Cette
page concerne l'année 1120
du calendrier julien.
Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne
peut s'agir que d'un survol !
UN
NAUFRAGE LOURD DE CONSÉQUENCES
LA BLANCHE NEF |
La
« Blanche-Nef » est un navire normand qui a fait naufrage à
Barfleur au large du Cotentin, le 25 novembre 1120 avec, à son bord,
140 hauts barons et 18 femmes de haute naissance, filles, sœurs,
nièces ou épouses de rois et de comtes, parmi lesquels l’héritier
du trône d’Angleterre, le prince Guillaume Adelin, fils du roi
Henri Ier Beauclerc.
Guillaume
Adelin est un prince guerrier qui, dès l’âge de 17 ans, combat
déjà au côté de son père pour réaffirmer leurs droits sur le
continent pour leur terre de Normandie. Après la campagne réussie
de 1119 qui voit la défaite et l’humiliation du roi Louis VI de
France à la bataille de Brémule, le roi Henri Beauclerc et son
entourage se préparent à rejoindre l’Angleterre. Henri Ier se
voit offrir un noble vaisseau, la Blanche Nef, prêt à mettre les
voiles vers l’Angleterre, mais le roi a déjà prévu tous les
détails de son retour et suggère à son fils, Guillaume Adelin,
d’embarquer sur la Blanche Nef.
Il
est 11 heures 30, et la Blanche Nef sort du port de Barfleur, voguant
vers son destin qui va modifier le cour de toute l'histoire de
l'Europe médiévale.
Mais
revenons quelques années plus tôt, quand Guillaume le Bâtard, fils
d'un duc Normand et d'Arlette, elle même fille d'un tanneur de
Falaise, décide d'attaquer l’Angleterre... Sa descendance directe
régnera sur l'Angleterre jusqu'à ce terrible soir de Novembre 1120
au large de Barfleur.
A
la sortie du port de Barfleur, le navire du Roi et la Blanche Nef se
suivent encore. La mauvaise visibilité et l’équipage ayant abusé
de la boisson, la Blanche Nef se trouve rapidement distancée. Le
Prince qui souhaite toucher terre le premier donne ordre à l’homme
de barre de rattraper et de doubler le reste de la flotte. Aussi
saoul que le reste de ses compagnons, ce dernier s’exécute. Bien
que la Blanche Nef soit un excellent vaisseau, les traversées, à
cette époque, sont loin d’être sûres. Avec, de surcroît, un
équipage aviné à la manœuvre, il semble que le destin réserve
une place particulière à la Blanche Nef, qui a à son bord
les fils du roi d'Angleterre Henri 1er, mais aussi presque l'ensemble
de la noblesse Normande, chargés de toutes les valeurs qu'ils
pouvaient transporter, bijoux, pièces d'or et pièces d'argent sont
à bord.
Un
fabuleux trésor !
Henri
1er est en fait le fils cadet de Guillaume le Conquérant, pour
rejoindre l'Angleterre, après un festin copieusement arrosé
scellant la réconciliation Franco-Normande, il fait donc embarquer à
bord de la Blanche Nef, son fils unique et légitime Guillaume
Adelin, héritier de la couronne d'Angleterre accompagné de nombreux
jeunes nobles descendant des familles d'Allemagne et de Normandie. La
soirée à été bien arrosée, trop certainement, et autant l'homme
de barre, pilote local pourtant que l'ensemble des passagers sont
tous ivres-morts à bord du vaisseau...
Le
roi Henri passe en premier et sort de l'anse de Barfleur, en faisant
Cap au nord est pour éviter les nombreux écueils affleurants. Il
file vite, aidé par une bonne brise de terre, et distance rapidement
la Blanche Nef qui le suit à quelques encablures derrière. A bord
de ce navire, les jeunes ducs se sentent provoqués par cette
manœuvre et ordonnent à Thomas l'homme de barre de couper au plus
court, vers le Nord, vers la pointe de Gatteville, là où avec la
marée descendante, les vagues commencent a friser sur un gros récif,
le rocher de Quilleboeuf à moins d'un mille dans le nord... L’homme
de barre dirige le bateau plein nord, alors qu’il aurait dû garder
le cap à l’est, la Blanche Nef percute en pleine nuit le récif de
Quilleboeuf. Aussitôt, le garde du corps de Guillaume se précipite
sur le pont et fait embarquer le Prince dans un petit esquif ;
mettant celui-ci en sécurité avant même que l’équipage ne
réagisse et tente, en vain, de libérer la Blanche Nef de l’emprise
des rochers.
