samedi 8 octobre 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 229

18 SEPTEMBRE 2016...

Cette page concerne l'année 229 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

FONCTIONNEMENT DU CONSULAT ROMAIN.

1er janvier : début du consulat conjoint de l’empereur romain Sévère Alexandre et de Dion Cassius.

Les consuls sont des magistrats Romains dont la fonction apparaît au Ve siècle av. J.-C., avec le début de la République, et dure ensuite pendant plus de 1 000 ans. Ils forment un collège de 2 magistrats qui, jusqu'au principat d'Auguste, sont élus pour un an par le peuple Romain réuni en comices centuriates.
Ils exercent l'imperium, pouvoir suprême civil et militaire, et commandent les armées Romaines. Leur pouvoir n'est toutefois pas absolu car ils l'exercent sous le contrôle du Sénat et font face à l'éventuelle action d'obstruction d'un tribun de la plèbe.
L'élection exige de nombreux appuis et cette magistrature non rémunérée nécessite, au fil du temps, de plus en plus de moyens pour être exercée, aussi le consulat n'est-il réellement accessible qu'à une aristocratie influente.
Les anciennes familles patriciennes tentent de se réserver cette charge durant le Ve siècle av. J.-C. mais, en 367 av. J.-C., les lois licinio-sextiennes en ouvrent l'accès régulier aux plébéiens.
L'exercice du pouvoir consulaire à la tête de l'armée permet d'acquérir gloire et popularité pour soi-même et sa famille, ainsi qu'influence et richesses, tandis que les succès militaires étendent peu à peu la domination Romaine sur le monde Méditerranéen... Aux IIe et Ier siècles av. J.-C., la compétition pour obtenir le consulat s'exacerbe et des généraux ambitieux l'utilisent pour asseoir leur domination sur la République, jusqu'à ce que Jules César puis Octave-Auguste accaparent le pouvoir de façon définitive.

Sous l'Empire, aux élections se substitue une ratification formelle par le Sénat des candidats recommandés par l'empereur, et le consulat devient un titre honorifique, pour un mandat réduit à quelques mois en raison de la multiplication des consuls remplaçants (les suffects). Seuls les consuls en titre au premier janvier conservent l'éponymie, honneur permettant de donner leur nom à l'année.
La qualité d'ancien consul ouvre néanmoins l'accès aux postes élevés de l'administration impériale. Malgré les bouleversements institutionnels de l'empire au IVe siècle, le consulat se maintient sous la forme d'une dignité prestigieuse et coûteuse, répartie entre Rome et Constantinople, la nouvelle capitale.
Le dernier consul est désigné en 541 par Justinien, puis le titre n'est plus ensuite qu'une dignité mineure parmi la liste de titres byzantins...

Comme toutes les magistratures romaines, le consulat n’est pas une fonction donnant lieu à rémunération ou prise en charge de frais. Toutefois, l’État Romain met à disposition du consul divers appariteurs, personnel administratif spécialisé pris en charge par le Trésor public tels les licteurs, les scribes, les crieurs publics et les messagers (viatores).
Les budgets militaires et les effectifs nécessaires à la guerre sont planifiés avec le Sénat lors de l’entrée en fonction du consul, puis les dépenses, principalement la solde des légionnaires, sont gérées par le questeur affecté au consul.
En fin de campagne, le consul et le questeur rendent leurs comptes au Sénat.

À partir de 121 av. J-C., en cas de crise grave menaçant l'intégrité de la République, le Sénat accorde par un senatus consulte ultimum les pleins pouvoirs aux consuls, sans autre restriction que la durée. Par ce moyen, ils sont investis d'un pouvoir dictatorial, tombé en désuétude après la Deuxième guerre Punique. Les consuls ont alors le droit d'armer des soldats à l'intérieur de Rome et de mettre à mort des citoyens sans jugement, en dépit du droit de provocation.
Cette procédure exceptionnelle, est prise en 121 av. J-C. contre Caius Gracchus, en 101 av. J.-C. contre Saturninus et Glaucia, en 78 av. J.-C. contre le consul Lépide, en 63 av. J.-C. contre Catilina.

Les ornements consulaires sont les attributs distinctifs qui permettent de distinguer un consul en charge, ou un ancien consul parmi la foule urbaine. Manifestation de son imperium, ils sont un héritage de la période royale et d'origine étrusque.
Les faisceaux sont la marque caractéristique de la dignité consulaire, héritée de l'usage royal. Dans tous ses déplacements, le consul en charge est précédé de douze licteurs, portant chacun un faisceau sur l'épaule. La file des licteurs peut être précédée d'un appariteur et d'un joueur de flûte. S'ils croisent ce cortège, les passants, à l'exception des vestales, doivent céder le passage et les cavaliers descendre de cheval.
La chaise curule, commune aux autres magistratures dites curules, est une autre marque de la dignité du consul qui s'y assoit chaque fois qu'il siège en public, par exemple pour rendre la justice, tandis que les simples citoyens restent debout.

Le costume fait partie des ornements consulaires. Comme tous les sénateurs, les consuls sont vêtus d'une tunique laticlave, à bande de pourpre, mais sont seuls à porter une toge spéciale : Dans les circonstances exceptionnelles, ils portent une toge pourpre, et pour l'ordinaire, ils revêtent la toge prétexte, blanche et bordée de pourpre, et des bottines spéciales rouges montant à mi-jambe avec une agrafe d'ivoire en forme de croissant de lune (calcei patricii).

Un ancien consul peut continuer à les porter lors des cérémonies officielles, jusqu'à la fin de sa vie.
Distinction supplémentaire : Ils ont droit aux places d'honneur dans les spectacles et les cérémonies publique
L'usage veut qu'un consulat ne soit exercé qu'une année, mais il n'expire pas à la fin de cette période par une péremption automatique. Le consul sortant doit lui-même abdiquer officiellement devant le peuple, jurer n'avoir rien fait de contraire aux lois, et, selon l'expression traditionnelle, déposer son imperium (deponere imperium). Cette abdication se fait après l'élection des consuls suivants, ce qui assure la continuité.

À l'issue de son mandat, l'ancien consul prend le titre de consulaire (consularis), qui lui confère une honorabilité à vie et lui donne certaines prérogatives : Il est inscrit au Sénat en début de la liste des sénateurs, après les anciens censeurs, et reçoit la parole selon cet ordre hiérarchique. Le consulaire le plus ancien est le princeps senatus, qui donne son avis le premier lors des délibérations.

En 14, Tibère parachève la réforme mise en place par Auguste en transférant au Sénat le rôle électoral des comices. L'élection des candidats préalablement désignés par la destinatio se limite alors à un vote par acclamation au Sénat. Les sénateurs n'ont plus à débourser pour leurs campagnes électorales, et se cooptent pour accéder au consulat, puisqu'ils sont membres des centuries qui désignent les candidats dont ils entérinent ensuite l'« élection ». L'empereur peut aussi désigner directement des consuls extra ordinem, sans passer par ce processus.
Cette désignation hors vote est formalisée sous Vespasien par la loi de imperio Vespasiani, qui spécifie que ses candidats sont pris extra ordinem.
Aux consuls ordinaires, qui peuvent être l'empereur lui-même ou des personnages qu'il souhaite distinguer particulièrement, s'ajoutent des consuls dits « suffects », élus après la démission des précédents avant l’achèvement de leur consulat : Une année peut donc compter plus de deux consuls mais seuls les deux premiers, entrés en charge au 1er janvier, donnent leur nom à l'année. Le consulat suffect est moins prestigieux que le consulat ordinaire, mais il permet d’anoblir des hommes nouveaux et de les qualifier pour les postes importants de l’administration impériale ou de renforcer la position de l’empereur par la promotion de ses protégés.
À partir de l'année 5 av. J.-C., et afin de pourvoir les cinq (puis sept) gouvernements provinciaux de rang consulaire, Auguste systématise ce système avec 4 consuls ou plus chaque année, on passe couramment à 6 consuls sous les Flaviens.
Les mandats durent en général de deux à 6 mois. Nombre de postulants sont nommés consuls in absentia, alors qu'ils sont encore en poste dans une province. Parfois les empereurs extravagants dérèglent ce processus, tel Caligula qui délaisse son consulat quelques jours seulement après son entrée en fonction en 39, 40 et 41, tandis que sous Commode, l’année 189 connaît 25 consuls.

