samedi 11 avril 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 770

9 AVRIL 2015...

Cette page concerne l'année 771 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !


L'impératrice Kōken (孝謙天皇, Kōken Tennō, 718 - 28 août 770), qui a régné une seconde fois sous le nom de Shōtoku (称徳天皇, Shōtoku Tennō?) est à la fois le 46e et le 48e Empereur du Japon, selon l'ordre traditionnel de la succession. Fille unique de l'empereur Shōmu (régnant de 724 à 749 et mort en 756) et de l'impératrice-consort Kōmyō, son nom de naissance est Abe.

Kōken monte sur le trône en 749 lorsque son père abdique en sa faveur, mais dans les faits, ce dernier continue à contrôler le gouvernement... Durant son règne, elle a notamment ordonné la construction du Daibutsu du Tōdai-ji. En 758, elle cède le trône à un cousin, le prince Ōi, fils du prince Toneri (lui-même fils de l'empereur Temmu), qui devient l'empereur Junnin, elle se retire pour devenir religieuse, sous le nom de Takano Tennō.

En 761, le moine bouddhiste Dōkyō la guérit et acquiert sur elle une grande influence. Il manœuvre pour la faire remonter sur le trône, et en 764 elle dépose Junnin, et remonte sur le trône sous le nom de Shōtoku, sans renoncer à ses vœux bouddhistes, ce qui crée un précédent.
Contre l'avis de ses ministres, elle donne à Dōkyō le titre de daijō daijin zenji, puis de hō-ō, ce qui fait de lui l'héritier du trône... Shōtoku règne jusqu'à sa mort, due à la variole en 770.

À cause de l'influence que Dōkyō a eu sur Shōtoku, les ministres déclarent alors les femmes inaptes à régner et décident qu'il ne pourrait plus y avoir d'impératrice régnante.
L'influence des moines de Nara ne cessant cependant pas d'augmenter, l'empereur Kammu décide en 784 de déplacer la capitale.

Elle ne doit pas être confondue avec le prince Shōtoku (572-622), qui a été l'un des premiers à promouvoir le bouddhisme au Japon.
749 (Tenpyō-shōhō) : L'empereur Shōmu abdique et sa fille reçoit la succession (senso). Peu après, l'impératrice Kōken accède formellement au trône (sokui).
  • 749 (Tenpyō-shōhō) : Intronisation de l'impératrice Kōken, l'ère Tenpyō-kanpō gannen est remplacée par une nouvelle ère.
  • 752 (Tenpyō-shōhō, 4e mois) : La cérémonie d'ouverture des yeux pour célébrer l'achèvement du Grand Bouddha a lieu au temple bouddhiste Tōdai-ji à Nara.
  • 5 septembre 750 (Tenpyō-shōhō,1er jour du 8e mois): Abdication de l'impératrice dans la dixième année du règne (称徳天皇10), la succession (senso) est reçue par son fils adoptif, l'empereur Junnin qui accède au trône peu après (sokui).

Koken-Tenno (718-770) impératrice du Japon (749-758 et 764-770)
Dernière impératrice à régner sur le Japon jusqu'au XVIIe siècle, Kōken-tennō occupe le trône à deux reprises (749-758 et 764-770). Un certain nombre de femmes ont gouverné avant elle, mais le pouvoir auquel accède le moine bouddhiste Dōkyō sous son second règne amène les ministres à écarter par la suite toute femme de la succession au trône.
Fille de l'empereur Shômu, née en 718 à Nara, Kōken devient impératrice en août 749, sous le nom de Kōken-tennō, lorsque son père abdique. Neuf ans plus tard, elle renonce à son tour au pouvoir en faveur du prince Oi, qui règne sous le nom d'empereur Junnin.

En 761, elle rencontre le moine Dōkyō alors qu'il prêche au palais impérial. Ses tentatives pour promouvoir l'ascension de ce dernier, qui a été son amant, le fait entrer en conflit avec le ministre favori de Junnin, le puissant Oshikatsu (ou Fujiwara no Nakamaro).

