jeudi 6 octobre 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 231

16 SEPTEMBRE 2016...

Cette page concerne l'année 231 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LES DÉCANTATIONS D’ORIGÈNE
 
Origène apparaît comme l’un des plus grands génies de l’Antiquité. Il naît en 185 à Alexandrie, d’une famille chrétienne où il reçoit une profonde éducation à la piété et une formation intellectuelle poussée.
Alors qu’il n’a que 17 ans, son père est martyrisé. Pour nourrir sa nombreuse fratrie, il donne des cours avec un réel talent. Sa connaissance de la philosophie Grecque lui permet de dispenser un enseignement pour des païens qu’il conduit ainsi à la conversion. Professeur, puis directeur d’écoles catéchétiques, « consultant international », il a le souci de mettre les sciences humaines au service des sciences sacrées.
Son influence est décisive, en Orient comme en Occident, dans la formation de la pensée théologique qu’il structure  en un système logique et cohérent. « Il n'y a dans l'Église aucun homme qui soit resté invisiblement aussi omniprésent qu'Origène ».
Fondateur de la science biblique, en composant notamment une édition critique monumentale de l’Ancien Testament, mettant diverses de ses traductions en parallèle (les Hexaples ou Bible sextuple). La majeure partie de ses écrits, hélas, ne nous est pas parvenue. Entre autres, comme il prêche presque tous les jours, nous gardons quelques-unes de ses Homélies et œuvres d’exégèse.
Pendant la persécution de Dèce, il est jeté au cachot et endure « chaînes, tortures en son corps, tortures par le fer (…), les pieds mis aux ceps jusqu’au quatrième trou ». Il supporte vaillamment tout ce que ses ennemis lui infligent, mais sa santé en est ruinée. Épuisé, il meurt peu après.

Dieu l’inspirateur principal de la Bible, les hagiographes en sont les rédacteurs. Elle est divine et humaine. Celle-ci nous communique la Parole de Dieu dans un langage humain, « pour que notre intelligence comprenne et contemple, pour que notre volonté se fortifie et que l’action de compréhension s’accomplisse » « Quand le Christ passe, nombreux sont les écrivains qui ont travaillé à la rédaction du « Livre » ». Ils s’étalonnent sur environ 15 siècles et constituent une galerie de personnages de caractères et de milieux variés. Néanmoins, une unité mystérieuse, surhumaine les rassemble : Tous ont œuvré sous la motion de l’Esprit Saint. De sorte que par les histoires qu’ils consignent se fait jour une histoire : L’Histoire de l’Amour de Dieu pour les hommes, dont le centre est l’Incarnation du Christ. Une bonne intelligence des Écritures demande de s’en imprégner.

Dans cette optique, Origène conseille l’un de ses anciens élèves sur la façon d’ « entrer » dans la Bible : « Veille à lire les Écritures (…) Frappe à ces portes closes , et elles te seront ouvertes par le portier dont Jésus a dit : « Pour celui-ci, le portier ouvrira. Applique-toi à la lectio divina, cherche en Dieu avec une confiance et une loyauté fermes le sens des lettres divines qui s’y cachent. Ne te contente pas de frapper et de chercher, car le plus nécessaire à l’intelligence des choses de Dieu est la prière ».
Une lecture en profondeur du texte est indispensable pour y découvrir ce que son Esprit caché veut nous révéler : Le sens des événements narrés dans l’optique du Salut que le Christ est venu nous apporter. L’Écriture est une. Dieu en est l’Auteur. Dans le Christ, toute chose a son accomplissement total. Mais prévient l’Alexandrin, (nous courons le risque « que les livres divins ne soient voilés pour nous et même scellés, à cause de la négligence et de la dureté de nos cœurs (…) Il ne nous suffit pas d'apporter du zèle à l'étude des lettres sacrées, encore nous faut-il supplier le Seigneur pour que vienne l'Agneau de la tribu de Juda qui, prenant ce livre scellé, daignera l'ouvrir. Car c'est Lui qui ouvrant les Écritures enflamme le cœur des disciples, en sorte qu'ils disent : Notre cœur n'était-il pas ardent, alors qu'il nous ouvrait les Écritures ? » ( Luc 24, 32) [7] .

