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AOÛT 2016...
Cette
page concerne l'année 272 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
L'EMPIRE
SASSANIDE
SHAPUR Ier |
Fils
d'Ardachîr Ier, fondateur de l'Empire Sassanide, et de la « dame
Myrrôd », Shapur en digne prince héritier fait ses premières
armes aux côtés de son père lors de la bataille d'Hormizdaghan en
224, au cours de laquelle Ardachîr renverse la dynastie Parthe
Arsacide.
De
226, date du couronnement d'Ardachîr à Ctésiphon, à 240, on
ignore quel est son rôle précis.
En
240, c'est sans doute lui qui dirige la prise et la destruction de
Hatra, en Mésopotamie, aussi le 12 avril 240, il est couronné Roi
des Rois et règne en association avec son père Ardachîr.
En
241, à la mort de ce dernier, il reste seul sur le trône.
En
243, il doit affronter une nouvelle expédition Romaine conduite par
l'empereur Gordien III et son préfet du prétoire Timésithée. Les
Perses sont défaits à Rhesaina (Syrie) mais l'année suivante,
Shapur bat les Romains à Misikhè (Al-Anbar près de Falluja, Irak),
faisant de nombreux prisonniers et contraignant Gordien à la
retraite...
Ce
dernier meurt en route (assassinat ou blessure, on ne sait) et
l'armée Romaine élit le préfet Philippe pour lui succéder.
Shapur
Ier conclut la paix avec le nouvel empereur. Les Romains versent une
rançon de 500 000 aurei pour la libération des prisonniers,
conservent leurs conquêtes de 243 qui s'étendent jusqu'à Anatha
('Ana, Irak), et s'engagent à ne pas intervenir dans le différend
qui l'oppose au roi Tiridate II d'Arménie... Philippe s'engage par
ailleurs à lui verser un tribut.
Cette
victoire permet à Shapur Ier de consolider son autorité sur la
plupart de ses vassaux, et de rallier ceux soutenant encore la
dynastie Arsacide. Mais il lui faut toujours partir en guerre contre
des rebelles, comme en 250 dans le Khorassan.
En
252, il fait assassiner le roi d'Arménie Tiridate II, et occupe ce
royaume où la plupart de l'aristocratie lui fait allégeance, tandis
que d'autres vont se réfugier chez les Romains, emmenant avec eux
les jeunes princes héritiers Khosrov et Tiridate, tout jeunes et
derniers survivants de la famille Arsacide. Shapur Ier nomme son fils
Hormizd roi d'Arménie, dans la tradition remontant au Ier siècle
qui veut que le roi d'Arménie soit issu de la famille du Roi des
Rois, au pouvoir à Ctésiphon...
Réagissant
à ce coup de force, les Romains concentrent une armée en Syrie mais
Shapur Ier réunit ses vassaux et attaque le premier, avec le soutien
de l'Arménie dirigée par son fils Hormizd et de Romains dissidents
emmenés par Mariadès, un notable exilé d'Antioche.
Shapur
défait l'armée Romaine en 252 à Barbalissos sur l'Euphrate (Bâlis,
Syrie), puis à Chalcis (Qinnasrin, Syrie), ravage toute la Syrie du
Nord, et s'arrête devant Antioche (Hatay, Turquie) où il laisse
Mariadès prendre le pouvoir et lui faire allégeance.
Odénath,
chef des forces Romaines installées à Palmyre, tente d'amadouer
Shapur Ier mais refuse de lui faire formellement allégeance.
Celui-ci ne tente rien contre lui.
En
253, Shapur Ier se ravise, fait occuper Antioche, détruit la ville
et déporte en Basse-Mésopotamie ou en Perse des milliers de
prisonniers civils. Il les installe sur des terres à mettre en
valeur où ils créent de nouvelles villes. En Syrie, Shapur Ier se
heurte à la résistance locale et aux débris reformés de l'armée
Romaine dans la région d'Émèse (Homs, Syrie), tandis que le nouvel
empereur Romain, Valérien, reprend pied à Antioche en 254 et
rétablit l'autorité impériale sur les territoires Romains. Le roi
Perse se replie sur Ctésiphon, ne conservant que Nisibe (Nusaybin,
Turquie), ancienne capitale de la Mésopotamie Romaine.
De
254 à 260, Shapur Ier reste en conflit constant contre les Romains,
avec des fortunes diverses. Ainsi, en 256, il semble que les Romains
aient célébré un grand succès contre lui, alors que la même
année les Perses ont pris la place-forte de Doura Europos sur
l'Euphrate (Salhiyé, Syrie) et l'ont totalement détruite et vidée
de sa population...
En
260 Shapur Ier envahit ce qui reste de la Mésopotamie et de
l’Osroène Romaines, assiégeant Carrhes et Édesse (Harran et
Şanlıurfa, Turquie). Valérien ayant réuni une armée importante à
Samosate (Samsat, Turquie) marche contre lui mais est battu et fait
prisonnier (Shapur Ier se vante de l'avoir personnellement capturé).
L'armée Romaine ne fait rien pour récupérer son empereur et se
replie immédiatement sur Émèse (Homs, Syrie), laissant sans
défense la Syrie du nord et le cœur de l'Asie Mineure.
Le
roi des rois s'engouffre dans cette brèche et dévaste la Syrie, la
Cilicie et la Cappadoce sans vraiment rencontrer de résistance
sérieuse dans un premier temps, puis à la fin de la saison
militaire se replie avec ses vassaux, chargé de butin.
Quant
à Valérien, prisonnier, les traditions Iraniennes, reproduites par
des auteurs médiévaux comme Tha'alibi Tabari et Firdousi, disent
qu'il a été traité avec des égards relatifs, tandis que Lactance
au IVe siècle prétend que l'empereur a été maltraité puis, après
sa mort en captivité, empaillé et exposé dans un temple.
En
Syrie, la contre-offensive Romaine s'organise dès 261, sous la
direction d'Odénath de Palmyre que Valérien a sans doute fait
gouverneur de Syrie-Phénicie, et que Gallien, fils de Valérien, a
promu dans l'urgence chef suprême des forces Romaines d'Orient.
Odénath prétend avoir intercepté les Perses à leur retour vers
Ctésiphon, et même avoir ravagé les États de Shapur Ier jusqu'aux
environs de Ctésiphon à deux reprises entre 260 et 267.
On
connaît mal les événements qui marquent la dernière décennie du
règne de Shapur. Les derniers partisans des Arsacides n'ont toujours
pas désarmé, et se sont semble-t-il rangés sous la bannière
d'Odénath de Palmyre, chef de l'armée Romaine subordonné en
théorie à l'empereur Gallien, mais revendiquant en même temps le
titre de Roi des Rois, en un clair défi à Shapur. Mais cela ne
débouche pas sur un nouveau conflit majeur. Pour Shapur, Ier le
temps de la diplomatie et du compromis semble venu. Tandis qu'Odénath
dirige l'Orient Romain depuis Émèse, la cité de Palmyre (Tadmor,
Syrie) dirigée semble-t-il par un certain Worod, conclut des accords
avec Shapur Ier. Sans cesser de faire partie de l'Empire Romain,
Palmyre reprend son commerce caravanier et Worod est même compté
par Shapur Ier au nombre de ses vassaux. Quand, après l'assassinat
d'Odénath et de son fils Hérodien en 267, la veuve d'Odénath
Zénobie s'empare du pouvoir en Syrie, puis en Égypte, Shapur Ier
semble être resté neutre dans ce qui n'est au fond qu'une guerre
civile Romaine.
Shapur
Ier meurt en mai 272, dans sa ville de Bishapour (près de Kazerun,
Iran). Peut-être a-t-il été enterré dans un tombeau rupestre, à
la manière des Achéménides, en l'occurrence la grotte proche de
Bishapour où l'on voit encore aujourd'hui sa statue colossale. Ses
fils Hormizd, Vahram et Narsès lui succèdent l'un après l'autre.
