Cette
page concerne l'année 1166
du calendrier julien.
Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne
peut s'agir que d'un survol !
Guillaume Ier Le Mauvais (1120 env. mort le 7 mai 1166 à Palerme.) roi de Sicile (1154-1166),
GUILLAUME 1er |
À
la mort de ses 3 frères aînés, Guillaume Ier, dit « le
Mauvais », devient héritier présomptif du trône en 1148. À
partir de 1151, il partage le pouvoir avec son père Roger II
(1095-1154) jusqu'à la mort de celui-ci.
Il
est alors couronné roi le dimanche de Pâques 4 avril 1154 dans
la cathédrale de Palerme. Sur les conseils de son grand émir Maion
de Bari, Guillaume Ier poursuit énergiquement la politique de
son père et s'applique à renforcer le pouvoir royal sur les villes
et les barons Normands de l'Italie du Sud, qui ont rallié son cousin
Robert de Loritello et demandé l'aide de Frédéric Ier
Barberousse. Lorsque celui-ci annule son expédition sur l'Italie
méridionale, les rebelles se tournent vers l'empereur Byzantin
Manuel Ier Comnène.
En
1155, les Byzantins envahissent l'Italie du Sud et occupent l'Apulie
(auj. les Pouilles), mais Guillaume Ier remporte une victoire
éclatante à Brindisi et reprend la province.
En
1156, le concordat de Bénévent met fin à ses querelles avec le
pape Hadrien IV (né en 1100 env., pape 1154-1159) et il obtient
la reconnaissance par celui-ci de son pouvoir sur tous les
territoires passés sous domination Normande.
C'est
à ses adversaires malheureux que Guillaume Ier doit son
épithète, car il est protecteur des savants et des lettrés, un
monarque tolérant qui reçoit un grand nombre de musulmans à sa
cour. La perte des possessions Africaines du royaume (1158-1160)
affaiblit le prestige de Guillaume Ier, qui devient d'autant
plus exposé aux conspirations des barons, menés par le noble
Normand Mattéo Bonello, que Maion de Bari est assassiné en novembre
1160. Il échappe de peu à une déposition, et de nombreuses
rébellions éclatent en Sicile et en Italie. Le palais royal de
Palerme est pillé, parmi les objets de valeur disparus se trouve le
planisphère en argent du grand géographe arabe al-Idrisi (1100
env.-1165), contraint de fuir la Sicile et l'hostilité du peuple
envers les musulmans. Cependant, Guillaume Ier est prompt à
rétablir l'ordre, et punit sévèrement les dissidents, qui ne
peuvent bénéficier cette fois d'aucune aide étrangère. Lorsque
son fils Guillaume II le Bon (1154-1189) lui succède, le
royaume est intact.
BLASON DE HAUTEVILLE |
La Maison d’Hauteville et la constitution du « Royaume »
C’est le « Royaume » par excellence. Son territoire, délimité dès les premières années de sa création sous Roger II d’Hauteville, demeure immuable au cours des siècles, jusqu’à sa chute en 1861. La frontière suit au nord, une ligne qui part, de Civitella del Tronto, au-dessous de Ascoli Piceno, arrive à Gaète en passant par Leonessa, L’Aquila, au-dessus de Pontecorvo et descend jusqu’à la Mer Tyrrhénienne, au sud, sa frontière englobe la Mer et la Sicile. Après la chute de l’Empire Romain, les territoires du futur Royaume furent d’une part sous la domination Byzantine (côte méridionale des Pouilles, Calabre, Sicile et Duché de Naples), de l’autre sous la domination Lombarde (le Duché de Bénévent), Au IX siècle, la Sicile tombe aux mains des musulmans. Au cours des siècles suivants, et particulièrement XIe siècle, la situation géopolitique du Sud de la péninsule précipite la fragmentation en petits états locaux, alors que les anciennes dominations Byzantines et Lombardes perdent leur emprise.On entre progressivement en une sorte de « guerre de tout le monde contre tout le monde », aggravée par des incursions Sarrasines récurrentes. De telles circonstances, appauvrissent le Sud de l’Italie qui amorce son déclin, laissant le champ libre aux Normands, conduits par la famille d’Hauteville, qui profitent de l’occasion.
Déjà,
aux environs de l’an Mille, apparaissent les premiers aventuriers
Normands, qui entrent au service des différents seigneurs en guerre
avec leurs rivaux, cette politique de mercenaires fait se distinguer
les Hauteville, qui, en 1043, savent ériger en hâte un de leur
comté à Melfi. Dès lors, leur expansion politico-militaire est
constante (surtout avec Robert Guiscard, qui conquiert les Pouilles
et la Calabre), jusqu’à ce que, intervenant dans les guerres pour
la Querelle des Investitures, sans scrupules, ils se font remarquer
par les Pontifes comme seigneurs inféodés sur les terres
méridionales de l’Église (en 1091, ils chassent les musulmans de
la Sicile). Ainsi, en l’an 1130, Roger II d’Hauteville
(1101-1154), bien qu’étant son vassal, peut se faire proclamer par
le Pape Anaclet II Roi de Sicile, Pouilles et Calabre, ayant plus
tard, domination sur Capoue, Bénévent et Naples. C’est la
naissance formelle du Royaume de Naples, baptisé à cette époque:
le « Royaume de Sicile ».
1059
- Le Pape Nicolò II autorise la famille Normande de Hauteville
(présente en Calabre et dans les Pouilles) à occuper n'importe
quelle région du sud de l'Italie du moment qu'elle ne reconnaît pas
le pouvoir de Constantinople.
1064
- Le Normand Roger de Hauteville envahit Messine en réponse à un
appel à l'aide des Arabes contre les Byzantins.
1071
- Les Normands prennent Palerme après un blocus naval de 6 mois, les
Normands prennent possession de la Sicile, mais ils sont peu nombreux
si bien qu'ils acceptent et intègrent l'administration et le système
de justice arabes. Ils emploient des artisans et des architectes
Arabes et Byzantins, engendrant ainsi une association de talents et
laissant un incroyable héritage artistique et architectural. L'arabe
est remplacé par le français et l'italien et la hiérarchie
cléricale est latinisée, mettant un terme à 1 500 ans d'influence
Grecque.
1130-1154
- Le Roi Roger II étend son énorme influence sur toute la région
méditerranéenne.
1154-1166
- Le roi Guillaume Ier (Guillaume le Mauvais) exploite sa position et
ne parvient pas à contrôler les barons. L'Anglais Walter du Moulin
devient archevêque de Palerme.
1166-1189
Le roi Guillaume II (Guillaume le Bon) établit un second archevêché
à Monreale.
1189-1194
Déclin éclair de la puissance Normande suite à des divisions après
la mort de Guillaume II (âgé de 36 ans). La tante de Roger II
épouse Henry Hohenstaufen.
1190
- Richard Ier d'Angleterre (Richard Cœur de Lion) s'arrête à
Messine en chemin vers sa Troisième Croisade, mettant la ville à
sac.
A
partir de 1127, le comte Roger entreprend de conquérir l’Italie
méridionale (il contrôle alors la Calabre et la Sicile) et en 1130
il se fait proclamer roi de Sicile et reconnaître par le pape
schismatique Anaclet II.
L’architecture
et les arts sont, durant cette période, caractérisés par
l’intégration d’éléments considérés comme « Byzantins »,
« Islamiques », ou originaires de l’Europe du Nord, qui
donnent naissance à un langage propre à la Sicile du XIIe siècle.
Avant
1130, les principales réalisations architecturales concernent des
édifices religieux et ont lieu dans le cadre du rétablissement des
structures ecclésiastiques et de la fondation de monastères.
Entre
1130 et 1154, date de la mort de Roger II, ce dernier développe une
politique digne du roi érudit que doit être tout souverain. Mécène
ouvert aux différents éléments qui composent alors la koiné
(grec ancien) artistique et savante méditerranéenne, il promeut un
certain nombre de réalisations. La célèbre Chapelle de Palerme lui
est ainsi due, et en particulier, son plafond peint, il est à
l’origine de la construction de la cathédrale de Cefalù dont le
plafond est également décoré d’éléments mêlés, Roger est
aussi le commanditaire de la Géographie
d’al-Idrîsî,
un ouvrage unique à son époque. Plus largement, refondant
l’administration de la Sicile et de la Calabre, il fait appel à
des fonctionnaires arabophones, et développe un cérémonial et une
vie de cour qui mêlent éléments d’origines Byzantine et
Islamique. Cette politique générale vise un public plus large que
celui de la cour sicilienne et de la population insulaire, d’autant
qu’à partir des années 1120 et jusqu’en 1160, la dynastie
contrôle un certain nombre de villes côtières de l’Ifrîqiya et
du Maghreb central (Jerba, Mahdia, Sfax, Tripoli, Bône, etc.).
