17
AVRIL 2015...
Cette
page concerne l'année 762 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
L'ABBAYE DE GORZE
ET SES LÉGENDES
Décapité
le 26 août 286 sous l’empereur Dioclétien, Genès de Rome (ou
Genest) est un comédien joueur au possible, buveur, menteur,
débauché, qui se convertit au christianisme au cours d’une
représentation, et c’est à son talent pour jouer du violon que
les habitants de Novéant, en Moselle, doivent d’entrer en
possession de la forêt de L’aqueduc destiné à amener les eaux de
Gorze à Metz, et dont les ruines se dressent encore gigantesques et
fières au milieu du village de Jouy. Cet aqueduc est construit par
une légion romaine au IIIe siècle. Les soldats ont trouvé si
riante et si gracieuse la vallée où serpente la Moselle, qu’ils
ont résolu de s’y établir. Ils dressent leurs tentes le long de
la nouvelle voie créée par eux pour aller à Gorze... Peu à peu
des maisons remplacent les tentes, des familles de laboureurs se
joignent aux soldats, un beau village enfin, qu’on appelle Noviant
à cause de sa position, s’élève comme par enchantement sur les
débris des anciens chantiers.
En
même temps, et vis-à-vis, l’autre côté de la Moselle se couvre
de constructions plus importantes encore. Ici ce n’est plus un
simple hameau, mais une ville avec son temple dédié à Jupiter
Ammon (le dieu à la tête rappelant par leurs dénominations la
divinité et ses emblèmes qu’on y adore. Ceci se passe vers la fin
du IVe siècle. Parmi les soldats de la légion qui ont fondé
Novéant, un surtout se distingue de ses camarades par la noblesse de
ses traits et la finesse de son intelligence. Chose singulière,
Genest (c’est le nom du légionnaire), doué de tous les dons de la
nature, en a aussi tous les défauts... Il est joueur, buveur,
menteur, débauché comme le dernier des derniers de la cohorte.
Ennemi acharné de la nouvelle religion, qui partout fait des
prosélytes, il se montre païen dans toute la force du terme :
Aussi sa réputation est-elle ouvertement mauvaise, on ne l’apprécie
qu’au seul point de vue de son habileté de violoniste.
Un
coup d’archet lui suffit pour réunir les jeunes filles des
environs et organiser de joyeuses danses, puis lorsqu’il a amassé
beaucoup de monde, il monte sur un théâtre improvisé et
représente, en les parodiant avec une verve entraînante, les
mystères des nouveaux chrétiens. Il est impossible de pousser plus
loin la dépravation....
Dioclétien,
l’ancien esclave Sarmate, vient d’être revêtu de la pourpre
impériale. La légion de la Moselle et par suite Genest sont
rappelés à Rome, et remplacés par des prétoriens que craigne le
nouvel empereur. C'est encore bien pis pour les pauvres chrétiens
qui se sont réfugiés à Novéant, tout l’intérêt se porte avec
les nouveaux venus sur Corny et Jouy. Novéant est déshérité, on
ne lui laisse même pas les champs qui peuvent nourrir ses habitants.
Et
pourtant ils les auraient si bien cultivés, ils auraient tiré un si
bon parti de la forêt de Gaumont qui s’élargit devant eux en
amphithéâtre, ayant la Moselle à ses pieds...
Les
chrétiens se sont réunis dans la chambre basse d’une maison
isolée, et la nuit toute entière n’a pu suffire au récit de
leurs malheurs : Les premiers rayons du jour éclairent
faiblement leurs figures creusées par la souffrance, quand le son
d’un violon les fait tressaillir...
« C’est
Genest ! » s’écrient-ils en se regardant avec anxiété,
« il revient pour nous tourmenter, nous sommes perdus ! »
Cependant
le violon continue à se faire entendre, et cette fois il rend des
sons si beaux et si énergiques, que les pressentiments sinistres
s’effacent comme par enchantement dans l’esprit des prosélytes.
Genest
est accueilli sans défiance. C’est bien le même homme, mais ce
n’est plus le même légionnaire : Sa démarche est grave, sa
parole calme et digne.
