mardi 11 mars 2014

1161... EN REMONTANT LE TEMPS.

Cette page concerne l'année 1161 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

CANONISATION D'UN SAINT ROI...



Saint-Édouard le Confesseur Fils du roi Ethelred II et de son épouse, la reine Emma (il est aussi le neveu de Saint-Édouard le Martyr). Lors des invasions Danoises, et alors qu’ils sont encore enfants, son frère Alfred et lui sont pris en otage puis déportés au Danemark dans le but d’y être exécutés. Cependant, l’officier chargé de les garder organise leur fuite, et ils sont recueillis par le roi de Hongrie, qui se charge de leur éducation.

Devenus adultes, ils se rendent jusqu’en Normandie afin de planifier leur retour en Angleterre. En 1035, ils passent à l’offensive, mais sans succès. Au cours des affrontements, Alfred perd la vie et Édouard décide de revenir en Normandie. Sept ans plus tard, en 1042, il peut enfin rentrer dans son pays, où il est chaleureusement accueilli par son peuple, puis il récupère son trône. Il épouse ensuite Édith, la fille de Godwin de Wessex, qui profite de sa nouvelle situation pour placer plusieurs membres de sa famille à des postes influents.

Ces derniers se retrouvent bientôt à l’origine de plusieurs scandales qui menacent la stabilité du royaume. Au cours de son règne, Édouard se distingue particulièrement pour sa grande piété, sa bonté et sa générosité envers les pauvres. Il est également le fondateur de l’abbaye de Westminster. Saint-Édouard est décédé le 5 janvier, mais sa fête est placée au 13 octobre, date de la translation de ses reliques (1003-1066)

Citation :
« Tout à l'heure deux moines se tenaient devant moi, que j'avais autrefois très bien connu quand j'étais jeune homme en Normandie, des hommes de grande sainteté, et depuis plusieurs années maintenant soulagés des soucis terrestres. Et ils m'ont adressé un message de Dieu...
« Puisque », disaient-ils, « ceux qui ont gravi les plus hautes fonctions du royaume d'Angleterre, les comtes, les évêques et les higoumènes, et tous ceux qui sont dans les ordres sacrés, ne sont pas ce qu'ils semblent être, mais, au contraire, sont les serviteurs du Diable, un an et un jour après le jour de ta mort, ton Dieu, a livré tout ce royaume, maudit par Lui, dans les mains de l'ennemi, et les diables viendront à travers tout ce pays avec le feu et l'épée et les ravages de la guerre.
« Alors », leur ai-je dit, « je vais montrer le dessein de Dieu au peuple », et le pardon de Dieu aura pitié des pénitents. Car il a eu pitié sur les gens de Ninive, quand ils se sont repentis en entendant l'indignation divine.
« Mais, » ont-ils dit, « Ceux-ci ne
se repentent pas, et le pardon de Dieu ne viendra pas non plus  sur eux. »
« Et, » ai-je demandé, « qu'arrivera-t-il? Et quand peut-on espérer une rémission de cette grande indignation? »
« A cette époque, répondirent-ils, où un arbre vert, coupé au milieu de son tronc, et la partie coupée ayant l'espace de 3 stades à partir du tronc, se joindra à nouveau au tronc, par lui-même et sans la main de l'homme ou toute sorte de piquet, et, recommencera une fois de plus à faire pousser les feuilles et les fruits de l'ancien amour de sa sève nourrissante, alors seulement on pourra espérer une rémission de ces grands maux »

Le Roi Édouard est décédé le 5 janvier 1066. Un an et un jour après sa mort, le 6 janvier 1067, le catholique romain Guillaume le Conquérant est couronné Roi d'Angleterre dans l'abbaye de Westminster. Alors commence une terrible campagne de pillage et de sang par Guillaume le Conquérant contre le peuple Anglais, campagne qui a culminé dans le pseudo-concile de Winchester de 1070, où les légats du pape détrônent l'archevêque orthodoxe Stigand, qui a refusé de couronner Guillaume, et placent le catholique romain Lanfranc à sa place.
Le 15 octobre, 1072, le dernier évêque orthodoxe Anglais, Ethelric de Durham, après avoir anathématisé le Pape, meurt en prison à Westminster, et la grâce du sacerdoce quitte la terre Anglaise, conformément à la prophétie du Roi Édouard...

BLASON SAXON
C'est le dernier roi à régner sur l'Angleterre avant la conquête de ce pays par les Normands de Guillaume le Conquérant, il a horreur du sang versé. Et son peuple le chérit. Aussi éminent par sa piété que par sa générosité, il sait se faire l'ami des petites gens et est vite l'objet d'un culte populaire, mais il n'est pas fait pour être roi. Après bien des querelles pour le pouvoir en Angleterre, la situation n'est pas bien claire. Les Danois avec le roi Canut règnent sur l'est du pays, la Norvège et le Danemark... Edmond « Côte de Fer » prince d'Angleterre a été assassiné et sa femme s'est réfugiée en Normandie.

Leur fils Édouard revient en Angleterre et y rétablit la couronne par sa sagesse, son humilité et sa compétence. Il cherche toujours l'entente et la réconciliation là où c'est possible. Les expéditions danoises échouent et le royaume connaît une période moins trouble. Il épouse une princesse et ils vivent dans une harmonie parfaite. Pourtant les guerres continuent de se succéder entre Gallois et Anglais, entre les partisans d'Harold et ceux de Malcolm en Écosse, ce qui n'empêche pas Saint Édouard de légiférer pour son royaume afin d'y établir une meilleure justice et plus une grande attention aux pauvres, résidant à Londres et à Westminster où il fait construire sa cathédrale. Il meurt quelque temps après son achèvement.
Décédé le 5 janvier 1066, il est aussi fêté le 13 octobre, date à laquelle son corps est transféré dans le tombeau prévu pour lui (1163).

Né à Islis, petit-fils de Richard Ier, duc de Normandie, et fils d'Éthelred II le Malavisé et de Emma de Normandie, Édouard est choisi comme roi du vivant de son frère aîné Hartha-Cnut, grâce à l'appui de Godwine Comte de Wessex (dont il a épousé la fille), . À la mort de son frère, en 1042, il est « reconnu roi par tous », couronné en 1043. Cependant, Godwine, en butte à l'hostilité de favoris Normands, est banni par Édouard.

En 1052, Godwine et ses fils lèvent des hommes en Irlande et en Flandre et, ayant dévasté l'ouest de l'Angleterre, arrivent à Londres, le roi se réconcilie et la puissance de ce dernier et de sa famille ne font que croître. À la mort d'Édouard, c'est Harold, fils de Godwine, qui lui succède. Édouard l'a désigné au Conseil comme son héritier, malgré de sombres pressentiments suscités par les ambitions de Guillaume de Normandie et malgré le serment que Harold a été contraint de prêter en 1065 de laisser la couronne au duc Normand.

Le 5 janvier 1066, la mort du roi Édouard le Confesseur provoque une terrible guerre pour sa succession... et transforme à tout jamais l'histoire de la France et de l'Angleterre. le 13 octobre est l’anniversaire de sa translation à l’abbaye de Westminster (Canonisé en 1161).
« Dieu donne souvent les mauvais princes dans sa colère... mais un bon roi est aussi le présent le plus précieux qu’Il puisse faire à une nation.
«  Un roi sage est le soutien du peuple « , dit la Sagesse.
Et l’Ecclésiaste :
«  Tel qu’est le juge du peuple, tels sont les ministres, tel qu’est le prince de la ville, tels sont aussi les habitants. Le roi insensé perdra son peuple, et les villes se peupleront par la sagesse de ceux qui les gouvernent. »
La vérité de ces maximes sont confirmée par le bonheur qui accompagne le règne d’Édouard le Confesseur ».

Édouard a été formé à l’école de la vertu, et il en a fait un bon usage. Il sait apprécier à leur juste valeur les biens de ce monde visible. Jamais il n’a cherché de consolation ailleurs que dans la vertu et la religion. Élevé dans le palais du duc de Normandie, il a su se préserver de la corruption des vices qui règnent à la cour de ce prince, il s’applique même à acquérir les vertus contraires dès son enfance, il est fidèle aux pratiques que prescrit le christianisme, et il aime à converser avec les personnes de piété. Toutes ses actions extérieures portent l’empreinte de la modestie. Il parle peu, mais ce n’est ni par ignorance, ni par défaut de talent, tous les historiens s’accordent en effet à dire qu’il est d’une gravité et d’une sagesse au-dessus de son âge. Son amour pour le silence vient donc d’un fond d’humilité et de la crainte de perdre le recueillement. Son caractère est composé de l’heureux assemblage de toutes les vertus chrétiennes et morales. On distingue cependant en lui une douceur admirable, qui a sa source dans une humilité profonde et dans une tendre charité qui embrasse tous les hommes... S’il monte sur le trône de ses ancêtres, c’est qu’il y est appelé par la volonté de Dieu. Il déclare préférer refuser la plus puissante monarchie, si, pour l’obtenir, il faut faire couler le sang d’un seul homme. Les ennemis mêmes de la famille royale se réjouirent de le voir sur le trône.
Il a diminué les impôts et cherché tous les moyens de ne laisser personne en souffrance. Comme il n’a point de passion à satisfaire, tous ses revenus sont employés à récompenser ceux qui le servent fidèlement, à soulager les pauvres, à doter les églises et les monastères. Il fait un grand nombre de fondations dont le but est de faire chanter à perpétuité les louages de Notre Seigneur Jésus-Christ, les divers établissements qu’il fait ne sont jamais à la charge du peuple. Les revenus de son domaine lui suffisent pour toutes les bonnes œuvres qu’il entreprend. On ne connaît point encore les taxes, ou l’on y a recours qu’en temps de guerre ou de nécessités pressantes. Le saint roi abolit le Danegelt.
Les grands du royaume, s’imaginant que le saint roi a épuisé ses finances par ses aumônes, lèvent une somme considérable sur leurs vassaux sans l’en prévenir, et la lui apportent comme un don que lui font ses peuples pour l’entretien de ses troupes, et pour les autres frais occasionnés par les dépenses publiques. Saint Édouard, l'ayant appris il remercie ses sujets de leur bonne volonté et veut rendre l’argent à tous ceux qui ont contribué à former la somme, sa conduite prouve qu’il est parfaitement maître de lui-même.

Saint Édouard le Confesseur s’est surtout rendu célèbre par ses lois... Il adopte ce qu’il y a d’utile dans celles que l’on suit alors et fait les changements et les additions qu’il croit nécessaires. Depuis, son code devient commun à toute l’Angleterre sous le nom de « Lois d’Édouard le Confesseur », titre par lequel elles sont distinguées de celles que donnent les rois Normands. Elles font partie du droit Britannique, excepté en quelques points qui depuis ont subi des changements. Les peines infligées aux coupables par ces lois ne sont point sévères, elles reconnaissent peu de crimes punissables de mort, les amendes y sont déterminées d’une manière fixe et ne dépendent point de la volonté des juges. Elles pourvoient à la sûreté publique et assurent à chaque particulier la propriété de ce qu’il possède. On est rarement dans le cas de sévir, parce qu’on veille à l’observation des lois et que la justice est bien administrée.
L’écrivain Gurdon de commenter :
« 
La sage administration du pieux roi a autant et même plus de pouvoir sur le peuple que le texte des lois.
« Édouard
le Confesseur, ce grand et sage législateur, règne dans le cœur de ses sujets. L’amour, l’harmonie, l’intelligence qu’il y a entre lui et l’assemblée générale de la nation, produisent un bonheur qui devient la mesure de celui que le peuple désire les siècles suivants. Les barons Anglais et Normands en appellent à la loi et au gouvernement d’Édouard. »


Saint Édouard, pendant son exil en Normandie, a fait vœu d’aller visiter le tombeau de saint Pierre à Rome, si Dieu met fin aux malheurs de sa famille. Lorsqu’il es solidement établi sur le trône, il prépare de riches offrandes pour l’autel du Prince des Apôtres, et dispose tout pour se mettre en état de passer en Italie. Ayant convoqué l’assemblée générale de la nation, il y déclare l’engagement qu’il a contracté, et fait sentir l’obligation où il est de témoigner à Dieu sa reconnaissance. Il propose ensuite les moyens qui lui paraissent les plus propres à faire fleurir le commerce et à maintenir la paix, il finit par mettre ses sujets sous la protection du Ciel. Après avoir loué sa piété, ses conseillés lui représentent en larmes les dangers auxquels l’État risque d'être exposé, qu’on doit craindre tout à la fois les ennemis du dedans et du dehors, qu’ils s’imaginent déjà voir toutes les calamités tomber sur le royaume...
Le roi Édouard est si touché de leurs raisons et de leurs prières, qu’il promet, avant de rien entreprendre, de consulter Léon IX, qui occupe alors la chaire de Pierre. Il envoie à Rome, pour ce sujet, Aëlred, archevêque d’York, Herman, évêque de Winchester, et deux abbés. Le Pape, persuadé que le roi ne peut quitter ses États sans exposer son peuple à de grands dangers, le dispense de l’accomplissement de son vœu, à condition qu’il distribue aux pauvres l’argent qu’il aurait dépensé en venant à Rome, et qu’il bâtisse ou dote un monastère en l’honneur de saint Pierre.
L'abbaye de Saint Édouard, est devenu fort célèbre depuis par le sacre des rois et par la sépulture des grands hommes du royaume. C’était l’abbaye la plus riche de toute l’Angleterre lorsqu’on y détruisit tous les monastères.
Saint Édouard fait construire la nouvelle église de Westminster, Les personnes les plus qualifiées du royaume y assistent. Le roi signe l’acte de fondation, et y fait insérer à la fin de terribles imprécations contre ceux qui oseraient violer les privilèges de son monastère.

Plusieurs historiens rapportent divers miracles opérés par Saint Édouard.
Un lépreux le prie instamment de le porter sur son dos royal dans l’église de Saint-Pierre, disant que ce saint avait promis qu’il guérirait par ce moyen. Ce bon prince se prête à cette cérémonie rebutante et obtient ainsi la guérison du malade.
Par le signe de la croix, il guérit une femme d’une tumeur « chancreuse » reconnue incurable.
Trois aveugles ont recouvré la vue en s’appliquant l’eau dont le prince s’était servi pour se laver les mains.
Après le Prince des Apôtres, celui des saints auquel Saint Édouard avait le plus de dévotion était saint Jean l’Évangéliste, ce parfait modèle de la pureté et de la charité. Voici à ce sujet une histoire charmante.
COURONNEMENT D4eDOUARD LE CONFESSEUR
« Saint Édouard ne refusait jamais l’aumône qu’on lui demandait au nom de saint Jean l’Évangéliste. Un jour, n’ayant rien d'autre, il donne son anneau à un étranger qui le priait au nom de saint Jean. Quelque temps après, deux Anglais qui allaient à Jérusalem visiter le Saint Sépulcre, s’égarèrent un soir et se trouvèrent surpris par la nuit. Comme ils ne savaient plus que devenir, un vénérable vieillard les remit dans leur chemin, les conduisit à la ville, et leur dit qu’il était le disciple bien-aimé de Notre Seigneur Jésus-Christ, qu’il chérissait singulièrement leur prince, Édouard, à cause de sa chasteté, et qu’il les assisterait aussi dans tout leur voyage de sa considération. Ensuite il leur remit entre les mains la bague que ce prince avait donnée au pauvre pèlerin pour l’amour de lui, les assurant que c’était lui-même déguisé en pauvre qui l’avait reçue. Il les chargea de la lui rapporter à leur retour en Angleterre et de dire au saint roi qu’il viendrait le chercher au bout de six mois pour le mener avec lui à l’Agneau sans tâche » .
SAINT ÉDOUARD
Le roi reçut de ces deux pèlerins sa bague et les promesses de saint Jean en fondant en larmes et en louant Dieu pour une faveur si insigne.
S’étant trouvé mal à la cérémonie de dédicace de l’église de Westminster, il n’y assiste pas moins jusqu’à la fin ; mais il est obligé de se mettre au lit à l’issue de la cérémonie. Il ne pense plus dès lors qu’à se préparer à la mort par des actes fervents de piété et par la réception des sacrements ? Tous les seigneurs de sa cour témoignent la douleur la plus vive. Voyant la reine fondre en larmes, saint Édouard lui dit :
« 
Ne pleurez plus, je ne mourrai point, mais je vivrai, j’espère en quittant cette terre de mort entrer dans la terre des vivants pour y jouir du bonheur des saints. »
Il la recommande ensuite à Harold et à d’autres seigneurs, et il leur déclare qu’elle est restée vierge. Il expire tranquillement le 5 janvier 1066, dans la 64e année de son âge et après un règne de 23 ans.

Saint Édouard le Confesseur est ordinairement représenté, tantôt donnant l’aumône à un pauvre, tantôt portant un malade sur ses épaules.
Après sa mort, les miracles qui se firent sur son tombeau contribuèrent beaucoup à l’établissement de son culte. Des aveugles recouvrèrent la vue, des paralytiques guérirent, etc.
Guillaume le Conquérant, qui monte sur le trône en 1066, fait renfermer le corps de saint Édouard dans un cercueil magnifique qui est à son tour placé dans une châsse d’or et d’argent. 36 ans après, en 1102, le corps du Saint est inhumé par l’évêque de Rochester, qui le trouve entier, flexible et sans corruption, avec ses habits qui paraissent encore tout neuf.
ÉDOUARD LE CONFESSEUR
Le bienheureux Édouard est canonisé en 1161 par Alexandre III et sa fête est marquée au 5 janvier. Deux ans plus tard, Saint Thomas, archevêque de Cantorbéry, en fait une translation plus solennelle, à laquelle le roi Henri II assiste accompagné de 14 évêques, de 5 abbés et de toute sa noblesse. Ce prince porte ce saint dépôt sur ses propres épaules dans tout le cloître de l’abbaye de Westminster. Cette translation se fait le 13 octobre, jour auquel on a depuis célébré sa principale fête. Le concile national d’Oxford, tenu en 1222, ordonne qu’elle est d’obligation en Angleterre...

Saint Edouard le Confesseur - Nominis - Eglise catholique en France

nominis.cef.fr/contenus/saint/372/Saint-Edouard-le-Confesseur.html
Saint Edouard le Confesseur : Roi d'Angleterre. ... Saint Edouard, vitrail au cimetière du Père Lachaise, photo JP Monnier Après bien des querelles pour le ...

ÉDOUARD LE CONFESSEUR - Encyclopædia Universalis

www.universalis.fr/encyclopedie/edouard-le-confesseur/

13/10 St Edouard, roi et confesseur - Introibo

www.introibo.fr › MisselSanctoral
Édouard surnommé le Confesseur, était petit-fils de S. Édouard, roi et Martyr, et fut le dernier souverain des Anglo-Saxons. Le Seigneur fit voir dans une extase, ...

S. Édouard le Confesseur - Les Cahiers de Cassiciacum

www.cassicia.com/.../Vie-de-saint-Edouard-III-le-Confesseur-roi-d-Angl...
Saint Édouard, surnommé le Confesseur, était petit-fils de saint Édouard, roi et martyr. Ayant été élevé sur le trône d'Angleterre « on vit alors, dit un historien, ...

4 commentaires:

  1. De tout temps il a existé des êtres humains saints de leur vivant.

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  2. Chère Monique, cher Ada, je suis heureuse de vous retrouver ici..

    C'est une page remarquable de l'Histoire d'Angleterre que vous nous relatez, Monique..

    Saint Édouard le Confesseur qui fut très aimé de son peuple à cause de sa grande charité et assura la paix à son royaume, continue à jouer d'une certaine façon un rôle au sein de la famille royale.

    En effet la couronne dite "de Saint Édouard" demeure à ce jour l'un des joyaux les plus éminents de la Couronne britannique.

    Depuis la Restauration, c'est la couronne officielle exclusivement utilisée lors du couronnement d'un nouveau monarque.

    Elle fut réalisée en 1661 pour le couronnement du roi Charles II, rétabli dans ses fonctions, la couronne originale ayant été détruite pendant la guerre civile anglaise par ordre d'Oliver Cromwell. On dit que c'est une copie de la couronne d'Édouard le Confesseur (d'où son nom).

    La reine Élisabeth II l'a portée lors de son couronnement en 1953.

    Amitiés

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  3. Encore une petite anecdote que votre savoir nous apporte, et j'ai trouvé curieux que ce roi Douar qui est ressenti comme ne voulant pas être roi porte le même prénom que le père de l'actuelle reine d'Angleterre qui lui aussi ne se sentait pas l'étoffe d'un roi mais qui le fut excellemment.

    Amitiés

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  4. Ja suis désolée une vilaine coquille, il s'agit bien évidemment de "Édouard"

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