Tout
a coup un sourd craquement se fait entendre sur tribord...
Revenons
à la journée qui a précédé ce terrible drame. Henri Beauclerc,
roi d'Angleterre, est dans son château de Barfleur l'hôtel de Montfarville à rejoindre le lendemain la Grande Île,
en nombreuse compagnie. , lorsqu'il fait appeler son fils
Guillaume et le reçoit dans sa somptueuse salle de réception.
« Qui
y a t il donc Père » demande le jeune Prince.
« Si
le vent est favorable nous devons partir ce soir pour l'Angleterre et
rejoindre Londres au plus vite ».
« Je
le savais répond Guillaume, les marins en parlent sur le port, mais
ils disent aussi, que le vent vas tomber avec la nuit. Ils sont tous
partis boire et chanter dans les tavernes, même le capitaine, le
vieux Stephen Feltz est lui aussi complètement ivre. »...
Le
roi s'entête, et donne l'ordre à son fils de rassembler l'équipage,
pour sortir su port à la tombée de la nuit. Et c'est ainsi que le
petit fils de Guillaume le conquérant, annule la partie d'arbalète
qu'il a prévu avec un prince Allemand, et rassemble les marins pour
se tenir prêt à suivre le vaisseau de son Père « le Royal
Tigre » dès que l'obscurité se fera. En plus de ses cousins
il a une charge bien plus importante puisqu'il est également chargé
de veiller sur sa sœur Mathilde et son jeune frère Richard.
Le
roi donne alors une ultime recommandation: La Blanche Nef doit voguer
à la suite, presque dans le sillage du Royal Tigre. Peu après, dans
le courant de l'après midi, le roi accompagné de 200 chevalier
embarque sur le Royal Tigre et se prépare à l'appareillage.
La
Blanche Nef n'est toujours pas prête et il s'impatiente, cela fait 4
longues années qu'il n'est pas rentré en Angleterre, mais que faire
devant un tel équipage de jeunes duc tous plus ivres les uns que les
autres.
Jamais
on a vu autant de nobles, de ducs, et de chevaliers, dans ce port
pourtant prospère en ce début de millénaire, et c'est la fête à
tous les coins de rue... la nuit approche et le roi contraint une
fois de plus son fils à embarquer sur la Blanche Nef La ville de
Barfleur est en effervescence ce jour d'automne 1120, car le roi
d’Angleterre Henri Beauclerc, fils de guillaume le conquérant, est
présent accompagné de toute sa famille, mais aussi de plusieurs
centaines de chevalier Normands. Ils se préparent tous à regagner
les côtes Anglaises à bord de deux grand vaisseaux. Le Royal Tigre
et la Blanche Nef,
Le
Royal Tigre emporte le roi, sa cour et 200 chevalier, et la Blanche
Nef la famille du Roi, ses enfants, Guillaume, Richard et Mathilde,
accompagnés de la noblesse Normande et Allemande, mais aussi de 200
chevaliers.
