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DECEMBRE 2016...
Cette
page concerne l'année 132 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LA
DIASPORA APRÈS LA RÉVOLTE JUIVE DE 132.
Les
Juifs chrétiens refusent de se joindre aux révoltés. Ils sont
traités avec mépris et sévérité. Cette révolte représente la
rupture définitive des deux communautés.
La
Xe légion doit évacuer Jérusalem et se replier sur Césarée. Les
Juifs entrent dans la ville et réinstaurent le système des
sacrifices. Ils frappent des pièces de monnaie pour célébrer cette
libération.
La
XXIIe légion, qui s'est avancée à l’intérieur du pays depuis
l’Égypte, y a été anéantie pendant cette guerre.
Mai
(date probable) : Hadrien apprend la nouvelle de la révolte de
Bar Kokhba.
la
révolte de Bar Kokhba (deuxième guerre Judéo-Romaine) fait suite à
la
décision
de reconstruire Jérusalem pour y implanter une colonie. Cette
rébellion est durement réprimée, Jérusalem, (désormais interdite
aux juifs
ainsi
que la Judée), est rebaptisée Aelia Capitolina. Un temple païen y
est construit. Hadrien fait aussi interdire la circoncision. Cette
mesure ne concerne pas seulement les juifs, mais tous ceux qui, dans
l'Empire, pratiquent cette coutume rituelle, les prêtres Égyptiens
par exemple. Les Romains ressentent en effet cet acte comme une
véritable mutilation, qu'ils assimilent à la castration.
La
révolte de Bar Kokhba (132-135), certaines sources la mentionnent
comme la 3e révolte, en comptant les émeutes de 115-117, connues
sous le nom de guerre de Quietus, écrasées par le général Lusius
Quietus qui a réprimé ces révoltes en Adiabène, à Édesse et en
Assyrie, puis en Syrie et en Judée.
Malgré
la ruine dans laquelle les Romains ont plongé le pays au cours de la
première guerre Judéo-Romaine, une autre rébellion Juive a lieu 60
ans plus tard, malgré l'opposition d'une partie de la classe
sacerdotale.
Bar
Kokhba organise une armée, instaure un État Juif indépendant en
terre de Judée, projette de reconstruire le Temple, fait battre
monnaie.
Les
causes de la révolte font l'objet de débats entre les historiens.
Deux mesures prises par l'empereur Hadrien durant ses voyages en
Judée au début des années 130 sont retenues en général comme
causes principales.
La
première est la décision de construire sur l'emplacement de
Jérusalem une colonie du nom d'Ælia Capitolina autour d'un temple
dédié à Jupiter capitolin... Peut-être édifié à l'emplacement
de l'ancien Temple de Jérusalem ou plus probablement au centre de la
ville sur le site du Golgotha.
WADI MURABAAT |
La
seconde est l'interdiction générale de la circoncision, prise à
l'encontre de tous les peuples la pratiquant tels les Juifs, mais
aussi les Arabes et les prêtres Égyptiens ou Syriens. Il est
toutefois délicat de savoir si cette seconde décision a été prise
avant ou après la révolte.
En
revanche, la numismatique semble montrer que la fondation d'Ælia
Capitolina est effective dès 131-132, avant l'éclatement de la
révolte, contrairement à ce que laissent entendre les sources
rabbiniques et chrétiennes. C'est d'ailleurs ce qu'indique Dion
Cassius dans son Histoire Romaine.
À
l'exception de quelques points forts retenus pour leur aspect
symbolique, on dispose de très peu d'informations relatives au
déroulement de la révolte. « La guerre a touché uniquement
la Judée et non l'ensemble de la Palestine. » « Elle a
duré au moins 3 années pleines et a été prise très au sérieux
par les autorités Romaines. »
« Les
Judéens insurgés semblent avoir conçu une stratégie en 3 étapes :
Libérer le nord de la Judée pour établir des communications avec
la Galilée [...] Empêcher l'arrivée de renforts Romains en
bloquant les routes.
