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AOÛT 2016...
Cette
page concerne l'année 270 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LE NÉOPLATONISME ET SES ADEPTES.
PLOTIN |
De
254 jusqu'à la veille de sa mort, en 270, Plotin rédige un ensemble
de textes que son disciple Porphyre éditera vers l'année 300 en les
distribuant en 54 traités, regroupés en 6 neuvaines : Les Ennéades.
Dans ces traités, Plotin se propose de guider l'âme de son lecteur
sur le chemin d'une ascèse qui doit la conduire vers son principe,
l'Intellect et lui permettre alors de percevoir, pour s'y unir, le
principe de toutes choses qu'est l'Un. La présente collection
regroupe, en 9 volumes, les 54 traités de Plotin, traduits et
présentés dans l'ordre chronologique qui est celui de leur
rédaction.
On
désigne sous le nom de néo-platonisme une école philosophique qui
se réclame de Platon et dont le fondateur est Plotin (205 - 270 ).
1
- L'évolution philosophique à l'époque impériale
Depuis
la mort de Socrate, les religions grecques et romaines ont perdu de
leur vitalité et les regards se sont tournés ailleurs, notamment
vers les religions à mystères et leurs promesses eschatologiques.
L'essor des religions à mystères traduit un besoin de mysticisme
face à la sécheresse de la religion traditionnelle.
La
notion de salut est aussi présente dans les courants philosophiques
de l'époque qui enseignent au monde comment trouver le bonheur sur
terre :
Les
Cyniques voient le bonheur dans le renoncement au monde civilisé et
le retour à l'état de nature.
Les
Sceptiques dans la suspension de jugement qui mène l'homme vers la
quiétude,
Les
Epicuriens dans la limitation des besoins et le détachement par
rapport aux craintes,
Les
Stoïciens dans l'acceptation heureuse de l'accomplissement du
destin. C'est donc bien vers un bonheur terrestre que se tourne la
philosophie hellénistique, à l'inverse des cultes et religions à
mystères (Mystères d'Eleusis, cultes d'lsis, Dionysos, Cybèle,
Mithra...) qui proposent la perspective d'une immortalité
bienheureuse.
Or,
avec l'avènement de l'ère chrétienne, les données changent : La
philosophie grecque se trouve confrontée à une autre conception du
monde, L'idée de transcendance divine, issue du monde juif et dont
le christianisme hérite.
Toute
la philosophie de l’époque impériale ne s'inscrit cependant pas
dans ce spectre : Les IIIe, IVe et Ve siècle voient naître et se
développer le dernier beau fleuron de la sagesse antique à travers
l'école néoplatonicienne en laquelle se rejoignent promesse de
salut individuel et affirmation typiquement grecque de la
toute-puissance de l'esprit. Le néo-platonisme se trouve au
confluent de ces deux tendances.
Depuis
le début du IIe siècle, la philosophie est conçue comme un
itinéraire spirituel ascendant. La pratique de la philosophie invite
à une transformation de la vie et à un chemin spirituel : C’est
vrai chez Philon d'Alexandrie pour qui la sagesse grecque annonce la
sagesse divine comme si elle en a été le chemin, comme chez Plotin
pour qui l'émanation n'est rien sans le voyage de retour vers l’Un
absolu. Chez l'un comme chez l'autre, ce chemin spirituel passe par
le détachement, l’ascèse et la méditation.
2
- Le néo-platonisme de Plotin : Le rôle d’Epictète
Pour
comprendre le néoplatonisme et son ascétisme contemplatif, il faut
revenir à Epictète qui annonce le détachement du néo-platonicien
par rapport au monde. Acceptation, détachement, ascèse sont les
trois données fondamentales qui se dégagent de l'enseignement
d'Epictète. A cet aspect, il faut ajouter la pratique de la
méditation : Va te promener seul, converse avec toi-même.
(Epictète, Entretiens, III, 14, 1). La méditation fait partie
désormais d'un ensemble de pratiques destinées à opérer une
transformation intérieure.
