samedi 24 septembre 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 242

5 SEPTEMBRE 2016...

Cette page concerne l'année 242 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LE DIEU JANUS.

JANUS
A l’Est, les Perses Sassanides s’agitent plus que jamais, ces derniers
sont dirigés par des souverains nationalistes, fanatiques sur le plan religieux et désireux de reconquérir toutes les régions qui ont appartenu à Darius 8 siècles plus tôt...
En 242, Gordien III ouvre le temple de Janus. C’est donc la guerre et
l’armée Romaine part pour une expédition en Mésopotamie, afin de
repousser durablement l’envahisseur Sassanide.

Dans la vieille Étrurie, « janua » désigne la porte domestique, « janus » un passage à double entrée, « januarius » le premier mois de l’année. À Rome, le temple de Janus ouvre ses larges portes en temps de guerre, les ferme en temps de paix.

Janus est l'un des plus anciens et des plus grands dieux du panthéon Romain. Les mythologues ne sont pas tous d'accord sur son origine. Selon certains, Janus est indigène à Rome, où il a autrefois régné avec Camèse (un roi mythique).
Selon d'autres, Janus est un étranger, originaire de Thessalie et exilé à Rome, où il a été accueilli par Camèse, qui a partagé son royaume avec lui. Janus a alors bâti une cité sur la colline (elle a pris le nom de Janicule, d'après celui du dieu). D'autres, encore, en font un fils d'Apollon et de Créuse...
Il fonde la ville de Janicule lorsqu'il aborde en Italie, dans le Latium en compagnie de sa femme Camisè, avec qui il a des enfants, notamment Tiber, l'éponyme du Tibre.
A la mort de Camèse, il continue de régner seul sur le Latium et il accueille Saturne, chassé du ciel et de Grèce par son fils Jupiter.
Par reconnaissance, Saturne donne à Janus le don de la « double science », celle du passé et celle du futur.
En effet, Janus est représenté avec 2 visages tournés en sens contraires. Ovide dit qu'il a un double visage parce qu'il exerce son pouvoir sur le ciel, sur la mer comme sur la terre, tout s'ouvre ou se ferme à sa volonté, il gouverne la vaste étendue de l'univers...
Le règne de Janus est pacifique. On le considère donc comme le dieu de la paix. Il est aussi la divinité des portes (car toute porte regarde des 2 côtés). Le roi Numa lui fait bâtir à Rome un temple. Ce temple est orienté d'Est en Ouest et 2 portes y donnent accès, entre lesquelles s'élève une statue de Janus à deux visages.
Lors d'une déclaration de guerre, les Romains ouvrent les portes de son sanctuaire pour indiquer que le dieu est parti combattre, et les referment dès que le dieu est de retour, donc en temps de paix. Ce temple est fermé une fois sous le règne de Numa, une 2e fois après la seconde guerre Punique et 3 fois sous le règne d'Auguste. Janus préside aussi aux portes du ciel et les garde de concert avec les Heures.
Grâce a son double visage, Janus contrôle aussi l'Orient et l'Occident.
Afin de montrer que Janus est le gardien des portes et qu'il préside aux chemins, on le représente tenant d'une main une clef et de l'autre une verge. On dit aussi que Janus est l'inventeur des bateaux (qu'il a utilisé pour faire le voyage de Thessalie en Italie) et celui des pièces de monnaie.
En effet, les plus anciennes pièces de bronze Romaines portent d'un côté l'effigie de Janus et de l'autre une proue de bateau.
Janus est devenu le dieu de toute chose, celui de l'Année (il a d'ailleurs donné son nom au moi de janvier : Januarius), le dieu des Quatre Saisons (dans ce cas-là, il est alors représenté avec 4 têtes).
On dit aussi que Janus a épousé la Nymphe Juturne et qu'il a eu avec elle un fils, le dieu Fons (dieu des sources)...
Janus est aussi un habile orateur. Une fois mort, Janus est divinisé. Différentes légendes se rattachent à lui, et en particulier celle qui raconte le miracle qui sauve Rome de la conquête Sabine.

Le temple de Janus Quirinus, qui n'a été fermé que 2 fois avant lui depuis la fondation de Rome, l'est trois fois sous son principat, dans un espace de temps beaucoup moins long, la paix se trouvant établie sur terre et sur mer. Il entre 2 fois dans Rome avec les honneurs de l'ovation, d'abord après la guerre de Sicile. Il célèbre 3 triomphes curules, ceux de Dalmatie, d'Actium et d'Alexandrie, le tout en 3 jours de suite.

«... Ma citadelle est la colline que le public désigne par mon nom
et que ce siècle appelle Janicule. Je régnais au temps que la guerre supportait encore les dieux et que les divinités fréquentaient les habitations des hommes.
La scélératesse humaine n'avait pas encore fait fuir la Justice : Elle fut la dernière des divinités du ciel à quitter la terre, ce n'était pas la crainte mais le sens de l'honneur qui régissait sans violence le peuple : Il n'était pas difficile de rendre la justice à des hommes justes. Je n'avais rien à faire avec la guerre : Je gardais la paix et les portes » et me montrant la clef : « Voici, dit-il, les armes que je porte ».
SESTERCE DU TEMPLE DE JANUS
Dieu romain des commencements et des fins, des choix, du passage et des portes. Il est bifrons (« à 2 têtes ») et représenté avec une face tournée vers le passé, l'autre sur l'avenir.
Il est fêté le 1er janvier, marque le commencement de l'année dans le calendrier Romain.
Son temple est situé sur le forum de Rome, et rituellement ouvert en temps de guerre, fermé en temps de paix. L'une des collines de Rome, le Janicule, lui est consacrée. C'est un dieu de premier rang dans la hiérarchie religieuse Romaine, le seul avec Jovis (Jupiter) et Mars (Marspater) à être qualifié de « Dieu le père », Januspater.
3 étymologies ont été proposées par les anciens érudits pour expliquer le nom du dieu et sa nature. Il est écrit Ianus, en latin classique, Ian, en latin archaïque, dans le Chant des Saliens.
La première étymologie possible est le lien avec eo (« aller »), iens (« allant »). Janus répond au concept de « passage » et généralement honoré comme un dieu introducteur, lié au passage du temps (janitor, le portier). Elle est celle soutenue par Ovide et Cicéron :
« Je veille aux portes du ciel avec l'aimable cortège des Heures, Jupiter ne peut entrer ni sortir sans moi : C'est pour cela qu'on m'appelle Janus. »

« (lt) quod ab eundo nomen est ductum : dont le nom dérive de allant. »
Julius Pokorny fait de même et souligne la probable assimilation du prénom slave Jan, Jana avec le judéo-chrétien Iohannes (« Jean »).
Il y a peut-être un ancien syncrétisme, la fête de la Saint-Jean d'hiver et d'été correspondant mutatis mutandis à celle de Janus en hiver et de sa parèdre (proche) Carna en juin.
Pokorny rattache, avec un autre suffixe, ce Ianus latin à l’allemand Jahr, l’anglais year (« année ») et au grec ὥρα, hôra (« heure »), Janus serait à ce titre, un dieu abstrait du temps, équivalent théologico-mythologique du Chronos Grec.

La seconde étymologie, proposée par Paul Diacre au VIIIe siècle, est motivée par le sens d'ouverture et propose, pour radical, hio, hiare, hians (« ouvrir, béer »), dont Ianus, Janus dériverait par la perte de l'aspiration initiale. Il le rapproche du dieu Chaos qui précède la création du monde :
« …de là est tiré Janus avec perte de l'aspiration. »
Ovide, sans établir un lien étymologique, rapproche déjà Chaos de Janus : « autrefois on m'appelait Chaos. »
G. Capdeville considère forcé et inutile ce rapprochement avec le Chaos Grec, la fonction d’« ouvreur » du dieu Janus étant suffisante pour expliquer sa place au début des temps.

La 3e étymologie, proposée par Nigidius Figulus, se rapporte aussi à la notion de passage, d'ouverture, et fait de Janus un être dual, équivalent à la fois de Diane et de l'Apollon Romain :
« Il en est qui disent que Janus est le même à la fois qu'Apollon et Diane, et que ces deux divinités sont voilées sous son seul nom. En effet, comme le rapporte Nigidius, les Grecs honorent Apollon sous le nom de Θυραῖος (Thyréen), dont ils dressent les autels devant leurs portes, pour montrer qu'il préside aux entrées et aux issues. […]
Chez nous le nom de Janus indique qu'il est aussi le dieu des portes, puisque son nom latin est l'équivalent du mot grec θυραῖος [note : « portier, de la porte », en grec]. Nigidius a dit expressément qu'Apollon est Janus et Diane, Jana. »
Cette étymologie a le soutien de A. B. Cook qui fait de Janus un dieu du ciel et du jour (dies en latin). Elle est celle de Jupiter, Jovis et, c'est peut-être un « doublon » dans le panthéon Romain de ce dieu. Mais la forme Dianus postulée par Nigidius n'est pas attestée...

Il est Pater (« père ») dans Januspater. Cette épithète cultuelle, réservée comme il est dit plus haut aux seuls Jupiter et Mars, marque son rôle primordial dans le panthéon Romain, célébré dans les très anciens chants des Saliens, comme le deus deorum (« dieu des dieux »).
Deux épithètes cultuelles du dieu sont Patulcius (« celui qui ouvre ») et Clusius (« celui qui clôt ») « parce que les portes de son temple sont ouvertes pendant la guerre et fermées pendant la paix. »

Il est Consivius (« semeur »), ce qui marque le lien avec son rôle de commencement, de créateur. Ce très ancien dieu est le seul mentionné, avec Cérès, déesse de la croissance, dans le Chant des Saliens.
Il est encore Junonius (« junonien »). Macrobe nous explique :
« De même que les ides étaient consacrées à Jupiter, ainsi nous savons, par les témoignages de Varron et du Livre pontifical, que les calendes étaient dédiées à Junon. C'est pourquoi les Laurentins, fidèles aux pratiques religieuses de leurs pères, conservent à Junon le nom de Kalendaris, que ceux-ci lui ont donné dans son culte. De plus, ils invoquent cette déesse le jour des calendes de chaque mois, depuis mars jusqu'à décembre. Les Romains font de même : Outre le sacrifice offert à Junon dans la Curie Calabra par le pontife mineur, la reine des sacrifices lui offre dans sa demeure royale une truie ou une brebis.
TEMPLE DE JANUS A ROME
C'est de cette déesse que Janus, comme nous l'avons dit, tire son nom de Junonius, parce que, tandis que toutes les entrées sont consacrées à ce dieu, les jours des calendes de chaque mois paraissent devoir être attribués à Junon...
En effet, puisque les anciens commencent leurs mois avec la nouvelle lune, et qu'ils croient que la lune est la même que Junon, c'est à juste titre qu'ils ont consacré les calendes à cette déesse. »
Junon, qui préside à l'enfantement et aux cycles menstruels a un rôle apparenté à celui de Janus qui en retour, lui est aussi apparenté.
Ils sont particulièrement associés lors du Tigillum Sororium, le 1er octobre.

Une statue de Janus marque de ses mains le nombre de 365, pour exprimer la mesure de l'année. C'est peut-être, étant donné que le calendrier Romain comporte 355 ou 377 jours, la statue de Janus « consacrée dans le temple de ce dieu par Auguste et apportée d'Égypte, » pays où le calendrier compte 365 jours et que Pline hésite à attribuer à Scopas ou à Praxitèle.

Janus est associé au commencement de l'année, au début du mois, les calendes et à l'aube.

Ovide nous rapporte ce qui est peut-être la prière rituelle au dieu, le jour du Nouvel An :
« Dieu à double visage, c'est de toi que part l'année pour s'écouler sans bruit,
toi qui, sans tourner la tête, vois ce que nul autre dieu ne peut voir, montre-toi propice aux chefs dont l'active sollicitude donne le repos à l'Océan et la sécurité à la terre, qui nous prodigue ses trésors, montre-toi propice à tes sénateurs, au peuple romain, et, d'un signe, serre les portes de ton candide sanctuaire. »...
Cette dernière phrase étant à comprendre comme une métaphore poétique : « …et apporte nous la paix. »

Ce jour-là, un prêtre dépose sur son autel un gâteau de froment mêlé de sel. Le 1er janvier est le jour des étrennes sous forme de dattes et de figues sèches, de miel que les Romains s'offrent alors, accompagnés des vœux de bonne année entre les hommes et de prières adressées aux dieux, plus « efficaces » en ce jour qu'en tout autre :
« Un présage, dit-il, est attaché au commencement de toute chose, toute première parole est écoutée avec une attention craintive, c'est l'oiseau aperçu le premier qui fait loi pour l'augure.
Les temples viennent de s'ouvrir, les dieux prêtent l'oreille, aucune des prières que prononce la bouche des mortels n'est perdue, chaque syllabe en retentit aux cieux2. »
Janus est invoqué « non seulement au commencement de janvier, mais encore au premier jour de tous les mois, les calendes, dédiées à Junon. Varron, dans le cinquième livre Des choses divines, dit qu'il y a douze autels dédiés à Janus, pour chacun des douze mois. »

Horace, le prie en tant que pendant masculin de Mater Matuta : « Ô père du matin, Janus (peut-être ce nom-là te plaît davantage), toi que chaque homme, à son réveil, invoque, avant la tâche quotidienne. »
Dumézil pense que cette habitude en fait une divinité solaire. « En se levant, il ouvre le jour, en se couchant, il le clôt. »

Le 9 janvier, lors des Agonalia, le rex sacrorum sacrifie un bélier sur l'autel du dieu.

Le 30 mars, c'est-à-dire à la fin du mois dédié au dieu de la guerre, « il faut rendre hommage à Janus, et en même temps à la douce Concorde, au salut de l'empire, au génie de la paix. »
Janus est invoqué lors de la déclaration de guerre à un peuple ennemi selon une vieille formule rapportée par Tite-Live, établie du temps de Numa Pompilius où le fétial déclare :
« Écoute, Jupiter, et toi, Janus Quirinus, et vous tous, dieux du ciel, de la terre et de l’enfer, écoutez : Je vous prends à témoin de l’injustice de ce peuple (et il le nomme) et de son refus de restituer ce qui n’est point à lui. Au reste, les vieillards de ma patrie délibéreront sur les moyens de reconquérir nos droits. »
Cette formule consacrée nous renseigne indirectement sur le fait que Mars, n'est pas encore, à l'époque de la fondation de Rome, un dieu guerrier, sinon il aurait été invoqué lors de toute déclaration solennelle des hostilités...
Le plus ancien temple consacré au dieu Janus, à Rome, se trouve près du Forum romain :
Ajouter une légende
« Il (Numa Pompilius) éleva le temple de Janus. Ce temple, construit au bas de l'Argilète, devient le symbole de la paix et de la guerre. Ouvert, il est le signal qui appelle les citoyens aux armes, fermé, il annonce que la paix règne entre toutes les nations voisines.

Ovide propose une autre explication, plus abstraite : « [les portes du temple sont ouvertes] pour que le peuple, parti pour la guerre, ne rencontre aucun obstacle à son retour, […] la guerre terminée, [le temple de Janus est fermé], pour que la paix ne trouve aucune issue. »

Marcel Renard associe Janus à un autre endroit de Rome, le Tigillum Sororium, la « Poutrelle de la Sœur ».
C'est une sorte de « torii » dont l'érection remonte au combat des Horaces et des Curiaces. Le jeune Horace, vainqueur des Curiaces, revient à Rome et tue sa sœur qui, épouse de l'un des Curiaces, se lamente de la perte de son bien-aimé.
« Va, avec ton fol amour, rejoindre ton fiancé, toi qui oublies et tes frères morts, et celui qui te reste, et ta patrie.
Périsse ainsi toute Romaine qui osera pleurer la mort d'un ennemi. »
Condamné pour ce crime, le jeune Horace finit par être acquitté mais, « après quelques sacrifices expiatoires, [son père] place en travers de la rue un poteau, espèce de joug sous lequel il fait passer son fils, la tête voilée... Ce poteau, conservé et entretenu à perpétuité par les soins de la République, existe encore [au temps de Tite-Live]. »
L'anniversaire de cette cérémonie se déroule le 1er octobre, date qui, dans le calendrier Romain, marque la fin de la « saison guerrière. » Il s'agit d'un rituel de purification, équivalent à celui qui consiste à faire passer l'ennemi vaincu sous un joug pour lui ôter sa nocivité et à faire passer les armées victorieuses sous un arc de triomphe pour neutraliser les guerriers, les débarrasser de la force guerrière et les rendre à la vie civile.

« Le premier jour [du mois de juin] t'est consacré, Carna, déesse des gonds. Elle ouvre ce qui est fermé, elle ferme ce qui est ouvert, tels sont les attributs de sa divinité. […] Non loin des bords du Tibre s'élève l'antique bois d'Helernus, où les pontifes vont encore aujourd'hui offrir des sacrifices. […] On la prend pour la sœur de Phébus, et ce n'est pas te faire injure, ô Phébé. Si quelque jeune amant lui adresse des paroles passionnées, elle répond aussitôt : « Il y a trop de jour ici, et le jour est pour beaucoup dans la pudeur, conduisez-moi vers quelque grotte retirée, je vous suivrai. » […] Janus la voit, à sa vue, il s'enflamme, il essaie par de douces paroles d'attendrir cette inflexible beauté : la nymphe, suivant sa coutume, le prie de trouver un asile solitaire, elle feint de le suivre, de l'accompagner, mais bientôt le guide est seul, on vient de l'abandonner. Mais c'est en vain, ô insensée ! Janus ne voit-il pas ce qui se passe derrière lui ? Il sait déjà où tu es cachée... C'est en vain, te dis-je, car sous la roche où tu te réfugies, il te serre dans ses bras, il te possède et s'écrie : « Pour prix de tes faveurs, pour prix de ta virginité perdue, je soumets les gonds à ton pouvoir. »
RUINE  A ROME
Et à ces mots, il lui donne une branche d'aubépine, pour écarter des portes toute funeste aventure. »
Carna est-elle Venilia ? Ovide, dit qu'avec cette nymphe, Janus a une enfant, Canens, qui épouse Picus, fils de Saturne.
Mythologiquement, Ovide unit les enfants des deux dieux du temps. Ce mariage est malheureux. Canens meurt sur les rives du Tibre


Janus (mythologie) — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Janus_(mythologie)
Janus est le dieu romain des commencements et des fins, des choix, du passage et des portes. Il est bifrons (« à deux têtes ») et représenté (voir illustration) avec une face tournée vers le passé, l'autre sur l'avenir. Il est fêté le 1 janvier . Son mois, Januarius (« janvier »), marque le commencement de l'année ..... Le plus ancien temple consacré au dieu Janus, à Rome, se trouve près du ..

Janus
www.lycee.ch/cours/mytho/janus.html
Ce temple est orienté d'est en ouest et deux portes y donnaient accès, entre lesquelles ... Janus est devenu le dieu de toute chose, celui de l'Année (il a d'ailleurs ... 241-242; Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Larousse, Paris, ...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire