26
MAI 2015...
Cette
page concerne l'année 722 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LES
KHAZARS OUBLIES MAIS TELLEMENT IMPORTANTS
Les
Khazars (Hazarlar en turc, כוזרים
en
hébreu, Хазары en russe, Xäzärlär
en tatar, Hazarlar en tatar de Crimée, Χάζαροι
en grec, Cosri en latin) sont un peuple
semi-nomade Turc d’Asie centrale, leur existence est attestée
entre le VIe et le XIIIe siècle ap. J.-C.
Au
VIIe siècle les Khazars s'établissent en Ciscaucasie aux
abords de la mer Caspienne où ils fondent leur Khaganat, une partie
d'entre eux se convertissent alors au judaïsme qui devient religion
d'État. À leur apogée, les Khazars, ainsi que leurs vassaux,
contrôlent un vaste territoire qui peut correspondre à ce que sont
aujourd'hui le Sud de la Russie, le Kazakhstan Occidental, l'Ukraine
Orientale, la Crimée, l'Est des Carpates, ainsi que plusieurs autres
régions de Transcaucasie telles l'Azerbaïdjan et la Géorgie.
Les
origines des Khazars sont sujettes à de multiples théories.
Certains théoriciens proposent de voir les Khazars comme des peuples
Turcs ayant migré vers l'ouest. Leur nom même signifie « errant »
en langue Turque. Quant aux universitaires soviétiques, ils
considèrent les Khazars comme un peuple indigène de Ciscaucasie.
Des liens avec les Ouïghours, peuple Turcophone du Xinjiang (Chine),
ont été soulevés par Douglas M. Dunlop, s'appuyant sur des textes
datant du VIIe siècle, tandis que d'autres soulignent des
ressemblances avec la langue hunnique, semblable à celle des
proto-Bulgares, ce qui laisse supposer des liens avec des origines
liées aux Huns. Il a récemment été supposé par Dmitri Vasiliev
que les Khazars n'ont rejoint les steppes Pontiques qu'au début de
VIe siècle, et ont résidé auparavant en Transoxiane. Enfin,
une autre thèse, celle de la caste royale des Khazars, qui se
proclame descendante de Kozar, un des fils de Togarma, petit-fils de
Japhet selon la Table des nations des premiers chapitres du Livre de
la Genèse, est probablement due à sa conversion au judaïsme. Elle
donne cependant naissance à de nombreuses spéculations, selon l'une
d'elles, consignée dans l'un des manuscrits de la Gueniza du Caire
étudiés par Solomon Schechter, les Khazars descendent pour une
partie au moins des tribus perdues d'Israël. Quelques historiens,
dont Yair Davidiy, souscrivent à cette thèse « conciliante »
suggérant que les juifs ashkénazes d'Europe du Nord, pour certains
héritiers des Khazars, sont des convertis au judaïsme...
L'organisation
tribale des Khazars semble complexe. Ils ont été divisés entre
« Khazars blancs » (ou « blonds ») et
« Khazars noirs » (ou « bruns »). Le
géographe Persan médiéval Istakhri a établi une différence
raciale entre ces deux castes (blanc aux cheveux roux pour les
« Khazars blancs », et basané de type indien pour les
« Khazars noirs »), mais rien ne semble corroborer cette
thèse...
L'histoire
des Khazars est liée à l'empire des Göktürks (ou Köktürks),
formé après la défaite des Ruanruan par le clan Ashina en 552.
Lorsque l'empire Göktürk s'effondre à la suite de conflits
internes au milieu du VIe siècle, il se partage en proto-Bulgares et
Khazars menés par le clan Ashina.
Vers
650, les Khazars fondent un royaume indépendant au nord du Caucase
aux abords de la Volga, notamment au détriment des proto-Bulgares,
qu'ils chassent vers le Nord-Ouest. Cet « État » mal
connu est indifféremment appelé « empire khazar »,
« royaume khazar », ou encore « Khazarie ».
