Cette
page concerne l'année 736 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
712/756 L'UN DES PLUS LONG RÈGNE DES EMPEREURS DE CHINE
Tang
Xuanzong (chinois : 唐玄宗 ;
pinyin : táng xuánzōng), (né le 8
septembre 685 à Luoyang - mort le 3 mai 762) est un empereur de la
dynastie Tang. Son nom de naissance est Lǐ Lōngjī (李隆基),
mais il est plus communément appelé Minghuang (明皇,
Míng Huáng, ce qui littéralement veut dire Empereur Brillant,
Glorieux Monarque), son véritable nom est Hsüan Tsung (Xuan Zong en
pinyin). C'est le troisième fils de Ruizong et le petit-fils de
l'impératrice Wu Zetian. Sa mère, Dou, est l'une des concubines de
l'empereur. Il meurt en exil en 762, et est enterré au mausolée de
Tai. Son règne (712-756) est l'un des plus longs de l'histoire de
Chine, il dure 43 ans.
Cette
période dans l'histoire Chinoise, est une époque exceptionnellement
créative, vigoureuse et productive. Après des siècles de luttes,
le pays est finalement réunifié. Durant le règne de l'empereur
Wendi (581-604), fondateur de la dynastie des Sui, homme doué de
compétences administratives exceptionnelles, la population double.
Toutefois, les Sui ne se maintiennent pas longtemps au pouvoir. Le
deuxième et dernier empereur de la dynastie, Yangdi (r. 604-618),
entreprend des travaux extravagants, dont ceux de la capitale
orientale, Luoyang, et du Grand Canal, ouvert pour relier le Nord et
le Sud...
Ces
travaux laissent une influence historique durable, mais le gaspillage
effréné de Yangdi écourte la vie de la dynastie.
Les
premiers empereurs Tang continuent la consolidation du pays
entreprise par Wendi. Sous leur règne, la Chine devient le plus
grand et le plus puissant pays médiéval. Celui qui contribue le
plus à cette suprématie est l'empereur Li Shimin, dont l'ascension
au trône en 626 inaugure plus d'un siècle de développement soutenu
dans les sphères sociales et culturelles.
L'expansion
territoriale intègre l'Asie centrale à l'empire et garantit les
routes des caravanes en direction de l'ouest.
À
sa mort, l'impératrice Wu Zetian transmet le pouvoir à son fils
Zhongzong (705-710), à son tour empoisonné par sa femme
l'impératrice Wei. Un coup d'état, dirigé par Li Longji, un des
princes Tang, venge Zhongzong.
Li
a 24 ans, il fait monter sur le trône son père Li Dan, empereur
Ruizong qui abdique en sa faveur 2 ans plus tard... Ainsi commence
l'un des plus grands règnes de l'histoire de Chine.
La
première partie du règne de Xuanzong, l'ère Kaiyuan (713-741), est
considérée comme l'apogée de la dynastie Tang, à la suite de la
mise à l'écart des femmes des affaires politiques.
Dans
les faits, la première décennie de son règne n'apporte pas de
grands bouleversements par rapport aux années précédentes, puisque
le personnel politique dominant reste celui qui a été promu par Wu
Zetian et les impératrices et princesses suivantes, dont on
reconnaît pourtant la trop grande importance numérique, conséquence
de la volonté de ces femmes de promouvoir des hommes nouveaux
richement dotés.
Comme
sa grand-mère, il est assisté par un groupe de lettrés servant de
proches conseillers et de secrétaires, la « forêt de plumes »
(Hanlin).
Mais
Xuanzong s'appuie sur des ministres importants qu'il laisse en poste
plus longtemps que ne le permettaient ses prédécesseurs.
Au
fil du temps, l'empereur se repose de plus en plus sur l'aristocratie
de Chang'an et du Nord-Ouest, comme les premiers Tang, parmi lesquels
il recrute notamment des administrateurs chargés de missions ad hoc,
en dehors des cadres administratifs habituels.
Yuwen
Rong est chargé du recensement de familles échappant à
l'administration fiscale.
Pei
Yaoqing de l'amélioration du transport sur le Grand Canal
Les
superviseurs des monopoles du sel prennent aussi une grande
importance. Dans l'armée, les gouverneurs des provinces frontalières
prennent une importance croissante.
Cependant
il doit lutter en 736 contre
les Turcs rebelles du Sémiretchié (lac Balkhach).
Le
Kaghan des Türgech Sou-lou, qui a envahi le Tarim, est vaincu par le
général Kai Kia-yun. Ses alliés les Tibétains sont battus l’année
suivante à l’ouest du Kokonor.
L’empereur
de Chine Xuanzong chasse les musulmans de Kachgar.
Les
Khitans et les Xi se déclarent indépendants de la Chine des Tang.
Le
général An Lushan, envoyé réprimer leur rébellion, est mis en
déroute. Il échappe à l'exécution capitale pour désobéissance.
KACHGAR MAINTENANT |
La
seconde partie du règne de Xuanzong, l'ère Tianbao (742-756) est
vue comme une phase de déclin. L'empereur est alors moins actif dans
la direction de l'empire, qui est confiée au ministre Li Linfu, qui
en vient à exercer un pouvoir autocratique après avoir accompli de
nombreuses purges... Éliminant de fait les plus talentueux ministres
et s'appuyant sur des généraux d'origine étrangère, comme le
sogdien An Lushan et le coréen Gao Xianzhi.
C'est
aussi une période de retour de l'influence féminine à la cour,
avec l'ascension de la première concubine (Guifei), Yang Yuhuan (ou
Yang Guifei). Le frère de celle-ci, Yang Guozhong, est un concurrent
de Li Linfu, et quand ce dernier meurt en 752, il tente de prendre sa
place. Il veut écarter An Lushan, mais celui-ci est épargné car il
a l'appui de Xuanzong et de Yang Guifei qui en a fait son fils
adoptif, et fuit la capitale pour préparer sa révolte.
À
l'extérieur, il porte à son apogée la puissance de la Chine.
À
l'intérieur où la paix règne, l'empereur, protecteur des lettres
et des arts, donne tous ses soins à l'éducation, et de nouvelles
écoles se créent.
KACHGAR |
À
la capitale, 3 organes du gouvernement central sont établis :
Le
Secrétariat impérial (Zhongshu sheng)
La
Chancellerie impériale(Menxia sheng)
Le
département des Affaires d'État (Shangshu sheng).
Minghuang
est lui-même poète et musicien. Il i établit la « Cour
où s'assemblent les sages » (Jixian yuan) et appelle souvent
les membres de cette Cour à discourir avec lui.
La
création du Hanlin yuan (Hanlin, Forêt des pinceaux, assemblée de
lettrés), célèbre institution académique, peut dater du début de
son règne. Les textes font allusion à différents départements
attachés au Hanlin et consacrés à diverses études : Celles
de la poésie (cixue), des classiques (jingshu), de l'alchimie
(helian), du bouddhisme et du taoïsme (sengdao), de la divination
(bushu), des arts (yishu), de la calligraphie et du jeu d'échecs
(shuyi).
La
peinture ne fait l'objet, alors, d'aucune mention. Sans doute les
peintres sont-ils confondus avec les experts en divers arts. D'après
le Jiu Tangshu (Ancienne Histoire des Tang), scribes et peintres
(shuhua) constituent, avec les artisans, un groupe opposé à celui
des lettrés (xueshi).
Quand
un peintre est sans emploi, il convoque une session spéciale
d'examen pour lui donner sa chance. Il agit ainsi à l'égard de Du
Fu qui, victime peut-être d'une trop stricte exigence personnelle,
échoue dans sa jeunesse à l'examen de lettré accompli.
Il
n'exige aucun examen du grand poète Li Bo pour lui donner une
fonction au Hanlin yuan. Le génie de Li Bo fait oublier
l'extravagance d'une conduite qu'aucune règle morale n'arrête. On
le dit ivrogne, vagabond, capable du pire, il ne connaît que son
impulsion. L'amitié que lui voue Du Fu plaide en faveur d'intimes
valeurs qui se révèlent aux plus dignes.
Quand
l'empereur le reçoit, il le met à l'épreuve, vite convaincu il le
comble d'honneurs. Il excuse même les libertés que se permet le
poète en état d'ivresse.
Minghuang
vit entouré des meilleurs lettrés de son temps : Wang Wei est
l'un des très grands noms de sa Cour. Il protège les arts et est
épris de musique pour laquelle il crée une école à l'intérieur
du palais, puis une deuxième en 714, et d'autres non plus au palais,
mais dans la capitale. La musique du pays de Kucha jouit alors d'une
grande faveur. Un texte rapporte que l'empereur, après avoir appris
la musique, se prend à aimer passionnément la musique Chinoise
(faqu). Il choisit alors une troupe de musiciens qui jouent assis, au
nombre de 300. Ils reçoivent leurs instructions au Jardin des
poiriers. La musique de ce Jardin évoque encore aujourd'hui la
douceur de vivre pendant ce règne qui marque un apogée.
Avec
la musique, l'empereur encourage la danse et le théâtre. Pendant
les premières années de son règne, parmi toutes les danseuses, la
dame Gongsun est la seule capable d'interpréter la danse pantomime
de l'épée.
« L'Empereur
Brillant a 8 000 dames d'honneur, Madame Gongsun se montre toujours
suprême dans la danse pantomime de l'épée ». Un siècle plus
tard, l'empereur Minghuang remplit ses écuries avec plus de 40 000
coursiers étrangers. Ces chevaux qui ne voient jamais un champ de
bataille, sont dressés pour danser devant le fils du ciel Cheval
Dansant.
L'événement
se produit en 756 : L'empereur Minghuang, chassé de sa capitale
par une révolte, va se réfugier à Shu (dans la province moderne du
Sichuan), la route qu'il doit emprunter, longue et difficile, n'est
guère plus qu'un sentier de montagne. Dans le tableau, les saillies
rocheuses, la falaise verticale à laquelle s'accroche la route, les
failles obscures et les gouffres mystérieux veulent provoquer chez
le spectateur un sentiment d'âpreté et de danger, contredit
cependant, par la pigmentation éclatante du paysage aussi gaiement
coloré, au milieu de tous ces arbres en fleurs, il est difficile
d'imaginer le moindre péril.
La
révolte qui envoie Minghuang en exil, même si elle se solde par un
échec, illustre clairement la tragique perte de puissance de cette
dynastie brillante entre toutes.
Avec
elle s'évanouit le sentiment de sécurité qui se dégage de toutes
les œuvres picturales de cette époque.
Quelle
attitude peut-on attribuer à l'auteur anonyme du Voyage de
l'empereur Minghouang vers Shu quand il entoure son héros de ces
falaises menaçantes parce qu'elles s'accordent, par l'impression du
risque et de la difficulté qu'elles éveillent, à la douleur de
l'empereur partant pour l'exil.
Il
est plus vraisemblable que le peintre représente simplement les
rochers comme il a l'habitude de le faire.
Yang
Yuhuan (楊玉環)
(719-756), fille de Yang Xuanyan officier et fonctionnaire du
ministère des Armées de l'empereur, fait alors partie du harem de
Li Mao ou Li Qing, prince de Shou (715-775), 18e fils de l'empereur
Minghuang. Lors d'une visite chez son fils, l'empereur qui se trouve
être à la recherche des plus belles femmes de l'empire, la remarque
comme en faisant partie, et la rebaptise Yang Guifei afin de se
l'approprier. En 745 elle entre dans le harem impérial, puis devient
sa concubine officielle. L'attrait principal de la cour ne réside
plus dans ses interprétations et jugements politiques mais dans son
luxe et son éclat...
De
745 à 756, le personnage le plus puissant du pays est Yang Guifei,
la plus illustre femme fatale de l'histoire chinoise. Elle est connue
sous le nom de « Beauté de Jade » et comme la plus belle
femme de l'empire de cette époque. On prétend que la mode des
portraits de femmes bien en chair a beaucoup à voir avec la
corpulence notoire de Yang, toutefois, cette assertion est sujette à
caution. Cette image de la beauté idéale, aux formes pleines, se
répand d'un bout à l'autre du pays et même au-delà des
frontières...
La
légende des 12 animaux du zodiaque, raconte comment le rat vole la
place du bœuf dans l’ordre du calendrier chinois. Voici cette
légende :
Un
jour, alors que l'Empereur de Jade préside une séance d'audience
dans le palais céleste, le tigre, le phénix et le dragon viennent
crier à l'injustice.
L'Empereur
leur dit: « Vous êtes considérés comme le roi de la
montagne, le roi de l'eau et le roi de la forêt. Qui a donc l'audace
de vous maltraiter? »
Les
3 plaignants répondent :
« C'est
l'homme. Il essaie par tous les moyens de nous tuer. »
L'Empereur
de Jade dit:
« Et
bien, rentrez chez vous et informez vos vassaux qu'ils doivent venir
attendre devant la Porte sud du Palais céleste à la cinquième
veille du matin. A mon signal le premier à se présenter, je le
choisirai comme symbole désignant l'année de naissance de
l'homme...Celui-là ne sera plus jamais persécuté par l'homme.
Quant aux autres, je ne m'en occuperai pas. »
Les
3 animaux-rois se dépêchent d'aller informer leurs vassaux.
La
nouvelle se répand...
Les
animaux se préparent à la hâte.
Le
rat qui est en train de creuser un trou n’a pas entendu la
nouvelle. Quand il sort du trou, il voit le chat qui se lave le
museau et l'interroge : « Frère chat, vous faites votre
toilette, est-ce que vous allez rendre visite à des parents ou
bavarder avec des voisins ? »
Le
chat répondit :
« Pas
du tout. Demain matin, j'ai une affaire importante à régler. »
Le
rat s'empresse de se renseigner.
Le
chat lui révèle candidement le décret de l'Empereur de Jade.
« J'y
vais moi aussi. »
Le
chat dit:
« Allons-y
ensemble. Cependant j'ai l'habitude de faire la grasse matinée.
Demain matin vous devrez me réveiller de bonne heure. »
Le
rat acquiesce.
Le
lendemain, le rat se réveille à la troisième veille du matin et
pense : « Le chat court plus vite que moi. Si je vais avec lui,
je le payerai cher », il se lève doucement et se met en route
tout seul, sans aller réveiller le chat.
Devant
la Porte sud du Ciel, des fauves et des oiseaux sont déjà
rassemblés.
L'Empereur
de Jade, assis dans la salle du palais, ordonne à son ministre,
Étoile d'Or, de préparer pinceau et papier.
À
la cinquième veille, il crie
« Entrez ».
Les
animaux accourent, ils se serrent devant la porte du palais et
personne ne peut faire un pas de plus.
Le
rat se dit : « Je n'ai pas de force, je n'arrive pas à
traverser la foule.
Il
me faut trouver un moyen. »
Soudain,
l'idée lui vient de passer entre les jambes des animaux...
Alors
d'un bond, il saute le premier devant l'Empereur de Jade qui, en le
voyant, dit : « Voilà ! Le premier arrivé est le rat. »
Étoile
d'Or en prend note. C'est ainsi que le rat se classe premier des
douze animaux.
Le
bœuf, impatient, écarte grâce à sa force les autres animaux et
court en avant.
L'Empereur
de Jade dit: « Voilà maintenant le bœuf. »
Étoile
d'Or classe le bœuf en deuxième position.
Le
tigre se dit:
« Le
bœuf a de la force, moi aussi. " Il
saute, d'un bond par-dessus les têtes des autres animaux et gagne la
troisième place.
Voyant
cela, le lapin réfléchit:
« Je
ne suis pas assez fort pour traverser la foule. Je vais suivre
l'exemple du rat ! »
Il
se fait tout petit et se faufile entre les jambes des autres animaux,
et se classe quatrième.
Le
dragon se met en colère, en voyant que les autres le précédent.
« Je
suis le plus puissant, pourquoi ne pas utiliser mes pouvoirs
magiques ? »
Il
s'élève dans les nuages, s'avance à travers le ciel et arrive le
cinquième.
Le
serpent ne supporte pas de se montrer faible... Habile, il se glisse
à travers les jambes des animaux et se classe sixième.
Voyant
qu'il n'a pas le temps de traverser la foule, le cheval concentre ses
forces et d'un bond s'élance devant, il est classé septième.
La
chèvre pense :
« Je
suis moins forte que les autres. Je vais essayer de me servir de mes
cornes. »
Elle
baisse la tête et pousse les autres animaux de ses cornes pointues.
Les autres s'empressent de la laisser passer. La chèvre peut ainsi
gagner la huitième place.
Le
singe, lui aussi, utilise ses capacités. S'agrippant tantôt aux
cheveux des uns, tantôt aux oreilles des autres, il bondit
promptement, par-dessus les têtes des animaux, et s'élance devant.
Il est classé neuvième.
Voyant
qu'il y a déjà neuf animaux devant lui, le coq craint qu'il n'y ait
plus de place pour lui... Battant des ailes, il traverse la foule en
volant et prend la dixième place.
L'Empereur
de Jade, pensant que le nombre des animaux est suffisant, dit :
« Ça suffit ! Ça suffit ! »
Étoile
d'Or croit qu'il crie « le chien » et prend en note le
chien.
L'Empereur
de Jade répéte:
« C'est
assez ! C'est assez ! »
Étoile
d'Or croit alors qu'il dit le « cochon » et écrit
« cochon » ( en chinois ces mots sont homophones).
L'Empereur
saisit alors brutalement le papier où sont inscrits les noms des
animaux, et dit :
« N'écris
plus rien »
Il
compte, et s'aperçoit qu'il y a douze animaux pour désigner les
années de naissance, au lieu de dix... Il doit donner son
consentement. C'est ainsi que sont choisis les douze animaux et
qu'ainsi est fixée leur place respective...
Le
voyant arriver, le chat dit :
« Il
faut que nous partions. »
Le
rat lui dit :
« Pourquoi
partir. J'ai gagné la première place. »
« Pourquoi
ne m'avez-vous pas appelé ? »
« Si
je vous avais réveillé, comment aurais-je gagné la première
place ? »
A
ces mots, le chat s'indigne et s'abat sur le rat pour le dévorer...
Le rat est si habile qu'il réussit à s'enfuir. C'est depuis lors
que le chat et le rat sont ennemis.
736
— Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/736
Cette
page concerne l'année 736 du calendrier julien. ... L'empereur de
Chine Xuanzong chasse les musulmans de Kachgar. Les Khitans et les Xi
se déclarent ...
Vous
avez consulté cette page le 12/05/15.
Mythologie
Chinoise: août 2012
dieux-chinois.blogspot.com/2012_08_01_archive.html
1
août 2012 - Durant de nombreuses années il se chargea de transmuter
grâce à une ... En 736, l'empereur Xuanzong y envoya d'abord un
émissaire le ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire