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JUILLET 2016...
Cette
page concerne l'année 279 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
DES
PEUPLES QUI ONT ÉTÉ IMPORTANT AUJOURD'HUI DISPARUS.
Les
Bastarnes (en grec ancien : Βαστάρναι
ou Βαστέρναι) sont une confédération de peuples
Celto-Germains (Tite-Live les apparente aux Scordisques) et daciques
(Carpes, Costoboces, Tyrgètes) signalés vers le IIe siècle av.
J.-C. sur les bouches du Danube, et aussi entre les Carpates
Orientales et le Dniestr (ce qui correspond aujourd'hui à la
Moldavie et à l'Ouest de l'Ukraine Méridionale).
Leurs
déplacements sont surtout pédestres, ce qui les distingue des
cavaliers caracolant sur de longues distances dans la steppe
Pontique. Encore mentionnés au IIe siècle de notre ère, ils
disparaissent absorbés par d'autres peuples.
Un
peuple Germanique de cette confédération et appelé Peucins par les
auteurs Gréco-Romains, a occupé la région située au nord du delta
du Danube (alors appelé Peucé).
Souvent
donné comme un peuple Celtique, les Scordisques sont en fait une
confédération de peuples Illyriens, Pannoniens et Celtes.
Cette
confédération se forme suite à l'échec de l'expédition sur
Delphes, avec une partie des effectifs de l'opération, aux
détriments des Triballes qui sont en partie délogés.
Les
auteurs antiques nous parlent de leur coutume de boire dans des
crânes humains.
Appien
en fait les descendants d'un légendaire Scordiscos, établi entre
les monts Sar Plan (Scordus) et le Danube, entre la Drave et la Save
à partir du IIIe Siècle av J.-C.
Leur
principale agglomération est Singidunum (Belgrade), à côté de
laquelle sont citées Heorta et Capedunum.
A
partir du IIe av JC, ils se scindent en deux : Les petits Scordisques
occupent le Nord de la Bulgarie. les grands Scordisques quant à eux
restent en Serbie. Ils sont séparés par les « portes de
fer ».
« Dans
les parties Orientales (de la Basse-Pannonie), les peuples les plus
au nord sont les Arabisques, et plus au midi, les Scordisques. »
Strabon,
Géographie, VII, 3,2 : « [...] Et qu'aujourd'hui encore l'on
trouve ces peuples, avec des tribus Bastarniques, mêlés aux
Thraces, plus à vrai dire aux Thraces de la rive ultérieure de
l'Ister, mais pourtant aussi à ceux de la rive citérieure, lesquels
sont mélangés en outre de populations Celtiques, telles que les
Boïens, les Scordisques et les Taurisques. »
Strabon,
Géographie, VII, 5, 2:. « La nation des Scordisques est
répandue le long de l'Ister et se trouve partagée en deux
fractions, les Grands et les Petits Scordisques. Les premiers sont
compris entre deux affluents de l'Ister, le Noare, qui passe à
Segestica, et le Margus, ou, comme on dit quelquefois le Bargus, les
autres habitent au delà de cette dernière rivière et confinent aux
Triballes et aux Mysiens.
Les
Scordisques occupent déjà à l'origine quelques-unes des îles [de
l'Ister], mais, leur puissance s'étant avec le temps
considérablement accrue, ils se sont avancés jusqu'aux montagnes de
l'Illyrie, de la Paeonie et de la Thrace et ont achevé d'occuper la
plupart des îles de l'Ister. Leurs principales villes sont Heorta et
Capedunum. »
TIPIZA |
Bathanattos
est leur plus célèbre monarque. Compagnon de Brennos lors de
l'expédition sur Delphes, en 279 avant J.-C., il s'installe avec une
partie des survivant dans la région du mont Scordus en Illyrie, et
fonde, selon Athénée, la confédération des Scordisques... Ce
récit est confirmé par Justin.
Athénée,
Les Deipnosophistes, VI, 234: « Ce n'est pas facile pour un
simple mortel de regarder comme quelque chose de peu de valeur l'or
qui a été dédié au dieu et consacré comme ornement et possession
du peuple. Selon les Celtes,
la
tribu nommé Scordisques, bien qu'ils s'abstiennent d'importer de
l'or dans leur propre pays, néanmoins ne négligent pas l'argent
quand ils attaquent et pillent les pays d'autres peuples.
