22
MAI 2015
Cette
page concerne l'année 726 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
STRUCTURATION DE L'OSMOSE DE L’ARMÉNIE ORTHODOXE
Smbat
VI Bagratouni (en arménien
Սմբատ Զ Բագրատունի,
né vers 670, mort en 726) est un prince Arménien
de la famille des Bagratides prince
d'Arménie de 691 à
711, fils de Varaz-Tiroç III
Bagratouni, tué par les Byzantins vers 675.
Après
la mort d'Achot II Bagratouni en guerre contre l'empereur Byzantin
Justinien II, ce dernier occupe le pays et nomme Nersēh Kamsarakan
comme prince d'Arménie. Mais le calife Abd al-Malik reprend peu
après le contrôle du pays et nomme Smbat VI prince d'Arménie, qui
pour venger son père, fait exécuter tous les Byzantins vivant en
Arménie.
Devant
faire face à une armée arabe, conduite par Mohammed ibn-Merwan, qui
ravage le pays pour le replacer sous l'autorité directe du calife.
Son lieutenant Abd Allah Ibn Hatim al-Bahili veut en finir avec les
révoltes Arméniennes et capture les principaux religieux et princes
Arméniens, dont Smbat en 695, qui est assigné à résidence à
Damas.
Libéré
en 697 il doit lutter l'année suivante contre une armée Byzantine
envoyée par Tibère III. La bataille qui oppose les deux armées les
laissent épuisées... Cependant Smbat VI attaque Mohammed ibn-Merwan
et le défait, les menaces répétées des arabes l'oblige à
rechercher l'alliance des Grecs. L'empereur Tibère III le nomme
curopalate et Smbat VI dirige l'Arménie pour le compte de Byzance.
Il négocie la paix avec le calife Abd al-Malik, mais avec la mort de
ce dernier et l'avènement de son successeur, Al-Walid, les
persécutions reprennent... Smbat s'allie de nouveau avec les
Byzantins, puis, la paix avec le calife de nouveau conclue, accepte
la suzeraineté arabe, renonce à sa charge de prince et se retire
dans ses domaines.
L'Arménie
est ensuite dirigée par un gouverneur arabe, Abd al-Azîz ibn Hâtim
al-Bâhilî.
Il
laisse plusieurs fils, mais c'est son neveu Achot III qui devient
ichkhan de la maison Bagratouni.
Cependant
la famille Bragratouni reste fidèle à sa religion et à ses
valeurs,
Telle est la foi que nous avons reçue des Apôtres et des Pères, conforme à l'enseignement des 3 synodes : celui de Nicée, celui de Constantinople et celui d’Éphèse.
Telle est la foi que nous avons reçue des Apôtres et des Pères, conforme à l'enseignement des 3 synodes : celui de Nicée, celui de Constantinople et celui d’Éphèse.
Anathèmes
qui furent établis dans ce Synode :
I. Si quelqu'un ne confesse pas que la Trinité sainte et consubstantielle est une seule nature et une seule divinité, 3 hypostases et trois personnes adorables, égales et parfaites : Qu'il soit anathème !
II. Si quelqu'un ne confesse pas que le Verbe-Dieu qui s'est véritablement fait homme de la Vierge sainte, s'est uni un corps créé et déterminé, c'est-à-dire, pour parler distinctement, un corps, une âme, et un esprit ; mais dit que le Christ est apparu en fiction ou en apparence et non en réalité : Qu'il soit anathème !
III. Si quelqu'un dit que ce n'est pas de notre chair mortelle, pécheresse et corruptible, que le Verbe s'est uni (un corps) ; mais de la chair qu'avait Adam avant son péché et qui était, par la grâce, immortelle, immaculée, incorruptible : Qu'il soit anathème !
IV. Si quelqu'un ne dit pas que cette unique nature de la divinité et de l'humanité, c'est-à-dire du Christ qui est formé de la divinité et de l'humanité, est unie dans une union sublime et ineffable, sans mélange, [sans] partition de dualité, sans confusion : Qu'il soit anathème!
V. Si quelqu'un ne confesse pas que l'unique Christ est à la fois Dieu et homme ; mais le divise, et dit que l'un est Dieu et l'autre homme : Qu'il soit anathème !
VI. Que quiconque dit que le corps du Christ fut corruptible, et non pas glorieux, ni parfait dès l'union ; mais dit que, depuis la conception jusqu'à la résurrection, il fut corruptible, non glorieux, non parfait, dans un autre sens que celui employé par les Prophètes, les Apôtres, les Pères et les Docteurs et que, depuis la résurrection, il est incorruptible, glorieux et parfait : soit anathème !
VII. Que quiconque ne confesse pas que le corps réel du Christ est passible et mortel par nature, tandis qu'il est impassible et immortel en tant que Dieu ; mais dit qu'il est passible et mortel dans la nature divine, ou impassible et immortel dans la nature humaine : soit anathème !
