lundi 15 août 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 280

30 JUILLET 2016...

Cette page concerne l'année 280 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

DÉBOIRES PERSISTANTS VENANT D'UN NOUVEAU RASSEMBLEMENT DE PEUPLES : LES FRANCS.

STATUETTE FRANQUE
Les Francs, étant destinés à assumer durant tout le Haut Moyen-Âge un rôle dirigeant parmi les peuples Germaniques, apparaissent aux historiens dans des conditions obscures, vers le milieu du IIIe siècle. Leur nom est cité pour la première fois à propos d'événements de 241 et, à partir des années 275-280, ils sont régulièrement mentionnés comme s'opposant aux Romains sur la rive droite du Rhin inférieur.

Durant les premiers siècles de notre ère, les peuples Germains sont en constante migration, sous la pression d'autres peuples migrants. Durant le début du IIIe siècle, l'élévation du niveau de la mer provoque la progression de la mer du Nord sur la plaine de Flandre et la Frise, transforme le lac Flevo en golfe marin, le futur Zuiderzee. Il s'ensuit un appauvrissement des populations locales, les Frisons, les Francs et les Saxons, qui incite ces derniers à se lancer dans la piraterie et le pillage de l'Empire Romain.
EDDA
Les peuples situés entre le Rhin et la Weser, ne pouvant franchir le limes Rhénan, migrent vers la Hesse et la Thuringe, mais se heurtent à d'autres peuples.
Pour résister à cette pression, une première ligue de peuples Germaniques se constitue au début du IIIe siècle. Ses membres la nomment la ligue de tous les hommes (alle man en langue germanique).
Cette ligue, qui apparaît pour la première fois en 213 dans les textes Romains sous la forme Allamannicus qui a donné Alamans, et a pour but de résister aux peuples Germains voisins et de conquérir de nouveaux territoires.

À la même époque, une autre ligue, non plus assujettie à l'Empire, se forme plus au nord, le long du Rhin et en Germanie inférieure. Il s'agit de la Ligue Franque, d'abord constituée des peuples Chamaves, Chattuaires, Bructères et Saliens, la ligue comprend aussi les Tongres déjà installés en Belgique, auxquels contribuent les Sicambres.
Ils sont rejoints par la suite par les Ampsivariens, les Tenctères, les Tubantes et les Usipètes.
Des monnaies d'or de l'empereur Constantin Ier émises en 306 après des victoires contre les Francs et les Alamans portent à l'exergue Francia et Alamannia, ce qui semble démontrer à cette époque l'existence d'un pays des Francs que les Romains appellent Francie, et qu'ils distinguent nettement du pays voisin des Alamans.
LA SACRAMAXACE
Francia n’a alors pas une connotation politique, mais plutôt géographique ou sociologique, comme Maghreb ou Balkans au XXIe siècle.

Aux IIe siècle et IIIe siècle, Franci désigne alors une ligue ou confédération de peuples Germaniques installés sur la rive inférieure droite du Rhin (c'est-à-dire au nord-est du Rhin), au-delà des frontières de l'Empire Romain...

Franc (latinisé en francus) désigne plus tard l'homme libre (fin du VIe siècle), mais ce n'est que par un glissement de sens postérieur, un adjectif tiré du nom propre. Ce nom pourrait remonter au germanique commun *frankō « javelot, lance », attesté dans le vieil anglais franca et le vieux norrois frakka, ce qui supposerait que la ligue Franque a tiré son nom d'une arme totémique à l'instar des Saxons et leur saxe « épée courte ».
D'autres y voient un allomorphe nasalisé de l'adjectif frakaz « audacieux, effronté, hardi ».

LA FRANCISQUE
Le peuple franc est avant tout un peuple de guerriers qui élit et se place librement pour les affaires militaires sous l'autorité d'un chef de guerre, nommé rex francorum, « roi des Francs », il exerce son autorité dans son gawi (cf. néerl. gouw, all. Gau), ou pagus « canton administratif ».

En réaction à la perception des médiévistes qui font naître l’Europe aux alentours de l’An Mil, on analyse ici les fondements mythologiques, géographiques et culturels antiques de l’entité Européenne avant de prolonger l’étude sur la longue durée jusqu’au VIIIe siècle.
Cet examen fait apparaître la prééminence du modèle tripartite, l’Europe étant considérée comme la 3e partie de l’univers. La première occurrence du terme « Européens » dans l’Histoire Auguste signale le IVe siècle comme une période charnière.
Mais une relecture « culturelle » des sources géographiques (Pline l’Ancien notamment) s’impose.
L’Europe apparaît dès lors ancrée, dès ses origines, au cœur du bassin Méditerranéen : Le détroit de Gadès (Gibraltar) est ainsi perçu comme une porte et non comme une frontière.
La mort de Justinien puis la conquête arabe marquent une rupture sensible : La ligne de fracture ne passe plus désormais entre l’Occident et l’Orient, mais entre le monde islamique et la chrétienté.
La bataille de Poitiers est ainsi vécue par ses contemporains comme une victoire Européenne.
L’opposition entre les peuples du Nord et ceux du Sud occulte l’ancien axe Est/Ouest.
L’Europe qui se dessine avec l’incorporation des Barbares dans l’Empire correspond également, semble-t-il, avec l’affirmation d’un certain sentiment patriotique Romain et avec l’émergence de l’idée de progrès... On souligne, enfin, que les frontières de l’Europe ont longtemps coïncidé avec les limites d’influence du catholicisme Romain.
À cet égard, l’arianisme, puis la fin de l’unité religieuse liée à la querelle du filioque jouent un rôle déterminant dans la constitution des lignes de clivage...

On suppose que cette apparition est le résultat, non d'une migration, mais du regroupement de plusieurs peuplades qui ont, depuis le Ier siècle, pris part épisodiquement aux luttes contre Rome : Chamaves, Bructères, Chattes, Amsivariens, Chattuarii, Sicambres, et sans doute d'autres encore, parmi lesquels les survivants des Bataves.
GUERRIERS FRANCS
Le nom choisi semble signifier hardi, courageux (cf. vieux norrois : frekkr) il n'élimine pas complètement les anciens noms, dont certains sont portés jusqu'à l'époque Carolingienne par des Francs qui n'ont pas émigré vers l'Ouest.
Les causes et les modalités du regroupement du IIIe siècle échappent aux historiens, mais il est certain qu'aussitôt constitué ce nouveau peuple fait preuve d'une grande combativité, sur terre et sur mer... 800 ans plus tard, le royaume des Francs prendra le nom de royaume de France, et la dénomination de Gaulois fera place à celle de Français.

D'Hadrien à Antonin le Pieux (117-161), la Rhénanie semble avoir connu une période de bonheur et de paix durant laquelle se développent de nombreuses cités : Mayence, Cologne, Strasbourg, puis vers le milieu du IIe siècle, le déplacement de peuplades à l'intérieur de l'espace Germanique, provoqué par la migration Nord-Sud des Goths, de la Vistule vers la Mer Noire, ouvre en Rhénanie une période de troubles et d'insécurité. Les alarmes, les incursions avec massacres et pillages ne s'arrêtent qu'à la faveur de campagnes vigoureuses conduites par des empereurs énergiques sur la rive droite du Rhin. Aux alentours de 260, sous Gallien, le système défensif mis en place un siècle et demi auparavant s'effondre, le limes est abandonné, le Rhin sert de frontière et de rempart à la fois, bien faible il est vrai, car il est franchi sans cesse par les Francs au Nord, entre Mayence et Bonn, par les Alamans au Sud, entre Bonn et le lac de Constance. « Les villes se rétrécissent à l'intérieur des remparts, élevés en hâte avec des pierres tombales, des restes de maisons et de monuments détruits. »
La surface de Cologne intra muros est réduite à 97 ha après 275, celle de Trêves à 285 ha. Par vagues successives les Francs envahissent la Gaule.

