samedi 20 août 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 272

7 AOÛT 2016...

Cette page concerne l'année 272 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

L'EMPIRE SASSANIDE

SHAPUR Ier
Tirant leur nom d’un ancêtre mythique supposé descendre des Achéménides Sassan, les Sassanides prennent le pouvoir en 224 lorsqu’ Ardashir vainc définitivement le Parthe Artaban V. En 226, à Ctésiphon, il se fait couronner et prend le titre de Shananshah (« Roi des Rois ») que garderont ses successeurs, quant aux territoires qu’il domine, et qui s’étendent des frontières de la Syrie à l’Afghanistan actuel, et du Caucase du Sud à la côte est de la péninsule arabique, ils sont rassemblés sous le nom d’Eranshahr, qui signifie « Empire Iranien ».
Fils d'Ardachîr Ier, fondateur de l'Empire Sassanide, et de la « dame Myrrôd », Shapur en digne prince héritier fait ses premières armes aux côtés de son père lors de la bataille d'Hormizdaghan en 224, au cours de laquelle Ardachîr renverse la dynastie Parthe Arsacide.
De 226, date du couronnement d'Ardachîr à Ctésiphon, à 240, on ignore quel est son rôle précis.

En 240, c'est sans doute lui qui dirige la prise et la destruction de Hatra, en Mésopotamie, aussi le 12 avril 240, il est couronné Roi des Rois et règne en association avec son père Ardachîr.

En 241, à la mort de ce dernier, il reste seul sur le trône.

En 243, il doit affronter une nouvelle expédition Romaine conduite par l'empereur Gordien III et son préfet du prétoire Timésithée. Les Perses sont défaits à Rhesaina (Syrie) mais l'année suivante, Shapur bat les Romains à Misikhè (Al-Anbar près de Falluja, Irak), faisant de nombreux prisonniers et contraignant Gordien à la retraite...
Ce dernier meurt en route (assassinat ou blessure, on ne sait) et l'armée Romaine élit le préfet Philippe pour lui succéder.

Shapur Ier conclut la paix avec le nouvel empereur. Les Romains versent une rançon de 500 000 aurei pour la libération des prisonniers, conservent leurs conquêtes de 243 qui s'étendent jusqu'à Anatha ('Ana, Irak), et s'engagent à ne pas intervenir dans le différend qui l'oppose au roi Tiridate II d'Arménie... Philippe s'engage par ailleurs à lui verser un tribut.

Cette victoire permet à Shapur Ier de consolider son autorité sur la plupart de ses vassaux, et de rallier ceux soutenant encore la dynastie Arsacide. Mais il lui faut toujours partir en guerre contre des rebelles, comme en 250 dans le Khorassan.

En 252, il fait assassiner le roi d'Arménie Tiridate II, et occupe ce royaume où la plupart de l'aristocratie lui fait allégeance, tandis que d'autres vont se réfugier chez les Romains, emmenant avec eux les jeunes princes héritiers Khosrov et Tiridate, tout jeunes et derniers survivants de la famille Arsacide. Shapur Ier nomme son fils Hormizd roi d'Arménie, dans la tradition remontant au Ier siècle qui veut que le roi d'Arménie soit issu de la famille du Roi des Rois, au pouvoir à Ctésiphon...

Réagissant à ce coup de force, les Romains concentrent une armée en Syrie mais Shapur Ier réunit ses vassaux et attaque le premier, avec le soutien de l'Arménie dirigée par son fils Hormizd et de Romains dissidents emmenés par Mariadès, un notable exilé d'Antioche.
Shapur défait l'armée Romaine en 252 à Barbalissos sur l'Euphrate (Bâlis, Syrie), puis à Chalcis (Qinnasrin, Syrie), ravage toute la Syrie du Nord, et s'arrête devant Antioche (Hatay, Turquie) où il laisse Mariadès prendre le pouvoir et lui faire allégeance.
Odénath, chef des forces Romaines installées à Palmyre, tente d'amadouer Shapur Ier mais refuse de lui faire formellement allégeance. Celui-ci ne tente rien contre lui.