VIII. Que quiconque ne confesse pas que le Christ a subi dans le corps humain toutes les passions humaines, à l'exception du péché, mais dit que la divinité a été sujette aux passions ; ou prétend que son corps n'a pas participé aux passions humaines, mais dit qu'un corps corruptible les a subies : soit anathème !
IX. Que quiconque ne confesse pas que le Christ a subi les passions incorruptiblement ; ou appelle les passions « corruption », autrement que dans le sens employé par les Prophètes, les Apôtres et les Pères orthodoxes : soit anathème !
X. Nous anathématisons toutes les hérésies et leurs auteurs, un tel et un tel [il y avait sans doute ici une liste des hérétiques]. Nous recevons les Saints Pères.
Pour la confirmation, le maintien, la conservation de l'union faite entre nous et vous, nous avons écrit (cette définition) et nous vous (l') avons donnée, ô nos frères nommés plus haut, représentant toute la Syrie, nous évêques, chorévêques, prêtres, plus haut désignés, représentant toute l'Arménie, devant le Dieu vivant et vivificateur de l'univers, et (devant) ses Saints Anges. Qu'il soit lui-même le sceau et le cachet confirmatif de la foi, c'est-à-dire de l'union entre nous et vous jusqu'à la fin du monde... Et nous aussi, pour la certitude des choses qui ont été faites, nous avons signé et scellé de notre sceau, en confirmation.
I. Si quelqu'un ne confesse pas que la Trinité sainte et consubstantielle est une seule nature et une seule divinité, 3 hypostases et trois personnes adorables, égales et parfaites : Qu'il soit anathème !
II. Si quelqu'un ne confesse pas que le Verbe-Dieu qui s'est véritablement fait homme de la Vierge sainte, s'est uni un corps créé et déterminé, c'est-à-dire, pour parler distinctement, un corps, une âme, et un esprit ; mais dit que le Christ est apparu en fiction ou en apparence et non en réalité : Qu'il soit anathème !
III. Si quelqu'un dit que ce n'est pas de notre chair mortelle, pécheresse et corruptible, que le Verbe s'est uni (un corps) ; mais de la chair qu'avait Adam avant son péché et qui était, par la grâce, immortelle, immaculée, incorruptible : Qu'il soit anathème !
IV. Si quelqu'un ne dit pas que cette unique nature de la divinité et de l'humanité, c'est-à-dire du Christ qui est formé de la divinité et de l'humanité, est unie dans une union sublime et ineffable, sans mélange, [sans] partition de dualité, sans confusion : Qu'il soit anathème!
V. Si quelqu'un ne confesse pas que l'unique Christ est à la fois Dieu et homme ; mais le divise, et dit que l'un est Dieu et l'autre homme : Qu'il soit anathème !
VI. Que quiconque dit que le corps du Christ fut corruptible, et non pas glorieux, ni parfait dès l'union ; mais dit que, depuis la conception jusqu'à la résurrection, il fut corruptible, non glorieux, non parfait, dans un autre sens que celui employé par les Prophètes, les Apôtres, les Pères et les Docteurs et que, depuis la résurrection, il est incorruptible, glorieux et parfait : soit anathème !
VII. Que quiconque ne confesse pas que le corps réel du Christ est passible et mortel par nature, tandis qu'il est impassible et immortel en tant que Dieu ; mais dit qu'il est passible et mortel dans la nature divine, ou impassible et immortel dans la nature humaine : soit anathème !
VIII. Que quiconque ne confesse pas que le Christ a subi dans le corps humain toutes les passions humaines, à l'exception du péché, mais dit que la divinité a été sujette aux passions ; ou prétend que son corps n'a pas participé aux passions humaines, mais dit qu'un corps corruptible les a subies : soit anathème !
IX. Que quiconque ne confesse pas que le Christ a subi les passions incorruptiblement ; ou appelle les passions « corruption », autrement que dans le sens employé par les Prophètes, les Apôtres et les Pères orthodoxes : soit anathème !
X. Nous anathématisons toutes les hérésies et leurs auteurs, un tel et un tel [il y avait sans doute ici une liste des hérétiques]. Nous recevons les Saints Pères.
Pour la confirmation, le maintien, la conservation de l'union faite entre nous et vous, nous avons écrit (cette définition) et nous vous (l') avons donnée, ô nos frères nommés plus haut, représentant toute la Syrie, nous évêques, chorévêques, prêtres, plus haut désignés, représentant toute l'Arménie, devant le Dieu vivant et vivificateur de l'univers, et (devant) ses Saints Anges. Qu'il soit lui-même le sceau et le cachet confirmatif de la foi, c'est-à-dire de l'union entre nous et vous jusqu'à la fin du monde... Et nous aussi, pour la certitude des choses qui ont été faites, nous avons signé et scellé de notre sceau, en confirmation.
