lundi 15 août 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 279

31 JUILLET 2016...

Cette page concerne l'année 279 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

DES PEUPLES QUI ONT ÉTÉ IMPORTANT AUJOURD'HUI DISPARUS.

Les Bastarnes (en grec ancien : Βαστάρναι ou Βαστέρναι) sont une confédération de peuples Celto-Germains (Tite-Live les apparente aux Scordisques) et daciques (Carpes, Costoboces, Tyrgètes) signalés vers le IIe siècle av. J.-C. sur les bouches du Danube, et aussi entre les Carpates Orientales et le Dniestr (ce qui correspond aujourd'hui à la Moldavie et à l'Ouest de l'Ukraine Méridionale).
Leurs déplacements sont surtout pédestres, ce qui les distingue des cavaliers caracolant sur de longues distances dans la steppe Pontique. Encore mentionnés au IIe siècle de notre ère, ils disparaissent absorbés par d'autres peuples.
Un peuple Germanique de cette confédération et appelé Peucins par les auteurs Gréco-Romains, a occupé la région située au nord du delta du Danube (alors appelé Peucé).

Souvent donné comme un peuple Celtique, les Scordisques sont en fait une confédération de peuples Illyriens, Pannoniens et Celtes.
Cette confédération se forme suite à l'échec de l'expédition sur Delphes, avec une partie des effectifs de l'opération, aux détriments des Triballes qui sont en partie délogés.
Les auteurs antiques nous parlent de leur coutume de boire dans des crânes humains.
Appien en fait les descendants d'un légendaire Scordiscos, établi entre les monts Sar Plan (Scordus) et le Danube, entre la Drave et la Save à partir du IIIe Siècle av J.-C.
Leur principale agglomération est Singidunum (Belgrade), à côté de laquelle sont citées Heorta et Capedunum.
A partir du IIe av JC, ils se scindent en deux : Les petits Scordisques occupent le Nord de la Bulgarie. les grands Scordisques quant à eux restent en Serbie. Ils sont séparés par les « portes de fer ».
« Dans les parties Orientales (de la Basse-Pannonie), les peuples les plus au nord sont les Arabisques, et plus au midi, les Scordisques. »

Strabon, Géographie, VII, 3,2 : « [...] Et qu'aujourd'hui encore l'on trouve ces peuples, avec des tribus Bastarniques, mêlés aux Thraces, plus à vrai dire aux Thraces de la rive ultérieure de l'Ister, mais pourtant aussi à ceux de la rive citérieure, lesquels sont mélangés en outre de populations Celtiques, telles que les Boïens, les Scordisques et les Taurisques. »

Strabon, Géographie, VII, 5, 2:. «  La nation des Scordisques est répandue le long de l'Ister et se trouve partagée en deux fractions, les Grands et les Petits Scordisques. Les premiers sont compris entre deux affluents de l'Ister, le Noare, qui passe à Segestica, et le Margus, ou, comme on dit quelquefois le Bargus, les autres habitent au delà de cette dernière rivière et confinent aux Triballes et aux Mysiens.
Les Scordisques occupent déjà à l'origine quelques-unes des îles [de l'Ister], mais, leur puissance s'étant avec le temps considérablement accrue, ils se sont avancés jusqu'aux montagnes de l'Illyrie, de la Paeonie et de la Thrace et ont achevé d'occuper la plupart des îles de l'Ister. Leurs principales villes sont Heorta et Capedunum. »
TIPIZA
Bathanattos est leur plus célèbre monarque. Compagnon de Brennos lors de l'expédition sur Delphes, en 279 avant J.-C., il s'installe avec une partie des survivant dans la région du mont Scordus en Illyrie, et fonde, selon Athénée, la confédération des Scordisques... Ce récit est confirmé par Justin.
Athénée, Les Deipnosophistes, VI, 234: « Ce n'est pas facile pour un simple mortel de regarder comme quelque chose de peu de valeur l'or qui a été dédié au dieu et consacré comme ornement et possession du peuple. Selon les Celtes,
la tribu nommé Scordisques, bien qu'ils s'abstiennent d'importer de l'or dans leur propre pays, néanmoins ne négligent pas l'argent quand ils attaquent et pillent les pays d'autres peuples.
Cette tribu est un reste des Celtes qui ont attaqué l'oracle de Delphes sous la direction de Brennus, mais un chef nommé Bathanattus revient en arrière vers les régions avoisinant le Danube, de lui aussi la route par laquelle ils ont fait retraite s'appelle Bathanattia, et ils ont appelé ses descendants les Bathanatti, depuis ce jour...
Ils évitent aussi l'or et ne l'apporte pas dans leurs villes, parce que à travers lui ils ont subi de terribles épreuves, mais ils utilisent l'argent, et par amour pour cette matière ils commettent de terribles actes. »

