lundi 25 mai 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 725

23 MAI 2015...

Cette page concerne l'année 725 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

UNE INVASION MUSULMANE GALOPANTE !

Aperçu sur l'activité l'an 725, les gentils musulmans en plein délire de conquête :
Révolte et répression des chrétiens Coptes en Égypte.
Soumission du Daghestan.
Première révolte des Coptes, éliminés en partie et remplacés par des Arabes.
Plaintes des chrétiens d’Égypte à cause des agressions de leurs femmes et de leurs enfants se rendant à l'église.
Prise de Nicée par les Arabes.
Les chrétiens doivent payer une rançon pour préserver l'église de Nazareth.
Raid contre Nîmes.
Exécution du prince indien Jeishaba par le gouverneur Al Juneid, son frère allant se plaindre à Kufa est aussitôt décapité.
Première révolte fiscale des Coptes, répression brutale.
Al Juneid, gouverneur du Sind, mène plusieurs expéditions vers l'Orient.
Al Juneid, gouverneur du Sind fait exécuter le prince Indien Jeishaba qui refuse de se convertir.
Prise et pillage de Carcassone.
Prise et pillage de Nîmes, prise d'otages.
Prise et pillage complet d'Autun, selon la chronique de l'abbaye de Moissac.
Arrestation et emprisonnement par le calife du patriarche Nestorien Jacob.
Arrestation et emprisonnement par le calife du patriarche Georges.
Arrestation et emprisonnement par le calife du patriarche Melkite Theodoret.
Siège de Tours.
Raids contre les Khazars près de la Caspienne.
Raids contre les Kipchaks près de la Caspienne.

Les Arabes ont déjà conquis de vastes territoires en Syrie et en Mésopotamie
les populations nombreuses et industrieuses les ont attirés. L’Islam,
constitué et triomphant, prend contact, par le biais de cette contrée, avec
l’Afrique.
L’Égypte a conservé jusqu’à nos jours ce rôle essentiel de médiateur entre l’Orient arabe et le monde noir. Depuis la chute des Ptolémées, dynastie étrangère au pays par ses origines et sa langue, l’Égypte n’a plus abrité de centre de pouvoir... Colonie d’exploitation pour les Romains, puis pour les Byzantins, elle a produit une part importante des céréales dont on nourrit les foules des capitales impériales. Sa prospérité est essentielle à la sécurité des princes.
Pendant les 2 premiers siècles de l’Islam, peu de choses changent. Pourtant, le pouvoir central à Médine, à Damas, et enfin en Iraq, donne des directives variées selon qu’il désire privilégier la conversion à l’islam des Coptes ou, tout au contraire, un rendement élevé des contributions en or et
en grains qui sont exigées d’eux. A partir du IIIe siècle de l'islam

IXe siècle, des velléités de résistance face aux exigences du califat se manifestent chez ceux qui sont investis de l’autorité en Égypte. Commence alors une histoire nouvelle, celle de la lente ascension vers un pouvoir autonome puis indépendant, et enfin impérial. Ce transfert de Bagdad à Fusṭāṭ d’abord, au Caire ensuite, de la puissance politique suit le déplacement des itinéraires
commerciaux du Golfe et de la Mésopotamie...

L’Afrique du VIIe au XIe siècle vers la Méditerranée Orientale, la vallée du Nil et la mer Rouge. La Nubie et l’Afrique profonde, ignorées jusqu’alors, entrent activement, grâce à l’Égypte, dans la mouvance économique du monde Méditerranéen... L’Égypte est soumise.

L’Égypte Byzantine, soumise à l’autorité d’un duc augustal, résidant à
Alexandrie, est divisé en cinq duchés, comprenant chacun deux
éparchies composées, elles-mêmes, de plusieurs pagarchies. Cette stricte
hiérarchie territoriale, reflet d’une société toute structurée en groupes dominants et en groupes dominés, est destinée à faciliter la perception des
impositions en nature ou en espèces, à rassembler le blé de l’ annone, puis à financer son envoi à Constantinople. 2 millions et demi d’hectolitres de grains doivent y être transférés chaque année avant le 10 octobre... Des milices recrutées au sein des familles Coptes spécialisées dans le service armé maintiennent l’ordre dans les campagnes, nécessaires pour renforcer l’autorité de ceux qui sont chargés de percevoir l’impôt, elles ont une valeur militaire médiocre et peu de mobilité. Les cités ont dû être entourées de remparts pour assurer une protection efficace contre les raids des nomades...

La sollicitude de l’État Byzantin va à la population d’Alexandrie, parlant grec, adepte du christianisme Melchite et dont la culture et le genre de
vie se rapprochent de ceux des habitants de Constantinople.
Le relais en province est assuré par les hauts fonctionnaires, Grecs également, et par les familles de grands propriétaires terriens Hellénisées. La paysannerie Copte a conservé l’héritage linguistique de l’Égypte pharaonique et, refusant la doctrine Chalcédonienne des Melchites, a opté pour le monophysisme. Chacune des deux églises a son patriarche...

La religiosité Copte s’exprime par un monachisme très vivant, que renforce
l’afflux des paysans fuyant les excès de la pression fiscale. L’activité rurale et plus encore la vie érémitique dans le désert, en marge des campagnes cultivées, ont des valeurs reconnues, alors que la ville, Alexandrie sur tout symbolise désordre, débauche et hérésie...

Les Perses conquièrent sans grande difficulté l’Égypte en 619, et ils y
demeurent une dizaine d’années, persécutant les Grecs et les fidèles de
l’Église Melchite alors qu’ils montrent plus de bienveillance à l’égard des Coptes. Après leur départ, les théologiens de l’État Byzantin tentent de
faire prévaloir une doctrine que les deux Églises peuvent accepter : C'est
un échec et les persécutions reprennent. La conquête arabe s’effectue alors...

L’Égypte depuis la conquête arabe jusqu'à la fin de l'empire Fatimide : La population Égyptienne est en proie à un profond ressentiment contre le
pouvoir lointain de Constantinople et contre son relais local, à Alexandrie.
Cette population ne peut s’identifier avec l’État Byzantin ni politiquement, ni religieusement, ni linguistiquement.
Le général arabe ˓Amr ibn al-˓As pénètre en Égypte à la tête d’une modeste armée, en décembre 639. La conquête de la Syrie qui vient de s’achever le garantit contre toute offensive terrestre des Byzantins. ˓Amr occupe al-Arīsh, al-Farāma et, avançant vers le sud-ouest, le long de la branche orientale du delta, il parvient à Bilbays, puis à Héliopolis, à l’est du point où le Nil se divise en branches pour donner naissance au delta.
Babylone, la plus puissante place-forte Byzantine après Alexandrie, se trouve au sud, également sur la rive droite, en face de l’île de Rode (Rawḍa).
La défense Byzantine est animée par le patriarche Chalcédonien Cyrus,
et par le commandant en chef Théodore. ˓Amr, qui a reçu des renforts,
mène des expéditions dans le Fayyūm et dans le Delta, tout en assiégeant
Babylone qui tombe en avril 641.
En juin 641 commence le siège d’Alexandrie, centre de la puissance maritime de Byzance, en Méditerranée Méridionale. Cette gigantesque ville fortifiée, abritant 600 000 habitants, finit par capituler et les Arabes l’occupent en septembre 642. Les haines de partis qui divisent les Grecs et les haines
religieuses qu’ils nourrissent contre les Coptes a facilité l’action des
envahisseurs. Les élites Byzantines n’ont pu susciter un esprit de résistance
populaire et l’aide de la métropole, Constantinople, a été insuffisante. Rompant avec la tradition instituée par les Lagides d’installer le centre du pouvoir politique dans le port d’Alexandrie, ˓Amr choisit Babylone, à la
limite entre le Delta et la Moyenne-Égypte, comme capitale de la province. Il installe les Kabīlas arabes au nord de la forteresse.
Une mosquée, centre de rassemblement religieux et politique, scelle l’unité de la nouvelle cité qu’on désigne sous le nom de Fusṭāṭ, ou Fusṭāṭ-Miṣr. Les textes ne nous permettent pas de restituer l’allure de cette première ville, sans doute un campement peu à peu remplacé par un habitat en dur, d’abord en briques d’argile crues, puis en briques cuites et en pierres. Alexandrie est désormais, et jusqu’à l’époque fatimide, une ville secondaire, tenue sous l’étroite surveillance du pouvoir provincial. En effet, le risque existe d’un débarquement Byzantin dans son port, permettant l’installation d’une tête de pont en un milieu favorable à Byzance. Ainsi, en 645 -646, la marine impériale peut momentanément réoccuper la ville et sa reconquête par les musulmans, conduits par ˓Amr, est malaisée...

Le régime fiscal imposé par les Arabes à l’Égypte au moment de la
conquête est difficile à décrire car les ouvrages anciens comme celui d’al-
Balādhurī rapportent des traditions contradictoires. L’Égypte y est décrite
comme une terre conquise par capitulation et sans combat ??? !!!

La terre arrachée à ses habitants par la force des armes, demeure entre les mains de ceux qui la cultivent, astreints, pour la conserver, à verser un impôt en nature, en sus de la capitation en espèces qu’ils doivent payer pour avoir conservé la vie sauve sans s’être convertis à l’islam... ?!

Dans le second cas, la terre revient à la communauté des musulmans : Libre à ceux-ci d’employer parmi les vaincus, à qui l’on a fait grâce de la vie, des paysans comme esclaves (ouvriers ou comme métayers).

La confusion pourrait s’expliquer par le souci des rapporteurs de traditions de caractériser en un schéma juridique unique des épisodes successifs, éloignés dans le temps et dans l’espace. L’armée Byzantine a pu reprendre le combat alors que les Coptes, grâce à une capitulation des milices locales, avaient obtenu de conserver leurs terres. (Quelle mansuétude !)

Ailleurs, les autorités musulmanes cherchent un argument pour refuser à des Arabes des Kabīla des lots de terre, leur culture par les Coptes permettant mieux de garantir la régularité de la production...(et les impôts)

Les ambiguïtés du statut issu de la conquête semblent avoir été mises à
profit. L’existence du traité de capitulation a été opposée aux revendications foncières des chefs arabes : Aux Coptes rechignant à fournir les prestations, on a rappelé que la terre conquise les armes à la main peut leur être retirée.
Le montant de la capitation payée par les Chrétiens et les Juifs varie selon les textes entre 1 et 4 dinars par an pour chaque mâle de plus de 14 ans, quant à la redevance en nature, proportionnée à la surface exploitée, elle comporte la fourniture de grains, d’huile, de vinaigre, parfois de vêtements ou d’animaux. Grâce au canal Nil mer Rouge, les vivres peuvent être expédiés en Arabie, de même, une grosse partie de l’or recueilli est envoyée au calife.

Dans les premiers temps, les autorités déterminent globalement la contribution fiscale de chaque circonscription : Il revient aux percepteurs et à l’Église de répartir les charges entre individus et exploitations. Cette fiscalité à deux niveaux explique la différence entre les réalités décrites par les papyrus Grecs d’époque arabe et les schémas théoriques reconstruits a posteriori par les historiens arabes.

En outre, l'impôt foncier, payé parfois en nature, qui frappe la terre agricole qui n’est pas à l’abandon lors de la conquête islamique, désigne par extension l’ensemble des impositions foncières. Impôt par tête, capitation, que doivent payer à l’État islamique les non-musulmans, notamment les Chrétiens et les Juifs, dont la présence permanente est tolérée en territoire islamique, en contrepartie, ils échappent aux obligations militaires, ont le droit de pratiquer,
MOSQUÉE EN PALESTINE FRAICHEMENT CONQUISE
avec discrétion, leur religion, et reçoivent la protection du prince musulman. (cela fait penser à du racket)

En 652, ˓Abd Allāh lance une expédition contre la Nubie, le Soudan
actuel, atteignant Dongola, en amont de la troisième cataracte. La population, chrétienne, proche de l’Église monophysite d’Égypte, manifeste une résistance farouche. Les envahisseurs, découragés par la précision du tir des archers qui éborgnent les cavaliers arabes et par la pauvreté du pays, préfèrent négocier.
Un traité signé avec les Nubiens prévoit que ceux-ci doivent livrer des esclaves contre des vivres et des étoffes. Considéré par les juristes musulmans comme un traité commercial et non comme un acte politique, négocié sur pied d’égalité avec une poignée de barbares, réaménagé à plusieurs reprises il est encore en vigueur à la fin de l’époque Fatimide.

Des incidents éclatent parfois, tels les raids de pillards Nubiens en Haute-Égypte et les luttes pour les mines d’or ou d’émeraude, mais le pays en amont d’ Assouan demeure indépendant... (Quelques courageux résistants) L’Islam s’empare aisément d’immenses territoires dès lors que ses stratifications politiques et sociales s’appuient sur des oppositions culturelles, mais quand il affronte des populations relativement homogènes, il échoue. (A méditer)

Le renoncement à la Nubie fait provisoirement de l’Égypte Méridionale
un « bout du monde » et retarde jusqu’à l’époque mamlūk l’islamisation de l’Afrique Nilotique... De nouveaux itinéraires prévalent pour le grand commerce, joignant l’Asie Centrale et Méridionale à l’ Iraq et au monde Byzantin soit par les hautes terres de l’Asie Intérieure, soit par la navigation sur l’océan Indien et le Golfe, puis le Tigre ou l’ Euphrate.
La mer Rouge, la péninsule Arabique, la Nubie et la Haute-Égypte sont délaissées, en Égypte, la liaison commerciale la plus active est désormais celle qui traverse le Delta d’Ouest en Est, mettant en relation l’Occident musulman et les régions centrales de l’Empire islamique.

La croissance de la communauté islamique aboutit à une division de celle-ci en
groupes s’affrontant quant au rapport entre loi religieuse et pouvoir politique
ou quant à la succession à la magistrature suprême.
Cette rupture précoce de l’unité arabo-islamique permet aux nouveaux convertis de toute origine de s’intégrer aisément dans une structure désarticulée et évite à cette religion la tentation des disputes d’antériorité, du racisme et du repliement sur soi. Les diverses populations peuvent conserver lors de leur conversion à l’islam des éléments culturels anciens auxquels elles sont attachées... ?! (c'est à voir)

La révolte qui aboutit au meurtre du calife ˓Uthmān, chef du parti umayyade, naît parmi les troupes arabes d’Égypte, pourtant, cette province, par l’action de son gouverneur ˓Amr, est associée à la défaite des prétentions du calife ˓ Alī, tant à Ṣiffīn qu’à Adhruh. A la mort de ˓Amr, ˓Utba, frère de Mu˓ āwiya, le remplace comme gouverneur d’Égypte (664 -665). Le chiisme n’a donc jamais beaucoup d’adeptes en Égypte, même si on y témoigne toujours d’une tendresse posthume pour les descendants du Prophète.

L’Église monophysite qui avait gardé son rôle de relais entre l’État, les villages et les individus, n'est plus acceptables dès lors que la présence arabe se
perpétue, un tel respect du passé n’est plus de mise. Dans une première étape, les symboles chrétiens dont l’État Byzantin impose la marque sur ses monnaies et sur le papyrus émanant de ses bureaux sont remplacés par des formules coraniques.
En 706, dans l’ensemble du califat, on doit employer l’arabe pour rédiger les actes officiels... En Égypte, des papyrus bilingues arabe/grec sont apparus peu après la conquête et ne disparaissent que vers 720, on trouve des textes rédigés en grec jusqu’à la fin du VIIIe siècle. Dans le premier quart du VIIIe siècle, l’Égypte bascule dans le domaine linguistique arabe. La langue Copte persiste dans les campagnes pendant II siècles et, plus longtemps, dans la liturgie Copte. Dès le Xe siècle, les historiens Égyptiens, Chalcédoniens ou Jacobites, rédigent leurs chroniques en arabe. Contrairement aux Persans et aux Turcs qui adoptent l’islam mais conservent ou retrouvent leur langue nationale et jouissent ainsi d’une autonomie culturelle, les Égyptiens sont englobés dans l’ensemble linguistique arabe, de l’Atlantique à la Mésopotamie.

L’acculturation réciproque est rapide, les uns et les autres accédant, ensemble, au mode de vie urbain, réservé jusqu’alors aux classes Hellénisées. Le nombre d’individus ne participant pas à la production agricole s’accroît citons les soldats, les administrateurs, les artisans travaillant pour le gouverneur, les chefs militaires, les administrateurs fiscaux, or le mode de vie urbain implique des dépenses accrues. A partir des années 700, les conquêtes se ralentissent et le Trésor ne peut plus faire fond sur le butin. La pression fiscale s’aggrave et la ponction se fait au détriment des campagnes. (tient cela me dis quelque chose) La résistance aux nouvelles exigences fiscales est, au début, passive,
comme à l’époque Byzantine. Les paysans désertent les villages où ils
sont enregistrés, disparaissant ou se faisant moines pour échapper à la
capitation...

Quand ˓Abd al-˓Azīz ibn Marwān élargit la capitation aux moines (685/704), les Coptes pensent que la conversion à l’islam les protégera ... Les autorités musulmanes doivent choisir entre un encouragement à la conversion entraînant une diminution des recettes fiscales ou une modification de la loi pour éviter les conversions intéressées en imposant quand même les nouveaux musulmans. Ḳurra b. Sharīk, gouverneur politique et financier 709/714, refuse de supprimer la capitation aux Coptes convertis et fait poursuivre les fuyards, imposant en outre des taxes spéciales pour financer la guerre navale contre Byzance. Il accroît la production en mettant en culture des « terres mortes » et en implantant la canne à sucre.

Le calife ˓Umar ibn ˓Abd al-˓Aīziz (717/720) apporte une solution juridique au problème des conversions, qu’en ardent musulman il désire voir se multiplier : Il sépare la personne du nouveau musulman de la terre de celui qui la cultive et qui paie l'impôt, même s’il s’est converti.

La ponction fiscale sur la campagne Égyptienne continuant à s’aggraver et les moyens traditionnels d’y échapper étant désormais interdits,

En 725 éclate la première révolte Copte. Les autorités musulmanes installent dans le Delta des Kabīla arabes kaysites : Une dizaine de milliers d’hommes, accompagnés de leurs familles, arrivent en 3 vagues successives. On facilite ainsi le contrôle des campagnes et, par la même occasion, on freine le peuplement Yéménite, prédominant lors de la conquête. Cette révolte est réprimée dans le sang !

Histoire générale de l'Afrique, III - unesdoc - Unesco
unesdoc.unesco.org/images/0018/001843/184312f.pdf
lions d'années d'histoire de l'Afrique, en huit volumes comprenant chacun environ 800 .... s'était morcelé en une extraordinaire mosaïque de petits États, de pouvoirs régionaux ...... Le premier fut la grande révolte des Zandj dans la région du sud de l' Iraq et ...... Cette anecdote ...... 107/725 éclata la première révolte copte.


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