Signe
de l'importance qu'acquiert le royaume, le Khagan (dirigeant) Khazar,
Tong Yabghu Khagan (dynastie Ashima), appelé aussi Ziebel,
envoie des troupes (menées par son neveu, Buri-sad à l'Empereur
Byzantin, Héraclius, pour l'aider à passer la Géorgie. Ce dernier
projette d'ailleurs d'offrir au Khagan sa fille en mariage en signe
de reconnaissance, mais revient finalement sur sa décision...
L’expansion
des Khazars au cours du VIIe siècle et du VIIIe siècle se
heurte ensuite aux conquêtes des Omeyyades du Califat arabe sur le
Caucase et la Transoxiane. En 650, l'armée arabe d'Abd ar-Rahman ibn
Rabiah est battue par les Khazars à Balanjar. Selon les historiens
arabes de l'époque, chaque camp a fait usage de catapultes. Le
Khagan de l'époque, Irbis, répond à d'autres attaques au même
endroit.
Les
Khazars soumettent dans les années 660 d’autres Bulgares et
passent des alliances avec les Alains de l’Ouest. Les affrontements
avec les Arabes débutent vers 684 et les principales offensive ont
lieu en 710 / 711, 717 / 718, et en 721 /722.
En
721 / 722 les Khazars tentent en vain de soumettre les Alains du
Caucase (.les futurs Ossètes.). Après le raid arabe sur leur
capitale le général des armées arabes Djarrakh est battu et tué
en 724 par le fils du Khagan khazar, Bardil, alors qu’il est
entrain de ravager le Daghestan. Mais peu après, le général arabe
Sard ibn Amr al-Kharachi bat et tue Bardil dans le Sud de
l’Azerbaïdjan.
Reprennant
l’offensive les gouverneurs arabes de Transcaucasie, Marslama en
727 / 728, puis Marwan en 736 / 737, qui impose une certaine
domination sur le pays. Les Khazars soumettent le Daghestan au début
des année 740 et en 763 / 764 ils refoulent au Sud du Caucase les
Arabes.
Au
VIIe siècle, les Khazars s'emparent de la Crimée, territoire
Byzantin, mais occupé par les Goths.
La
domination khazar sur les différentes populations slaves ou turques
des rives de la mer Caspienne connaît sa plus grande expansion au
IXe siècle, sa fortune étant liée à son importance
stratégique sur le commerce de la route de la soie. Initialement
dans le Caucase, leur capitale est transférée vers 750 à Itil ou
Atil, à l'embouchure de la Volga.
Les
Khazars sont notamment connus pour avoir adopté le judaïsme comme
religion officielle, sous le règne du bek Bulan en 838, peut-être
au contact des Juifs persécutés par les empereurs Byzantins.
Les
Byzantins ménagent l'empire khazar qui les protége des envahisseurs
Vikings et Arabes, si bien que leur empereur Constantin V épouse une
princesse khazar, dont le fils Léon IV est surnommé Léon le
Khazar...
On
a retrouvé une correspondance entre Hasdaï ibn Shaprut, vizir juif
du calife de Cordoue Abd al-Rahman III, et Joseph, souverain des
Khazars.
Initialement
tengristes, les souverains et les nobles khazars sont d'abord entrés
en contact avec le judaïsme, et s'y sont convertis, par le biais des
populations de Crimée. On pense que ce choix est éminemment
stratégique, dû pour une part à la nécessité d'avoir une
religion monothéiste pour se faire accepter des populations
tributaires et d'autre part, à la nécessité d'opposer une religion
originale à la pression qu'exercent à la fois l'occident chrétien
(l’Empire Byzantin) et l'Orient musulman.
En
adoptant le judaïsme, les Khazars restent très tolérants sur le
plan religieux, et laissent leurs sujets Slaves professer le
christianisme ou l’islam en toute liberté. Bien que la religion
officielle soit le judaïsme, leur grand prince (khâgan) et leur roi
tient un conseil qui réunit les représentants des 3 grandes
religions monothéistes.
