29
NOVEMBRE 2015...
Cette
page concerne l'année 531 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
PASSATION
DE POUVOIR MANU MILITARI
Élevé
avec ses demi-frères, Thierry/Theoderic reçoit, comme c'est l'usage
pour les jeunes princes Francs, une éducation de guerrier :
Maniement des armes, techniques de combat, maîtrise de son cheval...
Autant de disciplines que les jeunes héritiers pratiquent quasi
quotidiennement.
De
ce fait, les fils de Clovis sont toujours disposés à attaquer
leurs voisins et à se battre entre eux. Ainsi, l'étendue de leurs
royaumes varie selon les victoires, les défaites, et les héritages.
En
490, à l'issue de plusieurs campagnes militaires, Clovis a déjà
soumis une première fois la Thuringe, patrie de sa mère, Basine.
C'est
son fils aîné, Thierry 1er, roi d'Austrasie, qui, allié à son
frère Clotaire 1er, roi de Neustrie, en fera définitivement la
conquête et l'annexera au royaume Franc.
Depuis
490, la Thuringe, royaume Germain situé entre la Weser et la Saale,
est plus ou moins soumise à la domination des rois Mérovingiens. Un
traité prévoyant l'échange d'otages de haute naissance garantit un
statut quo pacifique entre les deux peuples... Pendant plusieurs
années, les Thuringiens sont assujettis à un gouvernement
tricéphale.
Contrairement
aux pratiques en usage chez les Mérovingiens (qui tendent
habituellement à partager le royaume entre les héritiers du roi
défunt), trois frères, Hermenfrid, Baderic et Berthaire, exercent
conjointement le pouvoir. Malheureusement, cet arrangement ne peut
résister aux ambitions des 3 princes, qui vont prendre les armes et
se livrer un combat sans merci.
Hermenfrid
ouvre les hostilités en faisant assassiner Berthaire, le père de la
belle Radegonde, qui deviendra plus tard l'épouse de Clotaire 1er.
Berthaire
éliminé, la Thuringe est dirigée pendant quelques années par ses
2 frères, Hermenfrid et Baderic.
Cependant,
Hermenfrid subit l'influence néfaste de son épouse, Amalabergue, la
nièce de Théodoric, roi des Ostrogoths d'Italie, qui n'a de cesse
de l'inciter à s'arroger seul la puissance et le pouvoir. Le jeune
roi Thuringien se laisse convaincre et songe à faire appel à un
allié étranger pour se débarrasser de Baderic.
Dans
ce dessein, il envoie un émissaire à Thierry 1er, roi d'Austrasie,
afin de lui proposer une action militaire commune. En échange de son
assistance, le fils aîné de Clovis recevra la moitié du territoire
Thuringien.
Pour
le roi Franc, cette proposition est une véritable aubaine, qui peut
lui permettre d'étendre sans trop de difficultés son royaume vers
le nord.
Pendant
que les 2 alliés réunissent les forces de leurs milices en une
armée commune, Baderic regroupe, courageusement mais sans grand
espoir, ses grands vassaux les plus fidèles. Devant faire face à un
adversaire plus nombreux, mieux armé et mieux préparé, il est
vaincu puis décapité par ses vainqueurs...
Après la bataille, Hermenfrid, le frère félon, tarde à remettre à Thierry 1er les terres promises, sachant que, tant qu'il a le soutien de Théodoric, son oncle par alliance, le Franc ne tentera aucune action punitive.
Après la bataille, Hermenfrid, le frère félon, tarde à remettre à Thierry 1er les terres promises, sachant que, tant qu'il a le soutien de Théodoric, son oncle par alliance, le Franc ne tentera aucune action punitive.
En
531, Théodoric meurt. Dès lors, Thierry 1er peut agir sans crainte
de devoir faire face à un ennemi puissant. Il propose donc à son
frère, Clotaire 1er, roi de Neustrie, une alliance de circonstance
en échange d'une part du butin. Et c'est une formidable armée
Franque qui se met en marche vers la Thuringe. Pour pallier
l'insuffisance de ses troupes, Hermenfrid recourt à la ruse et fait
creuser des fossés destinés à faire obstacle à la cavalerie
ennemie.
Bien que le piège fonctionne, les Francs réussissent à percer la défense des Thuringiens. Contraints de se replier sur les rives de l'Unstrut, ceux-ci sont rattrapés par les hommes de Thierry et de Clotaire, et sauvagement massacrés.
Bien que le piège fonctionne, les Francs réussissent à percer la défense des Thuringiens. Contraints de se replier sur les rives de l'Unstrut, ceux-ci sont rattrapés par les hommes de Thierry et de Clotaire, et sauvagement massacrés.
Grégoire
de Tours rapporte que « la rivière est remplie d'un tel
monceau de cadavres que les Francs la traversent en marchant sur eux
comme sur un pont ».
Tandis
qu'Amalabergue, son épouse, s'est enfuie à Constantinople,
Hermenfrid a trouvé refuge dans une cachette bien gardée. Le
Thuringien ne s'avoue pas encore vaincu et compte sur la discorde qui
règne entre les rois Francs. Il ne se trompe pas.
C'est tout juste si, lors du partage du butin, les deux frères n'en viennent pas aux mains.
C'est tout juste si, lors du partage du butin, les deux frères n'en viennent pas aux mains.
Clotaire
1er est prêt à tout pour obtenir le plus précieux des trésors, la
jeune princesse Radegonde, dont il veut faire son esclave et son
épouse. Faute de trouver un terrain d'entente avec son frère,
Thierry 1er décide de négocier avec Hermenfrid, dont il a découvert
la retraite.
Convoqué
à Tolbiac, le Thuringien est accueilli en ami et de nombreux
présents lui sont offerts. Mais il commet la faute irréparable de
croire en la sincérité de son adversaire. Lors d'une promenade sur
les remparts, le roi franc saisit vivement son hôte et le précipite
dans le vide. Plus rien ne fait désormais obstacle à l'annexion de
la Thuringe par Thierry 1er.
En
531, selon le « Decem Libri » de Gregoire de Tours, la
bataille décisive entre le Royaume de Franconie et celui de Thuringe
est survenue le long de la rivière Unstrut (la rivière Unstrut est
un cours d'eau du land de Thuringe en Allemagne et un affluent de la
Saale, donc un sous-affluent de l'Elbe). Il s'est ensuivi la
destruction et l'annexion du premier royaume de Thuringe médiéval
par l'empire des Francs.
Théodoric
Ier d'Ostrogothie, Roi des Ostrogoths, étant mort, Thierry Ier de
Francie peut agir sans crainte de devoir faire face à un ennemi
puissant. Il propose donc à son frère, Clotaire Ier, roi de
Neustrie, une alliance en échange d'une part du butin.
Radegonde
de Thuringe est emmenée en Francie, à Saint-Quentin, puis à
Athies-en-Vermandois. Ingonde de Thuringe donne à Radegonde une
éducation très religieuse. Cette victoire n'est le résultat
que d'une campagne contre un agresseur. Une seconde campagne, plus
méditée, sera dirigée sans provocation contre les
Thuringiens. Ce peuple Germanique, apparenté aux Suèves, vient des
régions actuelles de Silésie et de Haute-Saxe, mais a au Ier siècle
avant Jésus-Christ, ils remontent le Danube et finalement, au IVe
siècle, ils s'installent sur la haute vallée de la Weser.
Un
peuple errant, certes, mais peu combatif, qui se sent en infériorité
en face d'autres Barbares, plus nombreux et plus agressifs.
Contrairement aux mœurs de ses voisins, il s'efforce d'être en paix
avec tous. Il a pourtant une supériorité enviable, celle de ces
chevaux, recherchés par les autres peuples pour leur perfection
guerrière, et qui, à défaut d'être pour eux-mêmes des
instruments de victoire, leur valent de fructueuses opérations
financières :
Le
grand Théodoric est, dans ce domaine, un fidèle client.
En
531, la Thuringe est gouvernée par trois frères : Hermenfried,
Baderic, et
Berthaire
3 rois pour le même royaume, voilà qui ne fait guère bon ménage
surtout chez les Barbares. Hermenfried, l'aîné, époux u, nièce de
Théodoric le Grand, est le plus ambitieux. Il commence donc par
faire assassiner Berthaire... Pour Baderic, c'est plus compliqué, car
celui-ci se méfie.
Les
2 hommes passent à l'attaque et Baderic est tué par son frère.
Comme
on peut s'y attendre, Hermenfried désormais unique roi de Thuringe
ne tient pas à voir son royaume amputé... Il ne peut tenir parole
car « les Ostrogoths s'y opposent » explique t-il.
Grotesque prétexte auquel le Franc ne croit pas un instant.
Thierry
se tourne alors vers Clotaire qui plein d'ardeur pour le combat et la
conquête sera un allié précieux pour aller faire rendre gorge au
félon. Les Francs sans grande discrétion se préparent à
l'invasion. Ils seront conduit par 3 chefs : Clotaire, Thierry et son
fils Théodebert.
Cependant,
au lieu d'attaquer l'ennemi en trois points différents, ils lancent
leurs troupes telle une horde furieuse et compacte. Les Thuringiens
avertis de l'attaque, ont tendu des pièges sur le parcours et
l'avant garde, de même que la deuxième vague Franque s'y
précipitent. Hermenfried, guère meilleur stratège que ses
adversaires n'en profite pas pour contre-attaquer, ce qui permet à
Thierry de reformer ses troupes et de repasser à l'attaque.
Cette
fois le terrain étant plus favorable, il écrase l'armée
Thuringienne, sans toutefois parvenir à se saisir de leur roi qui a
pris la fuite... Le roi Thuringien est piégé à Tolbiac... Rien ne
s'oppose plus désormais à l'annexion de la Thuringe par Thierry
Ier.
Pour
éliminer toute résistance locale, il doit faire alliance avec les
Saxons. En contrepartie, les Saxons reçoivent une partie du
territoire Thuringien... Mais décidément dès qu’il s’éloigne
de son royaume, les ennuis ne tardent pas à se présenter au Roi
de Metz, car pendant qu’il est en Thuringe, une rumeur annonce
sa mort.
Cette
(fausse) nouvelle enchante les Arvernes qui n’apprécient pas
d’avoir dû se soumettre à Thierry... Aussi sollicitent-ils
Childebert pour que celui-ci devienne le nouvel homme fort de la
région, et celui-ci s’empare de Clermont.
Prévenu
de cette traîtrise, Thierry rassemble ses armées pour marcher vers
l’Arvernie.
Lorsque
Chidebert l'apprend, il déguerpit aussitôt, pensant que si son
frère est irrité par ce qui vient de se passer, il exercera sa
vengeance sur les Arvernes...
En
effet, les représailles ne tardent pas. À la tête d’une
forte armée, Thierry pénètre en Arvernie en saccageant tout sur
son passage, brûlant les maisons et les récoltes, tuant les
paysans, abattant même les églises : C'est la façon
qu’adoptent les princes, en ce temps-là, pour manifester leur
mécontentement.
Le
sénat d’Arvernie résout de résister. Qu’a-t-il à perdre ?
De toute façon, le roi trahi sera impitoyable.
Peut-être
les valeureux Arvernes peuvent-ils défendre leur ville jusqu’au
retour de Childebert.
Mais
reviendra-t-il ?
Les
Arvernes ne se posent pas de questions et mettent leur capital en
état de défense.
Rendu
sur place, Thierry adresse un ultimatum au sénat : Reddition
immédiate, sinon, dès que la ville sera enlevée, le pays sera rasé
et sa population passée au fil de l’épée.
Quintien,
le saint et courageux évêque des Arvernes, ayant appris la menace
qui pèse sur sa ville épiscopale, demande à voir le roi.
Reçu
par celui-ci, il parvient à le convaincre d’épargner la
population. Thierry promet de réfléchir à la supplication de
l’évêque, et en effet, lorsque quelques jours après il s’empare
de Clermont, il ne met pas à exécution ses menaces concernant les
habitants.
Pendant
ce temps, ses lieutenants s’attaquent aux autres places de la
province, où, ne se sentant pas engagé pas les promesses de leur
souverain, ils n’hésitent pas à employer la manière forte pour
s’imposer, pillant les villes vaincues, et incendiant Thiers qu’ils
n’ont pas réussi à prendre.
