jeudi 9 février 2017

EN REMONTANT LE TEMPS... 148


8 DÉCEMBRE 2016...
Cette page concerne l'année 148 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

DÉPENDANCE DES JEUX AU CALENDRIER LE LA ROME ANTIQUE.

En l'an 17 avant Jésus-Christ, Auguste confie au jurisconsulte Ateius Capito l'interprétation des Livres Sibyllins et le charge de déterminer la date des jeux séculaires dédiés aux dieux Phoebus et Trivia (Apollon et Diane) et célébrés au théâtre de Marcellus.
Toutefois, selon les Livres Sibyllins, ils doivent être célébrés en l'an 16... Ce sont les prêtres quindecimuiri sacris faciundis (auparavant duumuiri et decemuiri) qui les organisent. Tous les cent ans, en principe, sont alors célébrés les saeculares ludi, marquant le renouvellement de la cité et consacrés aux divinités des morts.
D'ailleurs, l'empire Romain se maintiendra dans toute sa gloire, tant que ces fêtes seront exactement célébrées.
Or, les différents peuples d'Italie ne s'accordent pas sur la signification du mot siècle. Il représente pour eux la plus longue durée de la vie humaine, et chacun évalue cette durée à sa façon...
Pour les Latins, elle vaut 100 ans. Pour les Étrusques, elle vaut 110 ans.
En réalité, il existe deux sortes de jeux séculaires, ceux qui sont censés fêter le renouvellement des générations (saeculum).
En principe, il n'y a aucun rapport avec l'anniversaire de Rome, mais la règle est que l'on fête une nouvelle ère après la mort du dernier survivant de l'ère précédente... Ce saeculum peut donc dépasser la valeur ronde de 100 ans. Le principe inclue seulement qu'il n'y ait aucun survivant du précédent saeculum quand on fête le nouveau saeculum.

Varron, dans son premier livre des Origines scéniques, s'exprime ainsi :
« Comme il s'est manifesté plusieurs prodiges, et que le mur et la tour qui sont entre la porte Colline et la porte Esquiline viennent d'être frappés par le feu du ciel, les décemvirs, après avoir interrogé les livres sibyllins, déclarent qu'il faut célébrer les jeux séculaires dans le champ de Mars, en l'honneur de Pluton et de Proserpine, et immoler des victimes noires à ces divinités, ajoutant que ces jeux doivent être renouvelés tous les 100 ans. »

Tite-Live souligne aussi au livre CXXXVI : « Dans la même année, César fait revivre avec une grande pompe l'institution des jeux séculaires, qu'il est d'usage de célébrer tous les 100 ans, c'est-à-dire à la fin de chaque siècle. »

Un passage de Suétone dans la Vie du divin Claude explique cela :
« Claude célèbre les jeux séculaires, sous prétexte qu'Auguste les a fêtés trop tôt, avant leur date normale, et pourtant lui-même proclame dans son Histoire que la succession régulière de ces jeux, qui ont été longtemps suspendus, est rétablie par Auguste, après avoir fait très scrupuleusement le compte des années. Aussi raille-t-on la formule consacrée que le crieur public dit pour inviter à ces jeux que personne n'a vus et ne doit revoir, puisqu'il existe encore à ce moment des personnes qui ont assisté aux précédents jeux et que certains histrions qui se sont autrefois produits sur scène y figurent de nouveau.

Les jeux séculaires, initialement institués par Valerius Publicola, premier consul après l'expulsion des Tarquins, se tiennent en :
  • 17 avant J.-C. sous Auguste.
  • 88 sous Domitien, soit 104 ans après ceux d'Auguste.
  • 204 sous Septime Sévère, soit 116 ans après ceux de Domitien et 220 ans après ceux d'Auguste.
On obtient ainsi deux fois le saeculum de 110 ans. L'auteur païen Aurélius Victor se plaint que Constantin n'ait pas célébré de jeux séculaires vers 314.

Quant à Claude, il institue les jeux centenaires anniversaires de Rome, qu'on appela aussi Jeux Séculaires, en posant pour principe qu'un saeculum vaut 100 ans de Rome. Ils se fêtent lors des Parilia, fêtes en l'honneur du protecteur des troupeaux Palès, le 21 avril. Le rituel, assez compliqué, consiste en 3 jours et 3 nuits de sacrifices et de jeux de scène archaïques, puis de 7 jours supplémentaires de divertissements plus « modernes » au théâtre et au cirque.
Les Jeux Séculaires eurent lieu en :
  • 47 après J.-C. sous Claude.
  • 147 après J.-C. sous Antonin le Pieux.
  • 248 après J.-C. sous Philippe l'Arabe.
Ces derniers sont aussi les Jeux du Millénaire de Rome. Rappelons que Paul Petit, dans son Histoire générale de l'empire Romain, dit que l'on n'hésite pas à faire quelques entorses au comput lorsque d'un point de vue politique il peut être intéressant de les célébrer.
Aussi se chevauchent deux computs séculaires qui n'ont rien à voir, au fond...

À Rome, les jeux du cirque commencent par une procession solennelle qui mènent les hommes et les dieux du Capitole au Grand Cirque. L’importance du rôle qu’y joue le magistrat chargé d’organiser les festivités, revêtu d’un costume similaire à celui du général triomphant et entouré de ses affiliés et des autres magistrats, a déjà été bien souligné. En revanche, sa place dans l’ordonnance du cortège reste à définir précisément.
En se fondant sur une relecture attentive d’un célèbre passage de Denys d’Halicarnasse et sur le témoignage fondamental des actes épigraphiques des Jeux séculaires sévériens, cet article propose de donner à l’editor sa juste place, loin derrière les cohortes d’adolescents, les athlètes, les ludions, les victimes sacrificielles et les musiciens, juste devant les statues des dieux, de façon à mieux comprendre le fonctionnement de la cérémonie, aussi bien d’un point de vue rituel que politique.

Un passage célèbre de Denys d’Halicarnasse renseigne sur la composition et l’ordre de la procession d’ouverture des jeux à Rome, la pompa circensis, qui mène les dieux et les hommes du Capitole au Cirque Maxime. Ce texte complexe a déjà été très souvent commenté, notamment la difficile question des sources utilisées par Denys pour sa description, et celle non moins délicate d’une possible origine étrusque de la cérémonie.

Où se trouve l’editor, le magistrat chargé de l’organisation des jeux ?
La lecture habituelle et les traductions courantes font supposer qu’il se trouve en tête de la procession, et cette opinion est si communément répandue, qu’à ma connaissance, aucun savant n’a pensé le placer ailleurs.
Or, une lecture attentive du texte de Denys incite à proposer une autre hypothèse : L’editor se trouve après les cohortes de iuvenes, les athlètes, les ludions, les victimes sacrificielles et les musiciens.
Il se trouve en revanche devant la multitude des statues des dieux portées sur les épaules des citoyens ou sur des fercula.
En effet, cette disposition est non seulement conforme à la lettre du texte de Denys, mais elle est cohérente avec ce que nous savons des caractéristiques de la pompa circensis et de ses similitudes avec la procession triomphale.
Surtout, cet ordre de marche est confirmé par les commentaires sévériens des Jeux séculaires qui nous donnent une image très précise de la mise en place de la procession d’ouverture des jeux honoraires, après les sacrifices à Apollon et à Diane le 3e jour des cérémonies. Enfin, donner à l’editor sa juste place dans le cortège permet de comprendre le risque d’instauratio et d’envisager la cérémonie à la fois dans sa dimension rituelle et dans ses enjeux politiques.
Denys d’Halicarnasse, VII, 71, 1-2. 4 Voir F. Dupont (2006), p. 206.

L’essentiel de la description de Denys ne pose pas de difficulté particulière, si l’on veut bien faire abstraction des digressions visant à prouver le caractère grec des éléments constitutifs de la procession. Denys s’émerveille de cette fastueuse et exubérante altérité qui se déploie devant lui et cherche à la replacer dans les cadres explicatifs qu’il connaît, c’est à dire ceux de l’hellénisme. La thèse centrale des Antiquités Romaines trouve ici un cadre privilégié, et si certains éléments sont décidément irréductibles au monde grec, il faut au moins qu’ils soient étrusques.
Denys, selon ses propres dires, se fonde sur Fabius Pictor pour donner une description des jeux votifs d’Aulus Postumius voués lors de la guerre latine en 499 avant notre ère. Même en admettant que Denys suive effectivement Fabius Pictor et qu’il lui soit fidèle, il est plus que probable que ce dernier ait donné une description plus proche des processions des jeux du cirque telles qu’elles ont lieu à la fin du IIIe siècle avant notre ère plutôt que de celles du début du Ve siècle.
De la même façon, Denys a certainement été influencé autant par ses lectures que par ce dont il a pu être témoin lors de son séjour à Rome.
Les enfants des Romains ouvrent la marche », puis viennent les chars et leurs conducteurs, les athlètes, des danseurs en armes, des satyres, les musiciens, les porteurs de vases à l’usage des sacrifices, et enfin les statues des dieux élevées sur les épaules des citoyens.
Ce passage est d’une fausse précision, car il donne de la procession une image qui paraît complète et cohérente alors qu’en réalité Denys sélectionne les informations afin de renforcer sa thèse.
La première difficulté consiste à déterminer qui se trouve en tête du cortège processionnel. La lecture habituelle est que les premiers magistrats de Rome « mènent » la procession, et on en déduit qu’ils ouvrent la marche. C’est sur ces quelques mots que se concentre le problème, et c’est sur leur fondement que l’on place habituellement l’editor devant tous les autres participants.

La 2e difficulté consiste maintenant à placer l’editor dans le cortège processionnel. L’édile qui donne et préside les jeux depuis au moins 367 est entouré de ses affiliés et des autres magistrats. Où se trouve-t-il, s’il n’est pas devant ?
Juvénal indique que devant l’editor se trouvent des musiciens, et que le cortège des Quirites dont il s’est assuré la fidélité par des sportules marche derrière lui. Surtout, il établit que l’editor (un préteur à l’époque de Juvénal) porte la même tenue que le général victorieux au cours du triomphe, la tunica Iouis, et comme lui juché sur un char, le visage passé au rouge minium, ressemblant en tout point à la statue de Jupiter au Capitole.
Cette ressemblance n’est pas le signe d’une incarnation de la divinité ou d’une iconisation du magistrat mais traduit simplement, comme le montre John Scheid, qu’editor et triumphator servent de support à un certain nombre de traits évoquant sans ambiguïté la présence de Jupiter et de sa souveraineté.

Dans le cas du triomphe, dont la composition et l’ordre de marche sont bien connus, le général victorieux ne se trouve pas en tête de cortège, mais derrière le butin, les prisonniers et les victimes sacrificielles. Il est escorté de ses proches et de ses appariteurs.
Derrière lui marchent les soldats, couronnés et porteurs de branches de laurier. Si nous suivons ce modèle dans le cas de la pompa circensis, l’editor peut se trouver de la même façon derrière les cohortes de iuvenes, les conducteurs de chars, les athlètes, les ludions, les musiciens et les victimes sacrificielles, mais devant les images des dieux.
Cette position au cœur du cortège est un pivot essentiel du mécanisme processionnel.
À la vitalité des jeunes, à la bravoure des danseurs, à l’énergie de la fête, de la farce et du spectacle, répond la puissance de la cité en ordre, représentée par ses magistrats, ses prêtres et ses dieux. Les danses burlesques, la dérision, l’outrance, permettent la transition entre la partie civique du cortège et la partie sacrée, celle où défilent les dieux portés sur des fercula, leurs attributs placés sur les tensae, ce long cortège que nous rappelle Ovide : Voici Victoire, Neptune, Mars, Apollon, Minerve, Cérès et Bacchus/Liber Pater, les Castors et Vénus, auxquels il faut ajouter au moins Consus, Jupiter et Junon, parfois la Magna Mater.

Cette césure entre divertissement et solennité, entre exubérance et ordre, différencie également les éléments de la procession qui se trouvent dans la sphère de la rigueur rituelle, de l’obligation religieuse, où l’on ne doit pas trébucher, fléchir. Où le pas des victimes sacrificielles ne doit pas hésiter, ceux qui sont libérés de cette contrainte et dont la vitalité se transmet aux nombreux spectateurs massés tout au long du parcours processionnel jusqu’au cirque. C’est ce que dit très précisément Cicéron : « Qu’un tibicen se taise soudainement ou qu’un enfant lâche le cordon du char, le rite n’a pas été accompli comme ils se doit, et il faut recourir à l’instauratio ». Les accents des musiciens, derrière les satyres, permettent d’ailleurs de prévenir la foule de l’arrivée de l’editor et des dieux, la partie de la procession où l’observance scrupuleuse de la forme est impérative, mais aussi de couvrir les cris, les bruits de toutes sortes, par définition incontrôlables au cœur de la liesse populaire, mais qui provoqueraient des erreurs ou même une interruption.
Iuvenes, conducteurs de chars, athlètes, danseurs, ludions, musiciens, porteurs des objets nécessaires aux sacrifices, victimes sacrificielles, l’editor et son entourage, constitué des magistrats, des membres des collèges sacerdotaux et de ses affiliés, et enfin la longue théophorie des images divines : Cet ordre de marche, fondé à la fois sur une lecture attentive des textes et sur une analyse du mécanisme de la cérémonie, est le plus probable.
Grâce au témoignage des commentaires épigraphiques des Jeux séculaires, cela devient une certitude.
Retrouvés en 1890 et 1930 à l’extrémité occidentale du Champ de Mars à Rome, les commentaires augustéens et sévériens sont à l’heure actuelle, malgré leur état fragmentaire, une des sources les plus précises et les plus importantes pour l’étude des rites de la religion romaine.

La nature des commentaires épigraphiques et le contexte strictement rituel du déroulement des cérémonies ne laissent aucun doute. Le groupe constitué par les empereurs et leur suite et par les quindécemvirs se déplace derrière le cortège du cirque dont le caractère festif contraste fortement avec le reste des cérémonies.
Cette pompa est à sont tour le reflet des autres pompae circenses organisées en prélude aux Jeux Romains et apporte un argument définitif à la question de la place de l’editor dans la procession des jeux.

Il y a un fonctionnement organique aux cortèges processionnels organisés dans le cadre d’une séquence rituelle. La procession d’ouverture des jeux mène les dieux et les hommes du Capitole au Circus Maximus. C'est un prélude nécessaire aux sacrifices sur l’autel souterrain de Consus et permet aux participants de rejoindre leurs postes : pulvinar, gradins, ligne de départ, son caractère oscille entre rite et spectacle.
C’est cette tension entre l’impératif rituel et l’emprise du scrupule religieux d’une part, et la liesse, la fête et les réjouissances d’autre part, qui lui confère ce caractère si particulier qu'on nomme le « spectacle de la piété ». Le long du parcours et sur les gradins du cirque, la foule se masse et voit passer devant elle la cité qui s’est mise en scène toute entière, enfants, hommes et dieux. Au moment où le cortège entre dans le cirque, Ovide chante : « Mais voici la procession : Faites silence et recueillez-vous, c’est l’heure d’applaudir, la procession dorée est arrivée ».
La foule doit à la fois respecter le silence religieux, c’est-à-dire scrupuleux (fauete linguis, selon la formule consacrée utilisée au cours des sacrifices), et applaudir à tout rompre dans un bel enthousiasme collectif. Si l’on doit obtenir le silence à un moment donné, c’est que le bruit de la foule, le vacarme de la liesse règne auparavant. C’est au moment où défilent les iuvenes, les auriges, les athlètes et les ludions. Puis vient le temps du silence scrupuleux, un silence bruyant car imposé par les musiciens, au moment où survient l’editor et son entourage.
Enfin, la liesse peut s’exprimer sans retenue alors que les dieux passent devant les spectateurs et font leur entrée au Grand Cirque.