En 253, Shapur Ier se ravise, fait occuper Antioche, détruit la ville et déporte en Basse-Mésopotamie ou en Perse des milliers de prisonniers civils. Il les installe sur des terres à mettre en valeur où ils créent de nouvelles villes. En Syrie, Shapur Ier se heurte à la résistance locale et aux débris reformés de l'armée Romaine dans la région d'Émèse (Homs, Syrie), tandis que le nouvel empereur Romain, Valérien, reprend pied à Antioche en 254 et rétablit l'autorité impériale sur les territoires Romains. Le roi Perse se replie sur Ctésiphon, ne conservant que Nisibe (Nusaybin, Turquie), ancienne capitale de la Mésopotamie Romaine.

De 254 à 260, Shapur Ier reste en conflit constant contre les Romains, avec des fortunes diverses. Ainsi, en 256, il semble que les Romains aient célébré un grand succès contre lui, alors que la même année les Perses ont pris la place-forte de Doura Europos sur l'Euphrate (Salhiyé, Syrie) et l'ont totalement détruite et vidée de sa population...

En 260 Shapur Ier envahit ce qui reste de la Mésopotamie et de l’Osroène Romaines, assiégeant Carrhes et Édesse (Harran et Şanlıurfa, Turquie). Valérien ayant réuni une armée importante à Samosate (Samsat, Turquie) marche contre lui mais est battu et fait prisonnier (Shapur Ier se vante de l'avoir personnellement capturé). L'armée Romaine ne fait rien pour récupérer son empereur et se replie immédiatement sur Émèse (Homs, Syrie), laissant sans défense la Syrie du nord et le cœur de l'Asie Mineure.
Le roi des rois s'engouffre dans cette brèche et dévaste la Syrie, la Cilicie et la Cappadoce sans vraiment rencontrer de résistance sérieuse dans un premier temps, puis à la fin de la saison militaire se replie avec ses vassaux, chargé de butin.
Quant à Valérien, prisonnier, les traditions Iraniennes, reproduites par des auteurs médiévaux comme Tha'alibi Tabari et Firdousi, disent qu'il a été traité avec des égards relatifs, tandis que Lactance au IVe siècle prétend que l'empereur a été maltraité puis, après sa mort en captivité, empaillé et exposé dans un temple.

En Syrie, la contre-offensive Romaine s'organise dès 261, sous la direction d'Odénath de Palmyre que Valérien a sans doute fait gouverneur de Syrie-Phénicie, et que Gallien, fils de Valérien, a promu dans l'urgence chef suprême des forces Romaines d'Orient. Odénath prétend avoir intercepté les Perses à leur retour vers Ctésiphon, et même avoir ravagé les États de Shapur Ier jusqu'aux environs de Ctésiphon à deux reprises entre 260 et 267.

On connaît mal les événements qui marquent la dernière décennie du règne de Shapur. Les derniers partisans des Arsacides n'ont toujours pas désarmé, et se sont semble-t-il rangés sous la bannière d'Odénath de Palmyre, chef de l'armée Romaine subordonné en théorie à l'empereur Gallien, mais revendiquant en même temps le titre de Roi des Rois, en un clair défi à Shapur. Mais cela ne débouche pas sur un nouveau conflit majeur. Pour Shapur, Ier le temps de la diplomatie et du compromis semble venu. Tandis qu'Odénath dirige l'Orient Romain depuis Émèse, la cité de Palmyre (Tadmor, Syrie) dirigée semble-t-il par un certain Worod, conclut des accords avec Shapur Ier. Sans cesser de faire partie de l'Empire Romain, Palmyre reprend son commerce caravanier et Worod est même compté par Shapur Ier au nombre de ses vassaux. Quand, après l'assassinat d'Odénath et de son fils Hérodien en 267, la veuve d'Odénath Zénobie s'empare du pouvoir en Syrie, puis en Égypte, Shapur Ier semble être resté neutre dans ce qui n'est au fond qu'une guerre civile Romaine.
Shapur Ier meurt en mai 272, dans sa ville de Bishapour (près de Kazerun, Iran). Peut-être a-t-il été enterré dans un tombeau rupestre, à la manière des Achéménides, en l'occurrence la grotte proche de Bishapour où l'on voit encore aujourd'hui sa statue colossale. Ses fils Hormizd, Vahram et Narsès lui succèdent l'un après l'autre.