Malgré
la résistance de quelques villes, l’Arvernie est rapidement et de
nouveau, soumise à Thierry. Mais le roi Austrasien, bien que tenant
fermement à cette province lointaine, ne juge pas à propos d’y
séjourner plus longtemps. Il laisse pour gouverner la province un
duc, probablement de ses parents, Sigivald.
Il
nomme comte de Clermont, et établit un Gaulois rallié, Lytigius,
qui, exploitant pour son profit cette enviable situation, se fait le
persécuteur et l’exploiteur de ses compatriotes... La situation
perdure jusqu’au jour où l’évêque Quintien dépose plainte
contre lui auprès du roi.
À
la grande surprise des habitants, Thierry prend l’affaire très au
sérieux : Il envoi sur place une escouade d’antrustions, qui
se saisissent du gredin et l’emmènent ligoté en Austrasie.
Sigivald quant à lui, ne se comporte pas beaucoup mieux, ce qui ne
manque pas de lui coûter cher…
Les
tracas ne sont pas finis pour Thierry. Après l’Auvergne, c'est en
Austrasie même, qu’une rébellion se fait jour. Elle vient d’un
leude mi-ambitieux, mi-dérangé, nommé Mundéric (le chef
protecteur), nom qu’il s’est lui-même attribué.
Il
réunit auprès de lui quelques guerriers que le roi a malmené ou a
vexé.
« Ce
trône est autant le mien que celui du roi Thierry, leur
proclame-t-il. Je vais rassembler mon peuple, et lui réclamer un
serment par lequel il me reconnaît comme roi au même titre que
lui. »... Il parcourt le pays en provoquant des attroupements
au milieu desquels il vante sa généalogie et exalte ses faits
d’armes.
Le
roi rassemble alors une armée et marche vers le rebelle, qui va
s’enfermer dans la forteresse de Vitry-le-brûle, aujourd’hui
Vitry en Perthois, au nord-est de Vitry-le-François .
Thierry
l’assiège, mais ne parvient pas à emporter la place. Alors il
décide, comme il l’a fait avec Hermanfried, de l’attirer dans un
piège.
Le
leude Argésil lui fait une promesse au nom du roi : La vie
sauve s’il vient parlementer avec lui, mensonge tout à fait
classique en ce temps, auquel mord pourtant l’assiégé. C'est la
fin de Mundéric…
Du
côté de l’Auvergne, tout n’est pas pour autant réglé. Certes
Thierry a renforcé les garnisons mais il craint un retour de
Childebert. Plutôt que d’attendre une nouvelle incursion de sa
part, mieux vaut essayer de s’entendre avec lui.
Si
Thierry aime les conquêtes, il n’apprécie pas particulièrement
d’aller lui-même au combat.
Poltronnerie,
crainte de la défaite ?
S’il
a fait campagne en Thuringe, c’est bien parce qu’il a été
appelé. Mais il a préféré ne pas envahir la Burgondie, qui est sa
voisine, et a laissé le champ libre à Clotaire qui dispose pourtant
de forces inférieures aux siennes... Childebert a une puissance
supérieure à celle de Clotaire, bien qu’étant lui aussi quelque
peu timoré.
Thierry
arrange alors une entrevue avec son cadet. Celle-ci est peu cordiale,
et n’aboutit à rien de positif. Toutefois, un pacte de
non-agression est conclu avec grande difficulté car les deux frères
n’ont aucune confiance l’un envers l’autre. Finalement, pour
obtenir une caution à leurs promesses incroyables, ils conviennent
d’échanger des otages.
Méthode
habile qui s’exerce durant plusieurs siècles, et qui est fort peu
douloureuse pour le souverain puisqu’en cas de violation des
accords, ce n’est pas lui qui paie la trahison, mais ses plus
dévoués sujets.
La
mésentente va vite se produire mais chacun, au lieu de réclamer
l’échange des otages, va préférer les garder pour en faire des
esclaves.
Au
moins, l’Arvernie reste à Thierry. Avec cependant une population
Gauloise hostile, avec laquelle les administrateurs devront garder
une conduite mesurée, car trop de relâchement favorise les
complots, et trop d’oppression pousse à la révolte. Or, Sigivald,
le proconsul que le roi a établi mène une politique de répression,
écrasant les habitants d’impôts, humiliant l’aristocratie, et
s’enrichissant personnellement en pillant les églises.
Comme
les plaintes commencent à se faire de plus en plus nombreuses,
Thierry finit alors par décider qu’il faut se débarrasser de ce
personnage néfaste. Sigivald est donc convoqué en Austrasie, puis
dès son arrivée, est assassiné…
Voilà
donc le problème réglé ! Mais Sigivald a un fils qui vit à
la cours (et qui lui aussi se nomme Sigivald), Thierry préfère ne
pas prendre le risque d’une vengeance.
Il
ordonne à Théodebert d’éliminer celui-ci. Cependant Thierry ne
semble pas savoir que les 2 hommes sont unis par une amitié
profonde.
Il
est impensable que le futur héritier du trône s’oppose à son
père directement, il décide donc de conseiller à son ami de
s’enfuir et de ne revenir qu’à la mort du roi... Sigivald junior
gagne alors immédiatement la Burgondie, dévale la vallée du Rhône,
trouve refuge à Arles, encore aux mains des Ostrogoths, puis, ne s’y
sentant pas en sécurité, s’enfuit jusqu’à Rome.
Après
avoir libéré sa sœur Clotilde de son cruel époux Amalaric qui la
maltraite, Childebert s’est emparé du trésor du roi Goth mais n’a
pas jugé utile de prendre possession du royaume qui comprend
pourtant des villes aussi prestigieuses que Toulouse ou Narbonne.
Thierry
qui s’intéresse à la Gaule Méridionale contiguë à sa province
d’Arvernie, juge le moment propice pour mettre la main sur ce
territoire. Mais il préfère ne pas conduire lui-même l’expédition
qu’il confie à son fils Théodebert. Celui-ci justifie
positivement la confiance que lui accorde son père, il s'empare de
différentes localités tenues jusqu'ici par les Wisigoths, mais
alors qu'il vient de s'emparer de Beziers, et fait le siège d'Arles,
un messager vient lui apprendre que son
père gravement malade est mourant.
Le
jeune prince comprend aussitôt qu'il risque de se trouver
dépouillé de sa succession par ses oncles s'il ne se hâte pas de
rejoindre son père. Il prend donc immédiatement la route pour se
rendre à Metz où, quelques jours après son arrivée, son père
meurt.
Ayant
le soutient des leudes du royaume, il monte à son tour sur le trône
d'Austrasie. Sources : Grégoire de Tours, (trad. Robert Latouche) –
Histoire des Francs _ Ivan Gobry, Clotaire Ier éd. Pygmalion.
THIERRY
1ER LA CONQUETE DE LA THURINGE
chrisagde.free.fr/merovingiens/conquetethuringe.htm
En
490, à l'issue de plusieurs campagnes militaires, Clovis avait déjà
soumis une première fois la ... Berthaire éliminé, la Thuringe est
dirigée pendant quelques années par ses deux frères, Hermenfrid et
Baderic. ... En 531, Théodoric meurt.
Le
grand dictionnaire historique, ... par l'abbé Louis Moreri
https://books.google.fr/books?id=Pnw_1mJiPUUC
Louis
Moréri - 1725
...
haut Rhin, est dans le Landgraviat de Hesse , aux confins de la
Thuringe , sur la Werra ... Olympiade , 8L 531. ans avant I. C. 8L au
combat de Salamine, ui sut livré, ... Eschyle se trouva encore
l'année suivante à la bataille de Mardonius , près de ... Etant un
jour à la campagne , un aigle qui avoit enlevé en l'air une
tortue' …
Thierry
Ier, roi d'Austrasie - Le blog de LUTECE
www.e-stoire.net/article-thierry-ier-roi-d-austrasie-68810244.html
7
mars 2011 - L'année suivante, Clodomir qui n'était pas parvenu à
s'emparer de la ... Au cours de la campagne, Clodomir trouve la mort
et le roi .... En 531, Thierry annexe donc la Thuringe, ce qui marque
la fin du royaume thuringien.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire