15
SEPTEMBRE2016...
Cette
page concerne l'année 232 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LES
RENCONTRES ALTERNATIVES MOUVEMENTÉES ENTRE SÉLEUCIDES ET ROMAINS
221,
promu César par Héliogabale : Imperatori Caesaris Marci
Aurelii Antonini Pii Felicis Augusti Filius Divi Antonini Magni Pii
Nepos Divi Severis Pronepos Marcus Aurelius Alexandre.
222,
il accède à l'Empire : Imperator Caesar Marcus Aurelius
Severus Alexandre Pius Felix Augustus.
235,
titulature à sa mort : Imperator Caesar Marcus Aurelius Severus
Alexandre Pius Felix Augustus, Pontifex Maximus, Tribuniciae
Potestatis XIVe, Imperator XIVe, Consul III, Pater Patriae.
Sévère
Alexandre, règne de 222 à 235, dernier souverain de la dynastie des
Sévères.
Né
en 208 à Arca (Tell Arqa) en Syrie et nommé Alexianus, et élevé
par sa grand-mère Julia Mæsa, belle-sœur de Septime Sévère, et
par sa mère Julia Mamaea, il reçoit une éducation soignée. étant
petit neveu de l'empereur Septime Sévère il succède à son cousin
Héliogabale, qui le choisit comme César en 221.
Alexianus
prend alors le nom de Severus Alexandre. Héliogabale tente ensuite
de revenir sur sa décision mais Julia Maesa provoque une révolte
des prétoriens ce coûte la vie à Héliogabale. Aussitôt Sévère
Alexandre est nommé Auguste par le Sénat. Il prend des mesures
allant à l'encontre de celles de son prédécesseur, surtout dans le
domaine religieux. Ainsi, il renvoie à Émèse la pierre noire du
culte solaire, qui est pour certains Romains un objet d'indignation.
Il
épouse la fille de son cousin Varius Marcianus, Orbiane, déclarée
Augusta et mal vue de Mammée.
Les
sources antiques accablent Héliogabale et encensent le nouvel
empereur en le parant de toutes les qualités.
Seul
Hérodien émet des réserves : Sévère Alexandre est doux et
aimable mais se révèle faible et manque d'autorité. Le nouvel
empereur, sous l'influence de sa mère et de sa grand-mère, redonne
un rôle important au Sénat dont 12 membres vont former un « conseil
de régence ou de gouvernement » autour de l'empereur. Il
s'entoure de conseillers éminents tels les juristes Ulpien qui
devient préfet du prétoire (commandant de la garde impériale) ou
Papinien, Herennius, Modestinus.
Il
lance une politique d'urbanisation avec la reconstruction des thermes
de Néron, rebaptisés Thermae Alexandrinae, qui s'élèvent sur le
Champ-de-Mars. La mort de Julia Maesa en 223 affaiblit l'empereur car
cette femme a une grande influence y compris auprès de nombreux
officiers.
Les
militaires, justement, voient d'un assez mauvais œil le
rétablissement d'un régime politique dominé par les civils. Une
révolte des prétoriens coûte ainsi la vie à Ulpien, tué sous les
yeux de l'empereur, et l'ancien gouverneur de Pannonie, l'historien
Dion Cassius préfère prendre sa retraite en Bithynie sa province
natale... (voilà un homme prudent)
En
politique étrangère, l'empereur est confronté aux Perses
Sassanides. Ceux-ci ont refait leur unité en 227 sous la conduite du
roi Ardachîr Ier et pillent la Mésopotamie et la Cappadoce en 231.
L'empereur
à la tête d'une armée considérable entreprend contre les Perses
une campagne qui ne sera qu'un demi-succès. Il est souvent confronté
à des révoltes sporadiques de ses troupes qui craignent son
irrésolution.
De
retour à Rome en 233, l'empereur donne des Jeux Persiques qui ne
suffisent cependant pas à le rendre populaire. Il lui est souvent
reproché l'influence de sa mère.
En
234, il se rend à Mogontiacum (Mayence) pour repousser les Germains,
en particulier les Alamans, mais hésite à combattre et préfère
acheter la paix. Il est taxé de mollesse par l'armée qui
l'assassine sous sa tente ainsi que sa mère et proclame empereur
l'un des siens, Maximin... C'est le début de la période d'anarchie
militaire qui va durer jusqu'aux règnes d'Aurélien et de
Dioclétien.
Malgré
cela sa figure sera grandie par l'Histoire Auguste.
La
dynastie des Sévères prend fin comme elle a commencé, par un coup
d'État. L'armée, qui a été son principal soutien, est désormais
consciente de sa force, elle va jouer un rôle prépondérant dans la
période qui s'ouvre.
À
la fin du IIe et au début du IIIe siècle, Rome, l'Empire
Parthe, puis l'Empire Sassanide et l'Arménie se disputent cette
région.
À
la suite des victoires des généraux de Lucius Verus, et notamment
d'Avidius Cassius entre 164 et 166, Rome peut étendre à nouveau son
contrôle militaire en direction de ces régions, menant des
opérations à Nisibe et réaffirmant son protectorat sur le royaume
d'Édesse.
Le
royaume d'Adiabène reste cependant indépendant et tente de
reprendre le contrôle sur Nisibe au début des années 190. Septime
Sévère lors de sa campagne orientale de 195 lui inflige de sévères
défaites et prend le titre d'Adiabenicus, « vainqueur de
l'Adiabène ».
Le
royaume d'Osroène, dont la capitale est Édesse et qui se trouve à
l'ouest de l'Adiabène, est alors transformé en province, à
l'exception de sa capitale Édesse.
La
seconde campagne de Sévère en Orient, en 197, renforce sans doute
le contrôle Romain dans la région même s'il échoue cependant à
triompher d'Hatra.
L'annexion
définitive d'Édesse annonce en fait le début de la réalisation de
grands projets de conquêtes par Caracalla, désireux d'envahir
l'empire Parthe. Mais le roi des Parthes se dérobant à la bataille,
Caracalla ne peut que piller l'Adiabène restée indépendante, avant
de mourir assassiné par Macrin en 217...
Rome
entre dans une période de trouble politique pour quelques années.
Parallèlement son ancien rival, l'empire des Arsacides est remplacé
par l'Empire Sassanide à l'organisation plus centralisée et à la
politique plus agressive.
C'est
sans doute cela qui entraîne un renversement d'alliance notable dans
la région. La puissante cité d'Hatra qui a résisté à
Septime-Sévère et est restée dans la zone d'influence Parthe,
passe dans l'alliance Romaine avant 231.
À
cette date en effet la route entre le camp romain de Singara et Hatra
est bornée par l'armée romaine qui installe des fortins et des
garnisons jusque vers Hatra. La garnison romaine est attestée jusque
sous Gordien III.
En
240 cependant Hatra est prise et détruite par Shapur Ier et le
contrôle romain remis en cause, même si Philippe l'Arabe parvient
par la négociation à garder les territoires Romains en 244.
Dès
lors la région est constamment disputée au gré des conflits entre
Romains et Sassanides. Ces derniers l'envahissent et font prisonnier
l'empereur Valérien en 260.
Après
l'épisode de l'empire Palmyrénien, la région retourne sous le
contrôle de Rome grâce à Aurélien Carus en 283 et réorganisée
sous la Tétrachie.
La
frontière est portée au Tigre en 298 par une campagne de Galère.
La
région échappe au contrôle solide de Rome en 363, avec la mort de
Julien, lorsque l'empereur Jovien conclut rapidement la paix afin de
pouvoir regagner rapidement Constantinople, où il doit consolider
son pouvoir. La région continue d'être disputée entre l'empire
Romain d’Orient et les Perses jusqu'à l'occupation arabe en 636.
L'Atropatène
correspond au nord de la satrapie de Médie de l'ancien empire Perse,
aujourd'hui l'Azerbaïdjan Iranien.
Située
dans la Médie Septentrionale, la région reçoit son nom
d'Atropatès, dynaste Achéménide rallié à Alexandre le Grand, qui
s'y rend indépendant, Peithon recouvrant le reste de la satrapie de
Médie. Elle correspond pour sa plus grande part à l'Irak actuel.
Elle
comprend deux régions topographiques distinctes : D'une part,
au nord (nord-Est de la Syrie et le nord de l'Irak actuel), une
région de plateaux, celle-ci étant une zone de cultures pluviales
et, d'autre part, au Sud, une région de plaines où se pratique une
agriculture reposant exclusivement sur l'irrigation...
Le
sens du terme « Mésopotamie » a évolué au fil du
temps. Au sens classique des Grecs et des Romains, la Mésopotamie
désigne la partie du Nord, appelée aussi Djézireh
depuis la conquête arabe (musulmane en 637.), tandis que la zone Sud
humide et irriguée est désignée par le mot Sawâd
dans les textes d'origine arabe. En outre, le terme Mésopotamie
apparaît pour la première fois de façon écrite dans l'Anabase
d'Arrien . Le terme est issu d'expressions linguistiques indigènes
préexistantes, ainsi, en akkadien sous les formes de Birīt Nārim,
« Intervalle du fleuve », (de birītum, « intervalle »,
et nārum, « fleuve ») ou Māt Birītim, « Pays de
l'intervalle » (de mātum, « Pays » et birītum,
« intervalle »). Mais également en araméen, le terme se
déclinant sous les formes de Beyn Nahrīm, « entre les
fleuves » (de beyn, « entre », et nahrein « deux
fleuves »).
L'ensemble
des historiens et des archéologues contemporains s'accordent à dire
que les Mésopotamiens sont à l'origine de l'écriture. Ils
utilisent un système de signes qualifiés de « pictogrammes »,
plus tard, aux alentours du IVe siècle av. J.-C., les
Mésopotamiens (qui sont alors des Sumériens et des Akkadiens)
utilisent des signes « cunéiformes » (du latin cuneus,
le « coin »).
Les
tendances expansionnistes d'Ardachêr I sont frustrées par son échec
d'invasion de l'Arménie où une branche des Arsacides occupe
toujours le trône et dont le Roi Tiridate II d'Arménie (216-252),
neveu d'Artaban V, tente de rallier les vassaux restés fidèles à
la dynastie Arsacide.
Compte tenu que l'Arménie est très souvent possession des Romains, Ardachêr a dû faire face à Rome et à ses légions.
Compte tenu que l'Arménie est très souvent possession des Romains, Ardachêr a dû faire face à Rome et à ses légions.
Il
revendique alors les mêmes territoires que ces ancêtres Achéménides
et envoie des ambassadeurs à l'Empereur Romain Alexandre Sévère
(222-235) pour lui donner l'ordre d'évacuer l'Asie Mineure, la Syrie
et ce qui a appartenu à l'Empire Achéménide.
En
230, il conduit son armée dans la province Romaine de Mésopotamie,
fait le siège, sans succès de sa capitale forteresse, Nisibe (ou
Nisibis ou Nusaybin ou Nisibia ou Nisibin, ville dans la province de
Mardin, au Sud-Est de la Turquie). Dans le même temps, sa cavalerie
passe la frontière Romaine et menace la Syrie et la Cappadoce... Il
semble que les Romains aient jugé bon de tenter une solution
diplomatique à la crise, rappelant aux Perses la supériorité des
armées Romaines, mais en vain.
En
231, Ardachêr Ier, là aussi sans succès, fait de nouveau campagne
contre les avant-postes frontaliers Romains. Cette action a pour
conséquence que l'Empereur Romain Sévère se déplace vers l'Est,
en établissant son quartier général à Antioche, mais il éprouve
des difficultés à réunir ses troupes et, par conséquent, fait une
autre tentative de diplomatie vers Ardachêr Ier qui le repousse une
nouvelle fois.
