samedi 5 décembre 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 531

29 NOVEMBRE 2015...

Cette page concerne l'année 531 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

PASSATION DE POUVOIR MANU MILITARI

Élevé avec ses demi-frères, Thierry/Theoderic reçoit, comme c'est l'usage pour les jeunes princes Francs, une éducation de guerrier : Maniement des armes, techniques de combat, maîtrise de son cheval... Autant de disciplines que les jeunes héritiers pratiquent quasi quotidiennement.
De ce fait, les fils de Clovis sont toujours disposés à attaquer leurs voisins et à se battre entre eux. Ainsi, l'étendue de leurs royaumes varie selon les victoires, les défaites, et les héritages.

En 490, à l'issue de plusieurs campagnes militaires, Clovis a déjà soumis une première fois la Thuringe, patrie de sa mère, Basine.
C'est son fils aîné, Thierry 1er, roi d'Austrasie, qui, allié à son frère Clotaire 1er, roi de Neustrie, en fera définitivement la conquête et l'annexera au royaume Franc.

Depuis 490, la Thuringe, royaume Germain situé entre la Weser et la Saale, est plus ou moins soumise à la domination des rois Mérovingiens. Un traité prévoyant l'échange d'otages de haute naissance garantit un statut quo pacifique entre les deux peuples... Pendant plusieurs années, les Thuringiens sont assujettis à un gouvernement tricéphale.
Contrairement aux pratiques en usage chez les Mérovingiens (qui tendent habituellement à partager le royaume entre les héritiers du roi défunt), trois frères, Hermenfrid, Baderic et Berthaire, exercent conjointement le pouvoir. Malheureusement, cet arrangement ne peut résister aux ambitions des 3 princes, qui vont prendre les armes et se livrer un combat sans merci.

Hermenfrid ouvre les hostilités en faisant assassiner Berthaire, le père de la belle Radegonde, qui deviendra plus tard l'épouse de Clotaire 1er.
Berthaire éliminé, la Thuringe est dirigée pendant quelques années par ses 2 frères, Hermenfrid et Baderic.

Cependant, Hermenfrid subit l'influence néfaste de son épouse, Amalabergue, la nièce de Théodoric, roi des Ostrogoths d'Italie, qui n'a de cesse de l'inciter à s'arroger seul la puissance et le pouvoir. Le jeune roi Thuringien se laisse convaincre et songe à faire appel à un allié étranger pour se débarrasser de Baderic.
Dans ce dessein, il envoie un émissaire à Thierry 1er, roi d'Austrasie, afin de lui proposer une action militaire commune. En échange de son assistance, le fils aîné de Clovis recevra la moitié du territoire Thuringien.
Pour le roi Franc, cette proposition est une véritable aubaine, qui peut lui permettre d'étendre sans trop de difficultés son royaume vers le nord.
Pendant que les 2 alliés réunissent les forces de leurs milices en une armée commune, Baderic regroupe, courageusement mais sans grand espoir, ses grands vassaux les plus fidèles. Devant faire face à un adversaire plus nombreux, mieux armé et mieux préparé, il est vaincu puis décapité par ses vainqueurs...
Après la bataille, Hermenfrid, le frère félon, tarde à remettre à Thierry 1er les terres promises, sachant que, tant qu'il a le soutien de Théodoric, son oncle par alliance, le Franc ne tentera aucune action punitive.

