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AVRIL 2015...
Cette
page concerne l'année 772 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
L’EMBLÈME PAÏEN DES SAXONS.
Printemps
- été : Début des guerres de Saxe (fin en 804). Charlemagne
prend la forteresse d’Eresburg, sur le Diemel en Saxe, puis fait
construire le donjon de Büraburg sur l’Eder. Il détruit
l’Irminsul, sanctuaire païen des Saxons où pousse l’arbre sacré
censé soutenir la voûte céleste. Irminsul (allemand Irminsäule,
Vieux saxon Irminsûl : « Grande ou puissante colonne »)
est soit un arbre (plus précisément un frêne) soit un tronc
totémique sculpté, dédié à une divinité Saxonne (Teutonique) de
la guerre, nommée simplement Irmin. Il est connu chez les anciens
Saxons, à la fin du VIIIe siècle. Irmin, connu chez Tacite, a
parfois été rapproché du dieu Scandinave Týr en raison de la
forme de la rune Tiwaz directement liée à ce dernier (une « flèche
pointée vers le haut » signifiant conquête et victoire).
Il
a également été rapproché du norrois Jörmun qui est un des noms
ou des aspects d'Odin.
De
même, on a vu en l'arbre ou le totem une évocation de l'« Arbre
Monde » des mythes Germaniques, c'est-à-dire une
représentation de l'équivalent d'Yggdrasil évoqué dans l'Edda et
la mythologie Scandinave. Le moine Rodolphe de Fulda († 865), à
qui l'on doit la description la plus complète d'Irminsul, rapporte
au chapitre 3 de son hagiographie « De miraculis sancti
Alexandri »
Il
y a aussi un tronc d'arbre d'une taille peu commune, dressé
verticalement, que les Saxons vénèrent en plein air, appelé dans
leur langue « Irminsul », qu'on peut rendre en latin par
« pilier du monde », comme s'il soutenait toutes
choses... L'Arbre Monde, ou « Pilier du Monde » est un
élément de la cosmogonie Germanique qui symbolise l'union de
l'Homme et du Cosmos (des dieux avec la matière) et qui est le lien
unissant la Terre et le Ciel. C'est à cet arbre qu'Odin (germanique
Woden) reste suspendu 9 jours et 9 nuits, encore selon la mythologie
Scandinave et l'Edda, accomplissant ainsi un sacrifice. Il y apprend
le secret des runes et ressuscite.
La
popularité de ce mythe auprès des anciens Saxons est par ailleurs
attestée chez les Anglo-Saxons du haut Moyen-Âge, notamment à
travers nombre de représentations qui mêlent mythes Germaniques et
religion chrétienne et qui associent Odin / Woden (aussi appelé
Wotan) au Christ sur la Croix (notamment la Croix de Ruthwell). sa
nature exacte n'est pas tranchée on ne sait en réalité que très
peu de choses.
À
la fois symbole de la résistance du paganisme Saxon et lieu de
réunion des Païens qui lui apportent une offrande après chaque
victoire, Irminsul est coupé ou abattu en 772 sur l'ordre du roi des
Francs, Charlemagne. Ce dernier s'emploie alors à soumettre et à
christianiser la Saxe païenne : Ses campagnes, durent près de
30 ans... Irminsul est situé près du château d'Eresburg, à
Paderborn, (Allemagne).
Il
est souvent rapporté que Charlemagne se moque de la croyance des
Saxons selon laquelle Irminsul empêche le ciel de leur tomber sur la
tête, et qu'il voit ainsi une raison de s'y attaquer pour
discréditer ses adversaires.
Un
équivalent d'Irminsul est l’if sacré d’Uppsala, en Suède. Il
est d'autre part connu que certains nobles Saxons opposés à
Charlemagne se sont réfugiés au Danemark.
Parmi
les idoles de nos ancêtres, qui existent en différents endroits de
la Saxe, au temps de Charlemagne, la principale est celle nommée
Irmensula ou Irminsulus, comme Georges Fabricius l'appelle dans ses
Origines Saxonicœ (lib. II et IV).
Les
Annales Francicifulden. de l'année 772, la nomment Irminsul, ainsi
que Dithmar de Mersburg ( liv. II), Aimoin de Gestis Francorum ( liv.
IV, ch. 6g ), Lambert de Schafnaburg, Hermamius Contractas , Conrad
d'Ursberg, et Jean Stadweg dans sa Chronique manuscrite, tous vers
l'année 772.
La
Chronique Saxone, écrite dans la langue du pays, et imprimée à
Mayence en 1453, s'éloigne de tous les autres dans le nom d'Irmensul
qu'elle donne à cette idole, lequel nom est le même que celui
qu'elle porte encore aujourd'hui en Saxe. Le temple de cette idole
est dans l'ancienne Saxe, appelée aujourd'hui la Westphalie, mais il
n'est pas sur la rive du Weser, comme le croit Adon de Vienne , ni à
la source de la Lippe, comme le pensent Ernest Brotufius,
Les
Annales de Fulda, Reginon, Aimoin, Gobelin et autres, donnent la
qualité de castrum à Eresberg. Le poète anonyme, l'auteur de la
Vie de Charlemagne, dans la Vie de Saint Sturmion, celle de
castellum, Widechind et Dithmare, celle enfin, de la Vie manuscrite
de Charlemagne, celle de civitas.
Dithmar
de Mersburg ( liv. I ) l'appelle Merseburg, il est suivi en cela par
Gepidanus, moine de Sangall, dans ses Annales rerum Alemannicarum,
qui cependant nomme aussi cette ville Ariburgum, que Hamelmann a
nommé mal à propos Arnsburg.
Le
livre II de ses Origines, en donne cette autre description : « Cette
statue représente un homme armé : Sur son casque, est perché
un coq, sur sa poitrine, on voit un ours, sur son bouclier, qui est
suspendu à ses épaules, un lion. Il tient, dans sa main droite, un
étendard, ayant pour armoirie une rose des champs et dans sa main
gauche une balance en équilibre. »
L'ancienne
Chronique Saxone ajoute qu'il est ordinaire de placer l'image de
l'idole d'Eresberg dans les autres temples Saxons. Des Prêtres et
des Sacrifices du Temple d'Eresberg... Il est certain, d'après la
tradition et des fragments d'anciennes Chartes, qu'un grand nombre de
prêtres des deux sexes est attaché à ce temple. Les femmes
s'occupent des sorts et des divinations, pour rendre des oracles et
pronostiquer l'issue des entreprises, la fonction des hommes est d
offrir des sacrifices et des victimes. Ces derniers se mêlent aussi
du gouvernement, sans que les princes et le peuple le trouvent
mauvais. On est même persuadé, qu'étant les ministres de la
divinité, tout ce qu'ils entreprennent doit réussir. Toute la Saxe
est alors divisée en cantons que les habitants appellent Gowen,
chaque canton a ses présidents qu'on nomme Gowgraven, c'est à-dire,
juges du Gowen, ou du canton.
Par
une coutume immémoriale, ils sont constitués par le collège des
prêtres d'Eresberg. Les mêmes prêtres désignent également les
juges des campagnes, qui rendent tous les ans, à jours fixes, des
jugements en plein air, et terminent les différents des paysans, au
sujet des bois, des champs, des pâturages, des jardins, des
fontaines et des ruisseaux. Ces jugements s'appellent godinck...
Woldemann, marquis de Brandebourg, de Landesberg et de Lusace , dans
des lettres de l'an 1310, s'exprime ainsi : « Que les citoyens
habitants du village de Wobecke, soient libres entièrement et
exempts de comparaître à l'assemblée du peuple à Schening, qu'on
appelle vulgairement Godinck ( à conventu populi in Scheningo, quod
uulgo dicitur Godinck). »
Quel
dieu l'idole d'Irminsul représente, et à la mémoire de qui elle a
été érigée. Adam de Brème pense qu'Irminsul, dans la langue du
pays, signifie une colonne universelle, soutenant tout l'univers,
quelques-uns, dit-il, interprètent Irminsul comme une statue
publique. Il est permis, en effet, de conjecturer qu'elle a été
appelée Idermansuel, (quasi commune profugium et asylum omnium).
Gobelin
a pensé qu'Irminsul était une statue de Mercure, qu'il assure avoir
été honoré par les Saxons, et appelé Hermès ou Irmin, que par
conséquent Irminsul signifie la statue d'Hermès.
Rolevincius
interprète Merspurgum, château de Mars, et écrit Arispurgum pour
Erespurgum, parce que Mars se dit Ares, en grec.
Cette
destruction eut lieu en 772, première année de la guerre Saxone,
décrétée dans les comices de Worms, et entreprise par Charlemagne,
alors âgé d'environ 30 ans. On trouve dans le temple, de riches
dons des rois, des princes et des peuples, tels que des offrandes ou
des vœux, des couronnes, des boucliers, des enseignes, des épées,
en outre, des instruments sacrés, des tables, des vases de tout
genre , des clochettes, des cymbales, des cassolettes, des
encensoirs, des bénitiers, la plupart en or, argent ou airain,
enfin, des trésors inestimables que la pieuse libéralité des
dévots qui sont venus s'y acquitter de leur vœux, y sont amassés.
Tout devient la proie du vainqueur, l'idole elle-même, placée sur
une colonne travaillée avec art, est mise en pièces et renversée
avec des imprécations... Tout cet édifice, dont la construction et
la magnificence sont le fruit de plusieurs siècles, et qui attire
l'admiration des spectateurs, est rasé.
Henri
de Hervord, raconte la chose ainsi : « Le roi Charles ayant
rassemblé son armée à Worms , prend le château d'Eresberg, qui se
nomme aujourd'hui Mersberg ; détruit le temple, enlève tout
l'argent qu'il y trouve, et renverse l'idole, dont la destruction est
à peine terminée en 3 jours. Comme il séjourne pendant ces 3 jours
dans ce même lieu, pour le détruire, il arrive que par suite de la
sérénité continuelle du ciel, tous les ruisseaux et toutes les
fontaines de ce lieu ayant été desséchés, on ne peut pas trouver
d'eau pour boire, mais tout à coup, par une faveur divine, il sort
une grande abondance d'eau dans le trou d'un torrent, pendant que
tous se reposent en plein midi : « In cujusdam torrentis
concavo tanta vis aquœ eruperat, quiescentibus cunctis tempore
meridiano, ut omni exercitui sufftceret ». Alors le roi ayant
détruit l'idole, croit avoir soumis la Saxe, s'approche du Weser, et
là, ayant reçu 12 otages des Saxons, se retire. » Crancius,
Saxon., lib. II.
Georges
Fabricius, Orig., lib. II, assure que la statue d'Irminsul a été
conservée à Eresberg, jusqu'au temps d'Otton le grand, par l'ordre
duquel elle en a été enlevé.
Letzer,
curieux et zélé investigateur des antiquités de sa patrie, a
composé une relation de cette translation, laquelle mérite toute
confiance, ayant été rédigée d'après la Chronique de Corwei et
la Vie de Charlemagne, deux ouvrages écrits dans la langue du pays,
en voici la substance :
« Le
temple d'Eresberg ayant été détruit, et l'idole d'Irmus brisée,
Charlemagne sent que la colonne qui existe encore, est aussi
vénérable pour les Saxons que le dieu lui-même l'a été, il la
fait donc mettre sur un chariot, et conduire droit au fleuve du
Weser. Charlemagne étant mort, il arrive que dans le temps que
Louis, son fils aîné et son successeur à l'empire, fonde Corwei,
on trouve cette colonne. L'empereur, pour enlever de dessous les yeux
des Saxons, toujours enclins à l'idolâtrie de leur culte, ordonne
de le transporter secrètement au-delà du Weser, mais le bruit s'en
étant répandu, les Saxons commencent à s'agiter. Ceux qui
conduisent Irminsul sont en grand nombre et tous armés, afin de
repousser l'attaque... Les Saxons les poursuivent, et ayant passé le
Weser, les surprennent marchant très vite et en hâte, dans le même
lieu où, par la suite, les comtes de Wincenburg ont établi leur
domination. Là ils engagent un combat, parce que les Saxons
redemandent cet objet du culte de leurs ancêtres... Les impériaux
résistent vivement. De toute cette multitude, 8 sont tués, on élève
le long du chemin, à leur mémoire, autant de cippes de pierre,
taillés en forme de croix, ainsi qu'une chapelle. Le lieu du combat
prend le nom d'Armensul, lequel devient par la suite un bourg qui
appartient aujourd'hui à la famille des Stockheim. Les impériaux
ayant vaincu les Saxons, de peur qu'il ne survienne de nouveaux
ennemis et en plus grand nombre, se hâtent de conduire la colonne
d'Arminsul au fleuve Innera, qu'un diplôme de l'empereur Henri IV,
de 1045, appelle Entrista, pendant que l'empereur Louis ( le
débonnaire ) y est occupé à fonder une nouvelle ville (Hildesheim
),à laquelle il donne le nom de Hillesheim, ainsi qu'une nouvelle et
plus vaste basilique, à l'usage de l'évêque et des chanoines
auxquels il a ordonné , en l'érigeant et en la dotant largement, de
quitter la cour, et de s'en aller sur les bords de l'Inner, au
confluent de la Sala et de la Leina, où Charlemagne a érigé le
siège d'une cathédrale. La colonne d'Armensul est introduite, au
milieu des danses religieuses ( cum tripudio ), dans le nouveau
temple, après avoir été purifiée par des cérémonies
solennelles, des souillures qu'on croyait qu'elle avait contractées
dans un temple païen, et placée devant le chœur, au milieu du
temple. On l'y voit encore aujourd'hui, servant à supporter des
luminaires. La colonne d'Irminsul a cela de particulier, que frappée
avec un couteau elle rend un son aigu comme un tintement, et qu'en
été, lorsque l'air est très-chaud, elle est très froide et semble
suer...
Cette
colonne d'Irminsul a environ 11 pieds de long, sa circonférence,
près la base, est de 12 coudées. Cette base est d'une pierre
grossière de tuf, la colonne est de marbre d'un rouge brun (coloris
spadicei ). Les ceintures ou bandes circulaires {cingula) qui
l'environnent, sont d'oripeau (orichalco), deux sont dorées : Celles
du milieu et du sommet, ainsi qu'une intermédiaire placée entre ce
dernier et la corniche, laquelle est dorée également avec le cercle
de cuivre qui la surmonte, tout le monument est entouré de barreaux
de fer terminés en pointes, pour empêcher qu'on ne le dégrade.
En
mémoire de la destruction de l'idole d'Irminsul, tous les ans,
encore aujourd'hui, a lieu le divertissement suivant : La veille du
dimanche un paysan de la campagne voisine, paraît dans la place qui
est contiguë à l'église de Sainte Marie, apportant deux perches
longues d'environ 6 pieds, qu'il enfonce fortement en terre, il élève
au haut de chacune d'elles une pyramide de bois d'un pied de long.
Des
enfants du peuple accourent en grand nombre , et saisissant des
bâtons et des pierres, renversent ces pyramides à qui mieux mieux,
les replacent après les avoir renversées, les renversent encore, et
continuent ce jeu jusqu'à ce qu'ils en soient las, et qu'ils s'en
retournent chez eux... Letzner parle de cet usage dans la Chronique
Allemande de Corwei, imprimée à Hambourg, ch. 18, ainsi que dans la
Vie de Charlemagne, chap. 18, avec quelques différences dans les
circonstances.Des spectacles semblables ont lieu ailleurs, tous les
ans.
Plusieurs
écrivains font mention de spectacles semblables qui sont en usage,
tant en Allemagne qu'en d'autres pays. En 965, la Pologne ayant été
convertie au christianisme, sous le roi Mieslas, Joachim Curœus
rapporte, dans les Annales de Silésie, pag. 31, que « par un édit
du roi, les simulacres de l'idolâtrie sont brisés et brûlés
partout publiquement,en
Pologne,
le 7 Mars. C'est le dimanche de la Quadragésime (1er dimanche de
carême), qu'on appelle lœtare Jérusalem. La mémoire de ces
dédicaces s'est conservée longtemps dans cette nation, et tous les
ans, en ce même dimanche, des simulacres terribles, semblables à
des spectres, sont portés avec des perches , et à la fin roulés
dans la boue. Cet usage a encore lieu en Silésie, parmi les petits
garçons et les petites filles, et s'appelle le dimanche de la mort.
»
Charlemagne
fait bâtir une basilique sur les ruines de l'ancien temple
d'Eresberg, qu'il vient de réduire en cendres. L'auteur de la Vie
manuscrite de Charlemagne ( lib. I,cap. 14), en parle ainsi : «
Charlemagne après avoir détruit la ville d'Eresberg en Saxe , à
cause de l'opiniâtreté et de la perfidie de ses habitants, et
renversé la statue d'Hermès , appelée par eux Hermensul, rétablit
ensuite cette ville dans une plus grande splendeur, par zèle pour la
religion, et y construit une basilique d'une hauteur et d'une
munificence impériale, afin de purifier, par le culte du Christ, ce
lieu souillé du culte des démons. »
Ce
même prince adjoint à la basilique un couvent de Bénédictins. Le
temple de Charlemagne existe encore aujourd'hui , et on y voit
encore, à l'entrée du cimetière , la figure du fondateur sculptée
sur la pierre. La lettre A est gravée sur le frontispice du temple
les habitants assurent, d'après une ancienne tradition, que cette
lettre indique que le monastère d'Eresbourg, était le premier de
tous ceux que Charlemagne a fondés en certain nombre pour
l'amplification du culte, de même que la lettre A est la première
de l'alphabet latin. Cette tradition s'accorde avec les historiens.
Les
Saxons : peuple installé entre l’Ems et l’Oder, paie tribut
aux Francs depuis le VIe siècle. Ces derniers sont toutefois
révoltés à plusieurs reprises, particulièrement suite à
l’arrivée de la dynastie des Carolingiens.
Toutefois,
si les Saxons ont été tenus en échec par les Francs, ils sont
parvenus à envahir la Bretagne (actuelle Grande-Bretagne) de concert
avec les Angles, une tribu apparentée. Luttant contre les
populations Celtiques, les envahisseurs parviennent à établir leur
domination sur l’île au cours du VIIe siècle (la région est
rebaptisée Angleterre, la terre des Angles).
A
la fin du VIIIe siècle, les Saxons d’Angleterre n’ont plus de
liens avec leurs cousins de Germanie. Ces derniers, vivent dans une
contrée d’accès difficile, parsemée de marais et d’épaisses
forêts.
On
compte 4 principaux groupes de Saxons, à savoir les Westphaliens,
les Ostphaliens, les Angrariens et les Nordalbingiens (mieux connus
sous le nom de Danois ou Normands).
Les
Saxons constituent un des rares peuples d’Europe à n’avoir pas
épousé la foi chrétienne. Ainsi, ces derniers sont restés fidèles
au paganisme, qu’ils considèrent comme le symbole de leur
indépendance (à noter cependant que la papauté envoie depuis près
d’un siècle des missions de christianisation dans la région).
Irminsul
— Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Irminsul
Irminsul
(allemand Irminsäule, Vieux saxon Irminsûl : "grande ou
puissante ... après chaque victoire, Irminsul fut coupé ou abattu
en 772 sur l'ordre du roi des ...
IRMINSUL,
L'ARBRE DU MONDE DES SAXONS - Kubaba
kubaba.univ-paris1.fr/2000/arbre/guelpa.pdf
descendants
des Saxons de l'Histoire ne sont pas les Saxons d'aujourd'hui, les
... Charlemagne contre les Saxons en 772, année où l'empereur
s'empara de la ...
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