Au
moment d'embarquer, un homme s'approche, il s'appelle Thomas Airard
et c'est le fils d'Étienne Airard qui emmena Guillaume le conquérant
54 ans plus tôt à travers la Manche , vaincre les Anglo-Saxons à
Hastings. Tout comme son père, il est pilote, et propose ses service
au navire royal, mais Henry 1er, a déjà un pilote, aussi il lui
répond:
« Pour
faire droit à ta requête et ainsi honorer Étienne Airard, qui a
conduit le Conquérant sur le sol d'Angleterre, je veux te confier ce
que j'ai de plus précieux... C'est toi qui conduira la Blanche Nef
sur laquelle se trouverons mes deux fils, et ma bien aimée fille
Mathilde, mes chevaliers et mon trésor. Demain, à ton arrivée de
l'autre bord du canal, je récompenserait tes soins. »
Puis
le roi embarque, enfin, sur le Royal Tigre, il est déjà tard, la
nuit est tombée. Une petite brise de terre vas permettre aux voiles
de se déployer, quelques coup de rames sortent le vaisseau hors du
port. Henri Ier, et son équipage font route vers l'Angleterre,
prudemment, cap au nord est pour éviter les terribles récifs de la
baie de Cataras, que l'on appelle aujourd'hui Gatteville.
Mais
Guillaume sur la Blanche Nef, tarde encore, comme s'il pressent la
tragédie qui va se produire à quelques encablures de là et veut
reculer son départ jusqu'au dernier moment...
Le
roi est parti ! Henri Ier, à bord du Royal Tigre, a quitté le port
de Barfleur. Son fils Guillaume est sensé le suivre à bord du
fleuron de la flotte Normande, le vaisseau « Blanche Nef »
mais l'équipage perdu dans les tavernes du port depuis le début
d'après midi est dur à rassembler. Et puis c'est la cohue, les
abbés, les ducs, les évêques, les barons et les princes,
embarquent sur le navire, et veulent rester sur le pont. Seuls
quelques chevaliers restent sur le quai ne voulant confier leur vie a
des hommes privés de leur raison... Il est donc plus de 10 heures du
soir quand Thomas Aivrard, le pilote fait appareiller. 50 rameurs
plein de force, mais aussi de vin, se courbent sur leur rame et font
avancer la nef. Maître du Royaume
d'Angleterre et du Duché de Normandie, Henri Beauclerc passe souvent
le « Channel » au départ de Barfleur.
Vers
le soir, juste au début du jusant, le signal du départ est donné
et le vaisseau royal quitte l'appontement en premier, prenant du
large à l'aviron car il y a une brise d'est. La voile est rapidement
hissée sur une mer passablement agitée dans ces parages dangereux
du raz de Gatteville.
NAUFRAGE AU LARGE DE CATALAS |
La
Blanche Nef largue les amarres tout de suite après, dans une aimable
pagaille. Tous ces jeunes gens contents d'être ensemble continuent à
bord, la fête commencée à terre. On voyait même des matelots
trinquer et partager en douce les libations. Désireux de rejoindre
au plus tôt le nef royale, le maître pilote fait hisser rapidement
(trop ?) la grande voile carrée . Un observateur averti saurait
que le navire est encore bien proche des cailloux et qu'il aura du
mal à passer Cataras comme on appelait à l'époque la pointe de
Gatteville... Avec une brise de nordet et le courant de jusant c'est
mission impossible pour un navire lourdement chargé et
remontant mal au vent. La Blanche Nef part à l'abattée, sous le
vent et les courants, et elle touche le rocher de Quilleboeuf encore
recouvert puisqu'on est à marée haute. Le navire drossé sur
l'écueil qui gît à plus de 800 mètres de la terre ferme, laisse
immédiatement entrer l'eau par ses bordés défoncés. Ceux qui
peuvent nager sont rapidement entraînés au large par le courant
violent en cet endroit. Quand aux autres, nombreux, qui en sont
incapables, ils périssent presque immédiatement et ce n'est que
bien plus tard qu'on retrouve leurs corps. Il semble que les secours
arrivés dans la nuit ne peuvent qu'assister à la destruction du
vaisseau et à la perte de l'équipage et des passagers.
Neirt
ert li temps, ne fut pas cler,
Li
marinier orent beü,
N'ont
pas leur drei cors porveü
del
chargeor erent meü
la
tref avaient ja tendu
Deus
quel péchié e quel dol fu !
Le
temps était noir, il ne faisait pas clair
Les
marins avaient bu
Et
ne surent pas tenir le cap
A
peine largués de l'appontement
La
grand voile était hissée
Dieu
quel péché et quelle douleur ce fut !
(Robert
Wace, Roman de Rou ( d'après F.Pluquet, 1824))
La
Blanche Nef s'éloigne du rivage sous les acclamations de plus de
milles spectateurs. Courage crie le pilote, Thomas, à la barre, il
faut rattraper le Tigre Royal qui est déjà loin. « Nous le
rattraperons hurles les 50 rameurs ».
Puis
Thomas Aivrard, pourtant habitué à ces côtes dangereuse, mets le
cap au nord dès la sortie du port, afin de couper la route au
vaisseau royal qui a déjà beaucoup d'avance. Le navire file très
vite, porté par les vents de terre et les coups de rame de
l'équipage, il fait nuit noire, et pas moyen de voir le récifs qui
commence à se recouvrir par la marée montante...Tout à coup la
Blanche Nef stoppe brusquement, dans un grand craquement sur tribord.
Les marins et les passagers tombent et roulent sur le pont... c'est
la panique à bord, nous sommes à peine à 1 km de la côte et guère
plus loin du port ou la fête continue sans savoir qu'une terrible
tragédie à lieu au même moment qui va changer le cours de
l'histoire.
LES ROCHERS DE BARFLEUR |
La
Blanche Nef à heurté un rocher dans le nord du port de Barfleur. A
bord , c'est la panique alors que le navire est en train de se
remplir d'eau, et que la mer monte. La mer est plutôt belle, mais
chaque vague embarquée dans la nef, ne laisse que peu de chances aux
passagers et marins, rapidement dessaoulés, Beaucoup se jettent à
l'eau, croyant pouvoir regagner le rivage, mais nous sommes en
novembre, et le froid et la mer ont raison d'eux. Certains
s'accrochent à ce qui reste : les mâts, le bastingage, mais
rien n'y fait... La Blanche Nef est en train de couler. Seul Thomas,
le pilote, en partie responsable de cette tragédie, attrape le canot
arrimé à la poupe, et tente de sauver le jeune prince Guillaume, en
l'agrippant et le jetant dans le canot. Guillaume, a moitié
estourbit ne se rend pas compte tout de suite, mais lorsqu'il reprend
ses esprits, il est seul et à perdu son petit frère et sa bien
aimée sœur...
Il
ordonne à Thomas de revenir vers l'épave, à moitié engloutie,
afin de sauver sa famille et surtout Mathilde qui l'appelle,
accrochée au mat du navire. Thomas refuse sachant que trop de
naufragés vont s'accrocher au canot, trop petit pour les emmener, et
couler celui-ci.
« Pilote,
il faut sauver ma sœur ou mourir avec elle » dit alors
Guillaume d'un ton bref et impératif.
« alors
tout est finit, murmure Thomas »
Ils
reviennent donc vers le navire empalé sur le rocher de Quillebeuf,
et ce qui devait arrivé arriva, les rescapés se jettent tous dans
le canot, et lorsqu'un chevalier en arme embarque à son tour, il
coule entraînant avec lui le prince Guillaume mais aussi la
princesse Mathilde qui avait réussit à sauter à bord...
De
ce deuxième naufrage seul Thomas Aivrard remonte à la surface, mais
n'aperçoit plus que les deux mats de la Blanche Nef, posée sur le
fond. Deux hommes sont cramponnés à ces mats et l'appellent. mais
ayant faillit à sa mission de veiller sur la famille royale il se
laisse aller dans les flots, il a juste le temps de reconnaître le
boucher du bord, Berold, agrippé au mat de l'épave du vaisseau
royal...
La
Blanche Nef a maintenant coulée, elle a entraîné avec elle la
plupart des ducs de Normandie mais surtout la famille d'Henri Ier
Beauclerc roi d'Angleterre. Seuls deux hommes restent maintenant
agrippés au mats du navire qui repose par une quinzaine de mètres
de fond au large de Barfleur. il s'agit de Geoffroy de L'aigle, noble
chevalier, et du boucher du bord, Berold... Il est plus de minuit, et
la mer est calme, mais il fait très froid en cette fin Novembre.