En 531, Théodoric meurt. Dès lors, Thierry 1er peut agir sans crainte de devoir faire face à un ennemi puissant. Il propose donc à son frère, Clotaire 1er, roi de Neustrie, une alliance de circonstance en échange d'une part du butin. Et c'est une formidable armée Franque qui se met en marche vers la Thuringe. Pour pallier l'insuffisance de ses troupes, Hermenfrid recourt à la ruse et fait creuser des fossés destinés à faire obstacle à la cavalerie ennemie.
Bien que le piège fonctionne, les Francs réussissent à percer la défense des Thuringiens. Contraints de se replier sur les rives de l'Unstrut, ceux-ci sont rattrapés par les hommes de Thierry et de Clotaire, et sauvagement massacrés.
Grégoire de Tours rapporte que « la rivière est remplie d'un tel monceau de cadavres que les Francs la traversent en marchant sur eux comme sur un pont ».
Tandis qu'Amalabergue, son épouse, s'est enfuie à Constantinople, Hermenfrid a trouvé refuge dans une cachette bien gardée. Le Thuringien ne s'avoue pas encore vaincu et compte sur la discorde qui règne entre les rois Francs. Il ne se trompe pas.
C'est tout juste si, lors du partage du butin, les deux frères n'en viennent pas aux mains.
Clotaire 1er est prêt à tout pour obtenir le plus précieux des trésors, la jeune princesse Radegonde, dont il veut faire son esclave et son épouse. Faute de trouver un terrain d'entente avec son frère, Thierry 1er décide de négocier avec Hermenfrid, dont il a découvert la retraite.
Convoqué à Tolbiac, le Thuringien est accueilli en ami et de nombreux présents lui sont offerts. Mais il commet la faute irréparable de croire en la sincérité de son adversaire. Lors d'une promenade sur les remparts, le roi franc saisit vivement son hôte et le précipite dans le vide. Plus rien ne fait désormais obstacle à l'annexion de la Thuringe par Thierry 1er.

En 531, selon le « Decem Libri » de Gregoire de Tours, la bataille décisive entre le Royaume de Franconie et celui de Thuringe est survenue le long de la rivière Unstrut (la rivière Unstrut est un cours d'eau du land de Thuringe en Allemagne et un affluent de la Saale, donc un sous-affluent de l'Elbe). Il s'est ensuivi la destruction et l'annexion du premier royaume de Thuringe médiéval par l'empire des Francs.

Théodoric Ier d'Ostrogothie, Roi des Ostrogoths, étant mort, Thierry Ier de Francie peut agir sans crainte de devoir faire face à un ennemi puissant. Il propose donc à son frère, Clotaire Ier, roi de Neustrie, une alliance en échange d'une part du butin.

Radegonde de Thuringe est emmenée en Francie, à Saint-Quentin, puis à Athies-en-Vermandois. Ingonde de Thuringe donne à Radegonde une éducation très religieuse. Cette victoire n'est le résultat que d'une campagne contre un agresseur. Une seconde campagne, plus méditée, sera dirigée sans provocation contre les Thuringiens. Ce peuple Germanique, apparenté aux Suèves, vient des régions actuelles de Silésie et de Haute-Saxe, mais a au Ier siècle avant Jésus-Christ, ils remontent le Danube et finalement, au IVe siècle, ils s'installent sur la haute vallée de la Weser.
Un peuple errant, certes, mais peu combatif, qui se sent en infériorité en face d'autres Barbares, plus nombreux et plus agressifs. Contrairement aux mœurs de ses voisins, il s'efforce d'être en paix avec tous. Il a pourtant une supériorité enviable, celle de ces chevaux, recherchés par les autres peuples pour leur perfection guerrière, et qui, à défaut d'être pour eux-mêmes des instruments de victoire, leur valent de fructueuses opérations financières :
Le grand Théodoric est, dans ce domaine, un fidèle client.

En 531, la Thuringe est gouvernée par trois frères : Hermenfried, Baderic, et
Berthaire 3 rois pour le même royaume, voilà qui ne fait guère bon ménage surtout chez les Barbares. Hermenfried, l'aîné, époux u, nièce de Théodoric le Grand, est le plus ambitieux. Il commence donc par faire assassiner Berthaire... Pour Baderic, c'est plus compliqué, car celui-ci se méfie.
Les 2 hommes passent à l'attaque et Baderic est tué par son frère.
Comme on peut s'y attendre, Hermenfried désormais unique roi de Thuringe ne tient pas à voir son royaume amputé... Il ne peut tenir parole car « les Ostrogoths s'y opposent » explique t-il. Grotesque prétexte auquel le Franc ne croit pas un instant.

