Cette
page concerne l'année 1143
du
calendrier julien.
Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne
peut s'agir que d'un survol !
FOULQUES V D'ANJOU |
Le
royaume de Jérusalem, par ces temps-là, s'étire sur une bande
littorale de 1 200 kilomètres de long pour 50 à 150 de large. Elle
est limitée au nord par le comté d'Édesse (dont le maître est le
comte Jocelyn) et par la principauté d'Antioche, gouvernée par
Raymond de Poitiers, oncle de la légendaire Aliénor d'Aquitaine. Le
roi de Jérusalem est Foulques V d'Anjou, un preux chevalier déjà
dans la force de l'âge, aimé de ses sujets, respecté de ses
ennemis, éperdument amoureux de sa jeune et pétulante épouse la
reine Mélisande.
Le
pays est en paix...
Foulques
V d'Anjou devient Comte d'Anjou le 14 avril 1109. Il
a fait preuve de grandes qualités militaires et politiques, sa
correction et sa loyauté envers ses vassaux, ses succès en France
et en Terre Sainte en font un des grands personnages du Moyen Age.
Foulques
d'Anjou V le Jeune passe une bonne part de son activité en Anjou à
rétablir l'ordre contre ses vassaux révoltés, en particulier ceux
d'Amboise, à détruire les châteaux les plus dangereux,
accomplissant au niveau de son territoire une tache semblable à
celle du Roi Louis VI le Gros en Île de France.
Foulques
V d'Anjou arrive à jouer un jeu d'équilibre entre Henri Ier
Beauclerc, Duc de Normandie et Roi d'Angleterre, et Louis VI le Gros,
Roi de France. Il prend l'Île Bouchard en 1109.Foulques V d'Anjou épouse en 1109 ou 1110 Ermengarde ou Erembourg ou Eremburge du Maine, fille d'Hélie Ier de Beaugency, Comte de Beaugency, Comte du Maine, et de Mathilde de Château-du-Loir.
Ce mariage réunit définitivement le Maine à l'Anjou. Devenant Comte du Maine à la mort de son beau-père en 1110, et faisant alliance avec Robert II de Flandre et Louis VI le Gros, ils combattent le duc Henri Ier Beauclerc qui refuse de payer les traites de la rente annuelle accordée au Comte de Flandre en échange d'une aide qui lui a apportée. En diversion, Thibault IV de Champagne dresse les barons Français contre leur roi.
En 1112 Henri Ier Beauclerc veut faire revenir Guillaume Cliton, mais avec la complicité d'Hélias de Saint-Saens, le jeune homme se réfugie à la cour de Baudouin VII de Flandre Bientôt une coalition se crée entre les barons Normands mécontents et les ennemis d'Henri Ier Beauclerc, réclamant le duché de Normandie pour Guillaume Cliton. Cette revendication sert de prétexte à la rébellion Normande qui durera de 1112 à 1120. Elle est soutenue par :
- Louis VI le Gros,
- Foulques V d'Anjou,
- Baudouin
VII de Flandre.
En 1113, Foulques V d'Anjou renverse ses alliances et fiance Mathilde, sa fille, à Guillaume Aetheling, fils d'Henri Ier Beauclerc. Geoffroy V, dit le Bel ou Plantagenêt, naît le 24 août, fils de Foulques V d'Anjou et d'Eremburge du Maine.
En 1114, Foulques V d'Anjou assiste Henri Ier Beauclerc pour réduire dans le Perche un vassal de ce dernier qui s'est révolté. Naissance de Sybille d'Anjou fille de Foulques V d'Anjou et d'Eremburge du Maine.
En 1116, Foulques V d'Anjou est de nouveau l'allié du Roi de France Louis VI le Gros dans la lutte que celui-ci mène contre le Comte Thibault IV de Blois. Louis VI le Gros élimine Enguerrand de Coucy, un seigneur pillard d'Île-de-France
En 1117. Foulques V d'Anjou assiège Montbazon Rébellion en Normandie soutenue par Louis VI le Gros
En 1117 et 1118, Foulques V d'Anjou assiste Louis VI le Gros dans sa lutte contre le Duc de Normandie. Foulques V d'Anjou enlève au Duc de Normandie le château de Motte-Beuvron dans le Perche le 1er août 1118, puis prend Montbazon, en décembre Foulques V d'Anjou s'empare du château et de la ville d'Alençon.