Leurs
armées sont renforcées au cours des VIIIe siècle et
IXe siècle par des nomades de la steppe, en particulier des
Pétchenègues. Ceux-ci deviennent plus puissants que les Khazars,
qui ne peuvent les empêcher de franchir la Volga et de s'installer
en 889 entre le Don et le Dniepr, puis, en 895 de conquérir le
royaume Magyar de l'Etelköz.
De
manière générale, les Khazars protégent Byzance et leurs
populations sujettes contre les expéditions de pillage des Varègues,
lancées le long des grands fleuves, et contre les expéditions
arabes qui tentent de contourner la mer Caspienne.
Les
Khazars fondent peut-être la ville de Kiev, en Ukraine
d'aujourd'hui, et sont indirectement à l'origine de la fondation de
la Moscovie, la Russie actuelle, qui s'est construite à partir de la
Rus' de Kiev à la suite de l'invasion de la Khazarie par les
barbares Ruthènes (rusyns) venus du nord.
Les
Russ, pillards d'églises, finissent par se convertir au
christianisme. Dès lors, soutenus par l'Église orthodoxe, ils
obtiennent la soumission des indigènes Slaves, leurs anciennes
victimes, qui prennent le nom de Russes et se retournent contre leurs
anciens protecteurs Khazars...
En
965, le prince Russe Sviatoslav Ier prend la forteresse de Sarkel :
Dans les années qui suivent, la Russie naissante porte un coup fatal
à l’empire des Khazars.
Un
État indépendant subsiste encore durant quelques décennies
jusqu'au début du XIe siècle. Certains Khazars rejoignent
alors les communautés juives Byzantines, ou Hongroise... Finalement,
la fin de l’Empire khazar s'avère un mauvais choix politique pour
les Russes : Les Khazars, en effet, les ont protégés contre
les Petchenègues qui nomadisent au sud de la Russie.
Les
Khazars ont su bâtir une civilisation évoluée sur les plans
technique et politique, ils frappent monnaie et possèdent la
technologie du papier, héritée de leurs voisins Chinois.
Leur
particularisme religieux et la méconnaissance de leur histoire leur
ont valu d’être au centre d'un ensemble de légendes à caractère
ésotérique et de conceptions erronées sur leur civilisation. Des
centaines d’années après son effondrement, nombre de récits et
hypothèses continuent à alimenter l’épopée de ce peuple.
Néanmoins, un empire florissant qui a vécu du VIIe au Xe siècle
ne peut disparaître totalement sans laisser de traces... À l’heure
actuelle, outre son apport à la culture ashkénaze, la majorité des
traces de cet empire restent liées à l’histoire et à la culture
Russe et Hongroise, grâce notamment à l'influence des Kabars, nom
de 3 tribus khazares s'étant allié aux Magyars au IXe siècle
pour conquérir et fonder ce qui va devenir le royaume de Hongrie.
Dernier vestige significatif de l’existence de la civilisation
khazare, la mer Caspienne est toujours surnommée la « mer des
Khazars ».
À
la fin du VIIIe ou au début du IXe siècle, l'élite Khazare,
et peut-être une partie de la population, s'est convertie au
judaïsme. L'étendue, voire la réalité, de cette conversion reste
débattue par les historiens, entre ceux qui estiment qu'elle n'a
touché que la cour royale et la noblesse, et ceux qui pensent que
des segments importants de la population se sont aussi convertis, et
plus récemment ceux qui contestent toute réalité à ces
conversions.
Différents
auteurs depuis le XIXe siècle avancent que les Juifs d'Europe
de l'Est descendent entièrement ou partiellement de Khazars ayant
migré vers l'ouest entre le Xe siècle et le XIIe siècle,
lors de l'effondrement de l'empire khazar.
RUINES DE LA VILLE DE SARKEL |
Ces
régions contiennent de nombreuses populations juives qui
probablement n'ont rien à voir, du point de vue ethnologique, avec
les Juifs d'origine.