Justin, Histoire abrégée, XXII, 5 «  Il a engagé dans son parti les Gaulois Scordisques, et sans sa mort les Romains auraient eu à soutenir une guerre périlleuse.
Les Gaulois, après leur funeste expédition contre Delphes, où ils ont éprouvé le pouvoir des dieux plutôt que la force des ennemis, privés de Brennus leur chef, et se voyant sans patrie, ils se sont réfugiés, les uns dans la Thrace, les autres en Asie. Un de leurs corps s'établit au confluent du Danube et de la Save, et prend le nom de Scordisque. »

Appien, Illyrique, II: « On dit que le pays doit son nom à Illyrios, fils de Polyphème, le Cyclope et Galatée ont pour fils Celtos, Illyrios et Galas qui partent de la Sicile, et qui sont la souche des peuples appelés à cause d'eux Celtes, Illyriens et Galates...
Illyrios eut entre autres enfants Autariée, d'où sortent les Autariens. Autariée, à ce qu'on croit, engendre Pannonios ou Paon.
Paon engendre Scordiscos et Triballos »

En 175 avant J.-C. Ils sont cités par Tite-Live comme ayant aidé les Basternes, qui viennent d'envahir le territoire des Dardaniens. A l'approche de l'hiver ils retournent chez eux, laissant les Basternes seuls.

Tite Live, Histoire Romaine, XLI, 19 : « Les Dardaniens voyant que les Bastarnes, bien loin d'évacuer leur pays, comme ils l'ont espéré, leur font tous les jours plus de mal, avec l'aide des Thraces leurs voisins et des Scordisques, croient devoir tenter un coup de main, même téméraire, et se réunissent de toutes parts en armes près d'une ville qui avoisine le camp des Bastarnes. C'est l'hiver, et ils ont choisi cette époque de l'année, parce qu'alors les Thraces et les Scordisques rentrent chez eux. »
Les sources nous apprennent qu'entre le milieu de IIe s. av. J.-C., les Scordisques sont opposés aux Romains dans de multiples conflits. Le plus ancien semble-t-il, raconté par Julius Obsequens, voit Rome les vaincre sous le consulat de L. Lentulus et Q. Martius, soit en 156 av. J.-C.
DOBRETA
Un nouveau conflit intervient en 135 av. J.-C. et voit la victoire du préteur Coscionius sur les Scordisques.

Julius Obsequens, livre des prodiges : « Sous les consuls L. Lentulus et Q. Martius [An de Rome 598]. Au Capitole, une tempête violente ravage le temple de Jupiter et ce qui l'entoure. La couverture du grand pont est renversée dans le Tibre, ainsi que ses colonnes.
Dans le cirque Flaminien, le portique qui se trouve entre le temple de Junon la Reine et celui de la Fortune, est frappé de la foudre, qui fracasse la plupart des édifices situés aux environs. Dans cette circonstance, un taureau, que l'on conduit pour être immolé, tombe en chemin... On défait les Dalmates Scordisques. »

Tite-Live, Periochae, LVI : « En Thrace, le préteur M. Cosconius défait les Scordisques »
Strabon nous apprend qu'à une date inconnue, probablement comprise entre 120 et 113 av. J.-C., les Boïens repoussent les Cimbres sur les Scordisques, qui eux les repoussent (ou les laissent passer ?) vers leurs voisins Taurisques.

