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VRIL 2015...
Cette
page concerne l'année 756 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LA
NAISSANCE DES ÉTATS PONTIFICAUX.
Au
VIIe siècle, les Lombards, peuple d'origine Germanique, sont
solidement implantés en Italie et font échec à toutes les
tentatives de reconquête de l'Empire d'Orient.
Au
siècle suivant, ils s'emparent de l'exarchat de Ravenne et de la
Pentapole et, Rome faisant barrage à leurs ambitions
territoriales,et deviennent une grave menace pour la papauté. Ne
respectant pas la trêve de 30 ans conclue avec le pape Étienne II,
Aïstolf, le roi des Lombards, prétend réduire le successeur de
Saint Pierre au rang de simple évêque... Celui-ci n'a plus pour
seule issue que de demander l'aide militaire de Pépin le Bref.
Un
événement majeur dans l'histoire de la papauté médiévale, c'est
la formation des États Pontificaux et l'accession du pape à la
souveraineté temporelle, avec tous les problèmes qui en découlent.
Les
Lombards menacent Rome, qui ne peut attendre aucun secours de
Byzance, avec laquelle elle est en conflit.
Le
pape Étienne II se tourne donc vers les Francs. Il traverse les
Alpes et vient supplier Pépin le Bref de lui porter secours,
celui-ci s'engage à remettre au pape les terres qu’il arrachera
aux Lombards.
En
755 et 756, il accomplit sa promesse. Les États Pontificaux sont
nés. Jusque-là, devenir évêque de Rome excite peu la cupidité.
Désormais, le pape est un roi, et son trône est convoité par de
nombreux et féroces aspirants. Chaque nouvelle élection va être un
drame...
Le jour même de la mort du pape Paul 1er (757-767), le duc Toto de Népi nomme lui-même son propre frère, Constantin, un simple laïc, comme successeur... Il trouve 3 évêques qui acceptent de le consacrer : C'est le nombre requis pour faire un pape.
Le jour même de la mort du pape Paul 1er (757-767), le duc Toto de Népi nomme lui-même son propre frère, Constantin, un simple laïc, comme successeur... Il trouve 3 évêques qui acceptent de le consacrer : C'est le nombre requis pour faire un pape.
Pendant
un an, Constantin essaie en vain de se faire agréer comme pape
légitime par Pépin le Bref, des notables réussissent finalement à
s'emparer de ce pape, lui crèvent les yeux et l'enferment dans un
couvent... La souveraineté temporelle du pape commence à porter ses
fruits véreux.
Etienne
II est un pape, élu au mois de mars 752, mort au mois d'avril 757.
Romain de naissance, il est élevé au patriarcat du Latran. Il est
diacre lorsqu'on le nomme pape.
La
situation de Rome est critique : en 751, Aïstaulf (Astolphe),
roi des Lombards, s'est emparé de la capitale de l'exarchat
Byzantin, Ravenne. Il marche sur Rome, Etienne II l'arrête par
d'habiles négociations et obtient même de lui une trêve de 40 ans.
Mais, 4 mois après, Astaulf oublie ses promesses, il prétend exiger
un tribut d'un sou d'or par habitant et soumettre Rome à son
pouvoir.
En
vain le pape conjure l'empereur d'Orient de venir au secours de la
ville. Livré à lui-même, après avoir prêché le courage au
peuple et avoir invoqué le secours divin par de grandes processions,
il quitte Rome (14 octobre 753). Deux envoyés Francs l'accompagnent,
le duc Autaris et l'évêque de Metz, Chrodegang, car déjà Étienne
II par une lettre a réclamé la protection de Pépin le Bref, le roi
des Francs, dont son prédécesseur Zacharias a consacré le pouvoir.
Il
est escorté en outre d'un envoyé Grec, le silentiaire Jean, qui, au
nom de l'empereur, est venu lui ordonner de se rendre à la cour
d'Astaulf pour l'engager à restituer l'exarchat. A Pavie, auprès du
roi Lombard, il n'a aucun succès, C'est alors qu'il franchit les
Alpes pour aller trouver Pépin III à Ponthion où il arrive le 6
Janvier 754.
En
tentant ce coup d'audace, a-t-il l'intention bien arrêtée de
s'affranchir de la domination des empereurs de Constantinople que les
papes ont jusque-là subit, ou veut-il simplement réclamer
l'intervention Franque en faveur de l'empire Grec ?
On
a pu discuter sur ce point, en tout cas les événements décident
aussitôt l'alliance étroite entre la papauté et les Carolingiens.
Cet événement a eu sur toute l'histoire du Moyen-Âge une fort
grande influence.
Pépin
accueille le pape avec honneur et lui promet de veiller à la défense
et à l'accroissement de la puissance de l’Église Romaine. En
retour, Étienne nomme Pépin III patrice des Romains, et à
Saint-Denis où il séjourne quelque temps, il le consacre roi avec
son épouse Bertrade et ses fils Charles et Carloman.
ÉTIENNE Ier |
C'est
en vain qu'Astaulf, pour rompre cette alliance dangereuse, force le
frère de Pépin III, Carloman, qui s'est retiré en Italie au
monastère du Mont-Cassin, à abandonner son couvent pour aller
négocier en Francie.
Carloman
est enfermé dans un monastère de Vienne où il meurt bientôt.
Pépin
somme Astaulf de restituer ses conquêtes, sur son refus, il franchit
les Alpes avec le pape, assiège Pavie et force le roi Lombard à
traiter. C'est alors que Pépin III a fait « l’État Romain » par
une première donation de territoires.
L’État
Romain désigne-t-il l'Empire ou l’État Pontifical qui a pris
ainsi naissance ? Selon toute vraisemblance, ce n'est pas sans
intention qu'on emploie ce terme ambigu.
Après
le départ de Pépin III, Astaulf marche de nouveau sur Rome. Le 1er
janvier 755, les Lombards sont devant la ville, dévastent la
banlieue, même les églises et les couvents, seules les grandes
basiliques de Saint-Pierre et de Saint-Paul sont respectées. Les
habitants résistent courageusement.
De
son côté le pape adresse un énergique appel aux Francs, et, dans
une de ses lettres, n'hésite pas à faire parler Saint Pierre
lui-même. Fidèle à ses promesses, Pépin accourt, à la seule
nouvelle de son arrivée, Astaulf abandonne le siège de Rome. Comme
il l'a promis au pape Étienne II lors des cérémonies de
renouvellement de son sacre, Pépin le Bref lance ses armées contre
les Lombards. Il va sceller l'alliance de la royauté Franque avec la
papauté en offrant au Saint Siège, par la « donation de Pépin
», les territoires qu'il a conquis par droit de guerre.
Par
un diplôme qui est déposé dans la confession de Saint-Pierre, le
roi Franc fait donation à Saint-Pierre, à son vicaire le pape
Étienne II et aux successeurs d’Étienne, de Ravenne, Rimini,
Pesaro, Conca, Fano, Césène, Sinigaglia, Iesi, Forlimpopoli, Forli,
Sussubium (aujourd'hui Castro Caro), Montefeletri (aujourdhui
San-Leo), Acerreagium (probablement Arcevia), Montelucati, Serra,
Saint-Marin, Vobio (aujourd'hui Sarsina), Urbino, Cagli, Luciolis,
Gubbio, Comacchio, Narni... Ces territoires, avec le duché de Rome
dont le pape se considère désormais comme le maître, forment
l’État de Saint-Pierre.
L'abbé
de Saint-Denis, Fulrad, est chargé d'assurer la remise au pape des
villes qui lui ont été attribuées. Sa mission n'est pas encore
terminée lorsque Astaulf meurt, au commencement de 756. Étienne II,
qui n'a pas oublié les angoisses passées, dans une lettre à Pépin
accable d'injures la mémoire de son ancien ennemi.
Son
successeur, Didier, voyant surgir en face de lui un rival, Ratchis,
implore l'appui du pape qui lui assure la couronne. Peu de temps
après, Étienne II meurt à son tour.
C'est un peu grâce aux Lombards que Pépin le Bref est devenu roi des Francs. c'est avec l'aval du pape Zacharie qui, reconnaissant le pouvoir du fondateur de la dynastie Carolingienne, espère obtenir son soutien contre les Lombards, comme Grégoire III l'a obtenu de Charles Martel quelques années plus tôt.
Fort
de cette intronisation, à la portée tant symbolique que politique,
Pépin le Bref doit désormais s'acquitter de sa promesse. Pendant
que Jérôme, son demi-frère, escorte Étienne II jusqu'à Rome,
Pépin le Bref signe un traité de paix avec le roi des Lombards.
Mais,
comme le roi des Francs, vient de franchir les Alpes, Aïstolf rompt
son engagement. Désespéré, Étienne II fait parvenir 3 missives à
Pépin le Bref, dont l'une est présentée comme lui ayant été
dictée par Saint Pierre en personne... L'apôtre insiste pour que
son tombeau, menacé par « cet abominable peuple Lombard »,
soit sauvegardé et, tout en proclamant qu'il a adopté la dynastie
Carolingienne, n'hésite pas à promettre des représailles si les
Francs se dérobent.
Comment ne pas céder aux injonctions du premier des apôtres ? Si Pépin le Bref n'est pas dupe de la supercherie, il ne peut risquer de déplaire symboliquement a Saint Pierre et à son successeur sur terre...
Comment ne pas céder aux injonctions du premier des apôtres ? Si Pépin le Bref n'est pas dupe de la supercherie, il ne peut risquer de déplaire symboliquement a Saint Pierre et à son successeur sur terre...
Les
Francs remettent au Saint Siège les clefs de 22 cités et du duché
de Rome. Elles sont solennellement déposées sur le tombeau de Saint
Pierre par Fulrad, l'abbé de Saint Denis, accompagnées de la
« donation de Pépin », acte de donation perpétuelle des
territoires que le roi des Francs a ainsi conquis de droit de guerre.
Mais
l'Empereur d'Orient, Constantin V, qui ne reconnaît ni la suprématie
du pape sur l’Église chrétienne ni ses droits sur les anciens
territoires de l'Empire en Italie, proteste.
Selon
lui, ces domaines appartiennent à l'Empire et Pépin le Bref ne peut
les donner à la papauté. C'est alors que commence à circuler la
« donation de Constantin ». Rédigée dans la seconde
moitié du VIIIe siècle, ce document affirme que, en 330, pour
remercier le pape Sylvestre de l'avoir guéri de la lèpre,
l'empereur Constantin 1er lui a donné l'autorité et le pouvoir
temporels sur Rome, l'Italie et la partie occidentale de l'Empire. Il
a, de plus, reconnu au Saint Siège la primauté sur tous les autres
sièges ecclésiastiques de la Chrétienté.
Constantin
V a beau clamer que ce texte, sur lequel Rome s'appuie pour justifier
de son pouvoir temporel jusqu'au Moyen-Âge, est un faux, Pépin le
Bref n'en a cure, pas plus que des riches cadeaux offerts par
l'Empereur.
Il
faut en effet savoir que, si Clovis, en son temps, a eu vraiment
besoin du soutien de Constantinople pour faire l'unité des Gaules,
l'Empire d'Orient est aujourd'hui considérablement affaibli.
Aussi
Pépin le Bref, conscient du fait que l'appui du pape est une carte
majeure dans son jeu politique, adresse un refus poli à Constantin
V.
La mort d'Aïstolf, met un terme définitif à l'expansion Lombarde. Pendant que l'alliance entre la royauté Franque et le Saint Siège est solidement scellée, les territoires concernés par la « donation de Constantin » constitue le noyau des États Pontificaux.
La mort d'Aïstolf, met un terme définitif à l'expansion Lombarde. Pendant que l'alliance entre la royauté Franque et le Saint Siège est solidement scellée, les territoires concernés par la « donation de Constantin » constitue le noyau des États Pontificaux.
La
monarchie Franque, qui va bientôt devenir la « fille aînée
de l’Église », bénéficie désormais du soutien tant
spirituel que politique du Saint Siège. A la suite du renouvellement
du sacre de Pépin le Bref, cette filiation est doublement renforcée
au plan symbolique.
Sainte
Pétronille, celle que l'on croit être la fille de Saint Pierre,
devient la patronne de la dynastie Carolingienne.
Par
ailleurs, le pape Étienne II accepte de prendre pour filleule
Gisèle, la fille de Pépin le Bref... En contrepartie, les
souverains Carolingiens veilleront aux destinées de l’Église et
du clergé en terres Franques, en n'hésitant pas à recourir parfois
à la violence...
Aïstolf,
roi Lombard, 3e fils de Pennone, duc de Frioul, succède, en 749, à
Rachis son frère, sur le trône des Lombards. Ses prédécesseurs
ont eu constamment à lutter contre les intrigues et les perfidies
des exarques de Ravenne et des Grecs, qui occupent encore une partie
de l'Italie. Aïstolf résout de les en chasser.
Les
rois lombards, sans doute à cause de la grande indépendance de
leurs feudataires, ne peuvent jamais rassembler leurs armées à
temps pour résister à une invasion, mais, après la retraite du roi
franc, Aïstolf trouve ses sujets non moins honteux que lui de la
paix qu'il a été contraint à signer, il reprend les hostilités.
Aïstolf, renversé par un sanglier, en 756, meurt de ses blessures,
3 jours après sa chute, sans laisser d'enfants.
Étienne
(Stephanus) naît en 715 dans une famille aristocratique de
Rome.
Diacre-cardinal, il est élu pape à l'unanimité le 23 mars 752, consacré le 26 mars. Libéré du joug de l’Empire Byzantin, Étienne III ou II (Etienne II (752) a été légitimement élu pape mais il est mort 3 jours après son élection (apoplexie), avant d’avoir été consacré. Pour cette raison, il n’est pas considéré comme pape, et il ne figure pas dans l’édition de 1961 de l’Annuaire pontifical. Cependant, la constitution apostolique Romano Pontifici Eligendo, promulguée par le pape Paul VI le 1er octobre 1975, a réaffirmé que le pontificat commence dès l'élection, conformément au concile du Latran, réuni le 13 avril 1059 par Nicolas II, lequel a décrété que le pape possède toute l'autorité pontificale dès son élection, c’est la raison pour laquelle 2 numéros sont donnés pour les Étienne qui le suivent, le numéro entre parenthèses reflétant l’opinion ancienne.) est le premier souverain des États Pontificaux. C'est le début du pouvoir temporel des papes.
Le Souverain Pontife est donc officiellement devenu chef d’État. Mais ce n’est qu’un début : Il faut faire vivre et développer ce qui a été créé sous la pression des circonstances. Or la vie même de la nouvelle Respublica Romanorum est à la merci du roi Lombard...
Diacre-cardinal, il est élu pape à l'unanimité le 23 mars 752, consacré le 26 mars. Libéré du joug de l’Empire Byzantin, Étienne III ou II (Etienne II (752) a été légitimement élu pape mais il est mort 3 jours après son élection (apoplexie), avant d’avoir été consacré. Pour cette raison, il n’est pas considéré comme pape, et il ne figure pas dans l’édition de 1961 de l’Annuaire pontifical. Cependant, la constitution apostolique Romano Pontifici Eligendo, promulguée par le pape Paul VI le 1er octobre 1975, a réaffirmé que le pontificat commence dès l'élection, conformément au concile du Latran, réuni le 13 avril 1059 par Nicolas II, lequel a décrété que le pape possède toute l'autorité pontificale dès son élection, c’est la raison pour laquelle 2 numéros sont donnés pour les Étienne qui le suivent, le numéro entre parenthèses reflétant l’opinion ancienne.) est le premier souverain des États Pontificaux. C'est le début du pouvoir temporel des papes.
Le Souverain Pontife est donc officiellement devenu chef d’État. Mais ce n’est qu’un début : Il faut faire vivre et développer ce qui a été créé sous la pression des circonstances. Or la vie même de la nouvelle Respublica Romanorum est à la merci du roi Lombard...
Bien
entendu, la « restitution » est opérée, comme il a été
convenu précédemment, en faveur de « Saint Pierre »,
c’est-à-dire de la papauté. Mais il se produit, avant la remise
des territoires, un incident significatif, qui est de nature à
éveiller l’attention de Pépin III sur la gravité de ses
empiétements : Instruit un peu tard des faits qui se sont
déroulés pendant l’été 754, l’empereur de Byzance a dépêché
en Occident 2 hauts fonctionnaires de son palais, chargés de
rappeler le vainqueur des Lombards au respect du droit d’autrui.
Quand
ils débarquent en Italie, Pépin III est de nouveau à la tête de
ses troupes sous les murs de Pavie. C’est là, et non sans
difficulté, que l’un d’eux réussit à le rejoindre et à
s’acquitter de son mandat, réclamant d’avance pour son maître
les villes de l’Exarchat que le roi Franc vient de ressaisir et
offre de l’indemniser de sa peine. Nous ne connaissons la scène
que par le témoignage très partial du biographe officiel d’Étienne
II : A l’entendre, Pépin III se serait contenté de répondre
qu’à aucun prix il ne distrairait les villes réclamées par
l’empereur des domaines de Saint Pierre, par amour de qui il a
combattu et à qui il les a déjà « données ».
Quoi
qu’il en soit, mis nettement cette fois en face d’une situation
juridique d’une clarté parfaite. Pépin III n’hésite pas à
prendre ses responsabilités et, sans s’émouvoir autrement,
confirme, après la défaite d’Aïstolf, la « cession »
que, 2 années auparavant, il a faite au Saint-Siège.
Et
comment, à tout bien peser, aurait-il pu être arrêté par les
réclamations du basileus ?
Celui-ci
a le droit pour lui, mais est-ce le moment de discuter une question
de droit quand il s’agit de savoir, non pas si les provinces visées
lui restent, puisqu’il a renoncé à les défendre, mais si elles
tomberont au pouvoir du pape ou au pouvoir des Lombards ?
PEPIN
LE BREF LIBERE ROME - Free
chrisagde.free.fr/carolingiens/pepin3.htm
(754
- 756). Comme il l'a promis au pape Etienne II lors des cérémonies
de renouvellement de son sacre, Pépin le Bref lance ses armées
contre les Lombards ...
Etienne
II, pape.
www.cosmovisions.com/EtienneIIPape.htm
Dictionnaire
biographique : Etienne II. ... Sa mission n'était pas encore
terminée lorsque Astaulf mourut, au commencement de 756. Etienne,
qui n'avait pas ...
Les
Origines du pouvoir temporel de la Papauté - Wikisource
fr.wikisource.org/.../Les_Origines_du_pouvoir_temporel_de_la_Papauté
4
sept. 2011 - Pour gagner du temps, le pape Étienne II essaie de
négocier ; mais sans .... En 756, l'année franque s'ébranla
derechef dans la direction des ...
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