En 764, ces dissensions dégénèrent en une guerre civile au cours de laquelle Oshikatsu est tué et Junnin déposé. L'impératrice Kōken remonte alors sur le trône, sous le nom de Shōtoku-tennō. Si Dōkyō contrôle de fait le gouvernement sous ce second règne, ses tentatives pour devenir empereur à la mort de Shōtoku, le 28 août 770 à Nara, lui vaudront d'être banni de la capitale.

Communication sur les fouilles du palais de Nara par Madeleine David.
Il s'agit ici d'une entreprise gigantesque qui n'en est qu'à ses débuts. A 2 reprises, en 1963 et 1969, une occasion d'être sur le site donne quelque idée des résultats déjà obtenus. Ces résultats apportent sur l'histoire et la civilisation Japonaises au VIIIe siècle de notre ère des lumières encore insoupçonnées.

En 708, l'impératrice du Japon, Gemmei, promulgue un édit annonçant la fondation d'une nouvelle capitale, Heijô-kyô (la capitale de la Paix), dans la plaine de Nara. L'établissement de cette cité nouvelle qui doit rester le siège du gouvernement Japonais jusqu'en 784, est un pas de plus vers la consolidation d'un gouvernement centralisé à la mode Chinoise, but de la cour Japonaise depuis près de 50 ans. Il y a alors un peu plus d'un siècle que, par la reconnaissance du Bouddhisme en tant que religion officielle, les souverains du Yamato ont résolument opté pour la civilisation du continent. Des ambassades se rendent en Chine, accompagnées d'un nombreux personnel de moines et d'étudiants allant s'initier à la culture, aux diverses techniques et aux procédés de gouvernement du Grand Empire T'ang, fondé en 618 et dont le rayonnement s'exerce sur toute l'Asie. A l'assujettissement plus ou moins lâche de clans turbulents succédent des institutions plus rigides, un système de lois et de statuts organiques permettant la perception de tributs et de taxes, la contrainte de la paysannerie aux corvées d'État et exigeant, de ce fait, un recensement de la population ainsi que l'organisation des transports pour la collecte des impôts.

Ces différentes mesures ont été envisagées dès 645, lors de la réforme de Taika, complétée, en 701, par celle deT'ai-hô. Jusqu'alors, les empereurs ont a pour habitude d'ériger une nouvelle demeure, lors de leur avènement, et de la transférer ailleurs s'ils le jugent nécessaire. C'est ainsi que la cour a, depuis un siècle, passé successivement d'Asuka, au Sud de la plaine du Yamato, à Fujiwara, un peu plus au Nord, en passant par Naniwa, près d'Osaka.

C'est au Nord de Fujiwara où ont résidé les trois derniers souverains que doit être installée la ville nouvelle, en un point où la plaine s'élargit et où le système fluvial permet d'atteindre aisément la Mer Intérieure.
La largeur de la plaine, à cet endroit, est favorable à l'expansion d'une cité, car dans la nouvelle capitale sont, pour la première fois, prévue, non seulement la résidence impériale ainsi que les offices gouvernementaux mais aussi une organisation citadine, fort nouvelle au Japon et qui s'inspire de celle des villes chinoises.

C'est ainsi qu'entre 708 et, 715, un immense travail d'aménagement du terrain est accompli afin de permettre la construction d'une ville conçue, comme le sont en Chine les capitales impériales, sur un plan en damier dont l'orientation strictement géométrique est censée refléter sur le plan terrestre l'organisation idéale du cosmos.
L'axe principal est une grande voie nord-sud, la voie du Moineau Rouge, qui donne accès au palais impérial.
De part et d'autre de cette voie, s'étendent les villes est et ouest, divisées en 78 quartiers par neuf voies est-ouest et 10 voies nord- sud. Un marché est aménagé dans chacune de ces moitiés de la cité et un quartier subsidiaire doit se développer vers l'Est autour des grandes fondations pieuses des souverains qui dominent ce siècle...
Il s'agit de l'empereur Shômu qui règne de 724 à 749 fondateur du monastère du Tôdaiji, grand centre du Bouddhisme Japonais, et de son épouse, l'impératrice Kômyô qui favorise l'expansion de deux autres temples, l'un bouddhique, le Kôfukuji, l'autre, le Kasuga-jinja, relevant de la religion autochtone du Shinto, tous deux fondés par son père, Fujiwara no Fubitô.

Ce quartier subsidiaire, devenu la ville actuelle de Nara, est le seul qui se soit perpétué jusqu'à nos jours grâce aux pèlerinages qu'attirent ces grands monastères. déchu, la grande capitale du VIIIe siècle à peine 100 ans plus tard, disparaît sous les rizières.
Si on compare Heijô-kyô et Tch'ang-ngan, on constate que l'ampleur de la première ne correspond pas à celle du modèle. Mais, considérant les moyens dont dispose une dynastie encore mal assurée sur un territoire d'autant plus restreint que le Nord du pays échappe encore à sa domination, nous pouvons mesurer l'ampleur de l'effort accompli...
Tch'ang-ngan s'étend d'Est en Ouest sur 9 km. 550 et du Nord au Sud sur 8 km. 220, soit un périmètre d'environ 17 kilomètres.
Heijô, la capitale sise à Nara, mesure d'Est en Ouest 4 km. 300 et du Nord au Sud, 4 km. 800, soit un périmètre de 9 kilomètres.
On voit qu'il s'agit, à peu près, de la moitié de la superficie de la capitale Chinoise. De même, la voie du Moineau Rouge a à Tch'ang-ngan 150 mètres de largeur et 85 mètres à Heijô. Enfin, des fouilles récentes pratiquées dans l'ancienne cité Chinoise ont révélé l'existence d'une muraille extérieure de 35 km. 500 de développement, large de 20 mètres à la base et haute de 5 mètres tandis que l'on ignore encore si une telle enceinte extérieure existe à Heijô, le fait semblant d'ailleurs fort improbable.

Pendant de longs siècles, l'ancienne cité est complètement oubliée. Puis, au milieu du XIXe siècle, un employé subalterne des daimyôs ou seigneurs d'Ise, de qui dépend Nara, un nommé Kitausa Sadama, entreprend de retrouver les limites de l'ancienne capitale. Se basant sur des documents conservés dans les monastères avoisinants : Contrats de ventes ou de locations de rizières, Kitausa procède à des mensurations et, en 1852, il établit une carte du site.
Cette carte doit servir de base aux recherches entreprises à partir de 1900 par le professeur Sekinô Tei, alors architecte au service de la préfecture de Nara et qui doit devenir une autorité mondiale en matière d'histoire de l'architecture, non seulement du Japon, mais de la Chine et de la Corée.

En étudiant les levées de terre des rizières dont certaines suivent encore le tracé des anciennes avenues, le professeur Sekinô parvient à établir grosso modo les limites de la cité et à déterminer au Nord, entre la première et la deuxième des avenues transversales (Est- Ouest), l'ancien emplacement du palais impérial. Au Nord de la porte du Moineau Rouge, un jardin et, derrière celui-ci, la résidence privée du souverain, tandis qu'un peu plus à l'Est se situent les bâtiments officiels du palais : Pavillon d'audience et pavillons réservés aux hauts fonctionnaires.

En 1952, de nouvelles mesures légales sont prises et la Commission pour la Protection des Biens culturels crée à Nara un Institut d'Archéologie, chargé de réunir la documentation archéologique de l'archipel et, plus spécialement, d'effectuer des travaux de fouilles dans la région du Yamato où se trouve Nara. Une réunion officielle eut lieu à Tôkyô en 1959 et un plan de travail de 10 ans fut établi.
Elles aboutissent en 1965 à l'achat d'une étendue supplémentaire portant à 100 hectares la surface protégée et, vers la fin de 1968, on prévoit encore l'achat d'une nouvelle bande en direction de l'Est, ce qui porte à 120 hectares la superficie du terrain.

Les tuiles recueillies dans cette zone sont semblables à celles de Fujiwara, la résidence impériale antérieure, et doivent remonter à la période de la fondation, vers 710-715.
Sur tout le pourtour du palais, à l'Est, à l'Ouest et au Sud, on a retrouvé trois portes de chaque côté. Celle-ci, située sur façade Sud, à l'Ouest de la porte principale, est moins majestueuse que cette dernière, quoique comportant également 5 entrecolonnements. Les terrasses sont moins importantes aussi avec des toits à deux pans. Chacune de ces portes était destinée à une certaine catégorie de dignitaires ou de fonctionnaires. On n'a pas encore découvert les portes de l'enceinte du Nord...

Le Kojiki est rédigé dans cette période. Ce texte est écrit en idéogrammes Chinois mais avec des mots Japonais. A l'origine, c'est l'empereur Tenmu qui l'a commandé pour légitimer la famille impériale. Ce titre signifie la Chronique de choses anciennes et raconte l'histoire de l'archipel et de la famille impériale, depuis l'origine du monde jusqu'au règne de l'impératrice Suiko. En 712, L'impératrice Genmei fait transcrire par Ô-no-Ason-Yasumaro sous la dictée de Hieda-no-Are, le Teiki, la généalogie de la famille impériale et le Kyuji, contes et légendes anciens. L'ensemble constitue le Kojiki, la plus ancienne chronique et le premier ouvrage littéraire du Japon où pour la première fois les Emishis (les barbares qui ne sont pas sous l'autorité de l'Empereur) sont mentionnés comme les descendants d'un peuple ancien.

Selon le Shoku Nihongi, en 713, la cour impériale ordonne, par décret, aux gouvernements provinciaux, de collecter et communiquer les noms des districts et des cantons, les ressources naturelles et les êtres vivants, la fertilité des sols, l'étymologie des noms géographiques (montagnes, rivières et plaines), et les mythes, légendes et contes populaires racontés par les personnes âgées. Cette compilation est à l'origine du Fudoki. Les noms de lieux doivent être écrits en kanjis ( idéogrammes chinois) et abandonner la toponymie aïnou pour favoriser l'unification ethnique du Japon.

En 733 une famine se déclare au Japon et en 737, une épidémie de variole atteint l'archipel. Les victimes sont nombreuses et la population Japonaise diminue du tiers, l'empereur se tourne vers les monastères. Les 4 fils de Fujiwara no Fuhito sont emportés par la maladie. Le clan Tachibana en profite pour s'imposer à la Cour, en particulier Tachibana no Moroe qui devient ministre de la Droite en 738. Le prince Sazuka, frère du prince Nagaya est choisi pour le poste de Chancelier, le plus important dans le Conseil d’État. Les Fujiwara sont rétrogradés dans leurs carrières et envoyés dans des postes éloignés, ainsi Fujirawa no Hirotsugu est envoyé en 738 à Dazaifu, au nord de l'île de Kiushu. Fujirawa no Hirotsugu est le fils aîné de Fujiwara no Umakai, et en 740 il se sent exilé alors que ses rivaux restent à la capitale (et l'un d'eux fait des avances à sa femme). Il se révolte contre le gouvernement après que sa demande de la démission de ses rivaux n'obtient aucune réponse.
La rébellion de Fujirawa no Hirotsugu 740

C'est un chef militaire doué et également chef de la branche Schikike des Fujiwara. La réaction du pouvoir est la décision de construire un très grand temple afin d'apaiser les dieux. Mais cette initiative donne du renfort au rebelle puisque les familles de paysans de l'île de Kiushu refusent la corvée de construction du temple et soutiennent à présent Fujirawa no Hirotsugu de même que les chefs de districts locaux et les rescapés de la minorité Hayato. Le rebelle tente de se faire soutenir par le royaume Coréen de Sylla. Profitant de sa position officielle à Dazaifu, il réussit à mobiliser entre 10 000 et 15 000 hommes. En rassemblant ses forces autour de Dazaifu et avec les connections du rebelle dans la capitale, il présente une réelle menace pour le gouvernement central.

L'empereur contrarié par la possible participation de Sylla au conflit, réagit en nommant Ono no Azunabito, général d'une armée de 17 000 soldats, recrutés en grande partie au Honshu occidental, riche en archers montés, soit la plus grande armée royale du VIIIe siècle, venant de l'Est ou de l'Ouest du Japon en exceptant l'île de Kiushu. La première initiative de ce gouvernement est d'envoyer dans l'île en reconnaissance des Hayatos pour connaître les forces ennemies. Hirotsugu divise ses forces en 3 corps d'effectifs équivalents, en conduit un et confie les autres à ses deux lieutenants Tsouna-te et Tako-no-Kouro-Mato. Cette armée comporte de l'infanterie et des soldats montés. Ils avancent par des routes différentes vers le détroit qui sépare les îles (Kiushu et Honshu). Le 19 octobre le rebelle s'arrête au Quartier Général du district Oka et recrute des rebelles dans la province de Shikuzen en vue d'attaquer d'attaquer l'île Honshu.

Mais ses plans d'invasion sont ruinés parce que les deux autres corps sont absents. C'est l'armée gouvernementale qui débarque avec succès sur l'île de Kiushu et capture tout de suite des hommes et leur matériel dans les camps de Itabitsu, Torni et Myako. Dès le 20 octobre, des défections se produisent dans l'armée d'Hirotsugu, des soldats changent de camp. En outre, cette armée de l'empereur est renforcée depuis qu'elle s'est mise en marche. Enfin, le 2 novembre, les 10 000 cavaliers qui sont dirigés par Hirotsugu affrontent cette armée à la rivière Itabitsu et sont vaincus. Hirotsugu tente de rallier le royaume de Sylla mais la tempête l'empêche de partir. Il est capturé le 16 novembre dans les Iles Goto. Le 24 novembre, il est décapité.

Pendant ce temps, l'empereur quitte la capitale qu'il laisse aux bons soins d'un géneral et part vers l'est. On peut supposer qu'il craint les partisans des Fujiwara à Nara, (et qu'il espère éviter de pareilles surprises par sa seule présence. L'empereur est Kawaguchi le 25 novembre après 4 jours de voyage sous la pluie. Il apprend l'exécution du rebelle et la fin de la révolte 2 jours plus tard. Mais l'empereur ne revient pas vers la capitale, il reste à Kawaguchi jusqu'au 4 décembre et il continue son voyage vers l'est et atteint le lac Biwa le 6 janvier 741.

L'empereur, bouddhiste zélé, fait don aux monastères des terres incultes non réclamées et les impératrices suivantes imiteront son exemple. La production agricole globale est considérablement augmentée mais ces dons exonérés de taxes affaiblissent la position impériale. Le Trésor s'appauvrit et le petit paysan finit par supporter seul les charges de l’État.

Mais en 764, Fujiwara no Nakamaro est assassiné et Koken Tennô revient sur le trône le 26 janvier 765 en forçant l'empereur à abdiquer. A la Cour, un « parti » se forme qui refuse ce qu'il considère comme une domination étrangère sur les affaires du Japon. En effet, les Chinois exigent le monopole des nominations des supérieurs des grands temples bouddhistes. Les Nobles emmenés par les Fujiwara ne veulent pas en entendre parler et l'opposition envers Shotoku Tennô et Dokyo dure jusqu'à la mort de l'impératrice.

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www.universalis.fr/classification/histoire/...par.../japon-histoire/
Il passe les dernières années de la Seconde Guerre mondiale hors de ..... Lire la suite · KŌKEN-TENNŌ (718-770) impératrice du Japon (749-758 et 764-770).
KŌKEN-TENNŌ (718-770) impératrice du Japon
www.universalis.fr/encyclopedie/koken/
Dernière impératrice à régner sur le Japon jusqu'au xvii e siècle, Kōken-tennō occupa le trône à deux reprises (749-758 et 764-770). Un certain nomb.
Termes manquants : annee
Persée : Les fouilles du palais de Nara (Japon)
www.persee.fr/web/revues/.../crai_0065-0536_1969_num_113_4_1245...
de MV David - ‎1969
En 708, l'impératrice du Japon, Gemmei, promulguait un édit annonçant la ..... Certains abouts de tuiles, les numéros 5 et 6, remonteraient aux années 760-770. ... Chikubo no myôbu, une princesse impériale attachée à l'impératrice Kôken.








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