dimanche 4 mai 2014

1107... EN REMONTANT LE TEMPS

Cette page concerne l'année 1107 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

UN REFUGE POUR LES FEMMES NE VOULANT PAS ENTRER AU COUVENT.
 
LES BEGUINES
Vers l'an 1107 quelques filles, qui vivent dans le célibat sans être enfermées, viennent dans le Brabant, des bords de la Meuse. Comme on ne les veut pas admettre dans les Villes, elles s'établissent dans le voisinage de l'Escaut, et se mettent sous la direction d'un Couvent de Bernardins nouvellement bâti, qui leur prête longtemps leurs Confesseurs, par la suite elles obtiennent du Saint Siège un prêtre séculier pour leur administrer les sacrements. Avec le temps elles s'installeront à Malines, dans une rue à laquelle elles donnent le nom de « Begeyne-Straet ». Enfin leur nombre s'augmentant extraordinairement, on en envoie une partie hors de la Ville en 1149, où elles se bâtissent une Cour et des Maisons avec tant de succès, que leur quartier prend une grande importance dans quelques localités, elles enferment ces maisons de murailles de briques...
En 1107, Pascal II confirme, à Saint Amand, la possession d’Escaudain, geste que renouvelle Calixte II en 1119. En ce XIIe siècle, les « Bauduin d’Escaudain », sont souvent cités comme pairs dans les actes importants. Ainsi, en 1162, 1174, 1184, époque où s’inscrivent épidémies et la famines (1179), un nouvel incendie (1184), les bizarreries de l’an 1186 où les arbres fleurissent en décembre, le terrible cyclone de 1187... apportent un témoignage exceptionnel sur la tradition culturelle de femmes religieuses indépendantes en Europe au Moyen Âge.
Ces béguinages constituent un exemple exceptionnel d'ensemble architectural associé à un mouvement religieux caractéristique du Moyen Âge qui associe des valeurs séculières et monastiques. Ils témoignent de manière exceptionnelle de la tradition culturelle des femmes dévotes indépendantes dans l'Europe du Nord-Ouest, et offrent un exemple rare d'ensemble structurel associé à un mouvement religieux caractéristique, alliant valeurs séculières et conventuelles.
SALLE A MANGER COMMUNE
Les béguines, ces femmes qui consacrent leur vie à Dieu sans pour autant se retirer du monde, fondent au XIIIe siècle ces béguinages, ensembles clos répondant à leurs besoins spirituels et matériels. Les béguinages Flamands forment des ensembles architecturaux composés de maisons, d'églises, de dépendances et d'espaces verts organisés suivant une conception spatiale empruntée au monde urbain ou rural et construits dans les styles spécifiques à la région flamande. Ils constituent un témoignage exceptionnel de la tradition des béguines.
L'apparition spontanée du mouvement des béguines autour de 1100 reflète le courant de renouveau religieux qui s'est répandu en Europe occidentale au début des XIIe et XIIIe siècle, et dans lequel les femmes jouent un rôle important. De nombreuses femmes qui entrent en religion prononcent leurs vœux, les béguines développent un style de vie original, « semi-religieux », qui leur permet de se consacrer à Dieu sans se retirer entièrement du monde. Parmi ces « mulieres religiosæ » du nord de l'Europe, ni nonnes ni simples laïques, les béguines choisissent de mener une vie individuelle ou de communauté consacrée à la prière, aux soins apportés aux malades et au travail manuel. Pour la plupart établies en communautés urbaines, elles occupent des maisons proches des hôpitaux et des léproseries... Célibataires ou veuves, elles ne prononcent pas de vœux et sont libres d'aller et venir en société, ainsi que de quitter la communauté si elles le souhaitent.
