jeudi 17 avril 2014

1124... EN REMONTANT LE TEMPS


Cette page concerne l'année 1124 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol



LE PAPE CALIXTE II RASSEMBLEUR ET RÉFORMATEUR



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Gui de Bourgogne, fils de Guillaume Tête-Hardie, surnommé le Grand, comte de Bourgogne, naît à Quingey, petite ville de ce comté, vers le milieu du XIe siècle. Élu archevêque de Vienne en 1088, il gouverne cette église pendant plus de 30 ans avec beaucoup de sagesse. Le pape Gélase II, obligé de quitter Rome, et de chercher asile en France contre l'empereur Henri V, voit à son passage à Vienne Gui de Bourgogne, et l'engage à se rendre à l'abbaye de Cluny, où son dessein est de se retirer, mais Gélase II meurt avant l'arrivée de l'archevêque de Vienne, et les cardinaux qui ont suivi ce pontife se hâtent de lui nommer un successeur. Gui de Bourgogne est élu à Cluny, le 1er février 1119.

1119.
1er février, Cluny, élection du pape.
1er mai, visite du pape à Brioude, il se rend en pèlerinage au Puy-en-Velay.
8 juillet, ouverture du concile de Toulouse présidé par Calixte II : le manichéisme y est condamné.
A Cîteaux, Étienne Harding promulgue la Charte de charité et les premières coutumes de l’ordre cistercien approuvées par le pape (le nombre des abbayes cisterciennes dépasse 70)...
A Alep, les Francs prisonniers sont massacrés par la foule.

1120.
Bulle Sicut Judaeis pour défendre les Juifs.
Création des universités de Bologne et de Paris.
Le pape dénonce l’hérésie Cathare. Mai/juin, début du règne de Richard III d'Aversa, prince Normand de Capoue.
Le pape donne l’investiture de la Pouille et de la Calabre au Normand Guillaume II.
Au concile de Beauvais, canonisation d’Arnoul de Soissons.
Érection de l’abbaye de Prémontré, près de Laon, par Norbert de Xanten, cet aristocrate rhénan abandonne la vie mondaine de chapelain à la cour d'Henri V pour se consacrer à la prédication itinérante, puis il érige l’abbaye de Prémontré, sous la règle de saint Augustin complétée par des coutumes empruntées tant à Cîteaux qu’à Cluny et Hirsau, après que Norbert de Xanten soit nommé archevêque de Magdebourg (1126), l’essaimage commence : la grande région d’expansion s’étend du Bassin parisien aux Pays Baltes où l’on dénombrait 1 300 monastères d’hommes et 400 de femmes (les norbertines) ; Norbert de Xanten dénonce les mœurs du clergé régulier et doit subir son hostilité.
Raymond du Puy succède à Gérard à la tête des Hospitaliers et crée une milice privée.
A Laon, l’évêque, maudit et excommunie mulots et chenilles qui envahissent les champs.

1121.
A Paris, devenu moine, Abélard publie un traité (Theologia summi boni) sur la Trinité qui est condamné aux flammes par le concile de Soissons, réuni la même année (mars/avril), parce que l’auteur en a laissé prendre des copies sans que le pape ou l’Église les aient approuvées.
Avril, Calixte assiège l'antipape Grégoire VIII à Sutri, le capture, et le fait enfermer dans un couvent ou il meurt.
Mais, il déshonore cet heureux résultat par une action barbare. S'étant rendu maître de la personne de Maurice Bourdin, il le fait promener monté sur un chameau, couvert d'une peau de bœuf ensanglantée, imitation ironique du manteau d'écarlate dont on couvre ordinairement les papes nouvellement élus, le visage tourné vers la queue du chameau, Maurice Bourdin la tient dans ses mains, en guise de bride, c'est dans cet état qu'il est promené dans les rues de Rome, en butte à tous les opprobres, à tous les outrages, et à toutes les attaques de la populace, que quelques individus ont attisé pour qu'elle se porte à de si coupables excès.
Il faut avoir un cœur de roche, ou doublé de bronze pour infliger un tel châtiment à un vénérable vieillard qui a été primat de Lusitanie, légat et serviteur zélé du Saint-Siège, jusqu'à l'époque du couronnement de l'empereur

1122.
12 mars, Suger est élu abbé de Saint-Denis.
22 août, Pierre le Vénérable (1092-1156) devient abbé de Cluny, il travaille pendant tout son abbatiat à restaurer les grandes traditions clunisiennes, esprit cultivé, souvent adversaire de Bernard de Clairvaux, il encourage les lettres, il est le premier à faire traduire le Coran en latin et en donne une Réfutation, il lutte contre la doctrine de Pierre de Bruys qui, proclamant l’omniprésence de Dieu, en vient à profaner des lieux de culte (Contra petrobrusianos).
23 septembre, l’empereur Henri V et Calixte II signent le concordat de Worms (Rhénanie) : le concordat met fin à la Querelles des Investitures.
ATTRIBUE A CALIXTE II DISPARU EN 2011
D'un autre côté, la comtesse Mathilde étant morte, Henri V veut revendiquer pour l'empire la seigneurie de Toscane, les villes de Ferrare, de Mantoue et plusieurs autres terres, comme étant des fiefs séparés du royaume d'Italie et desquels, d'après les lois féodales, Mathilde n'a pu librement disposer. Henri prétend aussi aux biens libres de la comtesse, en sa qualité de plus proche parent, puisqu'elle est la cousine de l'empereur Henri IV, son père.
Mais la comtesse Mathilde, sous le pontificat de Grégoire VII, a donné à l'Église romaine la propriété de tous ses biens après sa mort, et ratifié cette donation sous le pontificat d'Urbain II : c'est le point sur lequel les papes s'appuient pour rendre cet acte valable, sans exception des seigneuries féodales. Calixte II, en se relâchant de ses prétentions dans la fameuse dispute des investitures, obtient donc réellement tous les biens allodiaux de la comtesse, et avait l'espoir d'obtenir de l'empereur les biens féodaux.

1123.
Abélard présente dans Sic et Non (Pour ou contre) une importante thèse dialectique selon laquelle la vérité doit être obtenue en pesant soigneusement tous les aspects de chaque question.
Mars à avril, premier concile de Latran
30 mai, plus de 120 vaisseaux vénitiens détruisent la flotte Égyptienne devant Ascalon.
27 juin, l'émir Turc Balak, qui a épousé la fille de Ridwan, le sultan d'Alep, entreprend la conquête systématique des possessions Franques aux alentours de la ville. La congrégation des ermites Camaldules, sous la règle de Saint Benoît, obtient sa pleine autonomie.

1124.
Août, Henri V, l’empereur d’Allemagne, envahit la Champagne, attaque Reims mais est repoussé par Louis VI le Gros, c’est à cette occasion qu'est arborée pour la première fois l’oriflamme rouge, bannière des abbés de Saint-Denis, puis des rois de France : soutenu par les grands vassaux, à la tête d’une immense armée, il impressionne l’empereur qui se retire sans combattre.
12 ou 13 décembre, mort du pape.
Calixte II consacre la cathédrale Saint-Étienne de Cahors, en l’honneur de la Sainte Coiffe qui aurait couvert la tête du Christ dans son tombeau (linge de lin (suaire) que les Juifs placent en forme de bonnet sur la tête de leurs morts), la tradition locale veut que Charlemagne offrît la Sainte Coiffe à l’évêque de Cahors, mais elle aurait été apportée par Géraud de Cardaillac, évêque de Cahors, à son retour d’un voyage en Terre Sainte entre 1009 et 1113 ou par Adhémar de Monteil, évêque du Puy (mort en mer au retour en 1105) et confiée aux cisterciens de Cadouin en Dordogne en 1114 ; volée lors de la prise de la ville par les protestants en 1580, la relique est providentiellement sauvée et rendue au chapitre, pendant la Révolution, l’évêque constitutionnel Jean d’Anglars la sauve une nouvelle fois, identifié en 1933 comme un tissu du XIe siècle comportant des inscriptions en arabe coufique, le culte est interrompu ; la Sainte Coiffe est aujourd’hui exposée dans le Musée d’Art religieux de la chapelle Sainte-Gausbert, près de la cathédrale Saint-Etienne de Cahors.
20 au 30 Octobre, Calixte II réunit un concile à Reims pour condamner l’investiture par l’autorité laïque (Louis VI de France y participe). 11 novembre, à Gisors, Calixte II rencontre le roi d'Angleterre, Henri I Beauclerc, qui refuse d'accepter le décret de Reims sur les Investitures. Naissance du chant Cistercien les modulations grégoriennes dans leur particularité cistercienne, avec les neumes qui prolongent la dernière syllabe, sont dites s’élancer d’un brasier intérieur : c’est une prière de feu (oratio ignata).

C'est un parent de l'Empereur Germanique, des rois de France, et d'Angleterre, oncle d'Adélaïde de Savoie, épouse de Louis VI le Gros. Ses vertus et ses talents, qui répondent à sa haute naissance, le font choisir dans les circonstances difficiles où se trouve la cour pontificale, et il est jugé propre à terminer les troubles qui désolent l’Église depuis 50 ans. L'anti-pape Maurice Bourdin, qui a pris le nom de Grégoire VIII, s'est emparé de cette ville et du siège pontifical
. Après en avoir chassé Gélase II, il y a couronné l'empereur Henri V.... La querelle des investitures, cause de tous les troubles, est dans sa plus grande effervescence. Calixte II craint que sa nomination ne soit pas ratifiée à Rome.... Elle y est cependant reçue avec joie. L'Allemagne elle-même y applaudit, et Henri V, forcé de céder à l'opinion générale, promet de se trouver au concile que Calixte indique à Reims pour établir la paix entre l’Église et l'Empire. Le pape envoie des députés à l'Empereur, qui paraît disposer à traiter. Le concile s'ouvrit à Reims le 20 octobre on y condamne les simoniaques, les prêtres concubinaires, et tous ceux qui exigent un salaire pour les inhumations et pour les baptêmes, le lendemain de l'ouverture du concile , Calixte se rend à Mouzon, pour conférer avec Henri V. Ces démarches sont alors inutiles...
Le pape revient à Reims sans avoir rien conclu, et ce n'est qu'en 1122, le 23 septembre, que cette négociation est terminée à la diète de Würtzbourg, par un accord entre les légats du pape et les députés de Henri V. L'Empereur, par ce traité, conserve le droit de faire faire les élections en sa présence, et d'investir l'élu des régales par le sceptre, et le pape se réserve l'investiture par la crosse et l'anneau. L'Empereur restitue tous les domaines confisqués à l’Église depuis le commencement de la discorde, et les deux parties contractantes se promettent mutuellement une paix durable et sincère (Cf. l'Histoire ecclésiastique de Fleury, et le Tableau des révolutions par Koch).
Sans doute, le programme défini par Grégoire VII dans les Dictatus n'est pas encore explicitement contenu dans les conventions qui règlent les rapports entre les pouvoirs temporel et spirituel, l'usage de formules floues est de règle en diplomatie. Il reste donc, momentanément mis en réserve, bien des sujets de discorde et les risques de voir la guerre reprendre sont grands. Mais cette papauté, qui peu rassembler dans son palais des bataillons de prélats, est différente de celle qui, à Sutri en 1046, a senti la poigne de l'empereur ! Ce qui alors passe pour un triomphe n'a été qu'une méprise tragique :
En plaçant sur le trône de Pierre des hommes acquis à la réforme, Henri III fait de la papauté l'adversaire redoutable de l'empire, lequel est terriblement affaibli. L’auréole de cette monarchie sacrale a été ternie, L’humiliation de Canossa n'est pas de celles dont le souvenir s'efface facilement, l'empereur peut-il encore se dire le vicaire de Dieu, le « Nouveau David » ? Naguère, la Reichskirche a servi ses États et, comme des fonctionnaires, il avait nommé les prélats là où bon lui semblait... Désormais, conformément aux règles canoniques, c'est le chapitre qui les élit. L’investiture religieuse est entre les mains des clercs, la concession des régales se fait par le sceptre. Quelle sottise ! Qu'on ne pense pas que Calixte et les cardinaux aient cédé par générosité, ce n'est que par intérêt, et pour des avantages très considérables. Les évêques de tout l'empire possèdent des terres seigneuriales et plusieurs autres droits appelés régales, quelques-uns leur proviennent des concessions et de la munificence impériales, et un très grand nombre d'usurpations faites aux époques des guerres féodales. Quand les papes veulent s'emparer des investitures, les empereurs revendiquent les fiefs et les régales.
Les papes Grégoire VII, Victor III, Urbain II, Paschal II, Gélase II et ce même Calixte II, ont proposé cette disposition. Les évêques, dès qu'ils en sont instruits, s'agitent et représentent que tout est perdu pour eux si on les réduit au seul pouvoir spirituel et si on les prive de la représentation civile, dans les diètes et dans les autres assemblées
La réconciliation est solennelle, l'Empereur communie des mains de l'évêque d'Ostie, qui lui donne le baiser de paix. Au concile de Reims, Louis le Gros roi de France, est venu se plaindre de l'invasion de la Normandie par Henri Beauclerc, roi d'Angleterre, et des mauvais traitements qu'il fait subir au duc Robert, vassal de la couronne de France, Calixte ne prétend point interposer son autorité, car les conciles alors, par la présence des ambassadeurs et des souverains, se trouvent souvent transformés en assemblées politiques, où l'on discute des intérêts temporels, mais, dans cette occasion, Calixte se contente d'agir comme médiateur. Il vient à Rome en 1120, pour y rétablir le véritable siège pontifical, il y est reçu avec les démonstrations les plus sincères de l'allégresse publique. Sa grâce et son affabilité lui gagnent l'affection du plus grand nombre.
Il fait de Saint-Jacques-de-Compostelle une ville Sainte du même ordre que Jérusalem et Rome, avec son frère, Raymond de Bourgogne, roi de León et de Galice, il y fait construire la cathédrale de Saint-Jacques. Le 26 février 1120, sous l'archevêque et légat Diego Gelmirez, Saint-Jacques-de-Compostelle devient un archevêché... Selon la Chronique d’Alphonse VII rédigée en 1157, Calixte II proclame, en 1122, le premier jubilé plein de l'Année Sainte qui permet aux pèlerins de bénéficier de l'indulgence plénière (rémission totale des péchés), l’année jubilaire à Compostelle, dite année Jacquaire, a lieu lorsque le 25 juillet tombe un dimanche, jour de la découverte du tombeau de l’Apôtre.
Il va dans la Pouille implorer le secours des Normands contre l'antipape Bourdin, qui est obligé de quitter la ville. C'est pendant son voyage dans la Pouille que Calixte donne l'investiture de ce duché et de celui de Calabre à Guillaume de Normandie, qui lui en fait l'hommage lige, ainsi que Robert Guiscard, son aïeul, et Roger son père, l'ont fait aux pontifes précédents. Le pape tient ensuite un concile général, qui est compté pour le neuvième œcuménique, et comme le premier de Latran, où l'on remarque, parmi plusieurs décrets, celui qui annule toutes les ordinations faites par l'antipape Bourdin, et celui qui défend l'usurpation des biens de l’Église Romaine, et particulièrement de la ville de Bénévent, sous peine d'anathème. C'est dans ce concile qu'on décide d'envoyer des secours aux Chrétiens d'Asie... Calixte paie lui-même la rançon de Baudouin II, roi de Jérusalem, ainsi qu'une partie des frais pour l'équipement de la flotte que les Vénitiens arment pour la défense de ce monarque. Il aide aussi le roi d'Espagne, Alphonse VI, contre les Maures , et fait la guerre à Roger, roi de Sicile, qui s'est ligué avec l'empereur d'Orient contre les Vénitiens, il le vainc, le fait prisonnier, et lui rend la liberté peu de temps après.

Calixte meurt le 12 décembre 1124, le bienheureux Calixte II est fêté le 12 décembre.

Son pontificat n'est pas sans gloire. Il rétablit la paix dans l’Église et dans la capitale du monde chrétien, et détruit les tours de Cercio Frangipane et des autres petits tyrans, il soumet quelques comtes qui pillaient les biens de l’Église, rétablit la sûreté au dedans et au dehors, répare quelques monuments, et donne des aqueducs à la ville de Rome... il orne et enrichit l’Église de Saint-Pierre, en empêchant des gens puissants de piller les offrandes qui lui sont destinées.
[Plusieurs lettres, sermons, bulles, de Calixte II ont été imprimées dans les Miscellanea de Baluze, le Spicilegium d'Achéry, transcription des conciles de Labbe, la Floriacensis Bibliotheca de J. du Bosco, la Bibliotheca Patrum, édition de Lyon, l'Italia sacra d'Ughelli, le Bullarium Cassinense de Margarini, la Marca Hispanica, et dans le de Re diplomatica de Mabillon. Deux des lettres de Calixte II à Othon, évêque de Bamberg, ont été imprimées à Ingolstadt, en 1602, in-4° ; et quatre de ses sermons (sur Saint Jacques, apôtre), qu'il a prononcés en Galice, ont été publiés à Cologne en 1618. On lui attribue une Vie de Charlemagne et un traité de Obitu et Vita sanctorum. Sa vie a été écrite par Pandulphe Alatrin, et par Nicolas de Rosellis. On trouve ces deux vies dans Muratori...]
Sous son pontificat est signé le Concordat de Worms (1122). Ce sont les princes qui agissent en sorte qu'enfin la paix soit conclue. Au moment où, sous les murs de Mayence, les armées impériales et les rebelles venus de Saxe vont en découdre, l'archevêque de Trêves réunit les membres de l'aristocratie qui enjoignent à l'empereur de se soumettre au pape, sous réserve que celui-ci préserve « l'honneur du royaume ». Que la papauté soit sortie victorieuse de ce rude et long combat, personne assurément ne pouvait en douter. L’autorité morale du Saint-Siège a été considérablement renforcée. Le concile convoqué par Calixte avant même que le concordat soit ratifié rassemble plus de 200 évêques au Latran en 1123, ce qui lui vaut d'être qualifié d’œcuménique. Le pape y est reconnu à l'évidence comme l'initiateur de la réforme, responsable des succès remportés par cette réforme dans toute la chrétienté, il a le droit de punir quiconque en gêne le progrès. Les appuis qu'il a trouvés dans le clergé régulier comme dans le clergé séculier tout au long de la Querelle des Investitures montrent que la primauté de juridiction n'est pas une prétention chimérique, mais qu'elle est acceptée largement.
www.france-spiritualites.fr/religions-fois.../papes.../pape-calixte-ii.html
... décembre 1124) 160ème pape - Pape du 1er février 1119 au 12 décembre 1124 ... Chronologie des papes et anti-papes l Le pape Calixte II dans son temps.

Calixte II (1050?-1124) - Auteur - Ressources de la ...

data.bnf.fr/13196675/calixte_2/
Toutes les informations de la Bibliothèque Nationale de France sur : Calixte II (1050? ... 1124): nom en religion. Illustration de la page Calixte II (pape, 1050?

Compilhistoire - CALIXTE II

compilhistoire.pagesperso-orange.fr/CALIXTEII.htm
22 janv. 2014 - Calixte II appelle, dès 1120, à une nouvelle croisade pour secourir les Latins ... Il paie la rançon de Baudouin II, roi de Jérusalem (1124).

CATHOLIC ENCYCLOPEDIA: Pope Callistus II - New Advent

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Date of birth unknown; died 13 December, 1124. ... Pontif., II, 115; MIGNE, P.L., CLXIII, 1071; ROBERT, Bullaire du pape Calixte II (Paris, 1891); MAURER, Papst ...



2 commentaires:

  1. Il nous faudrait un Calixte pour remettre beaucoup d'ordre dans notre Eglise, et sache la défendre avec fermeté et conviction face aux détracteurs de tout horizon !

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  2. Bonjour Joli Lys c'est certains je pense que Benoît XVI était de cette trempe... peut-être un peu âgé

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