16 DÉCEMBRE 2015
Cette
page concerne l'année 514 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
UNE
ANCIENNE CIVILISATION DISPARUE AU VIe SIÈCLE
Le Fou-nan ou Funan (khmer : ហ្វូណន, Hvaunan, aussi appelé Nokor Phnom នគរភ្នំ ; vietnamien : Phù Nam) est un royaume situé près du delta du Mékong et qui s'est développé avant l'Empire khmer, dans les premiers siècles de notre ère. L'apogée de cette civilisation se situe au Ve siècle. En effet, dès le siècle suivant, des conflits internes et des tensions dynastiques commencent à miner sa stabilité, facilitant les incursions de voisins hostiles, notamment du Tchen-la (probablement plus une confédération de villes-États qu'un puissant État unitaire), qui réussit au VIIe siècle à faire du Fou-nan son royaume
Le
Fou-nan est ce qu'on appelle un royaume « indianisé »,
c’est-à-dire que les vestiges archéologiques sont de culture
Hindouiste, les vestiges épigraphiques sont écrits en sanskrit et
que les classes dominantes sont par conséquent très probablement de
culture et de religion brahmanique. Il constitue le premier des États
Indianisés et est généralement considéré par les Cambodgiens
comme le plus ancien royaume Khmer.
La
capitale, d'abord située à Vyadhapura, près de l'actuelle Phnom
Penh, s'est ensuite déplacée à Oc Eo un peu plus tard.
Le
Fou-nan est mentionné pour la première fois dans la description
d'une expédition Chinoise dans le pays au IIIe siècle (le nom
même du Fou-nan dérive de la lecture Chinoise de l'ancien mot khmer
bnam [phnom, « montagne »], mais le nom de ses habitants
reste un mystère) : Une ambassade Chinoise a rapporté que
l’État a été fondé par un brahmane du nom de Kaundinya, qui,
dans un rêve, a reçu des instructions pour s'emparer d'un arc
magique dans un temple et de battre les armées d'une princesse
khmère du nom de Soma, fille d'un chef indigène, le roi des Nagas.
Kaudinya
épouse ensuite Soma, et c'est de leur union que descendrait la
dynastie royale du Funan. Ce mythe de Kaudinya et de Soma rend
légitime aussi bien le culte brahmanique que le culte rendu à la
divinité des cobras qui sont pratiqués en même temps par les
habitants du royaume. Au commencement de l'histoire du Fou-nan, la
population est probablement concentrée en villages le long du Mékong
et du grand lac Tonlé Sap, ainsi, les déplacements et les échanges
commerciaux se font surtout par voies fluviales.
L'ensemble
de la zone Deltaïque favorise une économie basée sur la culture du
riz et sur la pêche. On trouve des indications d'une production
rizicole abondante, facilitée par un système d'irrigation efficace.
Cependant, le rôle essentiel que joue le commerce maritime dans
l'histoire du Fou-nan est confirmé par la découverte d'objets
Indiens, Perses, Grecs et Romains dans son port principal, Oc Eo,
aujourd'hui au Vietnam.
Ensuite,
on n'entend plus parler du Fou-nan jusqu’aux débuts du Ve siècle.
De 484 à 514, le règne de Jayavarman marque pour le Fou-nan une
époque de grandeur et de brillante civilisation.
Les
vestiges archéologiques laissent présumer que le royaume est sous
une forte influence de la culture Indienne. Cependant, après
modification de l'alphabet sanskrit lors de la diffusion de cette
langue, un système local d'écriture a été créé.
Les
impôts sont payés avec de l'or, de l'argent, des perles et du bois
précieux. Selon les témoins Chinois, l’esclavage est une pratique
courante et les ordalies sont utilisées pour rendre la justice (le
système juridique est calqué sur celui de l'Inde, le Code de Manu.
En outre, les cérémonies de la cour et les structures politiques
s'inspirent des modèles importés.
L'histoire
des Qi méridionaux (459-502 dynastie Chinoise) donne une description
du royaume à l'époque du roi Jayavarman (478-514) :
« Les
gens du Funan sont malins et astucieux. Ils prennent de force les
habitants des villes voisines qui ne leur rendent pas hommage pour en
faire leurs esclaves.
Comme
marchandises, ils ont l'or, l'argent, les soieries [...] Ils abattent
des arbres pour construire leurs demeures.
Le
roi habite un pavillon à étage [...] Le peuple habite aussi dans
des habitations surélevées [...]
Pour
se distraire, les gens font combattre des coqs et des porcs [...]
Là
où ils habitent, ils ne creusent pas de puits. Par plusieurs
dizaines de familles, ils ont en commun un bassin où ils puisent de
l'eau.
Leur
coutume est d'adorer les génies du ciel, dont ils font des images de
bronze celles qui ont deux visages et quatre bras, celles qui ont
quatre visages et huit bras [...]
Pour
les morts, il y a quatre sortes d'« enterrements » :
« l'enterrement
par l'eau », qui consiste à jeter le cadavre au courant du
fleuve.
« l'enterrement
par le feu », qui consiste à le réduire en cendres.
« l'enterrement par la fosse », qui consiste à
l'enterrer dans une fosse. « l'enterrement par les oiseaux »,
qui consiste à l'abandonner dans la campagne.
À
partir du VIe siècle, le Tchen-la, un royaume du Cambodge, le
futur empire khmer, va dominer le Fou-nan dont il était autrefois le
vassal, et devenir le royaume indianisé dominant jusqu'au
XIIIe siècle … jusqu’à sa confrontation avec les royaumes
thaïs !
Le
Fou-nan est donc le premier royaume indianisé. Pourquoi ?
La
réponse la plus simple : Les vestiges archéologiques
sont de culture Hindoue, les vestiges épigraphiques sont écrits en
sanskrit, et de nombreuses annales Chinoises relatent la présence
des cultes hindouistes ou bouddhistes.
Le
centre est entre le Bassac et le Golfe de Siam, et son influence
s’étend jusqu'aux rivages Indonésiens, les côtes du Golfe
de Siam, et la Birmanie Méridionale.
Ils
nous rapportent la tradition locale sur la fondation du royaume -
mythe qui vient des Indes, au demeurant, et que l'on retrouve au
Champa et au Cambodge Angkorien. Un brahmane guidé par un rêve a
navigué vers ces rives, où il rencontre puis épouse la fille du
souverain indigène, souvent présenté comme un roi-naga,
c'est-à-dire un serpent fabuleux.
Ce
dernier, afin de constituer une dot pour sa fille, boit l'eau
couvrant le pays que ses sujets peuvent alors cultiver.
Cette
stylisation légendaire exprime admirablement tout le processus de
l'indianisation. D'abord une implantation commerciale, bientôt
renforcée par des alliances locales, puis, grâce aux leçons des
maîtres indiens et aux efforts collectifs des peuples du cru,
l'exploitation des deltas inondés et jusqu'alors hostiles.
On
peut donc retrouver à partir du IIIe siècle des inscriptions en
sanskrit qui donnent des dates, des faits, des noms de rois et qui
certifient les relations du Fou-nan avec la Chine et l’ Inde.
Nous voyons même, vers 357, un Indien régner au Fou-nan, peut-être
d'origine Scythe et de la souche même de Kanishka, ce qui peut
expliquer en particulier le succès du culte de Surya et de son
iconographie dans l'art Founanais. Un autre brahmane Indien, au
moins, lui succédera.
KRISHNA |
L'archéologie
aérienne, a aussi permis de révéler entre le Bassac et la
côte du Golfe de Siam, cette civilisation Founanaise.
Elle
révèle un étonnant réseau constitué par des étoiles de canaux
rectilignes, se commandant les unes les autres et disposées selon
une trame générale nord-est/sud-ouest, c'est-à-dire du Bassac vers
la mer.
Aux
centres nerveux de cet écheveau délicat on a découvert d'immenses
cités, Où devait se concentrer toute la richesse Founanaise. Elles
sont ceinturées par des lignes successives de remparts en terre et
de fossés, jadis pleins de crocodiles nous disent les auteurs
Chinois. Les canaux y pénètrent en autant d'artères, les divisant
en quartiers. Et l'on peut imaginer les maisons et les magasins sur
pilotis bordés de navires, comme à Venise ou dans les villes
hanséatiques. Cet ensemble impressionnant, unique en Asie du Sud-Est
à cette époque, atteste à la fois la puissance économique du pays
et sa concentration sociale, explique son pouvoir politique et sa
domination.
En
dehors de cette organisation de l'espace Founanais, nous ne savons
pas grand-chose de son art entre le IIIe et le Ve siècle. Seuls des
textes Chinois décrivent le luxe des palais des rois et des objets
envoyés à l’empereur de Chine, comme cette statue du Bouddha en
corail et un stupa en ivoire, offert en 503 par Kaundinya –
Jayavarman.
Mais
de fait, il ne subsiste que les petits objets Founanais découverts
dans le site d’ Oc-èo, et surtout les œuvres Indiennes et
aussi des créations Chinoises (fragment de miroir en bronze, qui
remonte aux Han postérieurs, statuettes bouddhiques, en bronze
toujours, attribuées aux Wei). Paradoxalement, il faut aller en Inde
pour trouver les modèles de l'art Founanais (des boucles d'oreille
en or au fermoir délicat, admirablement filigranés d'or, perles de
verre, intailles, etc.) que ceux-ci utilisent comme objets
d’échanges.
Le
premier groupe d' œuvres que l'on puisse réellement attribuer au
Fou-nan se situe dans le premier quart du VIe siècle. Il s'agit de
statues Vishnouites qui presque toutes proviennent du Phnom Da, haut
lieu sacré d'une capitale toute proche : Angkor Borei,
(attribuées au règne du dernier grand souverain Rudravarman -
514 - après -539 qui fut un fervent Vishnouite comme le proclament
ses inscriptions ( …) on trouve encore une statuaire bouddhique (
…) qui montre combien le bouddhisme a été florissant au
Fou-nan. (Petit puis Grand Véhicule se partagent les faveurs de ses
habitants).
Certes,
des spécialistes peuvent attester d’une belle civilisation et une
grande culture, mais il faut avouer que nous n’avons pas trouvé
une chronologie digne de ce nom. George Cœdès arrive à citer 13
souverains pour 5 siècles et à reconstituer certaines périodes de
cette histoire. On reste avec de nombreuses zones d’ombres, des
aveux d’ignorance, des reconstitutions trop générales. Mais
encore et partout, on avoue « En dehors des sources Chinoises,
on connaît peu de choses sur le pays ».
Claude
Jacques, nous aide à « imaginer » :
En
réalité, pour imaginer l'ancien pays khmer, et si l'on veut
absolument le comparer à notre pays, plutôt qu'à la France de
Louis XIV, il serait préférable de songer à la Gaule de
Vercingétorix. Au lieu de se représenter un « Fou-nan » et un «
Tchen-la », empires puissants solidement unifiés, il vaut mieux
voir l'ancien pays khmer largement morcelé en royaumes ou
principautés la plupart du temps sans doute de faible étendue, et
vraisemblablement en luttes fréquentes les uns contre les autres. Le
Sârvabhauma anonyme pourrait n'avoir été qu'un rêve de l'âge
d'or et on ne sait pas assez de Devânîka pour avoir même une idée
de l'empire sur lequel il règne. Il est vrai que, pour de courtes
durées, certains rois, comme Mahendravarman, ïsânavarman Ier ou
Jayavarman Ier, ont réussi à dominer un certain nombre de leurs
voisins, voire à se créer de toutes pièces un domaine par
conquête, comme semble avoir fait Bhayvavarman Ier. Selon toute
apparence, ils ne sont jamais parvenus à rassembler la totalité du
pays khmer, et leur mort a le plus souvent été suivie de
l'éclatement de l'empire qu'ils ont réuni.
D'autre
part, il est clair que ces rois, tout en affirmant qu'ils
appartiennent à la lignée royale des ancêtres mythiques Soma et
Kaundinya, ce qui paraît avoir été une condition nécessaire pour
pouvoir prétendre à un trône chez les Khmers, ne se sont jamais
prévalu à cette époque d'aucune autre parenté pour justifier de
leur présence à la tête de leur royaume.
On
« pense » que la population est probablement
concentrée en villages le long du Mékong et du grand lac Tonlé
Sap, que les déplacements et les échanges commerciaux se font
surtout par voies fluviales que la zone deltaïque favorise une
économie basée sur la culture et sur la pêche, dont on a retrouvé
des éléments d’un système d'irrigation efficace.
A
la mort du roi Founanais Jayavarman en 514, son fils Rudravarman né
d'une concubine, s'empare du pouvoir en se débarrassant de son
demi-frère, l'héritier légitime.
Il règne au moins jusqu'en 539, date de son ultime ambassade en Chine. C'est le dernier roi connu du Fou-nan, car dans la seconde moitié du VIe siècle, le pays est attaqué au nord par un royaume auquel les Chinois donnent le nom de Tchen-la.
Il règne au moins jusqu'en 539, date de son ultime ambassade en Chine. C'est le dernier roi connu du Fou-nan, car dans la seconde moitié du VIe siècle, le pays est attaqué au nord par un royaume auquel les Chinois donnent le nom de Tchen-la.
La
capitale du Fou-nan, située près de la colline de Ba Phnom, doit
être abandonnée et transférée de l'autre côté du fleuve, sur le
site actuel d'Angkor Borei, choisi peut-être à cause de sa
proximité de la colline de Phnom Da : c'est sans doute la dernière
résidence royale du Fou-nan, avant son absorption totale par le
Tchen-la au VIIe siècle ( George Cœdès).
Nous
avons néanmoins appris qu’avant l’arrivée des Viets et des
Thais, il existait des royaumes, enfin un ensemble de cités/états
reliées entre elles par des rapports de vassalités, des cultures
comme celle du Fou-nan , du Champa , deux religions (hindouisme
et bouddhisme) et qu’au milieu du VIe siècle, le Tchen-la
absorbe le Fou-nan.
Pendant
ce temps, le centre et le sud du Viêt-Nam suivent une évolution
différente. Les populations Cham, d'origine malayo-polynésienne,
venues probablement vers le cinquième siècle avant notre ère,
connaissent une indianisation par les marchands et les brahmanes
depuis le IIe siècle.
Les
Chinois l'appellent Fou-Nan, (prononciation mandarine moderne de deux
caractères prononcés autrefois b’iu-nâm, qui sont la
transcription du vieux mot khmer bnam, actuellement phnom
(Montagne)). Les rois de ce pays ont pour titre une expression
signifiant « roi de la montagne », en Sanskrit parvatabhûpâla ou
çailarâja, en khmer krung bnam, et c’est d’après ce titre
royal que les Chinois prennent l’habitude de désigner le pays.
JAYAVERMAN |
Les
derniers rois du Fou-nan (480-550).
C’est
une dizaine d’années après que l’Histoire des Ts’i
méridionaux parle pour la première fois au Fou-nan du roi
Chö-ye-pa-mo (Jayavarman), ayant pour non de famille
Kiao-tch’en-jou, c’est-à-dire descendant de Kaundinya. « Ce
prince, écrit P.Pelliot, a envoyé des marchands à Canton, qui, à
leur retour, sont rejetés sur la côte du Lin-yi (Champa), ainsi que
le bonze Hindou Nâgasena qui se trouve à bord avec eux. Nâgasena
gagne le Fou-nan par des chemins de traverse, et, en 484, le roi
Jayavarman l’envoie offrir des présents à l’empereur de Chine,
lui demandant en même temps de l’aider à vaincre le Lin-yi.
Depuis quelques années, en effet, un usurpateur s’est emparé du
trône de ce pays, mais alors que les textes sur le Lin-yi
l’appellent Tang-ken-tch'ouen, fils du roi du Fou-nan. Le roi
Jayavarman présente cet usurpateur comme un de ses serviteurs, nommé
Kieou-tch.
L’empereur
de Chine remercie Jayavarman de ses présents, mais n’envoie pas de
troupes contre le Lin-yi. À travers la phraséologie souvent obscure
du placet, nous distinguons du moins 2 choses : D’abord que le
culte çivaïte est dominant au Fou-nan. Mais, en même temps, le
Bouddhisme est pratiqué. Le placet est en grande partie bouddhique
et il est remis par un bonze Hindou qui a séjourné au Fou-nan. Bien
plus, c’est sous le règne de Jayavarman que deux bonzes
originaires du Fou-nan viennent s’établir en Chine, tous 2 savent
assez le sanskrit pour qu’on les ait employés leur vie durant à
traduire les livres saints.
Une
des coutumes représentative :
Quand
le roi s’assied, il s’accroupit de côté, relevant le genou
droit, laissant tomber le genou gauche jusqu’à terre. On étend
devant lui une étoffe de coton sur laquelle on dépose des vases
d’or et des brûle-parfums. En cas de deuil, la coutume est de se
raser la barbe et les cheveux... On ne possède pas l’inscription
émanant de lui, mais sa première reine, nommée Kulaprabhâvatî,
et un de ses fils, nommé Gunavarman, nous ont laissé chacun une
inscription sanskrite, en écriture vers la seconde moitié du Ve
siècle.
Sur
une stèle trouvée au Cambodge dans le Sud de la province de Takeo,
la reine Kulaprabhâvatî, désirant se retirer du monde, relate la
fondation d’un ermitage comprenant une habitation et une pièce
d’eau. La stance liminaire du texte est d’inscription Vishnouïte.
C’est également une inscription Vishnouïte, en écriture d’aspect
un peu plus ancien, qui a été gravée par ordre de Gunavarman, fils
du roi qui est la « lune de la lignée de Kaundinya », sur le pied
droit d’un édicule à Thap-müöi, dans la plaine des Joncs en
Cochinchine. Elle commémore la fondation, (« sur un domaine
conquis sur la boue » dont Gunavarman « bien que jeune »
est le chef), d’un sanctuaire contenant l’empreinte du pied de
Vishnou nommé Chakratîthasvâmin. Alors qu’à Java les empreintes
des pieds de Pûrnavarman comparées à celles de Vishnou marquent
peut-être, ainsi qu’il a été dit, la prise de possession du pays
après une conquête militaire, il s’agit ici d’une conquête
pacifique, après drainage et remblai partiel d’une région de nos
jours encore très marécageuse et inondée pendant une partie de
l’année... Il est probable que la mère de Gunavarman n’est
autre que la reine Kulaprabhâvatî, épouse de Jayavarman, et il
n’est pas impossible que Gunavarman soit le fils de Jayavarman qui,
d’après l’Histoire des Leang, est évincé du trône à la mort
de son père en 514, et assassiné par son frère aîné
Lieou-t-o-pa-mo (Rudravarman) né d’une concubine.
Rudravarman
qui envoie en Chine diverses ambassades entre 517 et 539, sera le
dernier roi Fou-nan, connu.
6.
Les Etats indianisés avant l'Arrivée des Thais. - Le blog ...
www.alainbernardenthailande.com/article-6-les-etats-indianises-avant-l-a...
9
janv. 2012 - On cite souvent le roi Kaundinya- Jayavarman, lui-même
issu d'un ... au règne du dernier grand souverain Rudravarman - 514
- après -539 qui fut un ... les usurpations , quelques guerres comme
celle des années 270, où le …
H1 : Histoire du Cambodge :
Période Founanaise ou ...
www.op-sangha.fr/article-h1-l-histoire-du-cambodge-periode-founanaise...
17
févr. 2010 - Les rois du Fou-nan : Ier siècle : - Houen t'ien ou
Kaundinya. ... Mais une vingtaine d'années plus tard, Fan tchan fut
assassiné par un fils de Fan che-man, nommé ..... Jayavarman,
(Grand roi du Fou-nan), mourut en 514.
Empire
du Fou-nan Angkor
angkor.wat.online.fr/fou-nan.htm
Lc
roi Kaundinya- Jayavarman, lui-même issu d'un brahmane venu des
Indes, régna sur le Fou-nan .... indiens, des dernières années du
Ve ou des premières années du VIe siècle. ... Art du Fou-nan;
style de Phnom Da :entre 514 et 539 apr.
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