Vers 2 heures du matin Geoffroy lâche prise épuisé et tombe à la
mer, « Courage » lui dit Berold, nagez jusqu'à moi et je
vous sauverais...Trop tard, le jeune chevalier disparaît à son tour
dans les flots glacé, de la baie de Cataras.
Et
puis la mer est descendu, et Berold est lui aussi descendu de son mat
pour se reposer quelques temps sur le rocher effleurant espérant que
de la côte on l'apercevrait au jour. La nuit est longue pour Berold,
mais dès le lendemain les corps des malheureux sont arrivés à la
côte et les marins du port ayant rapidement compris qu'une tragédie
a eu lieu non loin de là, se mettent à la recherche de survivants.
Il retrouvent Berold de nouveau accroché au mat, puisque la mer est
remontée, le secourent et le ramènent à Barfleur. Toute la journée
la population de Barfleur, ramasse les cadavres sur la plage, et les
place un a un sur les tables utilisées la veille pour les libations.
Du naufrage immédiat, dont ni du navire du roi, ni de la terre, on
ne s'est aperçu, ont péri noyées 193 personnes dont 140
chevaliers... Le trésor des ducs de Normandie est englouti là par
une quinzaine de mètres de fond...
La
légende dit que pendant les 11 années pendant lesquelles Henri 1er
vivra encore, il ne sourira jamais plus... Largement de quoi
alimenter pendant des siècles les légendes des chasseurs de trésors
de tous horizons.
Pendant
toute la période ducale (jusquà 1204, date du rattachement de la
Normandie au royaume de France), Barfleur est le port préféré des
ducs de Normandie qui sont aussi rois d'Angleterre.
Un naufrage à proximité de la côte excite toujours la curiosité, et, des chercheurs sont encore allés récemment à la recherche du « trésor ».
Mais :
Le navire et son trésor ont été renfloués !
Orderic Vitalis , écrit dans son Histoire ecclésiastique :
« Quand les marins de la côte ouïrent la nouvelle du désastre, il s’en furent en quête du navire naufragé qu’ils tirèrent au rivage avec tout le trésor du roi et on retrouva presque tout ce qui avait été en le navire, à l’exception des hommes ».
Si on en croit les historiens, Barfleur ne retrouvera plus jamais son importance de l'époque. Sous le nom de Cataras la sortie du port est l'exemple même du lieu maudit. Il faut dire qu'aujourd'hui encore les parages sont parmi les plus dangereux du littoral par vent d'amont et fortes marées. Ce naufrage peut encore servir d'avertissement aux amateurs débutants de navigation de plaisance...
www.vds-phl.fr/article-barfleur-un-naufrage-25-novembre-1120-la-blan...
15 mars 2010 - Si
un jour de 1120,
la Blanche Nef
n'avait pas fait naufrage,
l'Angleterre, la Normandie, la France auraient peut être connu une
autre histoire …
Le naufrage de la Blanche-Nef : La lettre du Cotentin
www.lalettreducotentin.com/archive/2010/.../un-naufrage-historique.htm...
31
mai 2010 - Il survint au début du XII° siècle, en 1120,
trente trois ans après la mort de ... La Blanche
Nef largua les amarres tout de
suite après, dans une …
Le naufrage de la Blanche Nef - Normandie Héritage
www.normandie-heritage.com/spip.php?article110
Le 25 novembre
1120, le naufrage de la Blanche Nef
et la disparition de Guillaume Adelin, fils et successeur désigné
du roi Henri 1er Beauclerc, allaient (...)
Vous avez raison Myo... Hélas peu de choses ont changé, combien de jeunes gens encore aujourd'hui avec d'autres véhicules ruinent leur vie et celle de leur parents pour un verre de trop... Situation aggravante ce coin de côte est truffée d’écueils en tout genres et en tout sens, même aujourd'hui il faut être vigilent, et bien connaître les passes.
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