Dans
l'introduction de son ouvrage « L'Étrange Défaite »
écrit en 1940, l'historien Français Marc Bloch a déjà affirmé
que les Juifs ont des origines « Méditerranéennes,
Turco-Khazars et Slaves ».
En
1954, le chercheur Britannique Douglas Morton Dunlop publie une
Histoire des Juifs Khazars qui développe l'idée d'une connexion
Khazar, mais qu'il présente, faute de preuves directes, comme une
simple hypothèse... C'est le livre d'Arthur Koestler, « La
Treizième Tribu », en 1976, qui a popularisé auprès du grand
public l'idée selon laquelle les Ashkénazes descendent des Khazars.
La
thèse de l'origine khazare des Juifs Ashkénazes a été repoussée
par certains historiens dès la sortie du livre de Koestler, certains
affirmant en particulier que cette thèse ne repose sur aucune donnée
scientifique ou historiographique et que Koestler a commis de
nombreuses erreurs, se trompant sur les étymologies ou dans
l'interprétation des sources. Selon Bernard Lewis:
« Cette
théorie […] ne repose sur aucune preuve quelle qu'elle soit. Elle
a été abandonnée depuis longtemps par tous les chercheurs sérieux
dans ce domaine, y compris ceux des pays arabes, où la théorie
khazar est peu utilisée en dehors de polémiques politiques
occasionnelles. »...
Bien
qu'ayant servi à alimenter le discours antisioniste, en visant
l'idéologie sioniste politique dans ses bases, le postulat n'est à
l'origine pas orienté idéologiquement et a d'ailleurs été
présenté dans des publications sionistes telle l’Encyclopédie
Mikhlal, un ouvrage scolaire représentatif du courant sioniste en
Israël qui note dans son article consacré aux Khazars:
« [La
question de savoir si] la conversion au judaïsme a affecté une
grande partie de la nation Khazar n’est pas pertinente, ce qui est
important, c’est [le fait] que cet événement ait été considéré
comme un phénomène hautement significatif dans l’histoire juive,
un phénomène qui a, depuis, totalement disparu : Le judaïsme
comme religion missionnaire… La question de l’impact à long
terme de ce chapitre de l’histoire sur les communautés Juives
d’Europe de l’Est est un sujet qui nécessite de plus amples
recherches. Néanmoins, bien que nous ne connaissions pas l’étendue
de cette influence, ce qui est clair pour nous aujourd’hui, c’est
que cette conversion a eu un impact. »
La
théorie a connu un regain d'intérêt avec la publication du livre
« Comment le peuple Juif fut inventé » de l'historien
Israélien Shlomo Sand qui reprend les idées de Koestler pour étayer
sa thèse selon laquelle la diaspora juive est le fruit de
conversions successives.
Un
autre historien Français, Marc Ferro, reprend l'idée d'une origine
khazare et la présente comme l'un des « tabous de
l'histoire ». Il explique que bien des Juifs « croient
ferme, comme les Juifs d'Europe centrale, qu'ils sont tous
originaires de Palestine : Ceux-ci ont oublié qu'une grande
partie d'entre eux sont des convertis de l'époque du royaume
Khazar ».
A
contrario, l'hypothèse Khazare reste réfutée en des termes assez
vifs par d'autres historiens, d'autres considèrent qu'elle ne
concerne qu'une faible partie des communautés juives d'Europe
Orientale, en Hongrie, en Ukraine, en Crimée et en Pologne,
particulièrement parmi les Karaïtes, ou signalent qu'elle n'est
adoptée que par certains savants.
En
2011, l'historien Moshe Gil, spécialiste des interactions entre
juifs et musulmans, publie une étude détaillée de l'ensemble des
sources primaires arabes évoquant une conversion des Khazars au
judaïsme, toutes les traditions sur le sujet découlent de ces
sources, les premières et principales à parler des Khazars :
Aussi ce corpus séminal revêt-il une importance particulière.
Selon
Moshe Gil, il n'est pas possible de fonder sur ces sources la
conversion des Khazars au judaïsme. « Cela n'a jamais eu
lieu », conclut-il...
Cette
conclusion a été aussitôt réfutée par le Byzantiniste Français
Constantin Zuckerman, qui a souligné que Moshe Gil a
inexplicablement négligé le témoignage d'Ibn al-Faqih al-Hamadani
et minoré sans raison celui d'Al-Mas'ûdî, mais surtout qu'il a
tout simplement écarté tous les témoignages non-arabes
indépendants sur la conversion des Khazars : Gill a donc beau
jeu de déclarer que toutes les traditions découlent des sources
qu'il étudie, puisqu'il ignore les autres.
La
réalité historique de la conversion ne fait donc pas de doute pour
Zuckerman, qui renvoie dos à dos Shlomo Sand et Moshe Gil, dont les
manquements méthodologiques lui paraissent équivalents.
En
janvier 2013, parait une étude menée publiée par le généticien
« Eran Elhaik », professeur à l’École de Santé
publique Johns Hopkins de Baltimore, aux États-Unis dans la revue
« Britannique Genome Biology and Evolution », qui parait
aller dans le sens de «l'hypothèse khazare».
En
juin 2014, le professeur Shaul Stampfer de l'Université Hébraïque
de Jérusalem publie un article de 72 pages dans lequel il soutient
que la conversion massive des Khazars au judaïsme n'est fondée sur
aucune preuve objective, il souligne notamment l'absence de preuves
archéologiques.
Selon
Stampfer, qui est un historien du peuple juif mais n'est pas
spécialiste de l'époque médiévale, « une telle conversion,
même si c'est une histoire merveilleuse, n'a jamais existé ».
Après avoir analysé des éléments de plusieurs domaines, il a
estimé qu'il n'existe aucune source sérieuse soutenant l'hypothèse
que les Khazars se soient convertis au judaïsme.
Le
pays des khazars occupe une position stratégique entre la Caspienne
et la mer Noire sur les grandes voies de passage ou se confrontent
les puissances Orientales de l’époque. Le territoire khazar...
s’étend au travers de la voie normale de l'avance arabe. Quelques
années après la mort de Mohammed (632
ap.
J.-C.) les armées du califat ont poussé vers le nord en balayant
les décombres de 2 empires et, volant de victoire en victoire, ils
atteignent la grande barrière montagneuse du Caucase... Cette
barrière franchie, la route des plaines de l'Europe Orientale est
libre. Il se trouve que sur la ligne du Caucase les Arabes
rencontrent les forces d'une puissance militaire organisée qui, en
fait, leur interdit d’étendre leurs conquêtes dans cette
direction. Les guerres des Arabes et des Khazars, qui durent plus de
100 ans, si méconnues qu'elles soient, ont ainsi une importance
historique considérable.
Les
menaces qui pèsent sur l'Europe de l'Est ne sont guère moins
graves... Les musulmans victorieux sont arrêtés et contenus par les
armées du royaume khazar... II est peu douteux que s'il n'y avait eu
les Khazars dans la région nord du Caucase, Byzance, rempart de la
civilisation Européenne a l'Orient, se serait trouvée débordée
par les Arabes : Il est probable que l'histoire de la
chrétienté
et de l’Islam auraient été ensuite bien différentes de ce que
nous en savons.
722
— Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/722
Cette
page concerne l'année 722 du calendrier julien. ... Février-Mars :
raid victorieux des Khazars en Arménie, aux frontières de l'empire
omeyyade. Ils battent ...
15
Bis - Site de encyclopedie-historique !
encyclopedie-historique.jimdo.com/15-bis/
Khosrô
ll Abarvēz / Le victorieux (.591 à 628.) .... En 515 / 516 les
Sabirs lancent des raids en Arménie et en Anatolie. ... Avars : Dans
les années 550, des Ougres / Ovar / Ouar / ou War, d'où est issu le
nom Avar et les Kounni ... En 721 / 722 les Khazars tentent en vain
de soumettre les Alains du Caucase (.les futurs Ossètes.) ...
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