Un
certain nombre de grands suivent l’exemple du souverain, tel le
principal conseiller de Roger, Georges d’Antioche, commanditaire de
l’église de la Martorana.
GUILLAUME 1er |
Le
règne de Guillaume 1er, le « Mauvais », est aussi bref
(1154 - 1166) que tumultueux : sous son règne, Palerme perd
tout contrôle sur les côtes Africaines et les révoltes se
succèdent, liées à la volonté de l’aristocratie latine de
prendre plus de part au gouvernement, aux dépens des serviteurs de
la monarchie d’origine arabo-musulmane et de statut servile.
Si
la villégiature de la Favara et son vivier, situés à proximité de
Palerme, au Sud-est de la ville, semblent avoir été élaborés sous
Roger II, ils sont utilisés par son fils. Il est également le
commanditaire d’un autre lieu de villégiature, la Zisa, localisée
au Sud Ouest de la capitale. La Conque d’Or, nom qui désigne la
plaine qui entoure Palerme, entre la mer et les premiers reliefs au
sud de la capitale, zone horticole, donne ainsi également à voir la
splendeur des Hauteville.
Si
Guillaume (qui mesure près de 6 pieds, soit environ 1.82 mètres,
plutôt grand pour un homme du Moyen Âge, d'où sa réputation de
colosse capable de soulever un cheval avec son cavalier) hérite d'un
royaume puissant et en pleine apogée, il semble mal préparé et son
règne s'annonce difficile et tumultueux. En effet, la majeure partie
des barons Normands contestent un pouvoir qu'ils jugent trop
centralisé à leur goût, de la part de la cour royale Palermitaine
et haïssent le personnage le plus puissant du royaume, l'« Émir
des Émirs » Maion de Bari, qualifié par ses détracteurs de «
diabolique », de « corrompu » et de « comploteur », ce qui n'est
peut-être pas complètement faux... Les barons n'hésitent pas à
s'allier aux Byzantins contre leur roi. Son titre de roi est
d'ailleurs contesté par l’empereur Byzantin Manuel Comnène,
ennemi juré des Normands qui espère encore conquérir l'Italie,
ainsi que par le pape Adrien IV.
Reconnu
ensuite roi par ce dernier en 1156, il devient alors un fidèle allié
de la Papauté contre les menées de l’empereur Germanique Frédéric
Barberousse qui cherche à étendre son empire en Italie. Après
avoir violemment rétabli un temps l'ordre dans ses possessions, il
tente de poursuivre la politique expansionniste, méditerranéenne et
orientale de son père mais finit par perdre toutes les places fortes
Normandes d'Afrique du Nord (sur l'actuelle côte Tunisienne) et le
dernier bastion Normand d'Afrique, Mahdia, tombe dans les premiers
jours de 1160. A La fin de sa vie, Guillaume 1er, élevé à
l'orientale et vivant comme un prince arabe, l'a passé
essentiellement dans ses palais, partageant la majeure partie de son
temps entre son harem et ses somptueux jardins...
En
même temps, l'année 1160
marque un retour des troubles secouant le royaume Normand :
Maion de Bari est assassiné en novembre dans Palerme, victime d'un
complot mené par la noblesse dirigé par Mattéo Bonello. Des
membres de la famille royale et des barons importants participent
également aux troubles : Tancrède de Lecce, Roger Sclavo,
Richard de Mandra, Bohémond II de Manoppello, etc.….
Peu de temps après, au début du printemps 1161, Guillaume lui-même est capturé après une émeute à Palerme et emprisonné à l'instigation d'un complot de la part de barons rebelles. Son fils aîné et héritier désigné, Roger, âgé de 9 ans, est placé brièvement sur le trône par les rebelles mais meurt peu après dans la cohue des événements, Pierre le Caïd, Cancellais du royaume, préfère d'ailleurs quitter le royaume, remplacé par un jeune homme inexpérimenté, Étienne du Perche.
Peu de temps après, au début du printemps 1161, Guillaume lui-même est capturé après une émeute à Palerme et emprisonné à l'instigation d'un complot de la part de barons rebelles. Son fils aîné et héritier désigné, Roger, âgé de 9 ans, est placé brièvement sur le trône par les rebelles mais meurt peu après dans la cohue des événements, Pierre le Caïd, Cancellais du royaume, préfère d'ailleurs quitter le royaume, remplacé par un jeune homme inexpérimenté, Étienne du Perche.
LA ZISA |
Guillaume
1er le Mauvais meurt à Palerme de causes inconnues le 7 mai 1166 âgé
d'environ 40 ans. Avant de mourir, il a nommé comme successeur son
jeune fils Guillaume, encore un tout jeune adolescent, lui laissant
un royaume plus fragile qu'en 1154, à la mort du grand roi Roger.
Guillaume
le Mauvais est à l'origine de plusieurs édifices
dont le célèbre Palais de la Zisa à Palerme, assez bien conservé.
Sa mère, Marguerite, assure la régence jusqu’en 1171. Le règne
de Guillaume II, le « Bon », bénéficie d’une paix
interne qui autorise une politique extérieure relativement active.
Il meurt en 1189, sans héritier, et débute alors une période de
forte instabilité.
La
succession de Guillaume II n’est pas aisée et Constance, sa tante,
fille posthume de Roger II et épouse du futur empereur Henri VI, que
le défunt souverain avait désignée ne parvient pas à s’imposer.
Tancrède de Lecce, bâtard d’un fils de Roger II, accède au
pouvoir en 1190.
La
culture islamique dans la Sicile médiévale montrant l'héritage
artistique et culturel de la domination islamique sur l'île (Xe-XIe
siècles) s'est vu absorbée et magistralement réinterprétée 3
siècles durant (XIe-XIIIe) par les artistes actifs dans les royaumes
Normands de Sicile, qui connaissent leur apogée avec la grandiose
époque de Roger II. De Palerme à Syracuse, de Catane à Agrigente.
Alexandre
Dumas fait mention de ce roi dans l'un de ses ouvrages, « Le
Speronare » ou le récit des impressions de ses voyages dans le
Royaume de Naples récit paru en 1842.
« …Mais
le tombeau qui attira plus spécialement l'attention des antiquaires,
fut celui de Guillaume le Mauvais. A l'ouverture du sarcophage, on
trouva d'abord une caisse de cyprès enveloppée d'une espèce de
drap de satin de couleur feuille morte, et, cette caisse ouverte, on
découvrit le cadavre du roi parfaitement conservé, quoique six
siècles et demi se fussent écoulés depuis son inhumation. Conforme
à la description donnée par l'histoire, il avait près de six pieds
de long. Le visage et tous les membres étaient intacts, moins la
main droite qui manquait; une barbe rousse, à laquelle se
réunissaient des moustaches pendantes, descendait jusque sur sa
poitrine; les cheveux étaient de la même couleur, et quelques
mèches, arrachées du crâne, étaient éparpillées dans le côté
gauche de la bière. Le cadavre était couvert de trois tuniques
superposées: la première était une espèce de longue veste avec
des manches de drap de satin de couleur d'or, qui conservait encore
un beau lustre; elle partait du cou et descendait jusqu'aux mollets
en bouffant sur les hanches. Sous cette veste était un autre
vêtement de lin qui, partant du cou comme le premier, descendait
jusqu'à mi-jambe; il était en tout semblable à une aube de prêtre;
cette espèce d'aube était serrée autour de la taille par une
ceinture de soie couleur d'or dont les deux bouts se réunissaient
sur le nombril au moyen d'une boucle. Enfin, sous ce vêtement était
une chemise qui partait également du cou, mais qui couvrait tout le
corps. Les jambes étaient chaussées de longues bottes de drap qui
montaient presque jusqu'au haut des cuisses, et qui, à leur partie
supérieure, étaient rabattues sur une largeur de trois pouces. La
couleur de ce drap était feuille morte, et il paraissait avoir fait
partie du même morceau qui recouvrait la bière. La main gauche, la
seule qui restât, était nue, et tout auprès on voyait le gant de
la main droite; ce gant était en soie tricotée de couleur d'or, et
sans aucune couture. Vers une des extrémités de la caisse, on
retrouva une petite monnaie de cuivre; au centre était une aigle
couronnée, et au-dessus de cette aigle, une croix et quelques
lettres dont on ne put retrouver la signification. Il y avait peu de
différence entre le costume de Guillaume et ceux qui revêtaient les
cadavres de Henri et de Frédéric II, retrouvés à Palerme, en
1784, ce qui prouve que ce costume était l'habit royal des
souverains Normands… ».
