8 DÉCEMBRE 2016...
Cette
page concerne l'année 148 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
DÉPENDANCE DES JEUX AU CALENDRIER LE LA ROME ANTIQUE.
En
l'an 17 avant Jésus-Christ, Auguste confie au jurisconsulte Ateius
Capito l'interprétation des Livres Sibyllins et le charge de
déterminer la date des jeux séculaires dédiés aux dieux Phoebus
et Trivia (Apollon et Diane) et célébrés au théâtre de
Marcellus.
Toutefois,
selon les Livres Sibyllins, ils doivent être célébrés en l'an
16... Ce sont les prêtres quindecimuiri sacris faciundis (auparavant
duumuiri et decemuiri) qui les organisent. Tous les cent ans, en
principe, sont alors célébrés les saeculares ludi, marquant le
renouvellement de la cité et consacrés aux divinités des morts.
D'ailleurs,
l'empire Romain se maintiendra dans toute sa gloire, tant que ces
fêtes seront exactement célébrées.
Or,
les différents peuples d'Italie ne s'accordent pas sur la
signification du mot siècle. Il représente pour eux la plus longue
durée de la vie humaine, et chacun évalue cette durée à sa
façon...
Pour
les Latins, elle vaut 100 ans. Pour les Étrusques, elle vaut 110
ans.
En
réalité, il existe deux sortes de jeux séculaires, ceux qui sont
censés fêter le renouvellement des générations (saeculum).
En
principe, il n'y a aucun rapport avec l'anniversaire de Rome, mais la
règle est que l'on fête une nouvelle ère après la mort du dernier
survivant de l'ère précédente... Ce saeculum peut donc dépasser
la valeur ronde de 100 ans. Le principe inclue seulement qu'il n'y
ait aucun survivant du précédent saeculum quand on fête le nouveau
saeculum.
Varron,
dans son premier livre des Origines scéniques, s'exprime ainsi :
« Comme
il s'est manifesté plusieurs prodiges, et que le mur et la tour qui
sont entre la porte Colline et la porte Esquiline viennent d'être
frappés par le feu du ciel, les décemvirs, après avoir interrogé
les livres sibyllins, déclarent qu'il faut célébrer les jeux
séculaires dans le champ de Mars, en l'honneur de Pluton et de
Proserpine, et immoler des victimes noires à ces divinités,
ajoutant que ces jeux doivent être renouvelés tous les 100 ans. »
Tite-Live
souligne aussi au livre CXXXVI : « Dans la même année,
César fait revivre avec une grande pompe l'institution des jeux
séculaires, qu'il est d'usage de célébrer tous les 100 ans,
c'est-à-dire à la fin de chaque siècle. »
Un
passage de Suétone dans la Vie du divin Claude explique cela :
« Claude
célèbre les jeux séculaires, sous prétexte qu'Auguste les a fêtés
trop tôt, avant leur date normale, et pourtant lui-même proclame
dans son Histoire que la succession régulière de ces jeux, qui ont
été longtemps suspendus, est rétablie par Auguste, après avoir
fait très scrupuleusement le compte des années. Aussi raille-t-on
la formule consacrée que le crieur public dit pour inviter à ces
jeux que personne n'a vus et ne doit revoir, puisqu'il existe encore
à ce moment des personnes qui ont assisté aux précédents jeux et
que certains histrions qui se sont autrefois produits sur scène y
figurent de nouveau.
Les
jeux séculaires, initialement institués par Valerius Publicola,
premier consul après l'expulsion des Tarquins, se tiennent en :
- 17 avant J.-C. sous Auguste.
- 88 sous Domitien, soit 104 ans après ceux d'Auguste.
- 204 sous Septime Sévère, soit 116 ans après ceux de Domitien et 220 ans après ceux d'Auguste.
On
obtient ainsi deux fois le saeculum de 110 ans. L'auteur païen
Aurélius Victor se plaint que Constantin n'ait pas célébré de
jeux séculaires vers 314.
Quant
à Claude, il institue les jeux centenaires anniversaires de Rome,
qu'on appela aussi Jeux Séculaires, en posant pour principe qu'un
saeculum vaut 100 ans de Rome. Ils se fêtent lors des Parilia, fêtes
en l'honneur du protecteur des troupeaux Palès, le 21 avril. Le
rituel, assez compliqué, consiste en 3 jours et 3 nuits de
sacrifices et de jeux de scène archaïques, puis de 7 jours
supplémentaires de divertissements plus « modernes » au
théâtre et au cirque.
Les Jeux Séculaires eurent lieu en :
Les Jeux Séculaires eurent lieu en :
- 47 après J.-C. sous Claude.
- 147 après J.-C. sous Antonin le Pieux.
- 248 après J.-C. sous Philippe l'Arabe.
Ces
derniers sont aussi les Jeux du Millénaire de Rome. Rappelons que
Paul Petit, dans son Histoire générale de l'empire Romain, dit que
l'on n'hésite pas à faire quelques entorses au comput lorsque d'un
point de vue politique il peut être intéressant de les célébrer.
Aussi
se chevauchent deux computs séculaires qui n'ont rien à voir, au
fond...
À
Rome, les jeux du cirque commencent par une procession solennelle qui
mènent les hommes et les dieux du Capitole au Grand Cirque.
L’importance du rôle qu’y joue le magistrat chargé d’organiser
les festivités, revêtu d’un costume similaire à celui du général
triomphant et entouré de ses affiliés et des autres magistrats, a
déjà été bien souligné. En revanche, sa place dans l’ordonnance
du cortège reste à définir précisément.
En
se fondant sur une relecture attentive d’un célèbre passage de
Denys d’Halicarnasse et sur le témoignage fondamental des actes
épigraphiques des Jeux séculaires sévériens, cet article propose
de donner à l’editor sa juste place, loin derrière les cohortes
d’adolescents, les athlètes, les ludions, les victimes
sacrificielles et les musiciens, juste devant les statues des dieux,
de façon à mieux comprendre le fonctionnement de la cérémonie,
aussi bien d’un point de vue rituel que politique.
Un
passage célèbre de Denys d’Halicarnasse renseigne sur la
composition et l’ordre de la procession d’ouverture des jeux à
Rome, la pompa circensis, qui mène les dieux et les hommes du
Capitole au Cirque Maxime. Ce texte complexe a déjà été très
souvent commenté, notamment la difficile question des sources
utilisées par Denys pour sa description, et celle non moins délicate
d’une possible origine étrusque de la cérémonie.
Où
se trouve l’editor, le magistrat chargé de l’organisation des
jeux ?
La
lecture habituelle et les traductions courantes font supposer qu’il
se trouve en tête de la procession, et cette opinion est si
communément répandue, qu’à ma connaissance, aucun savant n’a
pensé le placer ailleurs.
Or,
une lecture attentive du texte de Denys incite à proposer une autre
hypothèse : L’editor se trouve après les cohortes de
iuvenes, les athlètes, les ludions, les victimes sacrificielles et
les musiciens.
Il
se trouve en revanche devant la multitude des statues des dieux
portées sur les épaules des citoyens ou sur des fercula.
En
effet, cette disposition est non seulement conforme à la lettre du
texte de Denys, mais elle est cohérente avec ce que nous savons des
caractéristiques de la pompa circensis et de ses similitudes avec la
procession triomphale.
Surtout,
cet ordre de marche est confirmé par les commentaires sévériens
des Jeux séculaires qui nous donnent une image très précise de la
mise en place de la procession d’ouverture des jeux honoraires,
après les sacrifices à Apollon et à Diane le 3e jour des
cérémonies. Enfin, donner à l’editor sa juste place dans le
cortège permet de comprendre le risque d’instauratio et
d’envisager la cérémonie à la fois dans sa dimension rituelle et
dans ses enjeux politiques.
Denys
d’Halicarnasse, VII, 71, 1-2. 4 Voir F.
Dupont (2006), p. 206.
L’essentiel
de la description de Denys ne pose pas de difficulté particulière,
si l’on veut bien faire abstraction des digressions visant à
prouver le caractère grec des éléments constitutifs de la
procession. Denys s’émerveille de cette fastueuse et exubérante
altérité qui se déploie devant lui et cherche à la replacer dans
les cadres explicatifs qu’il connaît, c’est à dire ceux de
l’hellénisme. La thèse centrale des Antiquités Romaines trouve
ici un cadre privilégié, et si certains éléments sont décidément
irréductibles au monde grec, il faut au moins qu’ils soient
étrusques.
Denys,
selon ses propres dires, se fonde sur Fabius Pictor pour donner une
description des jeux votifs d’Aulus Postumius voués lors de la
guerre latine en 499 avant notre ère. Même en admettant que Denys
suive effectivement Fabius Pictor et qu’il lui soit fidèle, il est
plus que probable que ce dernier ait donné une description plus
proche des processions des jeux du cirque telles qu’elles ont lieu
à la fin du IIIe siècle avant notre ère plutôt que de celles du
début du Ve siècle.
De
la même façon, Denys a certainement été influencé autant par ses
lectures que par ce dont il a pu être témoin lors de son séjour à
Rome.
Les
enfants des Romains ouvrent la marche », puis viennent les
chars et leurs conducteurs, les athlètes, des danseurs en armes, des
satyres, les musiciens, les porteurs de vases à l’usage des
sacrifices, et enfin les statues des dieux élevées sur les épaules
des citoyens.
Ce
passage est d’une fausse précision, car il donne de la procession
une image qui paraît complète et cohérente alors qu’en réalité
Denys sélectionne les informations afin de renforcer sa thèse.
La
première difficulté consiste à déterminer qui se trouve en tête
du cortège processionnel. La lecture habituelle est que les premiers
magistrats de Rome « mènent » la procession, et on en
déduit qu’ils ouvrent la marche. C’est sur ces quelques mots que
se concentre le problème, et c’est sur leur fondement que l’on
place habituellement l’editor devant tous les autres participants.
La
2e difficulté consiste maintenant à placer l’editor dans le
cortège processionnel. L’édile qui donne et préside les jeux
depuis au moins 367 est entouré de ses affiliés et des autres
magistrats. Où se trouve-t-il, s’il n’est pas devant ?
Juvénal
indique que devant l’editor se trouvent des musiciens, et que le
cortège des Quirites dont il s’est assuré la fidélité par des
sportules marche derrière lui. Surtout, il établit que l’editor
(un préteur à l’époque de Juvénal) porte la même tenue que le
général victorieux au cours du triomphe, la tunica Iouis, et comme
lui juché sur un char, le visage passé au rouge minium, ressemblant
en tout point à la statue de Jupiter au Capitole.
Cette
ressemblance n’est pas le signe d’une incarnation de la divinité
ou d’une iconisation du magistrat mais traduit simplement, comme le
montre John Scheid, qu’editor et triumphator servent de support à
un certain nombre de traits évoquant sans ambiguïté la présence
de Jupiter et de sa souveraineté.
Dans
le cas du triomphe, dont la composition et l’ordre de marche sont
bien connus, le général victorieux ne se trouve pas en tête de
cortège, mais derrière le butin, les prisonniers et les victimes
sacrificielles. Il est escorté de ses proches et de ses appariteurs.
Derrière
lui marchent les soldats, couronnés et porteurs de branches de
laurier. Si nous suivons ce modèle dans le cas de la pompa
circensis, l’editor peut se trouver de la même façon derrière
les cohortes de iuvenes, les conducteurs de chars, les athlètes, les
ludions, les musiciens et les victimes sacrificielles, mais devant
les images des dieux.
Cette
position au cœur du cortège est un pivot essentiel du mécanisme
processionnel.
À
la vitalité des jeunes, à la bravoure des danseurs, à l’énergie
de la fête, de la farce et du spectacle, répond la puissance de la
cité en ordre, représentée par ses magistrats, ses prêtres et ses
dieux. Les danses burlesques, la dérision, l’outrance, permettent
la transition entre la partie civique du cortège et la partie
sacrée, celle où défilent les dieux portés sur des fercula, leurs
attributs placés sur les tensae, ce long cortège que nous rappelle
Ovide : Voici Victoire, Neptune, Mars, Apollon, Minerve, Cérès
et Bacchus/Liber Pater, les Castors et Vénus, auxquels il faut
ajouter au moins Consus, Jupiter et Junon, parfois la Magna Mater.
Cette
césure entre divertissement et solennité, entre exubérance et
ordre, différencie également les éléments de la procession qui se
trouvent dans la sphère de la rigueur rituelle, de l’obligation
religieuse, où l’on ne doit pas trébucher, fléchir. Où le pas
des victimes sacrificielles ne doit pas hésiter, ceux qui sont
libérés de cette contrainte et dont la vitalité se transmet aux
nombreux spectateurs massés tout au long du parcours processionnel
jusqu’au cirque. C’est ce que dit très précisément Cicéron :
« Qu’un tibicen se taise soudainement ou qu’un enfant lâche
le cordon du char, le rite n’a pas été accompli comme ils se
doit, et il faut recourir à l’instauratio ». Les accents des
musiciens, derrière les satyres, permettent d’ailleurs de prévenir
la foule de l’arrivée de l’editor et des dieux, la partie de la
procession où l’observance scrupuleuse de la forme est impérative,
mais aussi de couvrir les cris, les bruits de toutes sortes, par
définition incontrôlables au cœur de la liesse populaire, mais qui
provoqueraient des erreurs ou même une interruption.
Iuvenes,
conducteurs de chars, athlètes, danseurs, ludions, musiciens,
porteurs des objets nécessaires aux sacrifices, victimes
sacrificielles, l’editor et son entourage, constitué des
magistrats, des membres des collèges sacerdotaux et de ses affiliés,
et enfin la longue théophorie des images divines : Cet ordre de
marche, fondé à la fois sur une lecture attentive des textes et sur
une analyse du mécanisme de la cérémonie, est le plus probable.
Grâce
au témoignage des commentaires épigraphiques des Jeux séculaires,
cela devient une certitude.
Retrouvés
en 1890 et 1930 à l’extrémité occidentale du Champ de
Mars à Rome, les commentaires augustéens et sévériens sont à
l’heure actuelle, malgré leur état fragmentaire, une des sources
les plus précises et les plus importantes pour l’étude des rites
de la religion romaine.
La
nature des commentaires épigraphiques et le contexte strictement
rituel du déroulement des cérémonies ne laissent aucun doute. Le
groupe constitué par les empereurs et leur suite et par les
quindécemvirs se déplace derrière le cortège du cirque dont le
caractère festif contraste fortement avec le reste des cérémonies.
Cette
pompa est à sont tour le reflet des autres pompae circenses
organisées en prélude aux Jeux Romains et apporte un argument
définitif à la question de la place de l’editor dans la
procession des jeux.
Il
y a un fonctionnement organique aux cortèges processionnels
organisés dans le cadre d’une séquence rituelle. La procession
d’ouverture des jeux mène les dieux et les hommes du Capitole au
Circus Maximus. C'est un prélude nécessaire aux sacrifices sur
l’autel souterrain de Consus et permet aux participants de
rejoindre leurs postes : pulvinar, gradins, ligne de départ,
son caractère oscille entre rite et spectacle.
C’est
cette tension entre l’impératif rituel et l’emprise du scrupule
religieux d’une part, et la liesse, la fête et les réjouissances
d’autre part, qui lui confère ce caractère si particulier qu'on
nomme le « spectacle de la piété ». Le long du parcours
et sur les gradins du cirque, la foule se masse et voit passer devant
elle la cité qui s’est mise en scène toute entière, enfants,
hommes et dieux. Au moment où le cortège entre dans le cirque,
Ovide chante : « Mais voici la procession : Faites
silence et recueillez-vous, c’est l’heure d’applaudir, la
procession dorée est arrivée ».
La
foule doit à la fois respecter le silence religieux, c’est-à-dire
scrupuleux (fauete linguis, selon la formule consacrée utilisée au
cours des sacrifices), et applaudir à tout rompre dans un bel
enthousiasme collectif. Si l’on doit obtenir le silence à un
moment donné, c’est que le bruit de la foule, le vacarme de la
liesse règne auparavant. C’est au moment où défilent les
iuvenes, les auriges, les athlètes et les ludions. Puis vient le
temps du silence scrupuleux, un silence bruyant car imposé par les
musiciens, au moment où survient l’editor et son entourage.
Enfin,
la liesse peut s’exprimer sans retenue alors que les dieux passent
devant les spectateurs et font leur entrée au Grand Cirque.
Au
terme de cette discussion, deux éléments essentiels sont acquis.
D’une part, l’editor organise la procession d’ouverture des
jeux, il est responsable non seulement de son bon déroulement
rituel, mais également de la réussite du spectacle, celui qui se
déploie dans la rue comme celui qui aura lieu dans le cirque.
L’empereur
Nîmois Antonin, dit le Pieux, veille à une période de 23 ans de
paix interne, de stabilité, de justice. Seuls quelques soulèvements
mineurs à la frontière (en Grande-Bretagne ou en Dacie) ont troublé
le calme de ce règne exemplaire. Il introduit plusieurs principes
légaux pour sauvegarder la justice, dont l’innocence avant la
conviction et des limites à l’utilisation de la torture. Il
favorise la manumission des esclaves. Son style d’administration
est de veiller à une distance aux actions des gouverneurs et
responsables provinciaux. Il renonce donc aux voyages coûteux de son
prédécesseur Hadrien.
Toujours
au contraire d’Hadrien, Antonin a une réputation de chasteté, son
mariage avec Faustine est des plus harmonieux. En l’an 148, il fait
célébrer les Jeux séculaires (une fête que l’historien Zosime
considère importante en pérennisant la pax deorum, les bonnes
relations entre dieux et les mortels de l’empire).
Zosime,
historien du Ve siècle, rapporte une légende explicative des
rites accomplis pour la première fois : Un sabin nommé
Valesius déplore la maladie de ses 3 enfants. Une voix lui enjoint
d’aller à Terentum et de leur faire boire l’eau du Tibre,
chauffée au-dessus du feu de l’autel de Dis Pater et de
Proserpine.
Valesius
descend le Tibre en barque avec ses enfants, et, parvenu en un lieu
du Champ de Mars nommé Terentum, donne aux malades l’eau du Tibre.
Ceux-ci s’endorment et guérissent.
En
exécution des visons que ses enfants ont eu durant leur sommeil,
Valesuis sacrifie des victimes noires 3 nuits de suite au-dessus d’un
autel enterré dédié à Dis Pater et à Proserpine.
Ces
rituels ont été de nouveau effectués par Publius Valerius
Publicola, en remède contre une épidémie qui frappe Rome.
Malgré
leur qualification, les dates de célébrations de jeux séculaires
sont irrégulières, comme en témoigne le récapitulatif des 8
premiers jeux séculaires établi par Censorinus en 238.
En
147 ou 148, Antonin le Pieux fête le 900e anniversaire de la
fondation de Rome. Les textes antiques qui sont parvenus à l'époque
moderne n'en font pas mention, l'Histoire Auguste cite seulement des
spectacles sans préciser pour quelle occasion, avec l'exhibition de
nombreux animaux exotiques, éléphants, tigres, rhinocéros,
crocodiles, et même 100 lions en une seul fois. Seules ses émissions
monétaires commémorent ces jeux.
Les
jeux séculaires ~ Civilisation - TrigoFACILE
www.trigofacile.com/jardins/chronica/civilisation/0601-jeuxsec.htm
En
réalité, il existait deux sortes de jeux séculaires, ceux qui
étaient censés ... la même année, César fit revivre avec une
grande pompe l'institution des jeux ...
Termes
manquants : 148
Jeux
séculaires — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeux_séculaires
Les
jeux séculaires (en latin ludi saeculares) fêtaient à Rome la
clôture de chaque centenaire, .... Marie Susplugas voit aussi dans
la fixation à cette année la décision de Domitien de faire
coïncider la célébration des jeux séculaires à une ... En 147 ou
148, Antonin le Pieux fête le 900e anniversaire de la fondation de
Rome.
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