Ceux
qui nous rapportent la législation divine, les disciples envoyés
par le Seigneur, reçoivent l'ordre d'annoncer la parole de vie dans
tout l'univers et ils reçoivent la grâce du Saint-Esprit descendue
sur eux dans le cénacle, où ils se sont justement rassemblés dans
l'union d'une même foi, car « là où deux ou trois personnes
seront assemblées en mon nom, je serai, moi, au milieu d'eux »
(Mt 18,20) dit le Seigneur, et Paul le Grand dit la même chose :
« ne négligez pas de vous assembler entre vous comme certains
ont coutume de le faire » (He 10,25).
Il convient que nous aussi, tous les ans, nous accourions à ce même genre d'assemblée générale pour examiner et voir les institutions de l’Église, que les Saints Pères ont établies afin de savoir comment les prélats et les laïcs de l’Église les conservent. C'est pourquoi moi, Sion, chef des évêques d'Arménie, non par mérite mais du fait de la miséricorde de Dieu, je me suis chargé de ce souci et j'ai convoqué les évêques, mes collègues, dans cette nécessité spirituelle, pour que nous nous concertions entre nous, serviteurs de la parole qui sommes chargés d'administrer le peuple du Seigneur, afin de consolider la tradition établie par les Saints Pères et de combler les lacunes avec piété et de rassembler cela dans un même canon. Car nous constatons qu'en tout lieu on entrave et on empêche le labeur des inspecteurs gardiens de l’Église, par la violence d'audacieux fonctionnaires, et de ce fait, les évêques de notre [juridiction] qui ont été empêchés par eux de venir jusqu'à nous, nous ont écrit par lettres leur accord afin que nous menions à terme ce bon projet.
Il convient que nous aussi, tous les ans, nous accourions à ce même genre d'assemblée générale pour examiner et voir les institutions de l’Église, que les Saints Pères ont établies afin de savoir comment les prélats et les laïcs de l’Église les conservent. C'est pourquoi moi, Sion, chef des évêques d'Arménie, non par mérite mais du fait de la miséricorde de Dieu, je me suis chargé de ce souci et j'ai convoqué les évêques, mes collègues, dans cette nécessité spirituelle, pour que nous nous concertions entre nous, serviteurs de la parole qui sommes chargés d'administrer le peuple du Seigneur, afin de consolider la tradition établie par les Saints Pères et de combler les lacunes avec piété et de rassembler cela dans un même canon. Car nous constatons qu'en tout lieu on entrave et on empêche le labeur des inspecteurs gardiens de l’Église, par la violence d'audacieux fonctionnaires, et de ce fait, les évêques de notre [juridiction] qui ont été empêchés par eux de venir jusqu'à nous, nous ont écrit par lettres leur accord afin que nous menions à terme ce bon projet.
Mais,
moi et les évêques du pays d'Arménie honorant Dieu qui sont avec
moi, Gēorg évêque d'Ostan, Sahak évêque de Hark`, Sadovk évêque
de Siwnik`, Esayi évêque de Gołt`n, nous sommes contraints de
venir dans cette métropole d'Ałuank` à Partaw. Il y a aussi avec
nous le pieux prince de notre pays, Sahak Bagratuni, et d'autres
nobles éminents, disciples de notre pieuse foi qui l'accompagnent,
Atrnerseh seigneur de Siwnik`, Smbat Bagratuni, Meružan Arcruni,
Vahram Xorxoruni, Artawazd seigneur d'Ašoc`, Vahan seigneur de
Vanand, Sahak seigneur de Gołt`n.
En
ce lieu, le Saint-Esprit, qui dirige les pensées, favorisera
l'accomplissement de notre projet agréable à Dieu grâce à votre
union qui partage nos desseins, ô toi qui t'es illustré dans le
Christ par une sainteté honorée de Dieu, d'un degré apostolique
élevé, paré de vertu par ton enseignement orthodoxe, seigneur
Dawit` catholicos, vous-même et ceux qui avec vous sont les pieux
seigneurs de votre pays, Varaz K`urdak Vač`akanean, Vardan Satoyean,
Tirik K`aroyean, avec d'autres de vos nobles, selon la divine foi
orthodoxe qui est établie et inscrite en vous et que nous avons
reçue en commun de notre bienheureux père Grigor le Grand.
Demeurant fermes et inébranlables en cela, accordez-vous à nous
dans une foi orthodoxe et par de bonnes œuvres, avec la grâce de
Dieu et nous, nous le serons de même.
A présent nous avons institué de concert cette règle de discipline pour les prélats de l’Église et pour leurs fidèles.
A présent nous avons institué de concert cette règle de discipline pour les prélats de l’Église et pour leurs fidèles.
LA COUR DU PRINCE SMBAT |
1. Que l'évêque ou le
chorévêque ou le prêtre ne reçoive pas la grâce de l'Esprit et
l'honneur de la Sainte Onction uniquement pour sa gloriole
temporelle, de telle façon qu'il ne vaque qu'aux affaires profanes
sans s'occuper des maladies de ses ouailles, et des douloureuses
blessures spirituelles qui sont en eux, mais s'il est paresseux qu'il
soit déposé.
2. L'évêque qui a l'audace de consacrer un prêtre dans le diocèse d'un autre évêque sera déposé, ainsi que celui qu'il a consacré.
3. Que l'évêque n'ait pas le droit de recevoir quoi que ce soit des mains de quiconque a fauté contre l’Église, mais qu'il ordonne au coupable de faire [des dons] de ses propres mains aux mains des pauvres afin d'expier ses fautes.
4. Que les évêques n'aient pas le droit de laisser les chorévêques ou les prêtres ériger un autel ou bénir une église.
5. Que les évêques n'aient pas le droit de bénir le Saint Chrême ou de procéder à des ajouts et d'en donner aux prêtres, mais que, d'année en année, ils le reçoivent du patriarcat selon le commandement canonique des Saints Pères.
6. Que les docteurs prescrivent sans entrave des ordonnancements au sein des églises, de façon à ce que la grâce de la connaissance de Dieu ne soit pas entravée et que les sectes d'hérétiques dévorantes ne s'insèrent pas dans celles-ci.
7. Des monastères ont été bâtis dans les villages afin que les prélats de l’Église, les visiteurs et les pauvres se reposent là, mais les villageois, moyennant une gratification au chef de village, retirent aux maisons des hiéromoines et aux prêtres le pain offert pour la bénédiction des fêtes qui leur a été attribué, ils gardent aussi le revenu des prémices et une partie en plus de cela, si bien qu'ils ruinent ces monastères et privent de culte, de lumière et d'encens les demeures de l’Église. De telles personnes, nous les frappons d'un lourd anathème par la parole de Dieu. Que les laïcs ne prétendent pas à cette faveur et que toutes les taxes aillent aux monastères selon la première réglementation des Pères. Et qu'aucun religieux n'ait le droit d'emporter quelque chose pour chez lui, et, s'il ose le faire, il sera dans le péché.
8. Et nous voyons en différents lieux les saints fonts du baptême profanés et comptés pour rien par des prêtres ignorants et insensés, et qui retirent et renversent dehors l'eau du bain baptismal pour la laisser foulée et corrompue. Désormais que ceux-ci n'aient plus le droit d'infliger un tel outrage à la Sainte Piscine mais qu'ils la gardent avec honneur parmi les autres choses Saintes, comme l'Autel et la Croix, qu'ils recouvriront d'une couverture et honoreront par l'encensement, et qu'ils épuisent sur place l'eau dans cette même piscine. Et que le prêtre qui transgresse ce commandement soit déposé.
9. Le prêtre à qui est échu pour une année le service d'une église doit garder celle-ci avec sainteté et justice, et sans entrave, de jour comme de nuit, il doit accomplir les prières à Dieu.
10. [Le prêtre] ne doit pas enlever du rang des pénitents ceux qui se marient pour la seconde fois, et lui-même doit boire avec modération [à l'occasion des noces], mais s'il tombe dans la débauche de l'ivresse, qu'il soit déposé.
11. Que les prêtres ordonnent aux hommes, aux femmes et à leurs filles de ne pas contracter d'union avec les païens, car il ne s'agit pas là d'un mariage mais d'un concubinage impie et sale. Quelle part commune y a-t-il en effet entre le croyant et l'incroyant ? car [cette union] est pire que l'adultère, et ce qui est plus abominable que l'adultère est une faute contre nature.
12. Que les prêtres n'aient pas le droit de faire tenir un morceau de pain de vie par les clercs ou les soldats mais qu'eux-mêmes le fassent, et qu'ils versent juste ce qu'il faut dans le calice de sainteté et qu'ils ne rajoutent pas de vin par la suite.
2. L'évêque qui a l'audace de consacrer un prêtre dans le diocèse d'un autre évêque sera déposé, ainsi que celui qu'il a consacré.
3. Que l'évêque n'ait pas le droit de recevoir quoi que ce soit des mains de quiconque a fauté contre l’Église, mais qu'il ordonne au coupable de faire [des dons] de ses propres mains aux mains des pauvres afin d'expier ses fautes.
4. Que les évêques n'aient pas le droit de laisser les chorévêques ou les prêtres ériger un autel ou bénir une église.
5. Que les évêques n'aient pas le droit de bénir le Saint Chrême ou de procéder à des ajouts et d'en donner aux prêtres, mais que, d'année en année, ils le reçoivent du patriarcat selon le commandement canonique des Saints Pères.
6. Que les docteurs prescrivent sans entrave des ordonnancements au sein des églises, de façon à ce que la grâce de la connaissance de Dieu ne soit pas entravée et que les sectes d'hérétiques dévorantes ne s'insèrent pas dans celles-ci.
7. Des monastères ont été bâtis dans les villages afin que les prélats de l’Église, les visiteurs et les pauvres se reposent là, mais les villageois, moyennant une gratification au chef de village, retirent aux maisons des hiéromoines et aux prêtres le pain offert pour la bénédiction des fêtes qui leur a été attribué, ils gardent aussi le revenu des prémices et une partie en plus de cela, si bien qu'ils ruinent ces monastères et privent de culte, de lumière et d'encens les demeures de l’Église. De telles personnes, nous les frappons d'un lourd anathème par la parole de Dieu. Que les laïcs ne prétendent pas à cette faveur et que toutes les taxes aillent aux monastères selon la première réglementation des Pères. Et qu'aucun religieux n'ait le droit d'emporter quelque chose pour chez lui, et, s'il ose le faire, il sera dans le péché.
8. Et nous voyons en différents lieux les saints fonts du baptême profanés et comptés pour rien par des prêtres ignorants et insensés, et qui retirent et renversent dehors l'eau du bain baptismal pour la laisser foulée et corrompue. Désormais que ceux-ci n'aient plus le droit d'infliger un tel outrage à la Sainte Piscine mais qu'ils la gardent avec honneur parmi les autres choses Saintes, comme l'Autel et la Croix, qu'ils recouvriront d'une couverture et honoreront par l'encensement, et qu'ils épuisent sur place l'eau dans cette même piscine. Et que le prêtre qui transgresse ce commandement soit déposé.
9. Le prêtre à qui est échu pour une année le service d'une église doit garder celle-ci avec sainteté et justice, et sans entrave, de jour comme de nuit, il doit accomplir les prières à Dieu.
10. [Le prêtre] ne doit pas enlever du rang des pénitents ceux qui se marient pour la seconde fois, et lui-même doit boire avec modération [à l'occasion des noces], mais s'il tombe dans la débauche de l'ivresse, qu'il soit déposé.
11. Que les prêtres ordonnent aux hommes, aux femmes et à leurs filles de ne pas contracter d'union avec les païens, car il ne s'agit pas là d'un mariage mais d'un concubinage impie et sale. Quelle part commune y a-t-il en effet entre le croyant et l'incroyant ? car [cette union] est pire que l'adultère, et ce qui est plus abominable que l'adultère est une faute contre nature.
12. Que les prêtres n'aient pas le droit de faire tenir un morceau de pain de vie par les clercs ou les soldats mais qu'eux-mêmes le fassent, et qu'ils versent juste ce qu'il faut dans le calice de sainteté et qu'ils ne rajoutent pas de vin par la suite.
13.L'union
en troisièmes noces est un dérèglement, un adultère impur, une
faute inexpiable. Si [les coupables] désirent effacer le péché par
la pénitence, qu'ils se séparent d'abord complètement l'un de
l'autre, alors ils seront dignes de la pénitence. Et le prêtre qui
a été la cause de leur union, qu'il soit déposé et anathématisé.
14. Si, parmi les laïcs, certains n'en sont pas encore arrivés au point qu'oppressés par les impôts, ils doivent vendre leur personne, et qu'il leur reste un petit quelque chose, et que l'un d'eux vende une église, un vase sacré, un meuble ou un champ de l'église, qu'il soit maudit par Dieu et par nous. Et que personne ne l'appelle [du nom de] chrétien.
15. Qu'un religieux qui se déplace de congrégation en congrégation soit retenu là où il a reçu la règle de sainteté et que personne n'ait le droit de le recevoir ; mais, là où il a été consacré au Christ, dans ce même endroit, il doit achever le combat de sa vertu, et [ce combat] sera achevé à moins qu'il ne soit appelé à une promotion, c'est-à-dire à la prélature de l’Église, ou qu'il ne reçoive un enseignement pour devenir un guide accompli de la doctrine divine.
16. Dès le commencement, les premiers Saints Pères en leur temps ont interdit les unions consanguines aux nobles et aux non-nobles. De nos jours, nous voyons les canons des Pères enfreints notamment par les nobles, car ils s'unissent indistinctement à leurs parents par des mariages illégaux. Désormais qu'ils n'aient plus le droit de s'unir par mariage jusqu'au quatrième degré, sinon ils seront anathématisés par nous et se rendront responsables devant Dieu et son grand tribunal.
17. Du fait que les infirmes ont été chassés et expulsés de leurs maisons, de leurs familles et de leurs villes, les premiers Saints Pères ont construit, avec l'aide des princes pieux, des hospices où ils les ont rassemblés et ils ont institué des circonscriptions dans chaque canton pour qu'on y dépose les dons de l'aumône afin de les réconforter. Maintenant, en tout lieu, cela est en ruine et les infirmes sortent et vont recevoir l'aumône dans d'autres circonscriptions et ils se dépouillent les uns les autres et ils errent, réduits à l'indigence. Désormais que les évêques veillent bien, avec leurs nobles et les autres chefs, à restaurer par des travaux de construction les bâtiments démolis, à y rassembler les indigents et à ordonner aux laïcs qui leur sont affectés par la circonscription de prélever l'aumône et de ne rien donner à ceux qui dépendent d'autres circonscriptions. Et que personne n'ait le droit de transgresser ce commandement.