Cette
tribu est un reste des Celtes qui ont attaqué l'oracle de Delphes
sous la direction de Brennus, mais un chef nommé Bathanattus revient
en arrière vers les régions avoisinant le Danube, de lui aussi la
route par laquelle ils ont fait retraite s'appelle Bathanattia, et
ils ont appelé ses descendants les Bathanatti, depuis ce jour...
Ils
évitent aussi l'or et ne l'apporte pas dans leurs villes, parce que
à travers lui ils ont subi de terribles épreuves, mais ils
utilisent l'argent, et par amour pour cette matière ils commettent
de terribles actes. »
Justin,
Histoire abrégée, XXII, 5 « Il a engagé dans son parti les
Gaulois Scordisques, et sans sa mort les Romains auraient eu à
soutenir une guerre périlleuse.
Les
Gaulois, après leur funeste expédition contre Delphes, où ils ont
éprouvé le pouvoir des dieux plutôt que la force des ennemis,
privés de Brennus leur chef, et se voyant sans patrie, ils se sont
réfugiés, les uns dans la Thrace, les autres en Asie. Un de leurs
corps s'établit au confluent du Danube et de la Save, et prend le
nom de Scordisque. »
Appien,
Illyrique, II: « On dit que le pays doit son nom à Illyrios,
fils de Polyphème, le Cyclope et Galatée ont pour fils Celtos,
Illyrios et Galas qui partent de la Sicile, et qui sont la souche des
peuples appelés à cause d'eux Celtes, Illyriens et Galates...
Illyrios
eut entre autres enfants Autariée, d'où sortent les Autariens.
Autariée, à ce qu'on croit, engendre Pannonios ou Paon.
Paon
engendre Scordiscos et Triballos »
En
175 avant J.-C. Ils sont cités par Tite-Live comme ayant aidé les
Basternes, qui viennent d'envahir le territoire des Dardaniens. A
l'approche de l'hiver ils retournent chez eux, laissant les Basternes
seuls.
Tite
Live, Histoire Romaine, XLI, 19 : « Les Dardaniens voyant
que les Bastarnes, bien loin d'évacuer leur pays, comme ils l'ont
espéré, leur font tous les jours plus de mal, avec l'aide des
Thraces leurs voisins et des Scordisques, croient devoir tenter un
coup de main, même téméraire, et se réunissent de toutes parts en
armes près d'une ville qui avoisine le camp des Bastarnes. C'est
l'hiver, et ils ont choisi cette époque de l'année, parce qu'alors
les Thraces et les Scordisques rentrent chez eux. »
Les
sources nous apprennent qu'entre le milieu de IIe s. av. J.-C., les
Scordisques sont opposés aux Romains dans de multiples conflits. Le
plus ancien semble-t-il, raconté par Julius Obsequens, voit Rome les
vaincre sous le consulat de L. Lentulus et Q. Martius, soit en 156
av. J.-C.
DOBRETA |
Un
nouveau conflit intervient en 135 av. J.-C. et voit la victoire du
préteur Coscionius sur les Scordisques.
Julius
Obsequens, livre des prodiges : « Sous les consuls L.
Lentulus et Q. Martius [An de Rome 598]. Au Capitole, une tempête
violente ravage le temple de Jupiter et ce qui l'entoure. La
couverture du grand pont est renversée dans le Tibre, ainsi que ses
colonnes.
Dans
le cirque Flaminien, le portique qui se trouve entre le temple de
Junon la Reine et celui de la Fortune, est frappé de la foudre, qui
fracasse la plupart des édifices situés aux environs. Dans cette
circonstance, un taureau, que l'on conduit pour être immolé, tombe
en chemin... On défait les Dalmates Scordisques. »
Tite-Live,
Periochae, LVI : « En Thrace, le préteur M. Cosconius
défait les Scordisques »
Strabon
nous apprend qu'à une date inconnue, probablement comprise entre 120
et 113 av. J.-C., les Boïens repoussent les Cimbres sur les
Scordisques, qui eux les repoussent (ou les laissent passer ?) vers
leurs voisins Taurisques.
Strabon,
Géographie, VII, 2, 2 : « Il ajoute que les Boïens,
possesseurs autrefois de la forêt Hercynienne, s'y voient attaquer
par les Cimbres, mais les repoussent, et que ceux-ci descendent alors
vers l'Ister et le pays des Scordisques, peuple d'origine Galatique
ou Gauloise, pour passer ensuite chez les Teuristes ou Taurisques,
autre peuple Gaulois. »
Profitant
des troubles provoquées par les invasions Cimbres et Teutones en
Europe Centrale, les Romains lancent une nouvelle série d'attaques
contre les Scordisques. Ils anéantissent lors d'une embuscade
Lucullus, le commandant de la garnison d'Héracléa et ses hommes,
puis l'armée de Caton en 114 av. J.-C., sont mis en fuite par Didius
et vaincus par Marcus Livius Drusus en 112 av. J.-C.
Frontin,
Stratagèmes, III, : « Comme Lucullus est en garnison dans
Héraclée, la cavalerie des Scordisques se présente pour enlever
des troupeaux, ensuite elle feint de prendre la fuite, attire
Lucullus dans une embuscade, et il y périt avec 800 des siens. »
Florus,
Histoire Romaine, III, : « Les plus cruels de tous les Thraces
sont les Scordisques. Ils allient la ruse à la vigueur, et la
disposition de leurs forêts et de leurs montagnes convient bien à
leur naturel.
De
là vient que non seulement ils battent ou mettent en fuite, mais,
chose prodigieuse, ils anéantissent toute l'armée que Caton a
conduite contre eux... Didius les ayant trouvés en désordre et
dispersés afin de piller en toute liberté, les refoule dans leur
pays de Thrace.
Drusus
les repousse plus loin encore et leur interdit le passage du
Danube. »
Tite-Live,
Periochae, LXIII « En Thrace, mauvais succès du consul Porcius
Caton contre les Scordisques. »
Tite-Live,
Periochae, LXIII : En Thrace, le consul Livius Drusus remporte
une victoire sur les Scordisques, peuple originaire de la Gaule. »
Dion
Cassius, Histoire Romaine, II, 263 « An de Rome 642. Cette
expédition (contre les Scordisques) est par elle-même honorable
pour L. Drusus : comparée à la défaite de Caton et rehaussée par
l'excessive douceur de Drusus envers ses soldats, elle paraît
au-dessus de ce qu'elle est réellement, et lui procure plus de
gloire que n'en mérite un tel succès.
Scipion
vainc les Scordisques vers 85 av. J.-C. et les contraint à
s'installer sur les bords du Danube.
Appien,
Illyrica, : « [On ajoute] que Scipion anéantit les
Scordisques, et que le peu qu'il en reste s'enfuit et va s'établir
sur les bords de l'Ister et dans les îles de ce fleuve... »
Ammien
Marcellin dans le vingt-septième livre de ses histoires, les évoque
en les décrivant comme ayant été un peuple barbare et
sanguinaire, pratiquant des sacrifices humains.
Ammien
Marcellin, Histoires, XXVII, : « La Thrace, comme l'a dit
Homère, est un pays de vastes plaines et de hautes montagnes : Le
poète immortel en a fait la patrie de l'Aquilon et du Zéphyr.
C'est
une fiction, ou, de son temps, on comprend sous la désignation de
Thrace une étendue de pays bien plus considérable, habitée par de
sauvages nations. Le territoire des Scordisques notamment en fait
partie, et il se rattache de nos jours à une province qui en est
fort éloignée.
Nos
annales nous apprennent quelle est la brutale férocité de cette
race, qui sacrifie ses prisonniers à Mars et à Bellone, et boit
avec délices du sang dans des crânes humains.
Rome,
dans les guerres qu'elle a eu contre eux, a essuyé de fréquents
échecs, et, en dernier lieu, une armée entière y a péri avec son
chef. »
Les
Basternes, peuple de la Thrace, ou de la Sarmatie d’Europe. Les
Grecs les appellent Basternes, et les Latins Basternæ, de même
qu’ils disent Alemanni, & les Grecs Ἀλάμαννοι....
Voir M. Du Cange. M. de Harlay dans son Tacite, M. de Tillemont, et
quelques autres de nos Auteurs, écrivent Bastarnes, imitant les
Grecs plutôt que les Latins, mais M. de Tillemont au IVe Tome de
l’Histoire des Empires p. 41, revient aux Latins, et écrit
Basternes, et au Ve Tome Bastarnes ou Basternes. En 279 l'empereur
Probus les raccompagne en Thrace où ils s'installent sur les rives
du Danube et de certains de ses affluents,
On
commence à se convaincre aujourd'hui que les questions
d'anthropologie,
d'ethnologie
et de linguistique ne sont pas du domaine exclusif de la
spéculation
ou du dilettantisme scientifique, mais que l'étude approfondie en
est indispensable à l'homme d’État vraiment digne de ce nom.
Lorsqu'il
s'agit de s'occuper des réformes législatives, administratives et
économiques
à introduire dans un pays, il est impossible de nier l'énorme
supériorité
de ceux qui, dans la discussion, tiennent compte de la différence
des races, de leurs qualités et de leurs défauts respectifs, de
leur passé, de
leur
présent, et de l'avenir que ce passé et ce présent peuvent leur
faire
présager,
sur ceux qui, naïvement ou de parti pris, mesurent tous les êtres
humains,
à une même aune, et croient, à l'instar de Polichinelle, que tout
le
monde
est fait comme leur famille.
[république
Française du 18 août 1875].
Nous
avouons que l'homogénéité et la cohésion ne règnent pas dans les
différentes
parties de notre travail, mais nous nous flattons de croire que le
lecteur
nous excusera, s'il veut bien considérer que les documents et les
sources
où nous avons puisé nos renseignements sont nombreux, épars,
disparates,
souvent incertains ou contradictoires. Pour bien des sujets
(production,
exportation, importation, population, etc.), nous avons dû scruter,
LIPOVEAN |
comparer,
déduire, distribuer, répartir à nouveau, combiner les chiffres
fournis par différentes sources.
Le
travail a été plus ardus et des plus ingrats. Nous pensons en avoir
assez dit
pour
prouver au lecteur bienveillant que nous avons droit à son
indulgence.
Dans
un court mémoire présenté à l'Assemblée des naturalistes du
Muséum, en janvier il a été cherché à établir que les types
crâniens, qualifiés naguère de
Bulgare
pur et de Bulgare mêlé de Slave par Isidor Koperniçki ne peuvent
point
appartenir
aux types auxquelles cet anthropologue les a attribués, puisque l'un
et
l'autre ont été récemment retrouvés dans une nécropole
antérieure de
plusieurs
siècles aux invasions qui ont amené les Bulgares et les Slaves dans
la
péninsule
Balkanique. Les derniers documents appuyés sur cette petite
démonstration proviennent des fouilles dirigées par M. Seure, de
l’École
d'Athènes,
dans le grand tumulus de Doukhova-Maghilâ, dans le Rhodope et
datent
du règne de Licinius (empereur 308/325)), dont une monnaie a été
trouvée
dans une des sépultures. M. Seure a envoyé 2 crânes de
Doukhova-Maghilâ,
tous 2 assez bien conservés, l'un mésaticéphale (Anthropologie) Se
dit d’un crâne intermédiaire entre le crâne dolichocéphale et
le crâne brachycéphale. On trouve des crânes mésaticéphales dans
le peuple des Zandés, vivant entre le Nil
et le Congo, et l'autre brachycéphale, [En parlant d'un homme, d'un
animal] Dont le crâne est peu allongé et de forme ovoïde,
véritables prototypes des séries de Koperniçki.
Voici
d'autres têtes, plus anciennes et qui rentrent toutes deux dans le
type
mésaticéphale
Terme d'anthropologie. Crâne mésaticéphale, crâne intermédiaire
entre le crâne dolichocéphale et le crâne brachycéphale, de
Doukhova.
Ce
seraient des crânes Bulgares vrais pour le regretté naturaliste de
Cracovie,
seulement ils remontent l'un au règne du grand Constantin, et
l'autre
bien
plus haut encore.
La
première de ces nouvelles pièces est un crâne de femme à peu près
complet,
découvert
par M. le consul Degrand dans une tombe de Philippopolis qui
contenait,
entre autres antiquités, une collection de plusieurs centaines de
monnaies
frappées au nom du premier Constantin. C'est le crâne d'une femme,
encore
jeune (la suture sphéno-basilaire est restée toute ouverte, et les
dents
de
sagesse sont en voie d'éruption). Les os sont fins et délicats et
les détails
d'insertion
s'y montrent peu accusés, la glabelle est adoucie et la saillie des
bosses
frontales fort apparente.
La
confection des tombes à cette époque lointaine, écrit le 8
septembre M.
Degrand,
montre que les habitants de cette région paraissent avoir eu
l'habitude de
brûler
leurs morts et que, sur les résidus du bûcher, ils façonnent en
pisé
grossier
une enveloppe qu'ils font cuire ensuite, afin de lui donner un peu de
consistance
avant de la recouvrir de terre.
C'est
la première fois, depuis deux années, qu'on s'occupe de ces
recherches,
pendant
lesquelles a été mis à jour, ouvert et étudié une importante
série de
tombes,
où il arrive de rencontrer un débris humain aussi complet et
pouvant,
permettre
de se faire une idée du type d'individus qui habitent alors cette
contrée.
Le
débris en question qui sont parvenu peu après la lettre porte du
reste, aucune trace de crémation, n'est malheureusement pas aussi
complet que le
faisait
espérer la lettre de M. Degrand. Il a permis toutefois de
reconstituer la pièce
En
résumé, les deux découvertes faites coup sur coup par M. Degrand à
Philippopolis,
au cours de sa dernière campagne de fouilles, s'ajoutent à celles
de
M. Seure à Doukhova-Maghila pour prouver l'ancienneté relative du
type
ethnique
que Koperniçki a cru devoir considérer comme Bulgare. Ce n'est plus
seulement
sous le règne de Licinius que l'on peut constater sa présence dans
cette
partie de la chaîne Balkanique, c'est bien au delà que son
existence est
démontrée,
dans une nécropole Barbare, dont la date demeure indéterminée
sans
doute, mais où les tombes, d'une construction très spéciale, sont
toutes
entourées
de restes antiques qui remontent pour une large part à l'époque
néolithique.
Le
pseudo Bulgare de Koperniçki vivait donc déjà aux environs de
Philippopolis à
l'aurore
un peu tardive des temps historiques dans la vallée de la Maritza.
LES PORTES DE FER |
Espérons
que les découvertes archéologiques de M. Degrand, qui sont à
l'étude,
au
musée du Louvre, aideront à préciser ces origines...
Actuellement
l'équipe de football de la république Tchèque se nomme le
Blasterne
Scordisques
- 746 - L'encyclopédie - L'Arbre Celtique
www.arbre-celtique.com/encyclopedie/scordisques-746.htm
Compagnon
de Brennos lors de l'expédition sur Delphes, en 279 avant J.-C., ...
comme ayant aidé les Basternes, qui venaient d'envahir le territoire
des Dardaniens. ... C'était l'hiver, et ils avaient choisi cette
époque de l'année, parce qu'alors ...
T8
- L'Histoire antique des pays et des hommes de la Méditerranée
www.mediterranee-antique.fr/Fichiers_PdF/ABC/Crevier/Empereurs_8.pdf
de
JB CREVIER - Cité 2 fois - Autres articles
Ce
fut cette même année ou la suivante que Gordien épousa pour son
...... Basternes, peuple scythique dont il est fait mention dans
l'histoire romaine dès le.
F]BULLETIN
V09 DU MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE DE PARIS.pdf
https://www.googledrive.com/.../BULLETIN%20V09%20DU%20MUSEUM%20D'HIST...
«lu
Muséum pour l'année 190.3-, de M. Edmond Perrier comme pro- fesseur
d'Anatomie ...... luisantes en bas , ternes eu haut, à réseau de
...... 279. — Note relative aux Diptèresdes cavernes. 280. A.
Drzewiaa (M"e. ). Sur les Àlaslzellen du
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