20
décembre 2016...
Cette
page concerne l'année 135 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
BAR
KOKHBA ET SA RÉVOLTE.
BAR KOKHBA |
Lusius
Quietus est alors nommé gouverneur de la province de Judée (117).
En
Cyrénaïque qui fournit leur chef aux rebelles et en Égypte
(frontalier de la Cyrénaïque) où l'ampleur de la révolte est
considérable, c'est Quintus Marcius Turbo, envoyé de l'empereur
muni de pouvoirs spéciaux, qui massacre les rebelles Juifs.
Â
Chypre et en Égypte, la répression conduit à une
quasi-extermination des Juifs.
La
fondation à Jérusalem, en place de la ville qui a été renversée,
d'une colonie, à laquelle il donne le nom d'Aelia Capitolina, et la
construction d'un nouveau temple dédié à Jupiter en place du
temple de Dieu, donnent naissance à une guerre terrible et qui dure
longtemps. Les Juifs, irrités de voir des étrangers habiter leur
ville et y établir des sacrifices contraires aux leurs, se tiennent
tranquilles tant qu'Adrien est en Égypte et lorsqu'il est retourné
en Syrie, seulement, ils fabriquent mal à dessein les armes qu'on
leur a commandées, afin de pouvoir s'en servir comme d'armes
refusées par les Romains, mais, lorsque le prince est éloigné, ils
se soulevent ouvertement.
Ils
n'osent pas, néanmoins, les affronter en bataille rangée, mais ils
se saisissent des positions favorables et les fortifient de murailles
et de souterrains, qui doivent leur servir de refuges lorsqu'ils sont
refoulés, et assurer entre eux des communications secrètes par
terre, creusant, dans la partie supérieure de leurs routes
souterraines, des ouvertures destinées à leur donner de l'air et du
jour.
Les
Romains, tout d'abord, ne font aucune attention à leur entreprise,
mais, lorsque le mouvement a envahi toute la Judée, et que les Juifs
se mettent à s'agiter et à se réunir, lorsque, en secret et au
grand jour, ils leur ont causé de grands maux, lorsque beaucoup
d'autres nations étrangères, poussées par l'espérance du gain,
embrassent la cause des rebelles, voyant la terre entière, pour
ainsi dire, profiter de l'occasion pour s'ébranler, alors, mais
seulement alors, Adrien envoie contre eux ses meilleurs généraux,
parmi lesquels le premier est Julius Sévérus, qu'il mande de la
Bretagne, où il commande, pour lui confier la guerre contre les
Juifs.
LE MONT MEIRON EN GALILÉE |
Celui-ci
n'ose pas en venir à un engagement face à face avec des ennemis
dont il voit le nombre et le désespoir, mais, les attaquant
séparément, grâce au nombre de ses soldats et de ses lieutenants,
il parvient lentement, en leur coupant les vivres et en les
enserrant, il est vrai, mais sans hasarder ses troupes, à écraser,
à étouffer, à anéantir leur sédition.
Peu
échappent à ce désastre. 50 de leurs places les plus importantes,
955 de leurs bourgs les plus renommés, sont ruinés, 180 000 hommes
sont tués dans les incursions et dans les batailles (on ne peut
calculer le nombre de ceux qui périssent par la faim et par le feu,
en sorte que la Judée presque entière n'est plus qu'un désert,
comme il leur a été prédit avant la guerre : Le monument de
Salomon, que ce peuple a en grande vénération, s'affaisse de
lui-même et s'écroule, des loups et des hyènes en grand nombre
fondent dans les villes avec des hurlements.
Il
envoie Sévérus en Bithynie, où il a besoin, non d'une armée, mais
d'un gouverneur et d'un chef, juste, sage et digne, qualités qui
toutes se trouvent dans Sévérus. Celui-ci règle et administre les
affaires particulières et les affaires publiques de cette province
avec tant de ménagement, que nous avons constamment gardé souvenir
de lui jusqu'à ce jour, la Pamphylie, en place de la Bithynie,est
remise au Sénat et au sort. »
— Dion
Cassius, Histoire romaine, livre 69
Shimon
bar Kokhba (araméen שמעון
בר כוכבא « Simon
le fils de l’Étoile ») est un patriote juif, instigateur et
dirigeant de la deuxième guerre Judéo-Romaine, au IIe siècle.
Après la décision de l'empereur Hadrien de rebâtir Jérusalem
comme une ville romaine, il dirige un soulèvement contre les Romains
de 132 jusqu'à sa mort en 135, après une guerre acharnée qui
laisse la Judée dévastée.
Le
nom de « Bar Kokhba » provient des sources chrétiennes.
On trouve par exemple Βαρχωχεβας
chez Eusèbe de Césarée. Les sources juives utilisent le nom « Ben
Kozevah » (בן
כוזבה)
ou « Ben Koziva » (בן
כוזיבא)N
2. Grâce à l'archéologie, on sait que son nom est en réalité
Shimon Bar (ou Ben) Koseva. Plusieurs lettres écrites par Bar
Kokhba, ou lui étant destinées, ont en effet été mises au jour
dans le désert de Judée, notamment dans la grotte aux lettres du
Nahal Hever. Elles portent son nom ainsi que son titre nassi
(« prince ») d'Israël. Son nom figure aussi sur des
poids émis pendant la révolte.
Les
noms « Bar Kokhba » et « Bar Kozevah » sont
en fait des jeux de mots. Bar Kokhba signifie en araméen « Fils
de l'Étoile ». Ce surnom résulte manifestement d'une
interprétation du verset biblique Nb 24,17 ( « Une étoile est
descendue de Jacob ») auquel la tradition juive donne une
portée messianique, l'étoile de Jacob désignant le Messie.
La
littérature rabbinique a une vision négative de Bar Kokhba et son
nom, Bar Koseva, est déformé en Bar Kozeva (« Fils du
Mensonge »), avec un zayin [z] à la place d'un samekh [s].
Selon
l'archéologue Yigaël Yadin, il y aurait 2 hypothèses concernant le
nom de Kokhba et le nom de Koseva : Soit ce chef de la révolte
s'est d'abord fait appeler Kokhba puis, ayant déçu, on l'aurait
appeler Koseva, soit ce chef se se fait appeler d'abord Koseva, puis
ayant progressivement gagné en charisme son nom se transforme en
Kokhba.
Selon
la tradition Juive, il est reconnu comme le Messie par le plus grand
Sage de son temps, Rabbi Akiva qui participe à la révolte. Ce sage
lui apporte un soutien sans faille. Cependant, lorsque Bar Kokhba
accuse de trahison Rabbi Eléazar (son oncle, selon certaines
sources) et le fait exécuter, Rabbi Akiva cesse de le défendre et
admet publiquement son erreur. Avec l'échec de la révolte de Bar
Kokhba, les rabbins adoptent définitivement une orientation
anti-messianique.
Ils
altèrent le nom Bar Koseva en Bar Kozeva en jouant sur la sonorité
avec le mot hébreu kazav, « mensonge ». De sauveur, il
devient ainsi le « Fils du Mensonge », insistant sur la
citation « un menteur est sorti d'Israël (Lam. R. 11.4) ».
Dans
le Talmud, il est qualifié de faux Messie. Mais selon l’historien
Thierry Murcia (d'accord sur ce point avec J. C. O’Neill) il s'agit
en réalité ici d'une attaque voilée contre Jésus et le
christianisme.
En
dépit de la dévastation et de la ruine dans lesquelles les Romains
ont plongé le pays au cours de la première guerre Judéo-Romaine,
une autre rébellion juive a lieu 60 ans plus tard, malgré
l'opposition d'une partie du clergé.
Bar
Kokhba organise une armée, instaure un État Juif indépendant en
terre de Judée, projette de reconstruire le Temple et fait battre
monnaie.
Les
Romains, faisant face à une force Juive fortement unifiée et
motivée, sont complètement pris au dépourvu. L'annihilation d'une
légion Romaine entière avec ses auxiliaires oblige Rome à expédier
pas moins de douze légions, ce qui représente entre le tiers et la
moitié de toute l'armée Romaine, pour reconquérir la province
rebelle.
Désavantagés
par le nombre et subissant de lourdes pertes, les Romains décident
de pratiquer une tactique de terre brûlée, qui décime la
population Judéenne et entame petit à petit son moral et sa
détermination à poursuivre la guerre.
Bar
Kokhba se replie dans la forteresse de Betar, au sud-ouest de
Jérusalem, mais les Romains finissent par la prendre, et massacrent
tous ses défenseurs en 135.
À
la suite de la défaite de Bar Kokhba, Jérusalem est rasée,
interdite aux Juifs, et une nouvelle ville romaine, Ælia Capitolina,
est bâtie sur son site.
S'ils
infligent à la Judée une amère défaite, la victoire des Romains
n'a cependant pas un goût de triomphe :
Hadrien,
lorsqu'il s'adresse au Sénat, ne commence pas par le traditionnel
« Moi et mon armée nous portons bien », et refuse
l'entrée triomphale à Rome, le seul cas rapporté dans l'histoire
de Rome.
Devenu
empereur, Hadrien renomme la province Romaine de Judée en
Syrie-Palestine, pour la distinguer de la Syrie, et utiliser le nom
des Philistins, afin d'humilier la population Juive et d'effacer un
pan de leur histoire en réattribuant à la Terre de Judée le nom de
ses ennemis. (c'est encore le cas
aujourd'hui où certains se gargarise de ce nom de Palestine donné
il y a presque 2 000 ans par dérision)
En
1960, une partie de la correspondance de Bar Kokhba a été retrouvée
dans la grotte de Nahal Hever près de la Mer Morte, ce qui a permis
de faire la lumière sur sa révolte. Ces lettres sont aujourd'hui
exposées au Musée d'Israël.
Cette
correspondance a fait l'objet d'une étude universitaire en 2005 et
2006 qui révèle que Bar Kokhba n'est attaché à aucun des courants
Israélite de l'époque, ce qui révèle la nature charismatique du
pouvoir de ce chef de la révolte.
Bar
Kokhba est le héros éponyme d'une opérette d'Abraham Goldfaden,
composée entre 1883 et 1885, lors de la montée des pogroms suivant
l'assassinat du tsar Alexandre II en 1881, alors que monte une
tendance franchement hostile à l'émancipation des Juifs.
GROTTE DE KOKHBA |
Une
autre opérette sur Bar Kokhba fut écrite en Palestine Britannique
dans les années 1920 par le compositeur Russe émigré Yaacov
Bilansky Levanon.
Un
album intitulé Bar Kokhba a été enregistré par le John Zorn's
Masada Chamber Ensemble. Sa pochette montre une photographie de la
Lettre de Bar Kokhba à Yeshua fils de Galgola.
L'histoire
politique du peuple Juif durant les années qui ont suivi la mort de
Jésus est sombre. C'est celle d'une escalade de la violence
provoquée par la révolte contre l'occupation Romaine, de son échec
et de ses conséquences dramatiques pour la nation israélite.
L’échec
de la rébellion de Bar-Kokhba marque la fin définitive de l’État
Hébreu ancien. De nouveaux massacres de Juifs sont perpétrés en
136, accompagnés de destructions de nombreuses villes Juives.
La
Jérusalem Romaine est renommée Aelia Capitolina par Hadrien, et la
population Juive y est interdite. Le peuple Hébreu est massivement
expulsé de son pays, et contraint de se disperser dans tout le
pourtour méditerranéen, inaugurant une situation d’exil qui va
durer 19 siècles : C'est la « Diaspora », ou
dispersion. Elle doit durer jusqu'au XXe siècle et à l'apparition
du mouvement sioniste qui se concrétise par la création du nouvel
État d'Israël en 1948...
La
dernière révolte juive de 132 menée par Bar-Kokhba est connue
grâce aux sources historiques, ainsi que par des documents trouvés
dans des grottes proches de la mer Morte.
CESAREE |
En
1960, l’équipe de Yigael Yadin découvre une caverne au fond d’un
vallon asséché, le Nahal Hever. Sur le flanc d'une paroi abrupte,
les archéologues explorent la grotte formée de trois cavités
naturelles successives, reliées par d'étroits boyaux.
La
dernière est un caveau funéraire où reposent des ossements humains
disposés d’une étrange manière.
Les
crânes sont placés dans des paniers, à côté desquels sont rangés
les corps couchés sous des piles de vêtements.
Toutefois
le plus intéressant est la présence dans cette grotte de plusieurs
dizaines de documents manuscrits, écrits de la main de Bar-Kokhba en
personne. Les « lettres de Bar Kokhba » nous dévoilent
les détails de ses plans de guerre, ainsi que des instructions
relatives aux préparatifs de la fête juive de Sukkot. La grande
piété de Bar Kokhba est connue, et a même incité certains milieux
juifs à le considérer comme le Messie et le libérateur d'Israël...
L’Histoire a remplacé ce rêve par une tragique désillusion.
Pour
terminer sur une note un peu plus positive, on rappellera une
personnalité étrangère peu connue mais qui a tenté de soutenir
l’État juif.
Si
l'on se rend aujourd'hui dans la banlieue nord de Jérusalem, à 800
mètres de la porte de Damas, on remarque sur la grille d'un portail
un écriteau indiquant en langue française l'entrée d'un parc
archéologique : « République Française - Tombeau des
rois ». Il s'agit d'un terrain sur lequel est creusée l'une
des plus prestigieuses nécropoles antiques de Palestine.
Le
site est d'abord fouillé en 1863 par le Français Louis-Félicien de
Saulcy, puis en 1867 par Charles Clermont-Ganneau, offert au consul
de France en 1886 par les frères Péreire, banquiers de leur état.
Un
large escalier de plein air taillé dans le calcaire descend vers une
petite porte latérale, donnant accès à une vaste cour creusée à
ciel ouvert. Au fond de cet espace apparaît une large ouverture
rectangulaire, taillée dans la paroi rocheuse et abritant une sorte
de porche.
Les
contours très abîmés de ce portail monumental portent encore des
restes de frises sculptées.
Les
premiers archéologues s'imaginent être en présence du sépulcre de
personnages prestigieux comme le roi David, et s'attendent dès lors
à y trouver des trésors fabuleux.
Pour
pénétrer à l'intérieur de la nécropole, de Saulcy et son équipe
doivent franchir, sous l'imposant portail de pierre, un passage
étroit fermé par une grande pierre ronde roulant dans une
glissière.
Ils
se trouvent alors dans un vaste ensemble souterrain de chambres
funéraires communicantes, réparties sur deux niveaux.
Quelques
niches funéraires vides sont creusées dans les parois. Mais la
nécropole est vide de toute richesse ou mobilier de valeur. On
dégage seulement 4 lourds cercueils de pierre, qui sont extraits de
la nécropole.
La
salle la plus reculée du complexe, que l'on atteignait à l'étage
inférieur après avoir parcouru un étroit couloir, est visiblement
conçue pour ne contenir qu'un seul corps. Seuls 2 fragments d’un
sarcophage de pierre finement sculptés jonchent le sol.
3
jours après le début des fouilles, un ouvrier remarque une pierre
qui émerge du sol de l'une des chambres. On creuse tout autour et on
dégage un sarcophage de calcaire intact, fermé par un couvercle et
orné de motifs géométriques simples.
Sur
l'un de ses flancs sont gravées deux courtes inscriptions antiques.
La
même expression est tracée en araméen et en hébreu : Tsadan
malchata, que de Saulcy traduisit par : « la reine
Tsadah ».
L'existence
de ce personnage est jusque-là inconnue. En soulevant le couvercle,
les explorateurs trouvent le corps d'une jeune femme enveloppé dans
un tissu brodé de fils d'or.
Le
sarcophage est extrait de la nécropole, puis transporté en France
jusqu'au musée du Louvre où est encore conservé.
Il
s'avère après expertise que l'ensemble du site ne date que du Ier
siècle de notre ère, il est donc loin d'avoir pu ensevelir les
premiers rois d’Israël.
Pour
qui cette riche nécropole a-t-elle donc été construite ? Puisqu'il
s'agit manifestement d'une tombe royale, on fait le rapprochement
avec une souveraine d'origine étrangère qui a effectivement vécu à
Jérusalem au Ier siècle : Hélène d'Adiabène.
LE SARCOPHAGE D’HÉLÈNE D'ADIABENE |
L'histoire
étonnante de cette souveraine est rapportée dans les écrits de
Flavius Josèphe et dans le Talmud.
Au
Ier siècle de notre ère, le petit royaume appelé Adiabène occupe
une partie du Nord de l'Irak actuel.
Autour
de l'an 30, la reine Hélène se convertit au judaïsme, s'installe à
Jérusalem vers 46 et apporte plusieurs fois son soutien au peuple
Hébreu. Plus tard, ses deux fils et successeurs tenteront de
secourir Jérusalem lors de la première révolte Juive.
Hélène
décède vers 58. Elle est inhumée à Jérusalem, où elle s'est
faite construire un majestueux complexe funéraire. Ce monument
impressionne le géographe Grec Pausanias au IIe siècle, qui parle
d'une nécropole somptueuse surmontée de 3 petites pyramides et dont
l'entrée est munie d'un mécanisme d'ouverture sophistiqué.
Le
complexe funéraire encore appelé « tombeau des rois »
est-il celui d'Hélène d'Adiabène et de sa famille ?
Les
descriptions de la sépulture d'Hélène faites par Josèphe et
Pausanias lui correspondent plus ou moins.
La
distance à la ville semble correcte.
Des
trois pyramides, il ne reste aucune trace significative.
Peut-être
le mécanisme d'ouverture concerne-t-il la pierre roulante qui doit
être déplacée.
Par
ailleurs, la reine Tsadah est décédée trop jeune pour s'identifier
à Hélène d'Adiabène.
LE TOMBEAU DES ROIS. |
Bien
que des doutes planent encore sur l'attribution de ce complexe à la
famille royale d'Adiabène, cette interprétation demeure la plus
courante. Quoi qu'il en soit, l'histoire du séjour de cette
souveraine à Jérusalem enrichit le patrimoine de la Ville Sainte et
honore sa mémoire.
Révolte
de Bar Kokhba — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Révolte_de_Bar_Kokhba
La
Judée au I er siècle de l'ère chrétienne. Informations générales.
Date, 132 à 135. Lieu, Judée, Iudaea (province romaine),
aujourd'hui Israël et Palestine. Issue, Victoire de l'Empire romain.
Belligérants. Empire romain · Juifs de Iudaea. Commandants. Hadrien
Sextus Julius Severus · Simon Bar Kokhba, ... Elle a duré au moins
trois années pleines et a été prise très au sérieux par ...
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19/02/17
La
fin de l'Etat hébreu - Bible et archéologie
bible.archeologie.free.fr/etathebreu.html
L'histoire
politique du peuple juif durant les années qui ont suivi la mort de
Jésus est sombre. .... Trois ans plus tard (135), l'armée romaine
renforcée par douze légions reprit ... La légende indique "Shimon
(Bar-Kokhba), chef d'Israël".
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