Sous le règne de Gallien, vers 257, des Francs prennent part à un raid qui, à travers la Gaule, les mène jusqu'en Espagne. D'autres, sous Probus, vers 280, déportés aux bouches du Danube, ont réussi à regagner par mer leur pays d'origine.
En 285, Dioclétien confie à Carausius le soin de défendre les côtes de Belgique et d'Armorique contre les Francs et les Saxons.
Pendant plus de deux siècles, les Francs restent au premier plan de l'histoire militaire de la Gaule romaine...

Malgré le conseil d'Auguste « de ne plus étendre les bornes de l'empire », ses successeurs ont essayé de pousser plus loin le territoire Romain vers l'Est et vers le Nord, et à plusieurs reprises ils ont franchi le Rhin.
Hadrien matérialise les limites de l'empire par une palissade de 550 km, qui de la Mer du Nord s'étire jusqu'au Danube, à la hauteur de Castra-Regina (Ratisbonne), ce limes est renforcé au cours des siècle suivant.

Les archéologues suivent à la trace leurs raids par la découverte de trésors monétaires enfouis à leur approche. Celui de 275-276 mène les Barbares à travers toute la Gaule et l'Espagne jusqu'en Maurétanie Tingitane.
ils ravagent 60 villes parmi les plus importantes de la Gaule, la riposte énergique de Probus ne met pas fin au chaos, malgré la soumission apparente de 9 princes alémaniques.
Les Bagaudes sèment la terreur en Rhénanie comme dans le reste de la Gaule. Les ateliers de frappe monétaire de Cologne et de Trêves cessent leur activité à partir de 274. Seul l'atelier de Lyon continue ses émissions.
Celui de Trêves reprend son activité sous Constance, en 295.
Pendant 20 ans, la Rhénanie est un champ de ruine, pas un bourg, pas
une villa n'est sortie indemne des incursions de 275-276... Constance reconstruit les infrastructures, après avoir cherché, au cours d'une campagne militaire, des Bataves et des Frisons (été 293) vendus comme esclaves et chargés de reconstruire ce que d'autres Barbares ont détruit. Après sa campagne contre les Francs en 306, Constantin repeuple la Rhénanie avec des Lètes, des Barbares sinon romanisés, du moins intégrés dans l'économie de l'empire comme paysans ou artisans, et il redonne du lustre aux villes situées sur le limes Rhénan.

L'insécurité à la fin du IIIe siècle est si grande que le 1er janvier 287, pendant que Maximien inaugure à Trêves son consulat par une cérémonie religieuse, les Barbares attaquent la ville... L'empereur dépose la toge, revêt l'armure, court sus à l'ennemi qu'il culbute et revient dans sa ville, triomphant, pour offrir un sacrifice d'action de grâces.
L'été avec ses sécheresses qui rendent le Rhin guéable, l'hiver avec ses rigueurs qui permettent de le franchir gelé, à pied, remplissent les riverains d'une égale inquiétude. Ce ne sont pas tant les limitanei, garnisons installées sur la frontière qui rassurent les riverains que les inondations : cum securitate nostra illius (se. Rheni) diluuia creuerunt.

Le IVe siècle s'ouvre sur des scènes de brigandages et de massacres auxquels la riposte énergique de Constance n'arrive pas à mettre fin.
En 306, Constantin réagit aux exactions Barbares avec une cruauté sauvage, dont le félicite le panégyriste de 310 : Il livre aux bêtes deux rois et de nombreux prisonniers... La révolte de Magnence dégarnissant la frontière, livre la Rhénanie à de nouveaux pillages et les trésors trouvés en particulier en Alsace témoignent de la panique qui s'est emparée des populations limitrophes du Rhin.
JJ. Hatt attribue à l'affreuse tuerie qui suit la bataille de Mursa (351) (une cinquantaine de milliers d'hommes) la désorganisation du système de défense sur le Rhin...
FRANCS CONTRE GAULOIS
La frontière devient à nouveau perméable, les villes sont prises et détruites de 352 à 356, « En Alsace et en Lorraine aucune villa n'est reconstruite après l'incendie de 352..., le pays est frappé à mort. Le siècle qui sépare cette invasion de 352 de celle des Huns en 451, est désormais rempli de soubresauts et de vicissitudes, les efforts de restauration militaire se trouvent toujours interrompus et compromis par des discordes intérieures ou par des nouvelles invasions. »

Ammien Marcellin présente régulièrement les campagnes de Constance sur la rive droite du Rhin comme des mesures de rétorsion consécutives à des dévastations.
En 353, par exemple, l'empereur organise une campagne contre les Alamans : in Gundomadum et Vadomarium fratres, Alammanorum reges arma moturus, quorum crebris excursibus uastabantur confines limitibus Terrae
Gallorum.

En 354 encore, la guerre est déclarée aux tribus des Alamans qui poussent souvent de larges incursions à travers les terres Romaines (conlimitia saepe Romana latius inrumpentibus). La sauvage intervention de Julien en Alsace en 356, puis sur la rive droite du Rhin en 357 et en 359 passe souvent pour avoir assuré la paix en Rhénanie jusqu'à la grande invasion de 406... Il n'en est rien. Ammien note pour l'année 364, donc 15 ans plus tard, que « les Alamans après les coups du sort et les blessures qu'ils ont subies à plusieurs reprises lors de leurs engagements contre Julien, ont retrouvé leur force... Et parcourent les régions-frontière de la Gaule en y répandant la terreur (Gallicanos limites iam persultabant). »

Pour prendre un point de départ commode le passage de Festus, que l’on date du IIIe ou du IVe siècle. On trouve en effet toutes les hypothèses sur la légende d’Europe réunies dans une notice du De verborum significatu :
« L’Europe, 3e partie du monde, tire son nom, c’est établi, d’Europe, fille d’Agénor.
Mais d’autres parlent des amours de Jupiter transformé en taureau.
D’autres rapportent que cette dernière a été enlevée par des pirates et que le navire qui avait pour protecteur Jupiter sous la forme d’une image de taureau, a abordé dans cette région.
FER DE LANCE FRANC
Certains rapportent que c’est en raison de la beauté de la région, qui ressemble à la jeune fille enlevée « que l’on appela Europe » cette terre qui a été occupée par Agénor et les Phéniciens. »

La notice de Festus condense 4 niveaux d’explication :
Le sens géographique (tertiam partem orbis) ce sens apparaît pour la première fois dans l’Hymne Homérique à Apollon (c. 600) et, dans ce texte fondateur, Europe désigne la Grèce continentale par rapport au Péloponnèse et aux îles.
La tripartition du monde connu, s’imposera au IVe siècle après J.-C.
La légende : Agénor est roi de Phénicie (en Asie) et Europe s’est installée ensuite en Crète.La légende place l’Europe au cœur de la Méditerranée. Chez Pindare (Néméennes IV, 114), l’Europe désigne le continent qui part des colonnes d’Hercule. L’ancrage de l’Europe dans le bassin méditerranéen est donc un acquis ancien.

L’explication rationnelle : Au IVe siècle l’héritage évhémériste (L'évhémérisme est une théorie selon laquelle les dieux sont des personnages réels qui ont été divinisés après leur mort, leur légende étant simplifiée et embellie jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'une sorte de symbolisme absolu et universel. Elle tire son nom du mythographe grec Évhémère)
est remis à l’honneur par les chrétiens, par exemple par Eusèbe de Césarée qui, dans sa Chronique, traduite par Jérôme, cite souvent Palaiphatos, le mythographe rationaliste disciple d’évhémère.
On a chez Festus le condensé de l’explication évhémériste : Europe a bien existé, c’est une jeune fille qui a été enlevée par des pirates et c’est la proue du navire, un taureau, qui a influencé la légende...

L’explication étymologique enfin : Festus sait bien que le mot Europê est grec. En effet, eurôpos signifie « beau, agréable à voir », et vient de eu + ôps, « l’œil, la vue, le visage ». C’est une étymologie probablement refaite à partir de la légende d’Europe, fille d’Agénor, belle comme le jour, enlevée par Zeus déguisé en taureau (Iliade XIV, 321 sv.), ce qu’a fort bien deviné Festus...

L’Histoire Auguste comporte encore deux emplois de l’adjectif Europenses : Aurelian. 31, 1 et Prob. 13, 4 : (Probus) recepit deinde omnes Europenses exercitus qui Florianum et imperatorem fecerant et occiderant ; « il reçoit ensuite la soumission de toutes les armées Européennes, qui ont d’abord proclamé Florien empereur, puis l’ont mis à mort. »
Il s’agit là du premier emploi du terme Europenses dans une expression qui n’a pas d’équivalent dans la littérature antique.
Pour F. Paschoud, le biographe désigne de cette manière « l’armée de Tacite, formée évidemment de contingents Occidentaux ou d’Illyricum ». On voit ainsi que l’empereur Probus ainsi que son prédécesseur Tacite, deux Princes favorablement appréciés par le biographe, sont à la tête de troupes Occidentales.
La clementia de Probus envers les « armées Européennes » de Florianus et l’héritage dynastique que représente le ralliement des troupes de Tacite, passagèrement égarées, à Probus, souligne l’ancrage politique Occidental du règne de Probus qui s’ouvre alors.

Plusieurs légendes et théories ont été proposées pour expliquer l'origine des Francs.
Vers 580, le chroniqueur Grégoire de Tours parle d'un peuple de Pannonie qui remontant le Danube s'installe sur les bords du Rhin, pour ensuite envahir la Gaule.
Vers 660, La chronique de Frédégaire, suivie par le Liber Historiae Francorum vers 725, affirme que les Francs sont issus de rescapés de la ville de Troie, prise par les Grecs.
Contestée dès le XVIIe siècle, cette théorie est maintenant totalement abandonnée.

En 1714, l'historien Nicolas Fréret est le premier à énoncer la thèse selon laquelle les Francs sont issus d'une ligue de peuples Germaniques, mais cette thèse jugée « attentatoire à la dignité de la monarchie » vaut à son auteur 6 mois d'emprisonnement à la Bastille.

BOUCLIER FRANC
S'appuyant sur l'aptitude maritime des premiers Francs et sur des pratiques guerrières et économiques différentes de leurs voisins les Germains, l'historien Roger Grand propose en 1965 de voir dans les Francs des émigrés Scandinaves venus sur les bords du Rhin au cours du IIIe siècle... Cette thèse n'a cependant pas résisté à la critique.


280 — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/280
Cette page concerne l'année 280 du calendrier julien. Sommaire. [masquer]. 1 Événements; 2 Naissances en 280; 3 Décès en 280; 4 Notes et références ...

FRANCS - Encyclopædia Universalis
www.universalis.fr/encyclopedie/francs/
D'autres, sous Probus, vers 280, déportés aux bouches du Danube, auraient réussi à regagner par mer leur pays d'origine. En 285, Dioclétien confia à ...

Du bonheur de vivre sur les bords du Rhin au IVe siècle - Persée
www.persee.fr/doc/ista_0000-0000_2003_ant_903_1_2027
de F Heim - ‎2003
Histoire de la Rhénanie au IVe siècle[link]; Le bonheur sur le Rhin[link] ... par une palissade de 550 km, qui de la Mer du Nord s'étira jusqu'au Danube, à la ... Les ateliers de frappe monétaire de Cologne et de Trêves cessent leur ... Après sa campagne contre les Francs en 306, Constantin repeuple la ... 280 F. Heim.

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