Le béguinage est administré par une béguine, désignée du nom de « Grande Dame », qui est élue pour une durée limitée et est assistée, dans de nombreux béguinages, par un conseil. Bien que la vie des béguines a été marquée par la simplicité et l'humilité, il ne leur est nullement interdit de gérer des biens personnels : les plus riches d'entre elles construisent ou louent leurs propres maisons, d'autres vivent dans des logis communautaires, les plus pauvres à l'infirmerie. Dans tous les cas, chacune doit pourvoir à ses propres besoins, et nombre d'entre elles travaillent dans l'industrie textile.
Tous les béguinages ne sont pas parfaitement conservés : beaucoup ont été partiellement démantelés (Anvers, Hasselt, le Petit Béguinage de Louvain, le Petit Béguinage de Mecheln, Herentals, Aarschot) ou en grande partie englobés dans les bâtiments construits à proximité (Grand Béguinage de Gand). Certains ont subi des dommages au cours de la Première ou de la Seconde Guerre mondiale (le Béguinage de Dixmude a été reconstruit dans les années vingt du XXe siècle, tandis qu'Aarschot, partiellement reconstruit après 1944, a conservé 4 de ses constructions d'origine, l'église de Hasselt a été détruite en 1944)... Je me souviens avoir passé un mois en colonie de vacances à Enghien Belgique dans un de ces merveilleux enclos, dans les années 1950... (MNDC)
Les béguinages forment des villes miniatures, enfermées dans des murs ou entourées de tranchées, dont les portes ne s'ouvrent sur le « monde » que pendant la journée. Ils sont organisés selon deux modèles : soit un type urbain, reflétant sur une échelle réduite le modèle d'une ville médiévale, avec un lot à part destiné au cimetière, et la place où l'église est bâtie ; soit un type à cour interne, avec une aire centrale dont la forme a pu varier, consistant fréquemment en une pelouse plantée d'arbres, où se trouve l'église, et autour de laquelle sont groupées les maisons. Un troisième type, mixte, et qui résulte de différentes extensions réalisées aux XVIIe et XVIIIe siècles, combine ces deux planimétries.
La naissance spontanée du mouvement des béguines s'inscrit dans le courant de renouveau religieux qu'a connu l'Occident au début du XIIe siècle et dans lequel les femmes occupent une place importante. Bien qu'elles bénéficient de la protection de prélats tels par exemple : l'évêque Jacques de Vitry et en dépit de liens étroits avec leurs confesseurs ou directeurs spirituels (cisterciens, franciscains et dominicains), elles ne sont pas reconnues comme ordre conventuel ou congrégation régulière. Leur statut canonique demeure sujet à caution tout au long des XIIe et XIIIe siècle.
UN BEGUINAGE
Dans ce climat de suspicion, les béguines constituent un groupe à part dès les années 1130 avec leurs propres institutions. Les autorités religieuses et séculières de la région Flamande favorisent la constitution de béguinages clos, dans ou en dehors des villes qui sont placés sous surveillance. Chaque béguinage adopte ses propres règles qui concernent la prière, le comportement, le travail, l'habitat, la direction de l'infirmerie et de la Table du Saint-Esprit (ou table des pauvres). Après un certain temps, la plupart des béguinages sont élevés au rang de paroisses et obtiennent leur propre curé.
Dans les autres régions comme dans les pays Rhénans, les béguines qui ne peuvent bénéficier de la collaboration de bienfaiteurs séculiers ou religieux continuent à vivre seules ou dans des maisons communautaires dispersées à travers la ville.
Le sentiment de méfiance face à l'ampleur du mouvement béguinal et au développement d'une spiritualité féminine s'exprimant dans des textes littéraires (comme les « Visions » d'Hadewijch d'Anvers, v. 1240) peuvent constituer une menace pour l'autorité de l’Église et se manifeste au Concile de Vienne (1312) par la condamnation des béguines.
Dans les pays Rhénans cette condamnation et celles qui suivent sont appliquées avec vigueur pour combattre les béguines. Dans la région Flamande, les béguines bénéficient pour la plupart du soutien des autorités religieuses. L'enquête sur l'orthodoxie des béguinages de cette région menée par les évêques à la demande du pape Jean XXII en 1320 leur est favorable.
Les difficultés religieuses et la crise politique que connaissent les Pays-Bas aux XVIe et XVIIe siècles ont aussi une incidence sur les béguinages. L'institution disparaît dans les provinces calvinistes du Nord (excepté à Amsterdam et Breda) et se maintient dans les Pays-Bas méridionaux restés catholiques. A partir du milieu du XVIe siècle, les évêques gagnés aux idées de la Contre- Réforme soutenus par les ordres conventuels rétablissent l'ancienne discipline dans les béguinages qui connaissent un nouvel essor au siècle suivant, en dépit des dommages que subissent nombre d'entre eux au cours de la guerre des Quatre-Vingts ans (1568-1648). Les activités de construction et de restauration s'intensifient à mesure que le nombre des béguines augmente.
Le recul du mouvement béguinal perceptible au XVIIIe siècle s’accélère après l'annexion à la France en 1795... Bien que la législation Française et la politique anticléricale soit interprétée de manière différente par les instances locales, les béguinages sont sécularisés, les biens et leur gestion passe aux Commissions municipales des Hospices civils. Un nombre limité de béguinages a survécu.
Le sort des béguinages au XIXe siècle diffère d'un lieu à l'autre et dépend de l'attitude des autorités urbaines et des Commissions municipales des Hospices civils. Les béguines conservent l'usage de leurs maisons à titre personnel, les maisons restées libres accueillent des indigents. Parfois elles parviennent à racheter par personne interposée quelques maisons et à reconstituer des communautés restreintes. Ailleurs, des béguinages sont repris par des ordres religieux. A Gand, les béguines bénéficient du soutien de l’Église et du duc Engelbert von Arenberg qui rachète le petit béguinage et fait construire le béguinage de Mont-Saint-Amand (1873) pour loger les béguines du grand béguinage que l'administration communale menace de démanteler. Dans plusieurs béguinages, les maisons communautaires et infirmeries sont progressivement affectées à des hospices, des orphelinats, écoles, etc.
Les démarches répétées des béguines pour obtenir la reddition de leurs biens au long des XIXe et XXe siècles sont vaines et le mouvement dépérit. De nos jours, la plupart des béguinages restent des entités bien définies dans le tissu urbain et certains forment encore une partie essentielle du patrimoine bâti de plusieurs villes. Ces îlots de tranquillité conservent une fonction d'habitat et une dizaine de béguines y vivent toujours.
TRÉSOR D'OIGNIES
Le trésor d’Hugo d’Oignies a déjà été classé parmi les sept merveilles de Belgique avec « l’Agneau mystique » des frères Van Eyck, la châsse de Sainte-Ursule de Memling à Bruges, les fonts baptismaux de Renier de Huy, la « Descente de Croix » de Rubens, la Châsse de Notre-dame de Tournai et « Paysage avec la Chute d’Icare » de Bruegel. Au même moment, on apprend que cet ensemble exceptionnel de 32 pièces d’orfèvrerie va déménager d’ici la fin de l’année et quitter le couvent des sœurs de Notre-dame de Namur qui l’ont pourtant pieusement et soigneusement gardé depuis près de 200 ans.
Le trésor d’Hugo d’Oignies vaut le voyage, non seulement par ses qualités artistiques mais aussi pour son histoire romanesque. Car comment un tel trésor a-t-il pu se trouver dans un humble prieuré et pas dans une grande abbaye, ou une cathédrale ?
On peut encore admirer pendant quelques mois ce trésor dans ce que d’aucuns appellent le « plus petit musée du monde ». Le couvent des sœurs de Notre-dame à la rue Billiart a placé le trésor dans une petite pièce, comme s’il s’agit d’une sacristie à l’ancienne, le public y est un peu à l’étroit, mais il a tout le loisir d’y admirer les pièces. Les plus belles sont d’Hugo d’Oignies (1187/1240) lui-même qui les signe (« Hugo fecit »), avec un narcissisme étonnant et rare. Il se représente même, dans l’Évangéliaire, où il est sur le côté, à genoux portant à bout de bras les Évangiles.
D’autres pièces sont de son atelier ou d’ateliers voisins. Ce trésor marque l’apothéose et la fin de la grande orfèvrerie Mosane incarnée par les fonts baptismaux de Renier de Huy (1107-1118) ou par les châsses de Saint-Remacle et de Tournai. Si l’orfèvrerie Mosane reste marquée par l’art roman avec des compositions narratives pleines de vie, l’art d’Hugo d’Oignies, qui se développe entre 1230 et 1238, annonce déjà le gothique et la statuaire des grandes cathédrales...
On pourrait passer des heures à détailler les pièces du trésor. Les « plats de reliure de l’Evangéliaire » en argent repoussé et ciselé, avec ses plaquettes « niellées » (le creux de la gravure est rempli d’une pâte noire pour accentuer le trait). On admire la beauté de la crucifixion, le foisonnement du décor floral, les détails en nacre. Même admiration pour le calice et la patène de Gilles de Walcourt où Hugo, à nouveau, a signé son œuvre. On y trouve un filigrane célèbre signifiant La Trinité... Plus surprenant est le reliquaire de la Côte de Pierre avec une pièce en lune évoquant la forme d’une côte. Le « reliquaire du lait de la Vierge » a la forme d’une colombe aux ailes délicatement ciselées. Elle abrite la « relique du lait de la Vierge », c’est-à-dire de la galactite, une poussière blanche provenant des parois de la grotte dite du Saint Lait, près de Bethléem où la Sainte famille s’est réfugiée. Selon la légende, une goutte de lait tombée du sein de la Vierge, a suffi à blanchir toute la grotte ! On trouve aussi les étonnants pieds reliquaires de Saint Jacques et Saint Blaise, des coffrets en ivoire qui ont abrité les reliques et pierres précieuses envoyées d’Orient, des reliquaires avec des vases en verre réalisés en Égypte fatimide (on recyclait l’art égyptien et byzantin !)
Mais comment un tel trésor a-t-il pu se trouver à Oignies ? Tout débute en 1187, lorsque Gilles de Walcourt soupçonné d’avoir volé le trésor du prieuré de Walcourt, s’en va plus au nord et s’installe à Oignies avec sa vieille mère et ses trois frères. Deux de ceux-ci sont prêtres comme lui. Le plus jeune, Hugo, ne se destine pas à la prêtrise. A Oignies, ils forment une petite communauté qui prend la règle de saint Augustin avec sa vie de partage qui connaît rapidement le succès. Intervient alors l’arrivée décisive de Marie de Nivelles, mariée à 15 ans avec Jean de Nivelles, mais celui-ci est toujours à Paris avec le théologien Jacques de Vitry, dans une école renommée. Marie vient alors s’installer à Oignies en 1207 et s’y comporte comme une sainte, faisant des miracles et bénéficiant d’un culte sous le nom de Marie d’Oignies. Elle est un peu l’instigatrice de ce qui devient les béguines. Son aura est telle que Jacques de Vitry, l’ami parisien de Jean de Nivelles, le théologien parisien, vient s’installer à Oignies, devient le confesseur et le guide spirituel de Marie d’Oignies et fait la richesse du prieuré car ce personnage est considérable. Il se lance dans la cinquième croisade, contre les Sarrasins, devient archevêque d’Acre, puis en 1228, évêque de Tusculum. C’est lui, installé en Terre Sainte, qui envoie à Oignies les Reliques Saintes et les richesses (souvent acquises par des pillages !) A sa mort en 1240, Jacques de Vitry lègue le contenu de sa chapelle privée au prieuré avec sa crosse d’évêque, ses mitres (surprenante mitre en parchemin avec or et miniatures !), ses anneaux épiscopaux et son autel portatif. Son corps est ramené à Oignies pour être enterré à côté de celui de Sainte Marie d’Oignies.
Hugo, orfèvre, scribe et miniaturiste, a utilisé tous les cadeaux de Jacques de Vitry avec une grande maîtrise technique et pousse aussi le travail des filigranes à son paroxysme (le phylactère de Saint-Martin, vraie dentelle de métal). On pense que 4 ou 5 autres ateliers de l’Entre-Sambre-et-Meuse travaillent au même moment et se sont inspiré de l’art d’Hugo d’Oignies.
Beaucoup de trésors de cette époque (ceux de Stavelot, de Saint-Aubain à Namur) ont disparu. Celui d’Oignies a survécu. Certes, par besoin d’argent, certaines pièces ont été vendues par les moines, qu’on retrouve par exemple au musée du Cinquantenaire aujourd’hui. Mais l’essentiel est resté groupé. Grâce au dernier prieur, Dom Grégoire Pierlot, qui a emmuré le trésor en 1794 pendant la Révolution française dans la ferme des époux Moussiaux de Falisolle, les fermiers du monastère où le trésor reste caché, ignoré de tous pendant 24 ans. Mais le fermier meurt et sa femme doit vendre la ferme. Il est urgent de mettre le trésor en lieu sûr. Et en 1818, il est confié à Mère Marie-Joseph, supérieure des sœurs Notre-dame de Namur, (ordre venu d’Amiens) ; installé à Namur en 1807 pour y créer des écoles et toujours actif puisqu’il compte encore une centaine de religieuses en Belgique et autant au Congo...
Le trésor est en sécurité chez les religieuses et il est connu puisque dès 1864, il est déjà prêté pour une première exposition à Malines. Laurent Busine (directeur du Mac’s) dans son exposition au « Bozar » sur l’art Wallon a emprunté plusieurs des trésors d’Hugo d’Oignies.
Les religieuses ont eu le nez fin en 1939, en plaçant le trésor à l’abri car tout le carré du couvent est bombardé et détruit. Le trésor n’est réapparu qu’en 1952 dans le lieu où on le visite toujours.
La Fondation Roi Baudouin vient de recevoir la charge de la gestion de ce trésor qui se trouve en « dépôt » chez elles. Et on vient d’apprendre qu’il déménagera, sans doute à la fin de l’année, au musée des arts anciens du Namurois, à Namur où se retrouveront aussi les trésors du musée diocésain. Après près de deux cents ans, les religieuses, qui ont amoureusement gardé ce trésor, le verront partir vers d’autres cieux, mieux adaptés, dit-on, à une muséologie contemporaine . Mais, consolation, une des sœurs, sœur Colette Walschaert qui a la tâche de veiller sur le trésor, restera membre du futur comité de gestion du trésor d’Hugo d’Oignies...
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Note : 4 - ‎Critique de a TripAdvisor user - ‎28 janv. 2012
Beguinage (Begijnhof): Tranquil beauty - See 560 traveler reviews, 174 candid photos, ... Ask foggySanFrancisco about Beguinage (Begijnhof) ... 1,107 Reviews.

Le miracle du trésor d'Hugo d'Oignies - La Libre.be

www.lalibre.be/.../le-miracle-du-tresor-d-hugo-d-oignies-51b8b939e4b0...
24 mars 2010 - ... de Huy (1107-1118) ou par les châsses de Saint-Remacle et de Tournai. ... Elle fut un peu l'instigatrice de ce qui deviendra les béguines.

Description historique, chronologique et géographique du ...

books.google.fr/books?id=_WVbAAAAQAAJ
nommé Ter Cellebroers , qu'ils vendirent aui guines lorfque leur Béguinage du dehors rut ... Vers l'an 1107 quelques filles, qui vivoient dans le célibat fans être ...


2 commentaires:

  1. Merci pour cette page car le béguinage en France est méconnu ! Il ne fait pas parti de notre tradition religieuse comme dans les pays du nord !

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  2. Bonjour Jolis Lys, je ne sais si vous avez fait le rapprochement mais la petite parenthèse pour Enghien Belgique est personnelle, je m'en souviens encore tant le mois passé dans cette enclos à été heureux et bienfaisant.

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