18. Les membres de la famille qui accomplissent en mémoire des défunts, pour la consolation de leurs âmes, en vertu de l'ordre des Saints Pères, selon la loi de la religion chrétienne, les quarantaines, les agapes pour le repos des [défunts], ou les autres dons que le défunt a lui-même ordonné pour son âme, qu'ils n'aient pas le droit de les donner à d'autres églises ou à d'autres institutions religieuses ; mais que ces revenus soient attribués sur place au prêtre de l'église du village ou du monastère et au prêtre de leur maison, là où, par la grâce de la Sainte Piscine, le défunt a connu une renaissance, a été couronné [pour ses noces], a été nourri du pain de vie et d'où il est escorté pour aller auprès de Dieu. Mais lorsque le nécessaire pour son église est apporté et qu'il souhaite donner ce qui est en plus à d'autres églises, à d'autres clercs ou à d'autres pauvres, alors il sera libre de faire ainsi.
19. Si un laïc excommunié par [son] évêque pour différentes fautes meurt, que le prêtre ne l'enterre pas et ne le baptise pas, s'il est un catéchumène. Mais s'il advient à un catéchumène qui se trouve dans une telle situation d'être mourant, le prêtre le baptisera et l'enterrera une fois mort, mais les autres effets de l'excommunication seront gardés fermement intacts.
20. Mais s'il arrive à un catéchumène de tomber malade et que le prêtre soit éloigné et que les membres de sa famille courent l'appeler, que le prêtre commence là où il se trouve la cérémonie du baptême au nom du catéchumène. S'il advient que celui-ci est mort quand le prêtre arrive, qu'il lui scelle la tête du Saint Signe et qu'il l'enterre parmi les baptisés selon le Christ. Ce canon s'applique indépendamment de la volonté [de la famille du défunt].
21. Que les chorévêques n'aient pas le droit de fermer la porte de l'église et ne fassent pas entrave aux offices des prières divines du fait de banquets ou des fautes d'une seule personne, mais qu'ils excommunient les organisateurs de ces banquets ou les personnes pécheresses. Si un chef de village, en raison des impôts royaux, fait fermer la porte de l'église par force et fait entrave à l'office des prières divines, qu'il soit anathème dans la vie et dans la mort.
22. Ceux qui ont été emmenés en captivité par les impies et qui, contre leur volonté, du fait de la faim ou par nécessité, ont mangé de la viande impure et souillée, lorsque Dieu les aura ramenés chez eux, qu'ils fassent pénitence pendant un an avec un cœur fervent, des larmes, des jeûnes et des prières en dehors de l'église ; et si quelqu'un agit ainsi par erreur, il participera à la communion mais il jeûnera complètement le vendredi et le mercredi. Ce même canon s'appliquera pour les femmes qui auront été souillées contre leur volonté par les païens.
23. Si une fille fiancée à un garçon a ses règles, que les prêtres n'aient pas le droit de la couronner et de l'unir à son fiancé en mariage jusqu'à ce qu'elle soit purifiée de ses règles, et alors elle se mariera.
Et qu'il vous arrive à tous, gens d’Église et laïcs, d'honorer comme les Livres Saints de l'Ancien et du Nouveau Testament
14. Si, parmi les laïcs, certains n'en sont pas encore arrivés au point qu'oppressés par les impôts, ils doivent vendre leur personne, et qu'il leur reste un petit quelque chose, et que l'un d'eux vende une église, un vase sacré, un meuble ou un champ de l'église, qu'il soit maudit par Dieu et par nous. Et que personne ne l'appelle [du nom de] chrétien.
15. Qu'un religieux qui se déplace de congrégation en congrégation soit retenu là où il a reçu la règle de sainteté et que personne n'ait le droit de le recevoir ; mais, là où il a été consacré au Christ, dans ce même endroit, il doit achever le combat de sa vertu, et [ce combat] sera achevé à moins qu'il ne soit appelé à une promotion, c'est-à-dire à la prélature de l’Église, ou qu'il ne reçoive un enseignement pour devenir un guide accompli de la doctrine divine.
16. Dès le commencement, les premiers Saints Pères en leur temps ont interdit les unions consanguines aux nobles et aux non-nobles. De nos jours, nous voyons les canons des Pères enfreints notamment par les nobles, car ils s'unissent indistinctement à leurs parents par des mariages illégaux. Désormais qu'ils n'aient plus le droit de s'unir par mariage jusqu'au quatrième degré, sinon ils seront anathématisés par nous et se rendront responsables devant Dieu et son grand tribunal.
17. Du fait que les infirmes ont été chassés et expulsés de leurs maisons, de leurs familles et de leurs villes, les premiers Saints Pères ont construit, avec l'aide des princes pieux, des hospices où ils les ont rassemblés et ils ont institué des circonscriptions dans chaque canton pour qu'on y dépose les dons de l'aumône afin de les réconforter. Maintenant, en tout lieu, cela est en ruine et les infirmes sortent et vont recevoir l'aumône dans d'autres circonscriptions et ils se dépouillent les uns les autres et ils errent, réduits à l'indigence. Désormais que les évêques veillent bien, avec leurs nobles et les autres chefs, à restaurer par des travaux de construction les bâtiments démolis, à y rassembler les indigents et à ordonner aux laïcs qui leur sont affectés par la circonscription de prélever l'aumône et de ne rien donner à ceux qui dépendent d'autres circonscriptions. Et que personne n'ait le droit de transgresser ce commandement.