Au terme de cette discussion, deux éléments essentiels sont acquis. D’une part, l’editor organise la procession d’ouverture des jeux, il est responsable non seulement de son bon déroulement rituel, mais également de la réussite du spectacle, celui qui se déploie dans la rue comme celui qui aura lieu dans le cirque.
L’empereur Nîmois Antonin, dit le Pieux, veille à une période de 23 ans de paix interne, de stabilité, de justice. Seuls quelques soulèvements mineurs à la frontière (en Grande-Bretagne ou en Dacie) ont troublé le calme de ce règne exemplaire. Il introduit plusieurs principes légaux pour sauvegarder la justice, dont l’innocence avant la conviction et des limites à l’utilisation de la torture. Il favorise la manumission des esclaves. Son style d’administration est de veiller à une distance aux actions des gouverneurs et responsables provinciaux. Il renonce donc aux voyages coûteux de son prédécesseur Hadrien.
Toujours au contraire d’Hadrien, Antonin a une réputation de chasteté, son mariage avec Faustine est des plus harmonieux. En l’an 148, il fait célébrer les Jeux séculaires (une fête que l’historien Zosime considère importante en pérennisant la pax deorum, les bonnes relations entre dieux et les mortels de l’empire).

Zosime, historien du Ve siècle, rapporte une légende explicative des rites accomplis pour la première fois : Un sabin nommé Valesius déplore la maladie de ses 3 enfants. Une voix lui enjoint d’aller à Terentum et de leur faire boire l’eau du Tibre, chauffée au-dessus du feu de l’autel de Dis Pater et de Proserpine.
Valesius descend le Tibre en barque avec ses enfants, et, parvenu en un lieu du Champ de Mars nommé Terentum, donne aux malades l’eau du Tibre. Ceux-ci s’endorment et guérissent.
En exécution des visons que ses enfants ont eu durant leur sommeil, Valesuis sacrifie des victimes noires 3 nuits de suite au-dessus d’un autel enterré dédié à Dis Pater et à Proserpine.
Ces rituels ont été de nouveau effectués par Publius Valerius Publicola, en remède contre une épidémie qui frappe Rome.
Malgré leur qualification, les dates de célébrations de jeux séculaires sont irrégulières, comme en témoigne le récapitulatif des 8 premiers jeux séculaires établi par Censorinus en 238.
En 147 ou 148, Antonin le Pieux fête le 900e anniversaire de la fondation de Rome. Les textes antiques qui sont parvenus à l'époque moderne n'en font pas mention, l'Histoire Auguste cite seulement des spectacles sans préciser pour quelle occasion, avec l'exhibition de nombreux animaux exotiques, éléphants, tigres, rhinocéros, crocodiles, et même 100 lions en une seul fois. Seules ses émissions monétaires commémorent ces jeux.

Les jeux séculaires ~ Civilisation - TrigoFACILE
www.trigofacile.com/jardins/chronica/civilisation/0601-jeuxsec.htm
En réalité, il existait deux sortes de jeux séculaires, ceux qui étaient censés ... la même année, César fit revivre avec une grande pompe l'institution des jeux ...
Termes manquants : 148
Jeux séculaires — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeux_séculaires
Les jeux séculaires (en latin ludi saeculares) fêtaient à Rome la clôture de chaque centenaire, .... Marie Susplugas voit aussi dans la fixation à cette année la décision de Domitien de faire coïncider la célébration des jeux séculaires à une ... En 147 ou 148, Antonin le Pieux fête le 900e anniversaire de la fondation de Rome.

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