Alexandre
Sévère n'apprécie pas les paroles des ambassadeurs Perses et en
232, il conduit ses légions dans une triple attaque contre le
nouveau maître de la Perse. Il est vainqueur, la même année et il
prend le surnom de « Parthique » et de « Persique ».
Toutefois, ses différents corps d'armée n'avancent pas de manière
coordonnée et Ardachêr Ier est en mesure de reprendre l'avantage.
Il concentre alors ses forces contre l'ennemi à travers l'Arménie
où il peut mettre un terme à l'avancé Romaine. L'ambition du
Romain est de prendre la capitale Ctésiphon et il remonte vers le
Nord.
L'armée Romaine s'enfonce en Médie et en Mésène (Sud de l'actuel Irak), mais l'attaque de Ctésiphon est un échec. Les deux armées se rencontrent à plusieurs reprises et il semble qu'Ardachêr Ier y est vainqueur de façon décisive. Les Romains comprennent qu'ils ont un nouveau voisin belliqueux et se retirent. Toutefois, on peut considérer que les Perses subissent des pertes considérables, car rien n'est fait pour poursuivre les Romains dans leur fuite et Ardachêr Ier cesse de revendiquer les provinces Romaines d'Orient.
L'armée Romaine s'enfonce en Médie et en Mésène (Sud de l'actuel Irak), mais l'attaque de Ctésiphon est un échec. Les deux armées se rencontrent à plusieurs reprises et il semble qu'Ardachêr Ier y est vainqueur de façon décisive. Les Romains comprennent qu'ils ont un nouveau voisin belliqueux et se retirent. Toutefois, on peut considérer que les Perses subissent des pertes considérables, car rien n'est fait pour poursuivre les Romains dans leur fuite et Ardachêr Ier cesse de revendiquer les provinces Romaines d'Orient.
Les
deux dirigeants doivent avoir de bonnes raisons pour éviter d'autres
campagnes. Quand Sévère retourne en Europe l'année suivante en
233, Ardachêr I ne renouvelle pas ses attaques pendant plusieurs
années, probablement en concentrant ses énergies à l'Est.
Dans
le même temps Rome entre dans la période délicate qu'on appelle
l'anarchie militaire et les Empereurs ne restent pas longtemps sur le
trône.
Edesse Comme beaucoup d'autres villes c'est un lieu où s'affrontent les luttes de pouvoir entre Romains et Parthes et elle est souvent prise et reprise. Enfin elle est reperdue au profit des Parthes en 194.
Elle reste leur possession jusqu'à sa récupération par l'Empereur Romain Septime Sévère (193-211) à la fin du IIe siècle qui en fait son quartier général et y rétablit une colonie. À partir de cette époque, compte tenu de son emplacement idéal et de son importance économique et militaire, elle est constamment disputée entre les Romains et les Perses Sassanides (224-651) et la ville change à plusieurs reprises de propriétaire. La dernière bataille entre Rome et les Parthes a lieu dans les environs de la ville en 217. Ces derniers sont remplacés comme puissance dominante de la région par la dynastie Sassanide... Leur Roi Châhpûhr Ier ( 241-272) conquiert Nisibe, mais en est chassé en 260 par les Romains.
Cette
ville, fondée vers 300 av.J.C. par un Diadoque du Roi Macédonien,
Alexandre le Grand (336-323), Séleucos Ier Nikatôr (305-280),
fondateur de la dynastie des Séleucides. Grâce à lui, la ville se
développe rapidement et devient un centre commercial et
administratif majeur.
En
64 av.J.C., la riche cité est conquise par la République Romaine,
c'est à cette époque qu'elle prend le nom de Zeugma.
S'ouvre
alors une période de développement et de prospérité due à sa
position stratégique de traversée de l'Euphrate sur la route de la
soie, entre la Chine et Antioche. À son apogée, elle contient une
légion Romaine et près de 70.000 habitants (on trouve aussi 80.000
?).
En
256 (on trouve aussi 252 ?), Zeugma est prise et largement détruite
par le Roi Sassanide, Châhpûhr Ier. Elle est reconstruite mais les
dommages causés par l'invasion sont si importants que la cité n'est
pas en mesure de récupérer pleinement son lustre d'antan.
Plus tard, elle est victime d'un tremblement de terre qui dévaste une partie d'un pan de la montagne lequel glisse dans le centre-ville et la zone résidentielle, enterrant la population avec lui. Les maisons sous-jacentes sont particulièrement bien conservées. Un égout qui part vers le fleuve, fait de blocs de pierre calibrées a été mis au jour en parfait état. Pendant le reste de son histoire sous la domination Romaine, elle ne retrouve jamais la prospérité qu'elle avait. Au cours des Ve et VIe siècles, la ville est gouvernée par Byzance et l'Empire Romain d'Orient. Puis suite aux raids musulmans la ville est plus ou moins abandonnée une fois de plus. Plus tard, dans les Xe et XIe siècles, une petite abbasside s'y installe elle est occupée jusqu'au milieu du XIe siècle environ.
À partir de 250, Édesse, où le Christianisme a bien progressé, accueille les Chrétiens Chaldéens, chassés de Perse par les Sassanides.
Plus tard, elle est victime d'un tremblement de terre qui dévaste une partie d'un pan de la montagne lequel glisse dans le centre-ville et la zone résidentielle, enterrant la population avec lui. Les maisons sous-jacentes sont particulièrement bien conservées. Un égout qui part vers le fleuve, fait de blocs de pierre calibrées a été mis au jour en parfait état. Pendant le reste de son histoire sous la domination Romaine, elle ne retrouve jamais la prospérité qu'elle avait. Au cours des Ve et VIe siècles, la ville est gouvernée par Byzance et l'Empire Romain d'Orient. Puis suite aux raids musulmans la ville est plus ou moins abandonnée une fois de plus. Plus tard, dans les Xe et XIe siècles, une petite abbasside s'y installe elle est occupée jusqu'au milieu du XIe siècle environ.
À partir de 250, Édesse, où le Christianisme a bien progressé, accueille les Chrétiens Chaldéens, chassés de Perse par les Sassanides.
Dans
la ville même existent des sources (Auxquelles les Grecs donnent le
nom de kallirroé) qui sont encore connues aujourd'hui.
Les
carpes sacrées, toujours élevées dans le bassin (Ayn-i Züleyha),
sont la manifestation de la légende du miracle d'Abraham.
Selon
celle-ci, c'est à cet emplacement que le Roi d'Assyrie, Nimrod (ou
Nemrod) a jeté Abraham dans une fournaise qui se change aussitôt en
eau poissonneuse.
En
605, Édesse devient à nouveau Perse, puis est reprise par
l'Empereur Byzantin Héraclius (610-613).
NISIBE |
Le
Syriaque Édessénien reste la langue pour la littérature et
l'église, c'est celle des grands écrivains comme Jacques de Nisibe
et plus tard Jacques d'Édesse (633-709) etc...
La puissance sassanide - Le site de l'histoire militaire du monde entiermiltiade.pagesperso-orange.fr/sassanides.htmDans le Fars, dès l'année 211, un vassal du roi parthe Artaban V, nommé Ardachir ... de son armée est vainqueur en 232 et il prend le surnom de Parthique et de Persique. ... Les Sassanides récupèrent l'Arménie et la Mésopotamie que les légions ... La situation dans l'empire romain se dégradant suite aux invasions et à la ...
Guerres
perso-byzantines — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerres_perso-byzantines
Description
de cette image, également commentée ci-après. La Bataille entre
Héraclius et Khosro II. Défaite et décapitation des vaincus,
fresque de Piero .... Il passe la frontière en juillet avec 15 000
hommes et marche sur Nisibe, qui est ...
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visite : 29/07/16
Nisibe
- Zeugma - Antikforever
antikforever.com/Asie_Mineure/Divers/nisibe_zeugma.htm
Nisibe
est aussi connue comme l'ancienne Antioche de Mygdonie. La ville fut
d'une grande ..... du niveau de l'eau. Photo avant retouches :
wikimedia.org ...
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