mardi 21 avril 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 762

17 AVRIL 2015...

Cette page concerne l'année 762 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

L'ABBAYE DE GORZE ET SES LÉGENDES


Décapité le 26 août 286 sous l’empereur Dioclétien, Genès de Rome (ou Genest) est un comédien joueur au possible, buveur, menteur, débauché, qui se convertit au christianisme au cours d’une représentation, et c’est à son talent pour jouer du violon que les habitants de Novéant, en Moselle, doivent d’entrer en possession de la forêt de L’aqueduc destiné à amener les eaux de Gorze à Metz, et dont les ruines se dressent encore gigantesques et fières au milieu du village de Jouy. Cet aqueduc est construit par une légion romaine au IIIe siècle. Les soldats ont trouvé si riante et si gracieuse la vallée où serpente la Moselle, qu’ils ont résolu de s’y établir. Ils dressent leurs tentes le long de la nouvelle voie créée par eux pour aller à Gorze... Peu à peu des maisons remplacent les tentes, des familles de laboureurs se joignent aux soldats, un beau village enfin, qu’on appelle Noviant à cause de sa position, s’élève comme par enchantement sur les débris des anciens chantiers.

En même temps, et vis-à-vis, l’autre côté de la Moselle se couvre de constructions plus importantes encore. Ici ce n’est plus un simple hameau, mais une ville avec son temple dédié à Jupiter Ammon (le dieu à la tête rappelant par leurs dénominations la divinité et ses emblèmes qu’on y adore. Ceci se passe vers la fin du IVe siècle. Parmi les soldats de la légion qui ont fondé Novéant, un surtout se distingue de ses camarades par la noblesse de ses traits et la finesse de son intelligence. Chose singulière, Genest (c’est le nom du légionnaire), doué de tous les dons de la nature, en a aussi tous les défauts... Il est joueur, buveur, menteur, débauché comme le dernier des derniers de la cohorte. Ennemi acharné de la nouvelle religion, qui partout fait des prosélytes, il se montre païen dans toute la force du terme : Aussi sa réputation est-elle ouvertement mauvaise, on ne l’apprécie qu’au seul point de vue de son habileté de violoniste.
Un coup d’archet lui suffit pour réunir les jeunes filles des environs et organiser de joyeuses danses, puis lorsqu’il a amassé beaucoup de monde, il monte sur un théâtre improvisé et représente, en les parodiant avec une verve entraînante, les mystères des nouveaux chrétiens. Il est impossible de pousser plus loin la dépravation....

Dioclétien, l’ancien esclave Sarmate, vient d’être revêtu de la pourpre impériale. La légion de la Moselle et par suite Genest sont rappelés à Rome, et remplacés par des prétoriens que craigne le nouvel empereur. C'est encore bien pis pour les pauvres chrétiens qui se sont réfugiés à Novéant, tout l’intérêt se porte avec les nouveaux venus sur Corny et Jouy. Novéant est déshérité, on ne lui laisse même pas les champs qui peuvent nourrir ses habitants.
Et pourtant ils les auraient si bien cultivés, ils auraient tiré un si bon parti de la forêt de Gaumont qui s’élargit devant eux en amphithéâtre, ayant la Moselle à ses pieds...

Les chrétiens se sont réunis dans la chambre basse d’une maison isolée, et la nuit toute entière n’a pu suffire au récit de leurs malheurs : Les premiers rayons du jour éclairent faiblement leurs figures creusées par la souffrance, quand le son d’un violon les fait tressaillir...
« C’est Genest ! » s’écrient-ils en se regardant avec anxiété, « il revient pour nous tourmenter, nous sommes perdus ! »
Cependant le violon continue à se faire entendre, et cette fois il rend des sons si beaux et si énergiques, que les pressentiments sinistres s’effacent comme par enchantement dans l’esprit des prosélytes.
Genest est accueilli sans défiance. C’est bien le même homme, mais ce n’est plus le même légionnaire : Sa démarche est grave, sa parole calme et digne.

« Vous êtes pauvres, dit-il, je le sais, vous n’avez pas assez d’espace pour croître et prospérer. Suivez-moi à Corny ! ».

Épouvantée, l’assemblée s’écrie:
« A Corny ! C’est donc pour nous faire égorger au pied de l’autel de Jupiter ? » Mais Genest est déjà sorti. Les autres le suivent, attirés comme par un aimant surnaturel. Une barque reçoit la petite troupe et la transporte bientôt sur le rivage opposé.

Ce jour-là il y a grande fête à Corny : On a sacrifié à Jupiter, et les autels ruissellent encore du sang des victimes, un brillant soleil rend les maisons désertes. Genest ne peut arriver avec plus d’à-propos. Il fait résonner son violon... Les filles, les femmes, les enfants, les hommes, accourent en masse. « C’est Genest, disait-on de toutes parts, qui nous ramène le plaisir. »
Les danses s’organisent nombreuses et animées. Genest n’a jamais si bien joué, les groupes tourbillonnent devant lui avec délire.
Tout à coup le violon s’arrête au milieu du plus beau morceau.
« Je veux bien, dit Genest aux danseurs étonnés, vous amuser encore, mais tout travail mérite salaire.
Qu’aurai-je pour ma peine ?
De l’argent, répondit un prétorien.
Je n’en veux pas.
De l’or, reprit un autre.
Encore moins.
Que voulez-vous donc ? firent plusieurs voix.
Je veux le beau champ de blé qui borde comme une ceinture d’or la forêt de Gaumont. »

Il y a un moment d’hésitation. Mais la musique de Genest est si suave ! si pénétrante !
« Soit, le champ est à vous. »
Et la danse recommence avec fureur. Le morceau fini, Genest quitte son instrument.
« Jouez, jouez encore ! » crient les danseurs.
« Vous savez bien, dit Genest, que je ne joue plus sans être payé. Vous voulez que je continue, j’y consens, mais cette fois il me faut la belle forêt de Gaumont ».

La foule étonnée répéte :
« La forêt de Gaumont ! » Des murmures s’élèvent, quelques soldats font même briller leurs épées.
Genest reste impassible comme une statue.
Sa musique est si suave ! si pénétrante !
« Dansons pour la forêt de Gaumont ! »

Et la danse devient une véritable frénésie. Elle cesse lorsque les danseurs tombent haletants et épuisés.
Seul Genest reste infatigable. Son magique archet triomphe de la fatigue, les groupes se reforment plus ardents et plus enivrés encore.
Genest fait entendre un prélude si mélodieux, que toute la foule se sent transportée.
AQUEDUC DE NOVEANT
« Ce qui me reste à jouer est plus beau encore, dit-il d’une voix tonnante, mais je ne puis continuer si vous ne renversez à l’instant cet autel de Jupiter ».
Il se fait un profond silence, la stupéfaction remplace l’enthousiasme, rapide comme l’éclair la stupéfaction fait place à la colère.
Des cris d’abord confus, puis des vociférations, le bruit d’armes qu’on apprête, une mêlée effroyable...
Les prétoriens se précipitent sur Genest. Un craquement sinistre arrête les bras levés :
L’autel de Jupiter vient de s’écrouler de lui-même sur sa base détruite. Genest, suivi de sa petite troupe, regagne tranquillement Novéant. Le lendemain il donne aux chrétiens le champ et la forêt qu’il a si bien gagnés, et disparaît pour ne plus revenir.

C’est pourquoi la forêt de Gaumont, située de l’autre côté de la Moselle, appartient encore aujourd’hui à la commune de Novéant, et que Saint Genest est le patron du village. La vallée de la Moselle de Metz à Novéant, celle du Rupt-de-Mad, sont remplies du souvenir des Romains. Les débris de toute nature qu’on y rencontre, les dénominations des localités ne permettent aucun doute à ce sujet :
Jouy (Jovis ara),
Corny (cornu),
Rupt-de-Mad est presque latin (ruptus de rumpere, renverser, et madidus, humide) et fait allusion à l’impétuosité du petit cours d’eau qu’il désigne ?...

La légende de Saint Genest se lie enfin étroitement à un épisode du règne de Dioclétien. Genest est comédien. Il représente un jour devant l’empereur les mystères des chrétiens. D’après son rôle, il est catéchumène et doit recevoir un dérisoire baptême. Il s’est déjà agenouillé avec force contorsions, et se prépare, au milieu des rires des spectateurs, à la cérémonie de l’ondoiement : lorsque tout à coup il se lève, repousse violemment l’autre acteur, se tourne vers l’empereur et lui adresse les plus vifs reproches sur sa cruauté envers les chrétiens.
Les assistants croient d’abord à une scène arrangée pour produire plus d’effet, mais ils sont bien vite désabusés quand Genest lance sur les marches du trône la coupe qui contient l’eau, en s’écriant :
« Je suis chrétien ».
Il est arrêté et conduit en prison. Le préfet Plautien cherche par tous les moyens, même par la torture, à le faire renoncer à la nouvelle religion. Genest reste inébranlable. Il raconte à ses bourreaux que sur le théâtre il a vu un ange qui tenait d’une main une feuille toute noire d’écriture, et de l’autre une palme verdoyante, l’ange applique la palme contre la feuille et celle-ci devient aussi blanche que la neige, et il ajoute : « La page souillée, c’est ma vie passée, ce sont mes désordres que je veux effacer. »
Genest est mis à mort quelque temps après. Comment ce fait historique très peu connu, si ce n’est à Novéant, a-t-il pu produire la légende ? C’est ce qu’il serait probablement impossible d’expliquer aujourd’hui. Une petite église, d’un fort beau style du XIIIe siècle, et sur le portail de laquelle s’étale fièrement la croix de Lorraine, s’élevait à côté du château, démolie au début du XIXe siècle. On lit dans le Pouillé du diocèse de Metz que le patronage de cette église appartenait à l’abbaye de Gorze dès la moitié du VIIIe siècle, et que : « C'est le roi Pépin qui le lui donne le jour qu’elle fait faire la dédicace de son église à laquelle ce prince est présent. Il ne se contente pas de lui donner ce droit honorifique, mais, à l’exemple des seigneurs qui assistent à cette cérémonie et qui font de grandes largesses à cette abbaye, il lui donne la ville de Novian (Novéant) avec toutes ses dépendances. »
La charte de cette donation est du mois de juin 762.

En 774, à la demande du pape Adrien Ier, Bernard (725-786), abbé et comte de Saint-Quentin, est envoyé par Charlemagne à la tête d'une armée pour combattre les Lombards. Un acte de Saint-Germain-des-Prés, nous apprend qu’il a obtenu en bénéfice après son père la villa de Marolles-sur-Seine (Seine-et-Marne), laquelle est aux mains d’un comte Autbert dès 786. On en déduit qu’à cette date Nibelung est déjà décédé. Selon les « Annales Mosellani ». Il est possible de l’identifier, croyons-nous, au Nibelung qui souscrit deux actes pour le monastère de Gorze, en 762 et 770. Aucune source authentique ne nous informe sur une femme ou des enfants de Nibelung. Sur ce point, nous nous refusons à faire fond, comme l’a fait L. Levillain, sur un acte composé à l’époque moderne donnant la généalogie des Nibelung. Toutefois, le caractère si spécifique du nom suffit comme témoignage formel qu’il est l’ancêtre des Nibelung postérieurs. Quant à Childebrand, il reçoit de son frère le gouvernement de la Bourgogne et peut-être aussi celui de la Provence, ainsi qu'un certain nombre de bénéfices importants, l'un de ces bénéfices est situé au pagus d'Autun, une transaction passée, en 791, entre Ratbert, abbé de Saint- Germain-des-Prés, et un comte Autbert nous montre que Childebrand est aussi bénéficiaire dans le pagus de Melun. Et ce n'est là, bien évidemment, qu'une infime portion des bénéfices que Charles Martel a donnés à son frère... Childebrand meurt, à ce qu'on croit, en 752, c'est du moins à cette année que s'arrête la seconde continuation de la chronique de Frédégaire, dont il passe pour être l'inspirateur.

L’abbaye de Gorze à proximité de Metz est riche, puissante et donc très convoitée. Craignant une attaque surprise qui pourrait les piéger dans leurs murs, les moines ont aménagé un souterrain permettant une sortie au milieu des bois. Ainsi il leur est possible de fuir pour se mettre à l’abri si une troupe vient à donner l’assaut.

La sortie du souterrain légendaire, se situe au niveau du trou Robert Fey, mais que vous pourrez aussi trouver sous le nom de Robin Fey. Ce trou est une cavité naturelle créée par la rupture de la roche (une diaclase si vous voulez briller en société). Elle est composée d’un puits de 7 mètres de profondeur et d’un boyau long de 40 mètres fait de deux galeries disposées en vis-à-vis.
Le souterrain semble partir dans la direction de l’abbaye comme pour la rejoindre mais il faut savoir qu’entre les deux points il y a environ un kilomètre et demi surtout une vallée de 60 mètres à descendre, ce qui semble rendre la possibilité d’un passage entre les deux, peu probable...
J-B Nimsgerb dans son Histoire de la ville et du pays de Gorze nous dit qu’en descendant par le puits on arrive sur une « espèce de chambre assez régulière [ou] l’on voit un passage fermé qui parait conduire directement à l’abbaye. » Toutefois ce dernier ne croit pas non plus que le tunnel puisse donner réellement sur l’abbaye. L’accès au puits étant fermé par une grille, on ne peut se rendre compte de l’existence de ce passage obturé...

La croyance populaire a également considéré que le trou Fey communiquait avec le fond de la Gueule, une vallée de l’autre coté de Gorze. Il y a toutefois peu de chance que cette fameuse cavité mène quelque part... Un trésor dans le trou Fey ? Et bien oui… Protégé par le diable ? Euh… là non… La légende promet un trésor si on explore le souterrain... Et comme c’est le trésor de l’abbaye de Gorze, communauté extrêmement puissante et influente, cela laisse rêveur.

Tout d’abord on remarque que le diable peu confiant dans ses pouvoirs, l’obscurantisme s’amenuisant certainement, a préféré mettre une porte pour protéger son trésor, car trésor il y a bien... Alors ? Or ? Diamants ? Pierres précieuses ? Que nenni. Le trésor ce sont entre autres des grands et petits Rhinolophes, deux espèces de chauve-souris protégées. En guise de protection diabolique on a une protection par arrêté préfectoral qui fait quand même beaucoup moins peur.

Être moine à Gorze est donc loin d’être de tout repos. Serait-il alors inconcevable qu’il y ait eut un souterrain qui quitte l’abbaye ?
A priori non. Toutefois on n'en trouve nulle trace. Devant une telle fréquence d’attaques, une sortie de secours a pu être mise au point. Ce n’est bien sûr qu’une projection imaginaire. Mais poussons la projection encore plus loin. On peut par exemple imaginer qu’occupés à fuir une attaque et emmenant avec eux une partie de leur trésor, un coup de canon, par exemple, ait put faire s’effondrer les murs sur les moines. Le roi de France, Henry II, en tire par exemple 66 lors de la reprise de l’abbaye. Les légendes ont souvent un fond historique… Mais alors ce trésor ?


Vient le jour où ce souterrain sert. Fuyant les belligérants, des moines s’y réfugient emportant avec eux toutes leurs richesses. Mais le malin pour les punir d’avoir eut ce réflexe si vénal, les empêche de sortir du tunnel les laissant y mourir. C’est donc au milieu de leur or que les moines périssent. Le diable s’empare alors de tous les trésors des moines et en prend la garde parmi les cadavres.

Par ailleurs, on lit qu’ « Adalbéron, évêque de Metz, nous apprend dans une charte de l’an 933 qu’il y a deux églises dans la ville de Novian, une en l’honneur de Saint Martin et l’autre en l’honneur de Saint Genest, que l’abbaye de Gorze en a la possession, ainsi que de la ville de Novian.

Cette bulle est expédiée pour confirmer ce droit et celui qu’elle a sur plusieurs autres églises.
Adrien IV en donne aussi une pour confirmer ce même privilège en 1136. Bouchard, évêque de Metz, unit à cette abbaye de nouveau l’église paroissiale de Novian, avec tout ce qui en dépend, pour servir à la pitance des frères et pour en jouir à perpétuité, à la charge de présenter à l’archidiacre et à l’évêque, le vicaire qu’ils mettront à leur place pour avoir soin des âmes. Cette réunion est confirmée par Louis Jeandelaincourt, archidiacre.
Gérard, évêque de Metz, la confirme par une charte datée du 21 novembre 1299, enjoignant à l’abbaye et aux religieux de donner de quoi vivre honnêtement au vicaire qu’ils mettent pour desservir en leur place. »

L’abbaye de Gorze est bien sûr attaquée au cours de son histoire et l’on peut comprendre la légitime peur des moines de notre légende. Je dit bien sûr, car ce doit être le lot de la plupart des lieux ayant quelques richesses (mais même n’en ayant pas d’ailleurs), sauf que Gorze est une abbaye d’une immense puissance possédant un durable rayonnement Européen. Voila qui attire les convoitises. Et quand en plus on sait que Gorze est la possession de laïcs, on peut en plus imaginer qu’aux convoitises s’ajoutent les rivalités.

On peut donner quelques exemples de ce que connaît l’abbaye. Au cours des XIe et XIIIe siècles la région se morcelle en de nombreuses seigneuries induisant moult conflits, l’abbaye fait évidemment régulièrement les frais de ces guerres incessantes.
En 1444 c’est l’armée de Charles VII qui pille Gorze.
Puis en 1479 et en 1483 les Bourguignons remettent Gorze à sac.

D’autres guerres mettent encore Gorze à rude épreuve :
Par exemple en 1542, 1543 et 1552 l’abbaye sera prise et reprise tantôt par l’Empereur, tantôt par le roi de France...

Mais si aujourd’hui les histoires de diable nous font sourire, ce n'est pas toujours le cas, et même il y a encore peu de temps... Un ouvrage de 1853 mentionne que : « De fréquentes incursions dans la grotte, par des gens qui ne croient pas même nécessaire d’emporter de l’eau bénite, étant à peu près surs de n’y pas rencontrer le malin esprit, ont démontré que cette caverne [] n’est habitée que par des chauves-souris, et semble être l’ouvrage de la nature et du temps, et non des hommes. » On vous laisse tirer les conclusions que vous voulez, mais même si l’on casse le mythe de la légende et de la présence du diable, on trouve dans ces propos encore beaucoup de superstition...

Abbaye de Gorze — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Gorze
L'abbaye de Gorze est une abbaye bénédictine fondée près de Metz vers 747. À partir de 933, elle est à l'origine d'une réforme de la règle bénédictine qui va ...

Le trésor perdu de l'Abbaye de Gorze - Gorze - My lorraine
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saint Genest et forêt de Gaumont à Novéant (Moselle).
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Vous avez consulté cette page le 19/04/15.

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