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SEPTEMBRE 2015...
Cette
page concerne l'année 617 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
DIFFICILE
REPRISE EN MAIN DE LA GRANDE BRETAGNE APRÈS LE DÉPART DES ROMAINS
Æthelfrith
ou Ethelfrith est le premier roi de Bernicie
dont le règne puisse être daté de manière à peu près certaine,
de 592 environ à sa mort vers 616. Il envahit le royaume voisin de
Deira vers 604, constituant ainsi l'ébauche
de la future Northumbrie. Les sources qui
le concernent sont très lacunaires et problématiques, mais elles
permettent tout de même d'entrevoir quelques enjeux de ses combats
incessants.
Bède
le Vénérable, dans son patriotisme northumbrien,
est très indulgent pour ce païen sanguinaire, à l'occasion
massacreur de moines, car il reconnaît en lui le véritable
fondateur du royaume. Il voit en lui un grand roi, le dit avide de
gloire et le compare au biblique Saül pour
le nombre de Bretons qu'il a vaincus, soumis au tribut ou chassés de
leurs terres...
De
fait, à sa suite, l'historiographie traditionnelle associe les
succès d'Æthelfrith à la vigueur de l'expansionnisme anglo-saxon
au détriment des royaumes Celtiques. Les historiens actuels, plus
sensibles aux contacts et aux fusions qu'aux mythes d'un antagonisme
atavique et irréductible, insistent plus volontiers sur les jeux
complexes de rivalités et d'alliances, par lesquels ces clans
guerriers de l'aube du VIe siècle,
anglo-saxons comme Celtiques, maintiennent leur pouvoir dans leur
propre « royaume » tout en s'efforçant de le faire
reconnaître au-delà.
Après
Ælle, Ceawlin et Æthelberht, voici Rædwald, le 4e bretwalda, et
pas le mieux connu du lot. Comme d'habitude, c'est une traduction de
l'article Anglais, mais s'agissant d'un simple article, l'auteur
s'est permis davantage de libertés que pour les autres, en laissant
de côté des éléments qui lui semblent peu pertinents ou pour
lesquels il préfère directement vérifier dans les sources.
D'ici
là, commentaires et suggestions sont les bienvenus. La Bernicie
(Beornica en vieil anglais) est un royaume anglo-saxon situé dans le
nord de l'Angleterre et le sud de l'Écosse actuelles. Fondé au
VIe siècle, son unification au royaume voisin de Deira date du
début du VIIe siècle pour former le royaume de Northumbrie.
Son
territoire s’étend depuis la Tyne vers le nord, atteignant
finalement le Firth of Forth (estuaire de la Forth). Sa frontière
occidentale s'est graduellement étendue, mordant sur les royaumes de
langue Brittonique de Rheged, Gododdin et Dumbarton. La résidence
royale principale est le château de Bamburgh, près de l'île de
Lindisfarne... Le nom de Bernicie semble dériver du gallois Brynaich
ou Bryneich. Il est possible qu'avant l'arrivée des Anglo-Saxons, un
royaume Breton portant ce nom ait occupé la région, peut-être dès
le Ve siècle.
En
604, Æthelfrith devient roi de Deira, probablement par la force :
Le prince Edwin de Deira est forcé de se réfugier en Est-Anglie.
Æthelfrith gouverne les 2 royaumes jusqu'à sa mort au combat, en
616 ou 617, après laquelle Edwin lui succède à la tête de la
Bernicie et du Deira.
En
633, Edwin est tué en affrontant le Gallois Cadwallon ap Cadfan lors
de la bataille de Hatfield Chase. Ses deux royaumes se choisissent
chacun un nouveau souverain et Eanfrith, fils d'Æthelfrith, devient
roi de Bernicie. Cependant, il est tué par Cadwallon l'année
suivante en tentant de négocier avec lui.
Son
frère Oswald lui succède, triomphe de Cadwallon à Heavenfield et
réunit à nouveau la Bernicie et le Deira. Les deux royaumes
fusionnent alors au sein du royaume de Northumbrie.
Le
chapitre 63 de l'Historia Brittonum assure qu'Æthelfrith a régné
sur la Bernicie pendant 12 ans, puis pendant 12 autres années sur la
Northumbrie unifiée. On trouve d'autres cas de partage d'une vie ou
d'un règne en deux parties égales, un concept qui semble avoir été
privilégié dans l'historiographie anglo-saxonne pour des raisons
symboliques.
Dans
ce cas pourtant, le Moore Memoranda (un court appendice placé à la
fin du plus ancien manuscrit de l'Histoire ecclésiastique du peuple
Anglais de Bède, daté de 737) confirme un règne de 24 années et
la date de la conquête du Deira est à peu près sûre (vers 604).
Cela permet de fixer les dates d'Æthelfrith entre approximativement
592 et 616.
Æthelfrith
succède donc vers 592/593 à un obscur roi de Bernicie nommé Hussa
qu'il a dû tuer ou au moins chasser du pouvoir, car on trouve un peu
plus tard un fils de Hussa allié à ses ennemis Bretons du Dalriada.
Hussa n'apparaît pas dans la généalogie d'Ida le fondateur de la
Bernicie et paraît donc avoir appartenu à un clan rival.
Æthelfrith,
lui, est un des petit-fils d'Ida, et il est le fils d'Æthelric, roi
de Bernicie de 568 à 572. Son accession au pouvoir peut donc être
considérée comme une restauration de la famille du fondateur. Des
premières années, on ne sait rien. Nennius rapporte qu'Æthelfrith
« donne Din Guaire (Bambough) à sa femme dont le nom est Bebba »
le lieu prend le nom de Bamburgh d'après le nom de sa femme ».
Bède, de son côté, confirme que Bamburgh doit son nom à une
ancienne reine Bebba, mais ne nous dit pas qui est son époux.
Or,
Bamburgh n'est rien de moins que la capitale de la dynastie
Bernicienne, fondée et fortifiée selon la tradition par Ida
lui-même.
Un
tel « don de mariage » n'est pas banal dans les unions
anglo-saxonnes, même quand la mariée est la fille d'un roi
prestigieux. Si Bebba est bien la première femme d'Æthelfrith, il
faut croire que le roi de Bernicie a contracté une alliance hors du
commun.
On
a suggéré que Bebba pourrait être une transcription du nom
Celtique Bibba et qu'Æthelfrith a ainsi épousé une princesse
Bretonne. Michelle Ziegler y voit une sœur du roi des Pictes
Nechtan...
Ce
personnage aux origines mystérieuses (on le croit apparenté à la
dynastie du Strathclyde) apparaît dans l'histoire comme le
successeur de Gartnait, fils de Domnech, et bientôt comme le rival
d'Áedán mac Gabráin, roi de Dalriada, pour la suprématie sur les
royaumes du Nord.
Áedan
est un guerrier prestigieux que nous connaissons un peu par la Vie de
Saint Colomba où Saint Adomnan nous le montre combattant à la fois
les Pictes au nord et les Angles au sud. C'est dans son entourage
qu'on trouve les hommes du clan de Hussa, exilés de Bernicie. Il est
tentant, dans ces conditions, de penser qu'Æthelfrith a apporté un
soutien actif à son adversaire Nechtan. Mais on ne peut reconstruire
ces alliances que par des hypothèses plausibles. C'est par son
activité guerrière qu'Æthelfrith a laissé sa trace la plus
visible dans l'histoire.
Il
s'inscrit ainsi dans un mouvement engagé bien avant lui... Nennius
résume toute l'histoire de la Bernicie à ces affrontements entre
Angles et Bretons.
Il
nous montre Théodric, oncle d'Æthelfrith, soutenant des batailles
incertaines contre une coalition Bretonne menée par le fameux Urien
de Rheged, avant d'être défait et tué dans un combat à
Lindisfarne.