« Vous
êtes pauvres, dit-il, je le sais, vous n’avez pas assez d’espace
pour croître et prospérer. Suivez-moi à Corny ! ».
Épouvantée,
l’assemblée s’écrie:
« A
Corny ! C’est donc pour nous faire égorger au pied de l’autel
de Jupiter ? » Mais Genest est déjà sorti. Les autres le
suivent, attirés comme par un aimant surnaturel. Une barque reçoit
la petite troupe et la transporte bientôt sur le rivage opposé.
Ce
jour-là il y a grande fête à Corny : On a sacrifié à
Jupiter, et les autels ruissellent encore du sang des victimes, un
brillant soleil rend les maisons désertes. Genest ne peut arriver
avec plus d’à-propos. Il fait résonner son violon... Les filles,
les femmes, les enfants, les hommes, accourent en masse. « C’est
Genest, disait-on de toutes parts, qui nous ramène le plaisir. »
Les
danses s’organisent nombreuses et animées. Genest n’a jamais si
bien joué, les groupes tourbillonnent devant lui avec délire.
Tout
à coup le violon s’arrête au milieu du plus beau morceau.
« Je
veux bien, dit Genest aux danseurs étonnés, vous amuser encore,
mais tout travail mérite salaire.
Qu’aurai-je
pour ma peine ?
De
l’argent, répondit un prétorien.
Je
n’en veux pas.
De
l’or, reprit un autre.
Encore
moins.
Que
voulez-vous donc ? firent plusieurs voix.
Je
veux le beau champ de blé qui borde comme une ceinture d’or la
forêt de Gaumont. »
Il
y a un moment d’hésitation. Mais la musique de Genest est si
suave ! si pénétrante !
« Soit,
le champ est à vous. »
Et
la danse recommence avec fureur. Le morceau fini, Genest quitte son
instrument.
« Jouez,
jouez encore ! » crient les danseurs.
« Vous
savez bien, dit Genest, que je ne joue plus sans être payé. Vous
voulez que je continue, j’y consens, mais cette fois il me faut la
belle forêt de Gaumont ».
La
foule étonnée répéte :
« La
forêt de Gaumont ! » Des murmures s’élèvent, quelques
soldats font même briller leurs épées.
Genest
reste impassible comme une statue.
Sa
musique est si suave ! si pénétrante !
« Dansons
pour la forêt de Gaumont ! »
Et
la danse devient une véritable frénésie. Elle cesse lorsque les
danseurs tombent haletants et épuisés.
Seul
Genest reste infatigable. Son magique archet triomphe de la fatigue,
les groupes se reforment plus ardents et plus enivrés encore.
Genest
fait entendre un prélude si mélodieux, que toute la foule se sent
transportée.
AQUEDUC DE NOVEANT |
« Ce
qui me reste à jouer est plus beau encore, dit-il d’une voix
tonnante, mais je ne puis continuer si vous ne renversez à l’instant
cet autel de Jupiter ».
Il
se fait un profond silence, la stupéfaction remplace l’enthousiasme,
rapide comme l’éclair la stupéfaction fait place à la colère.
Des
cris d’abord confus, puis des vociférations, le bruit d’armes
qu’on apprête, une mêlée effroyable...
Les
prétoriens se précipitent sur Genest. Un craquement sinistre arrête
les bras levés :
L’autel
de Jupiter vient de s’écrouler de lui-même sur sa base détruite.
Genest, suivi de sa petite troupe, regagne tranquillement Novéant.
Le lendemain il donne aux chrétiens le champ et la forêt qu’il a
si bien gagnés, et disparaît pour ne plus revenir.
C’est
pourquoi la forêt de Gaumont, située de l’autre côté de la
Moselle, appartient encore aujourd’hui à la commune de Novéant,
et que Saint Genest est le patron du village. La vallée de la
Moselle de Metz à Novéant, celle du Rupt-de-Mad, sont remplies du
souvenir des Romains. Les débris de toute nature qu’on y
rencontre, les dénominations des localités ne permettent aucun
doute à ce sujet :
Jouy
(Jovis ara),
Corny
(cornu),
Rupt-de-Mad
est presque latin (ruptus de rumpere, renverser, et madidus, humide)
et fait allusion à l’impétuosité du petit cours d’eau qu’il
désigne ?...
La
légende de Saint Genest se lie enfin étroitement à un épisode du
règne de Dioclétien. Genest est comédien. Il représente un jour
devant l’empereur les mystères des chrétiens. D’après son
rôle, il est catéchumène et doit recevoir un dérisoire baptême.
Il s’est déjà agenouillé avec force contorsions, et se prépare,
au milieu des rires des spectateurs, à la cérémonie de
l’ondoiement : lorsque tout à coup il se lève, repousse
violemment l’autre acteur, se tourne vers l’empereur et lui
adresse les plus vifs reproches sur sa cruauté envers les chrétiens.
Les
assistants croient d’abord à une scène arrangée pour produire
plus d’effet, mais ils sont bien vite désabusés quand Genest
lance sur les marches du trône la coupe qui contient l’eau, en
s’écriant :
« Je
suis chrétien ».
Il
est arrêté et conduit en prison. Le préfet Plautien cherche par
tous les moyens, même par la torture, à le faire renoncer à la
nouvelle religion. Genest reste inébranlable. Il raconte à ses
bourreaux que sur le théâtre il a vu un ange qui tenait d’une
main une feuille toute noire d’écriture, et de l’autre une palme
verdoyante, l’ange applique la palme contre la feuille et celle-ci
devient aussi blanche que la neige, et il ajoute : « La
page souillée, c’est ma vie passée, ce sont mes désordres que je
veux effacer. »
Genest
est mis à mort quelque temps après. Comment ce fait historique très
peu connu, si ce n’est à Novéant, a-t-il pu produire la légende ?
C’est ce qu’il serait probablement impossible d’expliquer
aujourd’hui. Une petite église, d’un fort beau style du XIIIe
siècle, et sur le portail de laquelle s’étale fièrement la croix
de Lorraine, s’élevait à côté du château, démolie au début
du XIXe siècle. On lit dans le Pouillé du diocèse de Metz que le
patronage de cette église appartenait à l’abbaye de Gorze dès la
moitié du VIIIe siècle, et que : « C'est le roi Pépin
qui le lui donne le jour qu’elle fait faire la dédicace de son
église à laquelle ce prince est présent. Il ne se contente pas de
lui donner ce droit honorifique, mais, à l’exemple des seigneurs
qui assistent à cette cérémonie et qui font de grandes largesses à
cette abbaye, il lui donne la ville de Novian (Novéant) avec toutes
ses dépendances. »
La
charte de cette donation est du mois de juin 762.
En
774, à la demande du pape Adrien Ier, Bernard (725-786), abbé et
comte de Saint-Quentin, est envoyé par Charlemagne à la tête d'une
armée pour combattre les Lombards. Un acte de
Saint-Germain-des-Prés, nous apprend qu’il a obtenu en bénéfice
après son père la villa de Marolles-sur-Seine (Seine-et-Marne),
laquelle est aux mains d’un comte Autbert dès 786. On en déduit
qu’à cette date Nibelung est déjà décédé. Selon les « Annales
Mosellani ». Il est possible de l’identifier, croyons-nous,
au Nibelung qui souscrit deux actes pour le monastère de Gorze, en
762 et 770. Aucune source authentique ne nous informe sur une femme
ou des enfants de Nibelung. Sur ce point, nous nous refusons à faire
fond, comme l’a fait L. Levillain, sur un acte composé à l’époque
moderne donnant la généalogie des Nibelung. Toutefois, le caractère
si spécifique du nom suffit comme témoignage formel qu’il est
l’ancêtre des Nibelung postérieurs. Quant à Childebrand, il
reçoit de son frère le gouvernement de la Bourgogne et peut-être
aussi celui de la Provence, ainsi qu'un certain nombre de bénéfices
importants, l'un de ces bénéfices est situé au pagus d'Autun, une
transaction passée, en 791, entre Ratbert, abbé de Saint-
Germain-des-Prés, et un comte Autbert nous montre que Childebrand
est aussi bénéficiaire dans le pagus de Melun. Et ce n'est là,
bien évidemment, qu'une infime portion des bénéfices que Charles
Martel a donnés à son frère... Childebrand meurt, à ce qu'on
croit, en 752, c'est du moins à cette année que s'arrête la
seconde continuation de la chronique de Frédégaire, dont il passe
pour être l'inspirateur.
