dimanche 25 septembre 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 239


8 SEPTEMBRE 2016...

Cette page concerne l'année 239 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

UNE FEMME IMPORTANTE HIMIKO

YAMATAI HIMIKO
Cet article relate l’existence d'une classe très peu connu de l'histoire du Japon, les femmes Samuraï. Le terme étant masculin, ces dernières sont nommés onna-musha, qui est l'abréviation du terme onna-bugeisha, qui veut dire tout simplement « une femme qui pratique la guerre », « mu » étant tout simplement une autre lecture de « bu ». Certaines d'entre elles auront d'ailleurs un impact significatif sur l'histoire du Japon... Elles font plutôt figure d'exception dans le milieu, très masculin, des Samuraï, qui semblent apparaître au VIIIe siècle, ce qui peut paraître étrange si l'on consulte les sources les plus anciennes concernant le Japon.

Les légendes Ainus évoquent, ainsi, des femmes combattantes spécialisées dans le tir à l'arc, qui semblent avoir été une de leurs armes de prédilection dans l'archipel, car d'après les annales Chinoises de la dynastie des Wei (220-265), le Weizhi (263-280, complété en 429).
Cette arme est déjà utilisé au IIIe siècle dans le pays de Wa (nom donné au Japon dans les chroniques Chinoises et Coréennes, et signifiant « nain ») : « Quand ils se battent (probablement hommes et femmes), ils utilisent une hallebarde, un bouclier et un arc de bois. Que les femmes de cet époque portent des armes va de soi, car d'après cette même chronique, les « 100 communautés » qui constituent le pays sont perpétuellement en guerre entre elles.
De plus, un élément qui surprend les ambassadeurs Chinois, est que la société Japonaise est alors une société matriarcale, où les femmes jouent un rôle important en tant que chamanes (miko) ou chef de clans.
Ainsi, on a retrouvé des tombes du IVe siècle de femmes enterrés avec leurs armes et leurs armures, symboles de leur pouvoir au sein de leur clan.

Les premières chroniques de l'histoire Japonaise, le Kojiki et le Nihon Shoki, nettement plus sujettes à caution (étant écrites en 712 et 720 seulement) nous présentent aussi des reines guerrières commandant elles-mêmes des troupes à l'assaut de fortifications ennemis du Yamato ou à travers le détroit de Corée.
La première dont on soit historiquement sûre est cité par le Weizhi elle vit au IIIe siècle... C'est une reine chamane et guerrière, peut-être prêtresse du soleil, du nom d'Himiko (ou Pimiko) (un surnom signifiant la « fille » ou « enfant du soleil ») qui vivant dans le royaume du Yamatai, un ensemble de « 30 pays », qui se situe dans le sud de l'archipel, probablement dans l'île de Kyūshū. Elle a fédérée autour d'elle ces principautés en 188, mais du fait de leur instabilité, elle a vécu isolée dans une forteresse avec des tours de garde, entouré de
1 000 fonctionnaires féminines, et préfère laisser le côté temporel à son frère cadet et s'assurer l'alliance de la dynastie des Wei, qui domine alors une partie de la Corée, en envoyant une ambassade à Luoyang, leur capitale, en 239, à qui elle offre un tribut.
Le but semble avoir été d'affirmer son prestige sur celui des autres royaumes du Japon. De fait, en 240, elle reçoit un miroir avec le titre de « Reine de Wa, Amie de Wei ».
YAMATAI  YAYOI
Par contre, son ambassade vers les Trois Royaumes Coréens encore indépendants, Silla, Koguryŏ et Paekche, peut-être entre 239 et 246, lors des 3 ambassades à Luoyang, montre la volonté des premières principautés Japonaises d'étendre leur influence sur la côte. Peut-être en 246, le roi Pimikuku (ou Himikuku) de Kunu (Kona) (région d'Owari et Tokai-do), a finit par envahir Yamataï. Le conflit est basé sur le contrôle de la route des métaux qui permet l'approvisionnement en fer venu du continent (de nombreuses poteries ont été découvertes le long de cette route). Himiko n'a eut la vie sauve que par l'intervention de la dynastie Wei peut-être lors de son ambassade de 246... Cette théorie peut-être démontré par le fait qu'après cette défaite elle meurt soudainement peut-être la même année. Certains historiens ont suggérer qu'elle a pu être tué, avec sa suite par d'autres chefs de tribus, plus 100 esclaves et être enterrée dans un grands tumulus.

Cependant, elle n'est mentionnée ni dans le Kojiki ni dans le Nihon Shoki, et certains historiens pensent que Himiko a put être un des surnoms de l'impératrice Jingu, de son vrai nom Okinagatarashi-hime, qui d'après ces deux ouvrages a régné à la même période entre 192 et 269. Mais des sources partiales peut être une idéalisation des faits concernant la reine de Yamataï et afin de justifier la politique Japonaise sur la côte qui ne commence réellement qu'au IVe siècle. Ainsi, elle monte une expédition en 209, après la mort de son mari le 14e empereur, Chūai, qu'elle conduit elle-même contre les Trois royaumes Coréens, Silla (Shiragi), Koguryō, et Paegkche (Kudara), qu'elle a finit par soumettre sans verser le sang.
D'ailleurs, dans ce récit, les soldats Japonais, portent une armure légère, utilisent des arcs et des épées, à l'image des usages du pays de Wa...
Dans les faits, les premières relations avec les Trois Royaumes Coréens n'ont commencé qu'entre 239 et 246 et le récit de l'invasion de la Corée peut s'inspirer de l'expédition de l'impératrice Saimei en 661. Puis Jingu est retourné au Japon où elle accouche de son fils (d'après une tradition 3 ans après la mort de son mari), le futur empereur Ojin, dont elle assure la régence, brisant de nombreuses rébellions jusqu'en 269.
Ce dernier n'a probablement gouverné qu'au Ve siècle. Toutefois, le fait qu'Himiko vit dans une forteresse isolée et a eu une mort soudaine prouve que le royaume reste instable. Dans le Weizhi, de nouvelles guerres se développent, du à la tentative de son frère à lui succéder, qui entraîne le choix d'une nouvelle reine, la nièce d'Himiko, elle aussi chamane, Iyo (ou Toyo), à peine âgé de 13 ans, qui montre que le matriarcat est alors la règle au sein du Yamatai, mais qui disparaît des sources Chinoises après son ambassade de 265, puis le royaume sombre dans la guerre civile, d'où la disparition des sources.

NIHON SHOKI
Été : La reine Himiko de Yamatai, au Japon, envoie un émissaire en Chine à la commanderie Han de Daifang en Corée. Elle sollicite une audience auprès de l’empereur à Luoyang et revient avec des cadeaux dont un sceau d'or confirmant la reine des Wa comme vassale du royaume de Wei. Des voyageurs Chinois se rendent au Japon. Il dépeignent une société organisée comprenant « plus d'une centaine de communautés » qu’ils désignent comme le pays des « Nains » (Wa)
Himiko (卑弥呼?) ou Pimiko2 (175-248) est une reine japonaise qui a régné de 188 (date supposée) jusqu'en 248 sur la région de Yamatai. Le Yamatai serait soit situé dans la province de Yamato, soit dans le nord de Kyūshū Principalement connue par le Gishiwajinden (魏志倭人伝?, lit. « vie des habitants de Wa dans les chroniques de Wei »), un texte Chinois de 8 pages issu du livre dédié au royaume de Wei dans les Chroniques des Trois Royaumes. Selon ce texte, Himiko est une prêtresse qui peut contrôler les esprits des gens grâce à ses pouvoirs surnaturels... Son jeune frère l'aide pour les affaires politiques. Son palais est situé à Inuyama et elle a envoyé plusieurs messagers à Luoyang, capitale des Wei, en 239, 242 et 246, les Wei eux-mêmes ont envoyé un groupe de messagers au Japon en 240... De nombreuses personnes affirment que Himiko est en fait Amaterasu.

Le 31 mai 2009, l'équipe de chercheurs du professeur Harunari du Musée national d'histoire Japonais de Sakura (Chiba) ont présenté lors du 75e meeting annuel de l'Association Japonaise d'Archéologie les résultats de leurs recherches, selon lesquels le kofun Hashihaka (箸墓?) situé dans la ville de Sakurai dans la préfecture de Nara pourrait être la tombe de Himiko. Des objets dont la datation au carbone 14 concordent avec la date de la mort de la reine ont été découverts sur le site, cependant certains archéologues trouvent cette sépulture trop moderne pour être du IIIe siècle, ces découvertes restent donc sujettes à caution.
L'Agence impériale refuse cependant l'excavation des corps et des mobiliers de la tombe bien que ceux-ci pourraient fournir de nombreuses informations sur l'identité de la reine et sur la lignée des empereurs du Japon, descendant officiellement d'Amaterasu...

On ne voit réapparaître des récits sur le Japon qu'au Ve siècle au moment où de 418 à 478, « 5 rois wa » envoient des ambassades à la dynastie Song pour faire reconnaître leur autorité, probablement de la dynastie Yamato qui s'impose alors sur l'archipel.
On ne sait pas d'où est originaire la dynastie, mais quelques historiens ont suggéré qu'ils peuvent être originaire de Kyushu, d'où ils sont partis après l'instabilité touchant à la fin du IIIe siècle le Yamatai, (Yamato), avant de s'installer dans la région de Nara et de s'y imposer au IVe siècle.
Mais il faut savoir que cette région a été comme Kyushu et l'Est d'Honshu une des zones de la culture Yayoi, et Yamato est tout simplement un terme générique qui a été repris par le clan qui donne naissance à la dynastie.
Pour asseoir son pouvoir et unifier le pays, celle-ci a cherché à faire de leur ancêtre une divinité solaire, à l'image de la Corée où le pays est dirigé par les « enfants du soleil ». Ils choisissent la divinité Hinokuma-no-kami de la province de Kii (dans la préfecture de Yakayama), dont ils mettent en place le culte à Ise au Ve siècle, où elle est peut-être devenu Amaterasu O-mi-kami. Le Kojiki et le Nihonshiki lui donne un rôle important dans la fondation de la dynastie et sa prétention sur les autres royaumes Japonais. La légende du cadeau de l'épée « Ama no Murakumo no Tsurugi », populairement renommée Kusanagi no tsurugi, par son frère, Susanoo, dieu des tempêtes, sert à justifier les prétentions de la dynastie sur le royaume d'Izumo (aujourd'hui dans la préfecture de Shimane), qui résiste à la domination du Yamato, telle que le montre les relations conflictuelles entre Amaterasu et Susanoo. Épée qui a été remise par Amaterasu au fondateur légendaire du clan, son petit-fils, Ninigi No Mikoto, avec le yata-kagami (un miroir) et le magatama (bijoux sacrés) comme preuve de son droit divin de régner, ces insignes étant d'ailleurs sources d'autorité et preuve de royauté dont les Kofun, tumulus des rois sont décorés. Mais ceux-ci n'apparaissent qu'à la fin du IIIe siècle lors de la . Période où le réel fondateur de la dynastie, Sujin, a peut-être vécu, car tout comme Jimmu, il est considéré comme le « premier empereur du Japon ». C'est peut-être lui qui le premier a cherché une origine plus noble afin d'asseoir son autorité sur la région de Nara. Il est possible que, telles que le montre certaines anecdotes de la vie d'Amaterasu (sa proximité avec une miko, l'épisode de la grotte et l'expulsion de son frère), il ait choisi Himiko, la reine-chamane, prêtresse du soleil (ainsi que l'indique son nom) du Yamatai comme ancêtre, qui a eu un enfant hors mariage (on ne sait pas l'origine de Ninigi par rapport à Amaterasu), associé plus tard à Hinokuma-no-kami devient la déesse Amaterasu O-mi-kami, entre le IVe et le Ve siècle. Démontrant également qu'il est possible qu'il y ait eu dans le clan Yamato des femmes qui ont joué un rôle important dès la fondation de la dynastie, et pourquoi pas une ancêtre anonyme, chamane et guerrière, qui devient plus tard Amaterasu O-mi-kami.

La place des femmes dans la société japonaise n'est donc pas négligeable, et vu le nombre probable d'habitants du pays, les femmes doivent probablement se battre aux côtés des hommes et même savoir commander lorsqu'elles dirigent un clan, comme le montre Jingu. On peut penser que l'armement féminin du IIIe au Ve siècle est probablement le même qu'au VIIIe siècle, l'arc, l'épée courte (on en a trouvé 3 modèles dans les Kofun) et la lance, qu'ignore étrangement le Weizhi, le Kojiki et le Nihon Shoki, qui sont d'abord au IIIe siècle en bronze puis au IVe siècle en fer, le tout avec une armure qui protège la tête, le cou, le torse, les épaules, les bras et le ventre. C'est le contrôle de la route des métaux permettant l'approvisionnement en fer venu du continent, qui explique le succès de la dynastie plus que leurs ancêtres légendaires.
D'ailleurs, au sein de la dynastie, l'aspect matriarcal reste fort, car les femmes ne sont pas exclues de la succession et commandent donc les troupes de l'empire qui se mettent en place au Ve siècle et qui continue son expansion vers le continent, c'est-à-dire les Trois Royaumes Coréens, et le royaume Emishi ou Ebisu, dans la province de Tohoku, au Nord-Est d'Honshuu.

En 239 elle envoie un tribut d'esclaves et de tissus au royaume Chinois Wei (japonais Gi) en échange de quoi le souverain Chinois lui accorde le titre de « reine des Wo amie des Wei » et lui fait remettre un sceau d'or avec cordon pourpre, emblème de la dignité ministérielle en Chine.
La reine Himiko meurt quelques années après l'union entre son pays et la Chine, et son peuple érige un grand tumulus où sont sacrifiés plus de 100 esclaves lors des funérailles. On raconte qu'après la mort de la reine, son royaume sombre dans le chaos d
es guerres et des assassinats.
Sur le Japon des 1er et 2e siècles de notre ère, les textes Chinois sont muets. Seule l’archéologie peut apporter quelques réponses. Deux grandes aires culturelles se dessinent:
Kyushu et l’Ouest de Honshu : Enterrement de grandes épées de bronze
A l’Est de cette première zone : Fabrication de cloches sans battants
On note une diminution des particularismes locaux. Les cloches et les épées fabriquées sont de plus en plus grandes : La puissance des chefs augmente, sans atteindre à une homogénéité politique à proprement parler.

Il est dit que les Wa se teignent le corps en rouge et observent certains tabous. Par exemple, lors du voyage d’un personnage, une personne doit s’abstenir de se laver, de manger de la chair, etc. Si le voyageur meurt, cette personne est tuée.
La cour de Himiko semble assez puissante et assez bien organisée : Fonctionnaires, marchés, vaste palais… Il reste à déterminer à quelles notions précises renvoient les termes du texte Chinois. On note cependant une certaine hiérarchie. En réalité, même s’il s’agit du royaume le plus puissant de l’archipel, ce n’est qu’une confédération de chefs locaux, Himiko étant un chef spirituel dont l’autorité reconnue assure la paix.
Le texte Chinois présente aussi quelques erreurs certaines, qui doivent provenir du fait que les rédacteurs ne sont pas des témoins directs, mais qu’ils transmettent des informations obtenues par les habitants des commanderies de Corée : Ils prétendent qu’il n’y a pas de mouton ou de cheval, alors que l’archéologie prouve le contraire...
L’ambassade que Himiko envoie en Chine montre un désir d’asseoir son prestige, et de renforcer l’emprise du Yamatai sur les autres royaumes.

Le texte Chinois est un écrit extrêmement court, connu de haute antiquité : Le Nihon shoki (日本書紀) essaie de faire de Himiko une impératrice qui rentre dans la lignée impériale d’origine divine.
La localisation du Yamatai suscite de vives polémiques depuis le XIXe siècle. L’enjeu est de déterminer s’il y a continuité, et de quelle sorte, entre le Yamatai et le Yamato. Deux hypothèses s’affrontent : Il s’agit soit de la région de Kyushu, soit d’Osaka et de Nara (le futur Yamato). Les indications précises du texte Chinois pour aller au Yamatai atterrissent au beau milieu du Pacifique, mais semblent se diriger vers le sud : Vers l’île de Kyushu? C’est en effet à cette époque l’endroit le plus développé techniquement, le plus prospère économiquement, en contact avec la Corée.
De plus, les anciens mythes, rapportés dans le Nihon shoki (日本書紀) et le Kojiki (古事記), y placent le lieu de la descente des dieux. Au VIIIe siècle, la cour impériale, pourtant installée depuis 3 à 4 siècles à Honshu, prétend venir de l’ouest. On a cru retrouver le palais de Himiko sur le site de Yoshinagari (Kyushu), en fait le lieu est plus ancien (Ier siècle).
Quelles sont les raisons avancées pour appuyer la 2e hypothèse ?
Tout d’abord, une évidente correspondance phonétique. A cela, on peut opposer que le nom de Yamatai est une transcription de seconde main. En outre, Yamato n’est peut être pas à l’origine un nom de lieu, mais celui de la dynastie qui a pu se déplacer.
Ensuite, les conceptions géographiques Chinoises avant le VIe siècle (date des premiers contacts réels) semblent situer le Japon plus au sud, et inversé, c’est-à-dire que Honshu se trouverait sous Kyushu. En reprenant les indications chinoises, on arrive au Honshu. De plus, les Wei à cette époque sont en guerre contre un royaume au sud. Le fait qu’ils s’intéressent à un pays aussi peu important que le Japon s’explique par cette conception qui les a poussés à s’appuyer sur le Japon pour mener des attaques
On a aussi découvert au Yamato une tombe contenant des miroirs copiés de ceux de Himiko. Le texte Chinois parle d’une unification partielle. Himiko est en guerre avec un autre royaume très puissant, celui de Kuna.

Himiko, est un personnage qui apparaît de temps à autres dans certains jeux vidéo, la plupart du temps dans les jeux vidéo qui sont de conception de la marque Japonaise Koei.
Elle apparaît dans le jeu vidéo Kessen II, sous la forme d'une jeune prêtresse, qui sert l'empire du Wei à la solde de Cao Cao, dans le jeu vidéo Warriors Orochi 2, où son personnage se lie d'amitié avec Da ji, elle est également présente dans la suite de Warriors Orochi 2 qui se nomme Warriors Orochi Z. Et aussi dans le jeu Okami, ou elle rencontre la déesse Japonaise Amaterasu... Elle apparaît également sous forme de personnage dans le jeu Shin Megami Tensei, Persona 4 où elle est la personne de Rise.
Himiko apparaît également comme étant au cœur de l'intrigue du jeu Tomb Raider (2013).



Himiko (reine) — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Himiko_(reine)
Himiko (卑弥呼) ou Pimiko (175-248) est une reine japonaise qui a régné de 188 (date supposée) jusqu'en 248 sur la région de Yamatai. Le Yamatai serait soit situé dans la province de Yamato, soit dans le nord de ... capitale des Wei, en 239, 242 et 246 ; les Wei eux-mêmes auraient envoyé un groupe de messagers au ...
Termes manquants : année

OC]HI 142 : Histoire du Japon Ancien (Guillaume CARRE) - LCAO
forumlcao3.free.fr/fichiers/fleurdeprunus/.../HI%20142%201.doc
Du royaume du Yamatai à la dynastie du Yamato ... Michel Vié : L'Histoire du Japon, Que sais-je ?, PUF, 1969-71 vision des années 70 ...... En 239, les textes chinois indiquent qu'une souveraine des Wa envoie une ambassade aux Wei du Nord. ... L'ambassade que Himiko envoie en Chine montre un désir d'asseoir son ...

La face cachée du Soleil Levant - Persée
www.persee.fr/doc/befeo_0336-1519_2000_num_87_2_3494
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