Shapur Ier a passé le plus clair de son règne à guerroyer sur tous les fronts, à l'Ouest contre les Arméniens, contre les Romains, mais aussi à l'Est de son empire. Si, dans les faits, il a consolidé la domination des Sassanides sur le monde Irano-Mésopotamien, en éliminant physiquement les derniers représentants de la dynastie Parthe Arsacide qui peuvent prétendre à plus de légitimité que lui, il reste encore à la fin de son règne des nostalgiques des Arsacides, mais tous sont réduits à combattre pour les Romains.

La force de son régime apparaît quand on considère sa stabilité, comparée à l'instabilité de l'Empire Romain à la même période. Shapur Ier qui a reçu le pouvoir de son père et l'a transmis à son fils, a vu en 30 ans de règne se succéder chez les Romains Gordien III, Philippe l'Arabe, Trajan-Dèce, Trébonien Galle, Émilien, Valérien, Gallien et Claude le Gothique, sans compter les innombrables usurpateurs et autres rebelles dont Zénobie est la plus connue. Cette stabilité n'a pu que renforcer son autorité et son prestige auprès des populations du Moyen-Orient.

Dans sa grande inscription commémorative de Naqsh-e Rostam, Shapur Ier déclare avoir bâti de nombreuses villes. La principale d'entre elles est Bishapour, en Iran, près de Kazerun. Ce n'est pas une ville ronde comme le sont généralement les villes Parthes ou Sassanides, mais une ville au plan partiellement rectangulaire, avec deux voies principales se croisant à angle droit, dans un style qui fait immédiatement songer aux fondations Romaines telles que Timgad ou Philippopolis d'Arabie.

On ne sait au juste à quelle période de son règne les travaux ont été entrepris, s'il faut y voir la main des prisonniers faits en 260 ou plutôt celle des spécialistes Romains fournis par Philippe l'Arabe au titre de la paix de 244.
On peut faire la même remarque pour la Band-e Kaisar (« Digue de César »), pont-barrage sur la rivière Karoun au sud-ouest de l'Iran.
D'autres villes ont été créées sous son règne pour l'établissement des Syriens déportés en 252-253, sans compter les nombreuses refondations, qui ont dû se traduire par des constructions importantes, comme celle de Misikhè, refondée comme « Peroz Shapur » (« Shapur Victorieux ») sur l'Euphrate, place essentielle pour la défense de Ctésiphon.
Enfin faut-il attribuer à Shapur Ier la construction de l'immense palais de Ctésiphon dont les ruines se visitent toujours au sud de Bagdad ? (encore aujourd'hui ? J'en doute)

Shapour Ier n'a pas été qu'un bâtisseur, il a aussi été un destructeur. Il a fait détruire Antioche, une des plus grandes cités de l'Empire Romain et capitale de l'Orient Romain... Et si Antioche s'en est relevée, elle en porte toujours la marque un siècle plus tard, aux dires de Libanios. Il a en revanche littéralement rayé de la carte au moins 2 cités importantes, Hatra en 240 et Doura Europos en 256 :
Plus personne jamais ne les a habitées jusqu'à l'arrivée des archéologues au XXe siècle... En faisant ainsi le désert aux frontières, et en déportant les populations à l'intérieur de son empire pour les y laisser cette fois prospérer, il applique la politique traditionnelle des Assyriens et des Babyloniens.

Petit-fils d'un prêtre de la déesse Anahita, Shapur se déclare issu de la race des dieux et « adorateur de Mazda », le dieu dynastique des anciens rois achéménides puis des rois de Perse. Sur les bas-reliefs commémorant leur investiture, c'est d'Ahura Mazda qu'Ardachîr et plus tard Shapur reçoivent les attributs royaux.
Le phénomène religieux qui marque le plus le monde Iranien sous son règne est la montée en puissance du clergé mazdéen, comme en témoigne l'ascension du mobedh Kartir. Ce dernier prétend, dans une inscription qu'il fait graver, avoir profité des conquêtes de Shapur Ier pour promouvoir le mazdéisme.
S'il est vrai que Kartir fait partie de la cour de Shapur Ier, on remarque cependant qu'il n'est mentionné dans l'ordre protocolaire qu'à un rang relativement modeste, ce qui limite l'influence à laquelle il peut prétendre. L'Église mazdéenne hiérarchisée et structurée, qui devient la véritable religion d'État sous les Sassanides du IVe au VIIe siècle, n'a pas encore ce statut sous Shapur Ier.
En revanche, le roi veut annexer à l'Avesta, le livre saint du mazdéisme mis en forme sous son père Ardachîr, les écrits non-religieux venus de l'Empire Romain ou de l'Inde, sur la médecine, l'astronomie, la logique, etc.
De fait Shapur Ier, n'est jamais sous la coupe des religieux, apparaît comme un souverain particulièrement tolérant, assurant le meilleur accueil aux représentants de tous les cultes en lesquels il voit les relais potentiels de son autorité.
Les sources juives ont conservé le souvenir des audiences bienveillantes qu'il accorde aux chefs de leur communauté. Les récits tardifs grecs de l'invasion de la Syrie en 252-253 évoquent un Shapur Ier détruisant tout mais respectant au moins le sanctuaire d'Apollon à Daphné, ou prêt à négocier avec un prêtre d'Émèse, tandis que les chrétiens d'Antioche déportés en Perse reçoivent toute liberté d'y reconstituer leurs églises et même d'y prêcher l'Évangile aux populations locales.

Dans la grande inscription de Naqsh-e Rostam figure un texte à la gloire du roi Shapur Ier, que les historiens Occidentaux ont dénommé Res gestae divi Saporis, dans lequel le grand roi définit les offrandes qui doivent être faites pour l’âme des membres de sa famille.
Selon l'inscription de Naqsh-e Rostam, Shapur Ier épousa Khoranzêm, qualifiée de « reine de l'empire », Dênak reine, Stahryâd reine, ainsi que sa propre fille, la « reine des reines » Adour-anâhîd. Il en eut au moins quatre fils et une fille :
Adour-anâhid « reine des reines ».
Vahram Ier, roi de Gêlân.
Shapur, roi de Mésène.
Hormizd Ier, grand roi d'Arménie.
Narseh, roi de Sind, de Sacastène et de Tourène.
Selon certaines interprétations des Chroniques Géorgiennes, il a eu également un fils d'une concubine : Mirvan III, roi d'Ibérie.

A la fin de février 2004, le Dr Jonathan Lee, un historien et sociologue Britannique travaillant en Afghanistan pour des organisations humanitaires fait parvenir les photographies qu'il a prises d'un grand relief à ciel ouvert. Ce relief, localement connu sous le nom de Rag-i Bibi (« la veine de la Dame [Fatima] »), est situé à une dizaine de kilomètres au sud de Pul-i Khumri, la première ville que l'on rencontre dans la plaine de Bactriane lorsque l'on vient de Kabul par la grande « route du nord » . Taillé dans la falaise de grès, il domine de 105 mètres la rive gauche (Ouest) du Surkhâb, cours supérieur de la rivière de Kunduz (le Dargomanès de Ptolémée, le Darghâm du Moyen Âge). On peut l'apercevoir à la jumelle depuis la route moderne située sur l'autre rive . Il peut paraître surprenant que personne ne l'ait remarqué jusqu'ici, pas même les fouilleurs de la Délégation Archéologique française en Afghanistan (DAFA) qui ont travaillé de nombreuses années sur le site de Surkh Kotal, à 25 kilomètres plus au nord.
En réalité le secret de son existence était jalousement gardé par les habitants du village voisin, Shâmarq, qui se le réservent comme un lieu de pèlerinage censé inclure l'image de Bibi Fatima, la fille du Prophète. C'est seulement à la fin de 2001 lorsque des partisans locaux des Taliban se sont attaqués au relief en lui causant des dommage limités, que le village notifie son existence à l'administration locale afin qu'elle prenne des mesures de protection. Même alors il faut plusieurs mois pour que l'information parvienne en Angleterre. En décembre 2003 un archéologue se rend sur place, et comprend aussitôt le caractère unique du monument dans tout ce qui est connu en Afghanistan, établi sa date approximative, et communique des photographies... 3 mois
plus tard, grâce à une subvention du ministère des Affaires étrangères et de l'École Normale Supérieure, on monte une mission d'étude dans le cadre de la DAFA, avec l'appui de son directeur Roland Besenval.