On
ne sait que peu de choses de la vie de Plotin. Selon Porphyre, son
disciple, Plotin a honte de son corps, pour cette raison, il ne veut
pas que l’on fasse son portrait et tient cachés son lieu de
naissance et sa généalogie, tout ce qui se rapporte à sa vie
physique.
Il
est né en Égypte, à Lycopolis (Assouan en Haute Égypte), de
parents Romains.
A
28 ans, attiré par la philosophie, il suit des cours à l’École
d’Alexandrie. Il étudie la philosophie auprès d'Ammonios Saccas
qui nourrit, dit-on, une vive admiration pour les brahmanes et
transmet à son disciple cette admiration pour les philosophes
hindous. Plotin, désireux de connaître la philosophie des Perses et
des Hindous participe à une campagne de Gordien III contre les
Perses.
Après
la défaite de Gordien, il se réfugie d’abord à Antioche puis à
Rome où il enseigne pendant de nombreuses années. Son enseignement
est ouvert à tous. Plotin apparaît comme directeur spirituel. Les
premiers écrits de Plotin datent de 253.
En
263, arrive à Rome un élève athénien, Porphyre, auquel nous
devons la transmission de son œuvre.
En
268, sa santé devient très faible et son état est aggravé par une
ascèse rigoureuse.
En
269, il quitte Rome et va s’installer chez un ami en Campanie.
C’est là qu’il meurt, solitaire, l’année suivante...
Il
laisse le souvenir d’un homme d’une bonté extrême, d’une
infinie douceur, d’une droiture sans égale, ainsi que d’une
intelligence supérieure.
Son
école se développe pendant les 2 siècles suivants et continue à
vivre à Alexandrie après la fermeture de l’École d'Athènes par
Justinien en 529.
Plotin
présente toujours son enseignement comme un commentaire de la
doctrine de Platon. Les néoplatoniciens puisent dans l'œuvre
entière de Platon. Ils sont tournés vers Platon comme vers un
enseignement éternellement actuel. Plotin n'a jamais eu l'intention
de faire un nouveau platonisme. Mais, peut-être à l'insu de ce
projet, est-il cependant un créateur malgré lui...
Amené
à prolonger les positions platoniciennes, il avance dans la
direction indiquée par Platon dans ses derniers dialogues, regardant
le platonisme comme une sorte de révélation, mais le néo-platonisme
est une re-création du platonisme. Une doctrine ne peut triompher du
temps qu'en se recréant sans cesse à partir de son intention
génératrice. Ainsi, la vision plotinienne est-elle à la fois
l'épanouissement authentique du platonisme et à partir de celui-ci,
une véritable création.
PLOTIN |
L'exitus
correspond au premier moment de cette procession qui va de
l'intelligible platonicien vers le corporel.
Le
redditus correspond au retour de l'être vers l'intelligible,
communion qui seule lui procure la joie : « Si grande est sa
joie à laquelle elle est parvenue » (Ennéade, VI, 7(38), 34,
9-37). Une telle communion au Principe suprême, à la source
originelle, représente pour Plotin, la fin du voyage.
Quand
Porphyre, le disciple de Plotin, édite les traités de son maître
qui ne sont jusqu'alors accessibles qu'aux disciples confirmés, il
ne les présente pas selon leur ordre chronologique de parution, mais
selon les étapes du progrès spirituel, 6 Ennéades :
-
La première Ennéade, c’est-à-dire les 9 premiers traités,
rassemble les écrits qui ont un caractère éthique
-
Les deuxième et troisième Ennéades se rapportent au monde sensible
et correspondent à la partie physique.
Les
4e, 5e et 6e Ennéades ont pour objet les choses divines : L’Âme,
l'Intellect et l'Un .
L'Intelligence
(l'Intellect, νοῦς, en grec)
L'Âme
du monde (ψυχή, en grec)
3.
La théorie de l'émanation, de l'Un vers l’Univers sensible
« Souvent
je m'éveille à moi-même en m’échappant de mon corps, étranger
à tout autre chose, dans l’intimité de moi-même, je vois une
beauté aussi merveilleuse que possible. Je suis convaincu, surtout
alors, que j’ai une destinée supérieure, mon activité est le
plus haut degré de la vie, je suis uni à l’être divin, et,
arrivé à cette activité, je me fixe en lui au-dessus des autres
êtres intelligibles. Mais après ce repos dans l’être divin,
redescendu de l’intelligence à la pensée réfléchie, je me
demande comment j’opère actuellement cette descente, et comment
l’âme a jamais pu venir dans les corps ... » (Ennéade.
IV,8, 1)
L’Intellect
Du
Un émane l’Esprit ou Intellect (Noüs). L’Intellect dérive de
l’Un comme la lumière émane du Soleil, la chaleur du feu, le
parfum de la fleur, par un rayonnement, un débordement de puissance,
par une naturelle fécondité.
L’Intellect
représente la sphère des Idées, des intelligibles ou archétypes
éternels de toutes choses. Ce monde intelligible est tourné vers
l’Un, mais en soi, il se différencie déjà. La pensée de
l’Esprit nécessite la séparation du pensant et du pensé, et la
différenciation des objets entre eux.
L’Âme
De
même que la surabondance de l’Un rayonne hors de lui une énergie,
de même de la plénitude de l’Intellect se produit un reflet, une
imitation subalterne de l’intelligence parfaite. Cette réalité,
c’est l’Âme, image de l’Intellect, énergie dérivée de lui
qui lui ressemble comme la chaleur autour du feu.
C’est
ce qui permet à l’Âme de produire et organiser le monde sensible,
car elle ne cesse de contempler l’Intellect dont elle émane.
« D’un
côté, l’Âme est rattachée à l’Intellect et par là, elle est
comblée, jouit de lui, participe de lui et parvient à
l’intellection, d’un autre côté, elle est en contact avec ce
qui vient après elle, ou plutôt elle engendre, elle aussi, des
êtres qui seront nécessairement inférieurs à l’Âme. »
Plotin
utilise l'image du jet d'eau : Les gouttelettes jaillissent du jet
d'eau, source unique, et retombent ensuite en une multitude
s'éparpillant. Elles sont l'image de la chute dans la matière et
nous devons nous efforcer de remonter jusqu'à l'Un. Il en va de même
des rayons lumineux, tous issus d'une même source mais se diffusant
pour se perdre dans l'ombre où ils meurent. Nous devons nous
détourner de cette fin tragique en nous efforçant de remonter à la
source de lumière. Derrière le voile, chez Plotin, comme chez
Platon, se trouve ce que nous devons parvenir à contempler.
Dans
sa Vie de Plotin, Porphyre affirme : « (...) la fin et le but
sont, pour Plotin, d'être uni au Dieu suprême et de s'approcher de
lui ».
Porphyre
précise que Plotin atteint ce but de l'union au Dieu ou principe
suprême 4 fois durant les 6 années pendant lesquelles il fréquente
l'école de Plotin et que lui-même y est parvenu une fois.
Il
parle donc d'expériences très rares, que l'on peut qualifier de
« mystiques » ou « d'unitives » : « union
intime avec le Dieu qui est au-dessus de toutes choses » et
« il voit le Dieu qui n'a ni forme ni essence parce qu 'il est
situé par delà l’intelligence et l’intelligible ». Ces
instants privilégiés se détachent sur le fond d’une activité
tournée vers l’Intellect. Si elles sont rares, elles n’en
donnent pas moins sa tonalité particulière au mode de vie
plotinien.
4
- Le message du néo-platonisme : « Vivre selon l'esprit »
Plotin
a connu l'extase d'un visionnaire qui a vu, extase qui devrait
devenir un état permanent de notre moi. L'extase de Plotin n'est pas
le dernier stade d'un savoir transmis tout au long d'épreuves
diverses. Mais elle n'est pas non plus l'extase des grands mystiques
chrétiens tels Saint François d'Assise, Saint Jean de la Croix ou
Thérèse d'Avila. La philosophie de Plotin ne fait pas appel à une
Révélation : C'est une philosophie mystique du dévoilement.
L'adoption
d'un certain « mode de vie », que Porphyre, disciple de
Plotin, conseille à ses élèves, consiste à « vivre selon
l'esprit », c’est-à-dire selon la partie la plus haute de
nous-mêmes. Il faut vivre soi-même en âme raisonnable, s'efforcer
de penser l'âme « en la considérant à l'état pur, parce que
toute addition à une chose est un obstacle à la connaissance de la
chose ». De cette pensée, de cet intellect transcendant, L'âme
reconnaît les traces en elle, sous la forme des principes qui lui
permettent de raisonner. La réflexion philosophique conduit vers
l'Intellect. Mais il y a 2 voies d'accès : Le discours philosophique
et l'expérience intérieure, une connaissance de soi, comme devenant
soi-même l'Intellect.
En
réalité, le terme d'« hypostase » n'est introduit que
tardivement par Porphyre (dans le titre de Ennéade V, 1 : Sur les 3
hypostases qui ont rang de principes) pour désigner ces trois
principes fondamentaux à l'origine du monde. Si Plotin emploie bien
le terme, il ne l'utilise cependant jamais dans un sens différent de
son acception courante à l'époque, signifiant « existence ».
L'Un, l'Intelligence et l'Âme sont les trois principes d'où découle
le monde sensible, et fonctionnent comme 3 niveaux de réalité
distincts.
En
plus d'être constitué par 3 principes fondamentaux, comme 3 couches
géologiques superposées, le monde, l'ensemble de ce qui existe,
selon Plotin, obéit à une logique très spécifique. Le monde, dans
son entièreté, émane de l'Un dans un mouvement logique qu'on
appelle la « procession », et qui, dans son sens logique
(pratiquement identique à son sens métaphysique, car la philosophie
de Plotin est un idéalisme), ressemble beaucoup au concept
platonicien de participation (une chose « procède » de
ce dont elle participe, et inversement). La nature de l'Un, qui est
le principe premier selon Plotin, est telle que de lui émane
nécessairement le reste du monde.
Cependant,
pour Jean-Louis Chrétien, Lloyd Gerson et d'autres philosophes, le
mot émanation peut induire en erreur. En effet, il ne faut entendre
par là ni un processus temporel ni la division d'une unité
potentiellement complexe (car, l'Un étant absolument un et donc
absolument simple, il ne peut avoir en lui nulle complexité, et s'il
donne lieu au monde et à sa complexité, c'est que « le Bien
donne ce qu'il n'a pas » : Il n'a rien d'autre que
lui-même et ne se donne pas lui-même), l'émanation est comprise
plutôt « en termes de dépendance ontologique atemporelle ».
D'autres termes, comme celui de « dérivation », ont été
proposés pour le remplacer.
« Pour
Plotin, la matière est identifiée au mal et à la privation de
toute forme ou intelligibilité ». Sur ce point, il est
consciemment en opposition avec Aristote pour qui la matière n'est
pas privée de toute intelligibilité. Le problème est qu'alors, le
mal qui est la matière est produit par l'Un qui est le bien. C'est
la thèse gnostique. Mais Plotin raisonne différemment. Le début du
mal réside dans la séparation de l'Un par l'intellect. En effet, la
matière, le monde sensible en général, est le dernier degré de
développement de l'Un.
Elle
est associée au mal et à la nécessité.
Le
mal est donc pour lui ce qui est le plus privé de perfection C'est
un défaut de bien.
« De
manière générale, il faut poser que le mal est un défaut de bien.
Il est nécessaire que se manifeste ici-bas un défaut de bien, car
le bien se trouve alors en autre chose. »
Pour
Plotin, le corps ne semble jamais être autre chose que la prison de
l'âme. En effet, la matière, le monde sensible en général, est le
dernier degré de développement de l'Un comme nous l'avons vu. Pour
atteindre la sagesse, l'homme doit accorder à son âme toute
l'attention, au détriment même de son corps.
Il
doit se tourner vers la raison et éviter à tout prix de se laisser
perturber par son environnement extérieur qui ne fait que le
détourner de ce qu'il a en lui de proprement humain.