En 1119 mort de Baudouin VII de Flandre à Roeselare ( Roulers) des suites d'une blessure, à la bataille de Bures-en-Brai qui oppose Henri Ier Beauclerc à Louis VI le Gros. Louis VI le Gros et Foulques V d'Anjou signent un accord avec Henri Ier Beauclerc. Charles de Danemark, fils de Canut IV de Danemark et d'Adèle de Flandre cousin de Baudouin VII lui succède, il est reconnu par les États convoqués à Rouliers comme successeur de Baudouin VII agonisant. Sa prise de couronne est néanmoins vivement contestée. La comtesse douairière Clémence de Bourgogne-Comté s'avère son opposante la plus acharnée, elle favorise son propre candidat, Guillaume d'Ypres.
Charles de Danemark vainc un à un tous ses rivaux :
- Guillaume d'Ypres, fait prisonnier, est amadoué par quelques seigneuries et une somme d'argent.
- Baudoin III de Hainaut, allié à Thomas de Coucy, est vaincu en bataille rangée.
- Le comte Gauthier d'Hesdin est chassé et privé de ses états.
- Hugues Champ d'Avoine voit les forteresses de son comté de St-Pol rasées.
- Eustache
III, Comte de Boulogne, doit finalement se tenir coi.
En mai 1119 Foulques V d'Anjou part en pèlerinage à Jérusalem . Il y acquiert une grande réputation. Barisan ou Balian Ier d'Ibelin le Vieux ou l'ancien, se rend en Terre Sainte probablement lors du premier pèlerinage de Foulques V d'Anjou. Sa famille est inconnue. On a parlé des vicomtes de Chartres, mais rien n'est prouvé. On a aussi émit l'hypothèse que Barisianus signifie habitant de Bari, en Italie.
le 25 avril 1120. La cathédrale du Mans est considérée comme pleinement achevée, Hildebert de Lavardin dédicace la cathédrale du Mans en présence de Foulques V d'Anjou. Grande pour l'époque, elle est comparable à la taille d'une grande église d'aujourd'hui. Ensuite, sous la bannière de son suzerain Foulques V d'Anjou, Geoffroy III de Vendôme prend part à la guerre de Louis VI le Gros contre les Anglais en Normandie. Ayant réussi à épargner la profanation aux reliques de Sainte Opportune et de Saint Chrodegand lors du pillage de l'abbaye d'Almenesches près d'Alençon, Geoffroy III de Vendôme obtient le droit de les rapporter à la collégiale Saint Georges.
En 1122 ou 1123 Guillaume Cliton épouse Sybille d'Anjou, fille de Foulques V d'Anjou, Comte d'Anjou et Tours, et d'Eremburge du Maine, Comtesse du Maine. Guillaume Cliton reçoit le comté du Maine. Louis VI le Gros et Foulques V d'Anjou sont de nouveau prêts à attaquer la Normandie, même si Charles de Danemark, Comte de Flandre, ne les soutient pas.
De 1122 à 1124, Louis VI le Gros mène en vain 3 campagnes contre Henri Ier Beauclerc pour soutenir les prétentions de Robert II Courteheuse et de Guillaume Cliton. Henri Ier Beauclerc déjoue leurs manœuvres, en demandant à son beau-fils, l'empereur Henri V de Franconie, de harceler Louis VI le Gros sur le flanc Est du royaume Franc.
En 1124. Henri Ier Beauclerc se rapproche alors de Foulques V d'Anjou et parvient, en 1124, à faire annuler le mariage de Guillaume Cliton et de Sybille d'Anjou. Eremburge du Maine, femme de Foulques V d'Anjou, meurt en 1126. Baudouin de Bourcq n'ayant pas de fils, a besoin d'un héritier pour lui succéder sur le trône de Jérusalem...
En 1127, Baudouin de Bourcq envoie Guillaume Ier de Bures, son connétable, et Gautier de Brisebarre, Seigneur de Beyrouth, demander conseil auprès de Louis VI Le Gros, pour trouver un époux à Mélisande de Jérusalem. Lutte de Geoffroy V Plantagenêt contre une révolte de ses barons en Anjou Foulques V d'Anjou règle ses affaires et cède toutes ses possessions en France dont le Comté d'Anjou, à son fils Geoffroy V Plantagenêt.
Début 1129 Il quitte la France et aborde à Saint-Jean-d'Acre au milieu du printemps 1129. Foulques V d'Anjou épouse le 2 juin Mélisande de Jérusalem, fille de Baudouin de Bourcq et de Morfia de Malatya.
En 1131 naissance de Baudouin III d'Anjou fils de Foulques V d'Anjou et de Mélisende de Jérusalem. Mort de Baudouin de Bourcq Roi de Jérusalem le 21 août 1131, reconnu roi sans difficulté par la Haute Cour du royaume, Foulques V d'Anjou et Mélisande de Jérusalem sont sacrés Roi et Reine au Saint Sépulcre le 14 septembre 1131. Foulques V d'Anjou doit lutter contre sa belle-sœur Alix de Jérusalem, Princesse d'Antioche, soutenue par Pons de Toulouse qui n'hésite pas à appeler à leur aide l'atabeg Zengi... Josselin II de Courtenay commence par soutenir les intriques d'Alix de Jérusalem, veuve de Bohémond II d'Antioche qui cherche à évincer Constance d'Antioche, sa fille, pour prendre le pouvoir. Foulques V d'Anjou doit intervenir pour mettre au pas les comploteurs et parvient à maintenir un équilibre entre les Francs et les Musulmans, Josselin II de Courtenay doit défendre Turbessel attaquée par Sawar, gouverneur d'Alep nommé par Zengi, et subit de nombreuses pertes.
En 1132, la forteresse de Montferrand est assiégée par une bande de Turcomans. Pons de Toulouse tente de leur faire lever le siège, mais subit un revers et doit se réfugier dans la forteresse. À l'annonce de cette nouvelle, Cécile de France n'hésite pas à se rendre à Jérusalem pour alerter Foulques V d'Anjou qui vient avec son ost et oblige les Turcomans à battre retraite.
En février 1134 Thierry III d'Alsace est veuf de Marguerite de Clermont-en-Beauvaisis. Sybille d'Anjou est veuve de Guillaume Cliton. À son arrivée en Palestine, Thierry III d'Alsace épouse Sybille d'Anjou, fille de Foulques V d'Anjou, Roi de Jérusalem, Comtesse du Maine... Hugues II de Jaffa est apparenté avec la reine Mélisande de Jérusalem et ils ont des liens d'amitié étroit. La rumeur le dit trop familier avec la reine et il entre en conflit avec un Foulques V d'Anjou jaloux. On dit aussi qu'Hugues II de Jaffa est arrogant et refuse de rendre hommage au roi. Peu à peu se forment deux camps, les partisans de Foulques V d'Anjou et ceux d'Hugues II de Jaffa,il semble qu'Hugues II de Jaffa et Romain du Puy, Seigneur d'Outre-Jourdain, se révolte contre Foulques V d'Anjou. Selon Guillaume de Tyr, Gautier Ier de Grenier, Seigneur de Césarée et beau-fils d'Hugues, l'accuse de trahison et de conspiration lors d'une séance de la Haute Cour. Hugues II de Jaffa réfute l'accusation, et il est décidé que l'accusation sera tranchée par un duel judiciaire. Quand le jour fixé pour le combat arrive, Hugues II de Jaffa ne vient pas, et est reconnu coupable par défaut... Hugues II de Jaffa s'allie aux Égyptiens d'Ascalon, et Foulques V d'Anjou assiège Jaffa. Les arrières vassaux d'Hugues II de Jaffa, entre autres son connétable Balian Ier d'Ibelin le Vieux, désertent son château et rallient le roi. Le châtiment habituel pour un tel crime est la confiscation des biens et l'exil permanent, mais les appuis d'Hugues II de Jaffa réduisent la peine à un exil de 3 ans. Alors qu'il attend à Acre le navire qui doit l'emmener en exil, un chevalier breton tente de l'assassiner. Il est blessé et son agresseur est arrêté, condamné et exécuté. Voulant couper court aux accusations d'avoir commandité le meurtre et aux risques d'émeutes, Foulques V le Jeune fait juger Hugues II de Jaffa par la Haute Cour des barons et ordonne que l'audition soit publique et qu'on ne lui coupe pas la langue, pour lui permettre de parler jusqu'au bout. La loyauté du roi dans cette affaire est reconnue par tous. Remis de ses blessures, Hugues II de Jaffa va en Apulée, où son parent Roger II de Hauteville le fait Comte de Gargan... Il y meurt peu après vers 1134. Mais le courroux de Mélisande de Jérusalem s'exerce longtemps sur les protagonistes, au point que certains craignent pour leur vie, avant qu'il ne finisse par s'apaiser.
Mélisande de Jérusalem profite de son ascendant sur Foulques V d'Anjou, son mari, pour lui faire autoriser le retour d'Alix de Jérusalem, sa sœur, à Antioche. Le nouveau patriarche d'Antioche, Raoul de Domfront, en lutte contre son clergé, trouve en Alix de Jérusalem une alliée et ne s'oppose pas à son retour. Foulques V d'Anjou trouve une parade à ce retour et à cette complaisance en négociant le mariage de Raymond Ier de Poitiers avec Constance d'Antioche. Le mariage a l'approbation de Raoul de Domfront, mais pas celui d'Alix de Jérusalem, mère de Constance d'Antioche à qui Raymond Ier de Poitiers a fait croire qu'il devait l'épouser... Raymond Ier de Poitiers, Prince d'Antioche, épouse vers 1136 Constance d'Antioche.
En 1136, Almaric ou Amalric ou Amaury Ier d'Anjou naît en 1136, fils de Foulques V d'Anjou et de Mélisande de Jérusalem.
C'est
d'Alep que vient le danger...
Ce
territoire est gouverné par l'atabeg Zenghi, chef de guerre puissant
et sanguinaire sur lequel courent toutes sortes de légendes. On
raconte qu'il est le fils de la margrave Ida d'Autriche, l'une des
plus belles femmes de son temps, cavalière intrépide, qui est
partie en croisade au début du siècle et qui a disparu le
5 septembre 1101 avec son escorte de chevaliers, sans
laisser de trace... Un émir l'aurait emmenée prisonnière dans un
harem… Et d'elle serait né Zenghi. Fils ou non de l'intrépide
amazone, Zenghi terrorise la région, chrétiens et musulmans
confondus...
En 1137, Foulques V d'Anjou s'allie aux Byzantins contre l’Émir Turc Zengi, de Mossoul. Il aide les habitants de la ville musulmane de Damas à se défendre contre Zengi. Foulques V d'Anjou fait construire le Krak de Moab pour défendre la partie sud de Jérusalem.
Un
jour d'octobre 1138, il décide d'attaquer Damas. Mais il trouve
les Damasquins en armes et se voit contraint de rebrousser chemin.
Furieux, il marche sur Baalbek, qui dépend d'Unur, le vizir de
Damas. Baalbek résiste farouchement. Zenghi promet alors la vie
sauve aux assiégés s'ils capitulent...
Ils
capitulent. Mais, violant les lois de la guerre, il fait écorcher
vif le gouverneur, crucifier les Turcs de la garnison, et vend sur le
marché d'esclaves les femmes et les enfants qui se sont réfugiés
dans la garnison. Le massacre de Baalbek, perpétré par un musulman
à l'encontre d'autres musulmans, révolte les Damasquins. Craignant
pour sa ville, le vizir Unur fait appel au roi Foulques V de
Jérusalem, qui mobilise son armée et marche sur Damas.
