phase, de Nuées Ardentes, correspond à des avalanches de fragments du jet volcanique sur les pentes du volcan.

Déjà les cendres commencent à tomber sur le pont des navires, puis les pierres ponces et les cailloux noirs, calcinés interdisent le rivage.
Pompeï, à cette heure là est déjà ensevelie.
A Stabies, Pline l'Ancien réussit à débarquer malgré la pluie de cendres et de pierres ponces qui ne cesse de tomber, et retrouve son ami Pomponianus.
Pour lui aussi, fuir par la mer reste la seule issue mais la houle, trop forte, empêche de traverser la baie... Toute la nuit une pluie de cendres et de pierres ponces ne cesse de tomber, s’amassant dans la cours.
Le jour est donc levé, pourtant il fait nuit noire. Munis de torches et de lampes, les habitant gagnent la côte. Ils ont placés des oreillers sur leur tête pour se protéger des pierres ponces, dangereuses malgré leur légèreté et leur porosité... La mer encore trop grosse empêche le départ. L’air irrespirable gène. C’est seulement, 48 heures plus tard, lorsque la luminosité est meilleure, que l’on peut constater l’étendue du désastre... Le sommet du Vésuve est déchiqueté, et presque toute l’extrémité sud de la baie est ensevelie. Sur les versants sud et ouest du Vésuve, là ou se dressaient tant de belles villas, ce n’est plus que le désert gris. Plusieurs cités ont disparues, Herculanum, Pompéï, Stabies, Oplontis et Taurania. Seule l’extrémité supérieure des bâtiments encore debout dépassent des cendres.

Si d'autres cités voisines souffrent de la catastrophe, elles réparent leurs dégâts... La ville de Stabies est reconstruite, à l'exception de quelques villas, mais Herculanum est abandonnée sous plus de 16 mètres d'une boue solidifiée, et Pompéi sous 6 mètres de lapilli (petits grains de lave et de roches éruptives projetés avec une violence inouïe par certains volcans lorsqu'ils entrent en éruption).
Des millions de tonnes de lave, de pierre ponce, de cendre sont projetés dans le ciel pour former un grand nuage. Celui-ci va droit vers le sud, frappant Pompéi de plein fouet. 2 000 personnes environ trouvent la mort à Pompei.
Dans les campagnes environnantes, les victimes doivent se chiffrer par dizaine de milliers. Les victimes n'ont pas été asphyxiées mais tuées instantanément par une violente vague de chaleur et de poussière.
La posture des ossements découverts à Pompéi révèle l'absence de gestes de protections ou de signes d'agonie.... Tout s'est produit en une fraction de seconde au contact de la chaleur, juste avant qu'un amas de cendre ne vienne, par couches successives, statufier les victimes.


Herculanum, bien qu’épargnée par la nuée, connaît un sort plus terrible encore : Un déluge de cendres et de vapeurs d’eau mélangés dévale les pentes du Vésuve et ensevelit la cité sous les boues brûlantes.
L’éruption a littéralement fait exploser le centre du volcan. Ses parois s’effondrent par la suite pour constituer un vaste cratère de plus de 11 kilomètres de circonférence. Un nouveau cône s’est formé depuis 79 sur le flanc sud... La paroi nord-est du vieux cratère subsiste encore et porte toujours le nom du mont Summa.
La dernière irruption « historique » a lieu en 1944, cette éruption est considérée comme la fin d'une période éruptive ayant débuté le 5 juillet 1913. L'activité strombolienne a commencé à partir de ce moment-là pour former un cône de scories à l'intérieur du cratère qui a atteint en mars 44, une hauteur de 100 m., portant celle du volcan à 1260 m.
L'éruption est précédée par des signes annonciateurs évidents à partir du 13 mars, quand il y a un effondrement du cône de scories à l'intérieur du cratère.

L'éruption commence le 18 mars avec une augmentation de l’activité strombolienne et de petites coulées de lave très fluides sur les rives Est et sud.
Peu après, une coulée de lave se déverse dans l'Atrio del Cavallo, descend la vallée étroite entre la colline de l'observatoire et l'extrémité ouest de La Somma,  et s’arrête à 1,2 km de Cercola, après avoir envahi et partiellement détruit les villes de Massa di Somma et San Sebastiano.
Sa vitesse est de 100 mètres par heure, sa viscosité de 9 x 104 poises.
Une petite coulée  engloutit le téléphérique et passe sur les rails de l'ancien chemin de fer à crémaillère.
 
Norman Lewis, un agent de l'intelligence service Britannique, témoin de l'éruption, fournit une description intéressante de la progression du front de lave dans la ville de San Sebastiano, dans son livre « Naples 44 » (paru en 1978).:
« La lave s'est introduite tranquillement le long de la rue principale, et à une cinquantaine de mètres du bord de la montagne de scories qui progresse lentement, une foule de plusieurs centaines de personnes, pour la plupart vêtus de noir, priait à genoux . [...] La lave se déplace à la vitesse de quelques mètres par heure, et a déjà recouvert la moitié de la ville sous une épaisseur d'environ 10 mètres. Le dôme d'une église, émergeant intact alors que l'édifice est submergé, est venu vers nous en rebondissant sur son lit de cendres. L'ensemble du processus était étrangement calme. La colline noire de scorie, ébranlée, tremble un peu et des blocs coulent sur ses pentes.
Une maison, d'abord complètement entouré et submergée, disparaît, intacte, de notre vue. Un bruit de machine, faible et lointain, indique que la lave a commencé à se contracter. J'ai vu un grand bâtiment avec plusieurs appartements faire face à la pression de la lave en mouvement. Il a réussi à tenir pendant quinze ou vingt minutes, puis les spasmes de la lave semblant se transmettre à la structure, il a également commencé à trembler, jusqu'à ce que ses parois se bombent puis s'écroulent. ..."
Dans l’après-midi du 21 mars, commence la deuxième phase de l'éruption caractérisée par des fontaines de lave ... les coulées ne sont plus alimentées et s'arrêtent.
 
A partir de midi, le 22 mars, il y a eu un changement significatif dans le style éruptif :
Le 22 mars à 17 heures, la cheminée s'effondre, mais trois heures plus tard elle est de nouveau dégagée par de fortes explosions.
Le 23 mars, des tremblements de terre sont accompagnés de puissantes explosions de cendres. Les panaches en forme de choux- L'accumulation de cendres est tellement importante sur les flancs que les pluies provoquent des fleuves de boue. A Terzigno, 5 kilomètres à l'est du cratère, il y a 80 centimètres de poussières volcaniques. A 28 kilomètres, à Cava dei Tirreni, il y en a encore 30. Les cendres retombent jusqu'en Albanie.
Des avalanches de blocs chauds et de petites coulées pyroclastiques marquent les flancs du cône.
De plus on constate une intense activité sismique jusqu'au matin du 23, période au cours de laquelle l'activité éruptive se réduit à la seule émission de cendres. L'émission de cendres du 24 mars marque la fin de l'activité éruptive ; elles blanchissent le Grand cône comme après une chute de neige. Les explosions se réduisent progressivement jusqu’à disparition le 29. Ne subsistent alors que des nuages de poussière, causés par des glissements de terrain en bordure du cratère.
 
Les dommages causés par l'éruption furent :
- 26 personnes tuées dans la zone touchée par les retombées de cendres dû à l'effondrement des toits des maisons;
- 2 villes partiellement détruites par des coulées de lave;
- 3 ans de perte de récolte dans les zones touchées par les retombées de cendres.
L' éruption de 1944 a été rendue célèbre dans les actualités en raison de la présence des troupes anglo-américaines occupant Naples à cette époque. Plusieurs dizaines de bombardiers B-25 de l'Air Force sont gravement endommagés.
 
D'après des informations locales , un avion américain aurait été abattu durant l'éruption par des projections de lave et d'autres débris volcanique car il se serait trop approché de la colonne de fumée ainsi que du cratère .
Une petite base américaine à l'est du Vésuve à quant-à-elle été recouverte de cendres de même que 15 avions de chasse et plusieurs jeeps . Lorsqu'on a parlé de les dégager , un officier américain à dit : « Inutile . Laissons-les pour permettre aux archéologues qui feront des fouilles dans quelques centaines d'années , d'avoir la joie de découvrir et de s'extasier devant les « Cars » étranges et grossiers qu'employaient les armées du
XXe siècle . »
Sur un autre terrain d'aviation au pied du Vésuve , 31 avions ont été criblés de projections de lave solidifiée, ce qui les a mis hors d'usage .


L'éruption du Vésuve en 79 après J.C. — Planet-Terre
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21 mai 2001 - Résumé. Mise en évidence de deux phases majeures pour l'éruption du Vésuve en 79 après J.C., à partir de témoignages historiques et des ..

VIDÉO. Découvrez Pompéi avant l'éruption du Vésuve ! - Le Point
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30 janv. 2016 - ... multimédia italienne a reconstitué en images de synthèse les rues et bâtiments de la ville antique avant l'éruption du Vésuve, en 79 après J.-C

La dernière éruption du Vésuve en 1944. - Earth of fire
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5 nov. 2012 - L'éruption du Vésuve en mars 1944 - photo U.S. Air Force .... L'éruption de 1944 fut la dernière éruption historique du Vésuve, et marque une ...

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