Mais
cette apparente superfluité du corps résiste difficilement à une
analyse plus poussée. En dépassant la première lecture, il faut se
demander si Plotin encourage réellement l'homme à se débarrasser
de son corps. En effet, Plotin sauve Porphyre du suicide, et il
indique dans son apologie de l'amour qu'il est possible d'aimer les
corps ici-bas, sans incliner vers le mal, à partir du moment où la
beauté des corps est comprise comme la trace du Beau dans le monde
sensible.
CLAUDE II LE GOTHIQUE |
Plotin
affirme d'emblée que « le bonheur se trouve dans la vie »,
mais il faut bien se garder de penser que Plotin encourage par-là un
quelconque hédonisme. Il faut comprendre la vie en un sens bien
particulier : il s'agit ici de la vie conforme à
l'Intelligence. Ce type de vie est seul à pouvoir offrir un réel
plaisir à l'homme. L'homme, pour être heureux, doit utiliser sa
volonté pour tendre vers le bien jusqu'à s'y identifier : Il
doit donc se tourner non pas vers les éléments du monde sensible
qui n'ont qu'un degré très limité de bonté, mais vers
l'Intelligence qui est directement issue de l'Un (ou du Bien).
Le
bonheur n'a rien de commun avec le corps, le monde sensible, ou la
matière, en qui est présent le mal. Néanmoins, contrairement aux
gnostiques, Plotin ne pense pas que le mal soit une puissance active
et réelle.
Pour
Plotin, « Le moi humain n'est pas irrémédiablement séparé
du modèle éternel du moi tel qu'il existe dans la pensée divine »,
nous pouvons lors d'expériences spirituelles nous identifier à ce
moi éternel. Plotin écrit
« Et,
s'il faut avoir l'audace de dire avec plus de clarté… Notre âme
non plus ne s'est pas enfoncée en sa totalité dans le sensible,
mais il y a quelque chose d'elle qui demeure toujours dans le monde
spirituel (IV 8,8,1.) »
Plotin
se pose alors la question de savoir pourquoi nous utilisons si peu
voire pas ces capacités supérieures. Pour lui cela vient du fait
que nous n'en sommes pas conscient car la conscience est située
entre « la vie silencieuse et inconsciente de notre moi en
Dieu, la vie silencieuse et inconsciente du corps ».
Pour
atteindre la sagesse et le bonheur, l'homme doit continuer ce
mouvement introspectif, la conversion, jusqu'à retrouver en lui
l'Intelligence et, au-delà d'elle, l'Un dont elle est issue.
Les
Ennéades
Chronologie
Authenticité
La
forme littéraire
Le
style de Plotin
3.
Le Texte des Ennéades, Sigles, Porphyre, La vie de Plotin et l'ordre
de ses écrits Plotin, Premère Ennéade
III.
De la Dialectique
IV.
Du Bonheur
V.
Le Bonheur s'accroît-il avec le temps ?
VI.
Du Beau
VII.
Du premier Bien et des autres Biens
VIII.
Qu'est-ce que les maux et d'où viennent-ils ?
IX.
Du suicide raisonnable
Traités
7-21: Amazon.fr: Plotin, Collectif, Luc Brisson, Jean-François ...
https://www.amazon.fr/Traités-7-21-Plotin/dp/2080711644
De
254 jusqu'à la veille de sa mort, en 270, Plotin rédige un ensemble
de ... vers l'année 300 en les distribuant en cinquante-quatre
traités, regroupés en six ...
Plotin
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philosophie-marseille.com/textes-et-videos/textes-gratuits...philosophes.../plotin.html
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qui se réclame de Platon et dont le fondateur est Plotin (205 - 270
après J.C.). ... Plotin, désireux de connaître la philosophie des
Perses et des Hindous participe à ... à Antioche puis à Rome où
il enseigne pendant de nombreuses années.
Orientations
maîtresses des apologistes chrétiens de 270 à 361
https://books.google.fr/books?isbn=8876520392
Joseph-Rhéal
Laurin - 1954 - Religion
Plotin
y raffermit, sans doute, certaines parentés spirituelles avec les
... Dès l'année 245, en effet, il enseigne à ses disciples de Rome
que l'âme est liée à des ... Toute sa conception philosophique du
cosmos dans lequel se hiérarchisent les ...
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