Large de 6,50 m et haute de 4,90 m, elle est travaillée en plans successifs et atteint une profondeur maximale de 2,50 m au niveau du poitrail du cheval royal, ce qui est un cas unique dans toute la série des reliefs rupestres Iraniens. L'ensemble de la composition, d'un grand dynamisme, est affecté d'un mouvement tournant qu'on trouve aussi, mais pas au même degré, avec l'un des reliefs de Shâpûr Ier (Bishâpùr III).
Les fissures de la roche ont causé quelques déboires aux sculpteurs, qui ont été contraints de compléter de nombreux détails, surtout des têtes et des avant-bras. Toutes ces pièces ont disparu, mais l'œuvre n'en demeure pas moins spectaculaire par la maîtrise d'exécution, la précision des détails et le naturalisme d'ensemble.
Des traces de plâtre et de peinture rouge subsistent dans de petites sections très abritées, notamment à la balustrade supérieure sculptée que protège le surplomb de la roche. Cela permet de supposer qu'une partie du relief est peinte, probablement même la totalité, étant donné qu'on n'observe nulle part, de polissage : Les outils employés sont le ciseau à 5 dents (déjà observé sur les reliefs sassanides d'Iran) et la gouge.

Au centre de la scène se trouve un cavalier figuré à une échelle supérieure à tous les autres personnages : On peut restituer sa hauteur debout à 2,40 m, contre environ 2 m pour les 3 autres. De son bras gauche il tend en avant un arc avec lequel il tire sur un gros animal à l'arrière-train couvert d'écaillés et qui s'enfuit dans la direction opposée, tandis qu'un second animal, ou plus vraisemblablement le même, agonise plus bas derrière un rocher, la langue pendante.
Le cavalier central est suivi de 2 autres. Le premier, vêtu d'une tunique collante, porte sur la tête, à en juger par l'empreinte seule conservée, une haute coiffure arrondie, un kolàh d'un type qu'on retrouve sur les reliefs Sassanides. Le second cavalier est coiffé d'un kolâh semblable, ou peut-être d'une tiare pointue de type kouchan, en tout cas il semble porter la tunique kouchane à plis lourds, contrastant avec le rendu fripé typiquement Sassanide.

L'Empire sassanide et la conquête arabe - Les clés du Moyen-Orient
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11 janv. 2013 - Son successeur Shapur Ier (240-272) prend même le titre de ... Si l'administration parthe est maintenue dans les premières années, les ...

DP Perses Sassanides pour mail - Musée Cernuschi - Paris
www.cernuschi.paris.fr/sites/cernuschi/files/dp_perses_sassanides_pour_mail.pdf
tutelle de l'empire pendant une quinzaine d'années. Associés aux Turks d'Asie centrale, .... 241-272 Règne de Châhpûhr/Shapur Ier. - soumission du royaume ...

Découverte d'un relief sassanide dans le Nord de l'Afghanistan (note d ...
www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_2005_num_149_1_22838
de F Grenet - ‎2005 - ‎Cité 8 fois - ‎Autres articles
J.-C, l'année même où il commence à soumettre les villes gangétiques. .... Mais, précisément, ce dernier rendu caractérise certains portraits monétaires de Shâpûr Ier, et seulement de lui : M. .... 232-234, 272 ; Cribb, « Numis- matic évidence.

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