mercredi 24 août 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 270

9 AOÛT 2016...

Cette page concerne l'année 270 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LE NÉOPLATONISME ET SES ADEPTES.

PLOTIN
Né en Égypte au début du IIIe siècle, Plotin s'installe à Rome en 246, en terre stoïcienne, pour y enseigner les principes d'une philosophie platonicienne et y inaugurer la tradition qu'on dit aujourd'hui néoplatonicienne.
De 254 jusqu'à la veille de sa mort, en 270, Plotin rédige un ensemble de textes que son disciple Porphyre éditera vers l'année 300 en les distribuant en 54 traités, regroupés en 6 neuvaines : Les Ennéades. Dans ces traités, Plotin se propose de guider l'âme de son lecteur sur le chemin d'une ascèse qui doit la conduire vers son principe, l'Intellect et lui permettre alors de percevoir, pour s'y unir, le principe de toutes choses qu'est l'Un. La présente collection regroupe, en 9 volumes, les 54 traités de Plotin, traduits et présentés dans l'ordre chronologique qui est celui de leur rédaction.

On désigne sous le nom de néo-platonisme une école philosophique qui se réclame de Platon et dont le fondateur est Plotin (205 - 270 ).
1 - L'évolution philosophique à l'époque impériale
Depuis la mort de Socrate, les religions grecques et romaines ont perdu de leur vitalité et les regards se sont tournés ailleurs, notamment vers les religions à mystères et leurs promesses eschatologiques. L'essor des religions à mystères traduit un besoin de mysticisme face à la sécheresse de la religion traditionnelle.
La notion de salut est aussi présente dans les courants philosophiques de l'époque qui enseignent au monde comment trouver le bonheur sur terre :
Les Cyniques voient le bonheur dans le renoncement au monde civilisé et le retour à l'état de nature.
Les Sceptiques dans la suspension de jugement qui mène l'homme vers la quiétude,
Les Epicuriens dans la limitation des besoins et le détachement par rapport aux craintes,
Les Stoïciens dans l'acceptation heureuse de l'accomplissement du destin. C'est donc bien vers un bonheur terrestre que se tourne la philosophie hellénistique, à l'inverse des cultes et religions à mystères (Mystères d'Eleusis, cultes d'lsis, Dionysos, Cybèle, Mithra...) qui proposent la perspective d'une immortalité bienheureuse.
Or, avec l'avènement de l'ère chrétienne, les données changent : La philosophie grecque se trouve confrontée à une autre conception du monde, L'idée de transcendance divine, issue du monde juif et dont le christianisme hérite.
 
Toute la philosophie de l’époque impériale ne s'inscrit cependant pas dans ce spectre : Les IIIe, IVe et Ve siècle voient naître et se développer le dernier beau fleuron de la sagesse antique à travers l'école néoplatonicienne en laquelle se rejoignent promesse de salut individuel et affirmation typiquement grecque de la toute-puissance de l'esprit. Le néo-platonisme se trouve au confluent de ces deux tendances.
Depuis le début du IIe siècle, la philosophie est conçue comme un itinéraire spirituel ascendant. La pratique de la philosophie invite à une transformation de la vie et à un chemin spirituel : C’est vrai chez Philon d'Alexandrie pour qui la sagesse grecque annonce la sagesse divine comme si elle en a été le chemin, comme chez Plotin pour qui l'émanation n'est rien sans le voyage de retour vers l’Un absolu. Chez l'un comme chez l'autre, ce chemin spirituel passe par le détachement, l’ascèse et la méditation.
 
