20 DÉCEMBRE 2015
Cette
page concerne l'année 510 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
CONFLITS
ENTRE GUPTA ET HUNS BLANCS.
Quand
les Hephthalites s'installent en Transoxiane, la dynastie Indienne
des Gupta est au faîte de sa puissance. L'inscription de Junagadh,
datée d'environ 457, mentionne une victoire remportée par le roi
Skandagupta (vers 454-467) contre des tribus qui semblent avoir été
hephthalites Huns Blancs. Leur pénétration en Inde est permise par
le déclin des Guptas qui suit la mort de ce roi.
À
la fin du Ve siècle, un de leurs chefs, Toramâna, envahit le
Panjâb et s'y établit. Son fils Mihirakula — ou Mihiragula —
lui succède vers 515. Durant son règne, les Huns Blancs font de
nombreux raids dans la plaine gangétique où ils détruisent des
monastères.
En
528, une confédération de râjas Hindous renverse Mihirakula qui se
réfugie au Cachemire, où il s'empare du trône après quelques
années et à partir d'où il attaque l'État voisin du Gandhara, où
il pratique de terribles massacres. Un an plus tard, vers 540, il
meurt et les Hephthalites s'effondrent sous les coups des Turcs...
Notre
connaissance des Hephthalites provient majoritairement de la
numismatique, de quelques inscriptions trouvées au Panjâb et en
Inde Centrale et des écrits du voyageur Chinois Xuanzang qui visite
l'Inde peu après la mort de Mihirakula. Le voyageur grec Cosmas
Indikopleustès, qui visite le pays vers 530, fait la description
d'un roi Hun Blanc, qu'il nomme Gollas, qui perçoit un tribut en
opprimant son pays au moyen d'une grande armée composée d'une
cavalerie et d'éléphants de guerre... Il est probable qu'il
s'agisse de Mihiragula. D'après les monnaies frappées par
Mihirakula, qui porte l'emblème de Nandin, on pense qu'il vénère
Shiva, bien que la première partie du nom provienne peut-être de
celui du dieu perse Mithra.
On
a trouvé de nombreuses pièces frappées par son père, Toramâna,
au Cachemire, territoire qui faisait partie de la zone d'influence
des Hephthalites. Mihirakula a laissé en Inde la mémoire d'un
souverain cruel qui a persécuté sévèrement le bouddhisme.
Les
Grecs ont laissé une description des Hephthalites beaucoup plus
flatteuse, basée probablement sur le fait qu'ils sont une menace
contre l'ennemi Perse aux frontières de l'Empire Romain d'Orient,
mais trop lointain pour l'Empire lui-même. Procope de Césarée
affirme qu'ils sont bien plus civilisés que les Huns d'Attila.
Les
Huns blancs n'ont que peu d'influence sur la société Perse, mais en
Inde, ils sont à l'origine d'une modification du système des castes
en changeant la hiérarchie des familles régnantes.
Certains
Huns Blancs sont restés en Inde et se sont fondus dans la
population, probablement à l'origine d'un ou plusieurs clans Râjput
C'est
vraisemblablement après la bataille d'Eran que se produit la
dislocation de l'empire Gupta (et non à la mort de Kumaragupta Ier).
L'Arya-Mañjusri-Mulakalpa,
texte bouddhique, donne à entendre qu'à la suite de sa victoire sur
Bhanugupta le Hun poursuit Narasimhagupta, jusqu'au
Magadha,
puis le contraint à fuir au Bengale, mettant sur le trône de
Bénarès un certain Prakataditya, fils présumé du roi vaincu.
D'autre part, un Vainyagupta est attesté au Bengale Oriental par une
charte de donation datée de 507
Une
politique de tolérance religieuse marquée par la renaissance de
l’hindouisme, l’époque Gupta voit la rédaction, la compilation
ou le
remodelage
des principaux « récits antiques » (ou purâna),
recueils de textes mêlant cosmologie, mythologie et liturgie, dont
beaucoup exaltent la gloire de Vishnu, vénéré comme divinité
suprême.
Dès
la fin du IVe siècle, le Vishnuisme se développe considérablement
et la théorie des avatarâ, les descentes ou incarnations du dieu
Vishnu, connaît une grande popularité.
Celui
du sanglier (Varâha) qui sauve la déesse Terre des eaux menaçant
de l’engloutir est l’objet d’un véritable culte. (cf
monumental relief de la caverne n°5 d’Udayagiri).
Certains
croient y reconnaître une allégorie commémorant les victoires
militaires de Chandragupta II sur les ennemis de l’empire (Scythes
ou Shaka occidentaux)
Hindouistes
orthodoxes, quantité de documents en témoignent, en particulier des
monnaies de Samudragupta et de Kumaragupta Ier commémorant la
célébration de l'asvamedha (sacrifice impérial du cheval), les
Gupta font, néanmoins, preuve de bienveillance à l'égard du
bouddhisme.
L'idéologie
brahmanique de la caste, bien qu'elle doive composer avec des
survivances préaryennes aux échelons inférieurs de la hiérarchie,
est la norme sociale dominante dans l'Inde du Nord et maintenant dans
le Dekkan, mais doit encore s'imposer dans le Sud Dravidien (respect
rigoureux des tabous rituels dans les hautes castes, et notamment la
pratique du végétarisme, premier
témoignage
historique relatif à l'évitement de la proximité polluante de
l'intouchable)...
Veda
: En sanskrit, « savoir ». les 4 Veda sont considérés
par la tradition comme des textes sacrés et révélés. Composées
en 1 500 et 500 av J.C. d’abord transmis oralement, ces recueils
d’hymnes, de prières, de formules et d’instructions sur les
sacrifices sont le socle de la religion la plus ancienne de l’Inde,
le védisme. Nombre d’éléments du védisme subsistent dans
l’hindouisme
d’aujourd’hui.
On appelle parfois brahmanisme le noyau védique de l’hindouisme.
Avatar
: littéralement « descente ». Un dieu peut déléguer
une partie de lui-même qu’il fait descendre dans le monde des
hommes sous forme de héros ou d’animal : C’est un avatar. On
connaît ainsi 10 avatars de Vishnou, dont Rama et Krishna
Tou-loun
est un grand conquérant et un législateur, sous son règne,
l'empire des Jou-jouen s'etend depuis la Corée, jusqu'à l'Europe,
il comprend même un moment le pays des Bachkirs, où sont les Huns
Occidentaux. Nul doute que c'est à la présence de ces nouveaux
venus qu'il faille attribuer l'invasion d'Attila, vers 430. C'est
également à cette époque que les Kidarites et les Ephthalites
(Huns Blancs) font leurs migrations, ainsi qu'on le dira plus loin.
Les historiens Chinois nous ont conservé la liste de tous les
khaqans des Jou-jouen jusqu'à la destruction de l'empire.
C'est
sous O-na-hoeï et Ngan-lo-tchin que les Turks Tou-kioue s'emparent
du pays des Jou-jouen et font un grand massacre des habitants (552 à
554).
Les
Tou-kioue deviennent ainsi maîtres de tout le Nord de l'Asie, le
centre de la Kashgarie. Après cette victoire sur les Jou-jouen, ils
franchissent l'Yaxarte et, d'accord avec Chosroès Anouchirvân, roi
de Perse, mettent fin également à l'empire des Huns Ephthalites
dans la Transoxiane(557).
Les
Jou-jouen s'enfuient sous la conduite de princes nommés War et
Khouni, qui ont le titre de khaqan, c'est de là que vient la
désignation de Warkhouni ou Warkhonites, sous lequel ils restent
connus des Ouïgours, des Sabirs, des Turks. Mais quand ils pénètrent
en Europe, ils prennent le nom d'Avars (Abares) qui a été,
(paraît-il ce point d'histoire est obscur) celui d'une autre nation
qui est laissé en Tartarie... Un souvenir de terreur et de
domination. Nous retrouverons plus loin ces Avars, ceux que Simocatta
(VII, 7) appelés de faux Avars, Pseudônymoi.
Les
Hounas correspondent aux Hûna ou Huns blancs de l'Inde. C'est sous
ce nom que les textes sanskrits de l'Inde désignent une certaine
tribu étrangère venue du Nord-Ouest et qui envahit la péninsule au
Ve siècle de notre ère. On suppose que ce sont les mêmes que les
Huns Blancs ou Ephthalites qui, chassés du Kansou et du Turkestan
Oriental et ne pouvant franchir les sommets inaccessibles du Tibet,
se jettent dans la Transoxiane et au delà dans le Kaboul
où
ils règnent pendant plus d'un siècle, de 420 à 557 environ. Ces
peuples se donnent évidemment le nom de Hun, Hounn, ainsi que le
prouve la transcription sanskrite.
INTÉRIEUR D'UNE DES GROTTE D'AJANTA |
L'histoire
de l'occupation de l'Inde par les Hounas est difficile à écrire.
Aucun document ne venant du dehors (les historiens musulmans n'ayant
laissé que des notions très vagues et des noms propres altérés)
(normal tout ce qui n'est pas eux ne les
intéressent pas et ils font tout ce qu'ils peuvent pour
l'éradiquer), c'est avec les inscriptions de l'Inde propre
qu'on peut espérer distinguer les Hounas proprement dits des autres
populations étrangères (Indo-Scythes, Petits Yue-tchi, Çakas,
etc.), qui ont régné pendant les 7 premiers siècles et que les
textes indigènes désignent sous le terme générique de Mleccha
(barbares) et ensuite à établir la série chronologique des
différents souverains Hounas eux-mêmes.
Sur
ce dernier point, on ne possède que quelques noms, à commencer par
ceux de Toramâna et de Mihirakula qui sont certainement des noms
étrangers à l'Inde et très probablement des chefs de Hounas. Ils
sont cités dans la chronique des rois du Cachemire au nombre des 3
souverains (Hiranyakula est le troisième) Mlecchas qui ont régné
dans le Nord-Ouest de l'Inde.
On
a trouvé des monnaies et des inscriptions portant les noms de
Toramâna et de Mihirakula. Une des monnaies de Toramâna porte la
date 52 et l'inscription d'Eran est datée de l'an premier du règne
qui coïncide avec la défaite de Narasinha des Gouptas en 495. La
combinaison de ces dates donne à peu près l'an 445 pour l'entrée
des Hounas dans le Pendjâb et l'an 1. L'époque de la grande
puissance des Hounas est de 495 à 533. Toramâna, après avoir
chassé les Gouptas, prend le titre suprême de maharajadhiraja
(grand roi de tous les rois). Dans l'inscription de Kura il a le
titre de maharaja shâhi Jaùvla (si tant est que ce soit le même,
car il a pu y avoir plusieurs princes du même nom).
En
510, Toramâna est défait à son tour par Bhatarka, fondateur de la
dynastie des Valabhi, qui rétablit en même temps Narasinha sur le
trône.
GUERRIER HUNS |
Le
voyageur Chinois Soun-youn cite, de son côté, un roi de Gandhara
qui règne en 520 et possède 700 éléphants. Il est possible que
ces deux mentions se réfèrent à Mihirakula.
Nous
n'avons plus rien de certain sur la domination des Hounas après
Mihirakula. D'après les légendes indigènes, les Çakas sont
défaits dans la grande bataille de Kahrôr, près de Moultân, par
Çalivâhana vers 544 et chassés de l'Inde, mais il n'y a aucune
preuve historique de cette bataille qui a été confondue avec
d'autres, et Çalivâhana lui-même est un héros à moitié
légendaire.
En
fait, les Hounas sont restés dans l'Inde, au moins jusqu'à la fin
du VIe siècle et une partie du VIIe siècle et par conséquent bien
après que leurs congénères du Turkestan aient été vaincus par
Kosroès II. Ils se dispersent dans le Pendjâb où ils fondent de
petites principautés à l'Est de la rivière Satledj.
Il
y a encore aujourd'hui dans cette contrée des traces de la
domination des Indo-Scythes et des Hounas.
Bien
qu'ils ne soient mentionnés qu'au VIe siècle, les Huns Blancs,
chassés par les Jou-jouen (avec lesquels Cunningham les a confondus
à tort), apparaissent en Asie centrale et sur les frontières de
l'Iran, dès l'an 420, sous le nom de Haïthal ou Ephthalites, et
c'est sous ce nom qu'ils figurent pendant près d'un siècle dans les
guerres contre les Perses et contre les Romains.
En
chinois, leur nom était Hou-toun et aussi Ye-ta, ce dernier par
abréviation de Ye-ta-i-li-to, nom de leur chef. (E. Drouin / L.
Léger).
Le Nord-Ouest de l’Inde à l’époque de Gondopharès et de Vardane : Relais narratifs tardifs.
Le
cas de l’Inde est tout à fait particulier et pour le moins
surprenant, si l’on songe d’une part à la fascination qu’a
exercée la péninsule Indienne sur l’imaginaire Gréco-Romain, et
d’autre part à l’intensité des circuits commerciaux maritimes
qui l’ont reliée à l’empire Romain.
En
rédigeant sa géographie dans les premières décennies de notre
ère, Strabon déplore le manque de connaissances que ses
contemporains Grecs en ont et le peu de relations directes
qu’entretiennent Indiens et Gréco-Romains.
sur
600 rois... D’après Strabon, l’épisode n’a pas eu de suite et
ne se serait
pas
reproduit. Nous n’avons pas d’autres sources sur ce Porus, et
peut-être s’agit-il là d’un de ces canulars comme l’épisode
du faux Néron en Orient, encore est-ce dans ce cas un canular «
plausible » : On pense en effet à
présent
que le mot Porus est non pas un nom propre mais un titre dynastique
porté par les souverains des régions du Haut-Indus, qui a pu se
transmettre longtemps après la période Macédonienne où il est
attesté nommément, quant à
la
structure politique en petits royaumes subordonnés les uns aux
autres, que suppose la mention des 600 rois, c’est en tout cas la
structure politique de l’Inde telle que l’a trouvée Alexandre,
et c’est sur ce modèle
quelque
peu instable que l’on peut interpréter les monnayages que nous
retrouvons pour les époques postérieures.
En
dehors de cette brève indication de Strabon, les dernières
informations historiques enregistrées par les géographes et
historiens Gréco-Romains à propos de l’Inde concernent la
conquête Gréco-Bactrienne de territoires Indiens. Puis un grand
silence se fait sur les territoires du Nord-Ouest de l’Inde.
L’image
de l’Inde telle que nous la recevons de la tradition Grecque et
Gréco-Romaine s’est donc figée, du point de vue historique, au
cours du IIe siècle avant notre ère, en particulier celle de l’Inde
du Nord-Ouest, seuls le littoral et les ports sont mieux connus à
l’époque Gréco-Romaine grâce aux documents d’étapes des
navires marchands. Nous ne saurions donc rien, vu de l’ouest, sur
une éventuelle extension de la domination Parthe dans la région de
l’Indus si le
Périple
de la Mer Erythrée n’évoquait la présence de souverains Parthes
dans la région du Bas-Indus, et aucun document ne vient attester
qu’ils aient pris le contrôle d’autres territoires Indiens
Les
sources nous informant sur cette période sont assez maigres pour
reconstituer l'histoire politique et sociale, comme bien souvent pour
l'Inde ancienne. On connaît des inscriptions de souverains ou de
gouverneurs, dont la plus remarquable est celle du pilier d'Allāhābād
datant du règne de Samudragupta, ainsi que celles de vassaux tels
que les rois d'Eran au début du VIe siècle.
D'autres
proviennent de notables ou de guildes, et nous donnent des
informations sur la société et la vie religieuse, comme
l'inscription de Mandasor du Ve siècle commémorant la
construction d'un temple à Sūrya financée par une guilde de
tisseurs de soie.
LA GROTTE D'AJANTA |
Des
récits de voyageurs Chinois offrent une description du pays et
parfois des anecdotes historiques, souvent intéressées par le
bouddhisme car ces explorateurs sont des moines.
Faxian
voyage en Inde sous le règne de Chandragupta II, Song Yun et
Hui-sheng au début du VIe siècle, et surtout Xuanzang qui
vient en Inde au VIIe siècle mais rapporte quelques faits
datant des Gupta.
En
fin de compte, les informations principales concernent la culture et
l'art de la période Gupta, notamment les écrits religieux,
littéraires et scientifiques majeurs qui ont été conservés
jusqu'à nos jours, et parmi lesquels on compte des œuvres majeures
de la civilisation Indienne (Purana, écrits de Kâlidâsa,
Âryabhata, etc.). Il est cependant difficile de les dater
précisément, même s'il est possible de situer grossièrement leur
période de rédaction.
Plusieurs
sites présentent des niveaux et des monuments de la période Guptas.
Il s'agit surtout de centres religieux : Sārnāth, Mathura,
Nâlandâ, Deogarh, Eran, et les sanctuaires rupestres dont le plus
célèbre est Ajantâ. Ces sites étant également des centres
artistiques importants, ils ont livré de nombreuses œuvres de cette
période : Sculptures en pierre et en terre cuite, et des
peintures à Ajantâ.
Les
dernières décennies du Ve siècle voient manifestement une
désagrégation du pouvoir des Gupta et l'apparition de royaumes
indépendants aux périphéries de l'ancien empire ou près du
centre. Vers 500, les Huns Blancs attaquent à nouveau le nord du
sous-continent Indien par le nord-ouest, sous l'impulsion de leur
chef Toramâna, qui s'empare du Rajasthan et de l'ouest de la vallée
du Gange. Il est combattu par Bhânugupta. Son fils et successeur
Mihirakula poursuit les offensives vers l'Inde Intérieure. Suivant
les écrits de Xuanzang et une inscription de Mandasor, il est
repoussé vers 528 par des rois Indiens, menés par un certain
Baladitya qui est peut-être Narasimhagupta, et par Yashodharman du
Mâlvâ. Dans la tradition Indienne, les invasions des Huns Blancs
ont laissé une image terrible... Après la mort de Mihirakula vers
570, la puissance des Huns Blancs décline, mais l'État Gupta a
alors sans doute disparu, après avoir été encore plus affaibli par
ces guerres qui ont contribué à sa désorganisation et ont permis
l'indépendance de plusieurs anciens vassaux.
BOUDDHA |
Des
royaumes puissants ont émergé depuis longtemps dans le nord de
l'Inde et supplanté les Gupta : La dynastie des Maitraka
établie à Valabhi dans le Gujarat,
Le
Mâlvâ (entre le Madhya Pradesh et le Rajasthan)
Les
Gauda et Vanga dans le Bengale, etc.
Ceux
qui deviennent les plus puissants sont dirigés par la dynastie des
Pushyabhuti de Thaneshwar dans l'Haryana et par celle des Maukhâri
qui dirige un royaume dans la moyenne vallée du Gange, autour de
Kânnauj, ancienne capitale des Gupta. C'est à partir de l'union de
ces deux entités que Harsha des Pushyabhuti, régnant depuis Kanauj,
établit un empire éphémère entre 606-647, qui peut-être vu comme
une tentative avortée de reconstitution de l'ancienne puissance des
Gupta...
510
— Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/510
Cette
page concerne l'année 510 du calendrier julien. ... Le général
ostrogoth Ibba entre en Espagne et expulse de Barcelone, la nouvelle
capitale wisigothique ...
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Etat
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Henri
de Boulainvilliers - 1728
...
le Comte Ibba son General défit les François en bataille, &
leur tua 30000. hommes. En 510. Clovis travailla à se défaire de
tous les Roitelets, ou Capitaines ... qu'il y avoit fondée, & où
Sainte Génévieve avoit été enterrée la même année.
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