mercredi 27 mai 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 723

25 MAI 2015...

Cette page concerne l'année 723 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !


ÉVOLUTION DE LA FORMULATION TESTAMENTAIRE.

On a connaissance d’une quarantaine de testaments Mérovingiens, soit que le texte en ait été conservé (une douzaine), soit qu’une autre source en donne l’analyse ou en fasse mention... Cerner ce que ces rares documents représentent de l’instrumentation testamentaire Mérovingienne a déjà été abordé, l’identité, et le niveau social des testateurs ont souvent été discutés, sans que l’on aboutisse à des conclusions tranchées...

En théorie, tout homme libre peut tester. Faire un testament, hériter par testament sont signes de liberté ; tester, être légataire témoignent que l’on est maître de sa destinée et de ses biens, aussi le « testamentum » apparaît-il, dans des formules d’affranchissement des VIe-VIIIe siècles, comme la représentation de l’acte écrit passé par l’homme libre. Au bas de la hiérarchie sociale, les non-libres ne testent pas. Mais au sommet les rois eux-mêmes, dont la succession se règle automatiquement ou par traité, n’usent pas de la forme testamentaire pour leurs legs pieux, ils utilisent la donation pro anima. Ainsi, loin de marquer la distance entre les aristocrates et le reste de la société, l’usage du testament trace les contours de la catégorie juridique des libres, princes exclus...

Pourtant, l’essentiel des testaments connus montre comme testateurs des reines ou des filles de roi, des ecclésiastiques pourvus des ordres majeurs, notamment des évêques, des supérieurs de monastères ainsi que des aristocrates laïques en somme des membres des élites aristocratiques et surtout des élites ecclésiastiques.
Cet écart entre l’utilisation théorique du testament et les traces qui subsistent de son usage Mérovingien conduit dans un premier temps à l’hypothèse que les testaments dont nous avons connaissance représentent en quelque sorte la partie émergée d’un iceberg documentaire : Les élites surnagent, les autres catégories sociales testatrices sont noyées dans l’oubli archivistique. Une conservation différentielle des testaments en fonction de l’origine sociale des testateurs se comprend aisément : Les richesses transmises par les testaments aristocratiques et le prestige de leurs auteurs ont pu amener leurs bénéficiaires à accorder un soin particulier à leur préservation.

De frêles indices, régulièrement relevés et commentés depuis H. Auffroy, font de fait subodorer, en accord avec le droit, un large emploi du testament, tout au moins dans la société des VIe-VIIe siècles. Le plus ancien diplôme Mérovingien conservé en original (un acte de Clotaire II) confirme, à la demande de l’abbé de Saint-Denis Dodo, le testament et les legs faits à la basilique par un marchand appelé Jean. Ce marchand est apparemment étranger à l’entourage royal, car il n’est nommé dans le diplôme qu’en sa seule qualité d’auteur des legs, sans doute doit-on le compter au nombre des riches ( ?) négociants parisiens ( ?) sans relation décelable avec la cour royale.

Par ailleurs, la législation religieuse élaborée entre le concile d’Epaone (517) et celui de Clichy (626) parle des testaments des fidèles, quels qu’ils soient, et des testaments passés par des ecclésiastiques de tous grades, y compris par des clercs pourvus des ordres mineurs. Si évêques et prêtres des cités appartiennent le plus souvent à l’aristocratie, du moins à l’époque de Grégoire de Tours, on ne saurait l’affirmer à propos des clercs de moindre rang.

D’un autre côté, à considérer la place limitée des testaments dans les formulaires, on se reprend à douter d’un emploi courant de ces actes dans la société Mérovingienne. En effet, seuls trois des 18 formulaires compilant des actes privés, édités par Karl Zeumer, contiennent des formules qui se présentent comme des testaments : Le recueil de formules Wisigothiques du début du VIIe siècle (trois formules)
Le formulaire de Marculfe du début du VIIIe siècle (une formule).
Le formulaire de Flavigny du IXe siècle (une formule). auxquels l’on doit ajouter, d’après l’édition de René Poupardin, le formulaire de Pithou de la seconde moitié du VIIIe siècle (une formule fragmentaire).

Au total, on dispose de 6 formules de testaments, si les formules Wisigothiques sont des testaments « à la romaine », ce qui n’est pas le cas. Les formules de « vrais » testaments se réduisent donc aux trois textes copiés aux VIIIe et IXe siècles dans la Gaule Franque, et à une seule formule Mérovingienne !

À cette rareté, qui contraste de manière saisissante avec l’abondance des formules d’autres types d’actes, comme les dotes ou les donations en tout genre, fait écho à l’absence presque totale d’allusion à des testaments dans les formules d’autres instrumentations : Seule la mention d’un tuteur « testamentaire » dans une formule Tourangelle de constitution de tuteur (milieu d u VIIIe siècle).

Une formule d’insertion aux gesta municipalia et les formules d’affranchissement font référence à des testaments. Les « apennes » spécialement ceux d’Angers, anciens (fin du VIe siècle) et très détaillés qui énumèrent, pour les renouveler, les chartes perdues par des particuliers et notamment leurs titres de propriété, ne citent jamais de testamenta.
Or le transfert d’une propriété par voie testamentaire rend sans doute utile, la remise d’une copie du testament au bénéficiaire. De ce fait, on peut croire que si les bénéficiaires de ces apennes ont hérité de biens immobiliers, cela s’est fait sans testament ou au moyen d’autres actes (partages, donations etc...). Cette observation s’ajoutant aux précédentes, on est porté à conclure qu’une plus grande pratique testamentaire aurait laissé plus de traces dans les formulaires et que les silences de ces derniers reflètent bien une certaine désaffection à l’égard du testament dès la fin du VIe siècle. Faut-il donc en revenir à l’idée d’une pratique testamentaire limitée, sinon propre à une élite sociale, aristocrates et ecclésiastiques ?

En fait, la question doit être abordée sous un angle différent, celui de la manière dont les testaments mérovingiens nous ont été transmis. Ainsi, pour en rester aux formulaires, les compilateurs de ces recueils ont exploré les archives à leur disposition et en ont tiré leur matière : Si les testaments y sont peu représentés, ce peut être simplement dû au contenu des archives compulsées pour les confectionner. Les formules d’Angers peuvent être issues de l’exploitation des archives d’une basilique de la cité (Saint-Aubin ?), celles de Tours, des archives de la basilique Saint-Martin, celles de Pithou, des archives du monastère Saint-Denis ou de Sainte-Marie de Laon, celles de Flavigny, des archives de la basilique Saint-Prix. Dans ces conditions, on ne s’étonne pas que la collection de Flavigny nous ait transmis une formule de testament, puisque la basilique a été destinataire de celui de son fondateur Widerad, dont s’inspire la formule no 8139, mais on estime curieux de ne pas trouver trace, dans les formules de Tours, du testament de saint Yrieix († 591), qui a institué la basilique Martinienne son héritière.

Choix conscient du rédacteur du formulaire ou effet de la déperdition documentaire ?
Selon une première hypothèse, le rédacteur n’a pas vu l’intérêt, au milieu du VIIIe siècle, de copier ce testament sous une forme documentaire considérée comme obsolète.
Enseconde hypothèse, le document aurait été perdu à un moment inconnu entre la fin du VIe et le milieu du VIIIe siècle, peut-être laissé dans les archives épiscopales après que la basilique Martinienne ait obtenu sa « liberté » au milieu du VIIe siècle – une hypothèse qui ne tient pas, puisque ce sont les archives de Saint-Martin qui ont assuré la transmission du testament.
Une dernière hypothèse serait que les rédacteurs de formulaires (quand ils ne s’inspirent pas d’un formulaire précédent, comme celui de Marculfe) utilisent les documents qui leur sont le plus accessibles ou familiers, c’est-à-dire ceux qui sont leurs contemporains immédiats. On s’explique ainsi que, pas plus que celui d’Yrieix, les testaments épiscopaux connus de Grégoire de Tours n’apparaissent dans les formules de Tours. En ce cas, l’étroitesse du champ chronologique embrassé par ces formulaires réduit d’autant la portée des inductions que l’on en peut faire sur la pratique testamentaire...
Revenons sur la relation qui a existé entre les détenteurs des testaments conservés et les auteurs de ces testaments. Les exécuteurs testamentaires, les légataires de biens immobiliers et surtout les héritiers institués sont les personnes les mieux à même de recevoir et de conserver copie du testament. De fait, les 2 tiers de ces actes nous ont été transmis par les héritiers institués, ou par certains d’entre eux, qui sont tous des églises cathédrales ou des établissements religieux – ces derniers souvent fondés par le testateur : L'église de Reims pour le testament de l’évêque Remi,
L’église du Mans pour ceux des évêques Bertrand et Hadoindus,
Saint-Jean d’Arles pour l’évêque Césaire,
Saint-Martin de Tours pour Yrieix et Pelagia,
Saint-Prix de Flavigny pour Widerad et, peut-être, pour le testateur anonyme de la formule de Flavigny (l’héritière est la « basilique de saint X »),
Saint-Pierre de Novalaise pour Abbon.

Du tiers restant, deux testaments nous ont été transmis par le légataire ecclésiastique d’un bien immobilier :
Saint-Denis, légataire du « fils d’Idda »,
L’église de Trèves, légataire du diacre Adalgisel-Grimo, un testament a été préservé par le bénéficiaire ecclésiastique d’un bien immobilier légué à un tiers :
Saint-Denis encore, qui recueille un legs fait à la basilique Saint-Symphorien par Ermentrude, enfin, la tradition de la formule de Marculfe II (le testament d’un couple d’aristocrates laïques dont les héritiers institués sont des laïques) reste quant à elle inconnue, en raison des obscurités qui entourent l’élaboration du formulaire dont elle est issue.

À l’opposé, les testaments dont l’héritier est une personne physique, ont pratiquement tous disparu, sauf hasard contraire, ou sont au mieux connus par une simple mention, que celle-ci se rencontre dans un autre instrument diplomatique (c’est le cas des testaments paternels cités par Yrieix ou Burgondofara), ou qu’elle apparaisse incidemment dans une œuvre narrative, comme les 10 livres d’histoire de Grégoire de Tours.
Quant aux testaments pour lesquels on dispose d’une analyse (stade intermédiaire entre le texte intégral et une mention succincte), ils ont tous été établis en faveur d’églises : Conservés par leur héritier (ou légataire) ecclésiastique, ils ont en général servi de sources d’informations sur leurs auteurs, et de monuments attestant la générosité de ces derniers, dans des œuvres d’hommes d’Église... Celles de Grégoire de Tours (en particulier en ce qui concerne les testaments d’évêques de Tours), des rédacteurs des gesta des évêques d’Auxerre et du Mans, et de Flodoard ( toujours testaments épiscopaux)

En somme, pour qu’un testament soit parvenu jusqu’à nous, il a fallu que le document ait institué héritier ou, dans une bien moindre mesure, légataire, une église ou un établissement religieux et que l’institution bénéficiaire en ait archivé une copie pour justifier ses droits.
Dans certains cas, le bénéficiaire ecclésiastique en a ensuite « rajeuni » ou « actualisé » le texte pour étendre ses droits, ce qui a contribué à sa préservation. Celle-ci a pu aussi bénéficier de la gloire mémorielle attachée au document quand il s’agit du testament d’un saint (comme Remi, Césaire ou Yrieix), de celui d’un évêque de la cité (qui peut être aussi un Saint, ainsi Remi ou Césaire) ou de celui du fondateur de l’établissement (tels Widerad ou Abbon).

Si l’on peut penser que toutes les catégories de fidèles instituent l’Église héritière ou légataire par testament, seuls les textes des testaments rédigés en ce sens par des membres des élites ecclésiastiques et aristocratiques nous sont parvenus, au moins en extraits, de ce point de vue, l’on peut effectivement parler à leur propos d’une préservation préférentielle par leurs bénéficiaires ecclésiastiques, à l’échelle de la richesse et du prestige des testateurs.
La place des testaments parmi les actes à cause de mort

BAPTISTÈRE DE MONTREUIL
Comment dès lors appréhender la pratique testamentaire mérovingienne ?Nombre de ces actes insèrent, dans leur canevas rédactionnel, des formules puisées au testament. Ainsi, la formule d’Angers (une epistola, qui de rebus aliquid at ecclesia delegat, c’est-à-dire une donation pro animae conpendium faite à leur fondation monastique par un couple d’aristocrates) contient des formules caractéristiques d’un testament. Un tel mélange diplomatique se rencontre dans certaines formules de donation entre vifs des VIe-VIIIe siècles, comme les donations mutuelles entre époux, et se retrouvent dans le « testament » de Burgondofara, du premier tiers du VIIe siècle, un acte hybride entre donation et testament. D’après ces différents cas de figure, que l’on peut d’ailleurs multiplier, l’instrumentation à cause de mort a très tôt revêtu des oripeaux bariolés, empruntant à la donation et au testament dans des proportions variées.
Ce constat semble confirmé par les sources conciliaires. Le concile d’Orléans III de 538 lequel a pris des mesures pour sanctionner les personnes qui retiennent par devers elles les « offrandes des défunts » transmises aux églises « conformément à la loi » (legaliter dimissas). Cette expression se rapporte très vraisemblablement aux procédures juridiques et à la régularité instrumentaire indispensables à la validité des transferts immobiliers, mais elle paraît bien être, dans le même temps, une allusion indirecte à l’existence de formes de transferts considérées comme « illégales », peut-être parce qu’elles ne s’embarrassent pas d’un respect scrupuleux des normes diplomatiques : Comment ne pas songer aux profils variés adoptés par les actes à cause de mort ? Ces différents types d’actes à cause de mort coexistent pendant au moins 3 siècles, avant que le testament « à la romaine » ne disparaisse.
On ne peut faire aucune estimation sur la part respective revenant à chacune de ces formes diplomatiques dans l’instrumentation des dernières volontés sous les Mérovingiens. Au reste, cette érosion ne peut expliquer mécaniquement la disparition du testament au IXe siècle, sauf à croire que la diplomatique obéit à un déterminisme quasi biologique et que le testament « à la romaine » est condamné, comme le pensait H. Auffroy, à une décrépitude irréversible du fait de l’inaptitude génétique du droit Germanique et des Francs à concevoir l’acte à cause de mort...

Faire un testament présente des inconvénients. Le testateur doit compter sur son (ses) héritier(s) ou sur ses fidéicommis pour que ses dernières volontés soient respectées, héritier(s) et légataires doivent patienter jusqu’au décès du testateur pour bénéficier de leurs héritage et legs – les héritiers à condition d’avoir épongé les dettes du testateur, les fidéicommis sous réserve d’avoir exécuté les volontés du défunt. Surtout, testateur et bénéficiaires ne peuvent être assurés que le testament ne soit pas invalidé : En dépit de la protection juridique dont il est muni, le testament est fragile.

A l'époque où les biens d'Église sont convoités par les laïques, où les séculiers se montrent avides du temporel des moines et où les princes récompensent des services et achètent des fidélités en distribuant des bénéfices prélevés sur les domaines ecclésiastiques, de tels troubles intérieurs des monastères favorisent les sécularisations et, sans doute, la disparition des maisons religieuses qui vivent mal. C'est sûrement parce que l'abbaye de Saint-Denis a perdu son abbé, qu'elle tombe aux mains de l'évêque de Paris dans le premier quart du VIIIe siècle, et il est probable que c'est à l'occasion d'une élection contestée que l'Ordinaire met la main sur l'abbaye, puisque le premier soin des moines, lorsqu'ils sont replacés sous l'autorité d'un abbé, est de faire confirmer par le roi Thierry IV leur privilège d'émancipation, et tout spécialement la liberté de l'élection abbatiale qui, jusqu'alors, n'a pas fait l'objet d'une confirmation royale.

NOTE DE THIERRY III
Saint Pierre Saint Paul Église paroissiale de Montreuil il est fait état d'une ordonnance connue uniquement par une copie très controversée, exécutée dans un monastère au XIIe siècle, du roi Mérovingien Thierry IV, signée à Paris le 6 mars 722 qui confirme, en y faisant apposer le sceau royal, une donation faite, par le comte Ratmont et son épouse Berthe, à l'Abbaye de Saint Maur des Fossés de biens qu'ils possédent dans le  district Parisien, c'est-à-dire « Monasteriola », le Moustier (son église) et toutes ses dépendances, dont Vilcena et Baineolis, soit en tout 30 manses, 30 habitations rurales avec leurs terres, maisons, serfs, vignobles, prairies. bois, eaux, cours d'eau, terrains cultivés ou incultes.
Vilcena (nom d'origine Celte) devenu Vincennes, est le nom d'une grande forêt dont une partie se trouve sur le territoire de Montreuil.
Il n'est pas fait mention écrite de Montreuil avant le commencement du XIIe siècle. La liste des personnes décédées, rédigée pour la Cathédrale de Paris, indique en 1104 que l'évêque de Paris, Foulques, donne neuf arpents de vignes sis à Montreuil. Sur un fief important du domaine royal, un oratoire de bois est construit, au pied de la colline qui domine Vincennes. C'est lui qui donne le nom au village : Monstereuil. Dès le Moyen-Âge, la paroisse est dénommée Montreuil-sur-le Bois de Vincennes. Ce n'est qu'après la révolution que l'on commence à dire « sous Bois » afin de distinguer les deux paroisses de Montreuil : Celle près de Vincennes et celle située près de Versailles.
Au XIIe siècle, les évêques de Paris installent un doyen à Montreuil. Une procession s'y déroule chaque année le jour de la Saint-Pierre avec la participation des plus hautes autorités ecclésiastiques. L'église Saint-Pierre Saint-Paul, le plus vieux monument existant sur le territoire de la commune, est le témoin muet de cette époque.
Les registres de l'archevêque de Sens mentionnent, en 1168, Montreuil comme le chef lieu du doyenné oriental de Paris. Une église romane a certainement précédé l'église actuelle au chœur gothique...

Les piliers du chœur sont surmontés de chapiteaux sculptés de feuilles de nénuphar, de plantain, de fougère. Ceux de la nef de feuilles de chêne et de vigne. Orné de feuilles, de grappes de raisin et de petits escargots, l'un d'eux rappelle la richesse première de la ville citée dans le testament connu d' Ermentrude daté de 723... Un diablotin se cache dans les feuilles de chêne.
La nef date du XVe siècle et a succédé, pense-t-on, à une plus ancienne qui menaçait de tomber en ruine. Voûtée, en bois, elle est recouverte de plâtre peint.
Les colonnettes de la partie centrale du portail de la façade datent du XIVe siècle,

Le seul vitrail, qui représente Pierre et Paul, les Saints Patrons de la paroisse, date de 1862, est un don de la famille Oudart. Les verrières retracent la vie de Jésus, de Saint-Louis et celle de différents Saints importants pour les Montreuillois donateurs du siècle dernier. Certains d'entre eux s'y sont d'ailleurs fait représenter.

A la fin du XVIIIe siècle, une horloge à cadran est installée sur la façade ouest de l'église. Les heures sont rythmées par les sonneries de la cloche de bronze (ré), les 3 autres ne servant que pour les offices ou le tocsin.
ECRITURE MEROVINGIENNE ET CAROLINE
En 1998 la municipalité a permis aux sonneries de cloches de rythmer à nouveau le temps de l'ancien village et a doté l'église d'une horloge neuve.

L'église, propriété de la Commune, est affectée, de part la loi de 1905, à l’usage exclusif du culte catholique. Cependant en accord avec la Communauté paroissiale, l’association organise une animation culturelle : plusieurs concerts chaque année dans le cadre de ses « Musicales », certains avec l’appui de l’École Nationale de Musique et de Danse, et des expositions, qui sont proposés à tous les Montreuillois.



Un peu d'histoire - Paroisse Saint Pierre-Saint Paul

p.spierre.spaul.93.free.fr/un_peu_d'histoire.htm
Orné de feuilles, de grappes de raisin et de petits escargots, l'un d'eux ... de la ville citée dans le testament connu d' Ermenthrude daté de 723. ... L'histoire raconte qu'elle dispose dans le village d'un pied-à-terre en face de l'église .... Pour l'anecdote, notons la présence d'un escargot qui trône au milieu de cette végétation.

Notice des Diplomes, des chartes et des actes relatifs a ...
https://books.google.fr/books?id=VgJYAAAAcAAJ
Louis-Etienne de Foy - 1765
ER c^ M a AU D, chancelier, an.774., p.r60;an.79o,p.r925an.799, ... E R rr EM B O D, évêque de Térouannc, an.723, p. ... ERMENTRUDE,femmedc Nizezius ...

Notice des Diplomes, des chartes et des actes relatifs a ...
https://books.google.fr/books?id=VgJYAAAAcAAJ
Louis-Etienne de Foy - 1765
ER c^ M a AU D, chancelier, an.774., p.r60;an.79o,p.r925an.799, ... E R rr EM B O D, évêque de Térouannc, an.723, p. ... ERMENTRUDE,femmedc Nizezius ...

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