Strabon, Géographie, VII, 2, 2 : « Il ajoute que les Boïens, possesseurs autrefois de la forêt Hercynienne, s'y voient attaquer par les Cimbres, mais les repoussent, et que ceux-ci descendent alors vers l'Ister et le pays des Scordisques, peuple d'origine Galatique ou Gauloise, pour passer ensuite chez les Teuristes ou Taurisques, autre peuple Gaulois. »

Profitant des troubles provoquées par les invasions Cimbres et Teutones en Europe Centrale, les Romains lancent une nouvelle série d'attaques contre les Scordisques. Ils anéantissent lors d'une embuscade Lucullus, le commandant de la garnison d'Héracléa et ses hommes, puis l'armée de Caton en 114 av. J.-C., sont mis en fuite par Didius et vaincus par Marcus Livius Drusus en 112 av. J.-C.

Frontin, Stratagèmes, III, : « Comme Lucullus est en garnison dans Héraclée, la cavalerie des Scordisques se présente pour enlever des troupeaux, ensuite elle feint de prendre la fuite, attire Lucullus dans une embuscade, et il y périt avec 800 des siens. »

Florus, Histoire Romaine, III, : « Les plus cruels de tous les Thraces sont les Scordisques. Ils allient la ruse à la vigueur, et la disposition de leurs forêts et de leurs montagnes convient bien à leur naturel.
De là vient que non seulement ils battent ou mettent en fuite, mais, chose prodigieuse, ils anéantissent toute l'armée que Caton a conduite contre eux... Didius les ayant trouvés en désordre et dispersés afin de piller en toute liberté, les refoule dans leur pays de Thrace.
Drusus les repousse plus loin encore et leur interdit le passage du Danube. »

Tite-Live, Periochae, LXIII « En Thrace, mauvais succès du consul Porcius Caton contre les Scordisques. »

Tite-Live, Periochae, LXIII : En Thrace, le consul Livius Drusus remporte une victoire sur les Scordisques, peuple originaire de la Gaule. »

Dion Cassius, Histoire Romaine, II, 263 « An de Rome 642. Cette expédition (contre les Scordisques) est par elle-même honorable pour L. Drusus : comparée à la défaite de Caton et rehaussée par l'excessive douceur de Drusus envers ses soldats, elle paraît au-dessus de ce qu'elle est réellement, et lui procure plus de gloire que n'en mérite un tel succès.

Scipion vainc les Scordisques vers 85 av. J.-C. et les contraint à s'installer sur les bords du Danube.
Appien, Illyrica, : « [On ajoute] que Scipion anéantit les Scordisques, et que le peu qu'il en reste s'enfuit et va s'établir sur les bords de l'Ister et dans les îles de ce fleuve... »
Ils sont une nouvelle fois vaincus par Tibère et leur territoire annexé par l'Empire.

Ammien Marcellin dans le vingt-septième livre de ses histoires, les évoque en les décrivant comme ayant été un peuple barbare et sanguinaire, pratiquant des sacrifices humains.

Ammien Marcellin, Histoires, XXVII, : « La Thrace, comme l'a dit Homère, est un pays de vastes plaines et de hautes montagnes : Le poète immortel en a fait la patrie de l'Aquilon et du Zéphyr.
C'est une fiction, ou, de son temps, on comprend sous la désignation de Thrace une étendue de pays bien plus considérable, habitée par de sauvages nations. Le territoire des Scordisques notamment en fait partie, et il se rattache de nos jours à une province qui en est fort éloignée.

Nos annales nous apprennent quelle est la brutale férocité de cette race, qui sacrifie ses prisonniers à Mars et à Bellone, et boit avec délices du sang dans des crânes humains.
Rome, dans les guerres qu'elle a eu contre eux, a essuyé de fréquents échecs, et, en dernier lieu, une armée entière y a péri avec son chef. »

Les Basternes, peuple de la Thrace, ou de la Sarmatie d’Europe. Les Grecs les appellent Basternes, et les Latins Basternæ, de même qu’ils disent Alemanni, & les Grecs Ἀλάμαννοι.... Voir M. Du Cange. M. de Harlay dans son Tacite, M. de Tillemont, et quelques autres de nos Auteurs, écrivent Bastarnes, imitant les Grecs plutôt que les Latins, mais M. de Tillemont au IVe Tome de l’Histoire des Empires p. 41, revient aux Latins, et écrit Basternes, et au Ve Tome Bastarnes ou Basternes. En 279 l'empereur Probus les raccompagne en Thrace où ils s'installent sur les rives du Danube et de certains de ses affluents,

On commence à se convaincre aujourd'hui que les questions d'anthropologie,
d'ethnologie et de linguistique ne sont pas du domaine exclusif de la
spéculation ou du dilettantisme scientifique, mais que l'étude approfondie en est indispensable à l'homme d’État vraiment digne de ce nom.
Lorsqu'il s'agit de s'occuper des réformes législatives, administratives et
économiques à introduire dans un pays, il est impossible de nier l'énorme
supériorité de ceux qui, dans la discussion, tiennent compte de la différence des races, de leurs qualités et de leurs défauts respectifs, de leur passé, de
leur présent, et de l'avenir que ce passé et ce présent peuvent leur faire
présager, sur ceux qui, naïvement ou de parti pris, mesurent tous les êtres
humains, à une même aune, et croient, à l'instar de Polichinelle, que tout le
monde est fait comme leur famille.
[république Française du 18 août 1875].

Nous avouons que l'homogénéité et la cohésion ne règnent pas dans les
différentes parties de notre travail, mais nous nous flattons de croire que le
lecteur nous excusera, s'il veut bien considérer que les documents et les
sources où nous avons puisé nos renseignements sont nombreux, épars,
disparates, souvent incertains ou contradictoires. Pour bien des sujets
(production, exportation, importation, population, etc.), nous avons dû scruter,
LIPOVEAN
comparer, déduire, distribuer, répartir à nouveau, combiner les chiffres fournis par différentes sources.
Le travail a été plus ardus et des plus ingrats. Nous pensons en avoir assez dit
pour prouver au lecteur bienveillant que nous avons droit à son indulgence.

Dans un court mémoire présenté à l'Assemblée des naturalistes du Muséum, en janvier il a été cherché à établir que les types crâniens, qualifiés naguère de
Bulgare pur et de Bulgare mêlé de Slave par Isidor Koperniçki ne peuvent point
appartenir aux types auxquelles cet anthropologue les a attribués, puisque l'un
et l'autre ont été récemment retrouvés dans une nécropole antérieure de
plusieurs siècles aux invasions qui ont amené les Bulgares et les Slaves dans la
péninsule Balkanique. Les derniers documents appuyés sur cette petite démonstration proviennent des fouilles dirigées par M. Seure, de l’École
d'Athènes, dans le grand tumulus de Doukhova-Maghilâ, dans le Rhodope et
datent du règne de Licinius (empereur 308/325)), dont une monnaie a été
trouvée dans une des sépultures. M. Seure a envoyé 2 crânes de
Doukhova-Maghilâ, tous 2 assez bien conservés, l'un mésaticéphale (Anthropologie) Se dit d’un crâne intermédiaire entre le crâne dolichocéphale et le crâne brachycéphale. On trouve des crânes mésaticéphales dans le peuple des Zandés, vivant entre le Nil et le Congo, et l'autre brachycéphale, [En parlant d'un homme, d'un animal] Dont le crâne est peu allongé et de forme ovoïde, véritables prototypes des séries de Koperniçki.
Voici d'autres têtes, plus anciennes et qui rentrent toutes deux dans le type
mésaticéphale Terme d'anthropologie. Crâne mésaticéphale, crâne intermédiaire entre le crâne dolichocéphale et le crâne brachycéphale, de
Doukhova.
Ce seraient des crânes Bulgares vrais pour le regretté naturaliste de
Cracovie, seulement ils remontent l'un au règne du grand Constantin, et l'autre
bien plus haut encore.

La première de ces nouvelles pièces est un crâne de femme à peu près complet,
découvert par M. le consul Degrand dans une tombe de Philippopolis qui
contenait, entre autres antiquités, une collection de plusieurs centaines de
monnaies frappées au nom du premier Constantin. C'est le crâne d'une femme,
encore jeune (la suture sphéno-basilaire est restée toute ouverte, et les dents
de sagesse sont en voie d'éruption). Les os sont fins et délicats et les détails
d'insertion s'y montrent peu accusés, la glabelle est adoucie et la saillie des
bosses frontales fort apparente.

La confection des tombes à cette époque lointaine, écrit le 8 septembre M.
Degrand, montre que les habitants de cette région paraissent avoir eu l'habitude de
brûler leurs morts et que, sur les résidus du bûcher, ils façonnent en pisé
grossier une enveloppe qu'ils font cuire ensuite, afin de lui donner un peu de
consistance avant de la recouvrir de terre.
C'est la première fois, depuis deux années, qu'on s'occupe de ces recherches,
pendant lesquelles a été mis à jour, ouvert et étudié une importante série de
tombes, où il arrive de rencontrer un débris humain aussi complet et pouvant,
permettre de se faire une idée du type d'individus qui habitent alors cette
contrée.
Le débris en question qui sont parvenu peu après la lettre porte du reste, aucune trace de crémation, n'est malheureusement pas aussi complet que le
faisait espérer la lettre de M. Degrand. Il a permis toutefois de reconstituer la pièce

En résumé, les deux découvertes faites coup sur coup par M. Degrand à
Philippopolis, au cours de sa dernière campagne de fouilles, s'ajoutent à celles
de M. Seure à Doukhova-Maghila pour prouver l'ancienneté relative du type
ethnique que Koperniçki a cru devoir considérer comme Bulgare. Ce n'est plus
seulement sous le règne de Licinius que l'on peut constater sa présence dans
cette partie de la chaîne Balkanique, c'est bien au delà que son existence est
démontrée, dans une nécropole Barbare, dont la date demeure indéterminée
sans doute, mais où les tombes, d'une construction très spéciale, sont toutes
entourées de restes antiques qui remontent pour une large part à l'époque
néolithique.

Le pseudo Bulgare de Koperniçki vivait donc déjà aux environs de Philippopolis à
l'aurore un peu tardive des temps historiques dans la vallée de la Maritza.
LES PORTES DE FER
Espérons que les découvertes archéologiques de M. Degrand, qui sont à l'étude,
au musée du Louvre, aideront à préciser ces origines...

Actuellement l'équipe de football de la république Tchèque se nomme le Blasterne


Scordisques - 746 - L'encyclopédie - L'Arbre Celtique www.arbre-celtique.com/encyclopedie/scordisques-746.htm
Compagnon de Brennos lors de l'expédition sur Delphes, en 279 avant J.-C., ... comme ayant aidé les Basternes, qui venaient d'envahir le territoire des Dardaniens. ... C'était l'hiver, et ils avaient choisi cette époque de l'année, parce qu'alors ...
T8 - L'Histoire antique des pays et des hommes de la Méditerranée
www.mediterranee-antique.fr/Fichiers_PdF/ABC/Crevier/Empereurs_8.pdf
de JB CREVIER - ‎Cité 2 fois - ‎Autres articles
Ce fut cette même année ou la suivante que Gordien épousa pour son ...... Basternes, peuple scythique dont il est fait mention dans l'histoire romaine dès le.
F]BULLETIN V09 DU MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE DE PARIS.pdf
https://www.googledrive.com/.../BULLETIN%20V09%20DU%20MUSEUM%20D'HIST...
«lu Muséum pour l'année 190.3-, de M. Edmond Perrier comme pro- fesseur d'Anatomie ...... luisantes en bas , ternes eu haut, à réseau de ...... 279. — Note relative aux Diptèresdes cavernes. 280. A. Drzewiaa (M"e. ). Sur les Àlaslzellen du 

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