Et
surtout, quelle que soit la date exacte qu'on lui assigne, c'est sous
le règne d'Æthelfrith que doit se situer la célèbre bataille de
Catraeth dont il nous reste « Y Gododdin », la série
d'élégies composées par le barde Aneirin en l'honneur des
guerriers tombés au combat.
Certains
commentateurs sont d'ailleurs enclins à identifier cette bataille
semi-légendaire avec la bataille de Daegsastan, historiquement plus
certaine, où est vaincu Áedán mac Gabráin.
En
603, Áedan lance son armée contre la Bernicie et se heurte à
Æthelfrith à Degsastan, un lieu mal identifié que l'on situe
souvent dans le Liddesdale (Roxburghshire), peut-être à Dawston.
Qu'il faille ou non identifier cette bataille avec la légendaire
défaite Bretonne de Catraeth, il est sûr qu'elle est meurtrière et
décisive.
Æthelfrith
y perd au moins un de ses frères, Theodbald, et tous ses hommes,
mais Áedan est défait et son armée, quoique supérieure en nombre,
anéantie... C'est du moins ce que nous apprend Bède, mais la
réalité est peut-être plus difficile à cerner.
Áedan
survit à la bataille (on parle encore de lui 5 ans plus tard), mais,
déjà âgé, il semble se retirer peu après en faveur de son fils
Eochaid Buide.
Cette
succession, même si elle a pu être précipitée par la défaite,
montre tout de même que l'aristocratie guerrière du Dalriada
continue de faire confiance au clan d'Áedan.
C'est
aussi à Degsastan qu'apparaît Hering, fils de Hussa, le
prédécesseur d'Æthelfrith. Il joue un rôle important dans la
bataille, en conduisant les troupes du Dalriada sur le champ de
bataille.
Son
élimination permet à Æthelfrith de se débarrasser d'un prétendant
au trône de Bernicie dont le sort est peut-être, autant que celui
d'Áedan, l'enjeu de la bataille. Quoi qu'il en soit, cette victoire
libère le front nord de la Bernicie. Æthelfrith peut désormais se
tourner vers le sud de ses territoires et entreprendre la conquête
du Deira.
La
situation du Deira au début du VIIe siècle est très obscure.
Malgré les difficultés de la chronologie, on admet en général que
c'est toujours un fils d'Aelle, Æthelric, qui y règne. Des liens
existent aussi bien avec la Mercie au sud qu'avec le petit royaume
Celtique d'Elmet à l'ouest.
Nous
n'avons pas de détails sur la conquête. Le roi disparaît sans
laisser de traces, sans doute tué.
Les
Aethelings locaux prennent le chemin de l'exil. Edwin se réfugie en
Mercie auprès du roi Pybba, auquel succède bientôt (probablement
en 606) Ceorl, dont Edwin épouse une fille, Cwenburh, dont il a deux
fils.
Mercie
apparaît à cette date, à l'instar de la Northumbrie, comme un état
en formation et le roi Pybba semble avoir établi des alliances avec
les Celtes de l'Ouest, notamment le royaume de Gwynedd qui est alors
à son apogée, peut-être aussi avec celui de Powys... En tout cas,
sa puissance est suffisante pour que, pendant les années qui suivent
et bien qu'il craigne manifestement les Aethelings Deiriens en exil,
Æthelfrith ne paraît rien tenter contre son voisin du sud.
Hereric,
qui est peut-être un neveu d'Edwin, s'est réfugié quant à lui
auprès du roi Cereric d'Elmet, c'est du moins là qu'il est
assassiné (empoisonné, précise Bède) à une date difficile à
déterminer, sûrement à l'instigation d'Æthelfrith. Il laisse à
sa mort une veuve, Breguswith, enceinte d'une fille qui devient
Sainte Hilda, abbesse de Whitby.
Dans
des conditions obscures, Æthelfrith a pris pour épouse (sans doute
forcée) Acha, fille d'Aella et sœur d'Edwin.
Faut-il
voir dans cette union la volonté d'unir étroitement la Bernicie et
le Deira ?
Si,
comme beaucoup d'historiens sont tentés de le faire, on prête à
Æthelfrith une « vision politique » au-delà de son
désir de conquêtes, ce n'est pas exclu. Et si tel est le but de
l'union, elle a assuré la victoire posthume d'Æthelfrith :
Acha sera la mère de Saint Oswald... Pendant près d'une décennie,
nous manquons de renseignements. Æthelfrith s'emploie-t-il
prioritairement à organiser son état et à reconstituer ses forces
militaires ? C'est possible.
Vers
615 ou 616, Æthelfrith mène une nouvelle campagne contre les
Gallois. Il affronte à Caer Legion (Chester) les armées du roi de
Powys Selyf Sarffgadau. Ce dernier trouve la mort au combat, de même
qu'un autre roi d'origine inconnue nommé Cetula. La bataille est
restée célèbre pour le massacre des moines de Bangor, venus prier
en faveur des Bretons.
Les
historiens ont beaucoup discuté des raisons de cette campagne.
L'explication classique est qu'ils y voit l'accompagnement (ou le
prologue) d'une expansion Angle au-delà des Pennines hypothèse qui
a de moins en moins de défenseurs, car le verdict de l'archéologie
paraît désormais clair : On n'en trouve pas trace avant la
seconde moitié du siècle. Æthelfrith a-t-il eu le grand dessein
stratégique de pousser sa domination jusqu'à la mer d'Irlande afin
de séparer définitivement les Celtes du Nord des Celtes de
l'Ouest ?
Après
la défaite celte de Chester, Edwin trouve refuge auprès de Rædwald,
roi d'Est-Anglie. Bède rapporte qu'Æthelfrith lui a promis une
belle récompense en échange de la mort d'Edwin, et que Rædwald a
envisagé d'accéder à sa demande avant d'être réprimandé par son
épouse, qui l'a convaincu de rester fidèle à Edwin.
En
tout état de cause, Rædwald mène une armée contre Æthelfrith et
le vainc à la bataille de la rivière Idle, en 616 ou 617. Le vaincu
trouve la mort, laissant Edwin libre de s'emparer du trône de
Northumbrie. Les enfants d'Æthelfrith connaissent à leur tour
l'exil, se réfugiant en Irlande ou en Écosse...
A
la fin du VIe siècle, le pays des Welches comprend donc la partie
occidentale de l'île de Bretagne, limitée à l'Est par une ligne
partant approximativement de Bath pour aller jusqu'à Edimbourg.
Cette région est bien loin de former un tout homogène.
Outre le Pays de Galles actuel, beaucoup plus étendu alors et s'avançant au delà de la Severn, on compte :
Au
Sud du canal de Bristol l'ancienne Domnonée (Devonshire, Cornwall,
Gloucestershire), plus le territoire occupé par le Somersetshire et
le Wiltshire (en partie).
Au
Nord, de la Dee au golfe de Solway, les royaumes mal déterminés de
Reghed (les comtés actuels de Lancaster et Chester), et Eiden (le
Westmoreland et le Cumberland). Du Solway aux golfes de la Clyde et
du Forth, on connaît quatre royaumes - Strath Clyde, dans la vallée
de la Clyde avec Arclwyd, aujourd'hui Dumbarton, pour capitale.
Au
Sud du Strath Clyde, l'Argoëd ( pays des bois), ancien territoire
des Selgovii.
A
l'Ouest de celui-ci, dans le Galloway actuel, la Tir Reivonioc, dont
le nom rappelle le Retigonius sinus de Ptolémée.
Enfin,
entre la Clyde et le Forth, le Gododin formé par les anciennes
tribus des Gadeni et des Otadeni, ce dernier État, le plus oriental
de ces royaumes du Nord, est le plus exposé aux attaques des
Northumbriens et le plus célèbre de la littérature indigène (La
Borderie, les Bretons insulaires et les Anglo-Saxons du Ve au VIIe
siècle, Paris, 1873, in-12, pp. 115-119).
Durant
leurs longues luttes contre les envahisseurs, les indigènes sentent
la nécessité de faire renaître une solidarité étouffée par la
conquête Romaine. Ils se donnent le nom de compatriotes, par
opposition aux étrangers envahisseurs, Cymro, au pluriel Cymri.
Ils
appellent leur pays Cymru, leur langue le cymraeg. Ce nom de Cymro
n'a absolument rien à faire avec celui de Kymris, peuple fabuleux dû
à l'imagination d'Amédée Thierry.
Il
est formé de 2 mots de la vieille langue bretonne : com ou con ( =
avec) et brog ( = pays). Un peuple gaulois, les Allobrogae, a porté
un nom dont le second terme est identique et dont la signification
est la même. Il faut remarquer, en outre, que, du VIIe au IXe
siècle, le nom de Cambrie (Cymru) désigne surtout la Bretagne du
Nord, du Cumberland et du Strath Clyde (Phillimore, dans la revue
galloise Y Cymmrodor, 1890, t. XI, pp. 97 et suiv.). Jusqu'au Xe
siècle, l'histoire du Wales comprend donc celle de tout l'Ouest de
l'île.
Il
ne peut être question ici de retracer l'histoire, du reste fort
obscure, des chefs qui, pendant plusieurs siècles, dirigèrent la
lutte des Bretons contre les envahisseurs. On se contentera de
mentionner quelques noms célèbres et les faits les plus
caractéristiques. Dès le commencement du Ve siècle, après
l'abandon de l'île par les troupes et l'administration Romaine, le
pays se divise en une foule de petites principautés indigènes.
Incapables
de lutter contre les envahisseurs, Pictes, Scots et Saxons, elles
sentent la nécessité de certaines ligues, au moins temporaires, et
reconnaissent l'autorité de chefs militaires suprêmes.
Pour
la deuxième moitié du Ve siècle, nous connaissons les noms de
Vortigern et du Romain Ambrosius Aurelianus.
Au
VIe siècle, il semble qu'il se soit formé deux lignes, l'une au
Nord de la Dee, avec pour chef Dutigern luttant contre les
Northumbriens... L'autre, à l'Ouest et au Sud, dirigée par
Maelgwn, roi de Gwynedd (l'ancienne Venedotia, partie Nord du Pays de
Galles actuel).
Ce
dernier est assez connu, grâce aux invectives, plus ou moins
méritées, que lui prodigue Saint Gildas. Il meurt vers le milieu du
VIe siècle, en 547 selon les Annales Cambriae.
Passons
sur les exploits fabuleux d'Arthur (au VIe siècle), et aussi sur
ceux de Menezoc, d'Urien, de son fils Owen, etc... Ces derniers sont
mentionnés dans des poèmes attribuées aux bardes Aneurin, Taliesin
et Llywarch-Len (La littérature Galloise).
Aethelfrith
(mort en 616/617), roi de Northumberland par la réunion des deux
royaumes Anglais de Bernicie et de Deira, surpasse en ravages, s'il
est possible, son grand-père Ida.
Æthelfrith
de Northumbrie — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Æthelfrith_de_Northumbrie
Æthelfrith
ou Ethelfrith est le premier roi de Bernicie dont le règne puisse
être daté de ... douze années, puis pendant douze autres années
sur la Northumbrie unifiée. .... contre Æthelfrith et le vainc à
la bataille de la rivière Idle, en 616 ou 617.
I,
Gallois contre Anglo-saxons et Normands.
www.cosmovisions.com/histGalles01.htm
Aethelfrith
(mort en 617), roi de Northumberland par la réunion des deux ... le
12 octobre 633, ce dernier fut tué avec ses fils et la Northumbrie
mise à feu et à sang. .... Mais, dès l'année suivante, une armée
saxonne attaquait l'île de Mona.
Poole
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