jeudi 22 septembre 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 244

5 SEPTEMBRE 2016...

Cette page concerne l'année 244 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LES BROUILLARDS INSTABLES DE L'EMPIRE AVEUGLENT ROME

En 225, naît Marcus Antonius Gordianus
22 avril 238, il est fait César par Maxime Pupien et Balbin : Marcus Antonius Gordianus Caesar...
29 juillet 238, il accède à l'Empire : Imperator Caesar Marcus Antonius Gordianus Pius Felix Augustus
244, titulature à sa mort : Imperator Caesar Marcus Antonius Gordianus Pius Felix Augustus, Pontifex Maximus, Tribuniciae Potestatis VII, Imperator VII, Consul II, Pater Patriae empereur Romain de 238 à 244, pendant la période dite de l'« Anarchie militaire ».

Démentant toutes les prévisions, même les plus optimistes, les co-empereurs du Sénat se débarrassent assez vite et assez facilement du cruel Maximin. Celui-ci est assassiné par ses propres soldats alors qu'il assiège la place forte d'Aquilée, en Italie du Nord.

Aussi, lorsque pendant l'été 238, les prétoriens éliminent Pupien et Balbin, ils font reconnaître Gordien III comme empereur. La date exacte de proclamation est l'objet de plusieurs propositions :
Le 6 ou 7 juin comme seul Auguste pour Xavier Loriot, avant le 27 mai selon une inscription syrienne étudiée par M. Sartre.
La date traditionnellement retenue est cependant le 29 juillet.

Issue d'une famille sénatoriale provenant d'Asie mineure, il est le neveu de Gordien II et le petit-fils de Gordien Ier, tous 2 acclamés empereurs en 238 à la suite d'une révolte fiscale en Afrique proconsulaire. Après l'écrasement de cette révolte à Carthage par le légat de Numidie, ce sont deux sénateurs, Maxime Pupien et Balbin, qui succèdent à ces derniers à Rome pour faire face à Maximin Ier le Thrace qui commence à faire mouvement vers l'Italie depuis le Danube avec ses troupes d'élite... Cette désignation mécontente le peuple. À son avis, la famille des Gordiens n'a pas été récompensée selon ses mérites. Quant aux deux co-empereurs du Sénat, ces nobliaux hautains, prétentieux et autoritaires, ces vieillards blanchis sous le harnais, ce ne sont que des profiteurs qui récoltent ce qu'ils n'ont point semé ! La plèbe Romaine assiège donc les Sénateurs dans leur Capitole jusqu'à ce qu'ils acceptent d'adjoindre aux 2 nouveaux empereurs un gamin de 13 ans, parent des Gordiens d'Afrique : notre Gordien III..., ce dernier est donc fait César par les 2 empereurs le 22 avril.

Dans un premier temps, Gordien III règne sous la direction de sa parenté et de sénateurs proches, notamment du fait de son jeune âge (il n'a que 13 ans en 238). La première année de son règne est très mal connue, mais on sait qu'il fait damner la mémoire de Pupien et Balbin...

En 240, après avoir licencié la Legio III Augusta qui a maté la révolte de ses parents à Carthage, il fait face à une nouvelle révolte en Afrique, celle du proconsul Sabinien. La dissolution d'une des dernières légions Africaines, ajoutée aux risques d'attaques de nomades du sud, sont les 2 ingrédients déterminants de cette usurpation.
Toujours préoccupé par la situation Danubienne puisque la Mésie inférieure a été envahie par les Goths, il conclut un traité assez inégal avec ces derniers, en l'échange d'un hommage annuel et de la restitution par Rome de prisonniers.

En 241, il tombe sous la coupe de Timésithée dont il épouse la fille Furia Sabinia Tranquillina.
De rang équestre et ancien gouverneur, Timésithée devient ainsi préfet du prétoire. Il tente vainement de calmer l'agitation populaire à Rome, mais l'inflation due aux dévaluations monétaires ne cesse d'engendrer de lourds problèmes économiques et fiscaux.

En Orient, le souverain Sassanide Shapur Ier envahit la province de Mésopotamie et s'attaque à la Syrie. En réponse, Gordien III ouvre les portes du temple de Janus et organise une immense expédition pour le contrer.
MAXIMIN LE  THRACE
En passant près du Danube, l'expédition rétablit l'ordre sur la frontière. Il repousse dans un premier temps les Perses, notamment à la bataille de Rhesaina, qui permet à Timesithée de récupérer Carrhes, Hatra, et Nisibis. Gordien III nomme alors 2 nouveaux préfets du prétoire : Gaius Julius Priscus et le futur Philippe l'Arabe.

En Février 244, les Perses mènent une immense contre-offensive contre l'armée Romaine, stoppée à Ctésiphon. Les 2 forces se rencontrent à Misiche, aujourd'hui Al Anbar près de Falludja. Gordien III est mortellement blessé pendant la bataille, décède peu après, et une grande partie de l'armée Romaine est anéantie ou capturée.
On a longtemps cru qu'il avait été assassiné à la suite de cette défaite par son préfet du prétoire Philippe, qui lui succède et est contraint par Shapur Ier de payer la rançon des prisonniers. Toujours est-il que Philippe lui fait ériger un mausolée pour montrer sa fidélité, avant de lui faire conférer l'apothéose.

Cependant, la mort de Maximin ne signifie pas encore la fin des troubles.
Les gardes prétoriens de Rome, restés secrètement fidèles à Maximin, ne sont pas contents d'être évincés du processus (si rentable) de désignation des empereurs. Et puis, ils craignent que l'accroissement des prérogatives du Sénat ne signifie, à terme, la fin de celles de l'armée... Bref, en un mot comme en cent, ils ne peuvent accepter sans broncher l'autorité d'empereurs qui ne sont que des civils, des maladroits, des planqués qui ne connaissent rien à l'art de la guerre ! (1 900 ans plus tard le même scénario se reproduit sauf qu'il ne sont plus ni aristocrates, ni sénateur mais énarques c'est-à-dire complètement déconnectés des français, du monde du travail et des choses de la vie quotidienne). Aussi, au début du mois de mai 238, tandis que le peuple est occupé à célébrer les jeux Capitolins, les Prétoriens massacrent Pupien et Balbin. (Quel dommage que nous n'ayons plus de tels hommes, car nous en avons certains et mêmes quelques unes à qui un tel sort ne serait pas volé.)
Faute d'autres prétendants, l'enfant Gordien III reste seul maître de l'Empire. (Mai 238).

Ce qu'on appelle « la Révolution de 238 » est terminée. Elle n'a duré que 5 mois seulement, mais après elle, plus jamais l'Empire ne retrouvera sa grandeur, sa richesse et sa stabilité politique. (ce qui nous pend au nez à nous Français et aux Européens sous la coupe de Bruxelles !)

À partir de 238 et pendant presque 50 ans, aucun empereur ne peut s'imposer durablement. Des militaires chanceux ou habiles, soutenus par telle ou telle armée, telle ou telle province, s'empareront d'un pouvoir précaire et éphémère, avant d'être détrônés par un autre soldat de fortune.
L4EMPEREUR PUPIEN ( musée du Louvres)
Ce sera ce qu'on a coutume d'appeler « l'Anarchie militaire ».

Gordien III est un bien faible empereur. Il est vrai qu'il accède au trône bien trop jeune pour régner seul.
Dans la première partie de son règne, il subit la tutelle, désastreuse, des eunuques dont sa mère s'est entourée. Mais, bien vite, il parvient à se libérer de cet entourage étouffant en épousant la fille de son maître de rhétorique Timésithée, que certains auteurs nomment aussi « Misithée »... Ce Caius Furius Sabinius Aquila Timesitheus, dit Timésithée, se révèle être à la fois un véritable homme d'État et le meilleur stratège de son temps, des qualités dont l'Empire a impérativement besoin car la situation se dégrade sérieusement…
Sur le front oriental, le roi de Perse, Shapur Ier, vient de rompre la trêve qui le liait à Rome depuis Sévère Alexandre.
Ses cavaliers ont écrasé les légions à la bataille de Rhesaena. Les Romains en déroute abandonnent la Mésopotamie et l'Arménie.
La Syrie est menacée (déjà) et au-delà de cette province, la riche Égypte, le véritable grenier à blé de Rome.
Timésithée, nommé à la hâte Préfet du prétoire, c'est-à-dire commandant en chef des forces Romaines, se rend en Orient, accompagné du jeune empereur Gordien III, son gendre.
Très vite, cet homme, qui n'est pourtant qu'un général de raccroc, rétablit la situation aux frontières. Hélas, une dysenterie, d'ailleurs fort suspecte, emporte ce rhéteur devenu, par la force des choses, le plus brillant général de l'Empire...
Privé du plus ferme soutien de son trône, le jeune Gordien III se trouve fort désemparé. Pour remplacer son beau-père dans ses fonctions de Préfet du Prétoire, il choisit le maître de cavalerie Philippe, futur empereur Philippe l'Arabe.
Un choix bien malheureux ! C'est cet individu que la rumeur publique accuse d'avoir empoisonné Timésithée... Le nouveau Préfet du Prétoire est, en outre, un ambitieux dénué de tout scrupule…
Enfin, c'est ainsi que le présentent les historiens de langue latine, qui voient en l'Arabe Philippe l'instigateur de la mort de Gordien III et le principal responsable de tous les malheurs qui frappent l'Empire Romain après la mort de ce jeune empereur.
Selon eux, cet intrigant personnage de Philippe ne dévoile pas d'emblée ses ambitieuses batteries. Malgré la mort de son concepteur, il continue d'appliquer la stratégie de Timésithée, et les légions Romaines, toujours victorieuses, progressent encore en Mésopotamie, chassant devant elles les Perses du roi Shapur.
GORDIEN III
Mais, en réalité, Philippe l'Arabe n'a cure du plan de Timésithée. À en croire les historiens « de tradition latine », la victoire des aigles Romaines ne l'intéresse que très modérément ! La seule chose qu'il guigne, c'est le trône impérial, et pour atteindre cet objectif, il a mis au point un savant programme de démoralisation des troupes.
Tout d'abord, il s'ingénie à désorganiser l'approvisionnement de l'armée. Ensuite, quand le ventre et le cerveau des soldats se trouvent bien vides, Philippe déclenche une virulente campagne de dénigrement contre l'empereur Gordien III.
Des propagandistes à sa solde parcourt le camp, opposant systématiquement l'inexpérience du jeune prince aux qualités d'homme de guerre, prétendument exceptionnelles, du Préfet du Prétoire.

Toujours selon les historiens latins, le plan de Philippe a réussi à merveille : Bientôt l'empereur Gordien III s'apercevra que plus personne ne lui obéit.

Le jeune empereur panique, pour sauver sa peau, il propose à Philippe différents arrangements qui, chaque jour, abandonnent au Préfet du Prétoire un peu plus de son pouvoir.
Offrant à Philippe le poste de régent, laissé vacant après le décès de son beau-père. Puis il lui propose de devenir co-empereur avec lui.
Ensuite il a voulu le nommer empereur principal, lui-même se contentant du titre honorifique de César.
Enfin, Gordien III revoit une dernière fois ses prétentions à la baisse : Seul le satisfait l'honneur de servir comme officier sous les ordres de Philippe...

C'était encore été trop demander ! L'Empire n'est pas une charge dont on peut démissionner à son gré. En outre, un Gordien vivant constitue une menace permanente pour Philippe. Aussi celui-ci ordonne-t-il qu'on ôte ce gamin pleurnichard de sa vue et qu'on le tue sans atermoyer... On s'empresse de lui obéir. (Mars 244).

Cette version est aujourd'hui rejetée par la plupart des bons historiens. Accordant davantage de crédit aux relations des historiographes Byzantins et aux inscriptions Perses qui immortalisent les hauts faits d'armes du Roi des Rois Shapur qu'aux rapports des historiens latins, ils estiment que le jeune Gordien III ne finit pas victime des manigances du préfet Philippe, mais qu'il est tué en combattant l'ennemi Perse non loin de leur capitale de Ctésiphon.
Il se serait fracturé la jambe en tombant de cheval et serait mort des suites de cette blessure (mars 244)...
Quoi qu'il en soit, coupable ou non Philippe l'Arabe, honore la mémoire de son prédécesseur (de sa victime ?) en lui faisant élever un splendide cénotaphe en territoire Perse à (Circesium, Zaitha) et en ramenant ses cendres à Rome.
Il est vrai que, dans l'état où il se trouve désormais, le pauvre Gordien III ne représente plus la moindre menace !…

Avant la découverte syrienne, le premier document incontestable attestant l'arrivée au pouvoir de Gordien III comme seul empereur est la frappe de monnaies à Alexandrie, la série, assez courte, datée de l'an 1 de son règne est antérieure au 29 août 238. En revanche, le premier document officiel daté de son règne en Égypte, qui n'apparaît que le 20 septembre de la même année, ne peut servir d'argument pour retarder jusqu'au milieu de l'été son arrivée au pouvoir.
On ne peut guère utiliser les souscriptions du Codex : Si les rescrits du 22 juin, du 16 juillet et au-delà qui sont mis sous son autorité lui son probablement attribuables, on ne peut rien fonder solidement sur ces souscriptions : Les rescrits du 1er janvier au 21 mars de la même année sont également mis sous le nom de Gordien III, ce qui est manifestement faux.

Le fragment des Ada Arvalium, mentionnant les vota decennalia de Gordien III, daté par Xavier Loriot du 8 juin 238, n'est pas un argument aussi solide qu'on pourrait le croire : Le nom du mois a disparu de l'inscription et l'on sait seulement qu'il s'agit du sixième jour des ides.
Au total, la seule date incontestable reste celle de l'annonce de la proclamation de Gordien III à Alexandrie avant le 29 août 238, sans doute plusieurs semaines avant cette date si l'on eut le temps de battre monnaie à son nom au titre de l'an 1 de son règne.
On ajoute avec une grande probabilité une inscription de Virunum du 23 juin 238 où un beneficiarius désigne sa légion comme l'Italica pia fidelis Augusti nostri : La mention d'un seul Auguste nous place certainement après l'assassinat de Pupien et de Balbin.
Ces 2 données s'accordent bien avec la suggestion de Xavier Loriot d'un dies imperii de Gordien III le 6 ou 7 juin 238. Sachant maintenant que le 27 mai 238 on connaît déjà la nouvelle de la proclamation de Gordien III comme Auguste dans un village du Sud de la Syrie, il faut écarter la date proposée en juin.
On ne peut guère abaisser au-dessous d'une quinzaine de jours le délai nécessaire pour entrer la proclamation de Gordien III à Rome et la réception de la nouvelle à Shaqqâ, ce qui nous conduit vers le 10 ou 12 mai pour la première de ces dates.
Mais on peut aussi remonter un peu plus haut en reprenant le raisonnement de Xavier Loriot au sujet des vota decennalia. Si l'on admet que les Frères Arvales ont voté ceux-ci sans tarder pour consolider le pouvoir du jeune empereur, on proposera de dater du VI des Ides de mai, soit le 10 mai 238, le fragment CIL VI, 2113 que Xavier Loriot place en juin. Le dies imperii est dans ce cas à chercher dans les quelques jours précédant la 10 mai, peut-être tout près de cette date, le 8 ou le 9 mai mais on peut remonter jusqu'aux environs du 1er mai si l'on veut respecter le délai habituel entre le dies imperii et le vote des Frères Arvales.

Cette dernière solution offre l'avantage de laisser s'écouler près de 4 semaines entre l'avènement du nouvel empereur et la gravure du texte de Shaqqâ.
Si l'on reprend maintenant le fil des événements en tenant compte de la date contraignante imposée par le texte de Shaqqâ, on ne rencontre aucune difficulté particulière à faire coïncider les indications de nos meilleures sources, notamment d'Hérodien, avec une chronologie haute, ramassée sur les 4 premiers mois de 238.

Dans les premiers jours de janvier 238, ou peut-être déjà à la fin de décembre 237, Gordien Ier et son fils sont proclamés empereurs à Thysdrus.
Ceci concorde avec les seules indications chronologiques précises que nous devons respecter absolument : D'une part Maximin est encore reconnu comme empereur en Proconsulaire quelques jours après le 10 décembre 237 puisque des inscriptions de la province lui donnent une 4e puissance tribunicienne, d'autre part, le soulèvement de Thysdrus a eu lieu vers la fin de la 3e année de règne de Maximin, si celui-ci succède à Sévère-Alexandre entre le 18 février et le 9 mars 235, l'approximation établie par Hérodien VII, reste acceptable.

Vers la mi-janvier au plus tard, la nouvelle des événements d'Afrique parvient à Rome et le Sénat s'empresse de reconnaître les nouveaux empereurs, suivi par de nombreuses provinces de l'Orient Grec.
La nouvelle de l'usurpation et de sa légitimation par le Sénat doit parvenir à Sirmium, où séjourne alors Maximin, vers la fin du même mois, c'est-à-dire au moment même où les deux empereurs meurent à Carthage. Ignorant encore ce dernier développement de la situation, Maximin décide de marcher sur l'Italie. Une dédicace de Viruniim, en l'honneur de la Victoria Augusti datée du 1er février 238, peut faire écho à cette décision.

Le 31 janvier ou le 1er février, Pupien et Balbin, membres de la commission sénatoriale des XX viri consulares ex senato-consulto reipublicae curandae, sont proclamés Augustes par le Sénat, le jeune Gordien III, petit-fils et neveu des empereurs tués à Carthage, leur étant associé comme César.
La nouvelle doit parvenir à Maximin en même temps que celle de l'assassinat des 2 Gordiens et ne peuvent l'obliger à changer ses projets. Bien au contraire, les modalités même de cette proclamation, où le Sénat joue le rôle essentiel, sont plus inquiétantes encore pour lui que le fait qu'il y ait usurpation.
GORDIEN III LORS DE SA NOMINATION
Il a donc toute raison de maintenir son projet de campagne contre l'Italie. Les nouveaux empereurs ne doutent d'ailleurs pas des intentions de Maximin. Dans la première quinzaine de février, Pupien part pour Ravenne prendre le commandement des troupes rassemblées par le Sénat pour faire face à l'invasion de Maximin.
Celui-ci, dont la marche est ralentie au milieu de février pour tenter de s'emparer de la place forte et des ressources qui permettent au gros de l'armée de retrouver une pleine efficacité après une traversée hivernale des Alpes Carniques, ce qui doit à coup sûr fortement éprouver les troupes. Ce n'est qu'à la fin du même mois de février que Maximin parvient enfin sur le versant sud des Alpes, au bord de l'Isonzo...

Gordien III — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gordien_III
Gordien III (Marcus Antonius Gordianus Pius) ( 20 janvier 225 - 11 février 244 ) est empereur ... La première année de son règne est très mal connue, mais on sait qu'il fait damner la mémoire de Pupien et Balbin. En 240, après avoir licencié la ...


Empereurs romains - Gordien III (M. antonius gordianus)
www.empereurs-romains.net/emp31.htm
238 - 244. Gordien III (Marcus Antonius Gordianus). gordien gordianus III. Au début de l'année 238, le cruel Maximin le Thrace, un soudard barbare et cruel, ...

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