mercredi 21 septembre 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 245

3 SEPTEMBRE 2016...

Cette page concerne l'année 245 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LES MERVEILLES DÉCOUVERTES AU XXe SIÈCLE REFLET DE L'EMPIRE KOUCHAN.

L’Empire Kouchan (env. Ier – IIIe siècles) - francisation de la forme sanskritisée Kushana, est un État qui, à son apogée, vers 105–250, s’étendait du Tadjikistan à la mer Caspienne et à l’Afghanistan, et, vers le sud, à la vallée du Gange. L’empire a été créé par les Kouchans, une tribu des Yuezhi, un peuple de l’actuel Xinjiang en Chine, possiblement apparenté aux Tokhariens. Ils ont eu des contacts diplomatiques avec Rome, l’Empire Perse des Sassanides et la Chine et, pendant plusieurs siècles, au centre des échanges entre Orient et Occident.
Le nom de Kouchan dérive du terme chinois Guishuang (貴霜) qui décrit l’une des 5 tribus des Yuezhi (月氏), ou bien l'une des 5 principautés soumises aux Yuezhi, on ne sait. Les Yuezhi ont vécu dans les pâturages arides du bassin du Tarim, dans l’actuel Xinjiang, jusqu’à ce qu’ils soient repoussés à l’ouest par les Xiongnu entre -176 et -160. Les 5 tribus Yuezhi ey celles soumises sont connues dans l’histoire de Chine sous les noms de Xiūmì (休密), Guishuang (貴霜), Shuangmi (雙靡), Xidun (肸頓), et Dūmì (都密).

Les Yuezhi atteignent le royaume hellénistique des Gréco-Bactriens, dans le territoire de la Bactriane (extrême nord de l’Afghanistan et Ouzbékistan), autour de -135, et déplacent les dynasties grecques locales, qui se réinstallent dans le bassin de l’Indus (actuel Pakistan), dans la partie occidentale du royaume indo-grec.

Au Ier siècle av. J.-C., la tribu Yuezhi des Guishuang (貴霜) prend le pas sur les autres et les unit en une confédération étroite. Le nom de Guishuang est adopté en Occident et modifié en Kouchan pour désigner la confédération, bien que les Chinois continuent à l’appeler Yuezhi.
En arrachant peu à peu le contrôle de la région aux tribus indo-scythes et en défaisant le royaume indo-parthe au début de notre ère, les Kouchans s’étendent vers le sud au cœur de la région appelée traditionnellement Gandhara (région incluant en particulier le plateau du Pothowar, au Pakistan, et la province frontalière du nord-ouest, mais décrivant un arc englobant la vallée de Kaboul et une partie de la région de Kandahar en Afghanistan) et établissent des capitales jumelles près des actuelles Kaboul et Peshawar, alors appelées respectivement Kapisa et Pushklavati.

Les Kouchans adoptent beaucoup d’éléments de la culture hellénistique de Bactriane, où ils se sont installés. Ils adaptent l’alphabet grec (souvent corrompu) à leur propre langue (avec le développement supplémentaire de la lettre Ϸ /ch/, comme dans « Kouchan ») et commencent bientôt à frapper monnaie sur le modèle grec. Sur leurs monnaies, ils utilisent des légendes en grec combinées à des légendes en kharosthi jusqu’aux premières années du règne de Kanishka Ier et, après cette date, utilisent des légendes en langue kouchane combinées à des légendes en langue grecque, les unes et les autres avec la graphie grecque.
À partir de l’époque de Vima Takto, les Kouchans commencent à adopter la culture indienne comme les autres groupes nomades qui envahissent l’Inde. Le premier grand empereur Kouchan, Vima Kadphisès semble avoir embrassé le shivaïsme, comme l’indiquent ses monnaies. Les empereurs Kouchans suivants représentent une grande variété de divinités d’Inde et d’Asie centrale, ainsi que le Bouddha.
D’une façon générale, les périodes de règne des Kouchans sont controversées. Les dates proposées ici sont celles listées par le spécialiste des monnaies Shailendra Bhandare en 2012, mais ne font pas l'unanimité. Ces dates doivent donc être prises avec réserve. Aussi les dates, argumentées avec précision par Gérard Fussman sont indiquées ponctuellement avec les références de son argumentation .
Héraios vers – 30, premier dirigeant Kouchan.
Kujula Kadphisès vers 40 (?) – 30 selon G. Fussman
Vima Takto, vers 80 à 110, assimilé pour certains à une émission monétaire à « Soter Megas » (Grand Sauveur). Pour d'autres, dont G. Fussman, le monnayage de Soter Megas est à attribuer soit à Kujula Kadphisès (fin de son règne) soit à Vima Kadphisès (début de son règne). Vima Takto étant considéré, alors, comme n'ayant jamais régné.
Vima Kadphisès vers 110 à 127, le premier grand empereur Kouchan, conquiert l'Inde gangétique
Kanishka Ier 127 à 152 (dates calculées d'après le texte sanscrit : Yavana jataka) , ou 78 à 101 selon G. Fussman.
Vāsishka vers 150 à 190
Huvishka
Vasudeva Ier (190 – 220), le dernier des grands empereurs Kouchans
Kanishka II
Vashishka
Kanishka III
Vasudeva II
Dirigeants aux noms acronymiques
Chhu
Shaka Ier
Kipunada ( ? - vers 325)
Héraios est probablement le premier des rois Kouchans. Il est peut-être un allié des Grecs, et partage le même style de monnaies. Héraios est probablement le père de Kujula Kadphisès.

La sculpture a été préservée en très grand nombre et témoigne des implications multiples des cultures présentes sur l'empire Kouchan. L'art du Gandhara en offre l'image la plus riche et il a donné l'occasion de forger, dès les années 1900-1910 le concept d'art gréco-bouddhique par Alfred Foucher. Aujourd'hui ce concept est au cœur de réflexions qui portent moins sur l'hellénisation de l'Orient que sur les phénomènes liés à l'acculturation et plus précisément sur les formes que prend la résistance à cet hellénisme, en particulier dans l'empire Kouchan.
Les échanges culturels sont également florissants et encouragent le développement du gréco-bouddhisme, une fusion d’éléments aryens, hellénistiques et bouddhistes, qui doit contribuer de manière importante à la formation du mahayana qui s'est répandu en Asie Centrale, Orientale et Septentrionale.
Kanishka est célèbre dans la tradition bouddhiste pour avoir convoqué un grand concile bouddhique au Cachemire. On attribue à ce concile d’avoir marqué le début officiel du bouddhisme mahayana panthéiste et sa scission d’avec le bouddhisme nikaya.
Kanishka fait aussi traduire les textes du bouddhisme mahayana de leur langue vernaculaire d’origine, le gandhari ou prâkrit, dans la langue hautement littéraire, le sanskrit.
Avec le roi Indien Ashoka, le roi indo-grec Ménandre Ier (Milinda), et Harshavardhana, Kanishka est considéré par le bouddhisme comme un de ses principaux bienfaiteurs.

L’art et la culture du Gandhara, au carrefour de l'hégémonie des Kouchans, sont les expressions des influences kouchanes les mieux connues des Occidentaux. Plusieurs descriptions directes de Kouchans sont connues à partir du Gandhara, où ils sont représentés avec une tunique, une ceinture et des pantalons et jouent le rôle de dévots du Bouddha et des Bodhisattvas.
Plusieurs sources romaines décrivent la visite d’ambassadeurs des rois de Bactriane et d’Inde pendant le IIe siècle et font probablement référence aux Kouchans :
La chronique historique Chinoise Hou Hanshu (Livre des Han postérieurs) décrit également les échanges de marchandises entre le Nord-Ouest de l’Inde et l’Empire Romain à cette époque :
« Vers l’Ouest, le Tianzhu 天竺 (le N-O de l’Inde) communique avec le Da Qin (l’Empire Romain).
On peut y trouver de précieux objets du Da Qin, tels que de fins vêtements de coton, d’excellents tapis de laine, des parfums de toutes sortes, des pains de sucre, du poivre, du gingembre et du sel gemme. »
La capitale d'été des Kouchans à Begram a révélé une quantité considérable de marchandises importée de l’Empire Romain, en particulier divers types de verrerie.
L’empire kouchan commence à décliner politiquement à la mort de Kanishka Ier. Ses successeurs ont, tout au moins pour les 3 premiers, régné ensemble et ont fondé villes et monastères bouddhiques au Cachemire. Vāsishka a laissé des inscriptions dans le Dekkan aux alentours de Bhopal. Kanishka II a pris le titre de Kaisara (César) mais ses successeurs portent des patronymes purement indiens.
Ils se rendent plus ou moins indépendant dans les provinces, alors que le centre de l’empire demeure dans le Pendjab et le Cachemire, jusqu’à la conquête Sassanide en 241.

À partir du IIIe siècle, l’Empire Kouchan commence à se fragmenter.
Autour de 225, Vasudeva Ier meurt et l’Empire est divisé en 2 parties, à l’Ouest et à l’Est. Vers 224–240, les Sassanides envahissent la Bactriane et le nord de l’Inde, où ils sont appelés Indo-Sassanides.

Vers 270, les Kouchans perdent leurs territoires dans la plaine du Gange, où l’Empire Gupta est établi autour de 320.

Au milieu du IVe siècle, un vassal des Kouchans au Pakistan, appelé Kidara, prend le pouvoir et renverse la vieille dynastie Kouchane. Il crée un royaume appelé Royaume kidarite, bien qu’il se considère probablement comme un Kouchan, comme l’indiquent ses monnaies de style kouchan. Les Kidarites semblent être assez prospères, mais à un degré moindre que leurs prédécesseurs Kouchans.
Ces résidus de l’Empire kouchan sont finalement balayés au Ve siècle par les invasions des Huns blancs, et plus tard par expansion de l’Islam...

La colonie gréco-bactrienne d’Aï Khanoum, à la frontière Nord de l’Afghanistan, constitue une source majeure pour l’étude de l’hellénisme Extrême-Oriental. La trésorerie du palais du dernier roi grec ayant régné en Bactriane Orientale, Eucratide, a fourni un ensemble de trouvailles riches en informations sur les dernières années du royaume gréco-bactrien. Ces trouvailles mettent en lumière la vitalité du pouvoir hellénique à la veille des invasions nomades qui ont détruit la ville vers 145 av. J.-C., notamment la politique de conquête qu’Eucratide entreprit en direction de l’Inde pendant les dernières années de son règne...

En Bactriane la colonisation débute dès l’expédition d’Alexandre (330-327) et accompagne toute la durée de l’État indépendant gréco-bactrien jusqu’au IIe siècle, véhiculant un hellénisme nourri d’emprunts directs au monde méditerranéen. Au sud de l’Hindou-Kouch, la colonisation grecque est stoppée par la montée des Mauryas, quelques décennies après l’expédition d’Alexandre. Mais avant leur passage sous l’autorité indienne à la suite de l’accord entre Séleucos Ier et Chandragupta en 303, d’anciennes colonies Grecques, comme Kandahar en Arachosie, dans le Sud de l’Afghanistan, ont eu le temps de développer leur hellénisme en profondeur.
Dans la vallée de l’Indus, l’apport hellénique ne commence à se manifester que tardivement, à partir de la conquête du souverain gréco-bactrien Démétrios Ier, autour de 190 av. J.-C.
L’hellénisme qui s’y développe alors n’est donc plus le fruit d’apports directs de l’Occident, mais d’un courant originaire du nord, de la Bactriane, et nourri par des vagues successives de colons : Certains sont venus avec les armées de conquérants comme Démétrios, d’autres sont issus peut-être d’Arachosie, d’autres, enfin, ont vraisemblablement été chassés des territoires de la Sogdiane et de la Bactriane après que ces provinces soient tombées aux mains des nomades Sakas et Yueh-chih. À la différence de ce qui se produit en Bactriane, ce développement tardif de l’hellénisme s’effectue graduellement, non sous l’impulsion d’un pouvoir colonial fort, mais plutôt à travers des colons Grecs, qui n’atteindront jamais un nombre suffisamment élevé pour imposer une autorité absolue sur la population indigène.
Tillya tepe, ou Tillā tapa ou « le tertre d’or », ou « la colline de l’or » est un site archéologique Afghan situé dans la province de Djôzdjân à proximité de Chéberghân et fouillé en 1978 par une équipe soviéto-afghane dirigée par l’archéologue russo-grec Viktor Sarianidi, un an avant l’invasion soviétique de l’Afghanistan de 1979...
Les fouilles du tell de l’âge du bronze ont permis de dégager un trésor de plus de 21 000 pièces diverses dans 6 sépultures (5 femmes et un homme), dont des éléments de joaillerie très raffinés et datés des environs du Ier siècle av. J.-C. Parmi les éléments mis au jour, des milliers de pièces découvertes sont en or, en turquoise ou en lapis-lazuli. Le tout constitue selon Jean-François Jarrige « un éblouissant ensemble de parures où se mêlent l'art des steppes, l'iconographie gréco-romaine, des objets indiens et des miroirs chinois du tout début du Ier siècle de notre ère ». Les fouilles ont livré une « extraordinaire moisson d'objets, éblouissants par leur matière et leur raffinement, mais plus précieux encore par tout ce qu'ils suggèrent de contacts » selon Pierre Chuvin. Le trésor est un « précieux témoignage d'un monde ouvert depuis longtemps aux échanges commerciaux » et en même temps le « prototype même du trésor archéologique oriental ».

Les découvertes faites alors ne se limitent pas au trésor : Le site livre quantité d’autres éléments importants pour la connaissance historique. Bien des questions restent cependant en suspens comme l’identité des personnes inhumées ainsi ou les influences diverses qui transparaissent dans les œuvres mises au jour.
L'histoire du pays rattrape la fabuleuse découverte archéologique : « Le contexte chaotique des années 1980, qui emporte l'Afghanistan dans la tourmente de 20 années de guerre, va créer le mythe, celui de l'or de Bactriane sur fond de guerres civiles et de luttes fratricides ».

Après sa découverte le trésor est considéré comme perdu pendant les conflits que subit l’Afghanistan : La guerre et l’occupation soviétique puis la guerre civile qui se poursuit jusqu’à ce que les Talibans soient chassés du pouvoir à Kaboul par l'intervention américaine de l'automne 2001. Cette période a été particulièrement dévastatrice, non seulement pour les populations mais aussi pour le patrimoine culturel du pays dont les sites archéologiques et le musée national qui perd la plus grande partie de ses collections.

Le trésor est redécouvert en 2003, il bénéficie depuis lors d’un éclairage international lors d’expositions organisées à l’étranger dont à Paris, au Musée national des arts asiatiques - Guimet, en 2006-2007. Il est prévu que l’or de Bactriane prenne place dans un nouveau musée à Kaboul non encore à l’ordre du jour du fait de l’instabilité chronique que connaît le pays.
Les découvertes sont essentielles, car il s’agit là selon l’expression de l'archéologue Véronique Schiltz d’un « chaînon manquant entre la fin d’Aï Khanoum, la cité grecque de l’Oxus détruite par les nomades, et la naissance du grand empire Kouchan, construit, lui, par les nomades » et d'« un témoin majeur de l'identité Afghane et de toute l'Asie Centrale ».
Tillia tepe est située en Bactriane, région dont le bassin est constitué par le fleuve Amou-Darya, antique Oxus, et partagée entre les actuels Afghanistan, Ouzbékistan et Tadjikistan. Les vallées possèdent des oasis avec un système d'irrigation précoce dès avant le IIe millénaire av. J.-C., muni de barrages et de canaux. La région possède donc dès la plus haute antiquité un « potentiel agricole » et est une région de passage des voies commerciales venant d'Inde et de Chine.

La plaine du Nord de l'Afghanistan actuel et bordant le fleuve Amou-Daria « est parsemée de monticules, qui sont les restes d'établissements anciens », parcourus et explorés au moins superficiellement depuis les temps immémoriaux par les populations locales en vue de recueillir divers vestiges. Ces tertres sont baptisés de « noms évocateurs dans les langues persanes ou turques locales », ainsi « colline des infidèles », « colline de l'or » ou « colline des bijoutiers ». Le site de Tillia tepe consiste avant les fouilles en une butte artificielle haute de quatre mètres et est ouvert sur la steppe.
La ville fortifiée d'Emchi tepe, à 5 km au nord-est de la moderne Chéberghân sur la route d’Akcha, est seulement à 500 m de la désormais célèbre nécropole de Tillia tepe et est à proximité des premiers contreforts de l'Hindou Kouch. Le site d’Emchi tepe a livré un palais, une citadelle et des remparts, et active de l’époque gréco-bactrienne à l’ère Kouchane.

La ville actuelle de Chéberghân est située à environ 100 km à l’ouest de Bactres,
L’archéologue Viktor Sarianidi, « spécialiste de l'âge du bronze », et son équipe débutent des fouilles dans la région en 1968. La mission comprend outre Viktor Sariadini l'archéologue Afghan (et désormais franco-afghan) Zemaryalaï Tarzi. Ils explorent la rive gauche de l’Oxus afin de compléter des travaux entrepris en Ouzbékistan et au Turkménistan, et les plaines de lœss du Nord de l'Afghanistan à partir de 1969. Ils ouvrent le site appelé Tillia tepe durant l’hiver 1978-1979 après en avoir commencé l'étude en 1970 selon Dupaigne. Un repérage a lieu en 1977. Les tessons de poterie collectés alors sont immédiatement perçus comme spécifiques. La fouille est exemplaire de précision, en dépit des difficultés liées au contexte politique.

Le 13 novembre 1978, l'équipe souhaite fermer le chantier du fait de la faiblesse des résultats obtenus. Elle se poursuit cependant, avec de grands résultats. La fouille de la première sépulture commence le 15 novembre. Les fouilles livrent, outre le matériel en métaux précieux, des ossements humains qui sont étudiés par des laboratoires d’anthropologie, des éléments de tissu, « les éléments de deux arcs, les vestiges d’un trône pliant et bien d’autres éléments plus précieux pour qui cherche à comprendre les plus précieux bijoux ». Le découvreur qualifie sa trouvaille de « découverte du siècle ».
Les archéologues travaillent « en Bactriane Afghane tant que cela [est] possible ».
Le 8 février 1979, les objets sont transportés à Kaboul. Viktor Sarianidi quitte l’Afghanistan en février. Cependant, en décembre 1979, l’invasion de l’Afghanistan par l’URSS empêche la reprise les fouilles.
Malgré tout, des éléments semblables à ceux trouvés lors des fouilles continuent d'affluer chez les marchands d'antiquités, à Peshawar ou même sur Internet au début des années 2000, preuve de fouilles clandestines, peut-être dans la 7e tombe du site, « suscitant toutes les convoitises et toutes les rumeurs ».
Certains éléments sont exposés au Musée national Afghan de Kaboul en 1980, puis transférés au palais Kouti Baghtcheh en 1985.
Le responsable de la mission dirige un inventaire photographique en 1982 suivi d’une riche publication en 1985 sous le titre « l’Or de la Bactriane ». La fouille est publiée en 1989 sous le titre « Le temple et la nécropole de Tillia tepe ».
Certains éléments des fouilles sont exposés au Musée de Kaboul en 1988.

Empire kouchan — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Empire_kouchan
貴 霜帝國 (zh). I siècle av. J.-C. – III siècle · Description de cette image, également commentée .... en kharosthi jusqu'aux premières années du règne de Kanishka I et, après cette date, utilisèrent des légendes en langue kouchane combinées ...

Relations entre l'Asie centrale et l'Inde à l'époque hellénistique
https://asiecentrale.revues.org/417
de C Rapin - ‎1996 - ‎Cité 1 fois - ‎Autres articles
... de trouvailles riches en informations sur les dernières années du royaume gréco-bactrien. ... pendant des siècles dans le cadre de l'empire kouchan, comme l'attestent avec vigueur des villes telles que Begram ou Taxila. ..... 245-275 ; B. Ja.












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