Thierry se tourne alors vers Clotaire qui plein d'ardeur pour le combat et la conquête sera un allié précieux pour aller faire rendre gorge au félon. Les Francs sans grande discrétion se préparent à l'invasion. Ils seront conduit par 3 chefs : Clotaire, Thierry et son fils Théodebert.

Cependant, au lieu d'attaquer l'ennemi en trois points différents, ils lancent leurs troupes telle une horde furieuse et compacte. Les Thuringiens avertis de l'attaque, ont tendu des pièges sur le parcours et l'avant garde, de même que la deuxième vague Franque s'y précipitent. Hermenfried, guère meilleur stratège que ses adversaires n'en profite pas pour contre-attaquer, ce qui permet à Thierry de reformer ses troupes et de repasser à l'attaque.
Cette fois le terrain étant plus favorable, il écrase l'armée Thuringienne, sans toutefois parvenir à se saisir de leur roi qui a pris la fuite... Le roi Thuringien est piégé à Tolbiac... Rien ne s'oppose plus désormais à l'annexion de la Thuringe par Thierry Ier.

Pour éliminer toute résistance locale, il doit faire alliance avec les Saxons. En contrepartie, les Saxons reçoivent une partie du territoire Thuringien... Mais décidément dès qu’il s’éloigne de son royaume, les ennuis ne tardent pas à se présenter au Roi de Metz, car pendant qu’il est en Thuringe, une rumeur annonce sa mort.
Cette (fausse) nouvelle enchante les Arvernes qui n’apprécient pas d’avoir dû se soumettre à Thierry... Aussi sollicitent-ils Childebert pour que celui-ci devienne le nouvel homme fort de la région, et celui-ci s’empare de Clermont.

Prévenu de cette traîtrise, Thierry rassemble ses armées pour marcher vers l’Arvernie.
Lorsque Chidebert l'apprend, il déguerpit aussitôt, pensant que si son frère est irrité par ce qui vient de se passer, il exercera sa vengeance sur les Arvernes...

En effet, les représailles ne tardent pas. À la tête d’une forte armée, Thierry pénètre en Arvernie en saccageant tout sur son passage, brûlant les maisons et les récoltes, tuant les paysans, abattant même les églises : C'est la façon qu’adoptent les princes, en ce temps-là, pour manifester leur mécontentement.

Le sénat d’Arvernie résout de résister. Qu’a-t-il à perdre ? De toute façon, le roi trahi sera impitoyable.
Peut-être les valeureux Arvernes peuvent-ils défendre leur ville jusqu’au retour de Childebert.
Mais reviendra-t-il ?
Les Arvernes ne se posent pas de questions et mettent leur capital en état de défense.

Rendu sur place, Thierry adresse un ultimatum au sénat : Reddition immédiate, sinon, dès que la ville sera enlevée, le pays sera rasé et sa population passée au fil de l’épée.
Quintien, le saint et courageux évêque des Arvernes, ayant appris la menace qui pèse sur sa ville épiscopale, demande à voir le roi.
Reçu par celui-ci, il parvient à le convaincre d’épargner la population. Thierry promet de réfléchir à la supplication de l’évêque, et en effet, lorsque quelques jours après il s’empare de Clermont, il ne met pas à exécution ses menaces concernant les habitants.

Pendant ce temps, ses lieutenants s’attaquent aux autres places de la province, où, ne se sentant pas engagé pas les promesses de leur souverain, ils n’hésitent pas à employer la manière forte pour s’imposer, pillant les villes vaincues, et incendiant Thiers qu’ils n’ont pas réussi à prendre.

