30
JUILLET 2016...
Cette
page concerne l'année 280 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
DÉBOIRES PERSISTANTS VENANT D'UN NOUVEAU RASSEMBLEMENT DE PEUPLES : LES FRANCS.
STATUETTE FRANQUE |
Les
Francs, étant destinés à assumer durant tout le Haut Moyen-Âge un
rôle dirigeant parmi les peuples Germaniques, apparaissent aux
historiens dans des conditions obscures, vers le milieu
du IIIe siècle. Leur nom est cité pour la première fois
à propos d'événements de 241 et, à partir des années 275-280,
ils sont régulièrement mentionnés comme s'opposant aux Romains sur
la rive droite du Rhin inférieur.
Durant
les premiers siècles de notre ère, les peuples Germains sont en
constante migration, sous la pression d'autres peuples migrants.
Durant le début du IIIe siècle, l'élévation du niveau de la mer
provoque la progression de la mer du Nord sur la plaine de Flandre et
la Frise, transforme le lac Flevo en golfe marin, le futur Zuiderzee.
Il s'ensuit un appauvrissement des populations locales, les Frisons,
les Francs et les Saxons, qui incite ces derniers à se lancer dans
la piraterie et le pillage de l'Empire Romain.
EDDA |
Les
peuples situés entre le Rhin et la Weser, ne pouvant franchir le
limes Rhénan, migrent vers la Hesse et la Thuringe, mais se heurtent
à d'autres peuples.
Pour
résister à cette pression, une première ligue de peuples
Germaniques se constitue au début du IIIe siècle. Ses membres la
nomment la ligue de tous les hommes (alle man en langue germanique).
Cette
ligue, qui apparaît pour la première fois en 213 dans les textes
Romains sous la forme Allamannicus qui a donné Alamans, et a pour
but de résister aux peuples Germains voisins et de conquérir de
nouveaux territoires.
À
la même époque, une autre ligue, non plus assujettie à l'Empire,
se forme plus au nord, le long du Rhin et en Germanie inférieure. Il
s'agit de la Ligue Franque, d'abord constituée des peuples Chamaves,
Chattuaires, Bructères et Saliens, la ligue comprend aussi les
Tongres déjà installés en Belgique, auxquels contribuent les
Sicambres.
Ils
sont rejoints par la suite par les Ampsivariens, les Tenctères, les
Tubantes et les Usipètes.
Des
monnaies d'or de l'empereur Constantin Ier émises en 306 après des
victoires contre les Francs et les Alamans portent à l'exergue
Francia et Alamannia, ce qui semble démontrer à cette époque
l'existence d'un pays des Francs que les Romains appellent Francie,
et qu'ils distinguent nettement du pays voisin des Alamans.
LA SACRAMAXACE |
Francia
n’a alors pas une connotation politique, mais plutôt géographique
ou sociologique, comme Maghreb ou Balkans au XXIe siècle.
Aux
IIe siècle et IIIe siècle, Franci désigne alors une ligue ou
confédération de peuples Germaniques installés sur la rive
inférieure droite du Rhin (c'est-à-dire au nord-est du Rhin),
au-delà des frontières de l'Empire Romain...
Franc
(latinisé en francus) désigne plus tard l'homme libre (fin du VIe
siècle), mais ce n'est que par un glissement de sens postérieur, un
adjectif tiré du nom propre. Ce nom pourrait remonter au germanique
commun *frankō « javelot, lance », attesté dans le
vieil anglais franca et le vieux norrois frakka, ce qui supposerait
que la ligue Franque a tiré son nom d'une arme totémique à
l'instar des Saxons et leur saxe « épée courte ».
D'autres
y voient un allomorphe nasalisé de l'adjectif frakaz « audacieux,
effronté, hardi ».
LA FRANCISQUE |
Le
peuple franc est avant tout un peuple de guerriers qui élit et se
place librement pour les affaires militaires sous l'autorité d'un
chef de guerre, nommé rex francorum, « roi des Francs », il exerce
son autorité dans son gawi (cf. néerl. gouw, all. Gau), ou pagus
« canton administratif ».
En
réaction à la perception des médiévistes qui font naître
l’Europe aux alentours de l’An Mil, on analyse ici les fondements
mythologiques, géographiques et culturels antiques de l’entité
Européenne avant de prolonger l’étude sur la longue durée
jusqu’au VIIIe siècle.
Cet
examen fait apparaître la prééminence du modèle tripartite,
l’Europe étant considérée comme la 3e partie de l’univers. La
première occurrence du terme « Européens » dans
l’Histoire Auguste signale le IVe siècle comme une période
charnière.
Mais
une relecture « culturelle » des sources géographiques
(Pline l’Ancien notamment) s’impose.
L’Europe
apparaît dès lors ancrée, dès ses origines, au cœur du bassin
Méditerranéen : Le détroit de Gadès (Gibraltar) est ainsi
perçu comme une porte et non comme une frontière.
La
mort de Justinien puis la conquête arabe marquent une rupture
sensible : La ligne de fracture ne passe plus désormais entre
l’Occident et l’Orient, mais entre le monde islamique et la
chrétienté.
L’opposition
entre les peuples du Nord et ceux du Sud occulte l’ancien axe
Est/Ouest.
L’Europe
qui se dessine avec l’incorporation des Barbares dans l’Empire
correspond également, semble-t-il, avec l’affirmation d’un
certain sentiment patriotique Romain et avec l’émergence de l’idée
de progrès... On souligne, enfin, que les frontières de l’Europe
ont longtemps coïncidé avec les limites d’influence du
catholicisme Romain.
À
cet égard, l’arianisme, puis la fin de l’unité religieuse liée
à la querelle du filioque jouent un rôle déterminant dans la
constitution des lignes de clivage...
On
suppose que cette apparition est le résultat, non d'une migration,
mais du regroupement de plusieurs peuplades qui ont, depuis
le Ier siècle, pris part épisodiquement aux luttes contre
Rome : Chamaves, Bructères, Chattes, Amsivariens, Chattuarii,
Sicambres, et sans doute d'autres encore, parmi lesquels les
survivants des Bataves.
GUERRIERS FRANCS |
Le
nom choisi semble signifier hardi, courageux (cf. vieux
norrois : frekkr) il n'élimine pas complètement les
anciens noms, dont certains sont portés jusqu'à l'époque
Carolingienne par des Francs qui n'ont pas émigré vers l'Ouest.
Les
causes et les modalités du regroupement du IIIe siècle
échappent aux historiens, mais il est certain qu'aussitôt constitué
ce nouveau peuple fait preuve d'une grande combativité, sur terre et
sur mer... 800 ans plus tard, le royaume des Francs prendra le nom de
royaume de France, et la dénomination de Gaulois fera place à celle
de Français.
D'Hadrien
à Antonin le Pieux (117-161), la Rhénanie semble avoir connu une
période de bonheur et de paix durant laquelle se développent de
nombreuses cités : Mayence, Cologne, Strasbourg, puis vers le milieu
du IIe siècle, le déplacement de peuplades à l'intérieur de
l'espace Germanique, provoqué par la migration Nord-Sud des Goths,
de la Vistule vers la Mer Noire, ouvre en Rhénanie une période de
troubles et d'insécurité. Les alarmes, les incursions avec
massacres et pillages ne s'arrêtent qu'à la faveur de campagnes
vigoureuses conduites par des empereurs énergiques sur la rive
droite du Rhin. Aux alentours de 260, sous Gallien, le système
défensif mis en place un siècle et demi auparavant s'effondre, le
limes est abandonné, le Rhin sert de frontière et de rempart à la
fois, bien faible il est vrai, car il est franchi sans cesse par les
Francs au Nord, entre Mayence et Bonn, par les Alamans au Sud, entre
Bonn et le lac de Constance. « Les villes se rétrécissent à
l'intérieur des remparts, élevés en hâte avec des pierres
tombales, des restes de maisons et de monuments détruits. »
La
surface de Cologne intra muros est réduite à 97 ha après 275,
celle de Trêves à 285 ha. Par vagues successives les Francs
envahissent la Gaule.
Sous
le règne de Gallien, vers 257, des Francs prennent part à un
raid qui, à travers la Gaule, les mène jusqu'en Espagne. D'autres,
sous Probus, vers 280, déportés aux bouches du Danube, ont réussi
à regagner par mer leur pays d'origine.
En
285, Dioclétien confie à Carausius le soin de défendre
les côtes de Belgique et d'Armorique contre les Francs et les
Saxons.
Pendant
plus de deux siècles, les Francs restent au premier plan de
l'histoire militaire de la Gaule romaine...
Malgré
le conseil d'Auguste « de ne plus étendre les bornes de
l'empire », ses successeurs ont essayé de pousser plus loin le
territoire Romain vers l'Est et vers le Nord, et à plusieurs
reprises ils ont franchi le Rhin.
Hadrien
matérialise les limites de l'empire par une palissade de 550 km, qui
de la Mer du Nord s'étire jusqu'au Danube, à la hauteur de
Castra-Regina (Ratisbonne), ce limes est renforcé au cours des
siècle suivant.
Les
archéologues suivent à la trace leurs raids par la découverte de
trésors monétaires enfouis à leur approche. Celui de 275-276 mène
les Barbares à travers toute la Gaule et l'Espagne jusqu'en
Maurétanie Tingitane.
ils
ravagent 60 villes parmi les plus importantes de la Gaule, la riposte
énergique de Probus ne met pas fin au chaos, malgré la soumission
apparente de 9 princes alémaniques.
Les
Bagaudes sèment la terreur en Rhénanie comme dans le reste de la
Gaule. Les ateliers de frappe monétaire de Cologne et de Trêves
cessent leur activité à partir de 274. Seul l'atelier de Lyon
continue ses émissions.
Celui
de Trêves reprend son activité sous Constance, en 295.
Pendant
20 ans, la Rhénanie est un champ de ruine, pas un bourg, pas
une
villa n'est sortie indemne des incursions de 275-276... Constance
reconstruit les infrastructures, après avoir cherché, au cours
d'une campagne militaire, des Bataves et des Frisons (été 293)
vendus comme esclaves et chargés de reconstruire ce que d'autres
Barbares ont détruit. Après sa campagne contre les Francs en 306,
Constantin repeuple la Rhénanie avec des Lètes, des Barbares sinon
romanisés, du moins intégrés dans l'économie de l'empire comme
paysans ou artisans, et il redonne du lustre aux villes situées sur
le limes Rhénan.
L'insécurité
à la fin du IIIe siècle est si grande que le 1er janvier 287,
pendant que Maximien inaugure à Trêves son consulat par une
cérémonie religieuse, les Barbares attaquent la ville... L'empereur
dépose la toge, revêt l'armure, court sus à l'ennemi qu'il culbute
et revient dans sa ville, triomphant, pour offrir un sacrifice
d'action de grâces.
L'été
avec ses sécheresses qui rendent le Rhin guéable, l'hiver avec ses
rigueurs qui permettent de le franchir gelé, à pied, remplissent
les riverains d'une égale inquiétude. Ce ne sont pas tant les
limitanei, garnisons installées sur la frontière qui rassurent les
riverains que les inondations : cum securitate nostra illius (se.
Rheni) diluuia creuerunt.
Le
IVe siècle s'ouvre sur des scènes de brigandages et de massacres
auxquels la riposte énergique de Constance n'arrive pas à mettre
fin.
En
306, Constantin réagit aux exactions Barbares avec une cruauté
sauvage, dont le félicite le panégyriste de 310 : Il livre aux
bêtes deux rois et de nombreux prisonniers... La révolte de
Magnence dégarnissant la frontière, livre la Rhénanie à de
nouveaux pillages et les trésors trouvés en particulier en Alsace
témoignent de la panique qui s'est emparée des populations
limitrophes du Rhin.
JJ.
Hatt attribue à l'affreuse tuerie qui suit la bataille de Mursa
(351) (une cinquantaine de milliers d'hommes) la désorganisation du
système de défense sur le Rhin...
FRANCS CONTRE GAULOIS |
La
frontière devient à nouveau perméable, les villes sont prises et
détruites de 352 à 356, « En Alsace et en Lorraine aucune
villa n'est reconstruite après l'incendie de 352..., le pays est
frappé à mort. Le siècle qui sépare cette invasion de 352 de
celle des Huns en 451, est désormais rempli de soubresauts et de
vicissitudes, les efforts de restauration militaire se trouvent
toujours interrompus et compromis par des discordes intérieures ou
par des nouvelles invasions. »
Ammien
Marcellin présente régulièrement les campagnes de Constance sur la
rive droite du Rhin comme des mesures de rétorsion consécutives à
des dévastations.
En
353, par exemple, l'empereur organise une campagne contre les Alamans
: in Gundomadum et Vadomarium fratres, Alammanorum reges arma
moturus, quorum crebris excursibus uastabantur confines limitibus
Terrae
Gallorum.
En
354 encore, la guerre est déclarée aux tribus des Alamans qui
poussent souvent de larges incursions à travers les terres Romaines
(conlimitia saepe Romana latius inrumpentibus). La sauvage
intervention de Julien en Alsace en 356, puis sur la rive droite du
Rhin en 357 et en 359 passe souvent pour avoir assuré la paix en
Rhénanie jusqu'à la grande invasion de 406... Il n'en est rien.
Ammien note pour l'année 364, donc 15 ans plus tard, que « les
Alamans après les coups du sort et les blessures qu'ils ont subies à
plusieurs reprises lors de leurs engagements contre Julien, ont
retrouvé leur force... Et parcourent les régions-frontière de la
Gaule en y répandant la terreur (Gallicanos limites iam
persultabant). »
Pour
prendre un point de départ commode le passage de Festus, que l’on
date du IIIe ou du IVe siècle. On trouve en effet toutes les
hypothèses sur la légende d’Europe réunies dans une notice du De
verborum significatu :
« L’Europe,
3e partie du monde, tire son nom, c’est établi, d’Europe, fille
d’Agénor.
Mais
d’autres parlent des amours de Jupiter transformé en taureau.
D’autres
rapportent que cette dernière a été enlevée par des pirates et
que le navire qui avait pour protecteur Jupiter sous la forme d’une
image de taureau, a abordé dans cette région.
FER DE LANCE FRANC |
Certains
rapportent que c’est en raison de la beauté de la région, qui
ressemble à la jeune fille enlevée « que l’on appela
Europe » cette terre qui a été occupée par Agénor et les
Phéniciens. »
La
notice de Festus condense 4 niveaux d’explication :
Le sens géographique (tertiam partem orbis) ce sens apparaît pour la première fois dans l’Hymne Homérique à Apollon (c. 600) et, dans ce texte fondateur, Europe désigne la Grèce continentale par rapport au Péloponnèse et aux îles.
Le sens géographique (tertiam partem orbis) ce sens apparaît pour la première fois dans l’Hymne Homérique à Apollon (c. 600) et, dans ce texte fondateur, Europe désigne la Grèce continentale par rapport au Péloponnèse et aux îles.
La
tripartition du monde connu, s’imposera au IVe siècle après
J.-C.
La légende : Agénor est roi de Phénicie (en Asie) et Europe s’est installée ensuite en Crète.La légende place l’Europe au cœur de la Méditerranée. Chez Pindare (Néméennes IV, 114), l’Europe désigne le continent qui part des colonnes d’Hercule. L’ancrage de l’Europe dans le bassin méditerranéen est donc un acquis ancien.
La légende : Agénor est roi de Phénicie (en Asie) et Europe s’est installée ensuite en Crète.La légende place l’Europe au cœur de la Méditerranée. Chez Pindare (Néméennes IV, 114), l’Europe désigne le continent qui part des colonnes d’Hercule. L’ancrage de l’Europe dans le bassin méditerranéen est donc un acquis ancien.
L’explication rationnelle : Au IVe siècle l’héritage évhémériste (L'évhémérisme est une théorie selon laquelle les dieux sont des personnages réels qui ont été divinisés après leur mort, leur légende étant simplifiée et embellie jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'une sorte de symbolisme absolu et universel. Elle tire son nom du mythographe grec Évhémère) est remis à l’honneur par les chrétiens, par exemple par Eusèbe de Césarée qui, dans sa Chronique, traduite par Jérôme, cite souvent Palaiphatos, le mythographe rationaliste disciple d’évhémère.
On
a chez Festus le condensé de l’explication évhémériste :
Europe a bien existé, c’est une jeune fille qui a été enlevée
par des pirates et c’est la proue du navire, un taureau, qui a
influencé la légende...
L’explication étymologique enfin : Festus sait bien que le mot Europê est grec. En effet, eurôpos signifie « beau, agréable à voir », et vient de eu + ôps, « l’œil, la vue, le visage ». C’est une étymologie probablement refaite à partir de la légende d’Europe, fille d’Agénor, belle comme le jour, enlevée par Zeus déguisé en taureau (Iliade XIV, 321 sv.), ce qu’a fort bien deviné Festus...
L’Histoire
Auguste comporte encore deux emplois de l’adjectif Europenses :
Aurelian. 31, 1 et Prob. 13, 4 : (Probus) recepit deinde omnes
Europenses exercitus qui Florianum et imperatorem fecerant et
occiderant ; « il reçoit ensuite la soumission de toutes
les armées Européennes, qui ont d’abord proclamé Florien
empereur, puis l’ont mis à mort. »
Il
s’agit là du premier emploi du terme Europenses dans une
expression qui n’a pas d’équivalent dans la littérature
antique.
Pour
F. Paschoud, le biographe désigne de cette manière « l’armée
de Tacite, formée évidemment de contingents Occidentaux ou
d’Illyricum ». On voit ainsi que l’empereur Probus ainsi
que son prédécesseur Tacite, deux Princes favorablement appréciés
par le biographe, sont à la tête de troupes Occidentales.
La
clementia de Probus envers les « armées Européennes »
de Florianus et l’héritage dynastique que représente le
ralliement des troupes de Tacite, passagèrement égarées, à
Probus, souligne l’ancrage politique Occidental du règne de
Probus qui s’ouvre alors.
Plusieurs
légendes et théories ont été proposées pour expliquer l'origine
des Francs.
Vers
580, le chroniqueur Grégoire de Tours parle d'un peuple de Pannonie
qui remontant le Danube s'installe sur les bords du Rhin, pour
ensuite envahir la Gaule.
Vers
660, La chronique de Frédégaire, suivie par le Liber Historiae
Francorum vers 725, affirme que les Francs sont issus de rescapés de
la ville de Troie, prise par les Grecs.
Contestée dès le XVIIe siècle, cette théorie est maintenant totalement abandonnée.
Contestée dès le XVIIe siècle, cette théorie est maintenant totalement abandonnée.
En
1714, l'historien Nicolas Fréret est le premier à énoncer la thèse
selon laquelle les Francs sont issus d'une ligue de peuples
Germaniques, mais cette thèse jugée « attentatoire à la
dignité de la monarchie » vaut à son auteur 6 mois
d'emprisonnement à la Bastille.
BOUCLIER FRANC |
S'appuyant
sur l'aptitude maritime des premiers Francs et sur des pratiques
guerrières et économiques différentes de leurs voisins les
Germains, l'historien Roger Grand propose en 1965 de voir dans les
Francs des émigrés Scandinaves venus sur les bords du Rhin au cours
du IIIe siècle... Cette thèse n'a cependant pas résisté à la
critique.
280
— Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/280
Cette
page concerne l'année 280 du calendrier julien. Sommaire. [masquer].
1 Événements; 2 Naissances en 280; 3 Décès en 280; 4 Notes et
références ...
FRANCS
- Encyclopædia Universalis
www.universalis.fr/encyclopedie/francs/
D'autres,
sous Probus, vers 280, déportés aux bouches du Danube, auraient
réussi à regagner par mer leur pays d'origine. En 285, Dioclétien
confia à ...
Du
bonheur de vivre sur les bords du Rhin au IVe siècle - Persée
www.persee.fr/doc/ista_0000-0000_2003_ant_903_1_2027
de
F Heim - 2003
Histoire
de la Rhénanie au IVe siècle[link]; Le bonheur sur le Rhin[link]
... par une palissade de 550 km, qui de la Mer du Nord s'étira
jusqu'au Danube, à la ... Les ateliers de frappe monétaire de
Cologne et de Trêves cessent leur ... Après sa campagne contre les
Francs en 306, Constantin repeuple la ... 280 F. Heim.
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