À
sa vue, Zenghi lève le camp et s'enfuit prestement vers le nord. Des
accords sont aussitôt conclus entre Jérusalem et Damas. Et une
amitié sincère, basée sur la confiance et l'estime réciproques,
scelle désormais les rapports entre le vieux roi Foulques et le
vizir Unur...
C'est le 10 novembre que tout bascule. Par la faute d'un lièvre... Ce matin-là, il prend fantaisie à la reine Mélisande de se promener dans la campagne qui entoure Saint-Jean-d'Acre. Le roi Foulques, qui nourrit pour sa reine la passion d'un jeune chevalier, s'empresse de l'accompagner. Il monte un superbe alezan, cadeau de son ami le vizir Unur. Soudain, un lièvre jaillit d'un buisson. Raide sur ses étriers, le roi tire son épée et se lance joyeusement à sa poursuite. Comme le lièvre le distance, il pique de l'éperon. Le malheur frappe à cet instant-là. Pour une raison inconnue, le cheval met le col entre ses jambes et fait panache. Le roi est projeté au sol et l'un des étriers lui fracasse le crâne. Les écuyers se précipitent à son secours. La reine aussi. À la vue de son époux qui gît dans une mare de sang, elle se laisse choir, pleure, hurle, se déchire le visage. Mais ses larmes n'y changent rien... Le roi est mort.
On enterre le roi Foulques au Saint-Sépulcre, à côté de Godefroy de Bouillon. Son fils Baudouin, âgé de 13 ans, est proclamé roi. Mais il est mineur. En attendant sa majorité, le Conseil du royaume confie la régence à la reine Mélisande. Malheureusement, la jeune veuve ne possède pas la sagesse du roi Foulques. Elle est intrigante, fourbe, coléreuse. Abandonnant toute vergogne, elle trempe dans des affaires tordues et sème la discorde... Ce dont Zenghi saura tirer grand profit.
Le
28 novembre 1144, il met le siège devant la ville
d'Édesse, qui est située à l'extrême nord du royaume de
Jérusalem. La place est réputée inexpugnable, mais la garnison est
mal payée et le comte Jocelyn, qui rogne sur les dépenses pour
augmenter ses revenus, a négligé les approvisionnements en
nourriture et en matériel de guerre.... Zenghi le sait.
Il
sait aussi que le royaume de Jérusalem, tombé en Quenouille (c'est
à dire aux mains d'une femme), n'est pas en mesure de réunir
rapidement une armée. Il a donc le champ libre. Il commence par
bombarder la ville avec des pierrières et des mangonneaux. Les
assiégés résistent, mais il n'en a cure : il a tout son
temps. Il laisse les chrétiens s'agiter. Au bout d'une semaine, il
fait creuser des galeries sous les remparts, les bourre de bois sec
et y met le feu. Un pan de muraille s'écroule. Ses hommes
s'engouffrent dans la brèche.
Édesse
tombe le 25 décembre 1144. Pendant trois jours, la ville
est livrée au pillage. Le massacre est épouvantable : 15 000
Édessiens sont tués ! Fidèle à sa réputation de
« sanguinaire », Zenghi fait aligner sous les remparts
les soldats Francs retenus prisonniers et convoque ses archers.
Attachés les uns aux autres en une interminable file, les
prisonniers vont servir de cible jusqu'au coucher du soleil...
HIStoire - Foulque V
his.nicolas.free.fr/Personnes/PagePersonne.php?mnemo=FoulqueVAnjou
Foulque
V 5 cinq comte d'Anjou
roi de Jerusalem. ... Rois de Jerusalem, Roi de Jerusalem = Foulque
d'Anjou
Début : 21 août 1131 / Fin : 10 novembre 1143 ...
Fin du règne de Foulques d'Anjou - Textes historiques pour tous
napapiiri.e-monsite.com/pages/.../fin-du-regne-de-foulques-d-anjou.html
XV.
(1138 -1143).
Fin du règne de Foulques
d'Anjou.
L'armée impériale passa l'hiver en Cilicie. Au printemps,
l'empereur invita le prince d'Antioche, le comte ...
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