18. Les membres de la famille qui accomplissent en mémoire des défunts, pour la consolation de leurs âmes, en vertu de l'ordre des Saints Pères, selon la loi de la religion chrétienne, les quarantaines, les agapes pour le repos des [défunts], ou les autres dons que le défunt a lui-même ordonné pour son âme, qu'ils n'aient pas le droit de les donner à d'autres églises ou à d'autres institutions religieuses ; mais que ces revenus soient attribués sur place au prêtre de l'église du village ou du monastère et au prêtre de leur maison, là où, par la grâce de la Sainte Piscine, le défunt a connu une renaissance, a été couronné [pour ses noces], a été nourri du pain de vie et d'où il est escorté pour aller auprès de Dieu. Mais lorsque le nécessaire pour son église est apporté et qu'il souhaite donner ce qui est en plus à d'autres églises, à d'autres clercs ou à d'autres pauvres, alors il sera libre de faire ainsi.
19. Si un laïc excommunié par [son] évêque pour différentes fautes meurt, que le prêtre ne l'enterre pas et ne le baptise pas, s'il est un catéchumène. Mais s'il advient à un catéchumène qui se trouve dans une telle situation d'être mourant, le prêtre le baptisera et l'enterrera une fois mort, mais les autres effets de l'excommunication seront gardés fermement intacts.
20. Mais s'il arrive à un catéchumène de tomber malade et que le prêtre soit éloigné et que les membres de sa famille courent l'appeler, que le prêtre commence là où il se trouve la cérémonie du baptême au nom du catéchumène. S'il advient que celui-ci est mort quand le prêtre arrive, qu'il lui scelle la tête du Saint Signe et qu'il l'enterre parmi les baptisés selon le Christ. Ce canon s'applique indépendamment de la volonté [de la famille du défunt].
21. Que les chorévêques n'aient pas le droit de fermer la porte de l'église et ne fassent pas entrave aux offices des prières divines du fait de banquets ou des fautes d'une seule personne, mais qu'ils excommunient les organisateurs de ces banquets ou les personnes pécheresses. Si un chef de village, en raison des impôts royaux, fait fermer la porte de l'église par force et fait entrave à l'office des prières divines, qu'il soit anathème dans la vie et dans la mort.
22. Ceux qui ont été emmenés en captivité par les impies et qui, contre leur volonté, du fait de la faim ou par nécessité, ont mangé de la viande impure et souillée, lorsque Dieu les aura ramenés chez eux, qu'ils fassent pénitence pendant un an avec un cœur fervent, des larmes, des jeûnes et des prières en dehors de l'église ; et si quelqu'un agit ainsi par erreur, il participera à la communion mais il jeûnera complètement le vendredi et le mercredi. Ce même canon s'appliquera pour les femmes qui auront été souillées contre leur volonté par les païens.
23. Si une fille fiancée à un garçon a ses règles, que les prêtres n'aient pas le droit de la couronner et de l'unir à son fiancé en mariage jusqu'à ce qu'elle soit purifiée de ses règles, et alors elle se mariera.
Et qu'il vous arrive à tous, gens d’Église et laïcs, d'honorer comme les Livres Saints de l'Ancien et du Nouveau Testament
Les
livres de Moïse -
La
Genèse,
L'Exode,
Le
Lévitique,
Les
Nombres,
Le
Deutéronome -,
Josué
fils de Noun,
Les
Juges,
Ruth,
Les
quatre [livres] des Rois,
Les
deux livres des Paralipomènes,
Les
deux discours d'Esdras,
Le
Livre de Job,
Le
livre des Psaumes,
Les
trois livres de Salomon,
Les
douze prophètes,
Isaïe,
Jérémie,
Ezéchiel,
Daniel.
Et
que l'on considère comme envoyée de l'extérieur la sagesse du
Siracide pour enseigner vos enfants pleins d'étude. La publication
d'une histoire de l'Église Arménienne, écrite par l'un de ses plus
éminents représentants, paraîtra d'une utilité incontestable.
C'est un tableau précis de ce christianisme oriental avec ses
doctrines, ses croyances, son sacerdoce, en même temps qu'une œuvre
d'enseignement politique et social que son auteur, dans un but de
vulgarisation, a voulu rendre accessible à tout le monde, car il ne
saurait être question ici d'un récit complet des annales de
l'Arménie depuis sa conversion au christianisme. L'auteur s'est
borné à mettre en relief les événements les plus saillants et les
traits les plus propres à nous faire connaître cette partie si
intéressante de la société orientale. Cette histoire puise un
surcroît d'intérêt dans ce fait qu'elle a été écrite par un
enfant de l'Orient, Mgr Ormanian, qui a occupé durant 12 années le
siège patriarcal de Constantinople. Il ne s'agit donc pas ici d'une
de ces banales productions littéraires écrites par des écrivains
qui se copient les uns les autres. Il ne sacrifie rien au pittoresque
: Dans son livre il n'y a que des faits et des idées. On sent
également combien il est de bonne foi, on s'aperçoit qu'il est
écrit non seulement avec conviction, mais avec une indépendance de
pensée qui surprend le lecteur Européen, peu accoutumé à voir des
ecclésiastiques écrire de ce style. On se trompe pourtant en
croyant que les sentiments qui y sont exprimés appartiennent en
propre à l'auteur.
Le
libéralisme dans les idées tient à la constitution essentiellement
démocratique de l'Église Arménienne. La première chose qui frappe
quand on étudie la société qu'elle groupe et encadre c'est que le
clergé n'y forme point une caste séparée. La nation et l'église n
'y sont qu'une seule et même chose. Entre elles, il n'y a ni conflit
d'influence ou d'autorité, ni antagonisme d'aucune sorte.
Et
qu'on n'aille point imaginer que parce qu'elle est gouvernée par un
patriarche la nation Arménienne vit sous la domination du clergé.
On
verra au cours de cette histoire que tous les actes de ce haut
dignitaire ecclésiastique sont subordonnés à un minutieux contrôle
et que l'administration de l'église est entièrement aux mains des
laïques.
«
En Turquie, écrit l'auteur, l'église est gérée par une éphorie
exclusivement composée de laïques élus par la paroisse » . Il
ajoute plus loin « que la participation de l'élément laïque
s'affirme d'abord par l'élection des ministres du culte. »
On
remarque également que ce clergé, qui est élu et contrôlé dans
ses actes, ne vit que d'aumônes et de donations volontaires, ce qui
le met entièrement à la discrétion des fidèles. Ainsi le laïque
est dans l'église et le clergé fait étroitement corps avec la
nation.
Enfin
les deux éléments se mêlent et se pénètrent si bien que c'est
surtout pour cette nation que semble avoir été faite l'expression
d’Église Nationale. Elle est d'autant plus justifiée que c'est
depuis sa conversion au christianisme que cette nation a pris
conscience d'elle-même. C'est sur un principe de foi qu'elle s'est
constituée au IVe siècle, et depuis elle n'a pas cessé de
confondre ses destinées avec celles de l’Église.
Tel
est le cas des Arméniens au Ve siècle et des Slaves au IXe. Sans
cette circonstance il est probable que la plupart de ces éléments
ethniques n'aient formé que des agglomérations sans consistance
s'étant fondues dans la masse des peuples conquérants. Mais pour
durer, ils n'ont qu'à se grouper autour de leurs églises, à
l'ombre desquelles ils ont vécu, attendant l 'heure providentielle
des revendications.
C'est
ainsi que se sont révélées une foule de nationalités que l'on
croit bien mortes. Au XVIIIe siècle... On ignorait les Grecs, et nul
ne pensait alors que les rayas de ce nom puissent jamais se
constituer en corps de nation indépendante. Mais après leur
affranchissement, publicistes et diplomates ne voient plus en Orient
que des Grecs Orthodoxes.
Les
invasions ont succédé aux invasions et le pillage aux carnages, à
partir du VIIe siècle. Bref, son histoire n'est qu'un long
martyrologe, pour me servir de l'expression de l'auteur. L'Arménie a
dû céder à la force, mais en fléchissant sous le poids d'une
destinée sans pareille, elle a pu du moins sauver l'essentiel de ce
naufrage, c'est-à-dire, avec la vie, les éléments d'une
régénération qui a profité à tous...
Smbat
VI Bagratouni — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Smbat_VI_Bagratouni
Date
de décès, 726 ... Smbat VI Bagratouni (en arménien Սմբատ Զ
Բագրատունի ; né vers 670, mort en ... Il est libéré en
697 et doit lutter l'année suivante contre une armée byzantine
envoyée par Tibère III. ... Les princes, Varaz-Tiroç II • Smbat
V • Achot II • Smbat VI • Achot III • Sahak III • Smbat VII
• Achot IV • Smbat VIII.
Artavazd
Kamsarakan — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Artavazd_Kamsarakan
Mais
d'autres textes ont permis de dater la fin du principat de Smbat
Bagratouni à 726 et celle du début du principat d'Achot Bagratouni
à 732. À partir de ces ...
Persée
: Les inscriptions de Hoṙomos
www.persee.fr/web/revues/.../piot_1148-6023_2002_num_81_1_1397
de
JP Mahé - 2002 - Cité 1 fois - Autres articles
Une
seule inscription particulièrement solennelle du roi
Yovhannês-Smbat, en 1036, ..... nombre de célébrations à date
fixe, dans un temps fort de l'année liturgique, ..... et sous le
règne du Sahnsah Smbat Bagratuni, fut érigé ce roc placé sous la
...... En l'an 726 (= 1277) t, par la volonté de Dieu, moi, Afiwc
Hogew[oreanc], ...
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