L’abbaye
de Gorze à proximité de Metz est riche, puissante et donc très
convoitée. Craignant une attaque surprise qui pourrait les piéger
dans leurs murs, les moines ont aménagé un souterrain permettant
une sortie au milieu des bois. Ainsi il leur est possible de fuir
pour se mettre à l’abri si une troupe vient à donner l’assaut.
La
sortie du souterrain légendaire, se situe au niveau du trou Robert
Fey, mais que vous pourrez aussi trouver sous le nom de Robin Fey. Ce
trou est une cavité naturelle créée par la rupture de la roche
(une diaclase si vous voulez briller en société). Elle est composée
d’un puits de 7 mètres de profondeur et d’un boyau long de 40
mètres fait de deux galeries disposées en vis-à-vis.
Le
souterrain semble partir dans la direction de l’abbaye comme pour
la rejoindre mais il faut savoir qu’entre les deux points il y a
environ un kilomètre et demi surtout une vallée de 60 mètres à
descendre, ce qui semble rendre la possibilité d’un passage entre
les deux, peu probable...
J-B
Nimsgerb dans son Histoire de la ville et du pays de Gorze nous dit
qu’en descendant par le puits on arrive sur une « espèce de
chambre assez régulière [ou] l’on voit un passage fermé qui
parait conduire directement à l’abbaye. » Toutefois ce
dernier ne croit pas non plus que le tunnel puisse donner réellement
sur l’abbaye. L’accès au puits étant fermé par une grille, on
ne peut se rendre compte de l’existence de ce passage obturé...
La
croyance populaire a également considéré que le trou Fey
communiquait avec le fond de la Gueule, une vallée de l’autre coté
de Gorze. Il y a toutefois peu de chance que cette fameuse cavité
mène quelque part... Un trésor dans le trou Fey ? Et bien oui…
Protégé par le diable ? Euh… là non… La légende promet un
trésor si on explore le souterrain... Et comme c’est le trésor de
l’abbaye de Gorze, communauté extrêmement puissante et influente,
cela laisse rêveur.
Tout
d’abord on remarque que le diable peu confiant dans ses pouvoirs,
l’obscurantisme s’amenuisant certainement, a préféré mettre
une porte pour protéger son trésor, car trésor il y a bien...
Alors ? Or ? Diamants ? Pierres précieuses ? Que nenni. Le trésor
ce sont entre autres des grands et petits Rhinolophes, deux espèces
de chauve-souris protégées. En guise de protection diabolique on a
une protection par arrêté préfectoral qui fait quand même
beaucoup moins peur.
Être
moine à Gorze est donc loin d’être de tout repos. Serait-il alors
inconcevable qu’il y ait eut un souterrain qui quitte l’abbaye ?
A
priori non. Toutefois on n'en trouve nulle trace. Devant une telle
fréquence d’attaques, une sortie de secours a pu être mise au
point. Ce n’est bien sûr qu’une projection imaginaire. Mais
poussons la projection encore plus loin. On peut par exemple imaginer
qu’occupés à fuir une attaque et emmenant avec eux une partie de
leur trésor, un coup de canon, par exemple, ait put faire
s’effondrer les murs sur les moines. Le roi de France, Henry II, en
tire par exemple 66 lors de la reprise de l’abbaye. Les légendes
ont souvent un fond historique… Mais alors ce trésor ?
Vient
le jour où ce souterrain sert. Fuyant les belligérants, des moines
s’y réfugient emportant avec eux toutes leurs richesses. Mais le
malin pour les punir d’avoir eut ce réflexe si vénal, les empêche
de sortir du tunnel les laissant y mourir. C’est donc au milieu de
leur or que les moines périssent. Le diable s’empare alors de tous
les trésors des moines et en prend la garde parmi les cadavres.
Par
ailleurs, on lit qu’ « Adalbéron, évêque de Metz, nous
apprend dans une charte de l’an 933 qu’il y a deux églises dans
la ville de Novian, une en l’honneur de Saint Martin et l’autre
en l’honneur de Saint Genest, que l’abbaye de Gorze en a la
possession, ainsi que de la ville de Novian.
Cette
bulle est expédiée pour confirmer ce droit et celui qu’elle a sur
plusieurs autres églises.
Adrien
IV en donne aussi une pour confirmer ce même privilège en 1136.
Bouchard, évêque de Metz, unit à cette abbaye de nouveau l’église
paroissiale de Novian, avec tout ce qui en dépend, pour servir à la
pitance des frères et pour en jouir à perpétuité, à la charge de
présenter à l’archidiacre et à l’évêque, le vicaire qu’ils
mettront à leur place pour avoir soin des âmes. Cette réunion est
confirmée par Louis Jeandelaincourt, archidiacre.
Gérard,
évêque de Metz, la confirme par une charte datée du 21 novembre
1299, enjoignant à l’abbaye et aux religieux de donner de quoi
vivre honnêtement au vicaire qu’ils mettent pour desservir en leur
place. »
L’abbaye
de Gorze est bien sûr attaquée au cours de son histoire et l’on
peut comprendre la légitime peur des moines de notre légende. Je
dit bien sûr, car ce doit être le lot de la plupart des lieux ayant
quelques richesses (mais même n’en ayant pas d’ailleurs), sauf
que Gorze est une abbaye d’une immense puissance possédant un
durable rayonnement Européen. Voila qui attire les convoitises. Et
quand en plus on sait que Gorze est la possession de laïcs, on peut
en plus imaginer qu’aux convoitises s’ajoutent les rivalités.
On
peut donner quelques exemples de ce que connaît l’abbaye. Au cours
des XIe et XIIIe siècles la région se morcelle en de nombreuses
seigneuries induisant moult conflits, l’abbaye fait évidemment
régulièrement les frais de ces guerres incessantes.
En
1444 c’est l’armée de Charles VII qui pille Gorze.
Puis
en 1479 et en 1483 les Bourguignons remettent Gorze à sac.
D’autres
guerres mettent encore Gorze à rude épreuve :
Par
exemple en 1542, 1543 et 1552 l’abbaye sera prise et reprise tantôt
par l’Empereur, tantôt par le roi de France...
Mais
si aujourd’hui les histoires de diable nous font sourire, ce n'est
pas toujours le cas, et même il y a encore peu de temps... Un
ouvrage de 1853 mentionne que : « De fréquentes incursions dans la
grotte, par des gens qui ne croient pas même nécessaire d’emporter
de l’eau bénite, étant à peu près surs de n’y pas rencontrer
le malin esprit, ont démontré que cette caverne [] n’est habitée
que par des chauves-souris, et semble être l’ouvrage de la nature
et du temps, et non des hommes. » On vous laisse tirer les
conclusions que vous voulez, mais même si l’on casse le mythe de
la légende et de la présence du diable, on trouve dans ces propos
encore beaucoup de superstition...
Abbaye
de Gorze — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Gorze
L'abbaye
de Gorze est une abbaye bénédictine fondée près de Metz vers 747.
À partir de 933, elle est à l'origine d'une réforme de la règle
bénédictine qui va ...
Le
trésor perdu de l'Abbaye de Gorze - Gorze - My lorraine
www.mylorraine.fr
› Articles
19
mars 2010 - L'abbaye de Gorze, située à proximité de Metz, fut
riche, puissante et donc très convoitée. Craignant une attaque
surprise qui les piègerait …
saint
Genest et forêt de Gaumont à Novéant (Moselle).
www.france-pittoresque.com
› Légendes, Superstitions
22
juil. 2014 - Croyances locales et régionales, croyance de nos
régions, légende ... Parmi les soldats de la légion qui avait
fondé Novéant, un surtout se ...
Vous
avez consulté cette page le 19/04/15.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire