25
MAI 2015...
Cette
page concerne l'année 723 du
calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année
considérée il ne peut s'agir que d'un survol !
ÉVOLUTION DE LA FORMULATION TESTAMENTAIRE.
On
a connaissance d’une quarantaine de testaments Mérovingiens, soit
que le texte en ait été conservé (une douzaine), soit qu’une
autre source en donne l’analyse ou en fasse mention... Cerner ce
que ces rares documents représentent de l’instrumentation
testamentaire Mérovingienne a déjà été abordé, l’identité,
et le niveau social des testateurs ont souvent été discutés, sans
que l’on aboutisse à des conclusions tranchées...
En
théorie, tout homme libre peut tester. Faire un testament, hériter
par testament sont signes de liberté ; tester, être légataire
témoignent que l’on est maître de sa destinée et de ses biens,
aussi le « testamentum » apparaît-il, dans des formules
d’affranchissement des VIe-VIIIe siècles, comme la représentation
de l’acte écrit passé par l’homme libre. Au bas de la
hiérarchie sociale, les non-libres ne testent pas. Mais au sommet
les rois eux-mêmes, dont la succession se règle automatiquement ou
par traité, n’usent pas de la forme testamentaire pour leurs legs
pieux, ils utilisent la donation pro anima. Ainsi, loin de marquer la
distance entre les aristocrates et le reste de la société, l’usage
du testament trace les contours de la catégorie juridique des
libres, princes exclus...
Pourtant,
l’essentiel des testaments connus montre comme testateurs des
reines ou des filles de roi, des ecclésiastiques pourvus des ordres
majeurs, notamment des évêques, des supérieurs de monastères
ainsi que des aristocrates laïques en somme des membres des élites
aristocratiques et surtout des élites ecclésiastiques.
Cet
écart entre l’utilisation théorique du testament et les traces
qui subsistent de son usage Mérovingien conduit dans un premier
temps à l’hypothèse que les testaments dont nous avons
connaissance représentent en quelque sorte la partie émergée d’un
iceberg documentaire : Les élites surnagent, les autres
catégories sociales testatrices sont noyées dans l’oubli
archivistique. Une conservation différentielle des testaments en
fonction de l’origine sociale des testateurs se comprend aisément :
Les richesses transmises par les testaments aristocratiques et le
prestige de leurs auteurs ont pu amener leurs bénéficiaires à
accorder un soin particulier à leur préservation.
De
frêles indices, régulièrement relevés et commentés depuis H.
Auffroy, font de fait subodorer, en accord avec le droit, un large
emploi du testament, tout au moins dans la société des VIe-VIIe
siècles. Le plus ancien diplôme Mérovingien conservé en original
(un acte de Clotaire II) confirme, à la demande de l’abbé de
Saint-Denis Dodo, le testament et les legs faits à la basilique par
un marchand appelé Jean. Ce marchand est apparemment étranger à
l’entourage royal, car il n’est nommé dans le diplôme qu’en
sa seule qualité d’auteur des legs, sans doute doit-on le compter
au nombre des riches ( ?) négociants parisiens ( ?) sans
relation décelable avec la cour royale.
Par
ailleurs, la législation religieuse élaborée entre le concile
d’Epaone (517) et celui de Clichy (626) parle des testaments des
fidèles, quels qu’ils soient, et des testaments passés par des
ecclésiastiques de tous grades, y compris par des clercs pourvus des
ordres mineurs. Si évêques et prêtres des cités appartiennent le
plus souvent à l’aristocratie, du moins à l’époque de Grégoire
de Tours, on ne saurait l’affirmer à propos des clercs de moindre
rang.
D’un
autre côté, à considérer la place limitée des testaments dans
les formulaires, on se reprend à douter d’un emploi courant de ces
actes dans la société Mérovingienne. En effet, seuls trois des 18
formulaires compilant des actes privés, édités par Karl Zeumer,
contiennent des formules qui se présentent comme des testaments :
Le recueil de formules Wisigothiques du début du VIIe siècle (trois
formules)
Le
formulaire de Marculfe du début du VIIIe siècle (une formule).
Le
formulaire de Flavigny du IXe siècle (une formule). auxquels l’on
doit ajouter, d’après l’édition de René Poupardin, le
formulaire de Pithou de la seconde moitié du VIIIe siècle (une
formule fragmentaire).
Au
total, on dispose de 6 formules de testaments, si les formules
Wisigothiques sont des testaments « à la romaine », ce
qui n’est pas le cas. Les formules de « vrais »
testaments se réduisent donc aux trois textes copiés aux VIIIe et
IXe siècles dans la Gaule Franque, et à une seule formule
Mérovingienne !
À
cette rareté, qui contraste de manière saisissante avec l’abondance
des formules d’autres types d’actes, comme les dotes ou les
donations en tout genre, fait écho à l’absence presque totale
d’allusion à des testaments dans les formules d’autres
instrumentations : Seule la mention d’un tuteur
« testamentaire » dans une formule Tourangelle de
constitution de tuteur (milieu d u VIIIe siècle).
Une
formule d’insertion aux gesta municipalia et les formules
d’affranchissement font référence à des testaments. Les
« apennes » spécialement ceux d’Angers, anciens (fin
du VIe siècle) et très détaillés qui énumèrent, pour les
renouveler, les chartes perdues par des particuliers et notamment
leurs titres de propriété, ne citent jamais de testamenta.
Or
le transfert d’une propriété par voie testamentaire rend sans
doute utile, la remise d’une copie du testament au bénéficiaire.
De ce fait, on peut croire que si les bénéficiaires de ces apennes
ont hérité de biens immobiliers, cela s’est fait sans testament
ou au moyen d’autres actes (partages, donations etc...). Cette
observation s’ajoutant aux précédentes, on est porté à conclure
qu’une plus grande pratique testamentaire aurait laissé plus de
traces dans les formulaires et que les silences de ces derniers
reflètent bien une certaine désaffection à l’égard du testament
dès la fin du VIe siècle. Faut-il donc en revenir à l’idée
d’une pratique testamentaire limitée, sinon propre à une élite
sociale, aristocrates et ecclésiastiques ?
En
fait, la question doit être abordée sous un angle différent, celui
de la manière dont les testaments mérovingiens nous ont été
transmis. Ainsi, pour en rester aux formulaires, les compilateurs de
ces recueils ont exploré les archives à leur disposition et en ont
tiré leur matière : Si les testaments y sont peu représentés,
ce peut être simplement dû au contenu des archives compulsées pour
les confectionner. Les formules d’Angers peuvent être issues de
l’exploitation des archives d’une basilique de la cité
(Saint-Aubin ?), celles de Tours, des archives de la basilique
Saint-Martin, celles de Pithou, des archives du monastère
Saint-Denis ou de Sainte-Marie de Laon, celles de Flavigny, des
archives de la basilique Saint-Prix. Dans ces conditions, on ne
s’étonne pas que la collection de Flavigny nous ait transmis une
formule de testament, puisque la basilique a été destinataire de
celui de son fondateur Widerad, dont s’inspire la formule no 8139,
mais on estime curieux de ne pas trouver trace, dans les formules de
Tours, du testament de saint Yrieix († 591), qui a institué la
basilique Martinienne son héritière.
Choix
conscient du rédacteur du formulaire ou effet de la déperdition
documentaire ?
Selon
une première hypothèse, le rédacteur n’a pas vu l’intérêt,
au milieu du VIIIe siècle, de copier ce testament sous une forme
documentaire considérée comme obsolète.
Enseconde
hypothèse, le document aurait été perdu à un moment inconnu entre
la fin du VIe et le milieu du VIIIe siècle, peut-être laissé dans
les archives épiscopales après que la basilique Martinienne ait
obtenu sa « liberté » au milieu du VIIe siècle – une
hypothèse qui ne tient pas, puisque ce sont les archives de
Saint-Martin qui ont assuré la transmission du testament.
Une
dernière hypothèse serait que les rédacteurs de formulaires (quand
ils ne s’inspirent pas d’un formulaire précédent, comme celui
de Marculfe) utilisent les documents qui leur sont le plus
accessibles ou familiers, c’est-à-dire ceux qui sont leurs
contemporains immédiats. On s’explique ainsi que, pas plus que
celui d’Yrieix, les testaments épiscopaux connus de Grégoire de
Tours n’apparaissent dans les formules de Tours. En ce cas,
l’étroitesse du champ chronologique embrassé par ces formulaires
réduit d’autant la portée des inductions que l’on en peut faire
sur la pratique testamentaire...
Revenons
sur la relation qui a existé entre les détenteurs des testaments
conservés et les auteurs de ces testaments. Les exécuteurs
testamentaires, les légataires de biens immobiliers et surtout les
héritiers institués sont les personnes les mieux à même de
recevoir et de conserver copie du testament. De fait, les 2 tiers de
ces actes nous ont été transmis par les héritiers institués, ou
par certains d’entre eux, qui sont tous des églises cathédrales
ou des établissements religieux – ces derniers souvent fondés par
le testateur : L'église de Reims pour le testament de l’évêque
Remi,
L’église
du Mans pour ceux des évêques Bertrand et Hadoindus,
Saint-Jean
d’Arles pour l’évêque Césaire,
Saint-Martin
de Tours pour Yrieix et Pelagia,
Saint-Prix
de Flavigny pour Widerad et, peut-être, pour le testateur anonyme de
la formule de Flavigny (l’héritière est la « basilique de
saint X »),
Saint-Pierre
de Novalaise pour Abbon.
Du
tiers restant, deux testaments nous ont été transmis par le
légataire ecclésiastique d’un bien immobilier :
Saint-Denis,
légataire du « fils d’Idda »,
L’église
de Trèves, légataire du diacre Adalgisel-Grimo, un testament a été
préservé par le bénéficiaire ecclésiastique d’un bien
immobilier légué à un tiers :
Saint-Denis
encore, qui recueille un legs fait à la basilique Saint-Symphorien
par Ermentrude, enfin, la tradition de la formule de Marculfe II (le
testament d’un couple d’aristocrates laïques dont les héritiers
institués sont des laïques) reste quant à elle inconnue, en raison
des obscurités qui entourent l’élaboration du formulaire dont
elle est issue.
À
l’opposé, les testaments dont l’héritier est une personne
physique, ont pratiquement tous disparu, sauf hasard contraire, ou
sont au mieux connus par une simple mention, que celle-ci se
rencontre dans un autre instrument diplomatique (c’est le cas des
testaments paternels cités par Yrieix ou Burgondofara), ou qu’elle
apparaisse incidemment dans une œuvre narrative, comme les 10 livres
d’histoire de Grégoire de Tours.
Quant
aux testaments pour lesquels on dispose d’une analyse (stade
intermédiaire entre le texte intégral et une mention succincte),
ils ont tous été établis en faveur d’églises : Conservés
par leur héritier (ou légataire) ecclésiastique, ils ont en
général servi de sources d’informations sur leurs auteurs, et de
monuments attestant la générosité de ces derniers, dans des œuvres
d’hommes d’Église... Celles de Grégoire de Tours (en
particulier en ce qui concerne les testaments d’évêques de
Tours), des rédacteurs des gesta des évêques d’Auxerre et du
Mans, et de Flodoard ( toujours testaments épiscopaux)
En
somme, pour qu’un testament soit parvenu jusqu’à nous, il a
fallu que le document ait institué héritier ou, dans une bien
moindre mesure, légataire, une église ou un établissement
religieux et que l’institution bénéficiaire en ait archivé une
copie pour justifier ses droits.
Dans
certains cas, le bénéficiaire ecclésiastique en a ensuite
« rajeuni » ou « actualisé » le texte pour
étendre ses droits, ce qui a contribué à sa préservation.
Celle-ci a pu aussi bénéficier de la gloire mémorielle attachée
au document quand il s’agit du testament d’un saint (comme Remi,
Césaire ou Yrieix), de celui d’un évêque de la cité (qui peut
être aussi un Saint, ainsi Remi ou Césaire) ou de celui du
fondateur de l’établissement (tels Widerad ou Abbon).
Si
l’on peut penser que toutes les catégories de fidèles instituent
l’Église héritière ou légataire par testament, seuls les textes
des testaments rédigés en ce sens par des membres des élites
ecclésiastiques et aristocratiques nous sont parvenus, au moins en
extraits, de ce point de vue, l’on peut effectivement parler à
leur propos d’une préservation préférentielle par leurs
bénéficiaires ecclésiastiques, à l’échelle de la richesse et
du prestige des testateurs.
BAPTISTÈRE DE MONTREUIL |
Ce
constat semble confirmé par les sources conciliaires. Le concile
d’Orléans III de 538 lequel a pris des mesures pour sanctionner
les personnes qui retiennent par devers elles les « offrandes
des défunts » transmises aux églises « conformément à
la loi » (legaliter dimissas). Cette expression se rapporte
très vraisemblablement aux procédures juridiques et à la
régularité instrumentaire indispensables à la validité des
transferts immobiliers, mais elle paraît bien être, dans le même
temps, une allusion indirecte à l’existence de formes de
transferts considérées comme « illégales », peut-être
parce qu’elles ne s’embarrassent pas d’un respect scrupuleux
des normes diplomatiques : Comment ne pas songer aux profils
variés adoptés par les actes à cause de mort ? Ces
différents types d’actes à cause de mort coexistent pendant au
moins 3 siècles, avant que le testament « à la romaine »
ne disparaisse.
On
ne peut faire aucune estimation sur la part respective revenant à
chacune de ces formes diplomatiques dans l’instrumentation des
dernières volontés sous les Mérovingiens. Au reste, cette érosion
ne peut expliquer mécaniquement la disparition du testament au IXe
siècle, sauf à croire que la diplomatique obéit à un déterminisme
quasi biologique et que le testament « à la romaine »
est condamné, comme le pensait H. Auffroy, à une décrépitude
irréversible du fait de l’inaptitude génétique du droit
Germanique et des Francs à concevoir l’acte à cause de mort...
Faire
un testament présente des inconvénients. Le testateur doit compter
sur son (ses) héritier(s) ou sur ses fidéicommis pour que ses
dernières volontés soient respectées, héritier(s) et légataires
doivent patienter jusqu’au décès du testateur pour bénéficier
de leurs héritage et legs – les héritiers à condition d’avoir
épongé les dettes du testateur, les fidéicommis sous réserve
d’avoir exécuté les volontés du défunt. Surtout, testateur et
bénéficiaires ne peuvent être assurés que le testament ne soit
pas invalidé : En dépit de la protection juridique dont il est
muni, le testament est fragile.
A
l'époque où les biens d'Église sont convoités par les laïques,
où les séculiers se montrent avides du temporel des moines et où
les princes récompensent des services et achètent des fidélités
en distribuant des bénéfices prélevés sur les domaines
ecclésiastiques, de tels troubles intérieurs des monastères
favorisent les sécularisations et, sans doute, la disparition des
maisons religieuses qui vivent mal. C'est sûrement parce que
l'abbaye de Saint-Denis a perdu son abbé, qu'elle tombe aux mains de
l'évêque de Paris dans le premier quart du VIIIe siècle, et il est
probable que c'est à l'occasion d'une élection contestée que
l'Ordinaire met la main sur l'abbaye, puisque le premier soin des
moines, lorsqu'ils sont replacés sous l'autorité d'un abbé, est de
faire confirmer par le roi Thierry IV leur privilège d'émancipation,
et tout spécialement la liberté de l'élection abbatiale qui,
jusqu'alors, n'a pas fait l'objet d'une confirmation royale.
NOTE DE THIERRY III |
Vilcena
(nom d'origine Celte) devenu Vincennes, est le nom d'une grande forêt
dont une partie se trouve sur le territoire de Montreuil.
Il
n'est pas fait mention écrite de Montreuil avant le commencement du
XIIe siècle. La liste des personnes décédées, rédigée pour la
Cathédrale de Paris, indique en 1104 que l'évêque de Paris,
Foulques, donne neuf arpents de vignes sis à Montreuil. Sur un fief
important du domaine royal, un oratoire de bois est construit, au
pied de la colline qui domine Vincennes. C'est lui qui donne le nom
au village : Monstereuil. Dès le Moyen-Âge, la paroisse est
dénommée Montreuil-sur-le Bois de Vincennes. Ce n'est qu'après la
révolution que l'on commence à dire « sous Bois » afin
de distinguer les deux paroisses de Montreuil : Celle près de
Vincennes et celle située près de Versailles.
Au
XIIe siècle, les évêques de Paris installent un doyen à
Montreuil. Une procession s'y déroule chaque année le jour de la
Saint-Pierre avec la participation des plus hautes autorités
ecclésiastiques. L'église Saint-Pierre Saint-Paul, le plus vieux
monument existant sur le territoire de la commune, est le témoin
muet de cette époque.
Les
registres de l'archevêque de Sens mentionnent, en 1168, Montreuil
comme le chef lieu du doyenné oriental de Paris. Une église romane
a certainement précédé l'église actuelle au chœur gothique...
Les
piliers du chœur sont surmontés de chapiteaux sculptés de feuilles
de nénuphar, de plantain, de fougère. Ceux de la nef de feuilles de
chêne et de vigne. Orné de feuilles, de grappes de raisin et de
petits escargots, l'un d'eux rappelle la richesse première de la
ville citée dans le testament connu d' Ermentrude daté de 723... Un
diablotin se cache dans les feuilles de chêne.
La
nef date du XVe siècle et a succédé, pense-t-on, à une plus
ancienne qui menaçait de tomber en ruine. Voûtée, en bois, elle
est recouverte de plâtre peint.
Les
colonnettes de la partie centrale du portail de la façade datent du
XIVe siècle,
Le
seul vitrail, qui représente Pierre et Paul, les Saints Patrons de
la paroisse, date de 1862, est un don de la famille Oudart. Les
verrières retracent la vie de Jésus, de Saint-Louis et celle de
différents Saints importants pour les Montreuillois donateurs du
siècle dernier. Certains d'entre eux s'y sont d'ailleurs fait
représenter.
A
la fin du XVIIIe siècle, une horloge à cadran est installée sur la
façade ouest de l'église. Les heures sont rythmées par les
sonneries de la cloche de bronze (ré), les 3 autres ne servant que
pour les offices ou le tocsin.
ECRITURE MEROVINGIENNE ET CAROLINE |
L'église,
propriété de la Commune, est affectée, de part la loi de 1905, à
l’usage exclusif du culte catholique. Cependant en accord avec la
Communauté paroissiale, l’association organise une animation
culturelle : plusieurs concerts chaque année dans le cadre de ses «
Musicales », certains avec l’appui de l’École Nationale de
Musique et de Danse, et des expositions, qui sont proposés à tous
les Montreuillois.
Un peu d'histoire - Paroisse Saint Pierre-Saint Paul
p.spierre.spaul.93.free.fr/un_peu_d'histoire.htm
Orné de feuilles, de grappes de raisin
et de petits escargots, l'un d'eux ... de la ville citée
dans le testament connu d' Ermenthrude daté de 723. ...
L'histoire raconte qu'elle dispose dans le village d'un
pied-à-terre en face de l'église .... Pour l'anecdote,
notons la présence d'un escargot qui trône au milieu de cette
végétation.
Notice
des Diplomes, des chartes et des actes relatifs a ...
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Notice
des Diplomes, des chartes et des actes relatifs a ...
https://books.google.fr/books?id=VgJYAAAAcAAJ
Louis-Etienne
de Foy - 1765
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c^ M a AU D, chancelier, an.774., p.r60;an.79o,p.r925an.799, ... E R
rr EM B O D, évêque de Térouannc, an.723, p. ...
ERMENTRUDE,femmedc Nizezius ...
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