11
DECEMBRE 2015...
Cette
page concerne l'année 519 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
CHRONIQUE
DES APPORTS DE L'EMPIRE ROMAIN D'ORIENT SOUS JUSTIN.
Descendant
direct du roi Hermanaric, Eutharic épouse une lointaine cousine, la
princesse Ostrogothique Amale, Amalasonte, fille du roi Théodoric le
Grand et de la noble Franque Audofleda, sœur de Clovis Ier, roi des
Francs.
Père
de Mathesuentha et du futur roi Athalaric, il meurt en 522 ou 523,
avant le roi Théodoric, son beau-père à qui il devait succéder...
Flavius
Anicius Justinus, que nous appelions Justin I, originaire de Thrace,
et d'une naissance obscure, alors préfet du prétoire, est proclamé
Empereur par les soldats le 9 Juillet. Aussi-tôt il faît couronner
sa femme Lupicina, et lui donne le nom d'Euphémia. Les affaires de
l’Église prennent sur le champ une nouvelle face.
Anasarbe,
ville métropole de la Cilicie, est renversée par un tremblement de
terre. Justin la fait rebâtir, et lui donne le nom de Justinopolis :
Il accorde aussi de grosses sommes pour rétablir Edesse , qui a été
submergée par l'inondation du fleuve Scirtus. Il publie ensuite des
édits contre les Ariens, dont il donne les églises aux Catholiques.
Les
hérétiques engagent dans leur parti Théodoric, Roy d'Italie , qui
oblige le Pape à aller trouver de sa part Justin, et de lui
déclarer : Que s'il continuait de maltraiter les Ariens, il
userait de représailles à l'égard des Catholiques d'Italie. Justin
I reçoit avec de grands honneurs le Pape, et veut en être couronné.
Les autres ambassadeurs qui l'accompagnent, n'ayant pas réussi dans
leur négociation, Théodoric à leur retour les fait emprisonner.
Au
mois d'Octobre, Antioche est réduite en cendres par un incendie qui
dure, dit-on, 6 mois entiers, et où périssent beaucoup de ses
habitants...
Au
mois de Mai 516 , il survient un tremblement de terre qui dure près
d'un an, pendant lequel tout ce qui a échappé au feu dans Antioche,
est abîmé. Son Évêque Euphrasius y périt, beaucoup d'autres
villes, comme Durrazzo et Corinthe, sont aussi ruinées.
Cependant
le Pape meurt à Ravenne le 17 Mai,
Théodoric
nomme à sa place Félix qui est le IVe Pape de ce nom. Ce Prince,
accoutumé depuis longtemps aux cruautés, fait bientôt après
mourir son beau-père Symmaque,et le fameux Severinus Boetius, touts
deux accusés faussement de vouloir rétablir l'état sur le pied de
l'ancienne République Romaine. Quelques jours après il meurt d'une
fièvre ardente. Athalaric son neveu , âgé de 8 ans, et fils
d'Amalasonte, lui succède.
C'est
alors que Denys le Petit compose son cycle chronologique il est le
premier qui ait commencé à compter les années depuis la naissance
de J. C.
L'Empereur
néanmoins a demandé la paix, mais elle est rejetée, par le motif
de la révolte des Samaritains et des Juifs, qui ayant proclamé roi
un nommé Julien, exercent avec lui bien des cruautés contre les
Chrétiens.
BOÈCE |
Les
rebelles sont touts exterminés avec leur fantôme de Souverain, les
députés qu'ils ont envoyés aux Perses pour leur offrir la
Palestine, sont mis à mort par Bélizaire.
Le
seize d'Avril 519 , Justinien rend publiques ses Novelles et son
code.
Saint
Benoît bâtit un monastère en Italie près du mont Cassin.
Le
Pape Félix IV meurt peu après : Boniface II dont le nom, suivant
quelques écrivains, est meilleur que la vie, devient son successeur.
Ce mauvais jeu de mots veut dire apparemment qu'il fait peu de bien
et beaucoup de mal.
Les
Perses vaincus 2 fois, d'abord par Bélisaire, ensuite par Sitta, ne
veulent pas prêter l'oreille à la paix que Justinien leur fait
proposer par Rufin : Ils ne sont pas encore assez affaiblis.
Heureusement Narsès, qui par la suite rend en Italie de si grands
services à Justinien et Aratius son frère ? princes Persans ?
passent dans le parti des Romains...
Hilderic,
Roy des Vandales, a régné 7 ans, lorsque son cousin Gilimer, neveu
de Genseric, le chasse du trône et le fait enfermer dans une étroite
prison...
La
protection de Justinien est inutile au prisonnier. Gilimer, loin
d'obéir, se proclame roi et s'attire la guerre.
Cependant
Alamundare, Roy des Sarrasins, a engagé Cabadès pour une nouvelle
expédition contre les Romains, Il se jette dans la Syrie par la
Commagène. Bélizaire arrête ses progrès, il l'aurait vaincu sans
combat, si les siens ne l'y avaient forcé.
Les
Perses sont à la vérité vainqueurs, mais au prix d'un flot de
sang... Cabadés fait frapper d'infamie son Général Azaretès pour
avoir si peu ménagé les soldats.
Boniface
II, ayant assemblé un concile à Rome, y nomme, contre les canons de
l’Église, le diacre Vigile comme son successeur : Mais il
répare cette faute par une rétractation solennelle un peu avant de
mourir...
Jean
II, surnommé Mercure, Romain de naissance, est élu à sa place.
Amalaric
maltraite cruellement sa femme Clotilde, à cause de son attachement
à la catholicité : Elle envoie à son frère Childebert un mouchoir
teint de son sang... Celui-ci arme pour venger sa sœur, livre à son
beau-frère une bataille où il est tué après un règne de cinq
ans. Theudis lui succède au Royaume d'Espagne.
Les
contestations des Origenistes et des Nestoriens viennent de commencer
en Palestine. La principale demande des séditieux est qu'on leur
livre Jean de Cappadoce, préfet du prétoire, et Tribonianus
jurisconsulte questeur, deux hommes très différents, en ce que le
premier n'a aucune teinture des sciences, et que l'autre est fort
savant : Lesquels sont très semblables d'ailleurs par l'avarice qui
les domine.
La
sédition est excitée par les neveux de l'Empereur Anastase, car ils
prétendent à l'empire. On assure que dans le désordre il périt en
un seul jour plus de 35 000 hommes.
En
519 le schisme prend fin entre Rome et l'Orient.
En
Espagne, la population croyant voir une collusion entre les Barbares
et les profanateurs Juifs, Eutharic fait donner de sa soldatesque
pour rétablir l'ordre
Théodoric
instruit des difficultés que rencontrées par son gendre approuve
ses mesures de police et ordonne des sanctions contre les citoyens
responsables de dégâts. Il leur commande de reconstruire à leurs
frais les Synagogues brûlées. On accuse alors Théodoric de vendre
l'Italie aux Juifs.
Et,
pour assurer la succession de son gendre Eutharic Cilliga († 522),
il le fait adopter par l’empereur comme fils d’armes avant de lui
attribuer le consulat en 519.
Ainsi
se trouve instauré un régime dualiste. Assumant le titre de rex
sans déterminant ethnique, mais portant en même temps le gentilice
Flavius, qui l’apparente à la dynastie impériale... Théodoric Ier
apparaît à la fois comme le chef du peuple Ostrogoth en armes et
comme le vice-empereur responsable à la fois du gouvernement des
Italo-Romains et de celui des Barbares de la péninsule, dont les
monnaies portent toujours au droit le nom de l’empereur, dans
l’esprit duquel l’autorité qu’il lui a déléguée s’étend
sans doute à l’ensemble de l’Occident Romain.
Cassiodore,
un intellectuel latin entre Antiquité et Moyen Age :
Le
Moyen-Âge doit trouver une source d’inspiration systématique pour
ses propres chancelleries, et sa propre langue administrative. Après
la fin de sa questure (511), Cassiodore obtient, en 514, le titre
de consul ordinarius, aussi prestigieux que vain, les deux ne
sont pas contradictoires… Et devient vraisemblablement corrector,
c’est-à-dire gouverneur, de la Lucanie et du Bruttium peu après.
En
519, le gendre de Théodoric, Eutharic, partage le consulat d'orient
avec Justin Ier, c’est un grand honneur que font alors les
souverains d’Orient aux monarchies Barbares. Cassiodore compose à
sa gloire, et naturellement à celle de Théodoric, une
Chronique, c’est-à-dire une histoire qui remonte aux origines de
l’humanité, au couple d'Adam et Ève, et surtout entreprend une
histoire des Goths (De origine actibusque Gothorum, Origine et
geste des Goths), première histoire d’un peuple au Moyen-Âge,
énorme travail en 12 livres à la gloire de la dignité
régnante des Amales :
Travail
peut-être poursuivi jusqu’en 551, mais on ne peut l’assurer, et
que nous ne connaissons plus que par les Getica, sorte d’abrégé
rédigé par un certain Jordanès au milieu du VIe siècle.
Il
insiste à nouveau sur l’utilité de la lecture de la Bible et de
l’écriture des Livres, surtout sacrés, qui porte un
coup au diable : «Satan reçoit autant de blessures que le
copiste recopie de paroles du Seigneur ».
Il
fait un portrait caractéristique des principaux Pères latins,
Cyprien, Hilaire, Ambroise, Jérôme, Augustin, des principaux
historiens chrétiens de l’histoire littéraire, en quelque sorte,
et rappelle que les sciences profanes, non négligeables, sont déjà
en germe dans la Bible.
Les
moines moins aptes à l’étude s’occuperont des champs et des
jardins, c’est l’occasion d’un aperçu sur les agronomes
latins, Gargilius Martialis, Columelle, Aemilius Macer. Il donne une
brève bibliographie médicale, ainsi qu’une description charmante
de Vivarium et de ses environs, enfin une prière conclusive.
Le
second Livre traite des arts libéraux. Saint Augustin a suivi le
même schéma dans sa première version de son De doctrina
christiana : (deux Livres, la version définitive en comportera
quatre). Mais si Cassiodore répète, comme le Maître, que l’intérêt
des arts libéraux est d’ouvrir à l’Écriture Sainte, il ne
dénie pas toute valeur propre aux sciences profanes, au point que ce
Livre connaît une tradition distincte du premier au Moyen-Âge. Ici
7 chapitres (il y en avait 33 dans le premier, mais plus courts) :
Le nombre correspond, cela va de soi, aux sept arts libéraux,
additionné aux 33, on obtient le chiffre 40, autre chiffre
sacré dans l’Écriture Sainte. Ces 7 chapitres sont de pures
compilations, où sont présentées d’abord les disciplines du
trivium ainsi nommées à partir de Boèce : Grammaire,
dialectique, rhétorique, puis celles du quadrivium :
Arithmétique, musique, géométrie, astronomie, Cassiodore a
emprunté sa matière à des manuels complets sur chaque discipline,
des manuels antiques ou chrétiens, grecs ou latins, sans aucune
recherche d’originalité, il a cependant contribué à la fixation
du système des arts libéraux, entre 2 grands noms, qui ont fondé
le système intellectuel sur lequel vivra le Moyen-Âge et
même au-delà : Martianus Capella, au début du Ve siècle chez
les païens, Isidore de Séville, au début du VIIe siècle chez les
chrétiens, Isidore qui connaît très bien Cassiodore.
Entre
les deux, Cassiodore aura joué un rôle capital. Le schéma général
est cependant emprunté à un philosophe grec païen, Ammonios
d’Alexandrie, dans le prologue de son commentaire à l’Isagogè
de Porphyre, un texte qui date de la fin du Ve siècle, tandis que la
matière est inégalement traitée (avec davantage de développements
sur les 3 arts « littéraires » du trivium que sur les 4
disciplines « scientifiques » du quadrivium) ?
L’origine est tantôt latine (grammaire, rhétorique), tantôt
grecque, à travers une consultation soit des textes grecs eux-mêmes,
en langue d’origine, soit des textes en traduction, pour ce qui
concerne la philosophie et les sciences. Or le grec recule à
cette époque (Cassiodore lui-même ne le maîtrise pas avec une
aisance parfaite), la longue éclipse des études scientifiques en
Occident vient peut-être du fait que la science, la
connaissance du grec y disparaît avant que la science grecque ait
été traduite en latin. Boèce a formé le projet de traduire toute
l’œuvre d’Aristote et de Platon en latin, et celui d’une
encyclopédie scientifique complète, mais son exécution empêche
ces projets d'aboutir.
De
fait, à l’exception de quelques rarissimes intellectuels, à
partir de cette époque, la connaissance du grec devient rarissime
en Occident.
Et
cela nous amène à nous interroger brièvement pour conclure sur la
bibliothèque de Cassiodore... Les Institutiones ont systématisé
chez les moines l’idée d’entretenir et de copier les livres, ce
n’est pas une idée propre à Cassiodore : Déjà Saint
Martin, l’évangélisateur de la Gaule, comme on dit parfois, a
suggéré à ses jeunes disciples de consacrer une partie de
leur temps à la copie des livres (Sulpice Sévère, Vie de Saint
Martin, chapitre 10, paragraphe 6),
Cassiodore
n’invente pas, mais ce qui lui est propre est qu’il leur en fait
un devoir, sinon une obligation, et leur en donne les instruments, au
point que le Livre II passera bientôt pour un manuel de culture
profane.
Quels
sont donc les instruments dont disposent les moines de Vivarium ?
Un
bénédictin, Dom Cappuyns, en a fait une étude exhaustive dans son
article sur Cassiodore, dans le Dictionnaire de Géographie et
d’Histoire Ecclésiastique, tome 11. En voici un aperçu
résumé :
Cassiodore
possède une bibliothèque à Rome, mais sur elle on ne sait presque
rien, en revanche? à Vivarium? il y a deux bibliothèques, celle de
Cassiodore lui-même (« mea », ou « nostra
bibliotheca »), et celle des moines (« monasterii,
vestra », puisque les Institutiones sont adressées aux
moines).
La
première, celle de Cassiodore donc, est absorbée par la
seconde peu avant la première recension connue des Institutiones et
lui apporte des ouvrages de médecine et de théologie en latin et en
grec.
Au
total, pour aller à l’essentiel, on trouve une grande Bible
pré-vulgate (antérieure donc à la traduction de Jérôme),
peut-être une Bible Hébraïque, des livres bibliques séparés, en
très grand nombre, des commentaires scripturaires à lire, selon
Cassiodore, juste après les Institutiones conçues comme une
introduction à ces commentaires, de nombreux ouvrages patristiques,
Saint Jérôme et Saint Augustin, des ouvrages de droit canonique,
d’histoire ecclésiastique, de géographie, des manuels d’arts
libéraux. Les ouvrages de médecine et d’agriculture cités dans
les Institutiones ne le sont qu’entre autres ouvrages.
Chose
étonnante, peut-être rien sur les belles lettres : Seule une
étude des citations littéraires dans les Institutiones révèle
leur forte présence à Vivarium, Cassiodore, lettré, formé à la
littérature, devait forcément disposer d’une bibliothèque
littéraire importante, mais ce n’est pas ce qui compte à ses
yeux.
Au
total, 8 armoires de livres, cela peut sembler peu, c’est beaucoup
pour une bibliothèque antique. Dom Cappuyns en détaille le
contenu :
1-
Écriture Sainte
2-
Introduction à la Bible et commentaires sur la Bible
3-
Historiens chrétiens
4-
Pères de l’Église
5-
Ouvrages à l’usage des travailleurs manuels et des médecins (on
sait que la médecine était rattachée aux travaux manuels)
6-
Écrits concernant les Arts libéraux
7-
Dialectique, plus particulièrement
8-
Textes grecs, à part.
Il
y a en outre une foule d’ouvrages mentionnés dont Cassiodore
entendait faire l’acquisition prochaine, dans le cadre d’un plan
d’enrichissement de la bibliothèque...
Au
total, l’inventaire alphabétique que dresse le Bénédictin Dom
Cappuyns n’occupe pas moins de 4 grandes colonnes en petits
caractères, Augustin et Jérôme s’y taillent la part du lion :
C'est donc une culture fortement cléricalisée.
Dès
le début du VIIe, siècle cette belle collection a été récupérée,
à l’extinction de Vivarium, par la bibliothèque des papes, au
palais du Latran, et à partir de là dispersée jusqu’au IXe
siècle à travers toute l’Europe. Ce n’est pas là un acte de
négligence de la papauté, bien au contraire : C’est le
reflet, dans le cadre d’une évangélisation qui va au-delà des
frontières Européennes et de celles de l’ancien Empire, du souci
de doter les missionnaires de livres qui sont le fondement de
leur culture et de leur foi, il est donc normal de distribuer en
quelque sorte le contenu de cette belle bibliothèque, partant du
principe qu’il y a déjà à Rome de riches bibliothèques et
qu’il doit donc y avoir ce que nous appelons des « doublons ».
Ainsi, pour s’en tenir à Paris, à la Bibliothèque
Nationale le Parisinus Latinus 2630 (Saint Hilaire), et le Parisinus
Latinus 4808 (Julius Honorius) sont des manuscrits qui proviennent de
Vivarium, de la bibliothèque de Cassiodore.
Cassiodore
n’apparaît certes pas comme un grand théologien, mais il est le
type même du haut fonctionnaire lettré, devenu un chrétien
converti sincère, qui voit dans la culture une condition du salut.
MAUSOLÉE DE THÉODORIC A RAVENE |
Il
apparaît comme un organisateur minutieux de la transmission
culturelle, en cela extrêmement encore Romain, et cette transmission
du patrimoine est pour lui celle du patrimoine des « deux
Antiquités », comme on dira plus tard, l’Antiquité païenne,
l’Antiquité chrétienne. À un degré moindre que Boèce, il a
joué le rôle d’une sorte de « Cicéron chrétien »,
celui d’un intellectuel engagé, parfois jusqu’au cou, dans la
politique, avec ses compromissions, il a pris sa part de la gestion
de l’État, tout en gardant la nostalgie d’une cité qui serait
moins « fangeuse », pour parler comme Cicéron, que
la cité de Romulus. Il a profité d’une retraite interminable pour
se consacrer à des activités intellectuelles et spirituelles et à
la transmission d’un patrimoine.
Analyse
chronologique de l'histoire universelle: depuis le ...
https://books.google.fr/books?id=AhHnAAAAMAAJ
Étienne
André Philippe de Prétot - 1756 - World history
Eutharic
, gendre de Théodoric , devenu collègue de Justin 1 dans le
consulat, fît de grandes libéralités aux Romains , & leur
donna plusieurs spectacles brillants. ... On fît rayer des dyptiques
les noms d'Euphémius , de Macédonius,de ... fît mourir dans
l'année 519, son frère Berthaire , père de sainte Radégonde : Il
déclara …
VI
è SIèCLE APR.J-C
geballeux.chez.com/toucan8_index.html
Pour
la petite histoire amusante citons ces quelques dispositions qui sont
censées .... C'est de cette année là, ou de la suivante, que date
l'entrevue de CLOVIS et ..... 519 Fin du schisme entre ROME et
l'ORIENT/En ESPAGNE, EUTHARIC fait ... 521 JUSTIN confère titres et
honneurs à JUSTINIEN,celui-ci est fait Consul;il ...
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