Reprendre
Jérusalem afin de reconstruire le sanctuaire. »
Pour
compenser leur infériorité militaire, les combats prennent la forme
d'une guérilla rurale. Les insurgés « s'appuient sur un
dispositif de tours de guets, de forteresses perchées et d'habitats
souterrains à partir desquels ils mènent leurs raids. »
Shimon
bar Kokhba s'empare de la forteresse de l'Hérodion où il établit
son quartier général.
Les
Romains, faisant face à une force Juive fortement unifiée et
motivée, sont pris au dépourvu.
L'annihilation
d'une légion Romaine avec ses auxiliaires obligee Rome à expédier
pas moins de 8 légions, sans compter les ailes de cavalerie et les
cohortes, et son meilleur général de l'époque : Sextus Julius
Severus rappelé de Britannia pour reconquérir la province rebelle.
HADRIEN TUANT UN JUIF |
Désavantagés
par le nombre et subissant de lourdes pertes, les Romains décident
de pratiquer une tactique de terre brûlée, qui décime la
population Judéenne et entame petit à petit leur moral et leur
détermination à poursuivre la guerre.
Bar
Kokhba se replie dans la forteresse de Betar, au sud-ouest de
Jérusalem, mais les Romains finissent par la prendre, et massacrent
tous ses défenseurs en 135.
Selon
les récits des pères de l’Église Justin de Naplouse et d'Eusèbe
de Césarée, Bar-Kokhba persécute les chrétiens.
Les
grottes occupées sous la révolte permettent de délimiter la zone
du conflit Judéo-Romain.
Ces
grottes, comportant des traces d'occupation contemporaines de la
révolte, se situent :
Dans
le Nahal Hever (pour ce qui est de la grotte aux lettres et de la
grotte de l'Horreur),
Le
Nahal David (grotte au Bassin)
Le
Nahal Mishmar (grotte au Trésor)
Au
Wadi el-Mafjar (grottes à la Sandale, aux Manuscrits, grotte
d'Abi'or
Au
Wadi Murabba'ât (grottes 1 et 2).
Ces
grottes sont toutes situées dans le désert de Juda et autour de la
mer Morte.
La
grotte au Bassin est située à moins de 2 kilomètres du village
d'Engaddi, un des centres de la révolte, attesté comme tel par une
série de correspondances entretenues par Bar Kokhba.
Hormis
les grottes, qui servent de refuge pendant la 2e phase de la révolte,
les archéologues Amos Kloner et Boaz Zissu ont révélé l'existence
et l'utilisation pendant la révolte, de complexes souterrains dans
les monts d'Hébron et dans la Shefela, comme à Horvat Etri.
Bar
Kokhba dispose de deux camps de résidence, selon une étude
universitaire Française réalisée en 2005 et 2006 : L'Hérodium
et Qiryat Arabayyah. Ils sont ses quartiers généraux.
Aucune
correspondance (lettre) ne mentionne Jérusalem, laquelle ville
semble n'avoir jamais été occupée par le leader de la révolte, ce
que la numismatique confirme
Dion
Cassius rapporte que les troupes Romaines ont détruit 985 villages
de Judée et que 580 000 Judéens ont trouvé la mort au
combat, sans compter ceux, en plus grand nombre encore, qui sont
morts de faim.
Selon
Simon Claude Mimouni, la prudence s'impose à l'égard de ces
informations, quant aux chiffres donnés par la tradition rabbinique,
ils sont invraisemblables et veulent simplement souligner l'étendue
de la défaite et le dépeuplement de la Judée autour de la « Ville
Sainte ».
Après
la défaite, Jérusalem est rasée par Hadrien et interdite aux
Juifs, qui toutes tendances confondues sont expulsés de la ville
comme de l'ensemble de la Chôra. Ils y sont interdits de droit de
cité sous peine de mort jusqu'à une date inconnue.
Une
ville Romaine, Ælia Capitolina, est bâtie sur le site de Jérusalem.
La
Chôra de la ville s'étend désormais de l'ancienne frontière de
Judée et de Samarie vers le nord, jusqu'à la mer Morte et Hébron
vers le sud et jusqu'au territoire de Éleuthéropolis, de Nicopolis
et de Diospolis : 80 petites villes et villages y sont inclus.
La
population d'Aelia Capitolina est désormais composée de vétérans
de la Ve légion Macedonia, mais aussi de Grecs et de Syriens en
général. Pour sa part, la Xe légion Romaine reconstruit son camp
et forme aussi le cœur de la population de la ville.
MARTYR D'AKIVA |
Traditionnellement,
l'expulsion des Juifs d'une grande partie de la Judée et les dures
conditions qui leur sont imposées à la suite de la révolte sont
vues comme marquant la fin de la relation de peuple autochtone que
les Juifs entretiennent depuis plus d'un millénaire avec la terre
des anciens royaumes d'Israël et de Juda. Cet événement contribue
donc à la construction du mythe du Juif errant.
Le
Temple n'est plus, Jérusalem a été vaincue. Rome a affirmé son
pouvoir et écrasé la « grande révolte » des Juifs.
Aura-t-elle désormais la paix ?
Pas
si sûr que cela…
Un
antisémitisme virulent continue de souffler dans l'Empire Romain,
entretenu par les admirateurs de la culture grecque qui, non contents
de jouir seuls de la tranquillité, semblent vouloir absolument jeter
du sel sur les blessures des Juifs.
(Ce
même acharnement à massacrer à outrance sera manifesté plus tard
par d'autres ennemis des Juifs qui, après avoir exterminé des
communautés entières, et n'ayant plus de victimes à assassiner, se
tourneront vers la profanation de cimetières Juifs et vers la
mutilation de cadavres.) Le niveau d'hostilité et de haine envers
les Juifs s'est intensifié à travers l'Empire Romain jusqu'à
devenir insoutenable.
En
réponse, les Juifs se sont à nouveau révoltés plusieurs fois.
Chaque fois, des milliers d'hommes et de femmes ont été tués.
En
conséquence, le Romain moyen s'est mis à voir en chaque Juif un
individu hostile à Rome. Les Juifs ont été officiellement désignés
comme détenant un « statut d'ennemi » - dediticii en
latin.
Bien
entendu, les Juifs en Erets Yisrael ont été écrasés après la
« grande révolte », et (au moins tout de suite après la
destruction du Temple) ils n'ont plus la force de lutter.
Mais
il faut se rappeler qu'à cette époque, un nombre considérable de
Juifs vivent en dehors d'Israël.
BAR KOKHBA |
En
fait, les historiens estiment que l'Empire Romain est peuplé de 6 à
7 millions de Juifs, dont 60 % au moins habitent hors d'Erets
Yisrael... Une ville comme Alexandrie, en Égypte (une des villes les
plus cosmopolites de cette époque) a une population juive de près
de 250 000 habitants, et elle se vante d'avoir la plus grande
synagogue du monde.
Ces
Juifs de Diaspora (suivis plus tard par ceux qui se trouvent en
Judée) se lancent dans une nouvelle révolte, encouragés par les
défaites infligées aux Romains en l'an 116 par les Parthes, sous le
règne de Trajan.
La
réaction romaine, avec l'aide des antisémites de la région, est de
massacrer les Juifs.
On
note cependant que les Romains, même s'ils se montrent très
barbares et brutaux dans le feu de bataille, ne se sont jamais
engagés dans une politique ayant pour dessein d'exterminer le peuple
Juif.
On
n'assistera à de tels projets qu'au XXe siècle avec Hitler et les
Nazis. (En fait, le mot « génocide » n'est entré dans
le vocabulaire qu'après 1945.)
A
l'époque, les Romains n'ont aucun intérêt à s'engager dans un
massacre total des Juifs. Cela faisant très mauvais effet auprès
des autres peuples vaincus, qui pourraient redouter être les
prochains de la liste et se révolter. Les Romains, en gens très
pragmatiques, ne veulent de cela à aucun prix.
Quand
Hadrien prend le pouvoir en 117, il inaugure, au commencement de son
règne une atmosphère de tolérance.
Il
parle même de permettre aux Juifs de reconstruire le Temple, projet
qui se heurte à une opposition virulente de la part des admirateurs
de la culture grecque.
Les
raisons pour lesquelles Hadrien a changé d'attitude et adopté une
politique de totale hostilité envers les Juifs restent inexpliquées.
Cependant,
l'historien Paul Johnson, dans son History of the Jews, le soupçonne
d'être tombé sous l'influence de l'historien Romain Tacite, qui
s'est activement employé à répandre les diffamations grecques
contre les Juifs.
AKIVA |
Tacite
et son cercle font partie d'un groupe d'intellectuels Romains qui se
considérent comme des héritiers de la culture grecque. (Certains
nobles Romains se prennent véritablement pour des descendants de
Grecs, quoiqu'il n'ait existé aucune base historique à ce mythe.)
Il
est de bon ton dans ce milieu d'adopter tous les ornements de la
culture grecque. La haine des Juifs, en tant qu'ils représentent
l'antithèse de l'Hellénisme, fait partie de cet état d'esprit.
Sous
une telle influence, Hadrien décide un virage à 180 degrés. Au
lieu de permettre aux Juifs de reconstruire leur Temple, il élabore
un projet visant à transformer Jérusalem en une ville-État païenne
sur le modèle de la polis grecque, avec un sanctuaire consacré à
Jupiter sur le site du Temple Juif.
Rien
ne peut être pire aux yeux des Juifs qu'utiliser le lieu le plus
sacré au monde pour y installer un temple consacré à un dieu
romain. C'est l'ultime affront.
La
réaction des Juifs à l'injure qui leur est faite a conduit à l'une
des seules grandes révoltes de l'ère Romaine. Chim'on Bar Kosiba
anime le soulèvement, qui atteint son paroxysme en 132.
Les
sources juives évaluent les troupes de Bar-Kochba à 100 000 hommes.
Même s'il y a eu là surestimation de ses forces, et même s'il n'en
a commandé que la moitié, c'est encore une armée très nombreuse
(égale à 4 légions romaines).
Les
Juifs, quand ils sont unis, représentent une force redoutable. Ils
ont repoussé les Romains, les ont jetés hors d'Erets Yisrael, ont
proclamé leur indépendance et ont même battu monnaie. Un événement
peu banal dans l'histoire de l'Empire Romain.
Rome
ne peut subir sans réagir un tel affront. Une telle hardiesse doit
être écrasée et ceux qui en portent la responsabilité punis,
brutalement et sans la moindre pitié.
Mais
les Juifs n'ont pas été si faciles à vaincre. Hadrien envoie de
plus en plus de troupes en Israël pour combattre les forces de
Bar-Kokhba, au point de consacrer 12 légions à cette guerre,
presque la moitié de son armée. Cela représente 3 fois ce que les
Romains ont mobilisé pour écraser la « grande révolte »,
65 ans plus tôt.
C'est
le meilleur général Romain, Julius Severus, qui commande cette
armée énorme. Mais malgré la puissance dont il dispose, il a peur
d'affronter les Juifs dans une bataille rangée. Ce fait est à lui
seul très révélateur, parce que les Romains sont passés maîtres
dans ce genre de combat. Mais ils craignent les Juifs parce qu'ils
voient qu'ils sont prêts à mourir pour leur foi une mentalité que
les Romains tiennent pour un suicide pur et simple. Qu'est-il alors
arrivé ?
L'historien
romain Dion Cassius raconte :
« Severus
ne s'aventure pas à attaquer ses adversaires en rase campagne, étant
donné leur nombre et leur désespoir, mais en interceptant de petits
groupes.
Grâce
au nombre de leurs soldats et de leurs officiers, en les privant de
nourriture et en les encerclant, il parvient lentement mais sûrement,
en tout cas sans courir de grands dangers, à les écraser, à les
épuiser et à les exterminer.
Très
peu d'entre eux ont survécu. 50 de leurs plus importants
avant-postes et 985 de leurs plus célèbres villages ont été rasés
de fond en comble, et 580 000 hommes sont morts dans divers raids et
batailles, le nombre de ceux qui sont morts de faim, de maladie et au
feu ne pouvant être chiffré. »
« C'est
ainsi que presque toute la Judée est dévastée, un résultat dont
le peuple avait été averti avant la guerre. Car le tombeau de
Salomon, tenu en grande vénération par les Juifs, tombe de lui-même
en morceaux et s'effondre... Et beaucoup de loups et d'hyènes se
mettent à parcourir les villes en hurlant. Beaucoup de Romains,
cependant, ont péri dans cette guerre.
C'est
pourquoi Hadrien, lorsqu'il rend compte au Sénat, n'emploie pas
l'expression par laquelle commencent d'habitude les Empereurs : « Si
vous et vos enfants êtes en bonne santé, c'est bien. Quant à moi
et mes légions, nous sommes en bonne santé ! »
Ce
compte-rendu de Dion Cassius, même si ses évaluations chiffrées
sont excessives, est très intéressant. Il nous indique que la
révolte a été très sanglante et très coûteuse.
De
fait, les Romains ont perdu une légion entière dans une bataille,
la 22e légion Romaine étant tombée dans une embuscade et ayant été
massacrée.
A
la fin de la révolte, les Romains ont dû amener en Israël presque
la moitié de leur armée pour écraser les Juifs.
Apparemment,
les Juifs n'ont pas été loin de gagner la guerre.
Pourquoi
l'ont-ils perdue en fin de compte ?
Les
Sages nous enseignent qu'ils l'ont perdue parce qu'ils étaient trop
sûrs d'eux-mêmes.
Après
avoir goûté à la victoire, ils ont adopté une attitude de ko'hi
ve'otsem yadi astha eth ha'hayal hazé : « C'est ma force et la
puissance de ma main qui m'ont procuré ce succès-là »
(Deutéronome 8, 17).
Bar-Kokhba
aussi est devenu arrogant.
Il
se voit triomphant.
Il
entent les gens l'appeler le Messie.
Il
est certain, si Rabbi Akiva le prend pour tel, qu'il a les
potentialités pour devenir le dirigeant ultime d'Israël.
Mais
toute cette adulation lui est montée à la tête, et il commence à
perdre des batailles.
Épuisés,
les Romains en ont eu assez de ces Juifs qui leur ont causé plus de
pertes en hommes et en ressources qu'aucun autre peuple au cours de
l'histoire. Après avoir écrasé la révolte de Bar-Kokhba, Hadrien
décide que le seul moyen de ne pas s'exposer à un autre soulèvement
est de couper les Juifs de tout lien avec leur terre bien-aimée.
La
destruction de la Judée entraîne la dispersion du peuple juif à
travers le monde. L'autorité religieuse passe des prêtres aux
rabbins. Certains juifs sont vendus comme esclaves et déportés,
d'autres rejoignent les diasporas existantes.
D'autres
enfin tente d'inventer un nouveau rituel de vie en remplacement de
l'ordre
du Temple, leur réflexion donnera naissance au Talmud. D'abord bien
acceptés au sein de l'empire Romain, l'essor du christianisme
entraîne bientôt de nouvelles restrictions.
Révolte de Bar Kokhba — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Révolte_de_Bar_Kokhba
La
Judée au I er siècle de l'ère chrétienne. Informations générales.
Date, 132 à 135 ... Bar Kokhba organise une armée, instaure un État
juif indépendant en terre de ... Elle a duré au moins trois années
pleines et a été prise très au sérieux par ...
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Lamed.fr
- Article - La Révolte de Bar Kohba
www.lamed.fr/index.php?id=1&art=31
Rome
avait affirmé son pouvoir et écrasé la " grande révolte "
des Juifs. ... Chim'on Bar Kosiba anima le soulèvement, qui
atteignit son paroxysme en 132. .... La ville est tombée le jour le
plus triste du calendrier juif - le 9 av de l'année 135 ...
La
fin de l'Etat hébreu - Bible et archéologie
bible.archeologie.free.fr/etathebreu.html
L'histoire
politique du peuple juif durant les années qui ont suivi la mort de
Jésus ... C'est entre 66 et 70 que se déroula la première et
grande révolte juive contre ... Ce fut le signal d'une nouvelle et
dernière révolte, qui éclata en 132 sous la ...
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