Malgré la résistance de quelques villes, l’Arvernie est rapidement et de nouveau, soumise à Thierry. Mais le roi Austrasien, bien que tenant fermement à cette province lointaine, ne juge pas à propos d’y séjourner plus longtemps. Il laisse pour gouverner la province un duc, probablement de ses parents, Sigivald.

Il nomme comte de Clermont, et établit un Gaulois rallié, Lytigius, qui, exploitant pour son profit cette enviable situation, se fait le persécuteur et l’exploiteur de ses compatriotes... La situation perdure jusqu’au jour où l’évêque Quintien dépose plainte contre lui auprès du roi. 
À la grande surprise des habitants, Thierry prend l’affaire très au sérieux : Il envoi sur place une escouade d’antrustions, qui se saisissent du gredin et l’emmènent ligoté en Austrasie. Sigivald quant à lui, ne se comporte pas beaucoup mieux, ce qui ne manque pas de lui coûter cher…

Les tracas ne sont pas finis pour Thierry. Après l’Auvergne, c'est en Austrasie même, qu’une rébellion se fait jour. Elle vient d’un leude mi-ambitieux, mi-dérangé, nommé Mundéric (le chef protecteur), nom qu’il s’est lui-même attribué.
Il réunit auprès de lui quelques guerriers que le roi a malmené ou a vexé.

« Ce trône est autant le mien que celui du roi Thierry, leur proclame-t-il. Je vais rassembler mon peuple, et lui réclamer un serment par lequel il me reconnaît comme roi au même titre que lui. »... Il parcourt le pays en provoquant des attroupements au milieu desquels il vante sa généalogie et exalte ses faits d’armes.
Le roi rassemble alors une armée et marche vers le rebelle, qui va s’enfermer dans la forteresse de Vitry-le-brûle, aujourd’hui Vitry en Perthois, au nord-est de Vitry-le-François .
Thierry l’assiège, mais ne parvient pas à emporter la place. Alors il décide, comme il l’a fait avec Hermanfried, de l’attirer dans un piège.
Le leude Argésil lui fait une promesse au nom du roi : La vie sauve s’il vient parlementer avec lui, mensonge tout à fait classique en ce temps, auquel mord pourtant l’assiégé. C'est la fin de Mundéric…

Du côté de l’Auvergne, tout n’est pas pour autant réglé. Certes Thierry a renforcé les garnisons mais il craint un retour de Childebert. Plutôt que d’attendre une nouvelle incursion de sa part, mieux vaut essayer de s’entendre avec lui.
Si Thierry aime les conquêtes, il n’apprécie pas particulièrement d’aller lui-même au combat.
Poltronnerie, crainte de la défaite ?
S’il a fait campagne en Thuringe, c’est bien parce qu’il a été appelé. Mais il a préféré ne pas envahir la Burgondie, qui est sa voisine, et a laissé le champ libre à Clotaire qui dispose pourtant de forces inférieures aux siennes... Childebert a une puissance supérieure à celle de Clotaire, bien qu’étant lui aussi quelque peu timoré.

Thierry arrange alors une entrevue avec son cadet. Celle-ci est peu cordiale, et n’aboutit à rien de positif. Toutefois, un pacte de non-agression est conclu avec grande difficulté car les deux frères n’ont aucune confiance l’un envers l’autre. Finalement, pour obtenir une caution à leurs promesses incroyables, ils conviennent d’échanger des otages.
Méthode habile qui s’exerce durant plusieurs siècles, et qui est fort peu douloureuse pour le souverain puisqu’en cas de violation des accords, ce n’est pas lui qui paie la trahison, mais ses plus dévoués sujets.
La mésentente va vite se produire mais chacun, au lieu de réclamer l’échange des otages, va préférer les garder pour en faire des esclaves.

Au moins, l’Arvernie reste à Thierry. Avec cependant une population Gauloise hostile, avec laquelle les administrateurs devront garder une conduite mesurée, car trop de relâchement favorise les complots, et trop d’oppression pousse à la révolte. Or, Sigivald, le proconsul que le roi a établi mène une politique de répression, écrasant les habitants d’impôts, humiliant l’aristocratie, et s’enrichissant personnellement en pillant les églises.
Comme les plaintes commencent à se faire de plus en plus nombreuses, Thierry finit alors par décider qu’il faut se débarrasser de ce personnage néfaste. Sigivald est donc convoqué en Austrasie, puis dès son arrivée, est assassiné…

Voilà donc le problème réglé ! Mais Sigivald a un fils qui vit à la cours (et qui lui aussi se nomme Sigivald), Thierry préfère ne pas prendre le risque d’une vengeance.
Il ordonne à Théodebert d’éliminer celui-ci. Cependant Thierry ne semble pas savoir que les 2 hommes sont unis par une amitié profonde.
Il est impensable que le futur héritier du trône s’oppose à son père directement, il décide donc de conseiller à son ami de s’enfuir et de ne revenir qu’à la mort du roi... Sigivald junior gagne alors immédiatement la Burgondie, dévale la vallée du Rhône, trouve refuge à Arles, encore aux mains des Ostrogoths, puis, ne s’y sentant pas en sécurité, s’enfuit jusqu’à Rome.

Après avoir libéré sa sœur Clotilde de son cruel époux Amalaric qui la maltraite, Childebert s’est emparé du trésor du roi Goth mais n’a pas jugé utile de prendre possession du royaume qui comprend pourtant des villes aussi prestigieuses que Toulouse ou Narbonne.
Thierry qui s’intéresse à la Gaule Méridionale contiguë à sa province d’Arvernie, juge le moment propice pour mettre la main sur ce territoire. Mais il préfère ne pas conduire lui-même l’expédition qu’il confie à son fils Théodebert. Celui-ci justifie positivement la confiance que lui accorde son père, il s'empare de différentes localités tenues jusqu'ici par les Wisigoths, mais alors qu'il vient de s'emparer de Beziers, et fait le siège d'Arles, un messager vient lui apprendre que son père gravement malade est mourant.

Le jeune prince comprend aussitôt qu'il risque de se trouver dépouillé de sa succession par ses oncles s'il ne se hâte pas de rejoindre son père. Il prend donc immédiatement la route pour se rendre à Metz où, quelques jours après son arrivée, son père meurt.

Ayant le soutient des leudes du royaume, il monte à son tour sur le trône d'Austrasie. Sources : Grégoire de Tours, (trad. Robert Latouche) – Histoire des Francs _ Ivan Gobry, Clotaire Ier éd. Pygmalion.

THIERRY 1ER LA CONQUETE DE LA THURINGE
chrisagde.free.fr/merovingiens/conquetethuringe.htm
En 490, à l'issue de plusieurs campagnes militaires, Clovis avait déjà soumis une première fois la ... Berthaire éliminé, la Thuringe est dirigée pendant quelques années par ses deux frères, Hermenfrid et Baderic. ... En 531, Théodoric meurt.

Le grand dictionnaire historique, ... par l'abbé Louis Moreri
https://books.google.fr/books?id=Pnw_1mJiPUUC
Louis Moréri - 1725
... haut Rhin, est dans le Landgraviat de Hesse , aux confins de la Thuringe , sur la Werra ... Olympiade , 8L 531. ans avant I. C. 8L au combat de Salamine, ui sut livré, ... Eschyle se trouva encore l'année suivante à la bataille de Mardonius , près de ... Etant un jour à la campagne , un aigle qui avoit enlevé en l'air une tortue' …

Thierry Ier, roi d'Austrasie - Le blog de LUTECE
www.e-stoire.net/article-thierry-ier-roi-d-austrasie-68810244.html
7 mars 2011 - L'année suivante, Clodomir qui n'était pas parvenu à s'emparer de la ... Au cours de la campagne, Clodomir trouve la mort et le roi .... En 531, Thierry annexe donc la Thuringe, ce qui marque la fin du royaume thuringien.










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