Le Christ détient la clé des Écritures car il est au cœur du dessein de Dieu : « Tu lis ? L’Époux te parle », résumait Saint Augustin. La Bible n’est pas seulement un ensemble d’écrits où des hommes expriment leur expérience religieuse. C’est une communication de Dieu à travers ces divers écrivains. C’est une lettre d’amour qu’il nous adresse. Il faut donc la recevoir avec reconnaissance, comme un message personnel qui doit éclairer notre foi et notre vie. « Alors vous découvrirez que les pensées de Dieu ne sont pas les pensées des hommes, vous serez amenés à contempler le vrai Dieu et à regarder les événements avec ses yeux ».

Mais chacun, consciemment ou non, tend à donner au texte un sens en fonction de son point de vue. En outre, comme « Dieu parle à l’homme à la manière des hommes », il faut découvrir l’intention poursuivie par l’auteur sacré, et, pour ce faire, « tenir compte des conditions de son temps, de sa culture, des genres littéraires en usage à son époque, des manières courantes de sentir, de parler et de raconter en ce temps-là ». C’est pourquoi l’Église précise quelle est la manière authentique d’interpréter l’Écriture. A cet effet, elle distingue :
- Le sens littéral : sens directement signifié par le texte ;
- Le sens moral : que devons-nous faire en vivant la parole ?
Mais comme Dieu a voulu intervenir lui-même de façon directe dans l’histoire humaine, le texte n’est pas seul à parler, les réalités et les événements dont il parle, parlent aussi : C’est le sens spirituel.

Origène illustre cette distinction dans une métaphore savoureuse, en comparant les Écritures à des noix : « amère est la lettre, qui est comme l’écorce, en deuxième lieu, tu parviendras à la coquille, qui est la doctrine morale, en troisième lieu, tu trouveras le sens des mystères, dont se nourrissent les âmes des saints dans la vie présente et future ». Cette comparaison nous amène à faire 2 constats quant à la méthode de l’Alexandrin :
a) en déchiffrant l’Écriture, il cherche à révéler « le sens du mystère », en l’interprétant dans un sens mystique ou allégorique : C’est l’un des aspects du sens spirituel. Origène  l’affectionne. Il permet de comprendre au fond les événements en reconnaissant leur signification dans le Christ et pour l’Église : « Ainsi, la traversée de la mer Rouge est un signe de la victoire du Christ et, par-delà, du baptême ».

Par ailleurs, Origène s’est vu reprocher des erreurs dans ses écrits de jeunesse : Hiérarchie au sein de la Trinité, préexistence de l’âme humaine, Salut universel à la fin des temps… Aussi n’est-il pas un « Père de l’Église » à proprement parler : C’est « un maître spirituel. Il est de son temps et son système philosophique n'est pas sans faille ni erreur mais son âme ardente est celle d'un fils de l'Église et, il faut le dire, celle d'un saint. La passion du Christ, Parole Vivante du Père, anime toutes les pages d'Origène. Celui qu'il nous invite à chercher sans relâche, il l'a lui-même cherché avec un amour ardent ».

Sait-on qu’il est le premier à désigner la Vierge du nom de Theotokos (Mère de Dieu), et à enseigner sa maternité universelle ? « Nul ne peut comprendre l’Évangile s’il n’a reposé sur la poitrine de Jésus, et n’a reçu de lui Marie pour sa Mère ».

C’est probablement ici que cette expression apparaît pour la première fois dans le panorama de l’Église. La « lecture méditée » amène à écouter la parole de Dieu. Elle est le moment où un passage des Livres Saints devient prière, se transforme en vie et devient message de Salut. En effet, dans le silence du dialogue, elle met l’esprit du lecteur, son intelligence et son cœur, en contact avec Dieu.
« Les actions et les paroles sont si étroitement liées entre elles que les œuvres accomplies par Dieu dans l’histoire du salut rendent évidentes, et corroborent la doctrine et l’ensemble des choses signifiées par les paroles, et que les paroles proclament les œuvres et font découvrir le mystère qui s’y trouve contenu »

C'est l'un des Pères de l'Église et « le plus grand génie du christianisme antique avec Saint Augustin » selon la formule du cardinal Jean Danielou.
(Il y eut aussi au IIIe siècle un autre Origène, philosophe néoplatonicien et païen, condisciple de Plotin et de Longin, avec lequel on l'a parfois confondu.)

En 215, bien que très jeune, il succède à son maître Clément d'Alexandrie à la tête de la Didascalée à l'École théologique d'Alexandrie (école catéchétique). Il se signale dès lors par une rigidité de principes et de mœurs qu'il pousse au point de se castrer pour se soustraire à toute tentation.
Pour être entièrement indépendant, Origène vend sa bibliothèque pour une somme qui lui rapporte un revenu quotidien net de 4 oboles, qui lui suffisent en raison de son extrême frugalité. Il donne des leçons publiques à Césarée en Syrie la journée, il consacre à l'étude de la Bible la plus grande partie de ses nuits menant une vie d'ascète rigide. Selon quelques traditions, il porte si loin ce souci que, puisqu'il enseigne à des femmes aussi bien qu'à des hommes il craint que cette situation puisse donner lieu au scandale pour les païens et il suit à la lettre Matthieu (« il y a des eunuques qui se sont faits eux-mêmes eunuques pour le royaume des cieux » et Marc (« si ta main est pour toi une occasion de chute, coupe-la »), c'est-à-dire qu'il se châtre, une telle action, si elle a vraiment eu lieu, est en partie, sans doute, due à ce qu'il croit que le chrétien doit suivre l'enseignement de son maître sans la moindre réserve.

Plus tard dans la vie, cependant, il voit des raisons qui ont dû lui faire juger différemment avant de se décider à un tel acte. Dans son enseignement donné à Césarée, il regrette son geste qu'il attribue à l'erreur que constitue la lecture littérale des Écritures. La vérité historique de cette castration a été mise en doute par quelques disciples. On a supposé que c'est un racontar répandu par les rivaux d'Origène qui s'efforcent de réduire son importance ou de souiller sa réputation. Il se rend à Athènes pour secourir les églises d'Achaïe.
Il continue à étudier, notamment auprès d'Ammonius Saccas.

En 230, il est ordonné prêtre à Jérusalem mais son évêque, Démétrius d'Alexandrie, lui reproche ses mutilations qui selon les canons le rendent inapte au sacerdoce. Malgré le soutien des évêques et une assemblée en concile, Démétrius, regardant son ordination comme irrégulière, destitue Origène de ses fonctions, l'excommunie et lui interdit le séjour de son diocèse. Origène n'y rentre effectivement qu'après la mort de ce prélat.

En 231, Origène quitte Alexandrie pour Césarée, en Palestine, où il continue d'expliquer l'Écriture et où une nouvelle école prend corps autour de lui avec les élèves les plus remarquables (dont Grégoire le Thaumaturge).

En 250, sous le règne de Dèce, il subit la persécution et, bien qu'emprisonné et torturé, il ne cesse d'écrire pour encourager ses compagnons et compose son livre contre Celse. Bien qu'il retrouve la liberté, il meurt peu après, vers 253, probablement des suites de ses blessures.
Selon Saint Jérôme, il est mort à Tyr, et a été enterré dans la cathédrale.
Origène est considéré comme le père de l'exégèse biblique pour avoir commenté tous les Livres de l'Ancien et du Nouveau Testament dans une œuvre exégétique gigantesque, non seulement par son étendue, mais par l’ampleur de son information et par l’élan spirituel qui l’anime. Sa méthode exégétique fait appel à la distinction entre 3 sens de l’Écriture :
Le sens littéral,
Le sens moral
Le sens spirituel, correspondant aux trois parties de l’homme, le corps l’âme et l’esprit.
« Il faut donc inscrire 3 fois dans sa propre âme les pensées des Saintes Écritures : Afin que le plus simple soit édifié par ce qui est comme la chair de l’Écriture. De même que l’homme est composé de corps, d’âme et d’esprit, de même l’Écriture que Dieu a donné dans sa providence pour le salut des hommes. »

Son entreprise la plus importante est « les Hexaples », édition de la Bible dans lequel il présente, sur 6 colonnes le texte hébreu de l’Ancien Testament et les diverses versions grecques alors en usage.
D'après Eusèbe, Origène, dans le premier des livres Sur l'Évangile selon
Matthieu, rapporte ainsi la tradition : « Comme je l'ai appris par la tradition à propos des quatre Évangiles les seuls aussi à être incontestés dans l'Église de Dieu qui est sous le ciel,
D'abord a été écrit celui selon Matthieu, qui a été un moment publicain avant d'être apôtre de Jésus-Christ : Édité pour les croyants d'origine judaïque, et composé en langue hébraïque.
Le second est celui selon Marc, qui a rédigé selon les indications de Pierre, d'ailleurs, dans son épître catholique, Pierre appelle Marc son fils, quand il dit : « L'Église élue qui est à Babylone vous salue, ainsi que Marc mon fils ».
Le troisième est l'Évangile selon Luc, celui qui a été promu par Paul, et composé pour les croyants d'origine païenne.
Après tous, l'Évangile selon Jean. Il y émerge une doctrine mystique qui se rapproche de celle des Gnostiques il croit à la préexistence des âmes dans une région supérieure, d'où elles sont venues animer les corps terrestres, elles peuvent, pendant la vie, se purifier et s'élever à la félicité suprême par la communication intime avec Dieu.
Il soutient encore que Jésus-Christ n'est fils de Dieu que par adoption, que l'âme de l'homme a péché même avant d'être unie au corps, que les peines de l'enfer ne sont pas éternelles.

LE MARTYR D’ORIGÈNE
Selon Origène, Dieu est transcendant et infini. Il engendre éternellement le Fils, son image. À travers le Logos (Verbe), il crée une multitude d’esprits purs qui, à l’exception de Jésus, s’éloignent de Lui et deviennent alors des âmes. Il leur donne des corps concrets en rapport avec la gravité de leurs fautes : Corps d’anges, d’hommes ou de démons... Origène admettait, comme Augustin d'Hippone, l'existence des antipodes. Il fondait cet avis sur des écrits de Saint Clément

C'est après sa mort que les thèses exposées sont l'objet de controverses. La première thèse qui pose problème est celle de la pré-existence de l’âme, ainsi Dieu a créé les êtres spirituels, mais une partie de celles-ci ont refusé Dieu. La gravité et la rapidité de ce refus a conduit à la création des anges, démons ou des hommes. Le monde matériel a donc été créé afin de donner aux hommes la possibilité de se racheter.
La deuxième est la théorie de l’apocatastase, Origène croyant que la nature va revenir à son état originel. Ainsi les pécheurs comme les démons vont progressivement se purifier afin de revenir à l’état originel qui est bon.

Par la suite, ces thèses sont à nouveau condamnées, sous Justinien, au synode de Constantinople de 543, puis au concile de Constantinople II de 553, en particulier, on l'accuse d'avoir soutenu la croyance en la réincarnation et la pré-existence de l'âme avant la naissance.
Réhabilité rapidement, Origène reste une référence, de Saint Thomas d'Aquin citant ainsi abondamment ses commentaires des Évangiles dans sa Catena Aurae, au pape Benoit XVI qui lui rend un hommage appuyé à Rome lors d'une audience qu'il lui consacre le 2 mai 2007.
Beaucoup de Pères de l’Église s’inspireront des écrits d’Origène ainsi Grégoire de Nazianze et Basile de Césarée composent une anthologie de ses œuvres, la Philocalie d'Origène, Jérôme de Stridon traduit les homélies sur Saint Luc, qui sont les seules qui subsistent, les originaux ayant disparu, Didyme l’Aveugle se déclare disciple d’Origène.
Origène est à l'origine de l'interprétation selon les 4 sens des Écritures et de la Lectio divina pratiquée dans les monastères.
Érasme écrit dans le De Ratione Studii, rédigé à Londres en mars 1506 : « En fait de théologie, après les Saintes Écritures, rien de mieux à lire qu'Origène

« Un ami (plotin) l'amène chez Ammonius, qu'il ne connaît pas encore. Dès qu'il est entré et qu'il l'a écouté, il dit à son ami : Voilà l'homme que je cherchais.
De ce jour, il fréquente assidûment Ammonius (...). Herennius, Origène et Plotin sont convenus ensemble de tenir secrets les dogmes d'Ammonius, que leur maître leur a expliqués en toute clarté dans ses leçons. Plotin tient sa promesse, il est en relation avec quelques personnes qui viennent le trouver, mais il conserve, ignorés de tous, les dogmes qu'il a reçus d'Ammonius. Hérennius rompt le premier la convention, et Origène le suit (...). Pendant fort longtemps, Plotin continue à ne rien écrire il fait des leçons d'après l'enseignement d'Ammonius. Ainsi fait-il pendant 10 ans entiers, il a quelques auditeurs mais n'écrit rien. »

Démétrius vit à une période troublée de l'histoire de l’Église : il doit en effet faire face à la persécution de l'empereur Septime Sévère en 202. Par ailleurs, Démétrius tente d'asseoir son autorité en contrôlant notamment le Didascalée, une école d'enseignement du christianisme.
« Il y a certains événements qui ne sont point arrivés, et qui même sont impossibles. » En conséquence, il nie la réalité du matin et du soir dans la Genèse, des arbres de la vie, de la science du bien et du mal. Ce que l’Écriture raconte de Sara, de Rébecca, d'Abimélech, des sages-femmes d’Égypte, renferme des choses absurdes, et n'est point susceptible d'un sens littéral.
Ce n'est cependant qu'à son retour d'Antioche, où l'a appelé l'impératrice, qu'il commence à écrire sur les livres saints. Il y est porté et comme forcé par les sollicitations de beaucoup de personnes, mais surtout par les sollicitations d'Ambroise, de cet ami qui dans une autre circonstance le détermine à écrire le traité contre Celse. Ambroise ne se contente pas de l'y exhorter par ses instantes prières, il lui en fournit aussi tous les moyens. Il lui donne sept notaires pour écrire tour à tour sous sa dictée, autant de copistes qui rédige ce que les premiers ont écrit à la hâte, et enfin des filles qui transcrivent le tout en la plus belle écriture. Il subvient en outre à toutes les dépenses d'Origène, et il exige tous les jours quelque nouveau fruit de son travail. Il le presse sans cesse de lire, d'examiner, de corriger, et, pour le satisfaire, Origène travaille jour et nuit avec une incroyable application.


Origène: sa vie et son œuvre
https://books.google.fr/books?id=bpgAAAAAMAAJ
Pierre Nautin - 1977 - ‎Fathers of the church
fait un premier séjour à Antioche pendant l'automne et l'hiver de 231 à 232, ... de retour à Alexandrie occupent deux ou trois mois dans le milieu de l'année.
Origène — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Origène
Origène (en grec ancien Ὠριγένης / Ôrigénês) est le Père de l'exégèse biblique. Théologien de .... En 231, Origène quitte Alexandrie pour Césarée, en Palestine, où il continue d'expliquer l'Écriture et où une nouvelle école prend corps autour ...

Origène: sa vie, son oeuvre, sa pensée. L'ambiance philosophique. ...
https://books.google.fr/books?id=wIHNGk_UtKkC
Eugène de Faye - 1927
LA « TEMPÊTE » D'ALEXANDRIE (230-231) L'année 230 est la date charnière de la vie d'Origène : elle divise son existence en deux versants : la période ...

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