La proportion des consulats ordinaires et suffects obtenus par les membres de l’ancienne noblesse républicaine diminue régulièrement : 50 % sous Auguste, 27 % à la fin du règne de Tibère et sous Caligula, 21 % sous Claude et 15 % sous Néron.
Les empereurs renouvellent les effectifs de la noblesse en faisant entrer au Sénat des membres de l'ordre équestre (procédure d'adlectio).
Le cursus honorum hérité de la période républicaine se complexifie, car il s'adjoint dans son déroulement les fonctions administratives, judiciaires et militaires créées au fur et à mesure pour la gestion de l'Empire. Ainsi une étude prosopographique menée par Michel Christol a permis de reconstituer la carrière de plus de 80 sénateurs des IIe et IIIe siècle. Cet échantillon met en lumière divers cursus possibles pour parvenir au consulat, selon l'honorabilité du postulant dans la hiérarchie sénatoriale.
Les sénateurs patriciens, souvent proches de la famille impériale, ont le privilège d'un parcours rapide, qui souvent saute le tribunat laticlave et l'édilité, et enchaînent la préture puis le consulat sans intercaler de missions de rang prétorien telles que légat de légion ou légat propréteur d'une province impériale prétorienne.

Ils obtiennent le consulat, ordinaire le plus souvent, à l'âge minimal requis de 33 ans, et poursuivent leur carrière par les curatelles prestigieuses à Rome et les grands proconsulats comme ceux des prestigieuses provinces sénatoriales d'Asie ou d'Afrique. Cette tendance à l'accélération des carrières patriciennes s'accentue au IIIe siècle : Les patriciens effectuent de moins en moins de missions prétoriennes, et au contraire couronnent parfois leur carrière par la préfecture de Rome et un second consulat ordinaire.
Les sénateurs plébéiens, plus importants en nombre, fils de consulaires ou hommes nouveaux, suivent un parcours plus long, et assument après la préture des charges dites prétoriennes, comme à partir de Marc Aurèle une charge de juridicus en Italie.
Ces filières donnent de l'expérience aux futurs dirigeants et permettent à l'empereur de repérer les plus compétents pour leur accorder le consulat, puis leur confier des légations de province impliquant des commandements militaires importants. Enfin, certains sénateurs plébéiens ne mènent qu'une carrière modeste : Ils accumulent les charges prétoriennes et les curatelles d'importance mineure, et n'arrivent au consulat qu'à un âge avancé, probablement par manque de relations. Dans la première moitié du IIIe siècle, les charges militaires et principalement civiles intercalées entre préture et consulat se multiplient, et diffèrent l'accès au consulat puis aux grandes charges proconsulaires. Un second consulat, ordinaire, peut couronner la carrière, 20 à 25 ans après le premier. (on est loin du cumul des mandat et de la place à vie)

L'état de guerre se généralise au IIIe siècle, de ce fait, le recours à des hommes disposant de compétences militaires avérées devient une exigence vitale pour l'Empire. La tradition qui veut que l'élite Romaine soit aussi compétente pour des actions militaires que pour des gouvernements civils ne résiste pas à cette épreuve. Sous les Sévères et leurs successeurs, les sénateurs et les consulaires sont progressivement remplacés, dans le gouvernement des provinces exposées et le commandement des armées, par des hommes expérimentés issus du cursus équestre, chevaliers de naissance ou militaires de carrière promus. Cette mise à l'écart des sénateurs, systématique à partir de 260 (sous Gallien), les élimine du gouvernement de provinces prétoriennes, échelon précédant le consulat.
Si le cursus des patriciens est peu touché par ces exclusions car il les a déjà intégrées, celui des sénateurs plébéiens s'allège, avec la suppression des magistratures mineures, et l'absence des fonctions militaires telles que tribunat laticlave et légat de légion.
En raison de cette diminution du nombre d'étapes à franchir, l'âge moyen d'accès au consulat suffect s'abaisse. En outre, le prestige du consulat suffect semble décliner : Il est parfois omis des inscriptions qui retracent une carrière quand il est suivi d'un consulat ordinaire. En revanche, ce dernier conserve tout son prestige : A partir de 250, les éphémères empereurs reconnus par le Sénat le revêtent de plus en plus fréquemment ou l'attribuent aux membres de leur famille, au détriment des sénateurs, ainsi que leurs compétiteurs, les empereurs Gaulois Postume puis Victorinus. Enfin à plusieurs reprises, en 261, 273, 275, 285 et 292, un préfet du prétoire obtient simultanément l'admission au Sénat (adlectio inter consularis) et le consulat ordinaire, concrétisation supplémentaire de l'ascension de l'ordre équestre.
Entre 245 et 305, l'accaparement impérial et la promotion des dignitaires équestres ne laissent aux sénateurs que 45 % des consulats ordinaires, tendance qui s'accentue après Aurélien.

Le début du IVe siècle marque un tournant dans l'évolution de la fonction. Le consulat ordinaire est accordé pour la dernière fois en début de carrière en 301, puis il est accaparé par les tétrarques entre 302 et 309, ce qui confère à ce titre un prestige considérable.

Après 310, les empereurs n'accordent le consulat ordinaire qu'à des titulaires en fin de carrière, vieux sénateurs ou chevaliers promus sénateurs, tandis que le consulat de début de carrière est obligatoirement un consulat suffect. Avec la fusion de l'ordre équestre dans l'ordre sénatorial réalisée par Constantin, les différences entre les cursus sénatorial et équestre n'ont plus cours. À partir de 326, la préfecture du prétoire, la préfecture de la Ville et le consulat ordinaire constituent les couronnements de la carrière des honneurs. Inversement, le consulat suffect est dévalorisé, au point que vers 318-320 on commence à observer des carrières qui sautent ce consulat pour accéder directement à des fonctions dites consulaires comme le gouvernement d'une province.
La charge, désormais de moindre importance, se résume à l'organisation de jeux et à l'honneur de présider la procession de l'anniversaire de Rome le 21 avril.

À partir de 336, l'empereur laisse au Sénat le soin de désigner les suffects parmi les fils de sénateurs ou les nouveaux admis au Sénat.

Après la fondation de Constantinople en 330, le consulat perdure, magistrature prestigieuse et sans pouvoir, décernée par l'empereur.

À la fin du IVe siècle, chacune des villes, Rome et Constantinople, a son consul ordinaire, ou parfois une ville désigne les deux consuls.
Le consulat suffect est encore attribué à Rome, au contraire de Constantinople qui n'en désigne plus.

À la fin du IVe siècle, des généraux d’origine Franque et naturalisés Romains se voient décerner le consulat ordinaire en récompense de leurs services :
Arbitio par Constance II en 355,
Nevitta en 362 par Julien,
Mérobaud, Richomer, Bauto par Théodose Ier,
Malgré la désapprobation de l’opinion publique. Cette ouverture aux militaires d'origine barbare les plus influents continue avec les consulats de :
Stilicon en 400 et 405,
Aspar en 434,
Ricimer en 459.
La dernière division de l'empire, en 395, ou la chute du dernier empereur d'Occident en 476 ne remettent pas en cause le principe d'un consul en Occident et un en Orient, même si des tensions se produisent quand une cour ne reconnaît pas le consul de l'autre.

Les derniers consuls figurés dans les fastes sont Decius Theodorus Paulinus pour l'Occident en 534 et, pour l'Orient, Flavius Basilius désigné sans collègue en 541.
Justinien ne désigne en effet plus de consul après ces derniers, et le consulat n'est plus revêtu que de temps en temps par l'empereur.
Le Ier janvier 566, Justin II célèbre avec faste son consulat.
Le dernier empereur qui revêt ce titre est Constant II en 642.
Par la suite, le titre se dévalue et figure comme une dignité honorifique mineure dans la hiérarchie des titres Byzantins, avec diverses déclinaisons : hypatos (consul), dishypatos (deux fois consul), anthypatos (proconsul), apohypatos (ancien consul).

Sous l'Empire, la magistrature continue, mais l'âge requis est abaissé à 33 ans. Elle est par ailleurs vidée de ses pouvoirs. De fait, l'empereur possède un pouvoir supérieur à celui des consuls, et, surtout, concentre le commandement militaire par son imperium majus. Le consulat n'offre donc plus de responsabilités réelles, mis à part une faible activité juridique spécialisée dans les affaires d'affranchissement, de tutelle et de fidéicommis. Il ne devient qu'une distinction importante au sein de l'ordre sénatorial. Les consuls sortants rentrent dans le groupe des consulaires, rang qui ouvre l'accession à des postes importants dans l'administration impériale comme le poste de préfet de la Ville, ou le proconsulat des prestigieuses provinces d'Asie et d'Afrique, qui leur est réservé, privilège qui est maintenu lorsque la réforme de Dioclétien subdivise les provinces, et est même étendu entre 312 et 315 à la province d'Achaïe.
Après Constantin Ier, le consulat devient un honneur particulièrement coûteux qui oblige, le premier janvier, jour d'inauguration du titre, à célébrer des jeux et à distribuer des cadeaux précieux, tels que les diptyques consulaires en ivoire.
Le discours de remerciement au peuple prononcé par le nouveau consul sous la République est remplacé par un panégyrique adressé à l'empereur.
L'activité juridique des consuls se réduit à un vestige, présider avant l'ouverture des jeux une cérémonie d'affranchissement d'esclaves.
Passé ce jour de gloire, les consuls n'ont plus rien à faire.

Les consuls suffects doivent quant à eux présider le 21 avril les cérémonies anniversaires de la fondation de Rome, également marquées par des jeux.
Les consuls ordinaires donnent leur nom à l'année de leur mandat, dans l'ordre où ils ont été élus, On les qualifie alors de « consuls éponymes ». Par exemple, Suétone écrit que « Auguste naquit sous le consulat de M. Tullius Cicéron et de C. Antonius ».

À partir de 312, cette méthode commence à être remplacée pour dater les actes juridiques par l'indication de l'année d'indiction, suivant une chronologie administrative. Néanmoins, on continue la diffusion du nom des consuls ordinaires dans toutes les provinces, où ils sont rendus publics pour la désignation de l'année.

Exceptionnellement, sous le Bas-Empire, il y a eu des années sans consuls (351, 375, 477). L'année sans consul est alors datée par la formule « après le consulat de X et Y ». Par deux fois, les années 531/532 et 536/537 n'ont pas eu de consuls.
Bélisaire étant seul consul en 535, 536 est l'année après le consulat de Bélisaire (post consulatum Belisarii), et 537 est la deuxième année après le consulat de Bélisaire (II post consulatum Belisarii). Les années qui suivent le dernier consulat de 541 sont numérotées de II à XXV après le consulat de Basile, puis lorsque l'empereur devient consul perpétuel en 567, les années sont comptées à partir de son consulat.

Les consuls sortis de charge sont nommés comme proconsuls à la tête des provinces de l'empire Romain pendant au moins un an.
Tous les cinq ans, les anciens consuls peuvent être élus comme censeurs, par les comices centuriates.
Les consuls sont inscrits en tête de l'album sénatorial, liste dans laquelle les censeurs choisissent les sénateurs.
À partir du principat d'Auguste, plusieurs empereurs romains se feront élire comme consuls.






229 — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/229
Cette page concerne l'année 229 du calendrier julien. Sommaire. [masquer]. 1 Événements; 2 Naissances en 229; 3 Décès en 229; 4 Notes et références ...

Consul (Rome antique) - Vikidia, l'encyclopédie des 8-13 ans
https://fr.vikidia.org/wiki/Consul_(Rome_antique)
Aller à Élection des consuls romains - Donc un consul sorti de charge ne peut être de nouveau candidat qu'après un intervalle d'une année. En 151av.











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