2 - Le néo-platonisme de Plotin : Le rôle d’Epictète
Pour comprendre le néoplatonisme et son ascétisme contemplatif, il faut revenir à Epictète qui annonce le détachement du néo-platonicien par rapport au monde. Acceptation, détachement, ascèse sont les trois données fondamentales qui se dégagent de l'enseignement d'Epictète. A cet aspect, il faut ajouter la pratique de la méditation : Va te promener seul, converse avec toi-même. (Epictète, Entretiens, III, 14, 1). La méditation fait partie désormais d'un ensemble de pratiques destinées à opérer une transformation intérieure.
On ne sait que peu de choses de la vie de Plotin. Selon Porphyre, son disciple, Plotin a honte de son corps, pour cette raison, il ne veut pas que l’on fasse son portrait et tient cachés son lieu de naissance et sa généalogie, tout ce qui se rapporte à sa vie physique.
Il est né en Égypte, à Lycopolis (Assouan en Haute Égypte), de parents Romains.
A 28 ans, attiré par la philosophie, il suit des cours à l’École d’Alexandrie. Il étudie la philosophie auprès d'Ammonios Saccas qui nourrit, dit-on, une vive admiration pour les brahmanes et transmet à son disciple cette admiration pour les philosophes hindous. Plotin, désireux de connaître la philosophie des Perses et des Hindous participe à une campagne de Gordien III contre les Perses.
Après la défaite de Gordien, il se réfugie d’abord à Antioche puis à Rome où il enseigne pendant de nombreuses années. Son enseignement est ouvert à tous. Plotin apparaît comme directeur spirituel. Les premiers écrits de Plotin datent de 253.
En 263, arrive à Rome un élève athénien, Porphyre, auquel nous devons la transmission de son œuvre.
En 268, sa santé devient très faible et son état est aggravé par une ascèse rigoureuse.
En 269, il quitte Rome et va s’installer chez un ami en Campanie. C’est là qu’il meurt, solitaire, l’année suivante...
Il laisse le souvenir d’un homme d’une bonté extrême, d’une infinie douceur, d’une droiture sans égale, ainsi que d’une intelligence supérieure.
Son école se développe pendant les 2 siècles suivants et continue à vivre à Alexandrie après la fermeture de l’École d'Athènes par Justinien en 529.
Plotin présente toujours son enseignement comme un commentaire de la doctrine de Platon. Les néoplatoniciens puisent dans l'œuvre entière de Platon. Ils sont tournés vers Platon comme vers un enseignement éternellement actuel. Plotin n'a jamais eu l'intention de faire un nouveau platonisme. Mais, peut-être à l'insu de ce projet, est-il cependant un créateur malgré lui...

Amené à prolonger les positions platoniciennes, il avance dans la direction indiquée par Platon dans ses derniers dialogues, regardant le platonisme comme une sorte de révélation, mais le néo-platonisme est une re-création du platonisme. Une doctrine ne peut triompher du temps qu'en se recréant sans cesse à partir de son intention génératrice. Ainsi, la vision plotinienne est-elle à la fois l'épanouissement authentique du platonisme et à partir de celui-ci, une véritable création.
PLOTIN
Pour comprendre le néo-platonisme, il faut revenir sans cesse à la notion de chemin spirituel et ce chemin s'accomplit, selon la doctrine néo-platonicienne en deux temps distincts : L’exitus, l'émanation ou sortie et le redditus, le retour.
L'exitus correspond au premier moment de cette procession qui va de l'intelligible platonicien vers le corporel.
Le redditus correspond au retour de l'être vers l'intelligible, communion qui seule lui procure la joie : « Si grande est sa joie à laquelle elle est parvenue » (Ennéade, VI, 7(38), 34, 9-37). Une telle communion au Principe suprême, à la source originelle, représente pour Plotin, la fin du voyage.
Quand Porphyre, le disciple de Plotin, édite les traités de son maître qui ne sont jusqu'alors accessibles qu'aux disciples confirmés, il ne les présente pas selon leur ordre chronologique de parution, mais selon les étapes du progrès spirituel, 6 Ennéades :
- La première Ennéade, c’est-à-dire les 9 premiers traités, rassemble les écrits qui ont un caractère éthique
- Les deuxième et troisième Ennéades se rapportent au monde sensible et correspondent à la partie physique.
Les 4e, 5e et 6e Ennéades ont pour objet les choses divines : L’Âme, l'Intellect et l'Un .

L'Un ou le Bien (ἕν, en grec)
L'Intelligence (l'Intellect, νοῦς, en grec)
L'Âme du monde (ψυχή, en grec)  

3. La théorie de l'émanation, de l'Un vers l’Univers sensible
« Souvent je m'éveille à moi-même en m’échappant de mon corps, étranger à tout autre chose, dans l’intimité de moi-même, je vois une beauté aussi merveilleuse que possible. Je suis convaincu, surtout alors, que j’ai une destinée supérieure, mon activité est le plus haut degré de la vie, je suis uni à l’être divin, et, arrivé à cette activité, je me fixe en lui au-dessus des autres êtres intelligibles. Mais après ce repos dans l’être divin, redescendu de l’intelligence à la pensée réfléchie, je me demande comment j’opère actuellement cette descente, et comment l’âme a jamais pu venir dans les corps ... » (Ennéade. IV,8, 1)
L’Intellect
Du Un émane l’Esprit ou Intellect (Noüs). L’Intellect dérive de l’Un comme la lumière émane du Soleil, la chaleur du feu, le parfum de la fleur, par un rayonnement, un débordement de puissance, par une naturelle fécondité.
L’Intellect représente la sphère des Idées, des intelligibles ou archétypes éternels de toutes choses. Ce monde intelligible est tourné vers l’Un, mais en soi, il se différencie déjà. La pensée de l’Esprit nécessite la séparation du pensant et du pensé, et la différenciation des objets entre eux.

L’Âme
De même que la surabondance de l’Un rayonne hors de lui une énergie, de même de la plénitude de l’Intellect se produit un reflet, une imitation subalterne de l’intelligence parfaite. Cette réalité, c’est l’Âme, image de l’Intellect, énergie dérivée de lui qui lui ressemble comme la chaleur autour du feu.
C’est ce qui permet à l’Âme de produire et organiser le monde sensible, car elle ne cesse de contempler l’Intellect dont elle émane.
« D’un côté, l’Âme est rattachée à l’Intellect et par là, elle est comblée, jouit de lui, participe de lui et parvient à l’intellection, d’un autre côté, elle est en contact avec ce qui vient après elle, ou plutôt elle engendre, elle aussi, des êtres qui seront nécessairement inférieurs à l’Âme. »
 
Plotin utilise l'image du jet d'eau : Les gouttelettes jaillissent du jet d'eau, source unique, et retombent ensuite en une multitude s'éparpillant. Elles sont l'image de la chute dans la matière et nous devons nous efforcer de remonter jusqu'à l'Un. Il en va de même des rayons lumineux, tous issus d'une même source mais se diffusant pour se perdre dans l'ombre où ils meurent. Nous devons nous détourner de cette fin tragique en nous efforçant de remonter à la source de lumière. Derrière le voile, chez Plotin, comme chez Platon, se trouve ce que nous devons parvenir à contempler.
 
Dans sa Vie de Plotin, Porphyre affirme : «  (...) la fin et le but sont, pour Plotin, d'être uni au Dieu suprême et de s'approcher de lui ».
 
Porphyre précise que Plotin atteint ce but de l'union au Dieu ou principe suprême 4 fois durant les 6 années pendant lesquelles il fréquente l'école de Plotin et que lui-même y est parvenu une fois.
Il parle donc d'expériences très rares, que l'on peut qualifier de « mystiques » ou « d'unitives » : « union intime avec le Dieu qui est au-dessus de toutes choses » et « il voit le Dieu qui n'a ni forme ni essence parce qu 'il est situé par delà l’intelligence et l’intelligible ». Ces instants privilégiés se détachent sur le fond d’une activité tournée vers l’Intellect. Si elles sont rares, elles n’en donnent pas moins sa tonalité particulière au mode de vie plotinien.

4 - Le message du néo-platonisme : « Vivre selon l'esprit »
Plotin a connu l'extase d'un visionnaire qui a vu, extase qui devrait devenir un état permanent de notre moi. L'extase de Plotin n'est pas le dernier stade d'un savoir transmis tout au long d'épreuves diverses. Mais elle n'est pas non plus l'extase des grands mystiques chrétiens tels Saint François d'Assise, Saint Jean de la Croix ou Thérèse d'Avila. La philosophie de Plotin ne fait pas appel à une Révélation : C'est une philosophie mystique du dévoilement.
L'adoption d'un certain « mode de vie », que Porphyre, disciple de Plotin, conseille à ses élèves, consiste à « vivre selon l'esprit », c’est-à-dire selon la partie la plus haute de nous-mêmes. Il faut vivre soi-même en âme raisonnable, s'efforcer de penser l'âme « en la considérant à l'état pur, parce que toute addition à une chose est un obstacle à la connaissance de la chose ». De cette pensée, de cet intellect transcendant, L'âme reconnaît les traces en elle, sous la forme des principes qui lui permettent de raisonner. La réflexion philosophique conduit vers l'Intellect. Mais il y a 2 voies d'accès : Le discours philosophique et l'expérience intérieure, une connaissance de soi, comme devenant soi-même l'Intellect.

En réalité, le terme d'« hypostase » n'est introduit que tardivement par Porphyre (dans le titre de Ennéade V, 1 : Sur les 3 hypostases qui ont rang de principes) pour désigner ces trois principes fondamentaux à l'origine du monde. Si Plotin emploie bien le terme, il ne l'utilise cependant jamais dans un sens différent de son acception courante à l'époque, signifiant « existence ». L'Un, l'Intelligence et l'Âme sont les trois principes d'où découle le monde sensible, et fonctionnent comme 3 niveaux de réalité distincts.
En plus d'être constitué par 3 principes fondamentaux, comme 3 couches géologiques superposées, le monde, l'ensemble de ce qui existe, selon Plotin, obéit à une logique très spécifique. Le monde, dans son entièreté, émane de l'Un dans un mouvement logique qu'on appelle la « procession », et qui, dans son sens logique (pratiquement identique à son sens métaphysique, car la philosophie de Plotin est un idéalisme), ressemble beaucoup au concept platonicien de participation (une chose « procède » de ce dont elle participe, et inversement). La nature de l'Un, qui est le principe premier selon Plotin, est telle que de lui émane nécessairement le reste du monde.
Cependant, pour Jean-Louis Chrétien, Lloyd Gerson et d'autres philosophes, le mot émanation peut induire en erreur. En effet, il ne faut entendre par là ni un processus temporel ni la division d'une unité potentiellement complexe (car, l'Un étant absolument un et donc absolument simple, il ne peut avoir en lui nulle complexité, et s'il donne lieu au monde et à sa complexité, c'est que « le Bien donne ce qu'il n'a pas » : Il n'a rien d'autre que lui-même et ne se donne pas lui-même), l'émanation est comprise plutôt « en termes de dépendance ontologique atemporelle ». D'autres termes, comme celui de « dérivation », ont été proposés pour le remplacer.
« Pour Plotin, la matière est identifiée au mal et à la privation de toute forme ou intelligibilité ». Sur ce point, il est consciemment en opposition avec Aristote pour qui la matière n'est pas privée de toute intelligibilité. Le problème est qu'alors, le mal qui est la matière est produit par l'Un qui est le bien. C'est la thèse gnostique. Mais Plotin raisonne différemment. Le début du mal réside dans la séparation de l'Un par l'intellect. En effet, la matière, le monde sensible en général, est le dernier degré de développement de l'Un.
Elle est associée au mal et à la nécessité.
Le mal est donc pour lui ce qui est le plus privé de perfection C'est un défaut de bien.
« De manière générale, il faut poser que le mal est un défaut de bien. Il est nécessaire que se manifeste ici-bas un défaut de bien, car le bien se trouve alors en autre chose. »

Pour Plotin, le corps ne semble jamais être autre chose que la prison de l'âme. En effet, la matière, le monde sensible en général, est le dernier degré de développement de l'Un comme nous l'avons vu. Pour atteindre la sagesse, l'homme doit accorder à son âme toute l'attention, au détriment même de son corps.
Il doit se tourner vers la raison et éviter à tout prix de se laisser perturber par son environnement extérieur qui ne fait que le détourner de ce qu'il a en lui de proprement humain.
Mais cette apparente superfluité du corps résiste difficilement à une analyse plus poussée. En dépassant la première lecture, il faut se demander si Plotin encourage réellement l'homme à se débarrasser de son corps. En effet, Plotin sauve Porphyre du suicide, et il indique dans son apologie de l'amour qu'il est possible d'aimer les corps ici-bas, sans incliner vers le mal, à partir du moment où la beauté des corps est comprise comme la trace du Beau dans le monde sensible.
CLAUDE II LE GOTHIQUE
Ainsi l'Un et l'Intelligence ne sont pas perdus dans la matière, ils y sont toujours bel et bien présent, mais à un degré moindre.

Plotin affirme d'emblée que « le bonheur se trouve dans la vie », mais il faut bien se garder de penser que Plotin encourage par-là un quelconque hédonisme. Il faut comprendre la vie en un sens bien particulier : il s'agit ici de la vie conforme à l'Intelligence. Ce type de vie est seul à pouvoir offrir un réel plaisir à l'homme. L'homme, pour être heureux, doit utiliser sa volonté pour tendre vers le bien jusqu'à s'y identifier : Il doit donc se tourner non pas vers les éléments du monde sensible qui n'ont qu'un degré très limité de bonté, mais vers l'Intelligence qui est directement issue de l'Un (ou du Bien).
Le bonheur n'a rien de commun avec le corps, le monde sensible, ou la matière, en qui est présent le mal. Néanmoins, contrairement aux gnostiques, Plotin ne pense pas que le mal soit une puissance active et réelle.

Pour Plotin, « Le moi humain n'est pas irrémédiablement séparé du modèle éternel du moi tel qu'il existe dans la pensée divine », nous pouvons lors d'expériences spirituelles nous identifier à ce moi éternel. Plotin écrit
« Et, s'il faut avoir l'audace de dire avec plus de clarté… Notre âme non plus ne s'est pas enfoncée en sa totalité dans le sensible, mais il y a quelque chose d'elle qui demeure toujours dans le monde spirituel (IV 8,8,1.) »
Plotin se pose alors la question de savoir pourquoi nous utilisons si peu voire pas ces capacités supérieures. Pour lui cela vient du fait que nous n'en sommes pas conscient car la conscience est située entre « la vie silencieuse et inconsciente de notre moi en Dieu, la vie silencieuse et inconsciente du corps ».
Pour atteindre la sagesse et le bonheur, l'homme doit continuer ce mouvement introspectif, la conversion, jusqu'à retrouver en lui l'Intelligence et, au-delà d'elle, l'Un dont elle est issue.

Les Ennéades
La composition du recueil
Chronologie
Authenticité
La forme littéraire
Le style de Plotin

3. Le Texte des Ennéades, Sigles, Porphyre, La vie de Plotin et l'ordre de ses écrits Plotin, Premère Ennéade
PLOTIN ET SES DISCIPLES
I. Qu'est-ce que l'animal ? Qu'est-ce que l'homme ?
II. Des Vertus
III. De la Dialectique
IV. Du Bonheur
V. Le Bonheur s'accroît-il avec le temps ?
VI. Du Beau
VII. Du premier Bien et des autres Biens
VIII. Qu'est-ce que les maux et d'où viennent-ils ?
IX. Du suicide raisonnable



Traités 7-21: Amazon.fr: Plotin, Collectif, Luc Brisson, Jean-François ...
https://www.amazon.fr/Traités-7-21-Plotin/dp/2080711644
De 254 jusqu'à la veille de sa mort, en 270, Plotin rédige un ensemble de ... vers l'année 300 en les distribuant en cinquante-quatre traités, regroupés en six ...

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... qui se réclame de Platon et dont le fondateur est Plotin (205 - 270 après J.C.). ... Plotin, désireux de connaître la philosophie des Perses et des Hindous participe à ... à Antioche puis à Rome où il enseigne pendant de nombreuses années.

Orientations maîtresses des apologistes chrétiens de 270 à 361
https://books.google.fr/books?isbn=8876520392
Joseph-Rhéal Laurin - 1954 - ‎Religion
Plotin y raffermit, sans doute, certaines parentés spirituelles avec les ... Dès l'année 245, en effet, il enseigne à ses disciples de Rome que l'âme est liée à des ... Toute sa conception philosophique du cosmos dans lequel se hiérarchisent les ...

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