TOMBEAU DE GUILLAUME 1er A PALERME |
Succèdent
à Roger II, Guillaume Ier le Mauvais (1154-1166), Guillaume II le
Bon (1166-1189), Tancrède (1189-1194), Guillaume III (1194).
www.universalis.fr/encyclopedie/guillaume-ier-le-mauvais/
Roi
normand de Sicile
(1154-1166)
né vers 1120, mort le 7 mai 1166
à Palerme. À la mort de ses trois frères aînés, Guillaume
I er , dit « le Mauvais.
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05/03/14
Une Ancienne & Glorieuse Dynastie « Sito ufficiale della Real Casa ...
www.realcasadiborbone.it/fr/dynastie/.../une-ancienne-glorieuse-dynastie...
Succédèrent
à Roger II: Guillaume
Ier le Mauvais
(1154-1166),
Guillaume
II le ...
Charles put ainsi prendre le titre de Charles Ier d'Anjou Roi de
Sicile,
initiant la …
Qantara
- Les Hauteville www.qantara-med.oQantara
- Les Hautevillerg/qantara4/public/show_document.php?do_id...
Maladie
et mort de Guillaume
II le Bon, roi de Sicile
...
Le règne de Guillaume
Ier, le « Mauvais
», est aussi bref (r. 1154 - 1166)
que tumultueux : sous son règne, Palerme perd tout contrôle sur les
côtes africaines et les révoltes se succèdent, Guillaume Ier de Sicile - Wikipedia - Blog - Photographies Naturelles
blog.photographies-naturelles.fr/wiki-Guillaume_Ier_de_Sicile.html
1
févr. 2014 - Guillaume
I de Sicile
(de la Maison de Hauteville), dit Guillaume
le Mauvais,
est le second roi normand de Sicile
de 1154 à 1166.
Il doit sa ...
Guillaume II de Sicile - histoire des chevaliers teutoniques et de la ...
chevaliersteutoniques.xooit.com
› ... › Dynastie
normande de Hauteville
2
oct. 2011 - 7 messages - 3 auteurs
Guillaume
II de Sicile
dit Guillaume
le Bon (de la Maison de Hauteville), est un roi normand de Sicile
de 1166
à 1189. Né en 1154, il est le fils et successeur du roi Guillaume
le Mauvais.
À la mort de ce dernier, il est placé ...
Bonsoir chère Chantal..
RépondreSupprimerGuillaume Ier doit notamment son image négative à la réputation désastreuse que lui a bâtie son biographe Hugues Falcand qui lui était très hostile (démontrant encore une fois que l’histoire appartient parfois au clerc qui manipule l’écrit).
Certes, la force de caractère du nouveau roi ne semble pas à la mesure de sa stature physique. Il nous est décrit comme "indolent, s’adonnant avec excès au commerce des femmes..". C’est à coup sûr un épicurien mais aussi un esthète et . il le démontre en faisant bâtir le palais de la ZISA ("splendide" en arabe) dans l’immense jardin de la "Conque d’or", doté de fontaines et de raffinements
(une "climatisation" par ventilation, des thermes ...)
Néanmoins, l’habileté diplomatique de Guillaume Ier et la façon dont il exerce un délicat jeu de bascule entre la papauté et les deux empires germaniques et byzantin peuvent être mises à son actif. Il parviendra même à signer une paix de trente ans avec Byzance ...
(cf LES NORMANDS EN ITALIE DU SUD
Claude BLANLUET)
C'est toute l’ambiguïté des surnoms, et de ceux qui les attribuent... Mieux vaut bonne renommée que ceinture dorée... beaucoup de facteurs étaient contre le caractère de cet homme... en avance sur son temps, érudit, artiste, mécène, et pas plus guerrier que cela. Sans compter sur les querelles intestines entre cousins demi-frères et autre parenté. Bonne soirée chère Lisa,
RépondreSupprimerje ne sais comment faire pour aider notre chère Myo qui n'arrive pas à poster sur ce blog malgré de nombreux essais peut-être que vous et Mireille pourriez la guider.
Nous en avons discuté à plusieurs reprises notre amie Myo et moi..Je lui ai expliqué être venue au départ par Blogger parce que la démarche m'a paru plus simple (moins de questions) mais de toutes façons l'accès se fait quand même via mon compte Google et je dois toujours chez vous "prouver que je ne suis pas un robot" en reproduisant une série de chiffres, mais pas chez Mireille où la publication est immédiate.. Le souci pour notre amie vient du fait, je crois, que Myo voudrait publier sous son pseudo et que cela ne marche pas car au départ elle a ouvert son compte Google avec son identité..Je vois pourtant qu'Ada a deux adresses Google, une à son nom et l'autre avec son pseudo..Comment a-t-il réussi, je ne sais pas..
RépondreSupprimerBonne soirée
Peut-être faudrait-il que notre amie poste un commentaire avec son nouvel avatar créant ainsi mail spécifique pour ce nom, mais merci, moi aussi lorsque je commente chez Mireille je dois en faire autant, mais c'est quand même plus facile qu'avec mon premier blog qui lui restreignait le nombre de mots. et demandait m^me à moi de réécrire mon mail à chaque commentaire. Bonne journée
RépondreSupprimerOh oui, chère amie, votre second blog est beaucoup plus agréable! On peut s'exprimer tout à son aise, et notamment moi qui suis une incorrigible bavarde..;-)
RépondreSupprimerJ'espère que nous pourrons bientôt lire notre Myo..
Amitiés
Bonjour chères amies. Pour répondre à notre amie Lisa :
RépondreSupprimer1- Chez Mireille aussi je dois, je dois "prouver que je ne suis pas un robot".
2- Je ne sais pourquoi notre amie Myo ne peut écrire ici.
3- Ce n'est pas volontaire d'avoir deux pseudos, c'est indépendant de ma volonté, c'est sans doute d'avoir trop "bidouillé" lors de l'inscription , je voudrais en supprimer un et je n'y arrive pas.
Comme Lisa, je trouve ce second blog beaucoup plus agréable.
Les mystères de l'informatique sont plus grands que ceux de la religion, me dit souvent mon comptable/diacre. Il en existent sur le cercle créé par notre ami Christian et apparemment suivant le PC que nous utilisons et son réglage, nous ne voyons pas tout à fait la même chose. Avec l'usage et l'expérience, nous découvrons et utilisons chaque jour de nouvelles possibilités. Rosie n'est pas parmi nous, elle dit ne pas avoir confiance en Google, je n'utilise pas les réseaux sociaux, je pense aussi qu'on se "mets trop à nu" c'est la rançon du "progrès"....Il faut savoir et se dire qu'être présent sur "la toile" ,quels qu’en soient les moyens, efface toute intimité. Ces deux dernières positions sont sans doute contradictoires et me font réfléchir.
Très bonne journée.
Notre amie Rosie se méfie de Google, mais elle se confie énormément sur son réseau social avec mults photos à l'appui, il me semble que ce n'est pas moins riqué, mais c'est son choix et bien sûr nous le respectons..
RépondreSupprimerPour ma part je reconnais que mon tempérament extraverti m'a poussée à publier des avatars très personnels aussi bien au départ sur le journal que chez FB..
Mais depuis je suis plus réservée question images ici et sur FB..Pour le journal, vous le savez, c'est fini!
De toutes façons, nous ne sommes pas des personnalités connues, il y a des quantités d'utilisateurs du Net, donc je ne m'inquiète pas outre mesure..
Amitiés