Shapur
Ier a passé le plus clair de son règne à guerroyer sur tous les
fronts, à l'Ouest contre les Arméniens, contre les Romains, mais
aussi à l'Est de son empire. Si, dans les faits, il a consolidé la
domination des Sassanides sur le monde Irano-Mésopotamien, en
éliminant physiquement les derniers représentants de la dynastie
Parthe Arsacide qui peuvent prétendre à plus de légitimité que
lui, il reste encore à la fin de son règne des nostalgiques des
Arsacides, mais tous sont réduits à combattre pour les Romains.
La
force de son régime apparaît quand on considère sa stabilité,
comparée à l'instabilité de l'Empire Romain à la même période.
Shapur Ier qui a reçu le pouvoir de son père et l'a transmis à son
fils, a vu en 30 ans de règne se succéder chez les Romains Gordien
III, Philippe l'Arabe, Trajan-Dèce, Trébonien Galle, Émilien,
Valérien, Gallien et Claude le Gothique, sans compter les
innombrables usurpateurs et autres rebelles dont Zénobie est la plus
connue. Cette stabilité n'a pu que renforcer son autorité et son
prestige auprès des populations du Moyen-Orient.
Dans
sa grande inscription commémorative de Naqsh-e Rostam, Shapur Ier
déclare avoir bâti de nombreuses villes. La principale d'entre
elles est Bishapour, en Iran, près de Kazerun. Ce n'est pas une
ville ronde comme le sont généralement les villes Parthes ou
Sassanides, mais une ville au plan partiellement rectangulaire, avec
deux voies principales se croisant à angle droit, dans un style qui
fait immédiatement songer aux fondations Romaines telles que Timgad
ou Philippopolis d'Arabie.
On
ne sait au juste à quelle période de son règne les travaux ont été
entrepris, s'il faut y voir la main des prisonniers faits en 260 ou
plutôt celle des spécialistes Romains fournis par Philippe l'Arabe
au titre de la paix de 244.
On
peut faire la même remarque pour la Band-e Kaisar (« Digue de
César »), pont-barrage sur la rivière Karoun au sud-ouest de
l'Iran.
D'autres
villes ont été créées sous son règne pour l'établissement des
Syriens déportés en 252-253, sans compter les nombreuses
refondations, qui ont dû se traduire par des constructions
importantes, comme celle de Misikhè, refondée comme « Peroz
Shapur » (« Shapur Victorieux ») sur l'Euphrate,
place essentielle pour la défense de Ctésiphon.
Enfin
faut-il attribuer à Shapur Ier la construction de l'immense palais
de Ctésiphon dont les ruines se visitent toujours au sud de Bagdad ?
(encore aujourd'hui ? J'en doute)
Shapour
Ier n'a pas été qu'un bâtisseur, il a aussi été un destructeur.
Il a fait détruire Antioche, une des plus grandes cités de l'Empire
Romain et capitale de l'Orient Romain... Et si Antioche s'en est
relevée, elle en porte toujours la marque un siècle plus tard, aux
dires de Libanios. Il a en revanche littéralement rayé de la carte
au moins 2 cités importantes, Hatra en 240 et Doura Europos en 256 :
Plus
personne jamais ne les a habitées jusqu'à l'arrivée des
archéologues au XXe siècle... En faisant ainsi le désert aux
frontières, et en déportant les populations à l'intérieur de son
empire pour les y laisser cette fois prospérer, il applique la
politique traditionnelle des Assyriens et des Babyloniens.
Petit-fils
d'un prêtre de la déesse Anahita, Shapur se déclare issu de la
race des dieux et « adorateur de Mazda », le dieu
dynastique des anciens rois achéménides puis des rois de Perse. Sur
les bas-reliefs commémorant leur investiture, c'est d'Ahura Mazda
qu'Ardachîr et plus tard Shapur reçoivent les attributs royaux.
Le
phénomène religieux qui marque le plus le monde Iranien sous son
règne est la montée en puissance du clergé mazdéen, comme en
témoigne l'ascension du mobedh Kartir. Ce dernier prétend, dans une
inscription qu'il fait graver, avoir profité des conquêtes de
Shapur Ier pour promouvoir le mazdéisme.
S'il
est vrai que Kartir fait partie de la cour de Shapur Ier, on remarque
cependant qu'il n'est mentionné dans l'ordre protocolaire qu'à un
rang relativement modeste, ce qui limite l'influence à laquelle il
peut prétendre. L'Église mazdéenne hiérarchisée et structurée,
qui devient la véritable religion d'État sous les Sassanides du IVe
au VIIe siècle, n'a pas encore ce statut sous Shapur Ier.
En
revanche, le roi veut annexer à l'Avesta, le livre saint du
mazdéisme mis en forme sous son père Ardachîr, les écrits
non-religieux venus de l'Empire Romain ou de l'Inde, sur la médecine,
l'astronomie, la logique, etc.
De
fait Shapur Ier, n'est jamais sous la coupe des religieux, apparaît
comme un souverain particulièrement tolérant, assurant le meilleur
accueil aux représentants de tous les cultes en lesquels il voit les
relais potentiels de son autorité.
Les
sources juives ont conservé le souvenir des audiences bienveillantes
qu'il accorde aux chefs de leur communauté. Les récits tardifs
grecs de l'invasion de la Syrie en 252-253 évoquent un Shapur Ier
détruisant tout mais respectant au moins le sanctuaire d'Apollon à
Daphné, ou prêt à négocier avec un prêtre d'Émèse, tandis que
les chrétiens d'Antioche déportés en Perse reçoivent toute
liberté d'y reconstituer leurs églises et même d'y prêcher
l'Évangile aux populations locales.
Dans
la grande inscription de Naqsh-e Rostam figure un texte à la gloire
du roi Shapur Ier, que les historiens Occidentaux ont dénommé Res
gestae divi Saporis, dans lequel le grand roi définit les offrandes
qui doivent être faites pour l’âme des membres de sa famille.
Selon
l'inscription de Naqsh-e Rostam, Shapur Ier épousa Khoranzêm,
qualifiée de « reine de l'empire », Dênak reine,
Stahryâd reine, ainsi que sa propre fille, la « reine des
reines » Adour-anâhîd. Il en eut au moins quatre fils et une
fille :
Adour-anâhid
« reine des reines ».
Vahram
Ier, roi de Gêlân.
Shapur,
roi de Mésène.
Hormizd
Ier, grand roi d'Arménie.
Narseh,
roi de Sind, de Sacastène et de Tourène.
Selon
certaines interprétations des Chroniques Géorgiennes, il a eu
également un fils d'une concubine : Mirvan III, roi d'Ibérie.
A
la fin de février 2004, le Dr Jonathan Lee, un historien et
sociologue Britannique travaillant en Afghanistan pour des
organisations humanitaires fait parvenir les photographies qu'il a
prises d'un grand relief à ciel ouvert. Ce relief, localement connu
sous le nom de Rag-i Bibi (« la veine de la Dame [Fatima] »), est
situé à une dizaine de kilomètres au sud de Pul-i Khumri, la
première ville que l'on rencontre dans la plaine de Bactriane
lorsque l'on vient de Kabul par la grande « route du nord » .
Taillé dans la falaise de grès, il domine de 105 mètres la rive
gauche (Ouest) du Surkhâb, cours supérieur de la rivière de Kunduz
(le Dargomanès de Ptolémée, le Darghâm du Moyen Âge). On peut
l'apercevoir à la jumelle depuis la route moderne située sur
l'autre rive . Il peut paraître surprenant que personne ne l'ait
remarqué jusqu'ici, pas même les fouilleurs de la Délégation
Archéologique française en Afghanistan (DAFA) qui ont travaillé de
nombreuses années sur le site de Surkh Kotal, à 25 kilomètres plus
au nord.
En
réalité le secret de son existence était jalousement gardé par
les habitants du village voisin, Shâmarq, qui se le réservent comme
un lieu de pèlerinage censé inclure l'image de Bibi Fatima, la
fille du Prophète. C'est seulement à la fin de 2001 lorsque des
partisans locaux des Taliban se sont attaqués au relief en lui
causant des dommage limités, que le village notifie son existence à
l'administration locale afin qu'elle prenne des mesures de
protection. Même alors il faut plusieurs mois pour que l'information
parvienne en Angleterre. En décembre 2003 un archéologue se rend
sur place, et comprend aussitôt le caractère unique du monument
dans tout ce qui est connu en Afghanistan, établi sa date
approximative, et communique des photographies... 3 mois
plus
tard, grâce à une subvention du ministère des Affaires étrangères
et de l'École Normale Supérieure, on monte une mission d'étude
dans le cadre de la DAFA, avec l'appui de son directeur Roland
Besenval.
Large
de 6,50 m et haute de 4,90 m, elle est travaillée en plans
successifs et atteint une profondeur maximale de 2,50 m au niveau du
poitrail du cheval royal, ce qui est un cas unique dans toute la
série des reliefs rupestres Iraniens. L'ensemble de la composition,
d'un grand dynamisme, est affecté d'un mouvement tournant qu'on
trouve aussi, mais pas au même degré, avec l'un des reliefs de
Shâpûr Ier (Bishâpùr III).
Les
fissures de la roche ont causé quelques déboires aux sculpteurs,
qui ont été contraints de compléter de nombreux détails, surtout
des têtes et des avant-bras. Toutes ces pièces ont disparu, mais
l'œuvre n'en demeure pas moins spectaculaire par la maîtrise
d'exécution, la précision des détails et le naturalisme
d'ensemble.
Des
traces de plâtre et de peinture rouge subsistent dans de petites
sections très abritées, notamment à la balustrade supérieure
sculptée que protège le surplomb de la roche. Cela permet de
supposer qu'une partie du relief est peinte, probablement même la
totalité, étant donné qu'on n'observe nulle part, de polissage :
Les outils employés sont le ciseau à 5 dents (déjà observé sur
les reliefs sassanides d'Iran) et la gouge.
Au
centre de la scène se trouve un cavalier figuré à une échelle
supérieure à tous les autres personnages : On peut restituer sa
hauteur debout à 2,40 m, contre environ 2 m pour les 3 autres. De
son bras gauche il tend en avant un arc avec lequel il tire sur un
gros animal à l'arrière-train couvert d'écaillés et qui s'enfuit
dans la direction opposée, tandis qu'un second animal, ou plus
vraisemblablement le même, agonise plus bas derrière un rocher, la
langue pendante.
Le
cavalier central est suivi de 2 autres. Le premier, vêtu d'une
tunique collante, porte sur la tête, à en juger par l'empreinte
seule conservée, une haute coiffure arrondie, un kolàh d'un type
qu'on retrouve sur les reliefs Sassanides. Le second cavalier est
coiffé d'un kolâh semblable, ou peut-être d'une tiare pointue de
type kouchan, en tout cas il semble porter la tunique kouchane à
plis lourds, contrastant avec le rendu fripé typiquement Sassanide.
L'Empire
sassanide et la conquête arabe - Les clés du Moyen-Orient
www.lesclesdumoyenorient.com
› Mots clés
11
janv. 2013 - Son successeur Shapur Ier (240-272) prend même le titre
de ... Si l'administration parthe est maintenue dans les premières
années, les ...
DP
Perses Sassanides pour mail - Musée Cernuschi - Paris
www.cernuschi.paris.fr/sites/cernuschi/files/dp_perses_sassanides_pour_mail.pdf
tutelle
de l'empire pendant une quinzaine d'années. Associés aux Turks
d'Asie centrale, .... 241-272 Règne de Châhpûhr/Shapur Ier. -
soumission du royaume ...
Découverte
d'un relief sassanide dans le Nord de l'Afghanistan (note d ...
www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_2005_num_149_1_22838
de
F Grenet - 2005 - Cité 8 fois - Autres articles
J.-C,
l'année même où il commence à soumettre les villes gangétiques.
.... Mais, précisément, ce dernier rendu caractérise certains
portraits monétaires de Shâpûr Ier, et seulement de lui : M. ....
232-234, 272 ; Cribb, « Numis- matic évidence.
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